Le weekend d'Alice et de Phil 4/7
Récit érotique écrit par Filip [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-09-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le weekend d'Alice et de Phil 4/7
Tu as bien dressé ta petite chienne de copine. Après lui avoir coincé un joli plug dans le cul, tu lui as ordonné d’être ma chienne pour le weekend. Du coup, c’est à poil et pluggée qu’elle me suit dans toute la maison. Je n’ai qu’un geste à faire pour qu’elle me suce la bite ou me lèche les couilles. Après m’être fait enculer par cette pétasse, je ne vais pas me gêner.
Le soir arrive, je t’ai demandé de te faire belle, ce qui ne demande pas beaucoup d'efforts dans ton cas compte tenu de tes atouts naturels. Je t’invite au restaurant. Ta petite chienne surveillera la maison pendant notre absence. Après tout c'est fait pour ça aussi une chienne. D’ailleurs, il est temps de changer son petit gode, on va augmenter le diamètre, et aussi lui attacher les mains dans le dos. Excitée comme elle est, elle risquerait de se faire jouir pendant notre diner en tête à tête. Nous l’allongeons sur le canapé en cuir et quittons la pièce en éteignant les lumières.
Dans l'ascenseur, j'appuie sur RDC et je lance :
- "Tu es de toute beauté Alice"
Je te trouve très belle, une simple robe arrivant à mi-cuisse, on ne devine même pas le petit string que tu as surement dû mettre. Je m'approche de toi et la soulève pour voir qu'effectivement tu t'es légèrement habillée, rien d'autre qu'un string ficelle blanc en dessous.
Dans la nuit, la voiture fend l'air comme un éclair, la radio crache sa musique. On se raconte des blagues de cul, c'est cool.
Le maitre d'hôtel nous accompagne jusqu'à notre table légèrement en retrait, pour voir sans être vu. Nous commandons, et nous nous racontons l'après midi que nous avons passée.
Sur le point de finir notre apéritif, tu prétextes que ton maquillage s'estompe pour quitter la table, mais tu vas plutôt faire un petit pipi. Je te demande de d'essuyer la foufoune avec ton string et de l'enlever, de revenir à poil sous ta robe, et de me le déposer sur la table. Je m'en servirai le long du repas, comme d'une serviette. Tu réapparais et je devine ta gêne, tu imagines que tout le monde reluque tes fesses nues. Tu me tends ton string, je le porte a mes narines en le humant à pleins poumons.
-"Hummm, j'adore ton odeur intime Alice"
-"J'aimerais te lécher la chatte ma chérie." Dis-je tout bas.
-"Caresses-toi la chatte Alice"
-"Là, devant tout le monde Phil."
-"Personne ne te voit Alice, sauf moi"
Tu refuses mais excitée par ma demande, tu t'organises. Tu rapproches ta chaise de la table et commences à te caresser.
En humant encore et encore l'étoffe blanche, je te demande :
-"J’espère que tu t'es bien essuyée avec ta culotte Alice."
-"J'ai lâché quelques gouttes de pipi dessus pour toi Phil"
Tes caresses te font monter le rouge aux joues, Je devine que ton sexe s'ouvre et s'humidifie.
Tu me demandes ton string, pour essuyer la mouille qui commence à couler, et en me le redonnant tu me dis :
-"Tiens Phil, renifles mon parfum de chienne."
Je suis comme un fou, j'ai impression d'avoir ta chatte sous le nez. Ma bite est gonflée mais coincé dans mon boxer…
La pression redescend, on reprend nos esprits, les plats arrivent, nous commençons le repas.
Pourtant il faudrait bien que nous mangions après les efforts de l'après midi. Mais c'est sans compter l'état d'excitation dans lequel nous sommes. J'ai toujours ta culotte dans la main, ta chatte est mouillée et excitée. J'ai envie de te baiser là, de te prendre tout de suite Alice.
Ta main continue son manège sous la table. Je me lève, me dirige vers les toilettes, tu m'emboites le pas. On se retrouve dans les WC des hommes, ma braguette déjà ouverte, ma bite sortie dans la main. Tu te jettes dessus pour en augmenter le volume. Mais j'ai trop envie de ta chatte et je te relève la robe et t'embroche à fond avec mon gros dard pour te limer comme une vraie salope. On fait du bruit mais tantpis ton vagin tout trempé ne résiste pas à ce traitement. Alors tu jouis rapidement en te mordant les lèvres. Aucun cri ne sort de ta bouche, mais ton corps tremble de partout, tu jouis de tout ton corps épanoui.
On se rajuste pour revenir à table. Je te prête ton bout de tissu pour t'essuyer la cyprine, mais tiens à le reprendre, hum …
La soirée s'annonce sous de bons auspices, surtout que ta copine doit être bien chaude maintenant. Godée et attachée comme elle est, elle doit mouiller de la chatte autant que toi.
