Les 1001 perversions de Nathalie (17) Tout bascule
Récit érotique écrit par Egrewam [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les 1001 perversions de Nathalie (17) Tout bascule
Lorsque le taxi la dépose devant son immeuble, Nathalie est à mille lieues de se douter que sa vie va basculer…Elle vient de passer quatre journées harassantes à Londres, où elle a remplacé au pied levé un collègue chargé d'une affaire importante à régler. Meetings, déjeuners et dîners d'affaires, rapports à écrire se succèdent. Pendant quatre jours, elle n'a pas une minute à elle.
Lorsqu'elle pénètre dans l'appartement, la première chose qu'elle voit, bien en vue sur la table du salon, est une pochette de DVD, noire, ornée d'un grand "C", et une lettre.
Elle glisse le DVD dans le lecteur… Dès les premières images, Nathalie reçoit un choc : couchée sur un divan bas, les yeux bandés, les cuisses ouvertes, suçant des queues... C'est elle, au "Cercle" ! C'est elle encore, sodomisée par Houssam sur le banc à fesser, et puis elle encore, attachée, fouettée, godée, râlant de plaisir sous les mâles qui la possèdent. Elle est atterrée ! Ce n’est pas possible ! Toutes ses orgies ont été filmées !
La lettre est de son mari. Il annonce à Nathalie qu'il demande le divorce. En considération de son apparente fidélité pendant des années, il lui laisse le choix entre un divorce par consentement mutuel sans éclaboussures et un divorce pour faute avec l’étalage de toutes les preuves et les dommages collatéraux. Il habitera pour le moment à l'hôtel et déménagera au cours de la semaine qui vient.
Elle a de la peine a trouver le sommeil, mais, au réveil, elle se sent libérée : le jeu de cache-cache est terminé. Finis les mensonges. "Je ne suis plus qu’une pute qui a trompé son mari et qui adore ça !" se dit-elle.
Elle ne peut s'empêcher de repasser le DVD... et de se masturber comme une malade ! Elle doit s'avouer que ses perversions ont pris une telle place, que sa vie se réduit à cela. Se faire baiser, fourrer, tringler. Voir les autres le faire. Attendre avec impatience le moment de pouvoir baiser elle-même. C'est une drogue, elle ne savait pas à quel point elle se retrouverait accro !
Deux heures plus tard, en rendant compte de sa mission à son patron, elle a repris tous ses esprits.
- Une fois encore vous avez été parfaite ! Maintenant, passons aux choses sérieuses…Il ouvre un tiroir, en extrait un DVD... Son coeur tressaute en reconnaissant la pochette noire ornée d'un grand "C" ! Impassible au fond de son fauteuil, un léger sourire aux lèvres, il laisse défiler les images. Il y en a pour un bon quart-d'heure et lorsqu'il arrête le disque, il déclare, toujours avec son léger sourire aux lèvres :- Dans ce domaine aussi, vous êtes parfaite… Je dirais même que vous êtes splendide...
Il la dévisage un instant. Nathalie a les joues en feu.
- Retirez votre culotte !
Elle fait glisser la pièce de dentelle humide… Il la porte à ses lèvres et à ses narines…- Vous mouillez… Je m'en doutais… C'est très excitant… Il regarde Nathalie droit dans les yeux :- Montrez-moi vos fesses...
Elle se lève, lui tourne le dos et soulève sa jupe, lui offre le spectacle de ses globes fessiers.
Toujours assis dans son fauteuil, il lui écarte les globes et la lèche. Il la pourlèche longuement et elle geint. Puis, sans aucun préliminaire, il lui fourre son pouce dans l’anus, masse l’intérieur de son cul. Nathalie feule, elle se rend compte que cette brutalité comble totalement son désir. Celui d’être violentée, pénétrée. Elle s'entend parler sans plus contrôler ses propos lubriques :- Oh oui, je vous en prie, baisez-moi par là ! C’est tellement bon de me faire fourrer… N’arrêtez pas… n’arrêtez pas, je vous en prie !
- Vous aimez ça que je vous branle le fion avec mon pouce ? Vous êtes une petite épouse vicieuse ! Que dirait votre mari s’il devait vous voir comme ça ? Et si je lui avais dit de venir ?
Elle ne sait plus où est la part de jeu pervers dans ce dialogue totalement irréel alors que, sous l’effet du plaisir qui monte en elle, elle est incapable de prononcer une phrase sans pouvoir s’interrompre…C’est alors qu'on frappe à la porte. Elle ne peut pas se dérober, car il lui attrape la nuque et la fait basculer en avant, les fesses relevées dans une position plus obscène encore !
