Les 1001 perversions de Nathalie (27) - Boris

- Par l'auteur HDS Egrewam -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Les 1001 perversions de Nathalie (27) - Boris Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les 1001 perversions de Nathalie (27) - Boris
Le taxi dépose Nathalie à 22 heures précises devant la villa de Juan. Il déteste tout retard. Son message était bref :
- À 22 heures, chez moi... Sois à l‘heure... J‘attends quelques amis impatients de te connaître...
Ce seront peut-être des vieux, des cons ou des vicieux, se dit Nathalie...
La seule chose qu‘elle sait, c’est qu’ils auront des queues bien dures qui vont la remplir. De toute façon, une queue, c’est toujours une queue, se dit-elle... Car ce qui la rend fébrile et lui fait mouiller sa culotte, c‘est la fin du message de Juan : “Si tu es bien cochonne, Boris te fera sentir la cravache...“ Elle se seulement demande qui peut bien être Boris...
À peine entrée, Nathalie se trouve aussitôt entourée de cinq ou six types qui l’attendent en discutant, un verre à la main. Elle a à peine ôté son manteau, que, déjà, ils forment un cercle autour d‘elle, la détaillant, les yeux pleins de convoitise.
Et déjà un bras lui enlace la taille. Une bouche pleine de salive s’empare de la sienne et une langue cherche à jouer avec la sienne. Une main se plaque d’autorité sur ses fesses. Un homme la presse contre son ventre. Un autre chevauche sa cuisse.
Un dernier se colle contre elle, par-derrière en la tenant par les hanches.
Nathalie est prise, envahie de toutes parts. Elle ferme les yeux. Elle se laisse faire comme une poupée docile. Elle sent leurs respirations s’accélérer. Des mains passent sur son corps. Elles s’emparent de sa nuque, de son dos, de sa poitrine, de son ventre, de son cul, de ses cuisses. Son corsage est déboutonné et sa jupe soulevée.
Des doigts courent sur sa peau, sans égard, avec une maladresse brutale. On lui suce les seins et on les mord. On lui pelote le cul, le pince. On s’introduit sans ménagement dans sa chatte…
- Ça te plaît, tous ces hommes qui s’occupent de toi ? Ça te fait jouir ? Tu vas voir, on va te faire ta fête !
Des sexes bandés se frottent contre ses cuisses, son ventre et ses fesses. L’homme placé derrière elle la tient par les hanches et fait coulisser sa verge
dans la raie de son cul. Sa culotte est baissée, et le bout de la queue bute contre ses fesses, s’introduit entre ses cuisses écartées pour fendre les lèvres de son con.
Nathalie ouvre une braguette au hasard et dégage une queue raide. Une autre, toute chaude, colle à sa cuisse. Un type placé en retrait la regarde en se branlant. La vue de ces sexes dressés l’échauffe.
Nathalie s‘accroupit pour les prendre dans sa bouche, mais ses partenaires ne lui en laisse pas le temps ; déjà ils l’entraînent, la jètent sur le lit. Saisie de fièvre, elle aide le plus proche à se déshabiller en dégrafant sa ceinture ; les autres s’empressent de se dénuder. Six hommes à poil l’entourent. Tous différents.
L’un est trapu et bronzé, le suivant grand et maigre. Un des types a du ventre et la peau fripée et blanche. Un autre a le torse et le dos couvert d’une toison aussi drue qu’une fourrure. Nathalie ne peut pas dire si elle les trouve beaux ou laids. Elle ne voit qu’une seule chose : le désir qu’ils ont d‘elle et leurs queues bandées.
Ils agitent leurs bites dressées contre leur ventre. Ces bites qui vont la forcer, la baiser ! Lui donner leur jus !
- Quelle salope ! Mais quelle salope ! Je n’ai jamais vu pareille salope ! répète le barbu qui a du ventre, en crispant sa main sur sa verge.
Juan, seul à être resté habillé, se tient à l’écart, assis dans un fauteuil, un verre de whisky à la main.
