Léa

- Par l'auteur HDS MaîtreChat -
Auteur homme.
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Récit libertin : Léa Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Léa
Et si je donnais une suite à toutes ces petites histoires...

L'année d'après, les vacances ont été bien plus calmes. Mes relations avec ceux qui étaient restés là s'étaient à nouveau légèrement distendues me laissant explorer d'autres terrains de chasses pour d'autres conquêtes. Malheureusement pour moi, ma bonne éducation me faisait souvent temporiser et la concrétisation de mes espoirs n'était pas toujours au rendes vous bien et je n'avais pas eu l'occasion de passer un moment avec Christine qui était partie chez de la famille avec son mari. Les vacance ont doucement tiré vers leur fin et se sont terminées par une nouvelle aventure qui m'a fait me demander si les mères de mes potes ne s'étaient pas donné le mot.
En effet, lorsque je rendis visite à Léa, la mère d'Éric lui aussi militaire mais de carrière, je la trouvais en robe de chambre les cheveux mouillés. Elle me dit sortir de la douche et je proposais de revenir à un autre moment pour ne pas la déranger mais elle insista pour que je rentre malgré tout.
Après une bise rapide, elle me servit un jus de fruits et je pus vérifier qu'elle était nue sous son vêtement car celui-ci ne semblait pas vouloir tenir fermé quand elle bougeait. Je pus vérifier qu'elle était vraiment très brune car son pubis était orné d'une touffe noire et frisée. Lors d'un autre mouvement je vis que sa poitrine plus menue que celle de Christine se tenait plutôt bien.
Elle s'excusa mollement à plusieurs reprises de sa tenue et je lui répondis que ce n'était pas grave. Au moment où je me décidais à prendre congé, elle me raccompagna et se serra contre moi dans l'entrée en me disant :
- Tu sais, ça m'a réellement fait très plaisir que tu viennes me voir. En plus, tu es devenu un très beau jeune homme…
Lorsqu'elle me prit par le cou pour me faire la bise, la ceinture de sa robe de chambre tomba au sol et son vêtement s'ouvrit largement. Elle se serra un peu plus contre moi et dit plus bas :
- Qu'est ce que je dis un jeune homme,… tu es devenu un vrai homme maintenant… et elle m'embrassa à la commissure des lèvres.
- Merci Léa, répondis-je Je garderai un délicieux souvenir de cette visite…
Je me suis baissé pour ramasser la ceinture mais elle n'a pas fait un geste pour dissimuler sa nudité. J'avais le nez à auteur de son pubis et j'ai trouvé son "triangle des Bermudes" très sympa. Je lui ai rendu la ceinture, puis je ne sais pas pourquoi j'ai posé mes mains sur ses épaules et j'ai posé délicatement un petit baiser sur ses lèvres. Elle s'est accrochée à mon cou et m'a alors donné un baiser fougueux en frottant son ventre nu contre moi.
- Caresse moi, souffla-t-elle à mon oreille, c'est si rare que j'aie un beau mec sous la main…
J'étais stupéfait mais j'ai glissé mes mains dans sa robe de chambre et saisis ses fesses pour l'amener contre mon ventre ou naissait un début de bandaison. Se dressant sur la pointe des pieds pour frotter son pubis sur ma queue dressée elle me demanda si je lui faisais envie. Plus qu'étonné de son attitude mais j'ai répondu :
- Oui, vous êtes une femme très désirable…
- Alors viens ! dit elle en m'entrainant par la main vers sa chambre.
Arrivés là elle me fit face et s'employa à me déshabiller rapidement. M'attirant sur le lit elle dit :
- Viens, prends moi, j'ai envie que tu me pénètres…
Je me plaçais entre ses jambes et posais ma bouche sur son sexe. De ma langue je titillais son clitoris déjà bien tendu puis je léchais sa fente, écartant ses lèvres intimes de ma langue.
Elle se redressa et me prenant par les épaules m'attira sur elle en disant :
- Non, prends moi tout de suite, enfonce moi ta queue profond, j'ai envie de te sentir au fond de moi…
Elle écarta largement les jambes et posa ses talons sur mes fesses. Ma verge tendue n'eut aucune peine à trouver l'orifice de sa vulve et je la pénétrais sans difficultés tant elle était déjà mouillée. Je la besognais profondément sur un bon rythme et il ne fallut que quelques minutes pour qu'elle jouisse s'accrochant à moi comme une désespérée.
