Les (més)aventures d’un hétéro (2)
Récit érotique écrit par Ecrivain2848 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les (més)aventures d’un hétéro (2)
(Merci pour vos commentaires : ils excitent mon imagination et même plus ... Du coup, je me sens autorisé à poursuivre mon histoire.)
J’ai du mal à mettre de l’ordre dans mes idées. Je suis avec mon vieux copain d’enfance, nous sommes en train de finir notre séance de sauna, nous discutons presque naturellement mais je ne pense qu’à ça : je viens de me faire sodomiser –assez sauvagement, à vrai dire- pour la première fois de ma vie par Sébastien et il me parle comme si de rien n’était. Tout au plus a-t-il évoqué de façon légère des banalités du genre « Il faut se faire du bien de temps en temps » ou « c’est pas mal d’essayer des nouveaux trucs », ou encore« Heureusement qu’on est certifiés par l’établissement français du sang, on n’a pas besoin de mettre de capote », mais quand même ! … Je me sens vraiment mal à l’aise. Un mélange de bien-être, de plaisir –il faut quand même reconnaître qu’il m’a fait jouir, le salaud !- mais aussi de la honte, et même une forme de dégoût. Je ne sais pas si je suis content de cette nouvelle expérience ou écœuré par ce qui s’est passé. Je ne sais pas si je suis détendu, comblé et reconnaissant envers Sébastien ou au contraire mécontent, inquiet et rancunier. Bizarre, vraiment. Quoi qu’il en soit, je ne peux pas rayer cette expérience de ma tête si facilement d’une part, et j’ai des sensations étonnantes par ailleurs : chaleur, irritation et douleur diffuse à un endroit bien précis, mais aussi une douceur et un sentiment de bien-être incroyable.
En tout cas, Sébastien est vraiment nature. Sentant que je suis un peu déstabilisé, il fait tout pour me mettre à l’aise, et c’est vrai que ça marche. Je retrouve l’ambiance « copain » et petit à petit, ça va mieux. On finit notre cycle sauna-douche-sauna-douche ... Maintenant, on commence à se sécher. Tout en se tamponnant avec sa serviette, Sébastien me fait la visite de sa salle de musculation (poids, bancs, poulies, vélo, rameur,…). Je commence à comprendre pourquoi il est si bien musclé alors que moi je commence à me ramollir ! Ensuite il me montre son armoire de produits de toilette : gel douche, shampoing, déodorant, baume, crème, eau de toilette, …
- « Mais t’es pire qu’une gonzesse ! »
- « T’es con, c’est important de se soigner le corps. Tiens, ça, c’est une crème hydratante ; celle-là, c’est contre les irritations. D’ailleurs, je pense que tu vas me remercier dans cinq minutes parce que c’est exactement ce qu’il te faut. »
- « Comment ça ? »
- « Ben oui, quand on se fait enfiler, surtout si c’est la première fois, il faut adoucir après … »
- « Oui, tu as raison, passe là moi. »
- « Ah, non, ce qui s’est passé entre nous, c’est de ma faute, c’est donc à moi de réparer, alors retire ta serviette que je te mette de la pommade là où ça chauffe. »
- « Dis-donc, t’es pas mon médecin, et puis tu t’es assez occupé de mon cul comme ça. Donne ça ! »
- « Jamais de la vie ! »
On dirait que c’est reparti pour un tour avec le coup des disputes, mais cette fois-ci, je ne vais pas me laisser faire : je commence à connaître Sébastien et sa façon de fonctionner. D’un autre côté je me dis que je ne risque pas grand-chose : ça ne fait même pas une demi-heure que Sébastien m’a sodomisé, il ne va quand même pas remettre ça !
Du coup, il me vient une idée qui me plait bien. Je vais jouer un peu moi aussi …
- « Bon, ok pour la crème hydratante sur le corps, mais ça suffit les familiarités, je garde ma serviette, faudrait pas qu’il te revienne des idées … »
Ça me plait bien deprendre les choses en main, mais je me sens aussi un peu excité de savoir que Sébastien va être à ma disposition pour me passer de la crème. Un peu de plaisir soft en perspective.
- « Tu me prends pour qui ? J’en ai pour des heures à récupérer … Bon, d’accord, allonge-toi sur ce transat, je m’occupe de toi. On peut dire que tu as de la chance d’avoir un vrai copain comme moi. »
Je m’exécute, un peu émoustillé. C’est vrai que la situation est tout sauf innocente. Le jeu m’amuse, mais j’ai bien l’intention d’en garder le contrôle, cette fois. Je me mets sur le dos, je garde ma serviette nouée autour de la taille et je me détends. Tout en commençant à m’étaler de la crème sur les bras, les épaules, Sébastien discute de tout et de rien : un vrai moulin à parole ! Moi, je le laisse faire et me détends. C’est vrai que c’est agréable ces massages, ça détend les muscles, assouplit la peau et je me sens envahi de bien-être. Les bras d’abord, les épaules ensuite. Maintenant il s’occupe de mon buste. Mmmm, c’est super agréable et ça chatouille presque, mais j’essaie de ne pas bouger. Le plaisir de se faire palper sans réagir est divin.
Le buste est un endroit sacrément érogène, finalement. Pendant que Sébastien me masse et me caresse la poitrine, je ne peux m’empêcher de penser aux seins d’une femme, avec les tétons qui durcissent sous l’excitation. Je garde les yeux fermés, c’est vraiment une expérience agréable, il n’y a pas à dire.