Nathalie écarte largement les cuisses et commence à se frictionner la vulve, dans l’intention de provoquer ses partenaires. Ils ne lui ont pas laissé longtemps prendre son plaisir toute seule. Le plus proche s’installe entre ses jambes et lui lèche la chatte. Un autre fourre sa queue dans sa bouche.
Elle est déjà gluante de jus. Un autre encore s‘allonge à côté d‘elle et lui suce le sein. Elle saisit une queue dans chaque main. On la retourne à demi en lui soulevant la jambe. On peut ainsi lui tripoter aisément les fesses. Des doigts s‘enfoncent dans son con ; puis, une queue.
Nathalie perd pied. Elle sombre sous les vagues de sa jouissance. Un homme se met entre ses cuisses et la baise. Coincée entre deux types, elle ne sait plus si on la prend par-devant ou par-derrière.
Elle passe de l’un à l’autre. De temps en temps, on la tire par les bras ou les jambes, comme on aurait fait d’un paquet, pour modifier sa position. Chacun veut sa part du gâteau.
Elle se retrouve en levrette, cambrant les reins, tendant le cul. Un homme s’active entre ses fesses en la tenant par les hanches, pendant qu’un autre, placé sous elle, lui broute les poils et lui donnant sa queue à sucer. Deux pines se sont disputé sa bouche qui n’est pas assez grande pour les recevoir en même temps.
Elle a failli étouffer. Allongée sur l’homme qui a du ventre, elle se soulève et se rabaisse, pour mieux le sentir aller et venir. On lui écarte les fesses. Une queue cherche à s’introduire dans son anus. Elle ne bouge plus. La verge s’enfonce lentement dans son cul. Puis le mouvement reprend, en mouvements de bielles emballées.
Il y a des pauses. On lui apporte un soda. Ils allument des cigarettes. Fiers de leurs prouesses, faisant cercle autour d‘elle, ses baiseurs commentent leurs exploits comme pour un match de foot.
La plupart d’entre eux, qui bandent encore, entretiennent leur vigueur en se tripotant la queue. Les autres s’évertuent à se faire raidir en se branlant ou en la mettant à contribution. Ils tendent les doigts vers elle, palpent le sein ou l’intérieur de la cuisse, contenant à peine leur impatience.
Puis le jeu infernal recommence. Elle suce. Elle est branlée, baisée, enculée… Nathalie est leur chose. Ils ont tous les droits sur elle et le lui font sentir.
Finalement, les hommes, repus, s‘éclipsent. Nathalie souffle... Dans le fond il lui à manqué quelque chose. Tout ça était un peu sommaire...
Dans son fauteuil, Juana a sorti sa bite. Il bande et se branle...
- Viens !
Nathalie s‘approche, à quatre pattes, petite chienne obéissante devant son maître.
- Bois !
Juan éjacule au moment où elle ouvre la bouche pour avaler son foutre.
- Bien... Maintenant, tu es prête pour Boris...
Nathalie pousse un profond soupir de satisfaction... La séance ! Enfin le fouet, la cravache, la badine !
L‘homme qui fait alors son entrée est impressionnant. Grand, brun, fortement charpenté. De son torse, couvert de poils noirs bouclés, émane une force brutale. Des cheveux, en catogan, dépassent d’une cagoule de bourreau.
On ne voit de son visage que ses yeux noirs, et ses lèvres épaisses. Il est sanglé dans un justaucorps de cuir clouté qui laisse libre sa bite et ses bourses. Il brandit une épaisse cravache de cuir tressé, et de l’autre il empoigne son membre.
On aurait dit qu’il manipule une matraque. Il est superbement monté et Nathalie contemple l’organe circoncis avec concupiscence. Nathalie a l’eau à la bouche.
- Boris va se charger de toi...
Elle entame le jeu :
- Mon seigneur et maître, je ressens comme un vide entre mes cuisses et j’entends bien que vous fassiez ce qu’il faut pour le combler.
