Les 1001 perversions de Nathalie (18) - Retrouvailles entre amis
Récit érotique écrit par Egrewam [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2019 dans la catégorie Plus on est
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Les 1001 perversions de Nathalie (18) - Retrouvailles entre amis
C'est Germain qui accueille Nathalie à l'aéroport. Il a été convenu qu'elle logera chez Marc et Léa en attendant qu'elle trouve un appartement et s'installe définitivement.
À la villa, l'accueil est plus que chaleureux. En cuisine, Germain s'est surpassé. Le champagne coule à flots. La conversation roule à peine sur des considérations professionnelles. Marc et Juan se partagent des anecdotes amusantes autant que croustillantes - la secrétaire qui ne porte pas de culotte - comment le savent-ils ? Mais tout le monde le sait...
C'est Léa qui prend, enfin, les choses en main - plus précisément "la chose", car elle masturbe la bite de Juan, lequel s'est mis à poil… Marc incite Nathalie à en faire autant, mais Léa intervient :- Nathalie, ma chérie, nous allons chauffer ces deux étalons...
Tout en parlant, elle se glisse derrière elle, lui caresse la nuque. Ses doigts se posent sur ses épaules, puis se glissent dans l’échancrure de sa robe.
Les tétons sont durs, Nathalie sursaute à chaque effleurement, les yeux clos et la bouche entrouverte. L'haleine de Léa enveloppe sa nuque.
Elle entreprend de la déshabiller, la robe tombe à terre. Elle promène ses lèvres dans son cou et sur sa nuque, dégrafe le soutien-gorge.
S’accroupissant, elle se retrouve le visage à hauteur de l’entrecuisse de Nathalie, qui ouvre les jambes. Les poils de sa chatte gonflent sa culotte, une tache humide a déjà traversé.
La bouche posée sur son ventre, Léa fait glisser la culotte sans se presser, et ses lèvres descendent. Lorsqu’elles s’emparent du clitoris, Nathalie avance le ventre en poussant un gémissement.
Léa remarque :- Il est gros, ton bouton... Tu es le genre de cochonne qui aime se faire du bien toute seule.
Nathalie ferme les yeux. Léa se remet à lécher avec avidité. Sous sa poussée, Nathalie se retrouve adossée au mur.
- À vous, messieurs !
Juan s'approche, Nathalie, se colle à lui, ouvre les jambes. Sa main remonte, ses doigts s’égarent sur la peau. La main plonge dans la chaleur de ses cuisses.
Plus elle sent ses doigts progresser vers l’intérieur, plus ses jambes se desserrent, il les écarte encore, ses reins se creusent, son ventre se tend. Les doigts heurtent son con. Elle suffoque. Les doigts glissent le long de sa fente...
Elle se sent palpiter, elle l’embrasse, ses doigts s’enfoncent en elle. Sa bouche étouffe ses gémissements. Leurs langues se mêlent. Elle presse sa queue.
Juan la retourne. Elle lui tend sa croupe. Il frôle ses fesses de ses paumes. Elle le sent respirer dans son cou, elle lui tend sa nuque. Il caresse son derrière, et lentement, remonte à la taille. Puis ses mains redescendent sur les hanches, les pressent, les prennent, et ses paumes encore sur ses fesses.
Ses mains vont chercher plus loin, cherchent à la creuser, à l'ouvrir par-devant, s’attardent dans les plis. Et maintenant, ses doigts vont sur l’aine. Il lui chuchote qu'elle est trempée, il lui dit d’ouvrir plus encore ses cuisses. Il s’agenouille, écarte ses fesses, pose sa langue sur elle.
Elle soupire en fermant les yeux. Juan la met à quatre pattes, lui fourre sa queue d’un coup dans le con. Elle laisse échapper un râle. La queue de Juan lui brûle le ventre, elle est énorme en elle, la remplit si bien, elle en pleure.
Elle voit Marc devant elle, Léa le masturbe. Nathalie ouvre la bouche, Léa en profite pour lui enfoncer la queue de Marc au plus profond de la gorge. Il la retire doucement, presque jusqu’au bout. Juan fait de même dans sa chatte… Leurs glands congestionnés vont et viennent à peine, juste pour titiller. Ils se branlent entre toutes ses lèvres. Affamée, elle attend, les réclame, leur crie.
D’un coup, leurs queues la transpercent à nouveau de part et d’autre. Juan presse ses hanches, malaxe ses cuisses, les ouvre et la défonce, elle brûle. Elle ondule sous lui. Elle sent ses couilles ballotter contre son clitoris. Elle avale celles de Marc, les suçote en le regardant. Il lui fait bouffer ses doigts et les lui enfonce dans le cul. Elle gémit.
