Léa, ma belle-fille 2
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Léa, ma belle-fille 2
Léa devient une belle femme délurée
Les vitres se sont couvertes de buée. Peu à peu, nos respirations reprennent leur rythme normal. J’attrape à nouveau la bouteille de champagne, que nous finissons de vider en nous passant le goulot. Avant qu’elle n’ait l’idée lubrique de s’en servir je vais la ranger à la cuisine.
Léa veut se doucher et je lui refuse.
« Mais je pue ! Je sens mauvais ! Je transpire !
Non tu ne pues pas, tu sens le foutre et l’amour ! Tu es belle comme ça et j’ai envie de te lécher sur tout le corps pour te nettoyer et m’abreuver à ta sueur. S’il te plaît ! reste encore un peu comme ça ! J’adore ton odeur de femelle assouvie !
ça tu peux le dire ! Tu es un sacré baiseur beau-papa ! Tu m’as tuée ! C’est toi qui as dix huit ans !
Heureusement pour toi que non, car je t’aurais peut-être gâchée en te baisant mal. Il y en a eu tellement comme ça !
Je dois dire que tu ne m’as pas loupée ! C’est terrible ! J’ai eu l’impression de jouir en continu ! Jamais je n’avais senti ça !
Tu es encore jeune !
Je sais ce que ressentait maman l’autre jour ! C’est énorme !
Arrête de parler de ça !
C’est toi qui as honte ? Je rigole ! Non, mais ce n’est pas banal. J’ai vu et même j’ai regardé ma mère se faire baiser, j’ai aimé, et maintenant c’est moi qui suis à sa place ! J’étais jalouse d’elle, maintenant je la comprends. Vous faites un très joli couple et elle a de la chance de t’avoir trouvé ! Et moi aussi pour l’occasion. C’est pour ça que l’on arrêtera. Je serais trop malheureuse de provoquer votre séparation ! En attendant mon chéri, tu as jusqu’à samedi pour m’en mettre partout ! Je te rappelle que j’ai un deuxième pucelage à faire sauter ! »C’est en riant, serrés l’un contre l’autre que nous gagnons la chambre où on s’écroule sur le lit. Léa s’endort aussitôt comme une masse. Il faut dire qu’elle a donné la petite. Pour ma part, je n’ai pas sommeil, aussi j’en profite pour admirer ses courbes voluptueuses, toujours « vêtue » de ses bas, que je retire ainsi que ses chaussures. Je n’ai pas joui lors de la levrette et la petite pilule fait toujours son effet, aussi je bande encore.
Je n’en reviens pas de la transformation de Léa en quelques mois ! Bien sûr, nos activités l’ont sûrement fait mûrir plus vite que d’autres filles de son âge, parallèlement, son corps s’est modifié. Elle est devenue femme avant ce soir. Une belle et jeune femme, pleine de vie et qui sera une bonne maîtresse aimant le sexe.
Je l’ai connue petite fille, adolescente perturbée, elle est aujourd’hui, j’espère un peu grâce à moi même si la manière n’est pas très… recommandable, une beauté qui va faire chavirer bien des cœurs, mais une beauté avec la tête sur les épaules, car sa transformation physique a été complétée par une prise de conscience qui a rejailli sur ses études avec des résultats très satisfaisants.
Notre aventure va se terminer de la meilleure des manières. En plus, nous auront des souvenirs secrets intenses pour le restant de nos jours. Un lien indéfectible s’est créé entre nous et rien ne pourra le briser.
Je me suis installé dans le fauteuil à côté du lit. Tout en admirant son corps luisant, je me branle tranquillement, maintenant mon érection. La petite est étalée, un sourire inconscient se dessine sur ses lèvres. Léa se tourne et ce sont maintenant ses fesses qu’elle présente à ma vue. Deux jolies fossettes creusent le bas du dos. Dans cette position, sa silhouette est magnifique, son cul ainsi exposé et cambré, met en évidence ses longues jambes. La petite a bien grandi ! En haut des jambes dans la fourche de ses cuisses, se devinent les lèvres de son sexe. Un beau petit abricot dont les lèvres sont encore gonflées après avoir été pénétrées par leur première queue.
Sa respiration est calme et régulière, sa peau encore couverte d’humidité. Son odeur, arrive à moi ce qui, en plus de la vision de son corps, ne fait rien pour me calmer. Ah ! Elle bouge à nouveau. Elle est étalée sur le ventre, m’offrant involontairement son dos, la cambrure de ses fesses et ses jambes. Elle a replié un bras et posé la tête dessus, son visage tourné vers moi, les longs cheveux blonds étalés le cachent. En se tournant elle s’est éloignée du bord du lit près duquel je me trouve, mais le tableau est charmant.
« Eh bien mon cochon ! Tu n’en a pas encore assez ? » Sous les mèches blondes je ne voyais pas son regard, mais la maligne s’était réveillée et m’observaitTu es si belle !
Ne tombes pas amoureux quand même !
Je ne suis pas amoureux. Je suis ému qu’une aussi jolie et jeune fille que toi, me trouve à son goût et que nous partagions ces moments de plaisir.
Tu es peut-être vieux, mais tu bandes comme un jeune et ta bite est belle ! En plus tu es mon beau-père ce qui est assez… piquant ! Quand je t’ai vu avec maman, j’ai décidé que tu serai mon premier amant.
Tu ne t’es pas demandé si je pouvais être d’accord ?
Jusque là je ne m’occupais que de ta queue, qui seule m’intéressais. Avec ta langue et tes doigts bien sûr. Mais c’était si beau de vous voir faire l’amour, que j’ai aussitôt eu l’envie de faire pareil. Quel autre homme pourrait me rendre heureuse ? J’ai vu comme tu étais attentif au plaisir de maman.
Je faisais attention, car je savais que tu observais.
Salaud !
Non, pas salaud. Je voulais que tu vois ce que c’est de faire l’amour. Il faut de la tendresse, de l’attention l’un pour l’autre, rechercher d’abord le plaisir de l’autre pour prendre le sien encore plus fort.
C’était très beau, je te l’ai dis. ça m’a donné envie de sentir ça ! Viens ici, viens baiser ta petite cochonne de belle-fille ! Fais-moi jouir encore... Nooon ! » J’ai plongé mon visage sur sa chatte encore pleine de son jus et du mien mélangé. Je passe ensuite sur son périnée pour atteindre son anus. « Tu es fou ! C’est sale !
Je t’ai déjà dis que rien ou presque n’est sale dans le sexe, à part les excréments, je lèche déjà ta moule…Mais… maintenant il y a aussi ton… sperme !
Toi tu l’avales bien.
C’est… C’est vrai ! »Je replonge dans la chatte gluante. Son clito réagit très vite et elle me supplie de la prendre à nouveau. Je varie un peu en me redressant et lui demande de guider elle-même ma queue dans son ventre, ce qui l’amuse beaucoup.
Je varie aussi les positions, lui relevant les jambes. La souplesse de la jeunesse sportive ! Ses genoux encadrent son visage mettant en avant tout son bas ventre. Enfin je la tourne sur le côté et la prend par derrière à la cuillère. Une position qu’elle apprécie particulièrement. Son vagin suinte beaucoup de cyprine. Je retarde au maximum son orgasme, tout en travaillant ses seins de plus en plus sensibles et son clito qui gonfle sous mes doigts. Plusieurs fois, elle est à deux doigts de partir, mais je bloque tout mouvement. Elle me supplie, crie, implore « Fais moi jouir salaud ! » Son corps rougi se couvre de sueur. Je la tiens bien lorsqu’elle devient hystérique, enfin je libère son orgasme monumental. Alors que j’éjacule au fond de sa matrice, sous mes doigts, je sens alors un jet puissant jaillir, qui inonde ma main et le drap.
Quelques heures après son premier rapport sexuel, Léa est devenue une femme fontaine. On dit que toutes les femmes ont cette capacité, mais que peu y parviennent. Léa est une exception ! Alors que peu à peu nous redescendons sur terre, je la sens qui sanglote. Je tourne sa tête et découvre son visage baigné de larmes. Je la calme petit à petit et lorsque enfin c’est terminé, elle marmonne :« Je suis désolée ! Pardon ! J’ai fais pipi ! Mais c’est ta faute aussi ! Pourquoi as-tu attendu autant pour me laisser jouir ? J’ai honte ! Que vas-tu penser de moi ? Je suis une petite fille qui fait pipi au lit !
Mais non ma belle ! Au contraire ! Tu viens de jouir abondamment, comme peu de femme le font ! Tu es une femme fontaine, qui jouit en éjaculant ! C’est un merveilleux cadeau pour un homme, goûte ! » Je lui donne alors mes doigts à lécher, sur lesquels elle retrouve son jus intime. Toute étonnée, elle constate elle-même la véracité de mes dires.
Mais… Comment ça se fait ?
Quand une femme jouit fort comme tu viens de le faire, elle atteint un tel niveau que tous les blocages s’effacent. Elle se libère totalement, ne se retient plus et son corps réagit naturellement. Il me tarde que tu fasses la même chose quand je te lécherai, que je puisse m’abreuver à ta source merveilleuse !
Tu es gentil ! Je savais que tu serais un bon professeur ! »Je l’embrasse, puis lèche son corps pour finir sur sa chatte encore noyée de cyprine dont je me régale. Nous sombrons ensuite tous les deux dans un sommeil réparateur profond.
Au matin, le temps est gris, aussi, nous restons dans le chalet à nous cajoler, nous sucer, nous lécher. Il n’y a plus de différence d’âge. Nous sommes deux gamins qui nous amusons avec notre corps sans réserve. A un moment même, on pisse chacun notre tour aux toilettes, alors que l’autre regarde cet acte intime. J’explique à Léa que certains aiment les jeux « humides », se pissent dessus, voire quelques uns boivent l’urine. Je lui suggère que plus tard, quand elle sera plus âgée, elle le fasse avec ses amants.
« Tu en veux pas le faire avec moi ?
Tu es encore trop jeune et inexpérimentée pour tester cela. Tu as tellement de choses à découvrir. Laisse-toi un peu de temps. Il faut se laisser des nouvelles aventures à vivre ! Se garder des nouvelles choses à faire !
On n’a qu’une semaine et avec toi, j’ai envie de tout savoir !
Maintenant, tu sais que ça existe. Si ça ne te dégoûte pas à priori, tu essaieras.
Donc tu ne veux pas !
Ce n’est pas ça, mais je ne veux pas que tu sois blasée trop vite.
Tu sais quand même que tu as au moins une chose à faire avec moi ?
Une chose ?
Oui ! Je t’ai dis que tu auras mes deux pucelages. Il t’en reste un à faire sauter ! »Cette petite est infernale ! Elle parle de se faire sodomiser comme si c’était naturel, normal, évident !
A midi, ma femme nous appelle pour prendre des nouvelles. Nous sommes sur le lit, nus côte à côte et je mets le haut parleur.
- « Alors ? Ça se passe bien tous les deux ?
- Oui ! Léa est très heureuse. Elle est à côté de moi – je ne dis pas sa tenue – et elle t’écoute- Oh oui maman ! On s’occupe l’un de l’autre. On se réparti les tâches. Lui, celles des hommes, moi celles des femmes ! – Je m’étrangle - Hier on a skié comme des fous c’était génial ! C’est un très bon professeur ! … Pour tout ! – elle attrape ma bite qui se raidit aussitôt.
- Il fait la vaisselle aussi ?
- Oui… entre autre. – elle m’embrasse – En tous cas, ce qu’il fait, il le fait bien. – Elle attrape ma main et la pose sur son pubis- Vous avez skié ce matin ?
- Non, interviens-je, après m’être repris. Il y a du brouillard après la neige mais si ça se lève et on y va après manger.
- Profitez-en bien tous les deux. La semaine va vite passer !
- A qui le dis-tu ! Bisous ! »Je raccroche et le bisou, c’est nous qui le partageons.
Direction la douche. Léa prépare le repas, je change les draps. Heureusement, le loueur prudent avait mit une alèse ! Je lave aussi les sales en pensant que Léa, risque maintenant d’inonder les suivants.
Sous un soleil éclatant nous skions tout l’après-midi. Là aussi je suis le professeur et Léa suit mes conseils à la lettre. Elle est douée et appliquée et je la félicite souvent et avec raison, sur ses progrès. La coquine me provoque en faisant ressortir ses fesses dès que possible. « C’est pour que tu ne penses qu’à mon cul que tu vas combler » glisse-t-elle en riant.
Il y a peu de monde dans la station, aussi nous en profitons au maximum. Dans les œufs, nous sommes souvent seuls et Léa se pelotonne contre moi. On s’embrasse, heureux de ces moments d’intimité. Sur les pistes, ou quand nous ne sommes pas seuls, aucun geste déplacé.
Un jeune couple, la trentaine environ, se retrouve avec nous dans la cabine au cours d’une montée, nous prend pour père et fille.
« C’est mon grand-père ! Leur dit LéaVous êtes en forme monsieur ! Je vous ai vu skier, vous vous débrouillez très bien ! Me dit l’homme.
Oh oui, il est très en forme, pour son âge. Rajoute Léa en riant de son sous-entendu. Il fait la pige à beaucoup de jeunes.
Vous avez de la chance d’avoir un tel professeur. Peut-on se joindre à vous ? Demande la femme qui a envie d’être copine avec cette jolie jeune fille qu’est Léa.
Voyons ! Laisse-les tranquilles, rétorque son mari. Ils préfèrent sûrement rester seuls !
Pas de problème. Dis-je. Mais je vous averti. On ne fait pas beaucoup de pauses et on essaye de skier au maximum»Bien sûr, notre « intimité » en souffre. Je vois Léa faire un peu la tête, ce qui m’amuse. J’ai fais exprès d’immiscer le couple dans le notre pour lui montrer que notre position n’est pas très « normale » et aussi pour la faire un peu enrager. Elle est très douée et naturellement, le couple la laisse suivre en premier derrière moi qui ouvre la piste. Lors des arrêts, avant qu’ils ne nous rejoignent, on se retrouve quelques secondes tous les deux seuls.
« Salaud ! Tu me délaisse déjà !
Oui ! Mais ce soir tu seras seule. Tu pourras en profiter, coquine !
T’as intérêt à assurer mon vieux !
Tu risque aussi d’être fatiguée ! C’est dur de suivre ! »En fin de journée, le couple nous offre à boire pour nous remercier en s’excusant de s’être « imposé ».
« Il n’y a pas de mal ! Demain, si vous voulez, on va faire la grande combe. Si vous avez envie de vous joindre à nous, pas de problème.
C’est un peu trop difficile pour nous, mais amusez vous bien ! » Ajoute l’homme qui avait du mal à suivre. La jeune femme, charmante au demeurant, serait bien restée avec nous, mais elle s’incline.
Nous les quittons et rentrons au chalet. Après la douche prise individuellement, je propose à Léa d’aller au sauna pour récupérer. En alternant cabine et douche froide, les muscles se détendent. Nous dînons ensuite dans une pizzeria avant de retrouver notre nid douillet. Je téléphone à ma femme pour lui raconter notre après midi en insistant bien sûr sur la présence du couple qui nous accompagnait. Elle me souhaite bonne nuit « Embrasse la petite » Léa, en effet était au téléphone avec une copine pour lui raconter son séjour. Elle lance un « bisous maman ! » quand je lui transmets. Voyant que j’ai fini la conversation avec sa mère, elle écourte la sienne.
Elle veut aller tout de suite au lit, mais je préfère rester au salon.
« Il ne faut pas installer la routine dans un couple et il n’y a pas que la chambre. On peut faire l’amour dans toutes les pièces, et même dehors.
Ici il fait un peu froid dehors ! Mais c’est marrant, tu ne dis plus baiser, mais faire l’amour ! Tu changes ?
Non, mais, on n’est tout de même pas dans une relation uniquement de cul, malgré tout et c’est plus joli de faire l’amour que de baiser sauvagement. On a malgré tout quelques rapports affectifs entre nous, même si ce n’est pas de l’amour !
Oui, je t’aime bien tu sais.
ça n’a pas toujours été le cas ! N’est-ce pas ?
Non ! Je te rappelle que tu es arrivé dans ma vie sans qu’on ne me demande rien. C’est vrai, au début, je ne t’aimais pas, tu étais un étranger, mais petit à petit, j’ai changé d’avis.
Tu as grandi et compris que je ne voulais pas prendre la place de ton père.
Et c’est comme ça que tu as pris la place entre mes cuisses !
Dis-donc, toi ! Ne sois pas vulgaire !
C’est toi qui m’as appris mon beau-papa chéri ! »Elle se jette dans mes bras. Debout au milieu de la pièce, on s’enlace, on s’embrasse, on se caresse. Léa saute en l’air et accrochée à mon cou, entoure ma taille de ses jambes, ouverte et impudique. On arrive à se joindre, ma bite tendue trouve sa fente. Je dois m’aider de la main pour la pénétrer. Elle se laisse descendre et s’embroche seule avec un grand sourire.
« Tu sais, à mon âge, je ne vais pas pouvoir te soutenir longtemps !
Dis que je suis lourde aussi !
Ce n’est pas ça, mais je vais fatiguer et ma queue ne sera plus non plus très performante.
Reste un peu comme ça, je vais me baiser toute seule sur ta queue, ensuite tu pourras t’asseoir.
Tu es une vraie coquine, à ton âge ! Tu apprends vite !
J’ai un bon professeur ! Avec toi, je sais que je peux me permettre ce que je n’oserais pas avec un autre. Tu ne me jugeras pas.