- Entrez !
Lorsque la porte s'ouvre, elle croise le regard d'une secrétaire. La femme parait d’un calme désarmant, n'a pas l'air surprise.
- Monsieur Sanchez est arrivé, monsieur…- Faites-le entrer dans cinq minutes...
La secrétaire dépose un document sur le bureau et quitte la pièce sans plus leur adresser le moindre regard. Comme s'il lui semblait tout naturel de se faire doigter le cul par son patron.
Il retire son pouce, prend Nathalie par les hanches et l'attire vers lui. Elle se retrouve assise sur ses genoux. Elle est décalée de façon à poser son cul juste sur sa queue, qu'elle sent dure dans son pantalon. Elle ondule du bassin. Et elle sort sa queue, la coince entre ses cuisses, contre son con trempé. Elle commence à frotter, jusqu’à ce qu'il jouisse contre sa chatte.
Maintenant, elle en veut plus, elle le veut dans le con et le cul. Elle s'agenouille, prend en bouche, entièrement, sa queue en jouant avec sa langue. Elle lui caresse les cuisses et les couilles.
Elle le pompe simplement, presque sans bouger, avec des mouvements de succion et de déglutition. Et elle sent sa queue gonfler à nouveau. Elle continue à pomper, plus vite et plus fort, en faisant coulisser sa bouche le long de la bite, les yeux fermés, deux doigts en anneau à la base de la hampe pour la maintenir verticale.
Elle se retourne, appuyée à la table, dos tourné, très cambrée. - Je n’en peux plus… S’il vous plaît… Prenez-moi !
Il la baise comme ça. Elle bouge les reins, ondule, sa chatte aspire la queue. Elle crie, il griffe, elle se laisse faire en gémissant, geignant, il a ses ongles plantés dans ses cuisses.
- Enculez-moi ! Enculez !
Il se retire de son con, se présente à l’entrée de son cul. Elle écarte le passage à deux mains. Il presse sa bite contre son trou. Il force. Elle pousse un râle très rauque, un grondement animal.
- À fond ! Défoncez-moi... Doigtez-moi !
Elle sent ses doigts et sa queue se frotter à travers la fine membrane de chair qui sépare le vagin de l’anus. Il sent aussi ses doigts, qui frottent vivement le clito et s’entremêlent parfois avec les siens pour une caresse encore plus excitante.
Et puis elle jouit. Elle veut qu'il la pilonne, qu'il la défonce pendant qu'elle jouit. Elle lui crie des ordres d’une voix de possédée, elle veut qu'il l'étrangle, qu'il lui serre le cou le plus fort possible… Il le fait, et elle jouit encore plus fort.
- Sortez, branlez-vous… Jutez sur moi !
Elle se retourne, le visage défait, rouge, les yeux hagards, le front emperlé de sueur, le souffle court. Il s'approche de son visage, qui est à hauteur de sa bite. Il se branle vite et fort pendant qu'elle lui pince, lui griffe les tétons et le ventre.
Ça vient. Des jets violents, rapprochés. De longs filaments dans ses yeux, ses cheveux, contre sa bouche, dans son cou, sur ses joues. Il s’astique encore, il grogne. Elle suce son gland et le frotte contre ses joues…- Bravo !
Effarée, Nathalie se retourne. Assis dans un fauteuil au fond du bureau… Juan applaudit !
- Belle prestation !
Nathalie tombe des nues… Et comprend toute la machination !
- Je ne vous présente pas… Juan est un vieil ami et un de nos plus gros client et actionnaire. Il m'a fait une requête que je ne veux pas lui refuser…Et il ouvre à Nathalie que Juan aurait grand plaisir à ce qu'elle travaille pour lui… Stupéfaite, elle entend Juan lui proposer un poste d'assistante de direction dans une de ses entreprises à Nice... Vu ses capacités… professionnelles, bien entendu. Elle peut commencer immédiatement, si elle le désire.
Barbouillée de sperme, sa petite culotte humide étalée sur le bureau de son patron, le DVD… elle sait de quelles "capacités" il parle. As-t'elle le choix ?
Au fond, elle doit s'avouer qu'elle n’a pas l’impression de faire le choix de grand-chose ! Depuis le jour où Marc, Léa et Juan l'ont choisie, elle a la certitude de ne plus décider vraiment de rien. Et la perspective d'être dorénavant à portée de main - ou de cul - de son "trio infernal" n'est pas faite pour la rebuter, bien au contraire.
