Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 37)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-08-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 37)
Les 12 servitudes d'Hélène : êta sur la route de Thèbes -
êta marchait depuis des jours, s'éloignant des terres de la cité où elle avait provoqué, malgré elle, la chute du Grand Prince Hésiode Mircea. Elle suivait la route poussiéreuse mais plutôt correctement damée, en marchant d'un bon pas. Elle se nourrissait de nombreux fruits en abondance tant que la nature pouvait lui offrir car les divers arbres fruitiers ne manquaient pas dans les vastes cultures longeant de chaque côté de la route. Les points d’eau étaient également abondants en de multiples fontaines de pierre parsemées ci et là tout le long du tracé. Tour cela incitait donc êta à rester sur ce parcours. Sa légère tunique qui ne la couvrait guère flottant dans la douce brise qui la rafraîchissait malgré l'ardent soleil... Elle ne croisa nul passant. Une fois seulement, un groupe de cavaliers la croisèrent au grand galop, mais pressés ils n'accordèrent à la belle femelle aucune attention. Quand enfin, au bout du 6 ème jour de marche, une vaste cité apparut au loin, au coeur d'une large plaine couverte également de champs et de cultures. Comme le soir tombait, elle se dit qu'il serait tout de même plus prudent d'attendre le matin pour se présenter aux portes de cette immense cité prospère, dont elle ne savait que le nom : Thèbes.
Apercevant à travers champs un pauvre paysan qui menait des boeufs tirant un vulgaire plateau fait de planches mal découpées et monté sur roues, elle le héla et courut vers lui. L'homme curieux, observait cette splendide créature qui venait à lui, si peu vêtue et semblait avoir quelque chose à lui demander. Il attendit donc... de près, la jeune femme n'en était que plus désirable encore. A peine couverte par une courte tunique qui dévoilait un de ses seins, elle avait la poitrine lourde mais ferme, la taille fine et les hanches belles, cuisses et jambes parfaitement galbées... Elle ne semblait pas souffrir de marcher pieds nus sur un sol pourtant fort pierreux. Et son visage était d'une merveilleuse pureté, encadré par une épaisse toison de cheveux d'or... L'homme se demandait s'il n'était pas le jouet d'une Déesse descendue sur terre pour s'amuser des pauvres humains, tant elle apparut à ses yeux comme une Divinité de toute beauté. Et il n'était pas plus pauvre que lui en cette contrée, se dit-il.
- Bonjour... je suis en route pour la Cité de Thèbes. Mais la nuit tombe et je cherche un abri, lui dit avec une désarmante simplicité cette sublime et si improbable voyageuse...
Il la regardait, émerveillé, ne parvenant pas à répondre... Jamais de sa vie, si belle créature ne lui avait adressé la parole. Face à tant de grâce et d'aisance, cet homme fruste restait sans voix... êta l'observait aussi, appréciant les qualités si simples de cet homme dont le corps avait été sculpté par de longues années de durs travaux champêtres et agricoles. Il était brun, le cheveu dru, la mâchoire carrée, les épaules larges, bien planté sur ses jambes musclées. Au regard qu'il laissait traîner sur elle, il n'y avait aucune ambiguïté. Il était sous le charme et la désirait comme subjugué par la plastique beauté qui s’offrait face à lui ... Une bosse se formait d'ailleurs sous sa tunique de toile brute qui rendait ses pensées tangibles. êta sourit :
- Je sais que tu n'as sans doute pas grand chose à partager. Mais si tu pouvais me permettre de passer la nuit là où tu vis... je saurai m'en montrer, vraiment très reconnaissante, lui dit-elle d'une voix douce tout en s'approchant tout près de lui.
Il n'avait toujours pas prononcé un seul mot. Maintenant qu'elle était plus près, êta pouvait sentir les relents de fromage de chèvre et d'oignon qu'il exhalait. Elle regarda ses mains épaisses, rendues calleuses par les durs et si pénibles travaux qu'il accomplissait chaque jour. Mais nul collier au cou, nulles chaînes... c'était un homme libre, pas un esclave. Elle était maintenant tout près de lui... elle le regarda droit dans les yeux :
- Me comprends-tu ? Si tu consens à m'offrir un abri pour la nuit, je serai à toi, je ferai tout ce qu'il te prendra la fantaisie d'exiger de moi, je t'obéirai jusqu'au matin. Je n'ai pas besoin de sommeil, mais seulement d'un toit...