Tu as raison ! Profite ! Dévergonde-toi, lâche-toi ! C’est comme ça que tu deviendras une bonne amante. »Aidée de ses bras et tirant sur ses cuisses, heureusement qu’elle est sportive, Léa se concentre sur son plaisir. N’ayant pas à bouger, je résiste longtemps. Je n’ai qu’à tenir l’équilibre. J’ai réussi à me déplacer jusqu’au mur, ce qui facilite encore ma résistance. Léa monte et descend en cadence tout en m’embrassant passionnément. Cette fille est une bombe, sous ses airs de jeune fille bien élevée. Je sens bientôt la chaleur et le parfum de son corps qui montent provenant autant de son plaisir qui vient, que de l’effort fourni. Mes jambes et mes reins ont du mal à tenir mais sentant les prémices de son orgasme, je serre les dents et bien m’en prend car ma petite maîtresse jouit tout à coup en criant.
Heureusement, le canapé n’est pas loin et je réussis à la porter jusqu’à lui pour m’asseoir, Léa toujours empalée sur mon sexe. A peine remise, elle entreprend une nouvelle chevauchée. Véritablement en chaleur, elle me communique sa fièvre et nous ruisselons tous les deux. Elle jouit à nouveau en cachant son visage dans mon cou.
J’ai envie moi aussi de prendre mon pied. Je la retourne à genoux sur le siège, et debout derrière elle, je pénètre son antre sans coup férir. Aussitôt, la tête sur le dossier posée entre ses bras, elle repart vers les sommets de la jouissance. La répétition des orgasmes en provoque un énorme qui la fait gicler abondamment sur le canapé. J’accélère alors et jouis dans son ventre, la rejoignant dans la jouissance.
Heureusement le siège est en skaï et nous rirons très fort lorsque nous le nettoierons plus tard. Nous n’avions pas pris garde et s’il avait été en tissu ….
Après une toilette sommaire, Léa découvre qu’elle aime « sentir le fauve » pour prolonger nos moments de folie, nous nous retrouvons au lit. C’est assez rigolo, car habituellement elle est plutôt du style « toujours propre » n’hésitant pas à se doucher plusieurs fois par jour. Comme quoi, on change vite d’idée et ce qui paraissait malpropre et repoussant, devient érotique et excitant« La semaine prochaine, lorsque je serai à nouveau célibataire, je reprendrai mes habitudes, mais tu n’auras plus le droit de me toucher, de me sentir, même de me voir nue, ou alors dans un éclair quand je voudrai. Je vais t’en faire baver mon beau-papa chéri ! Pauvre maman, tu vas la baiser en pensant à moi qui te serai à nouveau interdite ! Alors profites-en au maximum espèce de vieux dépravé ! Beau-père incestueux ! Suborneur de jeune fille vierge !
Eh bien dis-donc ! Tu as dû encore lire sur des sites pornographiques toi ! Tu as pris du vocabulaire ! Je plains déjà tes amants. Tu vas les faire devenir fous ! Mais ne t’inquiète pas pour moi. Je serai finalement heureux que notre histoire se termine sans avoir fait de dégâts autour de nous. Je garderai toujours ce souvenir gravé en moi. Espèce de petite pute vicieuse, belle-fille incestueuse qui se fait baiser par un vieux !
Sérieusement. Tu me fais un cadeau merveilleux ! Mais je saurai être raisonnable. Enfin, ne crois pas que j’ai besoin de penser à toi pour baiser ta mère. J’adore faire l’amour avec elle ! »Lovés l’un contre l’autre, je respire son odeur, sous les bras, entre ses cuisses ou simplement dans son cou. C’est particulièrement excitant et je rebande bientôt. Léa sent ma bite raide contre ses fesses, mais ne fait rien pour me faciliter la tâche, au contraire !
« Tu es insatiable ! Je peux me reposer un peu ?
Dans une semaine, je ne pourrai plus te baiser, alors il faut que j’en profite. Tu m’excites. Ton parfum, ton odeur de femelle m’excite, ta jeunesse m’excite. Tu es ma belle-fille, et tu me fais bander ! Si tu es fatiguée, laisse-moi me branler entre tes cuisses.
Tu es fou ? Tu voudrais être le seul à en profiter ? Espèce de salaud ! Moi aussi je veux que tu me baises ! Si je résiste c’est pour te rendre fou et que tu ais envie de me prendre encore plus fort ! Vas-y vieux salaud ! Baise ta belle fille ! Prend-moi les seins et torture les bouts ! Fais-moi mal ! »J’écarte ses fesses et sans difficulté, je la pénètre tellement elle est mouillée. Dans cette position, ma bite est serrée entre les parois étroites de son vagin juvénile. Je prends mon temps, ma bite baigne dans son jus mélangé à mon sperme. Le surplus coule sur mes boules et se perd dans les draps. En même temps, mes mains agrippent ses seins, entre mes doigts je masse les globes bien fermes. Je me rends compte alors des atteintes du temps. Si Léa à une poitrine moins développée que sa mère, la chair en est bien plus ferme. Elle fera le régal des hommes… ou des femmes qui les malaxeront. Je travaille ses tétons entre le pouce et l’index. La aussi, l’avantage est à la fille. Ses tétons sont plus longs et plus raides que ceux de ma femme. Ils sont aussi plus sensibles. En les roulant entre deux doigts, je fais monter son plaisir. Elle feule bientôt sous l’effet conjugué de ma queue dans sa chatte et de mes doigts sur ses seins. Son corps est brûlant contre le mien. Elle halète, se crispe et son vagin se contracte lorsqu’elle jouit.
Je n’ai pas joui, vu ce que j’ai déjà donné. Je continue donc à la prendre. Elle s’est repliée en position de fœtus, ce qui me permet de caresser aussi son dos et ses fesses, d’admirer les courbes de son corps juvénile, prometteur d’un silhouette de rêve.
La petite a beaucoup donné et peu à peu elle sombre dans le sommeil alors que je continue de la posséder lentement. Malgré tout le plaisir que je peux avoir, sa somnolence et sa passivité viennent à bout de ma résistance. Je débande lentement et sombre à mon tour dans un sommeil profond.
Au matin, nous décidons, malgré le beau temps, de ne pas skier. Nous prolongeons le plaisir d’être ensemble, nus, d’abord au lit puis en déjeunant et dans le salon. Chaque fois que l’un passe à proximité, une main cherche à caresser, qui un sein, qui une fesse, qui une bite molle ou parfois raide. On se cherche, on s’embrasse, on se provoque en riant. Tout est prétexte à une rapide étreinte. Au coin de la table, à la cuisine, penchée sur le dossier du canapé, Léa aime se faire pénétrer, même quelques secondes. Plus ça va d’ailleurs, plus elle jouit rapidement. Quand elle s’est assise au bord de la table, jambes écartées, dans une position obscène en se caressant face à moi, je n’ai eu que quelques secondes avant qu’elle ne gicle son plaisir, inondant mon ventre et mes jambes.
Elle adore me « tailler des pipes » comme elle dit. Comme je ne jouis pas lors de ces coïts rapides, elle aime m’asseoir dans le sofa et venir à genoux, « pendre la tétée » Elle est devenue une experte de la fellation depuis ses débuts. Il faut dire que nous avons beaucoup « travaillé » le dimanche matin. Léa me connaît maintenant et sait comment m’amener au plaisir de façon quasi-infaillible. Sa science de la pipe en fera une sacrée cochonne appréciée des hommes. Pour l’instant, son expérience se limite à moi et je lui ai souvent dit que tous les hommes ne réagissent pas de la même façon, mais elle est si douée et si attentive qu’elle trouvera sans nul doute la meilleure façon de donner du plaisir à son homme du moment.
Elle adore par exemple me « tenir par les couilles » tout en me pompant. Elle alterne les caresses de la langue sur et autour du gland, avec une gorge profonde dont elle a déjà acquit la technique. Lorsqu’elle sent venir le sperme, elle lève les yeux et aime observer mon attitude au moment de jouir.
Ce matin là elle me « vide » deux fois. Quand je lui rappelle que je ne suis plus très jeune et que si elle veut que je sois opérationnel le soir, elle doit m’économiser, Elle rigole et me traite de « pineur » qui bande sur commande dès qu’il voit son petit cul ou ses seins, ce en quoi elle n’a pas tord. Je lui cache toutefois que j’ai pris soin de faire un stock de pilules de Cialys.
L’après-midi, après tout nous sommes là officiellement pour ça, nous partons sur les pistes. Comme l’un et l’autre adorons cette activité, on ne va pas s’en priver et le bronzage que nous ramènerons le prouvera. Nous effectuons la grande randonnée prévue. Léa suit mes conseils à la lettre « Tu es mon professeur personnel jour et nuit ! » Lance-t-elle en riant.
La balade de la grande combe est superbe et il y a peu de monde. Léa fait des progrès et prend plaisir à skier avec moi. Nous allons de plus en plus vite y compris sur des pentes plus difficiles. J’en profite pour quitter un peu la piste pour passer dans les bois pour trouver de la neige vierge. Au milieu des arbres, nous faisons des petites pauses pour nous embrasser et nous caresser à l’abri des regards.
Au cours d’une remontée, alors que nous sommes seuls dans la cabine, la coquine entreprend de me sucer, ce qui n’est pas facile. Engoncé dans mes vêtements et chaussures de ski, je ne peux que sortir ma bite à travers la braguette de la combinaison. Malgré l’inconfort, sa fellation est divine, même si elle ne la mène pas au bout. Ce n’est pas qu’elle rechigne à avaler mon sperme, mais en riant elle se relève et déclare : « Je ne vais pas te vider, il faut que tu gardes des forces. Ce soir, j’ai envie que tu m’encules ! »Cette perspective ne fait rien pour me calmer. Heureusement, mon érection est cachée sous l’épais blouson à la descente de l’œuf.
Toute l’après-midi, Léa me provoque, faisant ressortir ses fesses à la moindre occasion en se penchant pour cambrer ses fesses. « Tu vois mon cul, beau-papa ? Il va falloir que tu t’en occupes tout à l’heure ! … Elles te plaisent mes fesses ? Elles attendent ta queue !... Les provocations ne manquent pas et que dire de ses mains qui ne manquent jamais de tâter mon entrejambes, ou de ses œillades assassines. Cette petite salope s’amuse à m’exciter en permanence, faisant semblant de s’échapper quand je m’approche trop.
A la fermeture des pistes, nous croisons le couple de la veille qui nous demande si nous avons bien profité. Ce que nous confirmons, sans préciser de quelle manière. Léa, mutine, leur demande de nous prendre en photo tous les deux. Nous prenons plusieurs poses, dont certaines très proches. La dame nous félicite et nous trouve charmants. « Je vais les envoyer à maman ! » déclare Léa.
Une fois seuls, elle précise que ce sera un prétexte pour avoir un souvenir de cette semaine magique et qu’elle me les envoie aussi. « C’est vrai que l’on est un peu trop habillés, mais on saura tous les deux, ce que cela cache.
En regardant les photos au chalet, je trouve qu’il y en a une qui est très « intime », nos lèvres sont très proches et l’attitude franchement sensuelle. On ne s’est pas rendu compte de la chose sur le moment. Un regard aiguisé, pourrait soupçonner notre relation.
« Elle est très jolie. Pourquoi ne pas la garder ? Plaide Léa.
Tout le monde n’a pas l’esprit tordu, mais il suffit d’une seule personne pour introduire un doute.
Mais après tout, tu es mon second papa et c’est normal que je t’embrasse !
Avec ce regard énamouré ?
Tu trouves ?
Oui ! C’est très flatteur mais… S’il te plaît, supprime-la !
Ok ! Je vais la supprimer. Bon, les autres, on peut les envoyer à maman ?
Oui. Envoie-les-moi aussi. »
Au retour de notre séjour, en entrant au salon, on va se retrouver au salon face à l’une des photos que sa mère a déjà agrandie, imprimée en grand et mise sous cadre. Elle l’a posée bien en évidence sur le bahut. On est restés scotchés quelques secondes. Estomaqués. Pour ma part, je « voyais » clairement notre complicité. J’étais tellement surpris que j’ai cru me trahir, d’autant que Léa était comme moi. Le regard que nous avons échangé alors était chargé autant de stupeur que de panique. Heureusement, ma femme, loin de se douter de la raison de notre mutisme, et toute heureuse de notre stupéfaction, lance :- « J’adore cette photo ! Vous êtes très mignons la dessus. Bien bronzés, heureux d’être tous les deux ! Je suis très heureuse que vous vous entendiez comme ça maintenant ! »Bien sûr, nous avions décidé d’arrêter là notre relation et nous nous y sommes tenus depuis, mais je suis sûr qu’à ce moment là, nous devions être rouge cramoisi ! Heureusement notre bronzage atténuait cela. Nous avons évité un bon moment de nous regarder et je sentais la chaleur en même temps que les battements intenses de mon cœur. Je suis sûr qu’il en était de même pour Léa. Nous étions comme à deux doigts d’une catastrophe qui aurait ruiné notre vie et celle de celle que nous aimons tous les deux. Je tremblais, Léa tremblait, à la limite des pleurs. Ma femme elle, continuait à babiller, inconsciente du drame qui se jouait. J’avais l’impression qu’elle allait ouvrir les yeux ! Se rendre compte que nous n’étions plus naturels, que quelque chose de grave s’était passé, mais non. Toute heureuse de nous retrouver. De nous voir bronzés elle n’a pas eu l’ombre d’un doute. Léa, et c’est sûrement la force des femmes, s’est reprise la première et a détourné la conversation sur le couple qui avait pris la photo et sur les heures de ski « super extras » qu’elle avait passées grâce à moi.
Ce jour là donc, après l’envoi des photos, j’ai appelé aussitôt ma femme pour la prévenir et lui raconter la journée. Bien sûr, je cache l’activité du matin et fais comme si nous avions fait notre balade de la grande combe, depuis le matin. Je connais assez celle-ci pour « inventer » plusieurs itinéraires différents. J’insiste sur le fait que maintenant Léa se débrouille bien et n’hésite plus à faire du hors piste.
« Tu es un bon prof ! Je suis contente que vous passiez un bon séjour ! Vous devez être fatigués !
Moi, ça va mais la petite est lessivée. Elle est partie sous la douche et je crois qu’elle va vite dormir !
Alors bonne nuit à tous les deux ! Tu me manques ! Je vous embrasse !» Si elle savait !
Je rejoins Léa sous la douche. Bien sûr elle me provoque et n’est satisfaite que lorsque je la prends debout sous le ruissellement de l’eau.
La petite ne perd pas le nord et me demande de la « préparer » pour sa première sodomie. Avec l’aide du tuyau de douche et du gel, je lui procure deux lavements légers. J’arrête l’eau dès qu’elle ressent la douleur du gonflement de son ventre. Je lui masse un peu, réduit le jet pour qu’elle soit bien pleine.
Elle rigole de son abdomen qui gonfle. « Je suis enceinte ! Tu m’as engrossée mon papa chéri ! » Bien sûr elle en rigole, mais c’est pour cacher son trouble lorsqu’elle doit se vider sur les toilettes voisines. Pour ne pas la gêner, je fais couler la douche afin de couvrir les bruits et je tourne le dos.
A la deuxième séance et m’interpelle :- « Cà te gêne de me voir faire ?
- Non. C’est plutôt pour ne pas te gêner à toi !
- Alors, je veux que tu me regardes ! Je veux avoir honte de ma position, du bruit et de l’odeur, mais j’ai envie de me montrer à toi pendant que je fais caca ! »Bien sûr, le spectacle de Léa déféquant nue devant moi, provoque une érection monumentale. L’odeur d’excréments est imperceptible, le premier lavement ayant bien vidé ses intestins. Il reste le bruit de cataracte quand elle se vide. Elle est émue et tente de le cacher. Rapidement elle termine. Je me penche pour l’embrasser alors qu’elle saisi ma queue dressée. Elle est attendrissante et a gardé l’innocence de l’adolescente qu’elle est encore alors que des femmes plus âgées n’oseront jamais se montrer ainsi devant leur amant.
« J’ai l’impression que ça t’as plut, beau-papa chéri. Je suis vicieuse n’est-ce pas ?
Tu es magnifique ! garde ta fraîcheur ! Fais attention tout de même. Si tu fais pareil avec un jeune amant, tu risques de le choquer !
N’aies crainte ! D’abord, je ne sais pas si je vais aimer me faire enculer. Ce n’est pas sûr que je recommence !
J’espère que je vais te faire aimer. Tu verras que tu jouiras aussi comme ça !
Maman, elle aime ?
Non ! Je ne l’ai jamais sodomisée. Elle refuse !
Eh bien ! Venge-toi sur la fille !
Non, je ne vais pas me venger. La question n’est pas là ! Je préfère que tu sois heureuse et je vais faire tout pour que tu aimes ! »Un dernier passage sous l’eau pour la nettoyer, puis direction la chambre. Je veux que nous soyons installés confortablement pour cette première. Je veux prendre mon temps et bien la préparer.
Léa se positionne à genoux sur le lit. Je cale des oreillers et coussins sous son ventre pour qu’elle soit décontractée au maximum, car je veux faire durer la préparation au maximum et qu’elle ne se fatigue pas. Offerte impudique, les fesses bien relevées, en attente. Sa croupe magnifique paraît encore plus large pour me recevoir.
