Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 12)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-02-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 12)
êta, esclave d'Hyppolitée... chez la Reine des Amazones (suite) :
êta avait été offert à La Reine des Amazones depuis maintenant quelques semaines. L'esclave découvrait en Hyppolitée une Maîtresse capable de passer de la plus extrême douceur à la cruauté la plus perverse. Ainsi, La Reine aimait à voir êta uriner accroupie au-dessus d'un somptueux pot de vermeil incrusté de gemmes brillantes ... puis elle faisait allonger son esclave et venait lécher son intimité, s'abreuvant à même la source qu'elle avait aimé voir s'épancher... Hyppolitée était une merveilleuse experte et sa langue pouvait offrir d'extraordinaires plaisirs ! Sa colère, Hyppolitée préférait l'exercer sur les mâles réduits en esclavage. Rares étaient ceux admis à servir à l'intérieur de l'enceinte de la Cité, la plupart étant destinés aux travaux des champs ou de la mine, travaillant sans relâche pour assurer la subsistance et la richesse des la Cité des Amazones. Mais les plus instruits, les plus charmants, étaient parfois destinés à devenir serviteurs dans les foyers. Et plus rares encore étaient ceux qui pouvaient être admis au service du Palais. Ces derniers ne bénéficiaient d'aucun traitement de faveur, bien au contraire. Ils étaient situés au plus bas de l'échelle dans les fonctions au Palais, bien en dessous des servantes femmes telle êta, plus bas encore que les animaux domestiques. Ils n'avaient même pas le droit à la parole, quand les chats pouvaient miauler à loisir... Mais pour ces esclaves dont le seul "privilège" était d'être régulièrement lavés afin de ne pas venir importuner Les Amazones par de pestilentiels effluves, le pire était toujours à craindre. Car la moindre faute entraînait de cruelles retombées, puis l'expulsion définitive vers les travaux les plus durs, hors les murs…
Ce soir là, deux hommes avaient été traînés devant Hyppolitée... Ils avaient volé du pain alors qu'ils étaient de corvée aux cuisines. Or, les esclaves mâles n'avaient naturellement le droit de se nourrir que lorsqu'on leur distribuait la purée de gruau qui constituait l'essentiel de leurs deux repas quotidiens. Voler était un vrai crime pour un esclave. Il avait été un temps où Les Lois des Amazones prévoyaient tout simplement de trancher la main droite du coupable avant son abandon dans le désert. Mais Hyppolitée avait voulu "humaniser" les pratiques de son peuple. Aussi, après avoir reçu une rossée appuyée de la part des Gardes du Palais, les deux esclaves mâles se trouvaient maintenant, tremblants, agenouillés aux Pieds de La Reine... Elle savourait comme toujours le parfum de la peur qui irradiait de ces deux mâles asservis et ayant abdiqué toute velléité de révolte. C'est ainsi qu'Elle voulait voir tous les hommes, tels ces anciens souverains vaincus, qu'elle maintenait dans ses cachots, leur infligeant régulièrement les pires humiliations et se montrant toujours très attentive à ce qu'ils restent en vie, afin de subir aussi longtemps que possible les tourments du plus absolu des asservissements. Les deux qui tremblaient devant Elle n'avaient jamais régné sur rien. Ils avaient été capturés lors d'un raid tels que La Cavalerie des Amazones en menait régulièrement dans les contrées voisines, afin d'alimenter leur cheptel servile.
Hyppolitée savourait donc ce moment, ces deux esclaves entravés, leur nudité tremblante, les traces des coups déjà reçus, ces échines courbées en signe de supplique muette... Elle laissait du temps passer, le silence s'appesantir, l'angoisse monter... Parfois, déjà, elle avait pu voir des esclaves si apeurés qu'ils avaient fait sous eux s'attirant, bien sûr, une punition plus cruelle encore pour avoir osé souiller le marbre de la salle Royale. Il ne faudrait sans doute pas grand chose pour qu'une flaque vienne se former sous l'un ou l'autre, les deux peut-être, de ces mâles en attente de leur châtiment. Ils étaient jeunes, avec des corps d'éphèbes aux muscles fins... Et même avec les meurtrissures de la rossée, ils avaient des corps agréables à contempler... En fait, les marques bleues et mauves qui les marquaient ne rendaient le spectacle que plus agréable...
