Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 21)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 21)
êta et le Pirate 3 (les sirènes) –
La galère des pirates s'était éloignée des côtes de l'Asie mineure... Le trafic des navires de guerre grecs étant trop important. Ils s'étaient approchés de l'île de Lemnos, pourchassant quelques vaisseaux marchands, sans grand succès... L'ennui gagnait le bord et le philosophe capturé plusieurs jours auparavant faisait les frais du désoeuvrement de l'équipage. Quant à êta, elle était presque en permanence enfermée dans la minuscule cabine où le capitaine l'avait enchaînée, totalement nue et disponible en permanence... Frustré de ne pouvoir obtenir la récompense espérée auprès de la belle esclave, les marins se rattrapaient sur le jeune philosophe qui, lui aussi, apprenait à dispenser tous les plaisirs que des hommes peuvent exiger d'un être asservi et enchaîné nu et sans défense au mât d'un navire de pirates. Ayant contourné en vain Lemnos, la galère virait lentement au Sud-Est. On avait mis les rameurs au repos et un vent léger suffisait cependant à gonfler la voile et faire avancer le navire, dont le calme n'était dérangé que par les gémissements du philosophe, jouet des méchantes moqueries des pirates. Enchaîné au mât par les poignets, il avait été hissé nu afin que seule la pointe de ses pieds touche le sol... Et les marins s'amusaient à l'utiliser comme cible avec divers objets ou déchets...
Dans la cabine, le Pirate s'était couché de tout son poids sur êta et pétrissait sa ferme et forte poitrine, pinçant les tétons avec ardeur, les faisant lentement durcir, les roulant entre ses doigts épais, les faisant saillir ... Il adorait jouer ainsi de ces petits bouts de chair si sensibles et délicats... êta se cambrait et gémissait sous ses doigts, elle se tortillait et écartait les cuisses de plaisir, d’excitation à chaque fois qu’on titillait sa poitrine... s'offrant visiblement à la pénétration. Mais le Pirate prenait plaisir à la voir ainsi torturée de désir... Libérée de ses chaînes, la blonde et sculpturale femelle exhalait le plaisir par toutes les pores de sa peau si pâle et fine. Le Pirate adorait y promener ses gros doigts sales, délaisser un moment les seins pour descendre sur le ventre, faire progresser ses doigts grossiers à l'intérieur des cuisses d'albâtre, tirer brusquement sur les poils de la fine toison pubienne, pincer les chairs humides, avant de les abandonner pour forcer les lèvres charnues et se faire lécher les doigts par le velours délicat de sa langue aussi docile qu'agile…
Soudain, une chose étrange se passa… le calme plat se fit... Dans le silence et la chaleur, le vaisseau cessa soudain d'avancer. Le vent qui cessa brusquement… Ce calme si complet que tous se demandèrent s'il ne fallait pas voir là quelque intervention directe de Poseidon le dieu des Mers et des Océans... Encalminé, le vaisseau n'avançait plus, on n’entendait plus aucun bruit de la nature, ni brise, ni houle, rien. Et nul n'avait envie de faire l'effort de fouetter les rameurs... On aurait dit qu’une force extérieure (ou Divine) influençait leur comportement à l’inertie la plus totale. Aussi et comme le capitaine le faisait environ 1 fois par mois, décida-t-il de l’occasion pour faire libérer les esclaves de leurs bancs de rame, afin qu'ils puissent plonger dans les eaux claires de la Mer Egée et se débarrasser un peu de l'odeur immonde dont ils étaient imprégnés... Rien que pour détacher les chaînes des galériens, les gardes usèrent d’efforts quasi insurmontables tant l’étrange inertie subite les habitait… Et c’est lentement que les rameurs plongèrent dans l’eau étant tout aussi mou que leurs gardiens…