Après peu de temps elle m'éperonna les fesses pour que je reprenne mes pénétrations. Comme je bandais encore très fort je recommençais lentement et profondément quand elle me dit :
- Tu dois me prendre pour une folle ! Ça fait déjà plusieurs années que j'ai envie de coucher avec toi mais tu étais mineur et je n'osais pas prendre le risque. Maintenant tu es un homme et je ne pense pas que tu iras te plaindre…
Elle se tut et m'encouragea à nouveau du talon. Je pris ses jambes et les passais sur mes épaules en me relevant sur les bras. Elle saisit ses jambes derrière ses genoux et les tint relevées et écartées au maximum. De temps à autre j'arrêtais mes pénétrations et retirais mon sexe ne laissant que l'extrémité de mon gland au contact de sa vulve. Puis après quelques secondes je m'enfonçais à nouveau tout doucement ce qui lui arrachait des gémissements de plaisir. Au bout d'un moment, nous eûmes tout deux un gros orgasme et je tombais pantelant dans ses bras.
Piquant des petits baisers sur ma bouche elle dit :
- Merci d'être passé me voir, je garderai ce souvenir bien précieusement… puis elle se leva en demandant :
- j'ai envie de café, tu en veux ?
J'acceptais volontiers et me régalais de la voir partir nue. Elle était moins plantureuse que Christine mais sa silhouette était très harmonieuse et je me rendis compte qu'elle aussi avait un très joli cul.
Elle revint avec le café et s'agenouilla près de moi sur le lit pour le boire. Ce faisant, elle caressait ma verge ramollie du bout des ongles de sa main libre. Comme je me remettais doucement à bander, elle posa sa tasse vide et me chevaucha faisant glisser sa fente sur ma rigidité. J'en profitais pour caresser sa petite poitrine et faire rouler les pointes de ses seins entre mes doigts. Elle ferma les yeux puis remontant un peu plus sur mon ventre elle guida mon sexe dressé dans le sien. Après quelques pénétrations profondes elle se redressa puis gardant ma verge profondément enfoncée dans son intimité brûlante elle pivota afin de me tourner le dos. Prenant appui sur ses pieds elle recommença à s'empaler sur mon pieu de chair. Rapidement, je sentis son vagin se contracter sur ma verge puis elle retomba à genoux et se redressa en poussant un haaaaaaaaa de plaisir. Elle se tourna vers moi en souriant et me dit :
- J'avais tellement envie de toi. J'ai rêvé je ne sais combien de fois que tu me baisais…
Reprenant appuis sur ses pieds elle recommença à monter et descendre le long de ma colonne de chair. Se relevant un peu plus, elle fit sortir ma verge de sa chatte ruisselante et la dirigea vers son anus froncé en disant :
- Va doucement, je n'ai pas l'habitude… Elle descendit très lentement pour s'empaler. Lorsque le gland fut rentré elle fit une pose en soufflant profondément et je me redressais un peu pour recueillir de la mouille sur sa chatte et en lubrifier ma bite. Elle reprit sa descente enfonçant de plus en plus mon membre dur dans son rectum. Lorsqu'elle l'eut fait rentrer en entier, elle s'arrêta quelques secondes puis commença quelques lents va et vient. Enfin comme libérée elle accéléra le mouvement frappant mes cuisses de ses fesses. Un peu essoufflée elle se tourna vers moi sans ralentir et me dit :
- Ouais, c'est comme dans mes rêves, tu m'encules et j'aime ça…
J'avais énormément de mal à me contrôler dans ce petit cul tout neuf. Je sentais les vagues de plaisir courir dans mon ventre jusqu'au moment où j'ai tout lâché inondant par saccades le fondement de cette femme mure et vierge du cul. Mon sperme a du avoir un effet intense car elle s'est mise à pousser des petits cris d'approbation, puis j'ai senti son sphincter se crisper violemment autour de ma virilité. Elle s'est laissée aller et s'est allongée sur moi ma verge toujours dans son anus. La voix un peu cassée elle dit :
- Tu vois, je ne savais pas que je jouirais par là aussi… Un de mes amants m'enfonçait son doigt mais je n'ai jamais voulu qu'il me prenne comme ça. C'est peut être idiot mais dans mes fantasmes ça t'était réservé. J'espère que tu voudras bien recommencer parce que j'ai aimé ça…
Elle prit mes mains qui étaient posées sur ses hanches et en posa une sur les poils sombres de son pubis et l'autre sur ses seins. Après quelques secondes de silence elle reprit :
- Excuses moi de t'avoir un peu précipité mais quand je t'ai vu arriver chez moi j'ai été très excitée, je me suis dit que c'était une occasion inespérée… je me suis mise à mouiller tout de suite et il fallait absolument que tu me baises.
- Vous êtes toute excusée Léa, j'ai eu beaucoup de plaisir et je suis fier que vous m'ayez réservé votre petit trou si longtemps… C'est drôle, je ne me suis jamais rendu compte que je vous plaisais…"
- Parce que tu ne faisais pas attention. Rappelles toi quand nous étions aux vendanges avec Christine et ses enfants. Je t'avais surpris à te rincer l'œil en regardant Christine sous la douche… Tu étais rouge de confusion et je t'ai pris contre moi pour te dire que ces choses là étaient normales… Tu te souviens ?