- Détachez les ! ordonna Hyppolitée
Immédiatement obéie par les Gardes qui avaient mené les punis devant Elle.
- Toi ! dit La reine en frappant du manche de son fouet l'épaule de l'un des deux esclaves... Je veux te voir baiser ce chien ! lança-t-elle en désignant l'autre...
Oui, s’adressant à celui qui avait été désigné tremblait, demeurant immobile... Hyppolitée adorait ce moment, Elle déploya d'un geste ample son long fouet de cuir tressé, dont le bout était agrémenté de petites billes d'argent scintillantes et, d'un coup sec du poignet, l'abattit sur le dos de l'esclave
- J'ai dit, baises le ! Maintenant…
Ponctuant Son ordre d'un deuxième coup de fouet qui laissa une longue estafilade rougeâtre sur la peau du dos de l'esclave qui s'avança en rampant vers l'autre ... Au troisième coup de fouet, il s'agrippait au dos de son compagnon et l'autre demeurait immobile comme pétrifié, tandis qu'il s'apprêtait à être enculé. Le quatrième coup de fouet fit se cambrer l'esclave visé, tandis qu'il tentait de pousser son sexe trop flasque dans l'anus de son complice...
êta contemplait ce spectacle, agenouillée à côté de Sa Reine et Maîtresse, fière de son abondante chevelure dorée en comparaison à ces deux pauvres mâles au crâne rasé. Malgré ses efforts, l'esclave ne parvenait pas à bander assez pour accomplir sa besogne et il se tordait sous les coups de fouet qui s'abattaient avec une implacable régularité sur son dos maintenant sillonné de zébrures sanguinolentes... Puis Hyppolitée mit fin à ses coups
- êta ! A toi de l'aider maintenant. On te dit capable de rendre raide même une limace... Montres nous donc ce que tu peux faire avec cet asticot !
La reine éclata de rire, imitée par Les Gardiennes, tandis que docilement, êta s'approchait du jeune homme dont le visage fin était baigné de larmes... Elle se déplaçait à quatre pattes avec sa croupe d’une allure des plus félines. Une longue chaîne d’Or en guise de laisse accrochée à son collier et qui se terminait dans la poigne de la Reine confortablement assise sur son trône. Chaîne suffisamment longue pour laisser à êta la possibilité de se mouvoir. Arrivée près de l’esclave mâle, ils n'échangèrent qu'un bref regard, avant que êta ne dirige son visage entre les cuisses du mâle docile... Elle n'usait que de ses lèvres et du bout de sa langue, d'une agilité si peu commune, enserrant le gland comme un serpent s'emparant de sa proie... faisant lentement aller et venir le sexe flasque entre ses lèvres, l'aspirant, le serrant avant de le relâcher, elle le sentit presque instantanément gonfler et durcir... elle poursuivit son effort et le sentit vraiment durcir, l'asticot devenant gourdin ! Ayant obtenu ce que l'on avait exigé d'elle, elle sentit la chaîne qui la tirait en arrière et elle recula quelque peu, permettant à Sa reine de mieux voir le sexe maintenant dressé...
- Tu es merveilleuse ! la complimenta Hyppolitée, allons ! Maintenant obéis sale chien !
Cette fois l'esclave échappa aux tourments du fouet. Se précipitant sur l'autre esclave, il le saisit aux hanches, se colla à lui et força ses fesses, pénétrant son anus, s'enfonçant en lui et le baisant en ahanant bruyamment... La Reine et les Amazones contemplaient le spectacle dégradant de ces deux mâles contraints à s'accoupler ainsi, non par désir mais sous l'humiliante obligation d'un ordre royal... celui qui était enculé ne bougeait pas, seulement parcouru de quelques sanglots, tandis que l'autre s'acharnait à l'enculer, comme saisi de frénésie après que êta ait pris en bouche son jeune sexe... Hyppolitée constatait une nouvelle fois les talents presque (en fait réellement) surnaturels de Son esclave dans toutes les facettes de la pratique sexuelle. Elle savait contenter Femmes et hommes, avec n'importe quelle partie de son corps, comme si elle n'avait été créée que pour les plaisirs... Et pourtant, quelle froideur, quelle indifférence dont ni le fouet, ni les caresses les plus subtiles ne parvenaient à la libérer. êta donnait du plaisir, en recevait, on pouvait la voir jouir, souffrir, mais tout cela semblait ne faire que glisser sur elle...