Etrange ambiance que celle qui régnait ainsi, les esclaves-rameurs s'ébattant dans l'eau, les marins ayant délaissé le philosophe remontant péniblement des seaux d'eau pour s'asperger, pour rafraîchir leur corps lesquels une grande fatigue se faisait subitement sentir ... Le Capitaine lui-même avait fait choix de se laver, menant êta sur le pont et lui intimant l'ordre de se tenir accroupie en l'attendant, telle une bonne chienne. Ce qu'elle fit naturellement, non sans éprouver une profonde sensation de désir quasi-brûlant entre ses cuisses...Tandis que tous les hommes s'ébattaient dans l’eau fraîche de la mer, une sorte de mélopée insistante commença à s'élever dont on ne savait où... Peu à peu, ce chant venu, semblait-il, du fond de la mer se faisait plus insistant, ce chant envoûtant et féminin s'emparait lentement des pensées de tous. Les regards des hommes s'égaraient vers tous les points cardinaux, à la recherche de l'origine de ces voix multiples et envoûtantes. Comme hypnotisés par ce chant mystérieux, certains déjà, plongeaient, convaincus que c'est du fond même de la mer que ces voix merveilleuses leur parvenaient... Ils plongeaient et remontaient respirer à la surface de l’eau puis plongeaient encore, jusqu'à s'épuiser, jusqu'à perdre leur souffle, jusqu'à ne plus remonter d’épuisement ! Comme si la folie subite provoquée par ce chant devenu harmonieux leur intimant ces efforts physiques, de plonger mille fois, avait pris le dessus sur leur simple esprit de bon sens…
Sur le pont du navire, les pirates comme les esclaves tendaient l'oreille sans comprendre. Tous de plus en plus subjugués par ce chant de plus en plus beau, mélodieux, enivrant qui maintenant s'élevait haut et fort, venant de toutes parts. Pris de folie à leur tour, par les voix idylliques des Sirènes, les marins aussi se jetaient avec hystérie, à l'eau pour tenter de découvrir l'origine de cette musique si attirante... Et jusqu'au capitaine devenu complètement ivre par ce qui lui parvenait aux oreilles qui délaissant sa belle et blonde esclave, bondit tel un fou enjamber le bord du navire pour se jeter par dessus bord, la tête la première. Il coula à pic !
Il n'y avait plus âme qui vive sur le navire, à l'exception d'êta qui visiblement n’avait perçut aucun son des Sirènes et elle regardait surprise ce spectacle incroyable. Il y avait aussi le jeune philosophe qui tentait désespérément de se libérer de ses chaînes pour rejoindre les autres, mais sans y parvenir, malgré les cruelles blessures qu'il s’infligeait à ses poignets pour tenter de se détacher. Il hurlait comme un fou d’asile à supplier d’être détaché pour pouvoir sauter à l’eau… Moins d'une heure passa... capitaine, marins, esclaves... il n'y avait plus âme qui vive, ni à bord, ni à la surface de la mer. Tous avaient disparu dans les profondeurs, les plus résistants ayant été saisis aux chevilles tandis qu'ils tentaient de surnager, par la poigne implacable des étranges Sirènes, créatures mi-femmes mi-poissons surgies du sombre fond de l'Egée qui les avaient noyés, emportés, avant que de les dévorer…
Puis le chant avait cessé, le vent se remit à souffler comme si rien ne s’était passé. Epuisé, le philosophe demeurait ainsi pendu au mât, la raison lui était revenue, la folie s’étant en allé avec le chant des Sirènes... êta comprenant que quelque chose d'étrange se passait, finit par se relever et vint se pencher sur le bord du bateau... pour ne plus voir personne. Elle était seule, nue, à bord d'un navire qu'elle ne savait pas diriger et hantée par un brûlant désir entre ses cuisses... Elle s'approcha du philosophe enchaîné et lui caressa le visage, puis approchant son visage, elle lui sourit et l'embrassa sur ses lèvres aussi sèches et craquelées que les siennes étaient charnues et parfumées. Ce contact sembla réveiller le jeune homme qui découvrit devant lui la si belle esclave...
- Ooh ! je... mais… où sont-ils ?
- Disparus, répondit laconiquement êta sans comprendre..
- Disparus ? Mais comment ? où ? Il n'y a rien autour de nous !
- Partis... noyés sans doute. Il ne reste que nous...
- Mais !! Incroyable ! … Ooh s'il te plait, détaches moi ! Tu dois savoir où ton Maître le capitaine gardait les clefs !?
- Peut-être, répondit êta en fixant son regard dans celui du jeune homme, mais... mmmmhhh attends...
