Lèche ma crème - histoire érotique

J'étais venu voir la nouvelle boite qui venait d'ouvrir dans la région, et, en ce samedi soir il y avait énormément de monde.
Je venais de danser comme un fou sur la piste et j'ai eu soif. J'ai réussi à trouver une place au bar, un tabouret de libre dans le coin sombre.
Et, j'ai observé les danseurs principalement les mecs bien sûr.

C'est pas que je sois difficile, mais rien ne trouvait grâce à mes yeux d'autant plus qu'il n'y avait pas beaucoup de mecs seuls tous avec une meuf entre les bras et ceux qui restaient je ne les trouvais pas bandant.
Je commençais à regretter de ne pas être allé dans la boite habituelle où à tous les coups on en tire un, ce n'est pas la jeune salope qui manque.
Mais là, je les trouvais tous "vieux". Je sais y'en a qui vont râler de lire ça...
Je n'ai pas 30 ans et je préfère les mecs de mon âge ou plus jeune, c'est très rare que je me laisse entrainer par plus vieux.
Quoique...

Je matais, reluquais tout ce qui trouvait à portée de ma vue.
C'est un mec de dos qui a attiré mon attention. Il semblait seul et dansait tranquillement, remuant son petit cul serré dans son jean, des hanches minces ondulaient, ses bras relevés laissaient voir des auréoles de sueur aux aisselles. Il se dandinait en remuant la tête au rythme de la musique, il avait des cheveux noirs courts, la nuque bien dégagée qui donnait envie de mordre dedans.
Je l'ai observé jusqu'à ce qu'il retourne.

J'ai été déçu quand j'ai vu le devant. Certes, c'était un beau mec mais putain il devait avoir au moins 40 ans. Mais j'ai continué à le regarder, sa chemise ouverte laissait voir un tapis de poils noirs qui brillaient... belle tête ma foi, une petite moustache fine au dessus de belles lèvres. Les yeux dans le vague il souriait comme s'il pensait à quelque chose ou quelqu'un, il continuait à se dandiner en se rapprochant du bar et naturellement mes yeux sont allés à l'entre jambe pour voir un renflement! mazette cela avait l'air d'y avoir du lourd là dedans.
Et il m'a fait bander le "vieux".

D'un seul coup il s'est arrêté de danser et est venu s'asseoir sur le tabouret qui venait de se libérer juste à côté de moi, ses yeux se sont posés sur moi en passant et j'ai cru voir qu'il riait, un regard moqueur du mec sûr de lui. Je riais intérieurement.
Il s'assoit, les jambes écartées, sans toucher les miennes, les coudes sur le comptoir et je l'entends souffler. Je le regarde, nos regards se croisent, il me sourit se penche vers moi.
-ça tient plus le choc les vieux me dit il à l'oreille, mais je vois que les jeunes se reposent aussi.
-on a pas le même entrainement que vous les vieux dis je à son oreille tout en le respirant.

Et son odeur de mâle, de sueur m'a remonté dans le nez me mettant dans tous mes états.
Il rigole en me regardant.
-si je te connaissais mieux je te dirais bien quelque chose.
-faut pas hésiter je suis quand même en âge d'entendre tout sorte de choses.
-mais t'as quel âge ? me demande t-il.
-déjà les questions indiscrètes dis je en rigolant.
-moi j'ai 37 ans, je viens de les avoir. Je suis célibataire, j'aime les minets dans ton genre et si je te connaissais mieux comme je te disais à l'instant je t'aurais dit que c'est dans les vieux qu'on fait la meilleur baise.

Et il éclate de rire devant mon air incrédule. Il m'a scotché le "vieux", je ne sais plus quoi dire.
Il me tourne la tête vers lui, avec son doigt.
-mais c'est un grand timide le jeune ? désolé si t'es pas gay mais j'ai bien remarqué de la manière dont tu regardais tous les mecs alors je me suis dit.
-j'vais bientôt avoir 28 ans et je m'appelle Fabrice dis je en le fixant.
-moi c'est Rodolphe je suis enchanté de faire ta connaissance dans un lieu si bruyant.
-moi également dis je avec mon plus beau sourire.