Et sans plus attendre, elle posa la main sur la bosse qui grandissait sous l'épaisse tunique sale qu'il portait. Il ne dit guère plus, mais semblait avoir bien compris le marché que lui proposait cette fascinante créature. D'où venait-elle ? De l'Olympe ? De l'Hadès ? S'il acceptait son marché, en apparence si favorable, allait-il provoquer le courroux de quelque Dieu ? L'odeur si douce et fleurie qui émanait d'elle, malgré les preuves manifestes du long voyage qu'elle avait accompli, acheva de le convaincre et de lui faire oublier ses préventions. Sans un mot, sans attendre, il la saisit aux hanches et la posa sur le plateau de son chariot, relevant la tunique d'êta sur ses hanches, il dévoila son triangle intime, aussi frais et lisse qu'au premier jour et fit jaillir un énorme pénis turgescent qu'il poussa sans attendre entre les cuisses charnues à la peau délicate. Il entra en elle d'un coup sec et brusque... Puis se mit à la saillir brutalement, méthodiquement, sans égards ni originalité, Mais avec une puissance, une virilité que êta appréciait. Elle n'avait pas espéré de délicatesse, ni d'imagination de la part de cet homme... juste un sexe épais et de la puissance afin de sentir remplie, baisée, possédée pleinement... Elle s'abandonnait, la tête renversée en arrière, les lèvres tremblantes, les seins agités par les coups de boutoir qui la soulevaient du plancher de bois à chaque fois qu'il s'enfonçait en elle... Il ahanait, semblant libérer dans ce coït violent une longue période d'abstinence, "à moins que les chèvres …", s'interrogea êta sans trop s'en soucier... Elle ne voyait pas dans ces braves bêtes de concurrentes pour accéder aux plaisirs auxquels elle s'était juré de consacrer sa vie tout en cheminant vers Thèbes. L'homme la baisait avec une ardeur sans faille. Elle avait joui, crié de plaisir mais il ne cessait pas de la besogner, ignorant sans doute de ce que peut être le plaisir d'une femme et de comment il s'exprime. Mais êta était bien décidée à combler celui qui serait son hôte cette nuit...
Elle se livrait donc à lui et à sa puissante mais banale pénétration, vidant son esprit pour ne penser qu'à cet énorme sexe qui la labourait et à ce corps musclé, épais et odorant qui pesait sur elle... Elle s'adaptait au rythme que l'homme avait choisi, s'appliquait à l'accompagner, à le devancer, juste un peu, à le guider discrètement... Il ne s'en rendait pas compte, mais au fil de leurs ébats, c'était elle qui le menait par le bout de la queue. Ils jouirent ensemble cette fois, elle par de puissants et longs cris orgasmiques et lui par de longs râles de vieux mâle en manque quand sa semence s’éjacula avec abondance en elle, profondément en elle… Puis dans un silence total, il resta un long moment, de longues minutes ainsi, sa verge encore dure planté dans sa chatte et sans bouger en coït appréciant à chaque seconde l’humidité chaude et accueillante puis se retira sans n’avoir toujours pas prononcé un seul mot. A moins que les forts grognements qu'il avait laissé échapper tout au long de l'acte ne constituent l'unique langage qu'il connut...
- Suis-moi, dit-il pourtant, en posant êta sans brusquerie sur le sol…
Le paysan grec mena ses boeufs, la blonde jeune femme lui emboîtant le pas. Ils arrivèrent un long moment plus tard devant une humble masure de pierres sèches, au toit de chaume. L'homme fit entrer les deux boeufs dans un enclos, laissa la charrette à proximité et entra dans la petite maison par une porte qui nécessitait qu'il baissa la tête. êta le suivit... Malgré la chaleur, un feu nauséabond flambait sous des bûches de bois dans un trou creusé à même le sol près de la fenêtre et ceci afin d’avoir toujours de quoi faire cuire les aliments ou de pouvoir s’éclairer. Un liquide noir et huileux était stocké dans un grand tonneau de chêne proche du rudimentaire âtre. C’était son combustible qui était tout simplement, ce que l’on appellera plus tard de nos jours, du pétrole ! L'homme s’en servit pour allumer une espèce de torche primaire qui nimba encore plus l'unique pièce d'une maigre lueur vacillante. êta fit l'inventaire des lieux... c'était vite fait : Une table et un seul siège, tabouret de bois, une sorte de grabat, sans doute la couche de l'homme et donc le foyer noirci de suie au-dessus du trou où semblait mijoter quelque chose... L'homme alla justement soulever le couvercle du plat de terre qui chauffait ainsi et en huma l'intérieur. Il reposa le couvercle et se tourna vers êta, restée à l'entrée, en montrant sa bouche d'un doigt
- Manger ?