Juan lui administre des claques et de bons coups de reins qui la font haleter.
Il se retire, cède la place à Marc pour venir baiser sa gorge. Marc s’agenouille derrière elle, sa langue circule entre ses fesses. Elle se tend, lui souffle avant d’avoir la bouche à nouveau pleine :- Oui, là... Enculez-moi…Alors, elle sent son gland contre elle, elle sent qu’il lui suffit d’une toute petite poussée pour l'enculer. Elle est déjà tout ouverte, aussi elle le fait elle-même. Elle s'empale sur sa queue, c’est délicieux. Elle se cambre pour bien la sentir. Juan caresse ses joues, son cou, y fourre sa verge encore et encore, elle hoquète, elle suffoque de plaisir.
Il se retire, elle le réclame. Il se branle en fixant son cul si bien pris, il lui dit qu’il va la sodomiser lui aussi... Qu'elle ne perd rien pour attendre...
- Oui… Puis vous vous finirez tous les deux dans ma gorge. Je veux vous boire…Elle capitule sous les coups de Marc, ils se retrouvent allongés sur le tapis. Il se retire, il s’étend à côté d'elle. Ils s'enlacent, leurs lèvres brûlantes se touchent, leurs langues se cherchent, ses jambes s’enroulent autour de ses hanches. Marc glisse dans son ventre, elle ferme les yeux, il lui dit de les ouvrir, de le regarder.
Tandis qu'il va et vient, elle sent Juan se coller derrière elle. Alors, Marc cesse tout mouvement, et la bite de Juan coulisse doucement entre ses reins, jusqu’au bout, il la lui met dans le cul. Elle a leurs deux queues en elle, et elle s'abandonne à leurs bras, à leurs poussées, à leurs secousses.
Elle pousse des râles et des cris. Juan applique une main sur sa bouche, elle suce ses doigts, les tète comme de petites bites. Il l'attrape par les cheveux et tire sa tête vers lui.
Les yeux mi-clos, renversée, soumise aux mouvements de leurs pines, au rythme de leurs coups de reins, elle pleure de bonheur. Haletante, elle geint, ils lui font perdre la tête, foutent le feu à ses entrailles. Ils se retirent d'elle.
Elle est sans force, allongée sur le tapis. Marc la fait rouler sur le dos, il plonge sa bite dans sa bouche. Elle voit Juan s’astiquer au-dessus d'elle, et des rafales de foutre déferlent sur son visage, l'inondent, remplissent sa gorge.
Léa, qui ne veut pas être en reste, s'allonge à côté d'elle sur la moquette. Elle lui écarte la chatte à deux mains. Sa langue s’introduit profondément, s’empare du gros bouton, avant de revenir titiller les petites lèvres gonflées.
Après l'avoir amené à la limite de la jouissance, elle vient sur elle, comme un homme. Leurs langues et leurs jambes se mêlent.
Léa lui fait comprendre de quelle façon elle désire que les choses se passent. Elles se branlent l’une l’autre, en se servant du devant contracté de leurs cuisses, bientôt luisantes de mouille.
On entend des bruits de chairs froissées, des clapotements, des souffles précipités.
Léa gémit : - Oui... scie-moi bien la chatte... durcis ton muscle... oui, écrase-moi le bouton... continue... encore !
Elle jouit la première, en serrant les jambes pour garder la cuisse de Nathalie prisonnière jusqu’au dernier spasme.
Ensuite, elle vient se coller contre le côté de son corps, pour la masturber. Sa peau en sueur dégage une odeur chaude, animale. Elle pousse son con vers sa main qui va des cuisses au ventre, effleure l’aine, chatouille la toison, et contourne le bouton.
- Vas-y, branle-moi... j’en peux plus... je vais pisser... d’envie de jouir...
Enfin, à pleine main, elle lui pétrit la chatte, ses doigts s’activent dans le con détrempé. Ecartelée sur le sol, Nathalie sent un orgasme intense monter en elle.
Elle s’abandonne en criant de toutes ses forces, et assommée par l’excès de jouissance, se serre contre Léa.
Allongées sur la tranche, les reins creusés, ventre à ventre, la chatte bien ouverte, elles se donnent encore du plaisir en frottant leurs boutons et leurs mamelons raidis l’un contre l’autre, s'embrassant, se caressant et se pissant mutuellement dans les poils.
Affalée, Nathalie voit alors Germain s'avancer. Il reste immobile au-dessus d'elle, les jambes écartées, la queue raide, dressée jusqu'au nombril.
Léa pose une main et dirige la tête de Nathalie vers le pieu tendu : - Lèche le… Lèche-le bien partout, ma chérie...