- « Alors, ça va, tu ne fatigues pas trop ? »
- « Non, non, c’est très bien, tu peux continuer … »
- « Dis-donc, tu serais pas en train de me prendre pour ton boy ? »
- « Tu me dois bien ça, non ? »
- « D’accord, d’accord. »
Sébastien râle pour la forme, mais je sais bien qu’il n’est pas fâché. Il poursuit son massage, étale la crème sur tout mon buste, mes flancs, mon ventre. Je sens des petits frissons me parcourir. C’est doux et sensuel, des petits picotements et une vague de sensualité bien connue montent en moi : je commence à être de nouveau excité. Si ça continue trop longtemps, je ne serais pas surpris de me remettre à bander. C’est vrai que ça fait maintenant une demi-heure que j’ai éjaculé, et j’ai quand même eu le temps de récupérer. Bon, je n’avais pas vraiment prévu ça ; pour l’instant, il n’y a pas trop de problème, mais il va bientôt falloir arrêter ça.
Comme s’il avait deviné que ça devenait trop « chaud », Sébastien passe sur mes jambes à présent. J’ai un peu de répit. Les pieds, les mollets, les jambes. Les cuisses maintenant. Plus il monte et plus je me dis que ça va devenir bientôt ingérable. Il palpe, masse, assouplit, caresse. Il monte dangereusement, passe à l’intérieur. Mince, je sens que je commence à bander. Faut pas qu’il s’en rende compte, sinon on va encore partir dans je ne sais quoi. Ouille, ouille, ça devient super chaud, super agréable. Il est très haut et très près de mon entre jambe et ça m’excite vraiment. Mais je ne vais pas me laisser piéger, cette fois. Je me mets sur le côté, puis me tourne pour lui présenter mon dos. Du coup, il ne s’apercevra de rien si je me mets à bander.
Bon, tout se passe bien, tout se fait naturellement. Sébastien s’occupe maintenant de mon dos, puis, logiquement descend vers mes reins. Mince, c’est reparti, on revient vers une zone érogène. Comme tout à l’heure, je suis partagé entre l’envie de me laisser aller et celle d’arrêter. Ma serviette est là, mais bon, ce n’est qu’un bout de tissu. Je suis presque à poil, en train de bander, je me fais masser les reins et ça m’excite tellement que j’ai du mal à respirer normalement. C’est pas possible, qu’est-ce-que j’ai aujourd’hui ? C’est vrai que je n’ai plus de copine depuis des mois, mais quand même ! Bon, maintenant Sébastien s’occupe franchement de mes reins et de mes hanches. Mmmm, c’est super.
- « Excuse-moi, mais là, je dois quand même retirer la serviette. », et, sans même attendre de réponse, il défait la serviette et me découvre les fesses.
Je m’y attendais un peu, mais du coup, je me sens vraiment tout nu, au propre comme au figuré. On passe à un cran au-dessus et j’en ai conscience.
- « OK, OK, mais je t’ai à l’œil, hein ? Ne profite pas de la situation, ça marchera pas à chaque fois. »
Je me demande si je suis bien honnête avec moi-même. Je joue le vertueux, mais je crois que ça me plait bien de me montrer à poil devant Sébastien. J’attends même la suite avec un brin d’impatience. Quand il revient sur mes reins et qu’il atteint mes fesses, j’ai un instant de lucidité : en fait, j’attends ce moment depuis le début. Le résultat ne se fait pas attendre : Sébastien s’occupe de mes fesses, les masse, les caresse et les pétrit. Putain, j’adore ! Finalement, les fesses, c’est diaboliquement érogène aussi, et je m’abandonne à ce cochon de Sébastien qui s’en donne à cœur joie, de moins en moins décomplexé. J’essaie de me retenir de gémir, je ne veux pas donner ce plaisir à Sébastien, qu’il n’aille pas s’imaginer qu’il peut faire de moi ce qu’il veut. J’essaie aussi de contrôler ma respiration, de ne pas frissonner de plaisir, mais c’est dur ! De temps en temps, il descend sur mes cuisses, puis remonte sur mes fesses. J’aime cette façon de me mettre sur le gril, de faire monter le plaisir. Il est doué, ce cochon ! Inutile de préciser que je bande dur maintenant ; heureusement que Sébastien ne peut rien voir puisque je suis sur le ventre. Je suis presque surpris et déçu quand il s’arrête et me dit :
- « Voilà, j’ai fini le côté pile et aussi le côté face. »
Il joint le geste à la parole, me remet sur le dos avant que j’aie le temps de réagir. Le problème, c’est que, comme ma serviette est défaite, je me retrouve avec ma bite fièrement dressée, tendue et dure comme du bois.
- « Eh ben dis donc, toi, tu as la santé, on dirait ! Et puis j’ai l’impression que tu as apprécié mon massage. »
Pris en flagrant délit de bandaison, je me sens terriblement gêné et je bredouille je ne sais trop quoi ; j’essaie de remettre ma serviette qui a glissé, mais je m’empêtre un peu et perds de précieuses secondes.
- « Mon pauvre vieux, il va falloir que je m’occupe de ton problème, on dirait ! »
Je n’ai pas le temps de cacher mon sexe que déjà Sébastien l’a pris en main et commence à le faire coulisser en rigolant. C’est reparti pour un tour : je me suis fait avoir et la situation m’échappe pour mon plus grand plaisir. J’ai l’impression de revivre cette scène avec une petite variante : je suis encore plus excité que tout à l’heure et je frétille de la queue dans la main de Sébastien. Je me sens vraiment idiot, allongé sur le dos, les bras le long du corps, la queue dressée et branlé par mon copain qui me taquine en souriant. Je ne sais pas quoi dire ni quoi faire, j’ai terriblement honte mais c’est bien là le seul problème parce que c’est si bon ! Sébastien est un vrai sadique, il me masturbe avec tant de lenteur que j’en ai le souffle coupé. Il me regarde droit dans les yeux avec un petit air de satisfaction, sûr de son pouvoir.