Je me suis tourné vers lui, son visage n'est qu'à 20 centimètres du mien et nos yeux nous dévisagent. Je scrute le moindre détail comme si je cherchais la faute, l'erreur chez ce "vieux" et je n'en trouve pas, au contraire, ses yeux noirs sont doux, il a de beaux cils longs et de beaux sourcils, son nez fin pas très long surmonte ses belles lèvres bien ourlées et entre, une fine moustache qui le vieilli encore plus. Mais il a des yeux coquins que je qualifierais presque de vicieux.
Je décide de me laisser draguer voir comment il va me proposer quelque chose.

Même quand il se penche à mon oreille pour me parler je ne comprends pas tout ce qu'il dit. C'est son odeur, sa bonne odeur qui m'énivre, plus d'une fois sa joue s'est collée à la mienne. Il n'est pas rasé de près ça râpe un peu mais son odeur de mâle en rut me frappe le nez. Il a envie de moi, j'en suis persuadé.
Il a coincé une de mes jambes entres les siennes, sa main la caresse négligemment. J'aime la chaleur qu'elle répand.

Sa joue ne quitte pratiquement plus la mienne et à un moment il me fait des bisous dans le cou je recule instinctivement en le regardant.
-désolé dit il je ne voulais pas t'offenser.
-c'est pas ça mais ça vient d'ouvrir ici alors je sais pas s'ils tolèrent deux mecs qui se font des bisous.
-non là c'est un mec qui tente de faire des bisous à l'autre dit il en riant.

Je me penche vers lui, collant ma joue bien fort à la sienne et lui lèche le cou rapidement.
-mais t'es un coquin toi! t'aime ça lécher ? me demande t-il le plus sérieusement du monde.
-ça dépend qui et quoi.
-si je t'invite chez moi, tu viens ? dit il en me fixant et tenant mes mains dans les siennes.
Contrairement à ce que je pensais, j'ai dit oui sans plus réfléchir. A ce moment là j'avais envie de me serrer contre lui et de l'embrasser. J'aimais son sourire.
-alors viens on sort!

Je l'ai suivi en voiture jusque chez lui.
Il m'a pris la main pour entrer chez lui, un beau pavillon semble t-il. Il a refermé la porte, m'a pris mon autre main, m'attirant à lui nos corps se sont collés, ses bras se sont refermés sur les miens me serrant fort. J'avais l'impression d'être écrasé sur un mur, ses bras passaient sous les miens, une main me tenait la nuque et l'autre s'était posée sur mes fesses et les appuyaient contre lui. Sa bouche m'a fait des bisous sur les joues pour venir s'accaparer de mes lèvres. Il a fermé les yeux pour me déguster, ses lèvres étaient douces et chaudes. Sa petite moustache me picotait mais quand sa langue est entrée dans ma bouche et qu'elle a rencontré la mienne je me suis senti fondre dans ses bras. Je n'avais plus qu'une envie, d'être nu avec lui dans son lit.

On s'est déshabillé dans l'entrée. Nos lèvres ne se quittaient plus. Je n'ai pas eu le temps d'admirer son corps qu'il était de nouveau collé au mien. Nos queues ont fait connaissance en roulant l'une sur l'autre, sa langue s'enroulait avec la mienne, nos souffles se mélangeaient en sortant de nos narines et ses mains parcouraient mon corps. Je caressais son dos dur comme du béton j'avais envie de le regarder, de l'ausculter, de toucher ses fesses me faisait bander encore plus de belles petites fesses imberbes bien dures.
-j'ai envie de toi beau blond! tu veux bien ?
-tout ce que tu veux Rodolphe.
-alors on va dans ma chambre que je t'examine en détails dit il en riant.

Et j'ai été examiné des pieds à la tête, léché partout, embrassé partout. Je voyais son corps sur le mien, se frotter, sa toison souple et chaude du torse se frotter au mien imberbe.
-à toi dit il en se mettant sur le dos.
J'étais un peu déçu. Je m'attendais à ce qu'il me suce, me baise mais ma queue n'avait eu droit qu'à des caresses comme mon cul d'ailleurs qui était près à se laisser faire.