Je commence par caresser ses fesses avant de plonger mon visage dans sa magnifique mappemonde. Ma langue s’attaque sur sa corolle fripée. Elle frémit, sa peau se granule. Je titille le petit œillet mauve du bout de la langue, pour le décontracter et je dois dire aussi pour mon plaisir personnel. J’adore lécher ce cul vierge. Je suis excité et l’abandon total de Léa ne fait rien pour calmer mes ardeurs. Je laisse aussi beaucoup de salive. Léa soupire et prend plaisir à cet anulingus. Elle se détend. D’un doigt, je force un peu le passage. Léa se crispe de ce premier contact mais sur mes conseils se relâche. J’ajoute du gel et mon doigt franchit la porte pour pénétrer les sphincters. Pour la première fois de sa vie, un corps étranger pénètre cet endroit secret En plusieurs fois, je m’enfonce totalement dans son anus. En tournant, j’assouplis sa cavité et j'entame des va et vient. Lorsque l’intromission est facile, je rajoute du gel, y compris à l’intérieur de son antre et immisce un deuxième doigt qui est très vite accepté par l’étroit conduit.
Léa se laisse faire, complètement confiante dans ce que je peux lui faire subir. Elle ronronne qu’en j’entame l’élargissement de sa corolle. Mes doigts coulissent maintenant sans problème, aussi j’en ajoute un troisième avec encore du gel. La pénétration devient plus difficile. Je lui conseille de pousser comme tout à l’heure quand elle se vidait. Tout de suite je me retrouve avalé. Je laisse un peu de répit le temps qu’elle s’habitue.
« Cà va ma chérie ?
O… Oui ! J’ai été surprise.
Tu as mal ?
Non, ça fait drôle de te sentir…. Là !
Je vais commencer à bouger. Mes trois doigts suffiront, en suite, ma bite rentrera toute seule ! »Je rajoute plusieurs fois du gel. Mes doigts coulissent maintenant facilement dans l’anus de Léa. Elle est ouverte, offerte, totalement en confiance. Il est temps maintenant de déflorer son anus. Mon cœur bat fort et je suppose celui de Léa aussi. Ayant retiré ma main, j’injecte une dernière lampée de gel j’en étale autour de l’anus bien ouvert maintenant. Je badigeonne ma queue et présente le gland à l’entrée de son cul.
« Tu es prête ? Maintenant je vais mettre ma bite. Je vais t’enculer ma chérie ! Tu m’arrêtes si tu as mal.
Oui ! Vas-y ! Je n’ai pas peur ! Mais fais lentement ! Je veux en profiter au maximum. Je sais que tu vas me faire du bien avec ta queue dans mon cul !»Cette petite est une merveille ! Elle me fait entièrement confiance. Il faut dire que je l’ai bien préparée et que nous en avions souvent parlé avant. Ça y est ! Je me positionne. De la main, je place mon gland sur l’orifice inviolé. Je pousse doucement ma bite au centre de la cible. Léa est détendue et c’est sans forcer que je passe se sphincters complètement détendus. Je déflore sa dernière virginité.
- « Ça va ? Tu n’as pas mal ?
Oh non ! C’est bon ! Vas-y ! Encule-moi ! Que c’est bon ce que tu me fais ! »
Je sors entièrement puis m’enfonce à nouveau. Je répète plusieurs fois l’opération. D’abord parce que c’est très agréable de sentir passer cette porte avec le gland. Que pour Léa aussi c’est très bon et que pour cette première sodomie, je veux que cela soit parfait, qu’elle n’ait que de bons souvenirs et qu’elle devienne adepte de cette pratique.
Peu à peu, je m’enfonce dans son rectum. Léa râle doucement, manifestant son plaisir. Quand mon ventre butte contre ses fesses, je m’immobilise.
-« Ça y est ma chérie ! Je suis au fond de toi ! Tu as mal ?
- Oh non ! Mais c’est gros ! Ça fait bizarre ! Laisse-moi m’habituer ! … Ça y est ! C’est trop bon ! Je suis une enculée ! Papounet c’est bon quand tu m’encules ! Vas-y maintenant, baise-moi ! Démonte–moi !»Alors j’entame la danse éternelle du mâle. Lentement tout d’abord, puis encouragé par ma belle, j’accélère mon piston.
Ma bite est bien serrée dans l’étroit conduit. Je demande à Léa de se caresser le clitoris en même temps, afin de faire monter son plaisir. Elle feule, gémit, grogne, puis éclate.
- « Oh oui ! C’est bon ! Je vais jouir… par le cul ! Continue ! Défonce-moi ! J’aime ça ! Vas-y mon chéri ! Viens ! Je veux ton jus dans mon cul ! Je suis une enculée ! Aime-moi ! Aime-moi ! Viiiieeeennnnnsss ! »J’ai retardé au maximum la montée de mon sperme, mais Léa en jouissant contracte ses sphincters et muscles internes puissants et en criant, j’éjacule dans son fondement. Je ralentis peu à peu pour prolonger le plaisir de la sodomie. Léa ronronne doucement. Son corps rougi par le plaisir, dégage un parfum subtil et aphrodisiaque. Abandonnée ainsi. La tête dans ses bras, les fesses hautes, Léa est splendide. Dire que cette beauté est ma belle-fille et que je viens de la sodomiser ! Cette vision m’électrise et je reprends aussitôt mes pénétrations. Léa soupire, puis s’abandonne à nouveau avant de monter en gamme et d’en redemander encore.
- « Oh oui salaud ! Encule-moi encore ! C’est bon ta bite dans mon cul ! J’adore ! Salaud ! Salaud ! Salaud ! Que c’est bon ! Oui, vas-y ! J’aime ta queue ! Que c’est bon de se faire enculer ! Vas-y ! Oui !!!!
Un deuxième orgasme nous terrasse. On s’écroule tous les deux, toujours emboîtés le temps que ma queue se rétracte. Je n’en reviens pas d’avoir ainsi sodomisé ma belle-fille. En deux jours, nous avons transgressé tant d’interdits !
Pour la laisser se reprendre et la libérer de mon poids, je roule sur le lit et m’étale pour moi aussi reprendre mon souffle. C’est alors qu’elle se tourne et plonge sur ma queue et l’avale alors qu’elle sort juste de son cul ! Je veux l’arrêter, mais elle repousse mon geste, se redresse pour lancer « Elle sent mon cul, mais c’est pas mauvais. J’ai lu que les grandes salopes font ça, alors je veux être une grande salope ! Elle replonge et suce, lèche à grands coups de langue.
Son traitement, bien sûr, fait que mon sexe ne mollit pas alors que je viens d’éjaculer deux fois ! Je suis bientôt opérationnel et Léa, grimpant sur moi, m’enjambe et s’empale sur mon vit dressé. Ce n’est que quand elle pose ses fesses sur mon ventre que je me rends compte, qu’elle l’a remis entre ses fesses. Mon sperme s’écoule alors sous l’effet des mouvements. Elle se relève et c’est dans sa chatte qu’elle l’enfile.
Elle alterne les pénétrations et jouit une dernière fois en se couchant sur moi, essoufflée et transpirante elle m’embrasse sauvagement.
« Ça fait drôle dans mon cul ! J’ai une impression de vide. Il va se refermer quand même ?
Ne t’inquiète pas ! Avant je vais te passer une pommade, car tu dois être irritée et avoir l’impression de vouloir aller à la selle.
C’est vrai ! Mais c’est agréable malgré tout. On dirait que ça me manque d’avoir ta bite dans mon cul.
Petite coquine vas ! »Après l’avoir mise à quatre pattes, je ne résiste pas au plaisir de lui lécher le cul. Elle glousse et me traite de vieux dégueulasse, puis apprécie la caresse. Ensuite, j’enduis son conduit et sa corolle de crème apaisante. Petit à petit, son trou se referme. Je lui fais passer un doigt dessus pour qu’elle se rende compte que la situation est redevenue normale.
Léa me remercie une nouvelle fois de lui avoir fait connaître cette pratique soit disant non naturelle. Elle n’a pas souffert contrairement à ses craintes et confirme qu’elle adore ça et que dorénavant elle n’hésitera pas à la pratiquer. Je lui conseille toutefois de le faire avec un partenaire habitué et prévenant.
« Avec toi, quoi !
Jusqu’à la fin de la semaine, oui. Je te rappelle notre deal !
Bien sûr mon beau-papa chéri ! Je vais te rendre à ma mère !
Mais tu ne m’as jamais pris à ta mère ! Je te rappelle ta petite séance dans le dressing !
Oui, mais à ce moment là tu ne me baisais pas !
D’accord ! Mais ça y ressemblait. Par contre dès samedi soir, ce sera fini ! »Dans la nuit, je suis réveillé par sa bouche qui a pris possession de ma queue. Je regarde Léa qui « joue » tranquillement. Elle ne cherche pas à me faire jouir, mais simplement à s’amuser. D’ailleurs quand elle se rend compte de mon réveil, elle ne change pas de rythme.
« J’aime sucer en fait. Te faire bander peu à peu. Tu sais que c’est la troisième fois que je le fais ? Les deux premières tu ne t’es pas réveillé, pourtant tu étais bien dur ! Quand j’arrête tu débandes, alors j’ai plaisir à reprendre la bite rétrécie et à la regonfler. J’adore !
Mais tu es une vraie…Salope ? Non, pas encore ! Mais je ne me pose pas de question. Je fais ce qui me fait envie.
Tu as bien raison ! Continue comme ça, tu prendras de plus en plus de plaisir.
Maintenant que tu es réveillé, j’ai envie…Comment veux-tu qu’on fasse ?
C’est toi le professeur.
D’accord, mais il est bien aussi d’avoir des idées.
Je voudrais… debout, face à la vitre !
On ouvre les volets ?
Oui ! Mais pas la lumière.
Tu as raison, quelqu’un pourrait se plaindre. Quel scandale ! Même s’il n’y a pas beaucoup de risque à cette heure.
On verra dehors ce sera chouette ! »Léa se lève et va se mettre contre la baie vitrée, les mains posées sur la vitre, jambes écartées, les fesses en arrière. Un vrai appel au sexe ! Je m’agenouille pour lécher sa fente et son petit trou. Je me régale de son suc qui coule déjà de sa chatte. Je la fais pencher un peu plus, me relève et présente ma bite sur son trou.
Je pénètre son antre. Bien serré dans cette chatte étroite, je pistonne Léa lentement, faisant ressortir ma queue pour mieux la replonger au fond de sa matrice.
« Tu te régales coquine ! Imagine qu’un homme nous observe depuis un des appartements en face !
Oh non ! C’est pas possible !
Je suis sur que ça t’excite.
Oui ! Non ! J’ai honte !
Tu es belle et personne ne nous connaît. Profite de ce fantasme, ça fait partie du plaisir »Il n’en faut pas plus pour Léa n’éclate dans un premier orgasme. Je m’arrête, pour le plaisir de sentir les parois de son vagin se contracter sur ma bite, puis quand cela se calme je recommence. Par trois fois, Léa jouit avant que ses jambes ne lâchent. Je la soutiens, mais elle me veut dans sa bouche. Elle se retourne, saisie ma queue et agenouillée, bouche ouverte, attend sa récompense. Cette petite est une diablesse. A la main, je me finis et elle reçoit mon sperme qu’elle garde un peu sur la langue avant de l’avaler.
A ce moment, je ne sais pourquoi, de façon impulsive je me tourne vers la baie vitrée et lève le pouce comme pour remercier un éventuel spectateur. A ma grande surprise, je vois une lumière s’allumer trois fois, comme un signal !
Nous avions un observateur ! Je le signale à Léa qui tout d’abord veut s’échapper, mais je la persuade que celui, ou celle qui nous matait ne pouvait le faire qu’avec des jumelles à visée nocturne, c'est-à-dire qu’il nous voyait en vert et noir, ne pouvant nous identifier.
Nous le saluons tous les deux de la main et le signal se répète. Sur ce, nous retrouvons notre lit, hilares !
« Tu te rends compte que tu étais vierge il y a trois jours, que tu ne l’es plus, que tu te fais sodomiser par un vieux et que tu te montres en spectacle à des étrangers ! Je suis sûr que de nombreuses femmes ayant le double de ton âge, n’ont jamais fait tout ça !
C’est de ta faute beau-papa ! Tu es un trop bon professeur et tu me fais aimer le sexe. »Le lendemain matin, au lever, une silhouette me salue à la fenêtre de l’appartement d’en face. Il lève son pouce à son tour, puis referme la vitre. Pour ne pas effaroucher Léa, je lui cache cet épisode, mais je me dis que cet homme, nous pourrions le croiser dans la station sans le reconnaître alors que lui nous connais. Je me promets de ne pas nous exposer dans une situation équivoque de jour et qu’il puisse nous compromettre.
La semaine se passe avec un rituel. Le matin, nous ne skions pas. La nuit a souvent été longue (et le sommeil court) Nous jouons toute la matinée en restant nus, nous provoquant, nous suçant ou faisant l’amour dans tous les coins du chalet. Par précaution les rideaux restent fermés. Léa adore me provoquer penchée sur l’évier, tendant sa croupe en arrière. Elle tourne son regard vers moi. La coquine est certaine que je vais lui mettre ma bite. La seule question est de savoir où. On s’amuse comme des gosses. Le ménage ou la vaisselle, tout est prétexte à une caresse. Léa a institué une règle : à midi c’est l’heure de l’apéritif. A cette heure elle me suce où que je me trouve et avale mon sperme. J’ai eu beau protester, elle ne me lâche qu’après avoir reçu sa récompense et la maligne sait parfaitement amener son homme au plaisir.
Dernière après-midi de ski. J’aperçois le couple habituel, mais j’ai envie de profiter de ces moments, seul avec Léa. Je la fais accélérer. Comme elle suit bien maintenant et que je fonce vers la grande combe, ils nous laissent tranquilles.
C’est notre dernier soir avant de retrouver la vie « normale » et de terminer notre aventure. Pour l’occasion, j’invite Léa au restaurant pour un dîner « en amoureux ». Pour l’occasion, elle s’est bien maquillée, coiffée, tout en laissant libres ses longs cheveux blonds. Elle s’est habillée avec soin. A revêtu sa petite robe noire qui la moule, remis les bas du premier soir et je sais que dessous elle est nue. C’est une bombe ! Elle paraît avoir vingt cinq ans. Les regards de certains hommes lors de notre arrivée le confirment. Comme elle a pris goût au champagne, je décide de prendre une bouteille pour l’apéritif et le repas.
Alors que nous dégustons la première coupe, les yeux dans les yeux le couple que nous connaissons arrive. Ils nous saluent. La femme fait une bise appuyée à Léa. Voyant notre bouteille, elle demande à son mari de faire de même.
« Tu as un ticket avec la femme. Dis-je doucement à Léa quand ils se sont éloignés.
Tu es fou ! Je…Tu es très belle ce soir et elle a plongé ses yeux brillants dans ton décolleté, d’ailleurs elle te mate en ce moment. » Le couple est placé de trois quart dans le dos de Léa, à quelques tables. « Tu veux t’amuser et Vérifier ?
Comment, ça, mais je ne …Allez ! Fais-moi plaisir, Va aux toilettes et en passant près de leur table fais un beau sourire à la dame.
Et alors ?
Je te parie qu’elle va te suivre aux toilettes.
Tu es fou ? Mais …Et alors ?
Après, c’est ton problème.
Tu ne penses pas que…Au contraire, je pense que… Tu ne risque rien. Peut être un baiser ?
Je ne suis pas une …Tu es vraiment un malade ! Un pervers !
Si ce n’était pas le cas, nous n’aurions pas ces relations et nous ne serions pas là. Il faut tout de même être un peu pervers pour baiser avec sa belle-fille et de plus quand on a trois fois son âge ! Dis-toi que ça fait partie de ta formation. Dimanche matin, tu feras ce que tu voudras. »Un peu hésitante, Léa avale son verre d’un trait, se lève, passe devant la table du couple. Elle doit sourire à la femme, car celle-ci rougit un peu et lui rend un sourire crispé. Son cœur doit s’emballer. Au passage, la main de Léa caresse très discrètement le bras de la femme.
Léa n’est pas encore entrée dans les toilettes que de ma table, je vois la femme se lever quelques secondes après avoir parlé à son mari et se diriger à son tour vers le fond de la salle.
L’absence des deux femmes dure assez longtemps pour l’observateur vigilant que je suis. Léa ressort la première. Je remarque son regard brillant et ses cheveux légèrement défaits. Elle arrive à notre table alors que la femme sort à son tour des toilettes. En s’asseyant, elle a un regard un peu perdu dans notre direction. Se reprenant et voyant que je l’observe, elle me sourit.
Léa, elle, ne sait plus trop comment se tenir. Elle redevient une petite fille prise en faute.
« Alors ? Tu me racontes ?
Je… J’étais devant la glace. Elle est arrivée derrière moi… Elle s’est collée à moi en passant ses bras sous les miens pour attraper mes seins. Elle m’a embrassée dans le cou en nous regardant dans le miroir. Elle m’a dit : « Tu es très jolie ! Ça fait cinq jours que je bande pour toi !» Elle m’a retournée et m’a embrassée sur la bouche.
Tu as aimé ? Dis-jeO… Pas tout de suite, mais… oui. C’était bon !
Et après ?
Elle m’a entraînée dans une cabine et refermé derrière nous. Là, elle m’a à nouveau embrassée en caressant mes seins.
Tu mouillais ?
O… Oui !
Ensuite ? Vous êtes quand même restées un moment !
Elle a passé sa main sous ma robe et m’a caressée. « Petite coquine ! Tu n’as pas de soutien gorge ni de culotte ! Je savais que tu étais une salope ! Ton grand père est aveugle s’il ne voit pas comment tu es !» Elle a pris ma main et l’a guidée entre ses jambes. Sa culotte était toute mouillée. C’est alors que… J’ai joui !