êta fit oui de la tête :
- Oui, j'ai longtemps marché et j'ai grand faim.
L'homme s'assit sur l'unique tabouret et désigna le plat de terre :
- Sert moi alors et après tu mangeras, dit-il d'une voix ferme.
êta jeta un bref coup d'oeil à cet environnement. Par certains aspects, les lieux lui rappelaient le jour où elle s'était réveillée sur une plage, privée de toute mémoire, entièrement nue, ne portant qu'un fin collier où pendait cette lettre, êta, qui était devenue son nom, faute de mieux... Le pêcheur qui l'avait recueillie, traitée en esclave et avait abusé d'elle. Paradoxalement, ses souvenirs éveillaient toujours en elle une forme d'excitation... aussi avilissante et brutale qu'ait été la façon dont il l'avait alors traitée, elle y avait aussi pris du plaisir. Elle aimait sentir Ce pouvoir Brut, Primal qui agitait ces hommes simples qui ne connaissaient que le pouvoir de la force et la voyaient comme une créature fragile à soumettre... Elle regarda encore cet homme assis, cette brute primaire qui venait de la posséder et de la faire jouir par deux fois... Il puait, mais il émanait de lui une puissance brute et bestiale qui la fascinait et l'attirait... Comme il tapait du poing sur la table, impatient, elle baissa la tête ainsi sûrement qu'il allait l'apprécier et se saisit du plat qui chauffait, le portant jusqu'à la table et le posant devant lui. D'un regard, elle tenta de repérer une gamelle, une cuillère, mais il n'y avait rien, visiblement. L'homme souleva le couvercle et elle découvrit... une tête entière de chèvre qui avait manifestement mijoté durant des heures avec quelques oignons... Un sourire éclairait le visage de la brute, il plongea une main dans le plat et se saisit d'un oignon dégoulinant dans lequel il mordit... Le jus gras dégoulinait sur sa barbe sale et mal taillée et son menton tandis qu'il mastiquait l'oignon. Il regardait êta qui attendait, les yeux baissés, les mains jointes...
Il sourit et lui fit signe de venir auprès de lui, ce qu'elle fit docilement et soudainement saisie par un désir irrépressible d'être soumise à cet homme, elle baissa la tête, mit les mains derrière le dos ... Il ne lui fallut que très peu de temps pour comprendre ce qu’elle attendait et il la fit s'agenouiller tout près de lui, et lui tendit du bout des doigts un morceau d'oignon qu'il venait d'arracher à celui qu'il mangeait et le tendit vers les lèvres d'êta qui ouvrir la bouche et reçut la piètre nourriture avec un regard d'humble reconnaissance que perçut l'homme qui prenait un plaisir évident à la faire becqueter, doucement, longuement, de petits bouts d’oignons… Il termina l'oignon et commença à arracher de pauvres morceaux de chair de la tête de chèvre cuite. Parfois, entre deux bouchées, il en accordait une bouchée à la jeune femme toujours agenouillée près de lui... Puis soudain, de sa main grasse, il saisit l'abondante et brillante chevelure et contraignit êta à venir entre ses cuisses où le pénis se dressait à nouveau, dur et tendu... docilement et sans qu'elle eut besoin de précisions, êta avala le sexe du mâle et commença à le sucer lentement, profondément tandis que le paysan mastiquait bruyamment son repas... êta le suçait avidement, savourant l'humiliante situation qu'elle subissait juste pour avoir un toit au-dessus de sa tête pour une nuit... elle mouillait abondamment et sentait la cyprine qui s'écoulait lentement à l'intérieur de ses cuisses. Tout en accomplissant d'une bouche experte son humble devoir, elle pensait en elle-même :
- Décidément, Grand Prince, mendiant ou humble paysan, les hommes ont les mêmes pensées, les mêmes appétits... et j'ai aimé et j’aime encore et encore qu'ils me traitent comme une chienne, une esclave, ou objet dédié à tous leurs plaisirs... mmhh oh oui j'aime subir et satisfaire leurs plus bas appétits, se disait-elle tout en faisant aller et venir la verge dure entre ses lèvres…
Tout en l'avalant aussi au plus profond de sa gorge, tout en la titillant de sa langue. Un long moment plus tard, tandis que êta s'appliquait toujours à combler le désir de l'homme et de son énorme pénis turgescent, elle entendit un grognement, et la tête de chèvre cuite tomba sur le sol, quasiment débarrassée de toute chair... dans le même temps, l'homme se mit à jouir et inonda la bouche d'êta d'un flot de semence épais et abondant qu'elle avala consciencieusement. Ce nectar fort odorant, au goût salé était réputé avoir de grandes vertus nutritives. Vu la quantité qu'en déversait l'homme, et si les disciples d’Hippocrate de Cos disaient vrai, elle était nourrie pour plusieurs jours ! se dit-elle. Mais elle n'eut guère le temps de savourer la semence et de se demander étant amnésique comment se faisait-il qu’elle se souvienne de ce célèbre médecin grec du siècle de Périclès, car déjà, l'homme la saisissait et la forçait à revenir à son côté. Il lui montra la tête tombée au sol dans la terre et lui fit un signe de la main, pour lui signifier qu'elle pouvait manger les restes. Si elle en trouvait se dit-elle en approchant du peu ragoutant morceau osseux. Il s'était un peu tourné, toujours assis sur le tabouret et l'observait…