Juan propose à Nathalie de régler l'affaire le soir même, au cours d'un dîner. Il est descendu au "Majestic" et l'attend à 20 heures.
Le soir, en traversant le restaurant du "Majestic", en se dirigeant vers la table où Juan l'attend, elle a l'impression que tout le monde peut voir ses tétons durs pointer à travers le tissu de son chemisier quasi transparent. Son entrejambe est humide.
Les plats sont de qualité, le service parfait, le vin excellent. Et quand Juan passe sa main sur sa cuisse, Nathalie s'en empare et la guide jusqu’à son sexe. Lorsqu'il insère deux doigts dans son intimité trempée et démarre une masturbation lente mais profonde, elle lui souffle : - Montons, sinon tu pourras me prendre ici, sur la table, devant tout le monde…Ils sont à peine entrés dans la chambre, qu'il la plaque contre le mur avec son corps. Il plaque sa bouche contre la sienne, elle gémit, ondule, il la maintient de tout son poids contre la paroi. Il remonte sa main le long de sa cuisse, agrippe sa jambe et la presse contre sa hanche. Elle se frotte contre le tissu du pantalon, elle fait aller son bassin contre ses jambes, elle se masturbe sur sa cuisse.
Il la retourne contre le mur, arrache sa robe, déchire sa culotte, elle l’entend défaire sa ceinture, son corps revient s’écraser contre le sien. Il empoigne ses mains, maintient les poignets prisonniers contre le mur au-dessus d'elle. Ses dents mordillent sa nuque sans ménagement. De sa main libre, il explore son entrejambe trempé, la retire, lui montre sa mouille luisante sur ses doigts, elle les suce.
Il lèche sa nuque, sa bouche commence à descendre contre sa colonne vertébrale, du pied, il écarte ses jambes. Sa langue lèche ses fesses, lentement, puis sa bouche se colle sur la région humide, avale sa chatte presque en entier. Il s‘abreuve de son jus, l‘embrasse sauvagement, mord, lèche, fouille, elle crie, veut qu’il s'empale, la remplisse, fort...
Il se relève, la porte comme une poupée de chiffon, la couche sur une table. Il se débarrasse de son pantalon. Elle agrippe la table, il s’enfonce dans un grognement dans son con. Elle sent sa pine la remplir complètement, se glisser contre ses parois, les forcer à s’ouvrir, elle contracte ses muscles pour la sentir encore plus, pour l’emprisonner en elle.
À grands coups de bassin, il laboure son corps et elle en redemande. Ses mains empoignent ses seins, tire sur les tétons, elle crie son plaisir par des mots obscènes. Il la relève, lui empoigne les fesses, la queue toujours enfoncée dans sa chatte. Elle s’agrippe à sa nuque, elle fait aller son bassin contre sa queue toujours en elle. Elle lui arrache sa chemise, le griffe, empoigne ses omoplates. Il la retourne et la plie de nouveau contre la table. Ses seins, son visage sont plaqués contre la surface dure, son bassin se tend, elle en veut encore.
Il écarte ses fesses. Elle sent sa langue sur son trou du cul, elle sent la langue s’y aventurer, en détailler les contours puis s’enfoncer...
Et puis c‘est un doigt humide qui force l’entrée, elle sent s’ouvrir son cul. Et puis c‘est sa queue qui effleure la fente humide de son con, mais ne s’y enfonce pas, elle continue vers la rondelle dilatée par son doigt inquisiteur. La mouille qui recouvre le gland décalotté le fait glisser vers l’intérieur de l’anneau serré.
Elle n'en peut plus, elle geint, quémande la bite, mendie le mâle :- Oh oui ! Là ! Fais-le moi… Mets-la moi dans le cul ! Fais-la moi sentir !
Il attend quelques secondes puis empoigne son épaule et pousse.
Ses couilles heurtent ses fesses offertes, il entame un va-et-vient et elle aide, pousse les hanches pour qu'il s’enfonce plus loin, plus fort. Il accélère le rythme, elle jette une main entre ses cuisses trempées, elle frotte son clito gorgé de mouille.
Elle couine sans retenue, feule, en redemande. Il la prend comme une bête, elle se sent chienne, sa main frappe la table, elle bredouille des insanités, elle dit non, elle dit oui, elle dit plus fort. Il la tire par la taille, la propulse contre son ventre de plus en plus fort. Ses couilles se rétractent, des convulsions enserrent sa verge. Il pousse un râle de bête, son pieu gonfle, il gicle, il n‘en finit pas d‘éjaculer avant de s‘écrouler de tout son poids sur son dos. Lui vidé, elle remplie.
