Les 1001 perversions de Nathalie (28) - Soirée (pas tout-à-fait) mondaine.

- Par l'auteur HDS Egrewam -
Récit érotique écrit par Egrewam [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Les 1001 perversions de Nathalie (28) -  Soirée (pas tout-à-fait) mondaine. Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les 1001 perversions de Nathalie (28) - Soirée (pas tout-à-fait) mondaine.
Une demi-douzaine d’automobiles luxueuses sont rangées devant la villa. Nathalie referme la porte d’entrée. D’après la liste que Léa lui a remise, tous les invités sont arrivés. Elle les accueille en porte-jarretelles et bas noirs. Cependant, son tablier blanc et sa coiffe de dentelle rappellent sa condition de bonne.
Plus d’un invité, homme ou femme, ne se gêne pas pour lui tripoter les fesses pendant qu’elle les précède au salon. N’est-ce pas ainsi que l’on traite une bonniche ? Nathalie sent ses mamelons durcir.
Léa apparaît au fond du vestibule, éblouissante dans une robe lamée qui lui tombe sur les pieds mais laisse ses épaules et ses seins presque entièrement découverts. Toutes les autres femmes sont vêtues de tenues aussi audacieuses. Les invités savent que la soirée sera spéciale.
Léa adresse un signe à Nathalie : - Viens ! C’est le moment. Les gens attendent que tu leur serve l’apéritif...
Et elle ajoute, en lui enfonçant un doigt dans l’anus : - Joue bien ton rôle, et tu ne le regretteras pas...
Quand Nathalie entre au salon, tous les regards convergent vers elle. Une des invitées lâche le mot “pute“ à voix haute, avec un rire nerveux. En prenant son temps, Nathalie avance vers le bar, en proie à une ivresse sexuelle grandissante.
Les lèvres de son con se sont écartées, palpitantes. Elle sent la mouille suinter entre elles.
Elle dispose sur un plateau les bouteilles et les verres. Le chargement est si lourd qu’elle a du mal à le soulever, mais elle serre les dents. De toute façon, elle a déjà repéré sa victime, un homme corpulent, au visage carré, buriné, dont les cheveux blancs sont soigneusement peignés en arrière. Il parait très autoritaire et se fait appeler “président“.
Elle se dirige vers lui. Il lève sa main, un gros cigare coincé entre l’index et le majeur.
- Pour moi, ce sera un whis…Avec fracas, le plateau échappe aux mains de Nathalie. L’homme se lève d’un bond, le costume éclaboussé.
- Espèce de gourde ! Hurle-t-il.
La mine confuse, Léa se précipite vers lui, une serviette à la main.
- Je suis absolument désolée.... Cette fille est d’une incroyable incompétence. Il n’y a pas moyen de se fier au personnel, aujourd’hui...
Rageusement, le président s’efforce de réparer les dégâts. Cependant, il retrouve son sang-froid aussi vite qu’il s’est énervé. Un sourire apparaît sur ses lèvres minces quand Léa lui propose de punir lui-même la bonne.
- À la bonne heure ! Mais que me suggérez-vous, ma chère ?
- D’abord qu’elle se mette à quatre pattes devant tout le monde pour essuyer ce qu’elle a répandu. Et puis…Fouillant dans le tiroir d’une commode, Léa en sort une palette de cuir montée sur un manche assez long. Dans l’assistance, il y a des rires et des applaudissements.
- Une bonne fessée, en même temps, lui apprendra son métier.
Le président prend la palette avec un petit rire cruel pendant que Nathalie, sur ordre de Léa, va chercher de quoi nettoyer. De retour au salon, elle se met à quatre pattes sur la moquette devant la flaque et les débris de verre. Les invités se regroupent derrière elle, sauf le président qui se place à ses côtés, la palette à la main.
Dès qu’elle commence à ramasser les bouteilles, il lui assène une violente claque sur les fesses. Le bruit du cuir s’écrasant sur la chair tendre se répercute dans tout le salon. Nathalie pousse un cri. Une large surface de son derrière a viré au rouge foncé et lui cuit.
Pourtant, son excitation ne fait que croître, tandis que le président accélère la cadence :- Continue ! Plus vite tu auras fini, moins tu recevras de coups, mais si tu sabotes le travail, je te fais tout recommencer !
Docilement, Nathalie ramasse les verres puis elle essuie la flaque sur le sol. La palette de cuir s’abat sur ses fesses à un rythme rapide et régulier. Malgré son âge, le président semble infatigable. Cependant, quand Nathalie a fini son nettoyage et se redresse, le président est congestionné. De grosses gouttes de sueur lui coulent sur le visage.
- Cette salope a la peau plus dure qu’il n’y paraît ! Elle m’a mis en nage !
Il vide d’un trait le verre que lui tend Léa puis pince méchamment les fesses de Nathalie, qui ont pris une teinte cramoisie du plus bel effet. Le sang affluant sous la peau provoque une brûlure insupportable, mais Nathalie titube de frustration, non de douleur. Des élancements de plaisir naissent dans son ventre et se répandent dans tout son corps.
Sa vulve dégouline. D’un coup d’oeil, Léa juge son état.
- Cette chienne est en chaleur. Il faut la soulager, sinon elle va faire une crise d’hystérie. Qui se dévoue ?
- Moi, tonne le président. J’ai un droit de priorité, n’est-ce pas ?