Elle alla s'asseoir sur un amas de cordages, juste face au philosophe enchaîné... Elle le regardait d'un air à la fois ingénu et empli d'un désir inassouvi... Le fixant, pour capter son attention (ce qui ne fut pas bien difficile), elle se lécha d'abord les doigts, puis, écartant très largement les cuisses, commença à se caresser... de l'autre main elle se pétrissait la poitrine... jetant sa tête en arrière, son abondante chevelure lui faisant comme une large auréole dorée, elle se caressait lentement... accordant parfois un bref regard au pauvre philosophe enchaîné à son mat, dont elle ne pouvait ignorer le sexe qui peu à peu se tendait et pointait vers le ciel... Cette vision excitait plus encore êta qui poussait ses doigts dans ses chairs dégoulinantes... elle se mordait ardemment les lèvres, se caressait avec exaltation, se cambrait, ouvrant ses cuisses comme si une armée entière s'apprêtait à l'investir ! Mais il n'y avait là que le pauvre philosophe enchaîné, bien incapable de la satisfaire, quand bien même il arborait maintenant une belle et ferme érection... Peu à peu êta glissait de son tas de cordages et gisait maintenant sur le bois brut du pont, se saisissant d'un manche de bois pour se l'enfiler enfin... êta était comme prise de convulsions tandis qu'elle faisait aller et venir le gode improvisé entre ses cuisses, l'enfonçant au plus profond de son corps comme elle aimait à recevoir la verge tendue des Hommes auxquels elle avait maintes fois été livrée.
Le jeune philosophe était fasciné par la façon dont cette femme sublimement belle s'exhibait maintenant devant lui... Il sentait son sexe durcir, se tendre, il était saisi de spasmes et soudain, tandis que êta poussait un cri déchirant, libérant d'un seul coup toute la tension charnelle qui l'avait habitée depuis des jours, il éjacula brusquement, un éclat de semence fluide et translucide sans même se masturber étant attaché... Tous deux avaient joui, tous deux s'étaient répandus sur le sol du navire abandonné, dont ils étaient les ultimes survivants...
Pauvres créatures, elle l'esclave à plaisirs, amnésique par la Volonté Divine et dressée pour ne vivre que de sexe et lui, le jeune philosophe enchaîné, réduit à l'état d'objet par les pirates... Pauvres créatures, certes mais... Vivantes ! Ils restèrent ainsi, longtemps, épuisés, vidés de leurs semences, n'ayant d'autre volonté que de demeurer ainsi, silencieux et immobiles... Mais pour le jeune homme, la position devenait bien plus qu'inconfortable et c’est presque en suppliant qu’il lui exprima :
- Euh... dis moi... ne pourrais tu essayer de trouver ces clefs ?... s'il te plait ? demanda-t-il
Lentement, êta se leva, comme une somnambule. Elle s'approcha de lui, colla son corps au sien, le caressa et l'embrassa...
- Je vais chercher ces clefs... lui dit-elle avec douceur, tout en effleurant son sexe du bout des doigts...
(A suivre …)
La galère des pirates s'était éloignée des côtes de l'Asie mineure... Le trafic des navires de guerre grecs étant trop important. Ils s'étaient approchés de l'île de Lemnos, pourchassant quelques vaisseaux marchands, sans grand succès... L'ennui gagnait le bord et le philosophe capturé plusieurs jours auparavant faisait les frais du désoeuvrement de l'équipage. Quant à êta, elle était presque en permanence enfermée dans la minuscule cabine où le capitaine l'avait enchaînée, totalement nue et disponible en permanence... Frustré de ne pouvoir obtenir la récompense espérée auprès de la belle esclave, les marins se rattrapaient sur le jeune philosophe qui, lui aussi, apprenait à dispenser tous les plaisirs que des hommes peuvent exiger d'un être asservi et enchaîné nu et sans défense au mât d'un navire de pirates. Ayant contourné en vain Lemnos, la galère virait lentement au Sud-Est. On avait mis les rameurs au repos et un vent léger suffisait cependant à gonfler la voile et faire avancer le navire, dont le calme n'était dérangé que par les gémissements du philosophe, jouet des méchantes moqueries des pirates. Enchaîné au mât par les poignets, il avait été hissé nu afin que seule la pointe de ses pieds touche le sol... Et les marins s'amusaient à l'utiliser comme cible avec divers objets ou déchets...