Super !
Elle a mis ses doigts sous son nez et m’a dit « tu sens bon ! » A la fin, elle a relevé sa robe, a descendu sa culotte et me l’a donnée « souvenir »Tu l’as là ?
O… Oui !
Donne-la-moi »Discrètement elle me glisse le sous-vêtement que je porte à mon nez et respire les effluves intimes de la femme. Les fragrances sont agréables. La femme a vu notre manège. Quand je la regarde en souriant, elle comprend que je suis complice de Léa. Suis-je vraiment son grand père, ou son vieil amant ?
Le couple finit son repas avant nous et en passant, s’arrête pour nous souhaiter une bonne fin de séjour. La femme, passe sa main sur les épaules de Léa qui frissonne. Elle l’embrasse rapidement très près des lèvres Dans le mouvement, elle fait tomber une carte sur les genoux. Manifestement, la femme a bien envie de revoir ma petite chérie.
« Tu as aimé faire ça avec cette femme ?
C’était agréable.
Tu aurais envie d’aller plus loin ?
Je… Je ne sais pas…Si tu as l’occasion à l’avenir, profites-en. Tu n’as plus qu’à l’appeler, puisque tu as son numéro maintenant !
Ah ! ça aussi tu l’as vu ?
Tu croyais peut-être me le cacher ? Ça prouve que tu es intéressée petite coquine ! Ne t’inquiètes pas je trouve ça très bien. Régale-toi avec cette salope !
P… Beau-papa. Tu es vraiment… Trop chou ! Je t’adore ! Tu crois que je vais…Devenir gouine ?
O… OuiJe ne crois pas, tu aimes trop la bite. Mais tu aimeras autant les femmes que les hommes ! Ce que tu aimes c’est le sexe. Alors profite de la vie ma chérie et baise avec les hommes et avec les femmes. Éclate-toi !
Y’en a pas deux comme toi quand-même ! Et je suis tombé dessus ! Je t’adore papounet ! Merci pour tout !»Pour ne pas tomber dans le mélo, je lève mon verre à ses amours. Je dois avoir la même petite larme d’émotion au coin des yeux que Léa. Ma gorge se serre. Ses yeux au fond des miens me disent tout son amour. Un silence très fort s’installe quelques secondes. Sur ses lèvres, je lis ces paroles interdites « Je t’aime ! » De la même manière je lui dis « Je t’aime ! » A ce moment-là, nous ne nous mentons pas. Nous sommes plus proches que jamais. D’un trait nous finissons notre verre. Le garçon qui apporte l’addition permet d’interrompre ce moment inouï.
Dernière nuit. Léa veut que nous passions en revue toutes les positions « une sorte de révision des cours » dit-elle en riant. Le moment d’émotion, j’allais dire de communion au restaurant est passé. Nous nous retrouvons sur le terrain du sexe qui est après tout, plus facile.
Tout y passe. Masturbation individuelle et réciproque. Fellation, cunnilingus et anulingus. Soixante neuf. Pénétration vaginale et anale. A la missionnaire, en levrette, en cuillère, en amazone. Le Kamasoutra revisité !
Léa, qui ne manque pas d’imagination pour son âge, veut aussi me sodomiser avec le gode.
« Quand je te mets un doigt dans le cul tu aimes ! Tu m’encules, alors moi aussi je veux t’enculer beau-papa. Tu m’as bien dis que n’avais pas de tabou hors la merde et la violence ?
Oui ! mais ça ne se fait pas d’enculer son beau-père !
Ça ne se fait pas non plus de baiser et d’enculer sa belle-fille ! » Léa sait qu’elle a gagné, aussi elle s‘amuse. « Allez beau-papa, à genoux ! Donne-moi tes fesses ! Je me demande si je ne te mettrais pas une fessée pour avoir discuté !
Si ça te fais plaisir…Espèce de vieux vicieux dégueulasse ! Tu vas voir, je vais te corriger ! Je vais te punir d’avoir baisé ta belle-fille ! De lui apprendre le vice ! Allez ! Lève ton cul ! »En position j’attends la correction promise. Devant cette situation bizarre, une jeune fille s’apprêtant à fesser son vieux beau-père, ce qui n’est tout de même pas si courant, Léa hésite. La première claque n’est pas forte. Je lui réclame d’y aller plus fort en lui recommandant d’alterner les fesses. Bientôt les claques tombent plus fortes. Léa se prend au jeu. Mes fesses me brûlent et doivent être rouges !
Je ne dis rien et j’endure la douleur. Heureusement, Léa se fatigue.
« Mais, mon salaud ! Tu bandes ! Ça te plaît ce que je te fais ! Tu aimes prendre la fessée !
C’est plus courant que tu ne le crois ! Je suis sûr que toi aussi tu es excitée ! Vas-y encules-moi ! Je suis prêt ! »Saisissant le gode, elle le badigeonne de gel et l’enfonce sans coup férir au fond de mon cul. La cochonne m’encule énergiquement. Je sens le plaisir monter dans mes reins. Je lui demande d’arrêter car sinon je vais jouir et ne serais plus bon à rien.
- « Fais-moi plaisir ! Je veux te voir jouir comme ça ! Je te réveillerai cette nuit et demain matin, je suis sûre que tu seras opérationnel ! »Elle m’achève alors en accélérant le rythme. Me prend la bite en main et ne tarde pas à me faire éjaculer.
J’ai un peu honte ensuite de m’être laissé faire et de m’être montré dans cette posture pas très virile, mais Léa me rassure très vite en me remerciant chaleureusement de lui avoir permis cela.
« Tu ne garderas pas l’image de ton beau-père, le cul en l’air, un gode enfoncé dans les fesses et jouissant ainsi, comme une femelle ?
Non ! Je garderai l’image d’un accord total entre nous et j’espère trouver un jour un amant qui soit à ta hauteur et qui accepte tout ce que tu m’as appris pendant cette merveilleuse semaine ! »C’est un peu émus, les larmes au coin des yeux, qui nous nous enlaçons, nous embrassons et nous endormons. J’ai rarement connu un tel moment de communion et il faut que cela soit avec ma belle-fille ! J’espère moi aussi qu’elle connaîtra cela plus tard avec d’autres amants.
Nous sommes un peu fatigués et tristes, le samedi matin. Ce soir nous reprendrons la vie normale et les rapports normaux entre beau-père et belle-fille. Il faudra ranger au placard ces merveilleux moments. Nous passons la matinée à nous caresser, nous embrasser, à pleurer aussi. En une semaine, Léa s’est transformée, c’est frappant. On est maintenant très proches, et pour cause !
Après le repas, nous passons deux heures à tout nettoyer et ranger avant de rendre les clés. Au moment de passer la porte, Léa se jette à mon cou et m’embrasse fougueusement. « Merci ! Merci pour tout ! Je n’oublierai jamais !» Moi non plus je n’oublierai jamais.
Dans la voiture, nous avons plus de trois heures de route, les premiers kilomètres dans la descente de la station, se font dans un silence pesant. Arrivés dans la plaine, Léa s’endort. Après deux heures de temps je m’arrête pour une pause. Café, toilettes et on repart. Au moment ou nous quittons l’autoroute. Léa pose sa main sur mon bras.
« Avant d’arriver… J’ai envie… Une dernière fois…Ce n’est pas raisonnable.
On a dit jusqu’à samedi soir. Tout à l’heure tu vas retrouver maman, mais jusque là…C’est de la folie ! A ce compte là on n’arrêtera jamais ! Il y aura toujours un prétexte ! Il vaut mieux rester comme ça !
S’il te plaît ! Mon papa chéri ! Je te promets que c’est bien la dernière ! J’ai appelé mon copain, le vieux de vingt cinq ans, Je le vois demain et je pense qu’il a très envie de me baiser ! Depuis le temps qu’il attend !... Tiens ! Regarde ce chemin, là ! Vas-y ! »Au fond du chemin, sous les arbres, nous allons faire l’amour une dernière fois. Inconfortablement on va se sucer, se lécher, et puis, à cheval sur mes cuisses elle va me chevaucher. Magnifiquement nue et transpirante dans l’habitacle surchauffé dont les vitres se sont couvertes de buée, elle jouit une ultime fois, ma queue enfoncée dans son vagin qui m’arrose de son délicieux suc de femme.
Ça sent le foutre dans la voiture ! On aère tout d’abord, puis on fume vitres fermées. Le siège n’a pas trop souffert. Une dernière fois j’admire le corps superbe de Léa.
- « Je ne peux pas te photographier, mais je veux garder ton image gravée au fond de moi ! Tu es devenue si belle que je serai jaloux de tous les hommes qui t’approcheront. Tu m’a fais un magnifique cadeau, comme peu d’hommes en ont eu ! »Léa m’étreint. Elle est aussi émue que moi et nos larmes se perdent dans un baiser profond qui dure longtemps, longtemps... Enfin, il est temps de se rhabiller. La fin du trajet se passe à nouveau dans un silence pesant. Je roule lentement comme pour prolonger éternellement ce moment de bonheur intense.
Arrêté devant la maison, avant de descendre de la voiture, on se regarde en silence. On scelle ainsi cet accord qui nous déchire, mais qui est le seul possible. J’ai envie et Léa sûrement aussi de la serrer une dernière fois dans mes bras. Mon cœur bat comme un fou. Heureusement, ma femme qui a entendu la voiture, ouvre la porte de la maison, se dirige vers nous et interrompt involontairement ce moment.
Après avoir vidé la voiture et rangé le matériel, c’est la fameuse surprise quand on tombe sur la photo de nous deux, encadrée. On réussit à se reprendre et on se pose, enfin on s’affale dans le canapé du salon. Vidés autant du voyage, de la semaine de ski, de nos folies sexuelles, mais surtout de la forte émotion des dernières heures.
Malgré cela, ma femme nous trouve resplendissants, quoi que fatigués ! Il faut absolument qu’on lui raconte notre séjour. Heureusement, les matinées de ski se transforment facilement en journées. Le couple est non seulement collant, mais devient dans le récit, quasi permanent et la longueur du retour est justifiée par une sieste imposée par la fatigue de la conduite et le changement d’altitude.
Avant le coucher, je prends une longue douche, effaçant toute trace pouvant rester de nos amours. Au lit, ma femme est motivée.
- « Une semaine sans toi ! J’ai trouvé le temps long ! Viens ! Fais-moi l’amour ! »Essayant d’estomper les images de Léa je rends hommage à ma femme. J’adore lui faire l’amour et peu à peu je retrouve les bons gestes pour la faire jouir. Je lape avec toujours autant de plaisir sa chatte qui coule et elle crie quand, d’une levrette un peu brutale, je l’emmène au plaisir.
« Tu ne trouves pas que Léa a changé cette semaine ? Me dit-elle alors que nous reposons serrés l’un contre l’autre.
Comment ça ?
Je la trouve mûrie, grandie, plus joyeuse.
C’est vrai qu’elle a fait de gros progrès au ski et maintenant passe partout avec assurance. Mais c’est vrai aussi qu’on a beaucoup parlé entre nous.
Ah bon ? Et de quoi ?
De ses problèmes de jeune fille, de nos rapports de l’un à l’autre, elle se posait beaucoup de questions.
Et lesquelles ?
Tu es curieuse toi ! De questions que l’on ne pose pas à sa mère. De comment elle devait se comporter avec les garçons, de ses complexes, de son copain actuel… Elle s’est excusée d’avoir été désagréable avec moi au début de notre relation avec toi. Je lui ai répondu que c’était naturel, que je ne voulais pas prendre la place de son père. Elle m’a dit qu’elle ne parlait jamais comme ça avec son père. C’est vrai qu’on est devenus un peu plus complices pendant ce séjour, presque copains !
Je suis contente que ça se passe bien entre vous. La prochaine fois, j’espère pouvoir venir avec vous.
Je pense que la prochaine fois, nous serons seuls, il me semble que son copain actuel va être un peu plus présent.
Tu le connais ?
Non, je sais simplement qu’il a presque vingt cinq ans.
Mais, ce n’est pas possible ! elle a tout juste…Dix huit ans ce qui fait à peu près le même écart qu’entre nous ! Les filles d’aujourd’hui sont beaucoup plus au fait qu’autrefois.
Elle n’est plus vierge ?
Tu en doutes ou quoi ? Rassure-toi, ta fille a la tête sur les épaules ! C’est fini la petite ado un peu fofolle !
En tout cas merciMerci de quoi – je suis un peu gêné –Tu t’es bien occupé de ma fille et cela lui a fait du bien. Elle est belle n’est-ce pas ?
Oui ! Je sens déjà des têtes qui vont tourner. Tu peux être fière d’elle ! Maintenant dodo ! La semaine a été rude pour mes vieilles jambes. Elle se débrouille rudement bien skis aux pieds ! Il a fallu que je cravache !
Ça t’a fait du bien à toi aussi cette semaine, ça se voit, tu es en forme – ça elle peut le dire – OK, ok, dodo» Sur un dernier baiser on s’endort, ma tête remplie d’images de Léa nue !
Le lendemain, à son habitude, ma femme part faire des courses. Léa arrive nue dans ma chambre.
« On a décidé que c’était fini !
Oui ! Je sais. Ne t’inquiète pas ! Je dors nue maintenant, j’ai pris l’habitude avec toi. Je voulais venir te dire encore merci. Après tout, tu connais tout de moi, alors que je sois nue ou pas c’est pareil !
Pas tout à fait, tout de même !
Bon, d’accord. Je n’ai pas réfléchi. Je ferai attention à l’avenir. Merci encore ! » Elle m’embrasse sur les lèvres et en partant, hilare, me lance : « Tu peux aller te branler sous la douche beau-papa ! Tu bandes encore fort, malgré tes prouesses avec maman ! »La semaine de travail reprend. Maintenant, tous les matins, Léa me fait la bise. Le lundi matin suivant elle me glisse « Merci ! Hier j’ai profité de tes cours !» Le vendredi, elle nous annonce qu’elle part le soir même passer le week-end avec Lionel – on connaît maintenant son prénom - et qu’elle ne rentrera que dimanche soir. Sa mère s’étonne un peu et l’interroge sur ce Lionel. Elle le trouve trop âgé, mais Léa ne cède pas. A bout d’arguments, sa mère abandonne et s’éloigne. Léa me fait un clin d’œil et me glisse « Ce week-end il me fait la totale !
Ça s’est bien passé alors ?
Pas mal ! Il est peut-être mieux équipé que toi, mais il manque de technique ! » Les semaines passent et le calme est revenu dans la maison. Léa nous a présenté Lionel et ils nous ont annoncé vouloir vivre ensemble chez le garçon. La proposition a eu du mal à passer avec sa mère, mais je lui ai suggéré qu’il fallait que sa fille fasse des expériences et autant le faire le plus tôt possible.
« J’espère qu’elle ne va pas faire de bêtises !
Tu penses à quoi ?
Tu sais bien !
Tu m’as bien dis que Léa prend la pilule depuis un moment déjà ?
O… Oui !
Tu sais, pour le reste, elle est plus mûre que tu ne le crois et très au fait de ce qu’elle peut attendre d’un garçon et elle ne se laissera pas faire. Je suis sûr que si elle a un problème, elle se confiera.
Elle t’en a parlé ?
Oui. Pendant le séjour au ski, on a beaucoup discuté.
Il me semble, oui, et vous êtes devenus beaucoup plus proches.
Ça te gêne ? On est trop proches ?
Non ! Pas du tout ! Au contraire ! Je trouve que cela lui a fait du bien. Vous avez parlé de quoi ?
Tu es bien curieuse ! De tout, de cul, des mecs. Tu sais, Internet aujourd’hui apporte beaucoup d’informations.
Tu ne lui as pas montré tes sites de cul tout de même ?
Elle n’a pas besoin de moi pour les trouver. Tu n’as jamais mis de contrôle parental ?
C’est vrai ! Bon, c’est sûrement plus facile de parler avec toi qu’avec son père ou moi. »Léa est totalement épanouie. Nous n’avons plus jamais parlé de notre aventure, ni eu d’autres rapports. Cela n’empêche pas, quelques allusions ou quelques regards entre nous à l’occasion.
Quelques mois ont passé. Les deux tourtereaux ont décidé d’officialiser leur relation et entrevoient de se pacser. Lors de la soirée où ils nous l’ont annoncé, Léa m’a glissé : « Je lui ai fais quelques fois un peu peur par mes demandes au lit… et ailleurs, mais finalement il est très content d’avoir une femme complètement libérée ! »
Léa m’a fait un dernier « cadeau ». Un an après notre séjour à la neige, Léa m’appelle et me demande de passer la voir à son appartement. Je suis maintenant à la retraite et peux donc me libérer facilement « Viens prendre le café cet après-midi ! »Nous sommes maintenant très à l’aise entre nous. Léa me confie souvent ses pensées et ses réflexions sur son amoureux, sur l’histoire récente et même sur la politique, ce qui a le don d’énerver sa mère.
Léa a besoin d’un conseil pour aménager leur appartement. Les deux tourtereaux ont en effet envie de l’acheter. Nous sommes en pleine discussion lorsqu’on sonne à la porte. Léa revient rapidement en compagnie de …. La femme du couple rencontré au ski l’année précédente. Elle semble surprise de me trouver là, d’autant qu’elle avait enlacé Léa.
« Tu le reconnais ? lui dit LéaO… Oui. C’est… C’est, ton grand-père !
