Léa, une fille HDS - histoire érotique

C'est un copain d'ici, DSK ou un nom comme ça, qui m'a parlé de Léa. Lui était plutôt branché manga et en pinçait pour cette bombasse de Yûma, fille à forte poitrine, ange déchu, toujours prompte à se faire mettre.
Il passait ses nuits à se branler en imaginant la fille transformer en divers personnages féminins, Katherine, Noémie, Cloé, Amina, Manon, Laura, Sonia, Leila, Franchesca, Sarah, Eva et Marie-Laure. Et il écrivait...

Mais quand il nous a décrit cette Léa, on a tous compris que c'était l'élue, on a tous compris que celle-là était bonne et que si nous devions nous intéresser à l'un ou l'autre de ses fantasmes, c'était sur celui-là qu'il fallait porter nos regards ... enfin pour celui-là qu'il fallait bander.

Bien entendu aucun d'entre-nous n'imaginait qu'elle pût être réelle.

Sauf moi peut-être. Moi, j'avais compris que ce gars-là qui nous racontait, semaine après semaine, ses bonnes aventures rêvées, avait en réalité un vrai béguin pour l'une des filles de son gynécée. J'avais compris, qu'au milieu des vingt filles qu'il nous racontait, une seule était vraie, sa Léa.

Alors je me suis dit, si cette fille le fait bander au point qu'il nous tartine des chapitres entiers de baise, c'est qu'elle doit, la luronne, mériter le détour, peut être même le déplacement.

Faut dire que ce copain est un peu long à la détente. C'était comme qui dirait le contraire d'un rapidos. Dans notre communauté on disait de lui qu'il était éjaculateur tardif. Est-ce un compliment ou un reproche ?

Je connais plein de filles qui en rêvent ... de se faire limer sans relâche par un mec qui jamais ne s'ébroue.
Les précoces, chez les gonzesses, n'ont pas bonne presse.

Bon, tout ça pour vous dire que je l'avais convaincu de me présenter cette fameuse Léa, bien sous tous rapports surtout avec ce 95D de bon augure.

*

La fille est arrivée avec un petit sac à dos, en short coton noir deux tailles trop grand qui vrapait ses hanches et flottait sur ses cuisses de grenouille et d'un haut débardeur clair qui moulait les fameux bonnets D comme bonheur du monde.

Je lui ai expliqué que la marée descendait et qu'il ne fallait pas traîner si on voulait appareiller et partir sans être obligés de tirer le 420 sur le sable jusqu'à l'eau.

Léa était fille solide, grande et musclée et a été d'une réelle aide pour monter les voiles et régler les agrés.

Je m'interrogeais sur la réelle, ou non, nécessité de lui faire chausser le gilet de sauvetage orange fluo qui allait définitivement ensevelir les beaux nibars dans des volutes bidendum sans attrait.

J'ai néanmoins jugé qu'il était préférable de respecter les règles de navigation et elle s'est enroulée dans le carcan de nylon cartonneux. Elle m'a dit en souriant, c'est demi-peine, mon short reste épargné de ton gilet anti-flirt orange.

Son short noir était une invite au viol. Un lien de coton noir faisait ceinture à sa taille mais c'était bien là le seul endroit où le tissu contactait son corps. Autour des cuisses il y avait large marge et grande ouverture en particulier entre celles-ci.

Entre celles-ci il n'y avait qu'un fin fil qui laissait voir, du moins imaginer, au sein du noir frisotti, ses plis sombres secrets.

Léa était ce que l'on appelle une jolie fille. Et bien que ses seins en poire aient été écrasés par les rigidités du gilet de sauvetage, elle savait animer la conversation par les échancrures de son short noir.
Nous avons pris la mer, au largue, tranquilles. Léa bordait le foc, bordait trop. Je lui dis, choque. Elle me regardait, étonnée, ça te choque qu'on fucke ? Mon copain ne m'a pas habitué à ce langage. Lui il fucke sans désemparer, enfin, sans débander. Jamais. Lui, l'a du mal à décharger, alors il lime, lime, en éternité.