Cette nuit-là, il la fait crier et jouir encore trois fois…
Une semaine plus tard, Nathalie s'envole pour le Midi. Une nouvelle vie commence...
Lorsqu'elle pénètre dans l'appartement, la première chose qu'elle voit, bien en vue sur la table du salon, est une pochette de DVD, noire, ornée d'un grand "C", et une lettre.
Elle glisse le DVD dans le lecteur… Dès les premières images, Nathalie reçoit un choc : couchée sur un divan bas, les yeux bandés, les cuisses ouvertes, suçant des queues... C'est elle, au "Cercle" ! C'est elle encore, sodomisée par Houssam sur le banc à fesser, et puis elle encore, attachée, fouettée, godée, râlant de plaisir sous les mâles qui la possèdent. Elle est atterrée ! Ce n’est pas possible ! Toutes ses orgies ont été filmées !
La lettre est de son mari. Il annonce à Nathalie qu'il demande le divorce. En considération de son apparente fidélité pendant des années, il lui laisse le choix entre un divorce par consentement mutuel sans éclaboussures et un divorce pour faute avec l’étalage de toutes les preuves et les dommages collatéraux. Il habitera pour le moment à l'hôtel et déménagera au cours de la semaine qui vient.
Elle a de la peine a trouver le sommeil, mais, au réveil, elle se sent libérée : le jeu de cache-cache est terminé. Finis les mensonges. "Je ne suis plus qu’une pute qui a trompé son mari et qui adore ça !" se dit-elle.
Elle ne peut s'empêcher de repasser le DVD... et de se masturber comme une malade ! Elle doit s'avouer que ses perversions ont pris une telle place, que sa vie se réduit à cela. Se faire baiser, fourrer, tringler. Voir les autres le faire. Attendre avec impatience le moment de pouvoir baiser elle-même. C'est une drogue, elle ne savait pas à quel point elle se retrouverait accro !
Deux heures plus tard, en rendant compte de sa mission à son patron, elle a repris tous ses esprits.
- Une fois encore vous avez été parfaite ! Maintenant, passons aux choses sérieuses…Il ouvre un tiroir, en extrait un DVD... Son coeur tressaute en reconnaissant la pochette noire ornée d'un grand "C" ! Impassible au fond de son fauteuil, un léger sourire aux lèvres, il laisse défiler les images. Il y en a pour un bon quart-d'heure et lorsqu'il arrête le disque, il déclare, toujours avec son léger sourire aux lèvres :- Dans ce domaine aussi, vous êtes parfaite… Je dirais même que vous êtes splendide...
Il la dévisage un instant. Nathalie a les joues en feu.
- Retirez votre culotte !
Elle fait glisser la pièce de dentelle humide… Il la porte à ses lèvres et à ses narines…- Vous mouillez… Je m'en doutais… C'est très excitant… Il regarde Nathalie droit dans les yeux :- Montrez-moi vos fesses...
Elle se lève, lui tourne le dos et soulève sa jupe, lui offre le spectacle de ses globes fessiers.
Toujours assis dans son fauteuil, il lui écarte les globes et la lèche. Il la pourlèche longuement et elle geint. Puis, sans aucun préliminaire, il lui fourre son pouce dans l’anus, masse l’intérieur de son cul. Nathalie feule, elle se rend compte que cette brutalité comble totalement son désir. Celui d’être violentée, pénétrée. Elle s'entend parler sans plus contrôler ses propos lubriques :- Oh oui, je vous en prie, baisez-moi par là ! C’est tellement bon de me faire fourrer… N’arrêtez pas… n’arrêtez pas, je vous en prie !
- Vous aimez ça que je vous branle le fion avec mon pouce ? Vous êtes une petite épouse vicieuse ! Que dirait votre mari s’il devait vous voir comme ça ? Et si je lui avais dit de venir ?
Elle ne sait plus où est la part de jeu pervers dans ce dialogue totalement irréel alors que, sous l’effet du plaisir qui monte en elle, elle est incapable de prononcer une phrase sans pouvoir s’interrompre…C’est alors qu'on frappe à la porte. Elle ne peut pas se dérober, car il lui attrape la nuque et la fait basculer en avant, les fesses relevées dans une position plus obscène encore !
- Entrez !
Lorsque la porte s'ouvre, elle croise le regard d'une secrétaire. La femme parait d’un calme désarmant, n'a pas l'air surprise.