En fait, vous l’aviez peut-être soupçonné. Ce n’est pas mon grand-père. – Mais ! Que fait-elle ? – C’est, ou plutôt c’était mon amant ! - Stupeur de la femme et soulagement pour moi. Ell
Les vitres se sont couvertes de buée. Peu à peu, nos respirations reprennent leur rythme normal. J’attrape à nouveau la bouteille de champagne, que nous finissons de vider en nous passant le goulot. Avant qu’elle n’ait l’idée lubrique de s’en servir je vais la ranger à la cuisine.
Léa veut se doucher et je lui refuse.
« Mais je pue ! Je sens mauvais ! Je transpire !
Non tu ne pues pas, tu sens le foutre et l’amour ! Tu es belle comme ça et j’ai envie de te lécher sur tout le corps pour te nettoyer et m’abreuver à ta sueur. S’il te plaît ! reste encore un peu comme ça ! J’adore ton odeur de femelle assouvie !
ça tu peux le dire ! Tu es un sacré baiseur beau-papa ! Tu m’as tuée ! C’est toi qui as dix huit ans !
Heureusement pour toi que non, car je t’aurais peut-être gâchée en te baisant mal. Il y en a eu tellement comme ça !
Je dois dire que tu ne m’as pas loupée ! C’est terrible ! J’ai eu l’impression de jouir en continu ! Jamais je n’avais senti ça !
Tu es encore jeune !
Je sais ce que ressentait maman l’autre jour ! C’est énorme !
Arrête de parler de ça !
C’est toi qui as honte ? Je rigole ! Non, mais ce n’est pas banal. J’ai vu et même j’ai regardé ma mère se faire baiser, j’ai aimé, et maintenant c’est moi qui suis à sa place ! J’étais jalouse d’elle, maintenant je la comprends. Vous faites un très joli couple et elle a de la chance de t’avoir trouvé ! Et moi aussi pour l’occasion. C’est pour ça que l’on arrêtera. Je serais trop malheureuse de provoquer votre séparation ! En attendant mon chéri, tu as jusqu’à samedi pour m’en mettre partout ! Je te rappelle que j’ai un deuxième pucelage à faire sauter ! »C’est en riant, serrés l’un contre l’autre que nous gagnons la chambre où on s’écroule sur le lit. Léa s’endort aussitôt comme une masse. Il faut dire qu’elle a donné la petite. Pour ma part, je n’ai pas sommeil, aussi j’en profite pour admirer ses courbes voluptueuses, toujours « vêtue » de ses bas, que je retire ainsi que ses chaussures. Je n’ai pas joui lors de la levrette et la petite pilule fait toujours son effet, aussi je bande encore.
Je n’en reviens pas de la transformation de Léa en quelques mois ! Bien sûr, nos activités l’ont sûrement fait mûrir plus vite que d’autres filles de son âge, parallèlement, son corps s’est modifié. Elle est devenue femme avant ce soir. Une belle et jeune femme, pleine de vie et qui sera une bonne maîtresse aimant le sexe.
Je l’ai connue petite fille, adolescente perturbée, elle est aujourd’hui, j’espère un peu grâce à moi même si la manière n’est pas très… recommandable, une beauté qui va faire chavirer bien des cœurs, mais une beauté avec la tête sur les épaules, car sa transformation physique a été complétée par une prise de conscience qui a rejailli sur ses études avec des résultats très satisfaisants.
Notre aventure va se terminer de la meilleure des manières. En plus, nous auront des souvenirs secrets intenses pour le restant de nos jours. Un lien indéfectible s’est créé entre nous et rien ne pourra le briser.
Je me suis installé dans le fauteuil à côté du lit. Tout en admirant son corps luisant, je me branle tranquillement, maintenant mon érection. La petite est étalée, un sourire inconscient se dessine sur ses lèvres. Léa se tourne et ce sont maintenant ses fesses qu’elle présente à ma vue. Deux jolies fossettes creusent le bas du dos. Dans cette position, sa silhouette est magnifique, son cul ainsi exposé et cambré, met en évidence ses longues jambes. La petite a bien grandi ! En haut des jambes dans la fourche de ses cuisses, se devinent les lèvres de son sexe. Un beau petit abricot dont les lèvres sont encore gonflées après avoir été pénétrées par leur première queue.
Sa respiration est calme et régulière, sa peau encore couverte d’humidité. Son odeur, arrive à moi ce qui, en plus de la vision de son corps, ne fait rien pour me calmer. Ah ! Elle bouge à nouveau. Elle est étalée sur le ventre, m’offrant involontairement son dos, la cambrure de ses fesses et ses jambes. Elle a replié un bras et posé la tête dessus, son visage tourné vers moi, les longs cheveux blonds étalés le cachent. En se tournant elle s’est éloignée du bord du lit près duquel je me trouve, mais le tableau est charmant.
« Eh bien mon cochon ! Tu n’en a pas encore assez ? » Sous les mèches blondes je ne voyais pas son regard, mais la maligne s’était réveillée et m’observaitTu es si belle !
Ne tombes pas amoureux quand même !
Je ne suis pas amoureux. Je suis ému qu’une aussi jolie et jeune fille que toi, me trouve à son goût et que nous partagions ces moments de plaisir.
Tu es peut-être vieux, mais tu bandes comme un jeune et ta bite est belle ! En plus tu es mon beau-père ce qui est assez… piquant ! Quand je t’ai vu avec maman, j’ai décidé que tu serai mon premier amant.
Tu ne t’es pas demandé si je pouvais être d’accord ?
Jusque là je ne m’occupais que de ta queue, qui seule m’intéressais. Avec ta langue et tes doigts bien sûr. Mais c’était si beau de vous voir faire l’amour, que j’ai aussitôt eu l’envie de faire pareil. Quel autre homme pourrait me rendre heureuse ? J’ai vu comme tu étais attentif au plaisir de maman.
Je faisais attention, car je savais que tu observais.
Salaud !
Non, pas salaud. Je voulais que tu vois ce que c’est de faire l’amour. Il faut de la tendresse, de l’attention l’un pour l’autre, rechercher d’abord le plaisir de l’autre pour prendre le sien encore plus fort.
C’était très beau, je te l’ai dis. ça m’a donné envie de sentir ça ! Viens ici, viens baiser ta petite cochonne de belle-fille ! Fais-moi jouir encore... Nooon ! » J’ai plongé mon visage sur sa chatte encore pleine de son jus et du mien mélangé. Je passe ensuite sur son périnée pour atteindre son anus. « Tu es fou ! C’est sale !
Je t’ai déjà dis que rien ou presque n’est sale dans le sexe, à part les excréments, je lèche déjà ta moule…Mais… maintenant il y a aussi ton… sperme !
Toi tu l’avales bien.
C’est… C’est vrai ! »Je replonge dans la chatte gluante. Son clito réagit très vite et elle me supplie de la prendre à nouveau. Je varie un peu en me redressant et lui demande de guider elle-même ma queue dans son ventre, ce qui l’amuse beaucoup.
Je varie aussi les positions, lui relevant les jambes. La souplesse de la jeunesse sportive ! Ses genoux encadrent son visage mettant en avant tout son bas ventre. Enfin je la tourne sur le côté et la prend par derrière à la cuillère. Une position qu’elle apprécie particulièrement. Son vagin suinte beaucoup de cyprine. Je retarde au maximum son orgasme, tout en travaillant ses seins de plus en plus sensibles et son clito qui gonfle sous mes doigts. Plusieurs fois, elle est à deux doigts de partir, mais je bloque tout mouvement. Elle me supplie, crie, implore « Fais moi jouir salaud ! » Son corps rougi se couvre de sueur. Je la tiens bien lorsqu’elle devient hystérique, enfin je libère son orgasme monumental. Alors que j’éjacule au fond de sa matrice, sous mes doigts, je sens alors un jet puissant jaillir, qui inonde ma main et le drap.
Quelques heures après son premier rapport sexuel, Léa est devenue une femme fontaine. On dit que toutes les femmes ont cette capacité, mais que peu y parviennent. Léa est une exception ! Alors que peu à peu nous redescendons sur terre, je la sens qui sanglote. Je tourne sa tête et découvre son visage baigné de larmes. Je la calme petit à petit et lorsque enfin c’est terminé, elle marmonne :« Je suis désolée ! Pardon ! J’ai fais pipi ! Mais c’est ta faute aussi ! Pourquoi as-tu attendu autant pour me laisser jouir ? J’ai honte ! Que vas-tu penser de moi ? Je suis une petite fille qui fait pipi au lit !
Mais non ma belle ! Au contraire ! Tu viens de jouir abondamment, comme peu de femme le font ! Tu es une femme fontaine, qui jouit en éjaculant ! C’est un merveilleux cadeau pour un homme, goûte ! » Je lui donne alors mes doigts à lécher, sur lesquels elle retrouve son jus intime. Toute étonnée, elle constate elle-même la véracité de mes dires.
Mais… Comment ça se fait ?
Quand une femme jouit fort comme tu viens de le faire, elle atteint un tel niveau que tous les blocages s’effacent. Elle se libère totalement, ne se retient plus et son corps réagit naturellement. Il me tarde que tu fasses la même chose quand je te lécherai, que je puisse m’abreuver à ta source merveilleuse !
Tu es gentil ! Je savais que tu serais un bon professeur ! »Je l’embrasse, puis lèche son corps pour finir sur sa chatte encore noyée de cyprine dont je me régale. Nous sombrons ensuite tous les deux dans un sommeil réparateur profond.
Au matin, le temps est gris, aussi, nous restons dans le chalet à nous cajoler, nous sucer, nous lécher. Il n’y a plus de différence d’âge. Nous sommes deux gamins qui nous amusons avec notre corps sans réserve. A un moment même, on pisse chacun notre tour aux toilettes, alors que l’autre regarde cet acte intime. J’explique à Léa que certains aiment les jeux « humides », se pissent dessus, voire quelques uns boivent l’urine. Je lui suggère que plus tard, quand elle sera plus âgée, elle le fasse avec ses amants.
« Tu en veux pas le faire avec moi ?
Tu es encore trop jeune et inexpérimentée pour tester cela. Tu as tellement de choses à découvrir. Laisse-toi un peu de temps. Il faut se laisser des nouvelles aventures à vivre ! Se garder des nouvelles choses à faire !
On n’a qu’une semaine et avec toi, j’ai envie de tout savoir !
Maintenant, tu sais que ça existe. Si ça ne te dégoûte pas à priori, tu essaieras.
Donc tu ne veux pas !
Ce n’est pas ça, mais je ne veux pas que tu sois blasée trop vite.
Tu sais quand même que tu as au moins une chose à faire avec moi ?
Une chose ?
Oui ! Je t’ai dis que tu auras mes deux pucelages. Il t’en reste un à faire sauter ! »Cette petite est infernale ! Elle parle de se faire sodomiser comme si c’était naturel, normal, évident !
A midi, ma femme nous appelle pour prendre des nouvelles. Nous sommes sur le lit, nus côte à côte et je mets le haut parleur.
- « Alors ? Ça se passe bien tous les deux ?
- Oui ! Léa est très heureuse. Elle est à côté de moi – je ne dis pas sa tenue – et elle t’écoute- Oh oui maman ! On s’occupe l’un de l’autre. On se réparti les tâches. Lui, celles des hommes, moi celles des femmes ! – Je m’étrangle - Hier on a skié comme des fous c’était génial ! C’est un très bon professeur ! … Pour tout ! – elle attrape ma bite qui se raidit aussitôt.
- Il fait la vaisselle aussi ?
- Oui… entre autre. – elle m’embrasse – En tous cas, ce qu’il fait, il le fait bien. – Elle attrape ma main et la pose sur son pubis- Vous avez skié ce matin ?
- Non, interviens-je, après m’être repris. Il y a du brouillard après la neige mais si ça se lève et on y va après manger.
- Profitez-en bien tous les deux. La semaine va vite passer !
- A qui le dis-tu ! Bisous ! »Je raccroche et le bisou, c’est nous qui le partageons.
Direction la douche. Léa prépare le repas, je change les draps. Heureusement, le loueur prudent avait mit une alèse ! Je lave aussi les sales en pensant que Léa, risque maintenant d’inonder les suivants.
Sous un soleil éclatant nous skions tout l’après-midi. Là aussi je suis le professeur et Léa suit mes conseils à la lettre. Elle est douée et appliquée et je la félicite souvent et avec raison, sur ses progrès. La coquine me provoque en faisant ressortir ses fesses dès que possible. « C’est pour que tu ne penses qu’à mon cul que tu vas combler » glisse-t-elle en riant.
Il y a peu de monde dans la station, aussi nous en profitons au maximum. Dans les œufs, nous sommes souvent seuls et Léa se pelotonne contre moi. On s’embrasse, heureux de ces moments d’intimité. Sur les pistes, ou quand nous ne sommes pas seuls, aucun geste déplacé.
Un jeune couple, la trentaine environ, se retrouve avec nous dans la cabine au cours d’une montée, nous prend pour père et fille.
« C’est mon grand-père ! Leur dit LéaVous êtes en forme monsieur ! Je vous ai vu skier, vous vous débrouillez très bien ! Me dit l’homme.
Oh oui, il est très en forme, pour son âge. Rajoute Léa en riant de son sous-entendu. Il fait la pige à beaucoup de jeunes.
Vous avez de la chance d’avoir un tel professeur. Peut-on se joindre à vous ? Demande la femme qui a envie d’être copine avec cette jolie jeune fille qu’est Léa.
Voyons ! Laisse-les tranquilles, rétorque son mari. Ils préfèrent sûrement rester seuls !
Pas de problème. Dis-je. Mais je vous averti. On ne fait pas beaucoup de pauses et on essaye de skier au maximum»Bien sûr, notre « intimité » en souffre. Je vois Léa faire un peu la tête, ce qui m’amuse. J’ai fais exprès d’immiscer le couple dans le notre pour lui montrer que notre position n’est pas très « normale » et aussi pour la faire un peu enrager. Elle est très douée et naturellement, le couple la laisse suivre en premier derrière moi qui ouvre la piste. Lors des arrêts, avant qu’ils ne nous rejoignent, on se retrouve quelques secondes tous les deux seuls.
« Salaud ! Tu me délaisse déjà !
Oui ! Mais ce soir tu seras seule. Tu pourras en profiter, coquine !
T’as intérêt à assurer mon vieux !
Tu risque aussi d’être fatiguée ! C’est dur de suivre ! »En fin de journée, le couple nous offre à boire pour nous remercier en s’excusant de s’être « imposé ».
« Il n’y a pas de mal ! Demain, si vous voulez, on va faire la grande combe. Si vous avez envie de vous joindre à nous, pas de problème.
C’est un peu trop difficile pour nous, mais amusez vous bien ! » Ajoute l’homme qui avait du mal à suivre. La jeune femme, charmante au demeurant, serait bien restée avec nous, mais elle s’incline.
Nous les quittons et rentrons au chalet. Après la douche prise individuellement, je propose à Léa d’aller au sauna pour récupérer. En alternant cabine et douche froide, les muscles se détendent. Nous dînons ensuite dans une pizzeria avant de retrouver notre nid douillet. Je téléphone à ma femme pour lui raconter notre après midi en insistant bien sûr sur la présence du couple qui nous accompagnait. Elle me souhaite bonne nuit « Embrasse la petite » Léa, en effet était au téléphone avec une copine pour lui raconter son séjour. Elle lance un « bisous maman ! » quand je lui transmets. Voyant que j’ai fini la conversation avec sa mère, elle écourte la sienne.
Elle veut aller tout de suite au lit, mais je préfère rester au salon.
« Il ne faut pas installer la routine dans un couple et il n’y a pas que la chambre. On peut faire l’amour dans toutes les pièces, et même dehors.
Ici il fait un peu froid dehors ! Mais c’est marrant, tu ne dis plus baiser, mais faire l’amour ! Tu changes ?
Non, mais, on n’est tout de même pas dans une relation uniquement de cul, malgré tout et c’est plus joli de faire l’amour que de baiser sauvagement. On a malgré tout quelques rapports affectifs entre nous, même si ce n’est pas de l’amour !
Oui, je t’aime bien tu sais.
ça n’a pas toujours été le cas ! N’est-ce pas ?
Non ! Je te rappelle que tu es arrivé dans ma vie sans qu’on ne me demande rien. C’est vrai, au début, je ne t’aimais pas, tu étais un étranger, mais petit à petit, j’ai changé d’avis.
Tu as grandi et compris que je ne voulais pas prendre la place de ton père.
Et c’est comme ça que tu as pris la place entre mes cuisses !
Dis-donc, toi ! Ne sois pas vulgaire !
C’est toi qui m’as appris mon beau-papa chéri ! »Elle se jette dans mes bras. Debout au milieu de la pièce, on s’enlace, on s’embrasse, on se caresse. Léa saute en l’air et accrochée à mon cou, entoure ma taille de ses jambes, ouverte et impudique. On arrive à se joindre, ma bite tendue trouve sa fente. Je dois m’aider de la main pour la pénétrer. Elle se laisse descendre et s’embroche seule avec un grand sourire.
« Tu sais, à mon âge, je ne vais pas pouvoir te soutenir longtemps !
Dis que je suis lourde aussi !
Ce n’est pas ça, mais je vais fatiguer et ma queue ne sera plus non plus très performante.
Reste un peu comme ça, je vais me baiser toute seule sur ta queue, ensuite tu pourras t’asseoir.
Tu es une vraie coquine, à ton âge ! Tu apprends vite !
J’ai un bon professeur ! Avec toi, je sais que je peux me permettre ce que je n’oserais pas avec un autre. Tu ne me jugeras pas.