- « Tu n’en as jamais assez, on dirait, je vois qu’il va falloir utiliser les grands moyens … »
- « Non, écoute, Sébastien, ça suffit, tu m’as déjà fait le coup, il faut arrêter maintenant … »
- « Tu dis ça mais ta queue me dit autre chose. Tiens, je vais lui demander personnellement. »
Il se penche alors vers mon sexe, approche sa bouche et commence à poser ses lèvres sur mon gland. Un petit baiser, puis il humecte ses lèvres, recommence, et, petit à petit, avance un peu plus, me taquine le gland, me branle la tige et poursuit son avancée. Inutile de dire que de mon côté, je suis au bord de la syncope. C’est si bon que j’ai envie de le supplier de continuer, mais je suis assez honteux comme ça et je ne veux pas donner ce plaisir à Sébastien.
- « T’es un vrai cochon, toi. Tu ne penses qu’à ça … »
- « Mais c’est toi mon vieux qui ne pense qu’à te faire branler et sucer ! »
Il a évidemment raison, mais je ne veux pas recommencer comme tout à l’heure. Le souvenir de Sébastien qui me sodomise pendant que j’en redemande me revient en mémoire. J’en ai encore honte …
Avec une lenteur calculée, Sébastien avale mon gland et fait rentrer ma queue bien dans sa bouche humide, chaude et sensuelle. J’en ai le souffle coupé. C’est encore meilleur que quand on pénètre la chatte humide d’une femme. Aussi loin que je remonte dans mes souvenirs, je ne crois pas avoir jamais été sucé ainsi. Il s’immobilise, puis fait jouer sa langue, l’enroule autour du gland, excite le sillon.
- « Aaahhh ! Ohhh ! Je …. Je t’en prie … je … je t’en prie … »
C’est abominable. J’ai perdu la bataille et Sébastien le sait. Je bredouille quelques paroles incohérentes parce que je n’ose pas dire que j’en veux encore. C’est vraiment trop bon, j’aimerais que ce moment dure toujours. D’une main Sébastien me branle la base du pénis, et de l’autre il me caresse les couilles, mais ce sont surtout sa langue et sa bouche qui me mettent au supplice. C’est si bon que je ne peux m’empêcher de gémir. C’est foutu, je ne résisterai plus maintenant et je le laisserai aller jusqu’où il voudra pourvu qu’il ne s’arrête pas.
Aurait-il lu dans mes pensées ? Tout à coup il s’arrête, attendant apparemment un signal de ma part. Il reste silencieux (de toutes façons, avec ma queue dans sa bouche, comment pourrait-il faire autrement ?). Je suis terriblement frustré, j’en veux encore. La rage au cœur, alors que je m’étais juré de ne pas le faire, je me surprends à l’encourager.
- « Je t’en prie, oui … encore … oui, suce-moi, c’est si bon … »
Il recommence alors son supplice avec cette lenteur d’une violence inouïe. J’ai envie de gueuler comme tout à l’heure tellement je suis bien, mais je me retiens.
- « Oui, oui, encore, c’est bon, oui, comme ça … »
Je le guide et l’encourage de mes paroles, et il ne se fait pas prier, il me suce de plus belle, toujours aussi doucement et plus profondément, me branle et me caresse les couilles, puis glisse insensiblement dans la raie de mes fesses, s’y introduit et recommence à me titiller la rondelle.
J’ai compris. Ce salaud va m’enculer pour la deuxième fois en une heure et je suis incapable de lui résister. Au lieu de ça, je recommence à onduler du bassin comme une chienne en chaleur.
Pour confirmer ses intentions, sa main quitte la raie de mes fesses et revient quelques instants après. Je sens un contact froid sur mon anus. Il me met une bonne dose de pommade, beaucoup plus que pour l’usage prévu. C’est bon, le doute n’est plus permis, je vais encore passer à la casserole.
Le scénario se précise, il m’excite la rondelle, tourne autour, puis, comme je m’y attendais, me rentre un doigt dans le cul. Évidemment, je me cambre un peu et pousse un petit gémissement explicite. La suite est d’une logique impitoyable : on ne change pas une équipe qui gagne, et Sébastien use de tous les moyens pour arriver à ses fins : il me suce, me doigte et me branle en même temps, à l’écoute de ma respiration haletante, de mes gémissement de plaisir et de mes contorsions de désir. Je suis allongé sur dos, les yeux fermés, étonnamment passif. Je ne sais pas ce que fait Sébastien mais je n’ouvre pas les yeux pour ne pas rompre le charme. Je sens des mouvements, j’entends des frôlements, mais je ne réagis pas. Je parierai qu’il a retiré sa serviette et qu’il se met en position pour me sodomiser.
Gagné ! Je le sens qui m’écarte les jambes, puis un contact dans la raie de mes fesses, probablement sa queue qui se met en place, ensuite le gland bien positionné sur mon anus, puis une légère poussée, et des mains fermes et autoritaires qui me saisissent sous les genoux. Je me sens un peu soulevé, le bassin remonté. À présent des mouvements inconnus, et puis, tout à coup, comme je m’y attendais, je sens la queue de Sébastien qui se fait plus conquérante, qui tente de forcer mon petit trou. Je suis bien détendu et passif, ramolli par le sauna, les caresses et la fellation, bien lubrifié et excité comme jamais, les jambes écartées : Sébastien m’encule en un seul coup, avec un mouvement ample et continu. Je sens sa queue me rentrer dans le cul avec une aisance formidable, comme si j’étais fait pour ça depuis toujours. Aussitôt la sensation de plaisir et de douleur m’envahissent. Ce mélange est délicieusement voluptueux, d’autant que la douleur est vraiment minime par rapport à cet étrange sentiment de pénétration intime et sensuelle. J’ouvre enfin les yeux et sors de ma rêverie.