- Monsieur Sanchez est arrivé, monsieur…- Faites-le entrer dans cinq minutes...
La secrétaire dépose un document sur le bureau et quitte la pièce sans plus leur adresser le moindre regard. Comme s'il lui semblait tout naturel de se faire doigter le cul par son patron.
Il retire son pouce, prend Nathalie par les hanches et l'attire vers lui. Elle se retrouve assise sur ses genoux. Elle est décalée de façon à poser son cul juste sur sa queue, qu'elle sent dure dans son pantalon. Elle ondule du bassin. Et elle sort sa queue, la coince entre ses cuisses, contre son con trempé. Elle commence à frotter, jusqu’à ce qu'il jouisse contre sa chatte.
Maintenant, elle en veut plus, elle le veut dans le con et le cul. Elle s'agenouille, prend en bouche, entièrement, sa queue en jouant avec sa langue. Elle lui caresse les cuisses et les couilles.
Elle le pompe simplement, presque sans bouger, avec des mouvements de succion et de déglutition. Et elle sent sa queue gonfler à nouveau. Elle continue à pomper, plus vite et plus fort, en faisant coulisser sa bouche le long de la bite, les yeux fermés, deux doigts en anneau à la base de la hampe pour la maintenir verticale.
Elle se retourne, appuyée à la table, dos tourné, très cambrée. - Je n’en peux plus… S’il vous plaît… Prenez-moi !
Il la baise comme ça. Elle bouge les reins, ondule, sa chatte aspire la queue. Elle crie, il griffe, elle se laisse faire en gémissant, geignant, il a ses ongles plantés dans ses cuisses.
- Enculez-moi ! Enculez !
Il se retire de son con, se présente à l’entrée de son cul. Elle écarte le passage à deux mains. Il presse sa bite contre son trou. Il force. Elle pousse un râle très rauque, un grondement animal.
- À fond ! Défoncez-moi... Doigtez-moi !
Elle sent ses doigts et sa queue se frotter à travers la fine membrane de chair qui sépare le vagin de l’anus. Il sent aussi ses doigts, qui frottent vivement le clito et s’entremêlent parfois avec les siens pour une caresse encore plus excitante.
Et puis elle jouit. Elle veut qu'il la pilonne, qu'il la défonce pendant qu'elle jouit. Elle lui crie des ordres d’une voix de possédée, elle veut qu'il l'étrangle, qu'il lui serre le cou le plus fort possible… Il le fait, et elle jouit encore plus fort.
- Sortez, branlez-vous… Jutez sur moi !
Elle se retourne, le visage défait, rouge, les yeux hagards, le front emperlé de sueur, le souffle court. Il s'approche de son visage, qui est à hauteur de sa bite. Il se branle vite et fort pendant qu'elle lui pince, lui griffe les tétons et le ventre.
Ça vient. Des jets violents, rapprochés. De longs filaments dans ses yeux, ses cheveux, contre sa bouche, dans son cou, sur ses joues. Il s’astique encore, il grogne. Elle suce son gland et le frotte contre ses joues…- Bravo !
Effarée, Nathalie se retourne. Assis dans un fauteuil au fond du bureau… Juan applaudit !
- Belle prestation !
Nathalie tombe des nues… Et comprend toute la machination !
- Je ne vous présente pas… Juan est un vieil ami et un de nos plus gros client et actionnaire. Il m'a fait une requête que je ne veux pas lui refuser…Et il ouvre à Nathalie que Juan aurait grand plaisir à ce qu'elle travaille pour lui… Stupéfaite, elle entend Juan lui proposer un poste d'assistante de direction dans une de ses entreprises à Nice... Vu ses capacités… professionnelles, bien entendu. Elle peut commencer immédiatement, si elle le désire.
Barbouillée de sperme, sa petite culotte humide étalée sur le bureau de son patron, le DVD… elle sait de quelles "capacités" il parle. As-t'elle le choix ?
Au fond, elle doit s'avouer qu'elle n’a pas l’impression de faire le choix de grand-chose ! Depuis le jour où Marc, Léa et Juan l'ont choisie, elle a la certitude de ne plus décider vraiment de rien. Et la perspective d'être dorénavant à portée de main - ou de cul - de son "trio infernal" n'est pas faite pour la rebuter, bien au contraire.
Juan propose à Nathalie de régler l'affaire le soir même, au cours d'un dîner. Il est descendu au "Majestic" et l'attend à 20 heures.