Tu as raison ! Profite ! Dévergonde-toi, lâche-toi ! C’est comme ça que tu deviendras une bonne amante. »Aidée de ses bras et tirant sur ses cuisses, heureusement qu’elle est sportive, Léa se concentre sur son plaisir. N’ayant pas à bouger, je résiste longtemps. Je n’ai qu’à tenir l’équilibre. J’ai réussi à me déplacer jusqu’au mur, ce qui facilite encore ma résistance. Léa monte et descend en cadence tout en m’embrassant passionnément. Cette fille est une bombe, sous ses airs de jeune fille bien élevée. Je sens bientôt la chaleur et le parfum de son corps qui montent provenant autant de son plaisir qui vient, que de l’effort fourni. Mes jambes et mes reins ont du mal à tenir mais sentant les prémices de son orgasme, je serre les dents et bien m’en prend car ma petite maîtresse jouit tout à coup en criant.
Heureusement, le canapé n’est pas loin et je réussis à la porter jusqu’à lui pour m’asseoir, Léa toujours empalée sur mon sexe. A peine remise, elle entreprend une nouvelle chevauchée. Véritablement en chaleur, elle me communique sa fièvre et nous ruisselons tous les deux. Elle jouit à nouveau en cachant son visage dans mon cou.
J’ai envie moi aussi de prendre mon pied. Je la retourne à genoux sur le siège, et debout derrière elle, je pénètre son antre sans coup férir. Aussitôt, la tête sur le dossier posée entre ses bras, elle repart vers les sommets de la jouissance. La répétition des orgasmes en provoque un énorme qui la fait gicler abondamment sur le canapé. J’accélère alors et jouis dans son ventre, la rejoignant dans la jouissance.
Heureusement le siège est en skaï et nous rirons très fort lorsque nous le nettoierons plus tard. Nous n’avions pas pris garde et s’il avait été en tissu ….
Après une toilette sommaire, Léa découvre qu’elle aime « sentir le fauve » pour prolonger nos moments de folie, nous nous retrouvons au lit. C’est assez rigolo, car habituellement elle est plutôt du style « toujours propre » n’hésitant pas à se doucher plusieurs fois par jour. Comme quoi, on change vite d’idée et ce qui paraissait malpropre et repoussant, devient érotique et excitant« La semaine prochaine, lorsque je serai à nouveau célibataire, je reprendrai mes habitudes, mais tu n’auras plus le droit de me toucher, de me sentir, même de me voir nue, ou alors dans un éclair quand je voudrai. Je vais t’en faire baver mon beau-papa chéri ! Pauvre maman, tu vas la baiser en pensant à moi qui te serai à nouveau interdite ! Alors profites-en au maximum espèce de vieux dépravé ! Beau-père incestueux ! Suborneur de jeune fille vierge !
Eh bien dis-donc ! Tu as dû encore lire sur des sites pornographiques toi ! Tu as pris du vocabulaire ! Je plains déjà tes amants. Tu vas les faire devenir fous ! Mais ne t’inquiète pas pour moi. Je serai finalement heureux que notre histoire se termine sans avoir fait de dégâts autour de nous. Je garderai toujours ce souvenir gravé en moi. Espèce de petite pute vicieuse, belle-fille incestueuse qui se fait baiser par un vieux !
Sérieusement. Tu me fais un cadeau merveilleux ! Mais je saurai être raisonnable. Enfin, ne crois pas que j’ai besoin de penser à toi pour baiser ta mère. J’adore faire l’amour avec elle ! »Lovés l’un contre l’autre, je respire son odeur, sous les bras, entre ses cuisses ou simplement dans son cou. C’est particulièrement excitant et je rebande bientôt. Léa sent ma bite raide contre ses fesses, mais ne fait rien pour me faciliter la tâche, au contraire !
« Tu es insatiable ! Je peux me reposer un peu ?
Dans une semaine, je ne pourrai plus te baiser, alors il faut que j’en profite. Tu m’excites. Ton parfum, ton odeur de femelle m’excite, ta jeunesse m’excite. Tu es ma belle-fille, et tu me fais bander ! Si tu es fatiguée, laisse-moi me branler entre tes cuisses.
Tu es fou ? Tu voudrais être le seul à en profiter ? Espèce de salaud ! Moi aussi je veux que tu me baises ! Si je résiste c’est pour te rendre fou et que tu ais envie de me prendre encore plus fort ! Vas-y vieux salaud ! Baise ta belle fille ! Prend-moi les seins et torture les bouts ! Fais-moi mal ! »J’écarte ses fesses et sans difficulté, je la pénètre tellement elle est mouillée. Dans cette position, ma bite est serrée entre les parois étroites de son vagin juvénile. Je prends mon temps, ma bite baigne dans son jus mélangé à mon sperme. Le surplus coule sur mes boules et se perd dans les draps. En même temps, mes mains agrippent ses seins, entre mes doigts je masse les globes bien fermes. Je me rends compte alors des atteintes du temps. Si Léa à une poitrine moins développée que sa mère, la chair en est bien plus ferme. Elle fera le régal des hommes… ou des femmes qui les malaxeront. Je travaille ses tétons entre le pouce et l’index. La aussi, l’avantage est à la fille. Ses tétons sont plus longs et plus raides que ceux de ma femme. Ils sont aussi plus sensibles. En les roulant entre deux doigts, je fais monter son plaisir. Elle feule bientôt sous l’effet conjugué de ma queue dans sa chatte et de mes doigts sur ses seins. Son corps est brûlant contre le mien. Elle halète, se crispe et son vagin se contracte lorsqu’elle jouit.
Je n’ai pas joui, vu ce que j’ai déjà donné. Je continue donc à la prendre. Elle s’est repliée en position de fœtus, ce qui me permet de caresser aussi son dos et ses fesses, d’admirer les courbes de son corps juvénile, prometteur d’un silhouette de rêve.
La petite a beaucoup donné et peu à peu elle sombre dans le sommeil alors que je continue de la posséder lentement. Malgré tout le plaisir que je peux avoir, sa somnolence et sa passivité viennent à bout de ma résistance. Je débande lentement et sombre à mon tour dans un sommeil profond.
Au matin, nous décidons, malgré le beau temps, de ne pas skier. Nous prolongeons le plaisir d’être ensemble, nus, d’abord au lit puis en déjeunant et dans le salon. Chaque fois que l’un passe à proximité, une main cherche à caresser, qui un sein, qui une fesse, qui une bite molle ou parfois raide. On se cherche, on s’embrasse, on se provoque en riant. Tout est prétexte à une rapide étreinte. Au coin de la table, à la cuisine, penchée sur le dossier du canapé, Léa aime se faire pénétrer, même quelques secondes. Plus ça va d’ailleurs, plus elle jouit rapidement. Quand elle s’est assise au bord de la table, jambes écartées, dans une position obscène en se caressant face à moi, je n’ai eu que quelques secondes avant qu’elle ne gicle son plaisir, inondant mon ventre et mes jambes.
Elle adore me « tailler des pipes » comme elle dit. Comme je ne jouis pas lors de ces coïts rapides, elle aime m’asseoir dans le sofa et venir à genoux, « pendre la tétée » Elle est devenue une experte de la fellation depuis ses débuts. Il faut dire que nous avons beaucoup « travaillé » le dimanche matin. Léa me connaît maintenant et sait comment m’amener au plaisir de façon quasi-infaillible. Sa science de la pipe en fera une sacrée cochonne appréciée des hommes. Pour l’instant, son expérience se limite à moi et je lui ai souvent dit que tous les hommes ne réagissent pas de la même façon, mais elle est si douée et si attentive qu’elle trouvera sans nul doute la meilleure façon de donner du plaisir à son homme du moment.
Elle adore par exemple me « tenir par les couilles » tout en me pompant. Elle alterne les caresses de la langue sur et autour du gland, avec une gorge profonde dont elle a déjà acquit la technique. Lorsqu’elle sent venir le sperme, elle lève les yeux et aime observer mon attitude au moment de jouir.
Ce matin là elle me « vide » deux fois. Quand je lui rappelle que je ne suis plus très jeune et que si elle veut que je sois opérationnel le soir, elle doit m’économiser, Elle rigole et me traite de « pineur » qui bande sur commande dès qu’il voit son petit cul ou ses seins, ce en quoi elle n’a pas tord. Je lui cache toutefois que j’ai pris soin de faire un stock de pilules de Cialys.
L’après-midi, après tout nous sommes là officiellement pour ça, nous partons sur les pistes. Comme l’un et l’autre adorons cette activité, on ne va pas s’en priver et le bronzage que nous ramènerons le prouvera. Nous effectuons la grande randonnée prévue. Léa suit mes conseils à la lettre « Tu es mon professeur personnel jour et nuit ! » Lance-t-elle en riant.
La balade de la grande combe est superbe et il y a peu de monde. Léa fait des progrès et prend plaisir à skier avec moi. Nous allons de plus en plus vite y compris sur des pentes plus difficiles. J’en profite pour quitter un peu la piste pour passer dans les bois pour trouver de la neige vierge. Au milieu des arbres, nous faisons des petites pauses pour nous embrasser et nous caresser à l’abri des regards.
Au cours d’une remontée, alors que nous sommes seuls dans la cabine, la coquine entreprend de me sucer, ce qui n’est pas facile. Engoncé dans mes vêtements et chaussures de ski, je ne peux que sortir ma bite à travers la braguette de la combinaison. Malgré l’inconfort, sa fellation est divine, même si elle ne la mène pas au bout. Ce n’est pas qu’elle rechigne à avaler mon sperme, mais en riant elle se relève et déclare : « Je ne vais pas te vider, il faut que tu gardes des forces. Ce soir, j’ai envie que tu m’encules ! »Cette perspective ne fait rien pour me calmer. Heureusement, mon érection est cachée sous l’épais blouson à la descente de l’œuf.
Toute l’après-midi, Léa me provoque, faisant ressortir ses fesses à la moindre occasion en se penchant pour cambrer ses fesses. « Tu vois mon cul, beau-papa ? Il va falloir que tu t’en occupes tout à l’heure ! … Elles te plaisent mes fesses ? Elles attendent ta queue !... Les provocations ne manquent pas et que dire de ses mains qui ne manquent jamais de tâter mon entrejambes, ou de ses œillades assassines. Cette petite salope s’amuse à m’exciter en permanence, faisant semblant de s’échapper quand je m’approche trop.
A la fermeture des pistes, nous croisons le couple de la veille qui nous demande si nous avons bien profité. Ce que nous confirmons, sans préciser de quelle manière. Léa, mutine, leur demande de nous prendre en photo tous les deux. Nous prenons plusieurs poses, dont certaines très proches. La dame nous félicite et nous trouve charmants. « Je vais les envoyer à maman ! » déclare Léa.
Une fois seuls, elle précise que ce sera un prétexte pour avoir un souvenir de cette semaine magique et qu’elle me les envoie aussi. « C’est vrai que l’on est un peu trop habillés, mais on saura tous les deux, ce que cela cache.
En regardant les photos au chalet, je trouve qu’il y en a une qui est très « intime », nos lèvres sont très proches et l’attitude franchement sensuelle. On ne s’est pas rendu compte de la chose sur le moment. Un regard aiguisé, pourrait soupçonner notre relation.
« Elle est très jolie. Pourquoi ne pas la garder ? Plaide Léa.
Tout le monde n’a pas l’esprit tordu, mais il suffit d’une seule personne pour introduire un doute.
Mais après tout, tu es mon second papa et c’est normal que je t’embrasse !
Avec ce regard énamouré ?
Tu trouves ?
Oui ! C’est très flatteur mais… S’il te plaît, supprime-la !
Ok ! Je vais la supprimer. Bon, les autres, on peut les envoyer à maman ?
Oui. Envoie-les-moi aussi. »
Au retour de notre séjour, en entrant au salon, on va se retrouver au salon face à l’une des photos que sa mère a déjà agrandie, imprimée en grand et mise sous cadre. Elle l’a posée bien en évidence sur le bahut. On est restés scotchés quelques secondes. Estomaqués. Pour ma part, je « voyais » clairement notre complicité. J’étais tellement surpris que j’ai cru me trahir, d’autant que Léa était comme moi. Le regard que nous avons échangé alors était chargé autant de stupeur que de panique. Heureusement, ma femme, loin de se douter de la raison de notre mutisme, et toute heureuse de notre stupéfaction, lance :- « J’adore cette photo ! Vous êtes très mignons la dessus. Bien bronzés, heureux d’être tous les deux ! Je suis très heureuse que vous vous entendiez comme ça maintenant ! »Bien sûr, nous avions décidé d’arrêter là notre relation et nous nous y sommes tenus depuis, mais je suis sûr qu’à ce moment là, nous devions être rouge cramoisi ! Heureusement notre bronzage atténuait cela. Nous avons évité un bon moment de nous regarder et je sentais la chaleur en même temps que les battements intenses de mon cœur. Je suis sûr qu’il en était de même pour Léa. Nous étions comme à deux doigts d’une catastrophe qui aurait ruiné notre vie et celle de celle que nous aimons tous les deux. Je tremblais, Léa tremblait, à la limite des pleurs. Ma femme elle, continuait à babiller, inconsciente du drame qui se jouait. J’avais l’impression qu’elle allait ouvrir les yeux ! Se rendre compte que nous n’étions plus naturels, que quelque chose de grave s’était passé, mais non. Toute heureuse de nous retrouver. De nous voir bronzés elle n’a pas eu l’ombre d’un doute. Léa, et c’est sûrement la force des femmes, s’est reprise la première et a détourné la conversation sur le couple qui avait pris la photo et sur les heures de ski « super extras » qu’elle avait passées grâce à moi.
Ce jour là donc, après l’envoi des photos, j’ai appelé aussitôt ma femme pour la prévenir et lui raconter la journée. Bien sûr, je cache l’activité du matin et fais comme si nous avions fait notre balade de la grande combe, depuis le matin. Je connais assez celle-ci pour « inventer » plusieurs itinéraires différents. J’insiste sur le fait que maintenant Léa se débrouille bien et n’hésite plus à faire du hors piste.
« Tu es un bon prof ! Je suis contente que vous passiez un bon séjour ! Vous devez être fatigués !
Moi, ça va mais la petite est lessivée. Elle est partie sous la douche et je crois qu’elle va vite dormir !
Alors bonne nuit à tous les deux ! Tu me manques ! Je vous embrasse !» Si elle savait !
Je rejoins Léa sous la douche. Bien sûr elle me provoque et n’est satisfaite que lorsque je la prends debout sous le ruissellement de l’eau.
La petite ne perd pas le nord et me demande de la « préparer » pour sa première sodomie. Avec l’aide du tuyau de douche et du gel, je lui procure deux lavements légers. J’arrête l’eau dès qu’elle ressent la douleur du gonflement de son ventre. Je lui masse un peu, réduit le jet pour qu’elle soit bien pleine.
Elle rigole de son abdomen qui gonfle. « Je suis enceinte ! Tu m’as engrossée mon papa chéri ! » Bien sûr elle en rigole, mais c’est pour cacher son trouble lorsqu’elle doit se vider sur les toilettes voisines. Pour ne pas la gêner, je fais couler la douche afin de couvrir les bruits et je tourne le dos.
A la deuxième séance et m’interpelle :- « Cà te gêne de me voir faire ?
- Non. C’est plutôt pour ne pas te gêner à toi !
- Alors, je veux que tu me regardes ! Je veux avoir honte de ma position, du bruit et de l’odeur, mais j’ai envie de me montrer à toi pendant que je fais caca ! »Bien sûr, le spectacle de Léa déféquant nue devant moi, provoque une érection monumentale. L’odeur d’excréments est imperceptible, le premier lavement ayant bien vidé ses intestins. Il reste le bruit de cataracte quand elle se vide. Elle est émue et tente de le cacher. Rapidement elle termine. Je me penche pour l’embrasser alors qu’elle saisi ma queue dressée. Elle est attendrissante et a gardé l’innocence de l’adolescente qu’elle est encore alors que des femmes plus âgées n’oseront jamais se montrer ainsi devant leur amant.
« J’ai l’impression que ça t’as plut, beau-papa chéri. Je suis vicieuse n’est-ce pas ?
Tu es magnifique ! garde ta fraîcheur ! Fais attention tout de même. Si tu fais pareil avec un jeune amant, tu risques de le choquer !
N’aies crainte ! D’abord, je ne sais pas si je vais aimer me faire enculer. Ce n’est pas sûr que je recommence !
J’espère que je vais te faire aimer. Tu verras que tu jouiras aussi comme ça !
Maman, elle aime ?
Non ! Je ne l’ai jamais sodomisée. Elle refuse !
Eh bien ! Venge-toi sur la fille !
Non, je ne vais pas me venger. La question n’est pas là ! Je préfère que tu sois heureuse et je vais faire tout pour que tu aimes ! »Un dernier passage sous l’eau pour la nettoyer, puis direction la chambre. Je veux que nous soyons installés confortablement pour cette première. Je veux prendre mon temps et bien la préparer.
Léa se positionne à genoux sur le lit. Je cale des oreillers et coussins sous son ventre pour qu’elle soit décontractée au maximum, car je veux faire durer la préparation au maximum et qu’elle ne se fatigue pas. Offerte impudique, les fesses bien relevées, en attente. Sa croupe magnifique paraît encore plus large pour me recevoir.