- « Aaahhhh ! T’es vraiment un salaud de m’enculer comme ça … »
- « C’est de ta faute, ton cul est trop bon, ce serait un crime de ne pas l’honorer. Je vais encore te faire reluire, ma poule. »
Sébastien est assis sur le transat face à moi qui suis allongé. Il me tient bien les jambes et c’est reparti pour me faire sodomiser pendant de longues minutes. Comme si Sébastien lisait dans mes pensées, il semble tout faire pour pouvoir me baiser longtemps, calmement, doucement. Il veut me limer en prenant son temps comme on déguste un bon plat.
- « Regarde-moi et branle-toi pendant que je te baise, j’ai envie de te voir jouir avec ma bite dans le cul, j’ai envie de t’entendre gémir et supplier. »
- « T’es vraiment un chien … »
- « Oh, oui, tu n’imagines pas à quel point, et toi tu es ma chienne et je te baise. Hein que ça te plait ? Hein que t’aimes ça ? »
Comme je refuse de répondre, Sébastien s’arrête. Son délicieux va et vient s’interrompt et je me sens frustré. Je prends ma queue et commence à me branler comme il me l’a demandé. Mais il reste immobile, assis sur la banquette, me tenant sous les jambes écartées, sa bite plantée dans mon cul et ses yeux rivés aux miens. J’ai une furieuse envie de le sentir aller et venir en moi, mais il ne bouge pas …
- « Oui, c’est vrai, j’aime, vas-y, continue, baise moi encore … »
Il recommence lentement, très lentement, trop lentement. Je me branle de plus belle, mais ça ne va pas, il n’est pas dans le rythme et j’en veux plus.
- « C’est bon, salaud, tu as gagné, vas-y, défonce moi, oui, comme ça, plus vite, plus fort, encore, ouiii … C’est bon …. »
Je n’ai plus le choix, si je veux jouir pour de bon et mettre fin à ce supplice que m’inflige Sébastien, il va falloir que je l’encourage, que je l’excite, que je crie de plaisir. Maintenant que les règles sont claires, il n’y a plus de limites à mes invectives et à mesencouragements. Tout le langage crû y passe, et ça dure de longues minutes pendant lesquelles nous montons tous les deux vers l’orgasme libérateur. Encore plus que tout à l’heure, je suis chahuté, limé, enfilé, baisé. Plus je me fais sodomiser violemment et plus j’encourage Sébastien à me pilonner encore et encore, à me défoncer littéralement. Nous accordons nos cris qui montent en puissance. Maintenant ça devient carrément de la sauvagerie, je suis au bord de l’orgasme mais j’ai envie que nous jouissions ensemble, alors j’essaie de me retenir.
- « T’imagines pas comme c’est bon de te limer, regarde-moi bien pendant que je t’encule. »
- « T’es vraiment un cochon, toi. Oui, vas-y, lâche-toi, baise-moi encore, continue, lime-moi, j’aime ça … Ça te plait de faire jouir un hétéro, hein ? »
- « Oh, oui, ça me plait, j’aime quand tu jouis avec ma bite dans le cul et que t’en redemandes ! »
- « Aaahhhh, salaud, oui, ouiiii, encore ! Défonce-moi avec ta bite ! »
- « Salope ! J’en peux plus, je vais jouir, je viens … »
Nous sommes au bout, l’un comme l’autre. Il va falloir que je me libère aussi. Du coup, je me branle frénétiquement pour atteindre l’orgasme pendant que Sébastien se bloque en moi, sa bite enfoncée au plus profond de mon cul et pousse un long râle libérateur. Je commence à l’imiter quelques instants à peine après lui, et nos cris de plaisir restent longtemps simultanés. Pendant tout ce temps, l’un comme l’autre, nous restons immobiles, les yeux dans les yeux, éjaculant l’un dans mon cul, l’autre sur mon ventre.
Le calme revenu et les respirations apaisées, nous retrouvons nos esprits. Sébastien reste assis, sa bite toujours plantée en moi mais perdant de sa rigidité, il repose doucement mes jambes sur la banquette. C’est moi qui finis par rompre le silence qui s’est installé :
- « Finalement, je crois que tu as raison : je vais prendre de ta pommade … »
J’ai du mal à mettre de l’ordre dans mes idées. Je suis avec mon vieux copain d’enfance, nous sommes en train de finir notre séance de sauna, nous discutons presque naturellement mais je ne pense qu’à ça : je viens de me faire sodomiser –assez sauvagement, à vrai dire- pour la première fois de ma vie par Sébastien et il me parle comme si de rien n’était. Tout au plus a-t-il évoqué de façon légère des banalités du genre « Il faut se faire du bien de temps en temps » ou « c’est pas mal d’essayer des nouveaux trucs », ou encore« Heureusement qu’on est certifiés par l’établissement français du sang, on n’a pas besoin de mettre de capote », mais quand même ! … Je me sens vraiment mal à l’aise. Un mélange de bien-être, de plaisir –il faut quand même reconnaître qu’il m’a fait jouir, le salaud !- mais aussi de la honte, et même une forme de dégoût. Je ne sais pas si je suis content de cette nouvelle expérience ou écœuré par ce qui s’est passé. Je ne sais pas si je suis détendu, comblé et reconnaissant envers Sébastien ou au contraire mécontent, inquiet et rancunier. Bizarre, vraiment. Quoi qu’il en soit, je ne peux pas rayer cette expérience de ma tête si facilement d’une part, et j’ai des sensations étonnantes par ailleurs : chaleur, irritation et douleur diffuse à un endroit bien précis, mais aussi une douceur et un sentiment de bien-être incroyable.