- Oui c'est vrai, je me souviens très bien que comme j'étais plus petit que vous j'avais vos seins à auteur de la bouche….
- C'est vrai. Je n'avais rien sous ma blouse et mes nichons pointaient. Tu as pris un de mes tétons dans les doigts en demandant si c'était toujours comme ça…
- Je m'en souviens… Vous m'avez répondu C'est seulement quand on les touche. Et je me suis amusé à les faire pointer pendant un moment.
- Oui, je t'ai laissé faire et quand tu m'as laissée pour aller te coucher je suis allée m'essuyer l'entre cuisse, ma cyprine avait coulé jusqu'à mes genoux. Je crois que si tu avais touché ma chatte à ce moment la je t'aurais violé…
En évoquant ces souvenirs, j'avais repris mes caresses et mes doigts glissaient de son clitoris à l'entrée de son vagin. Elle prit ses jambes derrière ses genoux et les releva en les écartant et me dit tout bas :
- Continue, ta bitte encore dure dans mon cul et tes doigts dans ma chatte, je crois que je vais enco…ore jou…ir ouiiiii"
Elle resserra brusquement les cuisses emprisonnant ma main dans un étau chaud et mouillé. Doucement, j'ai roulé sur le côté et l'ai fait passer à plat ventre. Prenant appui sur mes bras, je recommençais mes va et vient dans son fondement. Soulevant ses fesses elle prit appui sur ses genoux écartés gardant la poitrine sur le lit. Je m'installais plus confortablement entre ses jambes et augmentais le rythme de mes pénétrations. J'étais fasciné de voir ma verge rentrer et sorti de ce splendide petit cul et je ne tardais pas à vider mes couilles encore une fois. Puis je la remis à plat pesant sur elle de tout mon poids.
- Tu as un cul magnifique ! lui ais je soufflé à l'oreille.
- J'espère que tu le prendras encore avec tout le reste me répondit elle. Tu sais que je vis seule et je serais disponible pour toi à tout moment. Je vais avoir un merveilleux souvenir et quand j'aurais trop envie c'est en pensant à toi que je me caresserai…
Nous restâmes un moment encore soudés l'un à l'autre puis lorsque ma queue fut ramollie je me levais pour aller faire quelques ablutions.
Pendant que je me douchais dans la baignoire je l'entendis qui venait se rafraichir sur le bidet puis elle ouvrit le rideau et me regarda me laver. Remarquant qu'elle me scrutait, me détaillant de la tête aux pieds je pris un ton faussement offusqué pour lui dire :
- Comment, non contente de convoiter un adolescent vous jouez en plus les voyeuses…
Elle pouffa de rire et me répondit :
- D'abord, tu n'es plus un ado et j'en suis la première ravie… ensuite, je crois que je pourrais te regarder nu pendant des heures que l'envie de te toucher ne me quitterait pas… C'est peut être parce qu'il y à longtemps que j'ai pas eu un vrai mec mais aujourd'hui sera à marquer d'une pierre blanche, je me suis régalée et j'espère que nous allons recommencer très bientôt…
Comme j'avais fini de me doucher et que je lui faisais face, elle avait pris mon sexe en main et me branlait doucement en me parlant. Je passais les doigts dans ses sombres cheveux courts et lui répondis :
- Malheureusement je repars demain soir par le train du soir…
- Oh non, j'ai vraiment pas de chance… Tu reviens bientôt ?
- En principe ce n'est pas prévu mais je pourrais peut être venir une partie des vacances de février…
- Ça va faire long… je vais encore me trouver toute seule alors que j'avais trouvé un joli petit mâle qui me fait bien jouir…
Elle s'interrompit pour prendre mon sexe dodelinant dans sa bouche. Je me remis à bander et elle me suça de plus belle. Se relevant elle me fit descendre de la baignoire et collant son ventre contre le mien elle dit d'une voix plaintive :
- j'ai encore envie de toi… baise moi encore… prends moi comme tu veux… puis m'entrainant vers le salon elle me dit :
- Viens mon joli, enfile moi… je veux sentir ta bite dure au fond de moi…
Elle était toute vibrante d'envie. S'agenouillant sur un gros fauteuil de cuir les genoux écartés elle me dit :
- Prend moi en levrette. Maintenant !