Nous finissons le repas tranquilles, calmés par cette baise imprévue, et nous parlons de choses et d'autres. Puis enfin, je règle en gentleman l'addition et nous sortons du restaurant tandis que je te serre tout contre moi, mon bras passé autour de ta taille de guêpe.
De retour, qu'elle ne fut pas notre surprise, ta soumise a réussi à se détacher une main.
Le soir arrive, je t’ai demandé de te faire belle, ce qui ne demande pas beaucoup d'efforts dans ton cas compte tenu de tes atouts naturels. Je t’invite au restaurant. Ta petite chienne surveillera la maison pendant notre absence. Après tout c'est fait pour ça aussi une chienne. D’ailleurs, il est temps de changer son petit gode, on va augmenter le diamètre, et aussi lui attacher les mains dans le dos. Excitée comme elle est, elle risquerait de se faire jouir pendant notre diner en tête à tête. Nous l’allongeons sur le canapé en cuir et quittons la pièce en éteignant les lumières.
Dans l'ascenseur, j'appuie sur RDC et je lance :
- "Tu es de toute beauté Alice"
Je te trouve très belle, une simple robe arrivant à mi-cuisse, on ne devine même pas le petit string que tu as surement dû mettre. Je m'approche de toi et la soulève pour voir qu'effectivement tu t'es légèrement habillée, rien d'autre qu'un string ficelle blanc en dessous.
Dans la nuit, la voiture fend l'air comme un éclair, la radio crache sa musique. On se raconte des blagues de cul, c'est cool.
Le maitre d'hôtel nous accompagne jusqu'à notre table légèrement en retrait, pour voir sans être vu. Nous commandons, et nous nous racontons l'après midi que nous avons passée.
Sur le point de finir notre apéritif, tu prétextes que ton maquillage s'estompe pour quitter la table, mais tu vas plutôt faire un petit pipi. Je te demande de d'essuyer la foufoune avec ton string et de l'enlever, de revenir à poil sous ta robe, et de me le déposer sur la table. Je m'en servirai le long du repas, comme d'une serviette. Tu réapparais et je devine ta gêne, tu imagines que tout le monde reluque tes fesses nues. Tu me tends ton string, je le porte a mes narines en le humant à pleins poumons.
-"Hummm, j'adore ton odeur intime Alice"
-"J'aimerais te lécher la chatte ma chérie." Dis-je tout bas.
-"Caresses-toi la chatte Alice"
-"Là, devant tout le monde Phil."
-"Personne ne te voit Alice, sauf moi"
Tu refuses mais excitée par ma demande, tu t'organises. Tu rapproches ta chaise de la table et commences à te caresser.
En humant encore et encore l'étoffe blanche, je te demande :
-"J’espère que tu t'es bien essuyée avec ta culotte Alice."
-"J'ai lâché quelques gouttes de pipi dessus pour toi Phil"
Tes caresses te font monter le rouge aux joues, Je devine que ton sexe s'ouvre et s'humidifie.
Tu me demandes ton string, pour essuyer la mouille qui commence à couler, et en me le redonnant tu me dis :
-"Tiens Phil, renifles mon parfum de chienne."
Je suis comme un fou, j'ai impression d'avoir ta chatte sous le nez. Ma bite est gonflée mais coincé dans mon boxer…
La pression redescend, on reprend nos esprits, les plats arrivent, nous commençons le repas.
Pourtant il faudrait bien que nous mangions après les efforts de l'après midi. Mais c'est sans compter l'état d'excitation dans lequel nous sommes. J'ai toujours ta culotte dans la main, ta chatte est mouillée et excitée. J'ai envie de te baiser là, de te prendre tout de suite Alice.
Ta main continue son manège sous la table. Je me lève, me dirige vers les toilettes, tu m'emboites le pas. On se retrouve dans les WC des hommes, ma braguette déjà ouverte, ma bite sortie dans la main. Tu te jettes dessus pour en augmenter le volume. Mais j'ai trop envie de ta chatte et je te relève la robe et t'embroche à fond avec mon gros dard pour te limer comme une vraie salope. On fait du bruit mais tantpis ton vagin tout trempé ne résiste pas à ce traitement. Alors tu jouis rapidement en te mordant les lèvres. Aucun cri ne sort de ta bouche, mais ton corps tremble de partout, tu jouis de tout ton corps épanoui.
On se rajuste pour revenir à table. Je te prête ton bout de tissu pour t'essuyer la cyprine, mais tiens à le reprendre, hum …
La soirée s'annonce sous de bons auspices, surtout que ta copine doit être bien chaude maintenant. Godée et attachée comme elle est, elle doit mouiller de la chatte autant que toi.
Nous finissons le repas tranquilles, calmés par cette baise imprévue, et nous parlons de choses et d'autres. Puis enfin, je règle en gentleman l'addition et nous sortons du restaurant tandis que je te serre tout contre moi, mon bras passé autour de ta taille de guêpe.
De retour, qu'elle ne fut pas notre surprise, ta soumise a réussi à se détacher une main.
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