En tout cas, Sébastien est vraiment nature. Sentant que je suis un peu déstabilisé, il fait tout pour me mettre à l’aise, et c’est vrai que ça marche. Je retrouve l’ambiance « copain » et petit à petit, ça va mieux. On finit notre cycle sauna-douche-sauna-douche ... Maintenant, on commence à se sécher. Tout en se tamponnant avec sa serviette, Sébastien me fait la visite de sa salle de musculation (poids, bancs, poulies, vélo, rameur,…). Je commence à comprendre pourquoi il est si bien musclé alors que moi je commence à me ramollir ! Ensuite il me montre son armoire de produits de toilette : gel douche, shampoing, déodorant, baume, crème, eau de toilette, …
- « Mais t’es pire qu’une gonzesse ! »
- « T’es con, c’est important de se soigner le corps. Tiens, ça, c’est une crème hydratante ; celle-là, c’est contre les irritations. D’ailleurs, je pense que tu vas me remercier dans cinq minutes parce que c’est exactement ce qu’il te faut. »
- « Comment ça ? »
- « Ben oui, quand on se fait enfiler, surtout si c’est la première fois, il faut adoucir après … »
- « Oui, tu as raison, passe là moi. »
- « Ah, non, ce qui s’est passé entre nous, c’est de ma faute, c’est donc à moi de réparer, alors retire ta serviette que je te mette de la pommade là où ça chauffe. »
- « Dis-donc, t’es pas mon médecin, et puis tu t’es assez occupé de mon cul comme ça. Donne ça ! »
- « Jamais de la vie ! »
On dirait que c’est reparti pour un tour avec le coup des disputes, mais cette fois-ci, je ne vais pas me laisser faire : je commence à connaître Sébastien et sa façon de fonctionner. D’un autre côté je me dis que je ne risque pas grand-chose : ça ne fait même pas une demi-heure que Sébastien m’a sodomisé, il ne va quand même pas remettre ça !
Du coup, il me vient une idée qui me plait bien. Je vais jouer un peu moi aussi …
- « Bon, ok pour la crème hydratante sur le corps, mais ça suffit les familiarités, je garde ma serviette, faudrait pas qu’il te revienne des idées … »
Ça me plait bien deprendre les choses en main, mais je me sens aussi un peu excité de savoir que Sébastien va être à ma disposition pour me passer de la crème. Un peu de plaisir soft en perspective.
- « Tu me prends pour qui ? J’en ai pour des heures à récupérer … Bon, d’accord, allonge-toi sur ce transat, je m’occupe de toi. On peut dire que tu as de la chance d’avoir un vrai copain comme moi. »
Je m’exécute, un peu émoustillé. C’est vrai que la situation est tout sauf innocente. Le jeu m’amuse, mais j’ai bien l’intention d’en garder le contrôle, cette fois. Je me mets sur le dos, je garde ma serviette nouée autour de la taille et je me détends. Tout en commençant à m’étaler de la crème sur les bras, les épaules, Sébastien discute de tout et de rien : un vrai moulin à parole ! Moi, je le laisse faire et me détends. C’est vrai que c’est agréable ces massages, ça détend les muscles, assouplit la peau et je me sens envahi de bien-être. Les bras d’abord, les épaules ensuite. Maintenant il s’occupe de mon buste. Mmmm, c’est super agréable et ça chatouille presque, mais j’essaie de ne pas bouger. Le plaisir de se faire palper sans réagir est divin.
Le buste est un endroit sacrément érogène, finalement. Pendant que Sébastien me masse et me caresse la poitrine, je ne peux m’empêcher de penser aux seins d’une femme, avec les tétons qui durcissent sous l’excitation. Je garde les yeux fermés, c’est vraiment une expérience agréable, il n’y a pas à dire.
- « Alors, ça va, tu ne fatigues pas trop ? »
- « Non, non, c’est très bien, tu peux continuer … »
- « Dis-donc, tu serais pas en train de me prendre pour ton boy ? »
- « Tu me dois bien ça, non ? »
- « D’accord, d’accord. »
Sébastien râle pour la forme, mais je sais bien qu’il n’est pas fâché. Il poursuit son massage, étale la crème sur tout mon buste, mes flancs, mon ventre. Je sens des petits frissons me parcourir. C’est doux et sensuel, des petits picotements et une vague de sensualité bien connue montent en moi : je commence à être de nouveau excité. Si ça continue trop longtemps, je ne serais pas surpris de me remettre à bander. C’est vrai que ça fait maintenant une demi-heure que j’ai éjaculé, et j’ai quand même eu le temps de récupérer. Bon, je n’avais pas vraiment prévu ça ; pour l’instant, il n’y a pas trop de problème, mais il va bientôt falloir arrêter ça.
Comme s’il avait deviné que ça devenait trop « chaud », Sébastien passe sur mes jambes à présent. J’ai un peu de répit. Les pieds, les mollets, les jambes. Les cuisses maintenant. Plus il monte et plus je me dis que ça va devenir bientôt ingérable. Il palpe, masse, assouplit, caresse. Il monte dangereusement, passe à l’intérieur. Mince, je sens que je commence à bander. Faut pas qu’il s’en rende compte, sinon on va encore partir dans je ne sais quoi. Ouille, ouille, ça devient super chaud, super agréable. Il est très haut et très près de mon entre jambe et ça m’excite vraiment. Mais je ne vais pas me laisser piéger, cette fois. Je me mets sur le côté, puis me tourne pour lui présenter mon dos. Du coup, il ne s’apercevra de rien si je me mets à bander.