Dans la cabine, le Pirate s'était couché de tout son poids sur êta et pétrissait sa ferme et forte poitrine, pinçant les tétons avec ardeur, les faisant lentement durcir, les roulant entre ses doigts épais, les faisant saillir ... Il adorait jouer ainsi de ces petits bouts de chair si sensibles et délicats... êta se cambrait et gémissait sous ses doigts, elle se tortillait et écartait les cuisses de plaisir, d’excitation à chaque fois qu’on titillait sa poitrine... s'offrant visiblement à la pénétration. Mais le Pirate prenait plaisir à la voir ainsi torturée de désir... Libérée de ses chaînes, la blonde et sculpturale femelle exhalait le plaisir par toutes les pores de sa peau si pâle et fine. Le Pirate adorait y promener ses gros doigts sales, délaisser un moment les seins pour descendre sur le ventre, faire progresser ses doigts grossiers à l'intérieur des cuisses d'albâtre, tirer brusquement sur les poils de la fine toison pubienne, pincer les chairs humides, avant de les abandonner pour forcer les lèvres charnues et se faire lécher les doigts par le velours délicat de sa langue aussi docile qu'agile…
Soudain, une chose étrange se passa… le calme plat se fit... Dans le silence et la chaleur, le vaisseau cessa soudain d'avancer. Le vent qui cessa brusquement… Ce calme si complet que tous se demandèrent s'il ne fallait pas voir là quelque intervention directe de Poseidon le dieu des Mers et des Océans... Encalminé, le vaisseau n'avançait plus, on n’entendait plus aucun bruit de la nature, ni brise, ni houle, rien. Et nul n'avait envie de faire l'effort de fouetter les rameurs... On aurait dit qu’une force extérieure (ou Divine) influençait leur comportement à l’inertie la plus totale. Aussi et comme le capitaine le faisait environ 1 fois par mois, décida-t-il de l’occasion pour faire libérer les esclaves de leurs bancs de rame, afin qu'ils puissent plonger dans les eaux claires de la Mer Egée et se débarrasser un peu de l'odeur immonde dont ils étaient imprégnés... Rien que pour détacher les chaînes des galériens, les gardes usèrent d’efforts quasi insurmontables tant l’étrange inertie subite les habitait… Et c’est lentement que les rameurs plongèrent dans l’eau étant tout aussi mou que leurs gardiens…
Etrange ambiance que celle qui régnait ainsi, les esclaves-rameurs s'ébattant dans l'eau, les marins ayant délaissé le philosophe remontant péniblement des seaux d'eau pour s'asperger, pour rafraîchir leur corps lesquels une grande fatigue se faisait subitement sentir ... Le Capitaine lui-même avait fait choix de se laver, menant êta sur le pont et lui intimant l'ordre de se tenir accroupie en l'attendant, telle une bonne chienne. Ce qu'elle fit naturellement, non sans éprouver une profonde sensation de désir quasi-brûlant entre ses cuisses...Tandis que tous les hommes s'ébattaient dans l’eau fraîche de la mer, une sorte de mélopée insistante commença à s'élever dont on ne savait où... Peu à peu, ce chant venu, semblait-il, du fond de la mer se faisait plus insistant, ce chant envoûtant et féminin s'emparait lentement des pensées de tous. Les regards des hommes s'égaraient vers tous les points cardinaux, à la recherche de l'origine de ces voix multiples et envoûtantes. Comme hypnotisés par ce chant mystérieux, certains déjà, plongeaient, convaincus que c'est du fond même de la mer que ces voix merveilleuses leur parvenaient... Ils plongeaient et remontaient respirer à la surface de l’eau puis plongeaient encore, jusqu'à s'épuiser, jusqu'à perdre leur souffle, jusqu'à ne plus remonter d’épuisement ! Comme si la folie subite provoquée par ce chant devenu harmonieux leur intimant ces efforts physiques, de plonger mille fois, avait pris le dessus sur leur simple esprit de bon sens…
Sur le pont du navire, les pirates comme les esclaves tendaient l'oreille sans comprendre. Tous de plus en plus subjugués par ce chant de plus en plus beau, mélodieux, enivrant qui maintenant s'élevait haut et fort, venant de toutes parts. Pris de folie à leur tour, par les voix idylliques des Sirènes, les marins aussi se jetaient avec hystérie, à l'eau pour tenter de découvrir l'origine de cette musique si attirante... Et jusqu'au capitaine devenu complètement ivre par ce qui lui parvenait aux oreilles qui délaissant sa belle et blonde esclave, bondit tel un fou enjamber le bord du navire pour se jeter par dessus bord, la tête la première. Il coula à pic !