Au bout d’un moment l’esclave enculé changeait de cris et visiblement les plaintes de douleurs devenaient d’abord des petits gémissements puis ensuite des cris de plaisirs. A l’évidence il trouvait du plaisir et la douleur avait disparue au bénéfice de l’excitation. Il écarta, de lui-même, encore mieux les jambes pour mieux se laisser enculer. Sa bite commençait à se durcir sous les assauts de son compagnon qui le besognait le plus sauvagement qu’il lui était possible. Hyppolitée fit une nouvelle fois claquer son fouet... sans que cela suffise à faire cesser le coït des deux esclaves mâles qui prenaient désormais tous les deux du véritable plaisir jouissif. Elle frappa alors à plusieurs reprises les deux corps maintenant enlacés, sans parvenir à les forcer à se séparer... Il fallut un seau d'eau et les efforts des Gardiennes pour que cela cesse... L'homme excité par la bouche d'êta, malgré les coups et les menaces se débattait pour pouvoir enfin se libérer de la terrible excitation qu'elle avait instillé en lui... tandis que l'autre gémissait encore de plaisir tandis qu'on l'enchaînait et qu'on l'éloignait vers un destin de rudes tâches et d'oubli. Hyppolitée conservait l'autre, celui qui ne pouvait au départ bander et qui, maintenant grâce à êta, exhibait une verge dure et tendue, dressée comme un mat... La Reine le fit enchaîner à une colonne pendant qu'il suppliait qu'on lui permit de s'épancher enfin. Il hurlait et suppliait encore quand Hyppolitée quitta la salle, menant à son côté êta, à quatre pattes, toujours tenue en laisse mais cette fois par une plus courte, une laisse faite pour la promenade toute de cuir fin et sertie de pierres précieuses. Hyppolitée avait envie de savourer à son tour les délices que la langue de Sa blonde esclave pouvait lui procurer et Son Royal Plaisir ne serait que renforcé par les cris et les suppliques du jeune mâle dont la verge brûlante ne serait jamais assouvie... Un large sourire barrait le visage de La Reine des Amazones lorsqu'elle posa Son Regard sur Sa belle femelle qui progressait à Son côté, ondulant gracieusement de la croupe ...
(A suivre …)
êta avait été offert à La Reine des Amazones depuis maintenant quelques semaines. L'esclave découvrait en Hyppolitée une Maîtresse capable de passer de la plus extrême douceur à la cruauté la plus perverse. Ainsi, La Reine aimait à voir êta uriner accroupie au-dessus d'un somptueux pot de vermeil incrusté de gemmes brillantes ... puis elle faisait allonger son esclave et venait lécher son intimité, s'abreuvant à même la source qu'elle avait aimé voir s'épancher... Hyppolitée était une merveilleuse experte et sa langue pouvait offrir d'extraordinaires plaisirs ! Sa colère, Hyppolitée préférait l'exercer sur les mâles réduits en esclavage. Rares étaient ceux admis à servir à l'intérieur de l'enceinte de la Cité, la plupart étant destinés aux travaux des champs ou de la mine, travaillant sans relâche pour assurer la subsistance et la richesse des la Cité des Amazones. Mais les plus instruits, les plus charmants, étaient parfois destinés à devenir serviteurs dans les foyers. Et plus rares encore étaient ceux qui pouvaient être admis au service du Palais. Ces derniers ne bénéficiaient d'aucun traitement de faveur, bien au contraire. Ils étaient situés au plus bas de l'échelle dans les fonctions au Palais, bien en dessous des servantes femmes telle êta, plus bas encore que les animaux domestiques. Ils n'avaient même pas le droit à la parole, quand les chats pouvaient miauler à loisir... Mais pour ces esclaves dont le seul "privilège" était d'être régulièrement lavés afin de ne pas venir importuner Les Amazones par de pestilentiels effluves, le pire était toujours à craindre. Car la moindre faute entraînait de cruelles retombées, puis l'expulsion définitive vers les travaux les plus durs, hors les murs…
Ce soir là, deux hommes avaient été traînés devant Hyppolitée... Ils avaient volé du pain alors qu'ils étaient de corvée aux cuisines. Or, les esclaves mâles n'avaient naturellement le droit de se nourrir que lorsqu'on leur distribuait la purée de gruau qui constituait l'essentiel de leurs deux repas quotidiens. Voler était un vrai crime pour un esclave. Il avait été un temps où Les Lois des Amazones prévoyaient tout simplement de trancher la main droite du coupable avant son abandon dans le désert. Mais Hyppolitée avait voulu "humaniser" les pratiques de son peuple. Aussi, après avoir reçu une rossée appuyée de la part des Gardes du Palais, les deux esclaves mâles se trouvaient maintenant, tremblants, agenouillés aux Pieds de La Reine... Elle savourait comme toujours le parfum de la peur qui irradiait de ces deux mâles asservis et ayant abdiqué toute velléité de révolte. C'est ainsi qu'Elle voulait voir tous les hommes, tels ces anciens souverains vaincus, qu'elle maintenait dans ses cachots, leur infligeant régulièrement les pires humiliations et se montrant toujours très attentive à ce qu'ils restent en vie, afin de subir aussi longtemps que possible les tourments du plus absolu des asservissements. Les deux qui tremblaient devant Elle n'avaient jamais régné sur rien. Ils avaient été capturés lors d'un raid tels que La Cavalerie des Amazones en menait régulièrement dans les contrées voisines, afin d'alimenter leur cheptel servile.