Je commence par caresser ses fesses avant de plonger mon visage dans sa magnifique mappemonde. Ma langue s’attaque sur sa corolle fripée. Elle frémit, sa peau se granule. Je titille le petit œillet mauve du bout de la langue, pour le décontracter et je dois dire aussi pour mon plaisir personnel. J’adore lécher ce cul vierge. Je suis excité et l’abandon total de Léa ne fait rien pour calmer mes ardeurs. Je laisse aussi beaucoup de salive. Léa soupire et prend plaisir à cet anulingus. Elle se détend. D’un doigt, je force un peu le passage. Léa se crispe de ce premier contact mais sur mes conseils se relâche. J’ajoute du gel et mon doigt franchit la porte pour pénétrer les sphincters. Pour la première fois de sa vie, un corps étranger pénètre cet endroit secret En plusieurs fois, je m’enfonce totalement dans son anus. En tournant, j’assouplis sa cavité et j'entame des va et vient. Lorsque l’intromission est facile, je rajoute du gel, y compris à l’intérieur de son antre et immisce un deuxième doigt qui est très vite accepté par l’étroit conduit.
Léa se laisse faire, complètement confiante dans ce que je peux lui faire subir. Elle ronronne qu’en j’entame l’élargissement de sa corolle. Mes doigts coulissent maintenant sans problème, aussi j’en ajoute un troisième avec encore du gel. La pénétration devient plus difficile. Je lui conseille de pousser comme tout à l’heure quand elle se vidait. Tout de suite je me retrouve avalé. Je laisse un peu de répit le temps qu’elle s’habitue.
« Cà va ma chérie ?
O… Oui ! J’ai été surprise.
Tu as mal ?
Non, ça fait drôle de te sentir…. Là !
Je vais commencer à bouger. Mes trois doigts suffiront, en suite, ma bite rentrera toute seule ! »Je rajoute plusieurs fois du gel. Mes doigts coulissent maintenant facilement dans l’anus de Léa. Elle est ouverte, offerte, totalement en confiance. Il est temps maintenant de déflorer son anus. Mon cœur bat fort et je suppose celui de Léa aussi. Ayant retiré ma main, j’injecte une dernière lampée de gel j’en étale autour de l’anus bien ouvert maintenant. Je badigeonne ma queue et présente le gland à l’entrée de son cul.
« Tu es prête ? Maintenant je vais mettre ma bite. Je vais t’enculer ma chérie ! Tu m’arrêtes si tu as mal.
Oui ! Vas-y ! Je n’ai pas peur ! Mais fais lentement ! Je veux en profiter au maximum. Je sais que tu vas me faire du bien avec ta queue dans mon cul !»Cette petite est une merveille ! Elle me fait entièrement confiance. Il faut dire que je l’ai bien préparée et que nous en avions souvent parlé avant. Ça y est ! Je me positionne. De la main, je place mon gland sur l’orifice inviolé. Je pousse doucement ma bite au centre de la cible. Léa est détendue et c’est sans forcer que je passe se sphincters complètement détendus. Je déflore sa dernière virginité.
- « Ça va ? Tu n’as pas mal ?
Oh non ! C’est bon ! Vas-y ! Encule-moi ! Que c’est bon ce que tu me fais ! »
Je sors entièrement puis m’enfonce à nouveau. Je répète plusieurs fois l’opération. D’abord parce que c’est très agréable de sentir passer cette porte avec le gland. Que pour Léa aussi c’est très bon et que pour cette première sodomie, je veux que cela soit parfait, qu’elle n’ait que de bons souvenirs et qu’elle devienne adepte de cette pratique.
Peu à peu, je m’enfonce dans son rectum. Léa râle doucement, manifestant son plaisir. Quand mon ventre butte contre ses fesses, je m’immobilise.
-« Ça y est ma chérie ! Je suis au fond de toi ! Tu as mal ?
- Oh non ! Mais c’est gros ! Ça fait bizarre ! Laisse-moi m’habituer ! … Ça y est ! C’est trop bon ! Je suis une enculée ! Papounet c’est bon quand tu m’encules ! Vas-y maintenant, baise-moi ! Démonte–moi !»Alors j’entame la danse éternelle du mâle. Lentement tout d’abord, puis encouragé par ma belle, j’accélère mon piston.
Ma bite est bien serrée dans l’étroit conduit. Je demande à Léa de se caresser le clitoris en même temps, afin de faire monter son plaisir. Elle feule, gémit, grogne, puis éclate.
- « Oh oui ! C’est bon ! Je vais jouir… par le cul ! Continue ! Défonce-moi ! J’aime ça ! Vas-y mon chéri ! Viens ! Je veux ton jus dans mon cul ! Je suis une enculée ! Aime-moi ! Aime-moi ! Viiiieeeennnnnsss ! »J’ai retardé au maximum la montée de mon sperme, mais Léa en jouissant contracte ses sphincters et muscles internes puissants et en criant, j’éjacule dans son fondement. Je ralentis peu à peu pour prolonger le plaisir de la sodomie. Léa ronronne doucement. Son corps rougi par le plaisir, dégage un parfum subtil et aphrodisiaque. Abandonnée ainsi. La tête dans ses bras, les fesses hautes, Léa est splendide. Dire que cette beauté est ma belle-fille et que je viens de la sodomiser ! Cette vision m’électrise et je reprends aussitôt mes pénétrations. Léa soupire, puis s’abandonne à nouveau avant de monter en gamme et d’en redemander encore.
- « Oh oui salaud ! Encule-moi encore ! C’est bon ta bite dans mon cul ! J’adore ! Salaud ! Salaud ! Salaud ! Que c’est bon ! Oui, vas-y ! J’aime ta queue ! Que c’est bon de se faire enculer ! Vas-y ! Oui !!!!
Un deuxième orgasme nous terrasse. On s’écroule tous les deux, toujours emboîtés le temps que ma queue se rétracte. Je n’en reviens pas d’avoir ainsi sodomisé ma belle-fille. En deux jours, nous avons transgressé tant d’interdits !
Pour la laisser se reprendre et la libérer de mon poids, je roule sur le lit et m’étale pour moi aussi reprendre mon souffle. C’est alors qu’elle se tourne et plonge sur ma queue et l’avale alors qu’elle sort juste de son cul ! Je veux l’arrêter, mais elle repousse mon geste, se redresse pour lancer « Elle sent mon cul, mais c’est pas mauvais. J’ai lu que les grandes salopes font ça, alors je veux être une grande salope ! Elle replonge et suce, lèche à grands coups de langue.
Son traitement, bien sûr, fait que mon sexe ne mollit pas alors que je viens d’éjaculer deux fois ! Je suis bientôt opérationnel et Léa, grimpant sur moi, m’enjambe et s’empale sur mon vit dressé. Ce n’est que quand elle pose ses fesses sur mon ventre que je me rends compte, qu’elle l’a remis entre ses fesses. Mon sperme s’écoule alors sous l’effet des mouvements. Elle se relève et c’est dans sa chatte qu’elle l’enfile.
Elle alterne les pénétrations et jouit une dernière fois en se couchant sur moi, essoufflée et transpirante elle m’embrasse sauvagement.
« Ça fait drôle dans mon cul ! J’ai une impression de vide. Il va se refermer quand même ?
Ne t’inquiète pas ! Avant je vais te passer une pommade, car tu dois être irritée et avoir l’impression de vouloir aller à la selle.
C’est vrai ! Mais c’est agréable malgré tout. On dirait que ça me manque d’avoir ta bite dans mon cul.
Petite coquine vas ! »Après l’avoir mise à quatre pattes, je ne résiste pas au plaisir de lui lécher le cul. Elle glousse et me traite de vieux dégueulasse, puis apprécie la caresse. Ensuite, j’enduis son conduit et sa corolle de crème apaisante. Petit à petit, son trou se referme. Je lui fais passer un doigt dessus pour qu’elle se rende compte que la situation est redevenue normale.
Léa me remercie une nouvelle fois de lui avoir fait connaître cette pratique soit disant non naturelle. Elle n’a pas souffert contrairement à ses craintes et confirme qu’elle adore ça et que dorénavant elle n’hésitera pas à la pratiquer. Je lui conseille toutefois de le faire avec un partenaire habitué et prévenant.
« Avec toi, quoi !
Jusqu’à la fin de la semaine, oui. Je te rappelle notre deal !
Bien sûr mon beau-papa chéri ! Je vais te rendre à ma mère !
Mais tu ne m’as jamais pris à ta mère ! Je te rappelle ta petite séance dans le dressing !
Oui, mais à ce moment là tu ne me baisais pas !
D’accord ! Mais ça y ressemblait. Par contre dès samedi soir, ce sera fini ! »Dans la nuit, je suis réveillé par sa bouche qui a pris possession de ma queue. Je regarde Léa qui « joue » tranquillement. Elle ne cherche pas à me faire jouir, mais simplement à s’amuser. D’ailleurs quand elle se rend compte de mon réveil, elle ne change pas de rythme.
« J’aime sucer en fait. Te faire bander peu à peu. Tu sais que c’est la troisième fois que je le fais ? Les deux premières tu ne t’es pas réveillé, pourtant tu étais bien dur ! Quand j’arrête tu débandes, alors j’ai plaisir à reprendre la bite rétrécie et à la regonfler. J’adore !
Mais tu es une vraie…Salope ? Non, pas encore ! Mais je ne me pose pas de question. Je fais ce qui me fait envie.
Tu as bien raison ! Continue comme ça, tu prendras de plus en plus de plaisir.
Maintenant que tu es réveillé, j’ai envie…Comment veux-tu qu’on fasse ?
C’est toi le professeur.
D’accord, mais il est bien aussi d’avoir des idées.
Je voudrais… debout, face à la vitre !
On ouvre les volets ?
Oui ! Mais pas la lumière.
Tu as raison, quelqu’un pourrait se plaindre. Quel scandale ! Même s’il n’y a pas beaucoup de risque à cette heure.
On verra dehors ce sera chouette ! »Léa se lève et va se mettre contre la baie vitrée, les mains posées sur la vitre, jambes écartées, les fesses en arrière. Un vrai appel au sexe ! Je m’agenouille pour lécher sa fente et son petit trou. Je me régale de son suc qui coule déjà de sa chatte. Je la fais pencher un peu plus, me relève et présente ma bite sur son trou.
Je pénètre son antre. Bien serré dans cette chatte étroite, je pistonne Léa lentement, faisant ressortir ma queue pour mieux la replonger au fond de sa matrice.
« Tu te régales coquine ! Imagine qu’un homme nous observe depuis un des appartements en face !
Oh non ! C’est pas possible !
Je suis sur que ça t’excite.
Oui ! Non ! J’ai honte !
Tu es belle et personne ne nous connaît. Profite de ce fantasme, ça fait partie du plaisir »Il n’en faut pas plus pour Léa n’éclate dans un premier orgasme. Je m’arrête, pour le plaisir de sentir les parois de son vagin se contracter sur ma bite, puis quand cela se calme je recommence. Par trois fois, Léa jouit avant que ses jambes ne lâchent. Je la soutiens, mais elle me veut dans sa bouche. Elle se retourne, saisie ma queue et agenouillée, bouche ouverte, attend sa récompense. Cette petite est une diablesse. A la main, je me finis et elle reçoit mon sperme qu’elle garde un peu sur la langue avant de l’avaler.
A ce moment, je ne sais pourquoi, de façon impulsive je me tourne vers la baie vitrée et lève le pouce comme pour remercier un éventuel spectateur. A ma grande surprise, je vois une lumière s’allumer trois fois, comme un signal !
Nous avions un observateur ! Je le signale à Léa qui tout d’abord veut s’échapper, mais je la persuade que celui, ou celle qui nous matait ne pouvait le faire qu’avec des jumelles à visée nocturne, c'est-à-dire qu’il nous voyait en vert et noir, ne pouvant nous identifier.
Nous le saluons tous les deux de la main et le signal se répète. Sur ce, nous retrouvons notre lit, hilares !
« Tu te rends compte que tu étais vierge il y a trois jours, que tu ne l’es plus, que tu te fais sodomiser par un vieux et que tu te montres en spectacle à des étrangers ! Je suis sûr que de nombreuses femmes ayant le double de ton âge, n’ont jamais fait tout ça !
C’est de ta faute beau-papa ! Tu es un trop bon professeur et tu me fais aimer le sexe. »Le lendemain matin, au lever, une silhouette me salue à la fenêtre de l’appartement d’en face. Il lève son pouce à son tour, puis referme la vitre. Pour ne pas effaroucher Léa, je lui cache cet épisode, mais je me dis que cet homme, nous pourrions le croiser dans la station sans le reconnaître alors que lui nous connais. Je me promets de ne pas nous exposer dans une situation équivoque de jour et qu’il puisse nous compromettre.
La semaine se passe avec un rituel. Le matin, nous ne skions pas. La nuit a souvent été longue (et le sommeil court) Nous jouons toute la matinée en restant nus, nous provoquant, nous suçant ou faisant l’amour dans tous les coins du chalet. Par précaution les rideaux restent fermés. Léa adore me provoquer penchée sur l’évier, tendant sa croupe en arrière. Elle tourne son regard vers moi. La coquine est certaine que je vais lui mettre ma bite. La seule question est de savoir où. On s’amuse comme des gosses. Le ménage ou la vaisselle, tout est prétexte à une caresse. Léa a institué une règle : à midi c’est l’heure de l’apéritif. A cette heure elle me suce où que je me trouve et avale mon sperme. J’ai eu beau protester, elle ne me lâche qu’après avoir reçu sa récompense et la maligne sait parfaitement amener son homme au plaisir.
Dernière après-midi de ski. J’aperçois le couple habituel, mais j’ai envie de profiter de ces moments, seul avec Léa. Je la fais accélérer. Comme elle suit bien maintenant et que je fonce vers la grande combe, ils nous laissent tranquilles.
C’est notre dernier soir avant de retrouver la vie « normale » et de terminer notre aventure. Pour l’occasion, j’invite Léa au restaurant pour un dîner « en amoureux ». Pour l’occasion, elle s’est bien maquillée, coiffée, tout en laissant libres ses longs cheveux blonds. Elle s’est habillée avec soin. A revêtu sa petite robe noire qui la moule, remis les bas du premier soir et je sais que dessous elle est nue. C’est une bombe ! Elle paraît avoir vingt cinq ans. Les regards de certains hommes lors de notre arrivée le confirment. Comme elle a pris goût au champagne, je décide de prendre une bouteille pour l’apéritif et le repas.
Alors que nous dégustons la première coupe, les yeux dans les yeux le couple que nous connaissons arrive. Ils nous saluent. La femme fait une bise appuyée à Léa. Voyant notre bouteille, elle demande à son mari de faire de même.
« Tu as un ticket avec la femme. Dis-je doucement à Léa quand ils se sont éloignés.
Tu es fou ! Je…Tu es très belle ce soir et elle a plongé ses yeux brillants dans ton décolleté, d’ailleurs elle te mate en ce moment. » Le couple est placé de trois quart dans le dos de Léa, à quelques tables. « Tu veux t’amuser et Vérifier ?
Comment, ça, mais je ne …Allez ! Fais-moi plaisir, Va aux toilettes et en passant près de leur table fais un beau sourire à la dame.
Et alors ?
Je te parie qu’elle va te suivre aux toilettes.
Tu es fou ? Mais …Et alors ?
Après, c’est ton problème.
Tu ne penses pas que…Au contraire, je pense que… Tu ne risque rien. Peut être un baiser ?
Je ne suis pas une …Tu es vraiment un malade ! Un pervers !
Si ce n’était pas le cas, nous n’aurions pas ces relations et nous ne serions pas là. Il faut tout de même être un peu pervers pour baiser avec sa belle-fille et de plus quand on a trois fois son âge ! Dis-toi que ça fait partie de ta formation. Dimanche matin, tu feras ce que tu voudras. »Un peu hésitante, Léa avale son verre d’un trait, se lève, passe devant la table du couple. Elle doit sourire à la femme, car celle-ci rougit un peu et lui rend un sourire crispé. Son cœur doit s’emballer. Au passage, la main de Léa caresse très discrètement le bras de la femme.
Léa n’est pas encore entrée dans les toilettes que de ma table, je vois la femme se lever quelques secondes après avoir parlé à son mari et se diriger à son tour vers le fond de la salle.
L’absence des deux femmes dure assez longtemps pour l’observateur vigilant que je suis. Léa ressort la première. Je remarque son regard brillant et ses cheveux légèrement défaits. Elle arrive à notre table alors que la femme sort à son tour des toilettes. En s’asseyant, elle a un regard un peu perdu dans notre direction. Se reprenant et voyant que je l’observe, elle me sourit.
Léa, elle, ne sait plus trop comment se tenir. Elle redevient une petite fille prise en faute.
« Alors ? Tu me racontes ?
Je… J’étais devant la glace. Elle est arrivée derrière moi… Elle s’est collée à moi en passant ses bras sous les miens pour attraper mes seins. Elle m’a embrassée dans le cou en nous regardant dans le miroir. Elle m’a dit : « Tu es très jolie ! Ça fait cinq jours que je bande pour toi !» Elle m’a retournée et m’a embrassée sur la bouche.
Tu as aimé ? Dis-jeO… Pas tout de suite, mais… oui. C’était bon !
Et après ?
Elle m’a entraînée dans une cabine et refermé derrière nous. Là, elle m’a à nouveau embrassée en caressant mes seins.
Tu mouillais ?
O… Oui !
Ensuite ? Vous êtes quand même restées un moment !
Elle a passé sa main sous ma robe et m’a caressée. « Petite coquine ! Tu n’as pas de soutien gorge ni de culotte ! Je savais que tu étais une salope ! Ton grand père est aveugle s’il ne voit pas comment tu es !» Elle a pris ma main et l’a guidée entre ses jambes. Sa culotte était toute mouillée. C’est alors que… J’ai joui !
Super !