Accroupie, genoux pliés, elle se saisit de la tête et lécha les restes de jus et de chair qui s'accrochaient encore. Elle se sentait si délicieusement avilie dans cette position, mâchonnant l'infâme restant de repas qui lui avait été ainsi accordé. Et elle mangeait sous le regard satisfait de cet homme vulgaire, brutal, ignare qui se mit à éructer bruyamment... Certes ignare mais puissant, viril et doté d'un si bel engin ! Elle mangeait accroupie, telle une bête, et prenait garde à garder ses cuisses bien ouvertes, montrant un sexe bien exhibé quel que soit l'inconfort de cette position. Elle voulait l’exciter encore, elle voulait se faire baiser de nouveau, sentir sa grosse bite en elle, telle la chienne en chaleur qu’elle était. Elle tortilla son bassin d’avant en arrière comme pour lui faire comprendre qu’il fallait qu’il la baise, qu’elle en avait tant envie. Elle le regardait droit dans les yeux, avec un regard plein de désirs et qui parlait tout seul, un regard qui disait ‘’Vient, baise moi’’… Et ce fut efficace, car finalement, ça excitait de nouveau le paysan et il ne tarda pas à reprendre une érection qu’il ne contrôlait pas. L'homme se leva, il arracha les ossements des mains d'êta et les jeta dans un coin de la misérable bâtisse. L'homme attrapa êta par les épaules et la remit debout, contempla son visage et sortit sa langue épaisse et lécha les lèvres et le visage d'êta, lentement, faisant couler sur elle une salive épaisse... Il souleva êta et la plaqua contre un mur, continuant à lui lécher le visage, la soulevant d'une seule main et usant de l'autre pour écarter les cuisses dociles de celle qui s'était totalement et humblement offerte à Lui pour une nuit sous un toit. Une fois en elle, il la baisa encore avec fureur virile pris par une vigueur incroyable à grands coups de reins puissants, l'écrasant contre le mur, poussant sa verge dure entre les cuisses à la peau délicate, fouillant au plus profond ces chairs fragiles et roses dans lesquelles il glissait aisément, tant elle avait mouillé tandis qu'elle avalait et suçait sa longue et grosse verge. êta plaquée contre le mur qui blessait son dos, l'homme la maintenait soulevée par la seule force de son sexe planté en elle. Et de ses mains, il pétrissait en grognant les seins lourds à la peau de velours dont les tétons épais d'un rose vif se durcissaient et se dressaient. êta avait envie qu'il morde, pince, torture ces tétons, elle avait un ardent désir d'être non seulement humiliée, avilie, mais aussi de se sentir maltraitée... de subir les supplices cruels que certains avaient parfois su lui infliger…
Mais cet homme était trop simple, trop primaire... il ne voulait que se vider en elle, l'empaler sur son énorme pieu et la saillir aussi bestialement que son instinct primitif lui commandait. Et à sentir comme il était excité, êta se doutait qu'il ne devait pas souvent se présenter de femmes à lui et encore moins des propositions comme celle qu'elle lui avait faite. Elle sourit, avant d'exhaler un long gémissement tandis qu'elle s'abandonnait une nouvelle fois au plaisir si fort que lui procurait les puissants coups de queue de cet homme quand sans préambule ni aucun mot, soudainement sortit d'elle et recula, l'abandonnant contre le mur sur lequel elle glissa jusqu'à s'écrouler épuisée au pied du mur. L'homme sortit de la masure et s'absenta quelques minutes. Il revint en tenant une cruche dégoulinante. Sans doute était-il allé à un puits proche pour se désaltérer. Il avait tout de même pensé à elle... Elle se redressa lentement, épuisée par les assauts de cet homme à l'esprit des plus simples, mais à la force démesurée et aux capacités sexuelles... inépuisables ! Il s'approcha, la saisit ,par l'épaule et lui présenta la cruche... elle but maladroitement, de l'eau coulant sur son menton, puis suivant les courbes généreuses de son corps pour faire comme des ruisseaux sur ses épaules, entre ses seins...