Hyppolitée savourait donc ce moment, ces deux esclaves entravés, leur nudité tremblante, les traces des coups déjà reçus, ces échines courbées en signe de supplique muette... Elle laissait du temps passer, le silence s'appesantir, l'angoisse monter... Parfois, déjà, elle avait pu voir des esclaves si apeurés qu'ils avaient fait sous eux s'attirant, bien sûr, une punition plus cruelle encore pour avoir osé souiller le marbre de la salle Royale. Il ne faudrait sans doute pas grand chose pour qu'une flaque vienne se former sous l'un ou l'autre, les deux peut-être, de ces mâles en attente de leur châtiment. Ils étaient jeunes, avec des corps d'éphèbes aux muscles fins... Et même avec les meurtrissures de la rossée, ils avaient des corps agréables à contempler... En fait, les marques bleues et mauves qui les marquaient ne rendaient le spectacle que plus agréable...
- Détachez les ! ordonna Hyppolitée
Immédiatement obéie par les Gardes qui avaient mené les punis devant Elle.
- Toi ! dit La reine en frappant du manche de son fouet l'épaule de l'un des deux esclaves... Je veux te voir baiser ce chien ! lança-t-elle en désignant l'autre...
Oui, s’adressant à celui qui avait été désigné tremblait, demeurant immobile... Hyppolitée adorait ce moment, Elle déploya d'un geste ample son long fouet de cuir tressé, dont le bout était agrémenté de petites billes d'argent scintillantes et, d'un coup sec du poignet, l'abattit sur le dos de l'esclave
- J'ai dit, baises le ! Maintenant…
Ponctuant Son ordre d'un deuxième coup de fouet qui laissa une longue estafilade rougeâtre sur la peau du dos de l'esclave qui s'avança en rampant vers l'autre ... Au troisième coup de fouet, il s'agrippait au dos de son compagnon et l'autre demeurait immobile comme pétrifié, tandis qu'il s'apprêtait à être enculé. Le quatrième coup de fouet fit se cambrer l'esclave visé, tandis qu'il tentait de pousser son sexe trop flasque dans l'anus de son complice...
êta contemplait ce spectacle, agenouillée à côté de Sa Reine et Maîtresse, fière de son abondante chevelure dorée en comparaison à ces deux pauvres mâles au crâne rasé. Malgré ses efforts, l'esclave ne parvenait pas à bander assez pour accomplir sa besogne et il se tordait sous les coups de fouet qui s'abattaient avec une implacable régularité sur son dos maintenant sillonné de zébrures sanguinolentes... Puis Hyppolitée mit fin à ses coups
- êta ! A toi de l'aider maintenant. On te dit capable de rendre raide même une limace... Montres nous donc ce que tu peux faire avec cet asticot !