Le soir, en traversant le restaurant du "Majestic", en se dirigeant vers la table où Juan l'attend, elle a l'impression que tout le monde peut voir ses tétons durs pointer à travers le tissu de son chemisier quasi transparent. Son entrejambe est humide.
Les plats sont de qualité, le service parfait, le vin excellent. Et quand Juan passe sa main sur sa cuisse, Nathalie s'en empare et la guide jusqu’à son sexe. Lorsqu'il insère deux doigts dans son intimité trempée et démarre une masturbation lente mais profonde, elle lui souffle : - Montons, sinon tu pourras me prendre ici, sur la table, devant tout le monde…Ils sont à peine entrés dans la chambre, qu'il la plaque contre le mur avec son corps. Il plaque sa bouche contre la sienne, elle gémit, ondule, il la maintient de tout son poids contre la paroi. Il remonte sa main le long de sa cuisse, agrippe sa jambe et la presse contre sa hanche. Elle se frotte contre le tissu du pantalon, elle fait aller son bassin contre ses jambes, elle se masturbe sur sa cuisse.
Il la retourne contre le mur, arrache sa robe, déchire sa culotte, elle l’entend défaire sa ceinture, son corps revient s’écraser contre le sien. Il empoigne ses mains, maintient les poignets prisonniers contre le mur au-dessus d'elle. Ses dents mordillent sa nuque sans ménagement. De sa main libre, il explore son entrejambe trempé, la retire, lui montre sa mouille luisante sur ses doigts, elle les suce.
Il lèche sa nuque, sa bouche commence à descendre contre sa colonne vertébrale, du pied, il écarte ses jambes. Sa langue lèche ses fesses, lentement, puis sa bouche se colle sur la région humide, avale sa chatte presque en entier. Il s‘abreuve de son jus, l‘embrasse sauvagement, mord, lèche, fouille, elle crie, veut qu’il s'empale, la remplisse, fort...
Il se relève, la porte comme une poupée de chiffon, la couche sur une table. Il se débarrasse de son pantalon. Elle agrippe la table, il s’enfonce dans un grognement dans son con. Elle sent sa pine la remplir complètement, se glisser contre ses parois, les forcer à s’ouvrir, elle contracte ses muscles pour la sentir encore plus, pour l’emprisonner en elle.
À grands coups de bassin, il laboure son corps et elle en redemande. Ses mains empoignent ses seins, tire sur les tétons, elle crie son plaisir par des mots obscènes. Il la relève, lui empoigne les fesses, la queue toujours enfoncée dans sa chatte. Elle s’agrippe à sa nuque, elle fait aller son bassin contre sa queue toujours en elle. Elle lui arrache sa chemise, le griffe, empoigne ses omoplates. Il la retourne et la plie de nouveau contre la table. Ses seins, son visage sont plaqués contre la surface dure, son bassin se tend, elle en veut encore.
Il écarte ses fesses. Elle sent sa langue sur son trou du cul, elle sent la langue s’y aventurer, en détailler les contours puis s’enfoncer...
Et puis c‘est un doigt humide qui force l’entrée, elle sent s’ouvrir son cul. Et puis c‘est sa queue qui effleure la fente humide de son con, mais ne s’y enfonce pas, elle continue vers la rondelle dilatée par son doigt inquisiteur. La mouille qui recouvre le gland décalotté le fait glisser vers l’intérieur de l’anneau serré.
Elle n'en peut plus, elle geint, quémande la bite, mendie le mâle :- Oh oui ! Là ! Fais-le moi… Mets-la moi dans le cul ! Fais-la moi sentir !
Il attend quelques secondes puis empoigne son épaule et pousse.
Ses couilles heurtent ses fesses offertes, il entame un va-et-vient et elle aide, pousse les hanches pour qu'il s’enfonce plus loin, plus fort. Il accélère le rythme, elle jette une main entre ses cuisses trempées, elle frotte son clito gorgé de mouille.
Elle couine sans retenue, feule, en redemande. Il la prend comme une bête, elle se sent chienne, sa main frappe la table, elle bredouille des insanités, elle dit non, elle dit oui, elle dit plus fort. Il la tire par la taille, la propulse contre son ventre de plus en plus fort. Ses couilles se rétractent, des convulsions enserrent sa verge. Il pousse un râle de bête, son pieu gonfle, il gicle, il n‘en finit pas d‘éjaculer avant de s‘écrouler de tout son poids sur son dos. Lui vidé, elle remplie.
Cette nuit-là, il la fait crier et jouir encore trois fois…
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