Bon, tout se passe bien, tout se fait naturellement. Sébastien s’occupe maintenant de mon dos, puis, logiquement descend vers mes reins. Mince, c’est reparti, on revient vers une zone érogène. Comme tout à l’heure, je suis partagé entre l’envie de me laisser aller et celle d’arrêter. Ma serviette est là, mais bon, ce n’est qu’un bout de tissu. Je suis presque à poil, en train de bander, je me fais masser les reins et ça m’excite tellement que j’ai du mal à respirer normalement. C’est pas possible, qu’est-ce-que j’ai aujourd’hui ? C’est vrai que je n’ai plus de copine depuis des mois, mais quand même ! Bon, maintenant Sébastien s’occupe franchement de mes reins et de mes hanches. Mmmm, c’est super.
- « Excuse-moi, mais là, je dois quand même retirer la serviette. », et, sans même attendre de réponse, il défait la serviette et me découvre les fesses.
Je m’y attendais un peu, mais du coup, je me sens vraiment tout nu, au propre comme au figuré. On passe à un cran au-dessus et j’en ai conscience.
- « OK, OK, mais je t’ai à l’œil, hein ? Ne profite pas de la situation, ça marchera pas à chaque fois. »
Je me demande si je suis bien honnête avec moi-même. Je joue le vertueux, mais je crois que ça me plait bien de me montrer à poil devant Sébastien. J’attends même la suite avec un brin d’impatience. Quand il revient sur mes reins et qu’il atteint mes fesses, j’ai un instant de lucidité : en fait, j’attends ce moment depuis le début. Le résultat ne se fait pas attendre : Sébastien s’occupe de mes fesses, les masse, les caresse et les pétrit. Putain, j’adore ! Finalement, les fesses, c’est diaboliquement érogène aussi, et je m’abandonne à ce cochon de Sébastien qui s’en donne à cœur joie, de moins en moins décomplexé. J’essaie de me retenir de gémir, je ne veux pas donner ce plaisir à Sébastien, qu’il n’aille pas s’imaginer qu’il peut faire de moi ce qu’il veut. J’essaie aussi de contrôler ma respiration, de ne pas frissonner de plaisir, mais c’est dur ! De temps en temps, il descend sur mes cuisses, puis remonte sur mes fesses. J’aime cette façon de me mettre sur le gril, de faire monter le plaisir. Il est doué, ce cochon ! Inutile de préciser que je bande dur maintenant ; heureusement que Sébastien ne peut rien voir puisque je suis sur le ventre. Je suis presque surpris et déçu quand il s’arrête et me dit :
- « Voilà, j’ai fini le côté pile et aussi le côté face. »
Il joint le geste à la parole, me remet sur le dos avant que j’aie le temps de réagir. Le problème, c’est que, comme ma serviette est défaite, je me retrouve avec ma bite fièrement dressée, tendue et dure comme du bois.
- « Eh ben dis donc, toi, tu as la santé, on dirait ! Et puis j’ai l’impression que tu as apprécié mon massage. »
Pris en flagrant délit de bandaison, je me sens terriblement gêné et je bredouille je ne sais trop quoi ; j’essaie de remettre ma serviette qui a glissé, mais je m’empêtre un peu et perds de précieuses secondes.
- « Mon pauvre vieux, il va falloir que je m’occupe de ton problème, on dirait ! »
Je n’ai pas le temps de cacher mon sexe que déjà Sébastien l’a pris en main et commence à le faire coulisser en rigolant. C’est reparti pour un tour : je me suis fait avoir et la situation m’échappe pour mon plus grand plaisir. J’ai l’impression de revivre cette scène avec une petite variante : je suis encore plus excité que tout à l’heure et je frétille de la queue dans la main de Sébastien. Je me sens vraiment idiot, allongé sur le dos, les bras le long du corps, la queue dressée et branlé par mon copain qui me taquine en souriant. Je ne sais pas quoi dire ni quoi faire, j’ai terriblement honte mais c’est bien là le seul problème parce que c’est si bon ! Sébastien est un vrai sadique, il me masturbe avec tant de lenteur que j’en ai le souffle coupé. Il me regarde droit dans les yeux avec un petit air de satisfaction, sûr de son pouvoir.
- « Tu n’en as jamais assez, on dirait, je vois qu’il va falloir utiliser les grands moyens … »
- « Non, écoute, Sébastien, ça suffit, tu m’as déjà fait le coup, il faut arrêter maintenant … »
- « Tu dis ça mais ta queue me dit autre chose. Tiens, je vais lui demander personnellement. »
Il se penche alors vers mon sexe, approche sa bouche et commence à poser ses lèvres sur mon gland. Un petit baiser, puis il humecte ses lèvres, recommence, et, petit à petit, avance un peu plus, me taquine le gland, me branle la tige et poursuit son avancée. Inutile de dire que de mon côté, je suis au bord de la syncope. C’est si bon que j’ai envie de le supplier de continuer, mais je suis assez honteux comme ça et je ne veux pas donner ce plaisir à Sébastien.
- « T’es un vrai cochon, toi. Tu ne penses qu’à ça … »
- « Mais c’est toi mon vieux qui ne pense qu’à te faire branler et sucer ! »
Il a évidemment raison, mais je ne veux pas recommencer comme tout à l’heure. Le souvenir de Sébastien qui me sodomise pendant que j’en redemande me revient en mémoire. J’en ai encore honte …
Avec une lenteur calculée, Sébastien avale mon gland et fait rentrer ma queue bien dans sa bouche humide, chaude et sensuelle. J’en ai le souffle coupé. C’est encore meilleur que quand on pénètre la chatte humide d’une femme. Aussi loin que je remonte dans mes souvenirs, je ne crois pas avoir jamais été sucé ainsi. Il s’immobilise, puis fait jouer sa langue, l’enroule autour du gland, excite le sillon.