La reine éclata de rire, imitée par Les Gardiennes, tandis que docilement, êta s'approchait du jeune homme dont le visage fin était baigné de larmes... Elle se déplaçait à quatre pattes avec sa croupe d’une allure des plus félines. Une longue chaîne d’Or en guise de laisse accrochée à son collier et qui se terminait dans la poigne de la Reine confortablement assise sur son trône. Chaîne suffisamment longue pour laisser à êta la possibilité de se mouvoir. Arrivée près de l’esclave mâle, ils n'échangèrent qu'un bref regard, avant que êta ne dirige son visage entre les cuisses du mâle docile... Elle n'usait que de ses lèvres et du bout de sa langue, d'une agilité si peu commune, enserrant le gland comme un serpent s'emparant de sa proie... faisant lentement aller et venir le sexe flasque entre ses lèvres, l'aspirant, le serrant avant de le relâcher, elle le sentit presque instantanément gonfler et durcir... elle poursuivit son effort et le sentit vraiment durcir, l'asticot devenant gourdin ! Ayant obtenu ce que l'on avait exigé d'elle, elle sentit la chaîne qui la tirait en arrière et elle recula quelque peu, permettant à Sa reine de mieux voir le sexe maintenant dressé...
- Tu es merveilleuse ! la complimenta Hyppolitée, allons ! Maintenant obéis sale chien !
Cette fois l'esclave échappa aux tourments du fouet. Se précipitant sur l'autre esclave, il le saisit aux hanches, se colla à lui et força ses fesses, pénétrant son anus, s'enfonçant en lui et le baisant en ahanant bruyamment... La Reine et les Amazones contemplaient le spectacle dégradant de ces deux mâles contraints à s'accoupler ainsi, non par désir mais sous l'humiliante obligation d'un ordre royal... celui qui était enculé ne bougeait pas, seulement parcouru de quelques sanglots, tandis que l'autre s'acharnait à l'enculer, comme saisi de frénésie après que êta ait pris en bouche son jeune sexe... Hyppolitée constatait une nouvelle fois les talents presque (en fait réellement) surnaturels de Son esclave dans toutes les facettes de la pratique sexuelle. Elle savait contenter Femmes et hommes, avec n'importe quelle partie de son corps, comme si elle n'avait été créée que pour les plaisirs... Et pourtant, quelle froideur, quelle indifférence dont ni le fouet, ni les caresses les plus subtiles ne parvenaient à la libérer. êta donnait du plaisir, en recevait, on pouvait la voir jouir, souffrir, mais tout cela semblait ne faire que glisser sur elle...
Au bout d’un moment l’esclave enculé changeait de cris et visiblement les plaintes de douleurs devenaient d’abord des petits gémissements puis ensuite des cris de plaisirs. A l’évidence il trouvait du plaisir et la douleur avait disparue au bénéfice de l’excitation. Il écarta, de lui-même, encore mieux les jambes pour mieux se laisser enculer. Sa bite commençait à se durcir sous les assauts de son compagnon qui le besognait le plus sauvagement qu’il lui était possible. Hyppolitée fit une nouvelle fois claquer son fouet... sans que cela suffise à faire cesser le coït des deux esclaves mâles qui prenaient désormais tous les deux du véritable plaisir jouissif. Elle frappa alors à plusieurs reprises les deux corps maintenant enlacés, sans parvenir à les forcer à se séparer... Il fallut un seau d'eau et les efforts des Gardiennes pour que cela cesse... L'homme excité par la bouche d'êta, malgré les coups et les menaces se débattait pour pouvoir enfin se libérer de la terrible excitation qu'elle avait instillé en lui... tandis que l'autre gémissait encore de plaisir tandis qu'on l'enchaînait et qu'on l'éloignait vers un destin de rudes tâches et d'oubli. Hyppolitée conservait l'autre, celui qui ne pouvait au départ bander et qui, maintenant grâce à êta, exhibait une verge dure et tendue, dressée comme un mat... La Reine le fit enchaîner à une colonne pendant qu'il suppliait qu'on lui permit de s'épancher enfin. Il hurlait et suppliait encore quand Hyppolitée quitta la salle, menant à son côté êta, à quatre pattes, toujours tenue en laisse mais cette fois par une plus courte, une laisse faite pour la promenade toute de cuir fin et sertie de pierres précieuses. Hyppolitée avait envie de savourer à son tour les délices que la langue de Sa blonde esclave pouvait lui procurer et Son Royal Plaisir ne serait que renforcé par les cris et les suppliques du jeune mâle dont la verge brûlante ne serait jamais assouvie... Un large sourire barrait le visage de La Reine des Amazones lorsqu'elle posa Son Regard sur Sa belle femelle qui progressait à Son côté, ondulant gracieusement de la croupe ...
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