J'ai regardé ce beau mâle allongé et j'ai commencé par les pieds. J'adore les pieds des mecs. J'adore les caresser, les lécher qu'ils me touchent la queue. Les siens étaient magnifiques et doux et il avait l'air d'y prendre plaisir.
Quand je suis remonté en direction de son sexe, léchant ses belles cuisses j'ai admiré la vue que j'avais sur une paire de couilles hors normes. Je les trouvais énormes et je commençais à me demander comment j'allais pouvoir les avaler toutes les deux.
Mais j'ai pas eu le temps de m'en occuper, il a relevé ses jambes, les ouvrant pour les coller sur son torse et les tenir aux genoux un grand sourire aux lèvres.
-c'est ton cadeau beau blond.

Putain de cul poilu y'en avait partout. Les fesses bien ouvertes laissaient voir une forêt vierge. J'ai passé mon nez dans la raie, ça sentait la sueur, le cul et comme par miracle les poils se sont écartés sous mes coups de langue et j'ai vu le petit trou. Je dis le petit trou là c'était plutôt un trou magnifique, presqu'ouvert. Je voyais qu'il forçait et son anus s'ouvrait.

Je lui ai bouffé le cul, mordu les fesses, ma langue entrait dans son trou et il gémissait, gueulait qu'il aimait ça alors je lui ai fait plaisir et c'en était un pour moi également.
-j'ai envie de toi! baise moi maintenant.
Je n'en revenais pas. J'avais mal à la bite tellement elle était dure, elle s'était décalottée toute seule et coulait de bonheur déjà.
Je me suis mis en position, posant le gland juste sur l'ouverture. Je n'avais même pas eu besoin de mettre mes doigts c'était déjà ouvert prêt à l'emploi.
En me redressant je l'ai regardé, souriant.
-n'hésite pas surtout! enfonce toi d'un seul coup! j'adore ça beau blond!

Les désirs des victimes sont des ordres.

Bien calé sur ses cuisses, le gland installé j'ai donné un long coup de reins pour sentir son cul s'ouvrir et son sphincter envelopper ma queue qui entrait en lui. J'avais chaud et lui s'est mis à gueuler comme si on le forçait! il râlait, disait des mots sans suite mais s'offrait.
Il avait encore écarté ses cuisses, si bien que j'avais le ventre qui frottait sur ses grosses couilles.

Et je l'ai baisé en prenant mon temps. J'étais heureux de voir ce mec prendre mes coups de bite et de voir qu'il était ravi. Ma queue a voyagé longuement dans son boyau, doucement, durement, lentement, vite, me bloquant plusieurs fois bien au fond de lui pour l'entendre gémir, il s'offrait Rodolphe.
Et quand j'ai joui dans son petit cul de salope car c'était bien une bonne salope il a gueulé encore plus fort, disant que c'était bon de sentir du bon jus chaud en lui et il en a eu du bon jus chaud Rodolphe.
Epuisé je me suis écroulé sur lui, ses bras se refermant sur moi, ma queue sortait de son trou.
Il m'a dit merci avant de m'embrasser et de me caresser encore et encore.

J'étais bien sur sa toison, je sentais son gros sexe bandé entre nous.
-tu sais ce que j'aimerais Fabrice ?
-mon cul ?
-non.
-quoi alors ? dis je étonné.
-tu m'as bien bouffé le cul j'adore ça mais ce que je préfère le plus c'est de me faire bouffer les couilles. Tu sais, les noyer de salive, les avaler, les sentir rouler dans ta bouche ça me fait bander tu peux pas savoir.
-si cela te fait plaisir dis je en souriant.
-si tu me fais ça c'est pas en trente secondes j'aime que cela dure longtemps.
-ben et ta queue ? j'aimerais bien y goûter aussi à ta queue.
-laisse ma queue tranquille pour l'instant beau blond occupe toi de mes couilles et t'auras une surprise... je te fais confiance.