- « Aaahhh ! Ohhh ! Je …. Je t’en prie … je … je t’en prie … »
C’est abominable. J’ai perdu la bataille et Sébastien le sait. Je bredouille quelques paroles incohérentes parce que je n’ose pas dire que j’en veux encore. C’est vraiment trop bon, j’aimerais que ce moment dure toujours. D’une main Sébastien me branle la base du pénis, et de l’autre il me caresse les couilles, mais ce sont surtout sa langue et sa bouche qui me mettent au supplice. C’est si bon que je ne peux m’empêcher de gémir. C’est foutu, je ne résisterai plus maintenant et je le laisserai aller jusqu’où il voudra pourvu qu’il ne s’arrête pas.
Aurait-il lu dans mes pensées ? Tout à coup il s’arrête, attendant apparemment un signal de ma part. Il reste silencieux (de toutes façons, avec ma queue dans sa bouche, comment pourrait-il faire autrement ?). Je suis terriblement frustré, j’en veux encore. La rage au cœur, alors que je m’étais juré de ne pas le faire, je me surprends à l’encourager.
- « Je t’en prie, oui … encore … oui, suce-moi, c’est si bon … »
Il recommence alors son supplice avec cette lenteur d’une violence inouïe. J’ai envie de gueuler comme tout à l’heure tellement je suis bien, mais je me retiens.
- « Oui, oui, encore, c’est bon, oui, comme ça … »
Je le guide et l’encourage de mes paroles, et il ne se fait pas prier, il me suce de plus belle, toujours aussi doucement et plus profondément, me branle et me caresse les couilles, puis glisse insensiblement dans la raie de mes fesses, s’y introduit et recommence à me titiller la rondelle.
J’ai compris. Ce salaud va m’enculer pour la deuxième fois en une heure et je suis incapable de lui résister. Au lieu de ça, je recommence à onduler du bassin comme une chienne en chaleur.
Pour confirmer ses intentions, sa main quitte la raie de mes fesses et revient quelques instants après. Je sens un contact froid sur mon anus. Il me met une bonne dose de pommade, beaucoup plus que pour l’usage prévu. C’est bon, le doute n’est plus permis, je vais encore passer à la casserole.
Le scénario se précise, il m’excite la rondelle, tourne autour, puis, comme je m’y attendais, me rentre un doigt dans le cul. Évidemment, je me cambre un peu et pousse un petit gémissement explicite. La suite est d’une logique impitoyable : on ne change pas une équipe qui gagne, et Sébastien use de tous les moyens pour arriver à ses fins : il me suce, me doigte et me branle en même temps, à l’écoute de ma respiration haletante, de mes gémissement de plaisir et de mes contorsions de désir. Je suis allongé sur dos, les yeux fermés, étonnamment passif. Je ne sais pas ce que fait Sébastien mais je n’ouvre pas les yeux pour ne pas rompre le charme. Je sens des mouvements, j’entends des frôlements, mais je ne réagis pas. Je parierai qu’il a retiré sa serviette et qu’il se met en position pour me sodomiser.
Gagné ! Je le sens qui m’écarte les jambes, puis un contact dans la raie de mes fesses, probablement sa queue qui se met en place, ensuite le gland bien positionné sur mon anus, puis une légère poussée, et des mains fermes et autoritaires qui me saisissent sous les genoux. Je me sens un peu soulevé, le bassin remonté. À présent des mouvements inconnus, et puis, tout à coup, comme je m’y attendais, je sens la queue de Sébastien qui se fait plus conquérante, qui tente de forcer mon petit trou. Je suis bien détendu et passif, ramolli par le sauna, les caresses et la fellation, bien lubrifié et excité comme jamais, les jambes écartées : Sébastien m’encule en un seul coup, avec un mouvement ample et continu. Je sens sa queue me rentrer dans le cul avec une aisance formidable, comme si j’étais fait pour ça depuis toujours. Aussitôt la sensation de plaisir et de douleur m’envahissent. Ce mélange est délicieusement voluptueux, d’autant que la douleur est vraiment minime par rapport à cet étrange sentiment de pénétration intime et sensuelle. J’ouvre enfin les yeux et sors de ma rêverie.
- « Aaahhhh ! T’es vraiment un salaud de m’enculer comme ça … »
- « C’est de ta faute, ton cul est trop bon, ce serait un crime de ne pas l’honorer. Je vais encore te faire reluire, ma poule. »
Sébastien est assis sur le transat face à moi qui suis allongé. Il me tient bien les jambes et c’est reparti pour me faire sodomiser pendant de longues minutes. Comme si Sébastien lisait dans mes pensées, il semble tout faire pour pouvoir me baiser longtemps, calmement, doucement. Il veut me limer en prenant son temps comme on déguste un bon plat.
- « Regarde-moi et branle-toi pendant que je te baise, j’ai envie de te voir jouir avec ma bite dans le cul, j’ai envie de t’entendre gémir et supplier. »
- « T’es vraiment un chien … »
- « Oh, oui, tu n’imagines pas à quel point, et toi tu es ma chienne et je te baise. Hein que ça te plait ? Hein que t’aimes ça ? »
Comme je refuse de répondre, Sébastien s’arrête. Son délicieux va et vient s’interrompt et je me sens frustré. Je prends ma queue et commence à me branler comme il me l’a demandé. Mais il reste immobile, assis sur la banquette, me tenant sous les jambes écartées, sa bite plantée dans mon cul et ses yeux rivés aux miens. J’ai une furieuse envie de le sentir aller et venir en moi, mais il ne bouge pas …
- « Oui, c’est vrai, j’aime, vas-y, continue, baise moi encore … »
Il recommence lentement, très lentement, trop lentement. Je me branle de plus belle, mais ça ne va pas, il n’est pas dans le rythme et j’en veux plus.