- Chienne, ce soir, tu seras gâtée...
Il l‘empoigne par la nuque et il l’allonge sur un petit cheval d’arçon. Sa respiration s’accélère. Elle se laisse brutaliser, ne résiste légèrement que pour la forme. Une trouble lueur de plaisir illumine ses prunelles. Ses seins viennent lourdement s’écraser sur le dessus du cheval d’arçon.
Elle fait mine de se cabrer. Un cinglant coup de cravache sur les fesses l’en dissuade. Un râle jaillit de sa gorge. Boris lui menotte les mains sous le chevalet. Il utilise de véritables menottes de police et non une camelote de sex-shop.
Nathalie se trouve maintenant fermement ligotée sur le petit appareil de contention, incapable de se libérer. Ses fesses surplombent ses jambes. Sa chatte apparait sous ses fesses. Juste au-dessus, l’anus rose se crispe convulsivement.
Boris brandit sa verge de cuir. Il laisse errer sa main sur la croupe de Nathalie et flatte ses fesses. Puis il fait le tour et se poste devant elle.
- Ouvre ça ! dit-il en la frappant sur la joue.
Il lui glisse deux doigts dans la bouche et lui inspecte les dents. Il lui enfonce profondément ses phalanges dans la gorge et Nathalie a un haut le corps. Retirant sa main, il se penche et approche son visage de celui de la soumise.
- Ce n’est pas une bouche, c’est un sac à foutre.
- Mais...
- Silence, salope ! Ouvre plus grand. Je vais nettoyer ce cloaque.
Il approche son sexe et, poussant un soupir de satisfaction, il pisse dans la gorge de Nathalie.
- Bois ! Rince-toi la bouche. Tu te régales ?
Nathalie hoche la tête en déglutissant. Un filet de pisse dégouline sur son menton.
- Bien ! Maintenant, voyons ton cul.
Il retourne derrière Nathalie et garde le silence quelques instants. Brusquement, il lui ordonne d’écarter les jambes. Comme il estime qu‘elle se fait un peu prier, il lui fouette les fesses. Il manie sa cravache avec efficacité, cinglant la chair tendre de l’intérieur des cuisses.
Elle pousse des petits gémissements d‘animal. L‘homme, d’un coup sec appliqué du bout de sa cravache, frappe l’anneau rosâtre qui se contracte.
- Qu’est-ce que tu crois ? Que je n’ai rien d’autre à faire que m’occuper de ta toilette ?
Il enfonce la pointe de la cravache dans l‘orifice. Nathalie poussa un cri aigu, ce qui a pour effet d’ouvrir un peu plus sa vulve. On peut voir les grandes lèvres molles et gonflées. A l’intérieur, les nymphes, un peu plus rouges et légèrement pendantes, laissent deviner une utilisation fréquente.
- Tu t’es encore fait enculer, espèce de garce. Je te l’avais pourtant interdit.
- Mais non ! Je vous assure, geint Nathalie. Je vous jure que j’ai été très sage.
Boris assène un coup sec de sa cravache sur la vulve.
- Tu mens ! Voilà pour t’apprendre à me raconter des histoires.
- Oh non ! Je ne me permettrais pas, maître.++++
.++++Il s’énerve. Il lui applique une claque sur le cul.
- Je ne veux pas le savoir, ordure... Tu me déçois beaucoup. Je suis sûr que si j’y mets la main, je la ressort pleine de foutre.
Il introduit ses doigts joints dans la chatte béante. Il les enfonce, remontant presque jusqu’à l’utérus. Il explore ainsi l’intérieur du bas-ventre de Nathalie, qui se met à ruer d’excitation.
- Tu vas te calmer, pute !
- Mais, mais… c’est imp… impossible. Je… tu me fais jouir !
Son plaisir grandissant lui fait oublier le vouvoiement de soumission. Boris ricane.
- Ce que tu ressens ne m’intéresse pas. Tiens, voilà pour te calmer et t’apprendre à te contrôler.