J'ai dit, va, on va changer d'allure juste après la bouée. Tu pourras te mettre au rappel. Je pensais, elle sera les pieds sous la sangle complètement tendue hors du bateau, la tête à toucher l'eau et moi je materai sa vulve toute trempée des embruns et je m'imaginerai qu'elle mouille du désir de se faire enfiler.

Au plus-près-serré le dériveur gîte un max et l'on est presque debout à la barre à jouer de vague en vague pour garder le cap. L'écoute est bloquée au taquet, la main gauche est crispée sur le stick, la main droite est libre. Libre mais sacrément sollicitée par les neurones libidineux. La force d'âme qu'il faut pour ne pas l'y mettre est inouïe, je ne vous dis pas.

Surtout quand on n'a que ça sous les yeux, les chairs roses de Léa au creux des plissés sombres noyés dans le velu qui débordaient, ses chevilles trempées des coups d'eau embarqués tendant la sangle de rappel.
Le short noir faisait contraste du gilet fluo et attirait l'œil de ses béances sur le fantasme absolu.

Lieu de surveiller le faseyement du foc et la direction des pénons, je matais sans vergogne la moule de Léa que celle-ci exposait aux embruns, probablement en espoir de calmer ses chaleurs.
Enfin plus exactement pour me faire bander car la coquine avait repéré mon extrème appétence pour ses chairs plissées.

Après long bord de près, j'ai décidé de mouiller à l'île. Nous étions à l'étale et j'ai tiré au grand largue dans rien de fond au milieu des algues vertes comme un gazon poussé haut. Le bateau s'est immobilisé doucement sur le haut fond vaseux et je savais que nous avions au moins une heure de calme pour batifoler. La marée s'inversera et nous pourrons repartir. D'ici-là, Léa, on va baiser.
Léa me regardait ennamourée. On sentait à voir ses yeux mouillés que son vagin s'était innondé. Moi je pensais, toi tu sais pas le bonheur que c'est de se faire aimer dans la vase de l'Ile-aux-Oiseaux face la Pointe aux Chevaux.

J'ai jeté l'ancre, histoire de ne pas nous faire surprendre par le flux remontant et j'ai descendu le slip de bain à mes chevilles. J'ai sauté tout nu dans la vase molle et les algues. J'étais sur le dos dans vingt centimètres d'eau chaude presque brûlante, bite haut dressée, les yeux au ciel bleu juste rayé blanc des Rafale du camp d'entrainement voisin de Cazaux.

Léa a tombé le gilet orange. Puis le sous-tif du maillot qui peinait à contenir ses nibars de compète, fines bretelles hyper-tendues à craquer. Le débardeur par dessus peinait dorénavant à cacher ses seins luxuriants. Elle a gardé le short noir. J'étais inquiet.

Mais je n'aurais pas dû. On doit toujours faire confiance à sa bonne étoile, là dans le bleu du ciel d'Aquitaine.

La fille s'est roulée sur moi, tout chaud de l'eau peu profonde et de la vase molle. Ses seins faisaient coussins sur ma poitrine. Son short noir de coton fin était devenu quasi insignifiant comme mince feuille de Job et j'y passais mes mains. Ses fesses étaient dures à mes paumes et c'était bon.

Léa était au dessus de moi. Le débardeur mouillé ne cachait rien des tétons dressés. Ses genoux s'enfonçaient dans la vase doucement, comme en marais sables mouvants. Son pubis s'approchait inexorablement de ma bite dressée. Je n'ai pas eu besoin de faire geste d'écarter le gousset. Il n'y avait pas de gousset. Léa s'est empalée doucement, tendrement, cyprine en mayonnaise d'eau salée, émulsion fluide. Sa bouche est venue à la mienne chercher un baiser.

Quelques instants plus tard, elle s'éclatait en soubresauts puissants et prenait au fond de son ventre les puissantes giclées de mon intérêt pour elle.

Ses longs cheveux au milieu des herbes flottantes, sa tête posée lourde dans mon cou, son corps au chaud dans dix centimètres d'eau presque brûlante, elle m'a dit, c'est bon un mec qui met pas des heures.

J'ai compris alors que mon copain l'avait dans le cul profond et que cette Léa serait dorénavant rien que pour moi.