Nathalie s'applique, sa langue va sous les couilles, se glisse entre les fesses, fouille le trou du cul, revient sur les couilles. Germain grogne, Léa prend sa queue en bouche et la suçote.
- Il va juter, ma chérie… Branle-le. Je veux voir sa bite éjaculer sur toi...
Nathalie lui prend la tige et commence à le branler. Elle ne le suce pas, mais le branle vigoureusement. Elle aussi, elle veut le voir lui gicler dessus. Et à entendre ses râles cela ne va pas tarder.
Elle sent la bite se tendre dans sa main et soudain, c’est l’explosion. Un gros jet de foutre vient s’écraser sur son front et ses cheveux. Puis un autre éclabousse sa joue. Un troisième moins puissant arrive dans sa bouche qu’elle a ouverte. Le dernier se dépose sur son sein gauche.
Germain grogne sa jouissance et elle goûte son sperme au goût fort. Il n'a pas débandé le moins du monde. Nathalie se couche, écarte les cuisses, femelle et salope :- Viens…Il empoigne sa bite et la promène le long de sa fente, très lentement, appuie son gland suintant sur son clito, un peu, puis plus fort. Il branle son clito avec son gland, descend entre les fesses. Elle est tellement écartée qu'il voit son anus. Il pose son gland sur la corolle brune, appuie. Elle se renverse en émettant un petit râle. De la sueur mouille ses tempes, elle a fermé les yeux. Germain grogne : - Tu aimes, salope ?
Il enfonce son gland un petit peu plus, de l’index de son autre main, il effleure son clito dardé, le dégage. Baigné de mouille, il glisse entre ses doigts. Le con s’élargit et se resserre, animé de spasmes.
En râlant, elle répond aux attouchements par des déhanchements saccadés. Sans cesser de branler le clito érigé, il frotte son gland contre l’ouverture brûlante de son cul. Elle hoquète de délice et ferme les yeux en repliant les genoux vers son buste… La femelle offre ses ouvertures !
Il en profite pour la retourner, elle s’agenouille et il la saisit par les hanches pour enfoncer sa verge tendue, d’abord dans sa chatte, puis dans son anus. Il passe de l’un à l’autre, de façon sauvage, il veut lui faire perdre la tête, ne pas la laisser reprendre son souffle ! C’est lui qui donne le rythme. Elle ne peut se libérer de son emprise, elle n’a pas d’autre choix que de jouir de la bite qui la travaille !
Elle explose finalement, se laisse retomber sur le ventre…
À la villa, l'accueil est plus que chaleureux. En cuisine, Germain s'est surpassé. Le champagne coule à flots. La conversation roule à peine sur des considérations professionnelles. Marc et Juan se partagent des anecdotes amusantes autant que croustillantes - la secrétaire qui ne porte pas de culotte - comment le savent-ils ? Mais tout le monde le sait...
C'est Léa qui prend, enfin, les choses en main - plus précisément "la chose", car elle masturbe la bite de Juan, lequel s'est mis à poil… Marc incite Nathalie à en faire autant, mais Léa intervient :- Nathalie, ma chérie, nous allons chauffer ces deux étalons...
Tout en parlant, elle se glisse derrière elle, lui caresse la nuque. Ses doigts se posent sur ses épaules, puis se glissent dans l’échancrure de sa robe.
Les tétons sont durs, Nathalie sursaute à chaque effleurement, les yeux clos et la bouche entrouverte. L'haleine de Léa enveloppe sa nuque.
Elle entreprend de la déshabiller, la robe tombe à terre. Elle promène ses lèvres dans son cou et sur sa nuque, dégrafe le soutien-gorge.
S’accroupissant, elle se retrouve le visage à hauteur de l’entrecuisse de Nathalie, qui ouvre les jambes. Les poils de sa chatte gonflent sa culotte, une tache humide a déjà traversé.
La bouche posée sur son ventre, Léa fait glisser la culotte sans se presser, et ses lèvres descendent. Lorsqu’elles s’emparent du clitoris, Nathalie avance le ventre en poussant un gémissement.
Léa remarque :- Il est gros, ton bouton... Tu es le genre de cochonne qui aime se faire du bien toute seule.
Nathalie ferme les yeux. Léa se remet à lécher avec avidité. Sous sa poussée, Nathalie se retrouve adossée au mur.
- À vous, messieurs !
Juan s'approche, Nathalie, se colle à lui, ouvre les jambes. Sa main remonte, ses doigts s’égarent sur la peau. La main plonge dans la chaleur de ses cuisses.