- « C’est bon, salaud, tu as gagné, vas-y, défonce moi, oui, comme ça, plus vite, plus fort, encore, ouiii … C’est bon …. »
Je n’ai plus le choix, si je veux jouir pour de bon et mettre fin à ce supplice que m’inflige Sébastien, il va falloir que je l’encourage, que je l’excite, que je crie de plaisir. Maintenant que les règles sont claires, il n’y a plus de limites à mes invectives et à mesencouragements. Tout le langage crû y passe, et ça dure de longues minutes pendant lesquelles nous montons tous les deux vers l’orgasme libérateur. Encore plus que tout à l’heure, je suis chahuté, limé, enfilé, baisé. Plus je me fais sodomiser violemment et plus j’encourage Sébastien à me pilonner encore et encore, à me défoncer littéralement. Nous accordons nos cris qui montent en puissance. Maintenant ça devient carrément de la sauvagerie, je suis au bord de l’orgasme mais j’ai envie que nous jouissions ensemble, alors j’essaie de me retenir.
- « T’imagines pas comme c’est bon de te limer, regarde-moi bien pendant que je t’encule. »
- « T’es vraiment un cochon, toi. Oui, vas-y, lâche-toi, baise-moi encore, continue, lime-moi, j’aime ça … Ça te plait de faire jouir un hétéro, hein ? »
- « Oh, oui, ça me plait, j’aime quand tu jouis avec ma bite dans le cul et que t’en redemandes ! »
- « Aaahhhh, salaud, oui, ouiiii, encore ! Défonce-moi avec ta bite ! »
- « Salope ! J’en peux plus, je vais jouir, je viens … »
Nous sommes au bout, l’un comme l’autre. Il va falloir que je me libère aussi. Du coup, je me branle frénétiquement pour atteindre l’orgasme pendant que Sébastien se bloque en moi, sa bite enfoncée au plus profond de mon cul et pousse un long râle libérateur. Je commence à l’imiter quelques instants à peine après lui, et nos cris de plaisir restent longtemps simultanés. Pendant tout ce temps, l’un comme l’autre, nous restons immobiles, les yeux dans les yeux, éjaculant l’un dans mon cul, l’autre sur mon ventre.
Le calme revenu et les respirations apaisées, nous retrouvons nos esprits. Sébastien reste assis, sa bite toujours plantée en moi mais perdant de sa rigidité, il repose doucement mes jambes sur la banquette. C’est moi qui finis par rompre le silence qui s’est installé :
- « Finalement, je crois que tu as raison : je vais prendre de ta pommade … »
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18 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très excitant
J'AI REPRIS AVEC PLAISIR LE RECIT DONT LE NARRATEUR EST A FELICITER
POUR SA MANIERE DE NOUS FAIRE RESSENTIR BIEN DES CH0SES !
POUR SA MANIERE DE NOUS FAIRE RESSENTIR BIEN DES CH0SES !
Tout aussi excitant et bandant que ton premier récit, moi aussi je prends mon pied rien qu'en te lisant,vite la suite
Très belle histoire, bien écrite avec beaucoup de détails et une bonne montée de l'excitation. J'espère de te relire vite. :)
Quelle joie de lire de si beaux textes qui nous tiennent en haleine
jusqu'au bout ... c'est si rare ! Continuez à nous faire rêver avec
Sébastien, vite une suite et peut-être une belle histoire d'Amour !!!!
Bizz de Marseille ! A. de M.
jusqu'au bout ... c'est si rare ! Continuez à nous faire rêver avec
Sébastien, vite une suite et peut-être une belle histoire d'Amour !!!!
Bizz de Marseille ! A. de M.
jamais deux sans trois ,et plus ?
excellent ,merci
excellent ,merci
Tes deux récits sont merveilleusement écrits et surtout très excitants! C'est une joie de lire quelqu'un qui sait s'exprimer et tenir son public en haleine!
slt merci pour la suite bien racontez ca donne envie bisous
J'adore ton histoire, j'espère qu'il y aura une suite et un le début d'une belle histoire entre eux :)
bonsoir, tes 2 textes sont superbes. Bien écrits et très érotiques, et pour une fois pas d'histoires bizarres de soumission, de tournantes etc..Si l'histoire est véridique, tu as bien de la chance ! cordialement
Tu écris très bien et tu sais faire durer et monter le plaisir dans tes récits. Tu as réussi à me donner un orgasme sans que j'aie à faire quoi que ce soit. Continue à nous faire jouir!
Oh plus de romance et ça aurait été parfait même si le niveau et bien plus haut que beaucoup d'autre histoire sur ce site.
je viens de jouir en te lisant.. trop bon.. moi aussi hetero à la recherche de sa premiere fois avec un mec.. bizz G.
vite vite la suite !! c'est génial cette histoire ! j'ai hâte de lire la suite viiiiite !!
Magnifique histoire, on attend la suite avec impatience, j'espère que tu as su lui prodiguer une superbe fellation et que tu as su de délecter de son sperme. Bisous a très vite.
magnifique histoire vite la suite
Excellent et bien écrit. on a vraiment hâte de lire la suite et j'espère que ton histoire est réelle...j'adore...et j'aurais adoré avoir un copain tel que le tien bien que je sois marié.!!!!
Superbe