Les coups de cravache qui maintenant la cinglent ne parviennent qu’à la rendre à demi-folle, elle fait des grands huit avec son cul, qu’elle tend en arrière comme une chatte en chaleur.
Excédé, Boris défait son ceinturon de cuir et, empoignant l’une des jambes de Nathalie, la fixe solidement au pied du chevalet. Pour l’autre, il utilise une écharpe qui traîne sur un fauteuil.
Enfin immobilisée, elle se calme. Seul son souffle rauque trahit son excitation. Boris lui masse vigoureusement les fesses, puis il enfonce de nouveau sa main dans la vulve. Nathalie recommence à se trémousser.
Elle couine comme une petite souris, proférant des mots sans suite, les yeux révulsés. Il se penche à son oreille :
- Tu la veux, dis-moi. Tu la veux ma grosse bite, sale petite chienne...
Il se penche sur elle. Sa queue suintante frôle la cuisse de sa prisonnière, ce qui la rend un peu plus folle de minute en minute. Parfaitement conscient de l’effet qu’il produit sur Nathalie, il assène sur ses fesses charnues des petits coups secs avec sa cravache.
- Tu crois vraiment que je vais mettre ma bite là ?
Il frappe l’anus qui commence à se boursoufler tandis qu’un filet de sang mêlé de mouille lui coule sur la cuisse.
- Prends-moi ! Prends-moi maintenant ! Je t’en supplie. Défonce-moi avec ta queue ! Je n’en peux plus !
Boris est sourd à ses supplications. Il fait durer son plaisir. Il triture et pince le clitoris. Il lèche les fesses zébrées. Elle halète en lâchant des râles. Cette mise en scène l’échauffe tellement que son sexe dégouline. L’intérieur de ses cuisses luit.
Pendant que Nathalie continue de geindre, Boris introduit sa langue dans son cul béant. Emoustillé par le goût épicé, il frotte sa cravache contre le clitoris en érection. Nathalie sanglote. Elle est au bord de l’orgasme et pourtant rien ne vient. C’est intenable !
Elle se met à supplier, puis crier :
- Maintenant ! Maintenant ! Maintenant !
Sa voix monte hystériquement dans les aigus. Il faut qu’elle jouisse.
- Je veux que tu me défonces. Ramone-moi comme une chienne ! Je t’en supplie !
Boris attend encore quelques petites secondes qui paraissent à Nathalie interminables. Lorsque enfin il la pénètre, Nathalie qui croit défaillir sous le contact. Elle ressent cette immense plénitude que lui procure toujours une bite à la fois dure et grosse et douce qui la remplit.
Boris la lime pendant de très longues minutes. Il est couché à plat ventre sur son dos et pendant qu’il la défonce, il lui pince les mamelons, lui tord le clito, lui mord la nuque...
L’orgasme de Nathalie est si intense qu’elle croit sentir son esprit s’échapper de son corps mais à l’instant où elle reprend conscience, elle sent la queue de Boris contre son anus.
Avec une plainte elle jette son cul à la rencontre du pieu, et à grands coups de bite Boris lui procure un deuxième orgasme, puis un troisième lorsque elle sent son jus lui remplir le cul.
L’onde de plaisir qui s’ensuit, décuplée par les premiers spasmes, la laisse écroulée.
Enfin, elle sent qu’on la détache, qu’on la soulève et qu’on l’allonge sur le lit. Rassasiée et elle a l’impression de planer. A demi consciente elle voit la queue de Boris, obscène et bandée, le gland luisant de désir.......bande encore

Cette fois, contrairement à son habitude, Juan ne la fouette pas après une séance.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
A quand la suite Désirée ?? ):

La chipie

Histoire Erotique
Ô joie ! Ô bonheur, enfin une suite après 14 mois d'attente. Nous (lecteurs) commencions à
désespérer.
Blais.



Texte coquin : Les 1001 perversions de Nathalie (27) - Boris
Histoire sexe : Une rose rouge
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