Plus elle sent ses doigts progresser vers l’intérieur, plus ses jambes se desserrent, il les écarte encore, ses reins se creusent, son ventre se tend. Les doigts heurtent son con. Elle suffoque. Les doigts glissent le long de sa fente...
Elle se sent palpiter, elle l’embrasse, ses doigts s’enfoncent en elle. Sa bouche étouffe ses gémissements. Leurs langues se mêlent. Elle presse sa queue.
Juan la retourne. Elle lui tend sa croupe. Il frôle ses fesses de ses paumes. Elle le sent respirer dans son cou, elle lui tend sa nuque. Il caresse son derrière, et lentement, remonte à la taille. Puis ses mains redescendent sur les hanches, les pressent, les prennent, et ses paumes encore sur ses fesses.
Ses mains vont chercher plus loin, cherchent à la creuser, à l'ouvrir par-devant, s’attardent dans les plis. Et maintenant, ses doigts vont sur l’aine. Il lui chuchote qu'elle est trempée, il lui dit d’ouvrir plus encore ses cuisses. Il s’agenouille, écarte ses fesses, pose sa langue sur elle.
Elle soupire en fermant les yeux. Juan la met à quatre pattes, lui fourre sa queue d’un coup dans le con. Elle laisse échapper un râle. La queue de Juan lui brûle le ventre, elle est énorme en elle, la remplit si bien, elle en pleure.
Elle voit Marc devant elle, Léa le masturbe. Nathalie ouvre la bouche, Léa en profite pour lui enfoncer la queue de Marc au plus profond de la gorge. Il la retire doucement, presque jusqu’au bout. Juan fait de même dans sa chatte… Leurs glands congestionnés vont et viennent à peine, juste pour titiller. Ils se branlent entre toutes ses lèvres. Affamée, elle attend, les réclame, leur crie.
D’un coup, leurs queues la transpercent à nouveau de part et d’autre. Juan presse ses hanches, malaxe ses cuisses, les ouvre et la défonce, elle brûle. Elle ondule sous lui. Elle sent ses couilles ballotter contre son clitoris. Elle avale celles de Marc, les suçote en le regardant. Il lui fait bouffer ses doigts et les lui enfonce dans le cul. Elle gémit.
Juan lui administre des claques et de bons coups de reins qui la font haleter.
Il se retire, cède la place à Marc pour venir baiser sa gorge. Marc s’agenouille derrière elle, sa langue circule entre ses fesses. Elle se tend, lui souffle avant d’avoir la bouche à nouveau pleine :- Oui, là... Enculez-moi…Alors, elle sent son gland contre elle, elle sent qu’il lui suffit d’une toute petite poussée pour l'enculer. Elle est déjà tout ouverte, aussi elle le fait elle-même. Elle s'empale sur sa queue, c’est délicieux. Elle se cambre pour bien la sentir. Juan caresse ses joues, son cou, y fourre sa verge encore et encore, elle hoquète, elle suffoque de plaisir.
Il se retire, elle le réclame. Il se branle en fixant son cul si bien pris, il lui dit qu’il va la sodomiser lui aussi... Qu'elle ne perd rien pour attendre...
- Oui… Puis vous vous finirez tous les deux dans ma gorge. Je veux vous boire…Elle capitule sous les coups de Marc, ils se retrouvent allongés sur le tapis. Il se retire, il s’étend à côté d'elle. Ils s'enlacent, leurs lèvres brûlantes se touchent, leurs langues se cherchent, ses jambes s’enroulent autour de ses hanches. Marc glisse dans son ventre, elle ferme les yeux, il lui dit de les ouvrir, de le regarder.
Tandis qu'il va et vient, elle sent Juan se coller derrière elle. Alors, Marc cesse tout mouvement, et la bite de Juan coulisse doucement entre ses reins, jusqu’au bout, il la lui met dans le cul. Elle a leurs deux queues en elle, et elle s'abandonne à leurs bras, à leurs poussées, à leurs secousses.
Elle pousse des râles et des cris. Juan applique une main sur sa bouche, elle suce ses doigts, les tète comme de petites bites. Il l'attrape par les cheveux et tire sa tête vers lui.
Les yeux mi-clos, renversée, soumise aux mouvements de leurs pines, au rythme de leurs coups de reins, elle pleure de bonheur. Haletante, elle geint, ils lui font perdre la tête, foutent le feu à ses entrailles. Ils se retirent d'elle.
Elle est sans force, allongée sur le tapis. Marc la fait rouler sur le dos, il plonge sa bite dans sa bouche. Elle voit Juan s’astiquer au-dessus d'elle, et des rafales de foutre déferlent sur son visage, l'inondent, remplissent sa gorge.