Fébrilement, il déboutonne sa braguette et sort sa queue. Il bande, mais il appuie sur la tête de Nathalie pour l’obliger à se pencher et à le sucer.
Léa intervient :- Non, dans l’état où elle est, elle serait capable de vous mordre sans même sans rendre compte...
Le président en convient, d’ailleurs, il bande et n‘a nul besoin d’être excité. Il demande à quelques-uns des invités de l’aider. Nathalie se retrouve allongée à plat dos sur un pouf, les bras et les jambes maintenus écartés par quatre hommes.
Dans l’assistance, il y a des bruits d’étoffe froissée, des petits rires mouillés. Les hommes se déboutonnent, les femmes se laissent palper les seins et les fesses, troussent leur robe. Certaines montrent fièrement leur absence de culotte. Mais tous les regards sont braqués sur Nathalie qui, allongée sur son pouf, supplie qu’on la baise en roulant des yeux fous.
Léa la sermonne :- Un peu de patience, ça va venir.
Elle s’écarte pour laisser la place au président. Celui-ci prend Nathalie sous les cuisses. Quand il pénètre son vagin, les yeux de Nathalie se révulsent. Ses lèvres se retroussent, elle crie si fort que tous les invités en frissonnent. Même le président marque un temps d’arrêt, avant de la bourrer à grands coups de reins rageurs.
- Tiens et tiens, halète-t-il ! C’est ce que tu voulais, tu vas être servie !
Nathalie n’a pas besoin qu’on la tienne. Toutes ses forces semblent s’être concentrées dans son ventre qu’elle tend au-devant de la queue qui la besogne. En jouit avec de violents soubresauts, avant de retomber inerte, à demi évanouie de plaisir.
Le président se retire, mais un autre homme prend aussitôt sa place. C’est un grand maigre au sexe mince et long. Nathalie écarquille les yeux quand il la pénètre.
- Oh oui, encore, crie-t-elle.
L’homme la baise sans fioritures, uniquement soucieux de son propre plaisir. Néanmoins, et en dépit de son premier orgasme, elle jouit en même temps que lui. Dès qu’il ressort, un autre invité lui succède. Nathalie connaît le nombre d’hommes présents, une dizaine, mais elle perd vite le compte de ceux qui la baisent.
Certains reviennent une deuxième fois. Peu lui importe, son ventre insatiable en réclame toujours davantage. Bientôt, elle est prise en sandwich, pénétrée par-devant et enculée.
En même temps, elle suce des queues qui se vident de leur sperme dans sa bouche. Ensuite, elle lèche des sexes de femmes qui la remplissent jusqu’à la gorge de leur mouille amère.
Le monde autour d’elle est devenu un tourbillon de bouches, de langues, de doigts et de sexes avides d’user de son corps. Il lui semble que cela n‘en finit pas. Elle nage dans le foutre.
***Plus tard dans la nuit, alors que la fête est finie, Nathalie, à demi inconsciente, sent que la Léa la couche sur un grand divan. Elle a dû s‘assoupir, combien de temps, elle l’ignore, lorsque elle est tirée de sa torpeur par des mains qui lui caressent les seins, les cuisses, le bas-ventre. Marc et Juan, jusque-là spectateurs de l‘orgie, comme c‘est souvent leur habitude, se tiennent devant elle. Ils sont nus, la verge raide.
Ils se couchent à ses côtés. Marc l‘embrasse à pleine bouche tout en la pelotant. Elle écarte les cuisses, Juan lui lèche la vulve. Elle geint “encore“ quand sa langue pénètre l’entrée de son vagin. En même temps, il titille sa rosette.
Marc se couche sur le dos et l‘attire sur lui. Il introduit son gland entre ses grandes lèvres et elle s‘empale sur sa bite raide. Juan lui enfonce un doigt dans l’anus.
- Tu as été bien préparée, salope. Maintenant, tu vas nous recevoir tous les deux.
Son petit trou s’ouvre sous les doigts de Juan, Marc la maintient par les épaules pour l’empêcher de bouger. Sa bite bat dans son vagin.
Nathalie se mord les lèvres et gémit quand elle sent Juan pousser pour introduire son gland dans son cul. La tenant par les hanches, il pousse plus fort, sa grosse queue glisse lentement dans son orifice anal. Elle se cabre en geignant.
Elle sent dans son ventre les deux membres durs et gros se presser l’un contre l’autre. Ils restent un moment sans bouger, jusqu’à ce que les sphincters se soient bien dilatés.
Alors, ses deux amants se mettent à coulisser au même rythme, l’un dans son con, l’autre dans son cul. C’est dément. Sous l’effet de la double pénétration, elle respire par saccades, ses halètements, puis ses cris se mêlent aux ahanements des deux mâles qui la défoncent.
Elle est penchée en avant, ses mains reposent sur les épaules de Marc, qui la pelote sans douceur. Ils éjaculent tous les deux, lui inondant le vagin et le rectum de leur sperme. Nathalie jouit en poussant des cris, en râlant, à la limite de la suffocation.
Puis, à tour de rôle, ses deux mâles la fessent longuement et elle les remercie et jouit encore...

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Votre add mail ne fonctionne plus j'espère que c'est juste rien de grave.

J'attends la suite avec impatience.

La chipie

Histoire Libertine
A quand la suite mon cher Désirée ?

Histoire Libertine
Je vais vous appeler Désire depuis le temps que j’attends la suite !!!
La chipie



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