Je me plaçais derrière elle et m'introduisis sans difficulté dans sa féminité à nouveau ruisselante. Moi qui craignais d'être au bout de mes possibilités je retrouvais plein d'énergie à voir ma verge tendue aller et venir dans son vagin brûlant. Elle posa un pied sur le fauteuil est se pencha sur le côté pour que je la prenne plus en flanquette. De ma main droite je caressais ses seins, titillant leurs pointes sombres et tendues et de ma main gauche je faisais tourner son clito en variant la pression et le rythme. Elle s'était tournée vers moi et me regardait intensément. D'une voix rauque et un peu essoufflée elle dit :
- Hummm ! tu vas encore me faire jouir… je veux te voir quand je prendrai mon pied… je te sens bien… c'est génial… oui, ouiii, défonce moi… j'adore sentir ta queue taper au fond de ma chatte… ouiii… encore… ouiii… plus fort…. aaaaaah … ouiiiiiii !"
Ses spasmes de plaisir m'écrasaient la verge bloquant la montée de mon sperme. Me repoussant brusquement elle s'assit dans le fauteuil et me tenant les couilles se mit à me sucer frénétiquement. Quelques poignées de secondes suffirent pour que je libère une belle éjaculation dans sa bouche gourmande. Elle avala jusqu'à la dernière goutte et me suça consciencieusement pour nettoyer mon membre. Puis plantant son regard dans le mien elle dit :
- C'est bon. En plus maintenant je pourrais me souvenir de ton goût… Merde ! Quand je pense que je vais devoir attendre jusqu'en février…
Elle se leva précipitamment et me dit :
- Attend ! je veux garder des souvenirs, je vais te photographier…"
Elle alla jusqu'au buffet en ondulant de la croupe et revint, un petit appareil numérique à la main. Malgré ses quarante six ans elle avait beaucoup d'allure et son air naturel la rendait encore plus attirante… Elle se pencha sur mon membre qui commençait à mollir et se remit à le sucer. Comme je protestais, demandant un peu de répit elle me répondit d'un air innocent que c'était juste pour la photo…
Sa manœuvre me redonnant suffisamment de vigueur à son goût, elle fit quelques gros plans de mon sexe puis me photographia debout puis assis dans le fauteuil.
- Surtout n'oublies pas de me laisser ta nouvelle adresse, je te les enverrais.
Je lui ai pris l'appareil des mains en lui disant que j'allais faire des photos d'elle qu'elle m'enverrait en même temps…
Je la fis asseoir sur la table les pieds posés sur le plateau, les jambes à peine écartée et fis un gros plan de sa vulve mouillée. On aurait dit une orchidée. Je fis quelques portraits avec des expressions différentes. Puis la photographiais dans plusieurs poses sans oublier de prendre son joli cul, jambes serrées puis jambes écartées. D'elle-même elle s'installa dans le fauteuil les jambes par-dessus les bras du siège et caressant sa chatte elle me dit en me fixant bien dans les yeux :
- Prends moi comme ça, ainsi tu sauras ce que je fais en pensant à toi…"
Au moment où je déclenchais la sonnerie du téléphone retentit. Elle décrocha le combiné posé près d'elle, parla quelque secondes, raccrocha et me dit :
- Zut ! C'est ma fille qui arrive. J'aurais bien voulu te redonner mon petit trou avant que tu partes mais on a vraiment plus le temps…"
Elle se releva et me serrant contre elle de toutes ses forces, me donna un baiser torride. Je me rhabillais rapidement et gagnais l'entrée. Elle me suivit toujours nue et lorsque je l'embrassais elle posa mes mains sur ses fesse et me dit en collant son ventre contre moi :
- Je suis complètement folle. Prend moi encore là, contre la porte.
Je refusais car sa fille n'allait pas tarder et j'étais arrivé à la limite de mes possibilités. Elle prit ma main droite et la mettant sur sa vulve elle dit d'une voix plaintive :
- Si prend moi encore, tu vois que c'est vrai, je mouille à nouveau… tu es un démon… je veux encore te sentir…
Elle disait vrai, sa chatte ruisselait encore une fois. Je l'embrassais et ouvris la porte en passant la main dans mon dos. Je sortis par l'entrebâillement et lui dis :
- Je laisserai une carte de visite avec mon adresse dans la boîte à lettres.
A peine avais je dégringolé les quatre étages que je vis Josy sa fille garer sa voiture sur le parking de l'immeuble. Je me dirigeais vers l'escalier de mon père comme si je n'avais rien vu et me retournais discrètement une fois arrivé. Sa fille était sa copie conforme avec une vingtaine d'années de moins. Je me dis que si elle avait le même tempérament ça ne devait pas être triste…
Je remontais chez mon père plus que rêveur. J'avais baisé avec les mères de deux de mes vieux copains, et je n'aurais jamais pensé que la mère d'Éric fantasmait sur moi depuis plusieurs années. Ceci dit j'étais encore à la veille de m'en plaindre… je me couchais assez tôt ce soir là prétextant qu'il me serait difficile de dormir dans le train.

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Texte coquin : Léa
Histoire sexe : Une rose rouge
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