Elle a mis ses doigts sous son nez et m’a dit « tu sens bon ! » A la fin, elle a relevé sa robe, a descendu sa culotte et me l’a donnée « souvenir »Tu l’as là ?
O… Oui !
Donne-la-moi »Discrètement elle me glisse le sous-vêtement que je porte à mon nez et respire les effluves intimes de la femme. Les fragrances sont agréables. La femme a vu notre manège. Quand je la regarde en souriant, elle comprend que je suis complice de Léa. Suis-je vraiment son grand père, ou son vieil amant ?
Le couple finit son repas avant nous et en passant, s’arrête pour nous souhaiter une bonne fin de séjour. La femme, passe sa main sur les épaules de Léa qui frissonne. Elle l’embrasse rapidement très près des lèvres Dans le mouvement, elle fait tomber une carte sur les genoux. Manifestement, la femme a bien envie de revoir ma petite chérie.
« Tu as aimé faire ça avec cette femme ?
C’était agréable.
Tu aurais envie d’aller plus loin ?
Je… Je ne sais pas…Si tu as l’occasion à l’avenir, profites-en. Tu n’as plus qu’à l’appeler, puisque tu as son numéro maintenant !
Ah ! ça aussi tu l’as vu ?
Tu croyais peut-être me le cacher ? Ça prouve que tu es intéressée petite coquine ! Ne t’inquiètes pas je trouve ça très bien. Régale-toi avec cette salope !
P… Beau-papa. Tu es vraiment… Trop chou ! Je t’adore ! Tu crois que je vais…Devenir gouine ?
O… OuiJe ne crois pas, tu aimes trop la bite. Mais tu aimeras autant les femmes que les hommes ! Ce que tu aimes c’est le sexe. Alors profite de la vie ma chérie et baise avec les hommes et avec les femmes. Éclate-toi !
Y’en a pas deux comme toi quand-même ! Et je suis tombé dessus ! Je t’adore papounet ! Merci pour tout !»Pour ne pas tomber dans le mélo, je lève mon verre à ses amours. Je dois avoir la même petite larme d’émotion au coin des yeux que Léa. Ma gorge se serre. Ses yeux au fond des miens me disent tout son amour. Un silence très fort s’installe quelques secondes. Sur ses lèvres, je lis ces paroles interdites « Je t’aime ! » De la même manière je lui dis « Je t’aime ! » A ce moment-là, nous ne nous mentons pas. Nous sommes plus proches que jamais. D’un trait nous finissons notre verre. Le garçon qui apporte l’addition permet d’interrompre ce moment inouï.
Dernière nuit. Léa veut que nous passions en revue toutes les positions « une sorte de révision des cours » dit-elle en riant. Le moment d’émotion, j’allais dire de communion au restaurant est passé. Nous nous retrouvons sur le terrain du sexe qui est après tout, plus facile.
Tout y passe. Masturbation individuelle et réciproque. Fellation, cunnilingus et anulingus. Soixante neuf. Pénétration vaginale et anale. A la missionnaire, en levrette, en cuillère, en amazone. Le Kamasoutra revisité !
Léa, qui ne manque pas d’imagination pour son âge, veut aussi me sodomiser avec le gode.
« Quand je te mets un doigt dans le cul tu aimes ! Tu m’encules, alors moi aussi je veux t’enculer beau-papa. Tu m’as bien dis que n’avais pas de tabou hors la merde et la violence ?
Oui ! mais ça ne se fait pas d’enculer son beau-père !
Ça ne se fait pas non plus de baiser et d’enculer sa belle-fille ! » Léa sait qu’elle a gagné, aussi elle s‘amuse. « Allez beau-papa, à genoux ! Donne-moi tes fesses ! Je me demande si je ne te mettrais pas une fessée pour avoir discuté !
Si ça te fais plaisir…Espèce de vieux vicieux dégueulasse ! Tu vas voir, je vais te corriger ! Je vais te punir d’avoir baisé ta belle-fille ! De lui apprendre le vice ! Allez ! Lève ton cul ! »En position j’attends la correction promise. Devant cette situation bizarre, une jeune fille s’apprêtant à fesser son vieux beau-père, ce qui n’est tout de même pas si courant, Léa hésite. La première claque n’est pas forte. Je lui réclame d’y aller plus fort en lui recommandant d’alterner les fesses. Bientôt les claques tombent plus fortes. Léa se prend au jeu. Mes fesses me brûlent et doivent être rouges !
Je ne dis rien et j’endure la douleur. Heureusement, Léa se fatigue.
« Mais, mon salaud ! Tu bandes ! Ça te plaît ce que je te fais ! Tu aimes prendre la fessée !
C’est plus courant que tu ne le crois ! Je suis sûr que toi aussi tu es excitée ! Vas-y encules-moi ! Je suis prêt ! »Saisissant le gode, elle le badigeonne de gel et l’enfonce sans coup férir au fond de mon cul. La cochonne m’encule énergiquement. Je sens le plaisir monter dans mes reins. Je lui demande d’arrêter car sinon je vais jouir et ne serais plus bon à rien.
- « Fais-moi plaisir ! Je veux te voir jouir comme ça ! Je te réveillerai cette nuit et demain matin, je suis sûre que tu seras opérationnel ! »Elle m’achève alors en accélérant le rythme. Me prend la bite en main et ne tarde pas à me faire éjaculer.
J’ai un peu honte ensuite de m’être laissé faire et de m’être montré dans cette posture pas très virile, mais Léa me rassure très vite en me remerciant chaleureusement de lui avoir permis cela.
« Tu ne garderas pas l’image de ton beau-père, le cul en l’air, un gode enfoncé dans les fesses et jouissant ainsi, comme une femelle ?
Non ! Je garderai l’image d’un accord total entre nous et j’espère trouver un jour un amant qui soit à ta hauteur et qui accepte tout ce que tu m’as appris pendant cette merveilleuse semaine ! »C’est un peu émus, les larmes au coin des yeux, qui nous nous enlaçons, nous embrassons et nous endormons. J’ai rarement connu un tel moment de communion et il faut que cela soit avec ma belle-fille ! J’espère moi aussi qu’elle connaîtra cela plus tard avec d’autres amants.
Nous sommes un peu fatigués et tristes, le samedi matin. Ce soir nous reprendrons la vie normale et les rapports normaux entre beau-père et belle-fille. Il faudra ranger au placard ces merveilleux moments. Nous passons la matinée à nous caresser, nous embrasser, à pleurer aussi. En une semaine, Léa s’est transformée, c’est frappant. On est maintenant très proches, et pour cause !
Après le repas, nous passons deux heures à tout nettoyer et ranger avant de rendre les clés. Au moment de passer la porte, Léa se jette à mon cou et m’embrasse fougueusement. « Merci ! Merci pour tout ! Je n’oublierai jamais !» Moi non plus je n’oublierai jamais.
Dans la voiture, nous avons plus de trois heures de route, les premiers kilomètres dans la descente de la station, se font dans un silence pesant. Arrivés dans la plaine, Léa s’endort. Après deux heures de temps je m’arrête pour une pause. Café, toilettes et on repart. Au moment ou nous quittons l’autoroute. Léa pose sa main sur mon bras.
« Avant d’arriver… J’ai envie… Une dernière fois…Ce n’est pas raisonnable.
On a dit jusqu’à samedi soir. Tout à l’heure tu vas retrouver maman, mais jusque là…C’est de la folie ! A ce compte là on n’arrêtera jamais ! Il y aura toujours un prétexte ! Il vaut mieux rester comme ça !
S’il te plaît ! Mon papa chéri ! Je te promets que c’est bien la dernière ! J’ai appelé mon copain, le vieux de vingt cinq ans, Je le vois demain et je pense qu’il a très envie de me baiser ! Depuis le temps qu’il attend !... Tiens ! Regarde ce chemin, là ! Vas-y ! »Au fond du chemin, sous les arbres, nous allons faire l’amour une dernière fois. Inconfortablement on va se sucer, se lécher, et puis, à cheval sur mes cuisses elle va me chevaucher. Magnifiquement nue et transpirante dans l’habitacle surchauffé dont les vitres se sont couvertes de buée, elle jouit une ultime fois, ma queue enfoncée dans son vagin qui m’arrose de son délicieux suc de femme.
Ça sent le foutre dans la voiture ! On aère tout d’abord, puis on fume vitres fermées. Le siège n’a pas trop souffert. Une dernière fois j’admire le corps superbe de Léa.
- « Je ne peux pas te photographier, mais je veux garder ton image gravée au fond de moi ! Tu es devenue si belle que je serai jaloux de tous les hommes qui t’approcheront. Tu m’a fais un magnifique cadeau, comme peu d’hommes en ont eu ! »Léa m’étreint. Elle est aussi émue que moi et nos larmes se perdent dans un baiser profond qui dure longtemps, longtemps... Enfin, il est temps de se rhabiller. La fin du trajet se passe à nouveau dans un silence pesant. Je roule lentement comme pour prolonger éternellement ce moment de bonheur intense.
Arrêté devant la maison, avant de descendre de la voiture, on se regarde en silence. On scelle ainsi cet accord qui nous déchire, mais qui est le seul possible. J’ai envie et Léa sûrement aussi de la serrer une dernière fois dans mes bras. Mon cœur bat comme un fou. Heureusement, ma femme qui a entendu la voiture, ouvre la porte de la maison, se dirige vers nous et interrompt involontairement ce moment.
Après avoir vidé la voiture et rangé le matériel, c’est la fameuse surprise quand on tombe sur la photo de nous deux, encadrée. On réussit à se reprendre et on se pose, enfin on s’affale dans le canapé du salon. Vidés autant du voyage, de la semaine de ski, de nos folies sexuelles, mais surtout de la forte émotion des dernières heures.
Malgré cela, ma femme nous trouve resplendissants, quoi que fatigués ! Il faut absolument qu’on lui raconte notre séjour. Heureusement, les matinées de ski se transforment facilement en journées. Le couple est non seulement collant, mais devient dans le récit, quasi permanent et la longueur du retour est justifiée par une sieste imposée par la fatigue de la conduite et le changement d’altitude.
Avant le coucher, je prends une longue douche, effaçant toute trace pouvant rester de nos amours. Au lit, ma femme est motivée.
- « Une semaine sans toi ! J’ai trouvé le temps long ! Viens ! Fais-moi l’amour ! »Essayant d’estomper les images de Léa je rends hommage à ma femme. J’adore lui faire l’amour et peu à peu je retrouve les bons gestes pour la faire jouir. Je lape avec toujours autant de plaisir sa chatte qui coule et elle crie quand, d’une levrette un peu brutale, je l’emmène au plaisir.
« Tu ne trouves pas que Léa a changé cette semaine ? Me dit-elle alors que nous reposons serrés l’un contre l’autre.
Comment ça ?
Je la trouve mûrie, grandie, plus joyeuse.
C’est vrai qu’elle a fait de gros progrès au ski et maintenant passe partout avec assurance. Mais c’est vrai aussi qu’on a beaucoup parlé entre nous.
Ah bon ? Et de quoi ?
De ses problèmes de jeune fille, de nos rapports de l’un à l’autre, elle se posait beaucoup de questions.
Et lesquelles ?
Tu es curieuse toi ! De questions que l’on ne pose pas à sa mère. De comment elle devait se comporter avec les garçons, de ses complexes, de son copain actuel… Elle s’est excusée d’avoir été désagréable avec moi au début de notre relation avec toi. Je lui ai répondu que c’était naturel, que je ne voulais pas prendre la place de son père. Elle m’a dit qu’elle ne parlait jamais comme ça avec son père. C’est vrai qu’on est devenus un peu plus complices pendant ce séjour, presque copains !
Je suis contente que ça se passe bien entre vous. La prochaine fois, j’espère pouvoir venir avec vous.
Je pense que la prochaine fois, nous serons seuls, il me semble que son copain actuel va être un peu plus présent.
Tu le connais ?
Non, je sais simplement qu’il a presque vingt cinq ans.
Mais, ce n’est pas possible ! elle a tout juste…Dix huit ans ce qui fait à peu près le même écart qu’entre nous ! Les filles d’aujourd’hui sont beaucoup plus au fait qu’autrefois.
Elle n’est plus vierge ?
Tu en doutes ou quoi ? Rassure-toi, ta fille a la tête sur les épaules ! C’est fini la petite ado un peu fofolle !
En tout cas merciMerci de quoi – je suis un peu gêné –Tu t’es bien occupé de ma fille et cela lui a fait du bien. Elle est belle n’est-ce pas ?
Oui ! Je sens déjà des têtes qui vont tourner. Tu peux être fière d’elle ! Maintenant dodo ! La semaine a été rude pour mes vieilles jambes. Elle se débrouille rudement bien skis aux pieds ! Il a fallu que je cravache !
Ça t’a fait du bien à toi aussi cette semaine, ça se voit, tu es en forme – ça elle peut le dire – OK, ok, dodo» Sur un dernier baiser on s’endort, ma tête remplie d’images de Léa nue !
Le lendemain, à son habitude, ma femme part faire des courses. Léa arrive nue dans ma chambre.
« On a décidé que c’était fini !
Oui ! Je sais. Ne t’inquiète pas ! Je dors nue maintenant, j’ai pris l’habitude avec toi. Je voulais venir te dire encore merci. Après tout, tu connais tout de moi, alors que je sois nue ou pas c’est pareil !
Pas tout à fait, tout de même !
Bon, d’accord. Je n’ai pas réfléchi. Je ferai attention à l’avenir. Merci encore ! » Elle m’embrasse sur les lèvres et en partant, hilare, me lance : « Tu peux aller te branler sous la douche beau-papa ! Tu bandes encore fort, malgré tes prouesses avec maman ! »La semaine de travail reprend. Maintenant, tous les matins, Léa me fait la bise. Le lundi matin suivant elle me glisse « Merci ! Hier j’ai profité de tes cours !» Le vendredi, elle nous annonce qu’elle part le soir même passer le week-end avec Lionel – on connaît maintenant son prénom - et qu’elle ne rentrera que dimanche soir. Sa mère s’étonne un peu et l’interroge sur ce Lionel. Elle le trouve trop âgé, mais Léa ne cède pas. A bout d’arguments, sa mère abandonne et s’éloigne. Léa me fait un clin d’œil et me glisse « Ce week-end il me fait la totale !
Ça s’est bien passé alors ?
Pas mal ! Il est peut-être mieux équipé que toi, mais il manque de technique ! » Les semaines passent et le calme est revenu dans la maison. Léa nous a présenté Lionel et ils nous ont annoncé vouloir vivre ensemble chez le garçon. La proposition a eu du mal à passer avec sa mère, mais je lui ai suggéré qu’il fallait que sa fille fasse des expériences et autant le faire le plus tôt possible.
« J’espère qu’elle ne va pas faire de bêtises !
Tu penses à quoi ?
Tu sais bien !
Tu m’as bien dis que Léa prend la pilule depuis un moment déjà ?
O… Oui !
Tu sais, pour le reste, elle est plus mûre que tu ne le crois et très au fait de ce qu’elle peut attendre d’un garçon et elle ne se laissera pas faire. Je suis sûr que si elle a un problème, elle se confiera.
Elle t’en a parlé ?
Oui. Pendant le séjour au ski, on a beaucoup discuté.
Il me semble, oui, et vous êtes devenus beaucoup plus proches.
Ça te gêne ? On est trop proches ?
Non ! Pas du tout ! Au contraire ! Je trouve que cela lui a fait du bien. Vous avez parlé de quoi ?
Tu es bien curieuse ! De tout, de cul, des mecs. Tu sais, Internet aujourd’hui apporte beaucoup d’informations.
Tu ne lui as pas montré tes sites de cul tout de même ?
Elle n’a pas besoin de moi pour les trouver. Tu n’as jamais mis de contrôle parental ?
C’est vrai ! Bon, c’est sûrement plus facile de parler avec toi qu’avec son père ou moi. »Léa est totalement épanouie. Nous n’avons plus jamais parlé de notre aventure, ni eu d’autres rapports. Cela n’empêche pas, quelques allusions ou quelques regards entre nous à l’occasion.
Quelques mois ont passé. Les deux tourtereaux ont décidé d’officialiser leur relation et entrevoient de se pacser. Lors de la soirée où ils nous l’ont annoncé, Léa m’a glissé : « Je lui ai fais quelques fois un peu peur par mes demandes au lit… et ailleurs, mais finalement il est très content d’avoir une femme complètement libérée ! »
Léa m’a fait un dernier « cadeau ». Un an après notre séjour à la neige, Léa m’appelle et me demande de passer la voir à son appartement. Je suis maintenant à la retraite et peux donc me libérer facilement « Viens prendre le café cet après-midi ! »Nous sommes maintenant très à l’aise entre nous. Léa me confie souvent ses pensées et ses réflexions sur son amoureux, sur l’histoire récente et même sur la politique, ce qui a le don d’énerver sa mère.
Léa a besoin d’un conseil pour aménager leur appartement. Les deux tourtereaux ont en effet envie de l’acheter. Nous sommes en pleine discussion lorsqu’on sonne à la porte. Léa revient rapidement en compagnie de …. La femme du couple rencontré au ski l’année précédente. Elle semble surprise de me trouver là, d’autant qu’elle avait enlacé Léa.
« Tu le reconnais ? lui dit LéaO… Oui. C’est… C’est, ton grand-père !
En fait, vous l’aviez peut-être soupçonné. Ce n’est pas mon grand-père. – Mais ! Que fait-elle ? – C’est, ou plutôt c’était mon amant ! - Stupeur de la femme et soulagement pour moi. Ell
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