Il n'y avait plus âme qui vive sur le navire, à l'exception d'êta qui visiblement n’avait perçut aucun son des Sirènes et elle regardait surprise ce spectacle incroyable. Il y avait aussi le jeune philosophe qui tentait désespérément de se libérer de ses chaînes pour rejoindre les autres, mais sans y parvenir, malgré les cruelles blessures qu'il s’infligeait à ses poignets pour tenter de se détacher. Il hurlait comme un fou d’asile à supplier d’être détaché pour pouvoir sauter à l’eau… Moins d'une heure passa... capitaine, marins, esclaves... il n'y avait plus âme qui vive, ni à bord, ni à la surface de la mer. Tous avaient disparu dans les profondeurs, les plus résistants ayant été saisis aux chevilles tandis qu'ils tentaient de surnager, par la poigne implacable des étranges Sirènes, créatures mi-femmes mi-poissons surgies du sombre fond de l'Egée qui les avaient noyés, emportés, avant que de les dévorer…
Puis le chant avait cessé, le vent se remit à souffler comme si rien ne s’était passé. Epuisé, le philosophe demeurait ainsi pendu au mât, la raison lui était revenue, la folie s’étant en allé avec le chant des Sirènes... êta comprenant que quelque chose d'étrange se passait, finit par se relever et vint se pencher sur le bord du bateau... pour ne plus voir personne. Elle était seule, nue, à bord d'un navire qu'elle ne savait pas diriger et hantée par un brûlant désir entre ses cuisses... Elle s'approcha du philosophe enchaîné et lui caressa le visage, puis approchant son visage, elle lui sourit et l'embrassa sur ses lèvres aussi sèches et craquelées que les siennes étaient charnues et parfumées. Ce contact sembla réveiller le jeune homme qui découvrit devant lui la si belle esclave...
- Ooh ! je... mais… où sont-ils ?
- Disparus, répondit laconiquement êta sans comprendre..
- Disparus ? Mais comment ? où ? Il n'y a rien autour de nous !
- Partis... noyés sans doute. Il ne reste que nous...
- Mais !! Incroyable ! … Ooh s'il te plait, détaches moi ! Tu dois savoir où ton Maître le capitaine gardait les clefs !?
- Peut-être, répondit êta en fixant son regard dans celui du jeune homme, mais... mmmmhhh attends...
Elle alla s'asseoir sur un amas de cordages, juste face au philosophe enchaîné... Elle le regardait d'un air à la fois ingénu et empli d'un désir inassouvi... Le fixant, pour capter son attention (ce qui ne fut pas bien difficile), elle se lécha d'abord les doigts, puis, écartant très largement les cuisses, commença à se caresser... de l'autre main elle se pétrissait la poitrine... jetant sa tête en arrière, son abondante chevelure lui faisant comme une large auréole dorée, elle se caressait lentement... accordant parfois un bref regard au pauvre philosophe enchaîné à son mat, dont elle ne pouvait ignorer le sexe qui peu à peu se tendait et pointait vers le ciel... Cette vision excitait plus encore êta qui poussait ses doigts dans ses chairs dégoulinantes... elle se mordait ardemment les lèvres, se caressait avec exaltation, se cambrait, ouvrant ses cuisses comme si une armée entière s'apprêtait à l'investir ! Mais il n'y avait là que le pauvre philosophe enchaîné, bien incapable de la satisfaire, quand bien même il arborait maintenant une belle et ferme érection... Peu à peu êta glissait de son tas de cordages et gisait maintenant sur le bois brut du pont, se saisissant d'un manche de bois pour se l'enfiler enfin... êta était comme prise de convulsions tandis qu'elle faisait aller et venir le gode improvisé entre ses cuisses, l'enfonçant au plus profond de son corps comme elle aimait à recevoir la verge tendue des Hommes auxquels elle avait maintes fois été livrée.
Le jeune philosophe était fasciné par la façon dont cette femme sublimement belle s'exhibait maintenant devant lui... Il sentait son sexe durcir, se tendre, il était saisi de spasmes et soudain, tandis que êta poussait un cri déchirant, libérant d'un seul coup toute la tension charnelle qui l'avait habitée depuis des jours, il éjacula brusquement, un éclat de semence fluide et translucide sans même se masturber étant attaché... Tous deux avaient joui, tous deux s'étaient répandus sur le sol du navire abandonné, dont ils étaient les ultimes survivants...
Pauvres créatures, elle l'esclave à plaisirs, amnésique par la Volonté Divine et dressée pour ne vivre que de sexe et lui, le jeune philosophe enchaîné, réduit à l'état d'objet par les pirates... Pauvres créatures, certes mais... Vivantes ! Ils restèrent ainsi, longtemps, épuisés, vidés de leurs semences, n'ayant d'autre volonté que de demeurer ainsi, silencieux et immobiles... Mais pour le jeune homme, la position devenait bien plus qu'inconfortable et c’est presque en suppliant qu’il lui exprima :
- Euh... dis moi... ne pourrais tu essayer de trouver ces clefs ?... s'il te plait ? demanda-t-il
Lentement, êta se leva, comme une somnambule. Elle s'approcha de lui, colla son corps au sien, le caressa et l'embrassa...
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