Il m'embrasse tendrement et mes lèvres descendent sur son torse. Je ne peux m'empêcher de mordre durement ses tétons perdus au milieu des poils cela le fait crier et rire en me poussant la tête.
J'ai enfin sa grosse bête devant les yeux, décalottée, bien raide déjà et le méat laisse couler la mouille. Je lui fais des bisous en disant à plus tard et je l'entends rire.
Ses jambes s'écartent et j'ai la belle paire de couilles devant les yeux.

Je lui ai fait tout ce qu'il m'avait demandé en prenant mon temps et c'était vraiment un plaisir de s'en occuper mais bouffer les deux en même temps fût vraiment difficile. Je m'y suis repris en plusieurs fois et j'avais la bouche bien remplie au bord de l'asphyxie mais quel plaisir quand même de lui bouffer et de l'entendre gémir.
J'aurais bien voulu m'occuper de sa queue mais j'ai vu sa main venir la prendre et il se caressait pendant que j'avais ses couilles en bouche, je tirais dessus, il gémissait et sa main s'activait encore plus sur sa queue.

je sentais ses couilles rouler dans ma salive quand il a soulevé ses fesses d'un seul coup, me les arrachant de la bouche. Il a poussé un cri et j'ai vu les giclées sortir de son gland décalotté et remonter jusqu'à son menton. J'ai compté cinq giclées et il y avait du jus partout.
Ses fesses sont retombées sur le matelas, ses mains de chaque côté. Je le voyais respirer fort, souriant. Il a ouvert les yeux, m'a fixé.

-lèche ma crème bébé! dit il dans un souffle.

Je ne me suis pas fait prier plus longtemps, à défaut de goûter à sa bite, j'aurais son jus et j'ai commencé à lécher. J'ai trouvé qu'il avait bon goût son jus.
-dis! tu prends pas tout, viens m'en donner avec ta langue bébé.
Je lui donnais la béquée avec ma langue pleine de son jus. Il la léchait l'aspirait et quand il fût tout propre il m'a serré dans ses bras.
-j'en trouve pas beaucoup des mecs qui adorent faire ça.

Je me pelotonnais contre lui, j'étais bien dans les bras de "vieux". On sentait la sueur, le sperme, le cul mais on était bien.
-tu restes dormir ?
-si tu veux car je voudrais bien goûter à ta queue quand même! tu serais bien le premier mec qui ne m'offre pas sa queue!
-je t'ai offert mon cul et mes couilles dit il en riant.
-je veux tout goûter de toi Rodolphe.
-alors allons prendre une douche, dormons et on a demain dimanche pour faire encore plus ample connaissance beau blond.

La douche fût assez rapide. Il était beau avec ses poils tout mouillé. Je l'ai essuyé partout, passant mes doigts partout ou je pouvais touchant enfin sa queue, la décalottant pour voir le beau gland bien dessiné, presque pointu. Je me suis mis à genoux et je l'ai sucé. Il s'est laissé faire s'appuyant sur le mur de la douche et s'est offert à moi mais il a juté rapidement en gueulant toujours que c'était bon, m'a relevé pour encore m'embrasser et me serrer contre lui.
-t'es un gourmant quand même! t'as pas pu attendre demain matin beau blond.

Il m'a entrainé au lit je bandais encore.
Sa tête dans mon cou, sa main sur ma queue qu'il caressait.
-tu veux ma bouche ou ma main ?
-avec ta bouche j'en mettrais pas partout tu sais.
Il s'est penché sur ma queue en riant et j'ai eu une des meilleurs pipes de ma vie et là c'est moi qui gueulait quand j'ai joui au chaud dans sa bouche.
Il est revenu me faire des bisous.
-dormons beau blond je pense qu'on va avoir une dure journée demain t'en penses quoi ?
-je ne vois pas ce que tu veux dire Rodolphe dis je en riant et me serrant contre lui, une jambe entre les siennes.
Le silence s'est fait et on s'est endormi.

J'ai passé un excellent dimanche dans le lit de ce beau mec, on a joui, joui et joui c'était le leitmotiv de la journée.
Je suis rentré chez moi fourbu mais heureux.

Je retire tout ce que je pensais sur les "vieux"...