Léa, qui ne veut pas être en reste, s'allonge à côté d'elle sur la moquette. Elle lui écarte la chatte à deux mains. Sa langue s’introduit profondément, s’empare du gros bouton, avant de revenir titiller les petites lèvres gonflées.
Après l'avoir amené à la limite de la jouissance, elle vient sur elle, comme un homme. Leurs langues et leurs jambes se mêlent.
Léa lui fait comprendre de quelle façon elle désire que les choses se passent. Elles se branlent l’une l’autre, en se servant du devant contracté de leurs cuisses, bientôt luisantes de mouille.
On entend des bruits de chairs froissées, des clapotements, des souffles précipités.
Léa gémit : - Oui... scie-moi bien la chatte... durcis ton muscle... oui, écrase-moi le bouton... continue... encore !
Elle jouit la première, en serrant les jambes pour garder la cuisse de Nathalie prisonnière jusqu’au dernier spasme.
Ensuite, elle vient se coller contre le côté de son corps, pour la masturber. Sa peau en sueur dégage une odeur chaude, animale. Elle pousse son con vers sa main qui va des cuisses au ventre, effleure l’aine, chatouille la toison, et contourne le bouton.
- Vas-y, branle-moi... j’en peux plus... je vais pisser... d’envie de jouir...
Enfin, à pleine main, elle lui pétrit la chatte, ses doigts s’activent dans le con détrempé. Ecartelée sur le sol, Nathalie sent un orgasme intense monter en elle.
Elle s’abandonne en criant de toutes ses forces, et assommée par l’excès de jouissance, se serre contre Léa.
Allongées sur la tranche, les reins creusés, ventre à ventre, la chatte bien ouverte, elles se donnent encore du plaisir en frottant leurs boutons et leurs mamelons raidis l’un contre l’autre, s'embrassant, se caressant et se pissant mutuellement dans les poils.
Affalée, Nathalie voit alors Germain s'avancer. Il reste immobile au-dessus d'elle, les jambes écartées, la queue raide, dressée jusqu'au nombril.
Léa pose une main et dirige la tête de Nathalie vers le pieu tendu : - Lèche le… Lèche-le bien partout, ma chérie...
Nathalie s'applique, sa langue va sous les couilles, se glisse entre les fesses, fouille le trou du cul, revient sur les couilles. Germain grogne, Léa prend sa queue en bouche et la suçote.
- Il va juter, ma chérie… Branle-le. Je veux voir sa bite éjaculer sur toi...
Nathalie lui prend la tige et commence à le branler. Elle ne le suce pas, mais le branle vigoureusement. Elle aussi, elle veut le voir lui gicler dessus. Et à entendre ses râles cela ne va pas tarder.
Elle sent la bite se tendre dans sa main et soudain, c’est l’explosion. Un gros jet de foutre vient s’écraser sur son front et ses cheveux. Puis un autre éclabousse sa joue. Un troisième moins puissant arrive dans sa bouche qu’elle a ouverte. Le dernier se dépose sur son sein gauche.
Germain grogne sa jouissance et elle goûte son sperme au goût fort. Il n'a pas débandé le moins du monde. Nathalie se couche, écarte les cuisses, femelle et salope :- Viens…Il empoigne sa bite et la promène le long de sa fente, très lentement, appuie son gland suintant sur son clito, un peu, puis plus fort. Il branle son clito avec son gland, descend entre les fesses. Elle est tellement écartée qu'il voit son anus. Il pose son gland sur la corolle brune, appuie. Elle se renverse en émettant un petit râle. De la sueur mouille ses tempes, elle a fermé les yeux. Germain grogne : - Tu aimes, salope ?
Il enfonce son gland un petit peu plus, de l’index de son autre main, il effleure son clito dardé, le dégage. Baigné de mouille, il glisse entre ses doigts. Le con s’élargit et se resserre, animé de spasmes.
En râlant, elle répond aux attouchements par des déhanchements saccadés. Sans cesser de branler le clito érigé, il frotte son gland contre l’ouverture brûlante de son cul. Elle hoquète de délice et ferme les yeux en repliant les genoux vers son buste… La femelle offre ses ouvertures !
Il en profite pour la retourner, elle s’agenouille et il la saisit par les hanches pour enfoncer sa verge tendue, d’abord dans sa chatte, puis dans son anus. Il passe de l’un à l’autre, de façon sauvage, il veut lui faire perdre la tête, ne pas la laisser reprendre son souffle ! C’est lui qui donne le rythme. Elle ne peut se libérer de son emprise, elle n’a pas d’autre choix que de jouir de la bite qui la travaille !
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