L'homme vint boire l'eau qui s'écoulait ainsi sur sa peau. Il finit de vider la cruche dans la bouche de la belle, d'un geste brusque, excessif, elle s'étouffa un peu, ne pouvant boire tout ce qu'il restait... l'eau s'écoulait sur elle et il la léchait. Finalement, même lui pouvait avoir un désir un peu plus subtil se dit-elle, tandis qu'il la soulevait des deux mains jusqu'à pouvoir s'abreuver directement entre les cuisses de cette si douce et humaine fontaine. Il la but ainsi, jusqu'à plus soif... puis, décidément jamais rassasié, la fit s'incliner de face sur la table et lui écarta les cuisses pour la prendre maintenant par le cul. Il l'encula comme il l'avait baisée, brusquement, méthodiquement, très longuement, sans aucun égard pour elle, ne cherchant que son propre plaisir en usant de cette femme qui s'était offerte à lui et qui n'était dès lors plus qu'un objet dont il voulait tirer le plus de plaisir avant de la voir repartir. Il l'enculait, poussait son épaisse queue dans le petit cul qui s'ouvrait en corolle sous ses assauts incessants. et lorsqu'il eut fini, qu'il eut encore une fois craché ce long et épais jet de semence dans le cul d'êta, qu’il lâcha de nouveau son sperme profondément en elle dans de puissants râles, il la relâcha et sans un mot de plus alla s'écrouler sur sa paillasse. êta regarda un moment ce grand corps musclé, ce sexe maintenant flasque mais toujours aux dimensions extrêmes...
L'homme dormait à poings fermés, sa poitrine se soulevant au rythme de ses bruyants ronflements tel un ogre. Comme il bougeait, dégageant un peu d'espace, elle se glissa contre lui et dormit à son tour... Le lendemain matin, l'homme dormait encore, visiblement épuisé par les efforts inhabituels qu'il avait fourni la veille au soir. êta le contemplait. Elle avait apprécié sa puissance, sa virilité hors du commun mais la banalité de ses envies l'avaient lassée. Elle se leva silencieusement, et telle une chatte glissa sur le sol jusqu'à la porte qui grinça mais le paysan plongé dans un sommeil profond n’entendit absolument rien… Il faisait soleil, mais pas encore trop chaud. êta quitta la chaumière d'un pas joyeux. Mieux valait ne pas trop s'attarder car il n'était pas dit que l'homme ne voudrait pas la garder encore auprès de lui, après les plaisirs qu'elle lui avait offerts. Il était fort, vivait comme un animal, prenant ce qu'il voulait, ne s'arrêtant que lorsque ses appétits étaient assouvis. Elle ne pourrait pas lui résister, mais si elle devenait sa chose, ce qui pourrait avoir quelques bons côtés lorsqu'il la pénétrerait, elle s'ennuierait aussi… Alors elle s'éloigna donc pendant le sommeil de ce mâle qui lui avait tout de même offert quelques si forts moments de jouissance et prit le chemin de la Cité de Thèbes qui dressait ses remparts et ses temples au loin et ne savait pas encore ce que cette fameuse Cité allait lui réserver...
(A suivre…)
êta marchait depuis des jours, s'éloignant des terres de la cité où elle avait provoqué, malgré elle, la chute du Grand Prince Hésiode Mircea. Elle suivait la route poussiéreuse mais plutôt correctement damée, en marchant d'un bon pas. Elle se nourrissait de nombreux fruits en abondance tant que la nature pouvait lui offrir car les divers arbres fruitiers ne manquaient pas dans les vastes cultures longeant de chaque côté de la route. Les points d’eau étaient également abondants en de multiples fontaines de pierre parsemées ci et là tout le long du tracé. Tour cela incitait donc êta à rester sur ce parcours. Sa légère tunique qui ne la couvrait guère flottant dans la douce brise qui la rafraîchissait malgré l'ardent soleil... Elle ne croisa nul passant. Une fois seulement, un groupe de cavaliers la croisèrent au grand galop, mais pressés ils n'accordèrent à la belle femelle aucune attention. Quand enfin, au bout du 6 ème jour de marche, une vaste cité apparut au loin, au coeur d'une large plaine couverte également de champs et de cultures. Comme le soir tombait, elle se dit qu'il serait tout de même plus prudent d'attendre le matin pour se présenter aux portes de cette immense cité prospère, dont elle ne savait que le nom : Thèbes.
Apercevant à travers champs un pauvre paysan qui menait des boeufs tirant un vulgaire plateau fait de planches mal découpées et monté sur roues, elle le héla et courut vers lui. L'homme curieux, observait cette splendide créature qui venait à lui, si peu vêtue et semblait avoir quelque chose à lui demander. Il attendit donc... de près, la jeune femme n'en était que plus désirable encore. A peine couverte par une courte tunique qui dévoilait un de ses seins, elle avait la poitrine lourde mais ferme, la taille fine et les hanches belles, cuisses et jambes parfaitement galbées... Elle ne semblait pas souffrir de marcher pieds nus sur un sol pourtant fort pierreux. Et son visage était d'une merveilleuse pureté, encadré par une épaisse toison de cheveux d'or... L'homme se demandait s'il n'était pas le jouet d'une Déesse descendue sur terre pour s'amuser des pauvres humains, tant elle apparut à ses yeux comme une Divinité de toute beauté. Et il n'était pas plus pauvre que lui en cette contrée, se dit-il.
- Bonjour... je suis en route pour la Cité de Thèbes. Mais la nuit tombe et je cherche un abri, lui dit avec une désarmante simplicité cette sublime et si improbable voyageuse...
Il la regardait, émerveillé, ne parvenant pas à répondre... Jamais de sa vie, si belle créature ne lui avait adressé la parole. Face à tant de grâce et d'aisance, cet homme fruste restait sans voix... êta l'observait aussi, appréciant les qualités si simples de cet homme dont le corps avait été sculpté par de longues années de durs travaux champêtres et agricoles. Il était brun, le cheveu dru, la mâchoire carrée, les épaules larges, bien planté sur ses jambes musclées. Au regard qu'il laissait traîner sur elle, il n'y avait aucune ambiguïté. Il était sous le charme et la désirait comme subjugué par la plastique beauté qui s’offrait face à lui ... Une bosse se formait d'ailleurs sous sa tunique de toile brute qui rendait ses pensées tangibles. êta sourit :
- Je sais que tu n'as sans doute pas grand chose à partager. Mais si tu pouvais me permettre de passer la nuit là où tu vis... je saurai m'en montrer, vraiment très reconnaissante, lui dit-elle d'une voix douce tout en s'approchant tout près de lui.
Il n'avait toujours pas prononcé un seul mot. Maintenant qu'elle était plus près, êta pouvait sentir les relents de fromage de chèvre et d'oignon qu'il exhalait. Elle regarda ses mains épaisses, rendues calleuses par les durs et si pénibles travaux qu'il accomplissait chaque jour. Mais nul collier au cou, nulles chaînes... c'était un homme libre, pas un esclave. Elle était maintenant tout près de lui... elle le regarda droit dans les yeux :
- Me comprends-tu ? Si tu consens à m'offrir un abri pour la nuit, je serai à toi, je ferai tout ce qu'il te prendra la fantaisie d'exiger de moi, je t'obéirai jusqu'au matin. Je n'ai pas besoin de sommeil, mais seulement d'un toit...
Et sans plus attendre, elle posa la main sur la bosse qui grandissait sous l'épaisse tunique sale qu'il portait. Il ne dit guère plus, mais semblait avoir bien compris le marché que lui proposait cette fascinante créature. D'où venait-elle ? De l'Olympe ? De l'Hadès ? S'il acceptait son marché, en apparence si favorable, allait-il provoquer le courroux de quelque Dieu ? L'odeur si douce et fleurie qui émanait d'elle, malgré les preuves manifestes du long voyage qu'elle avait accompli, acheva de le convaincre et de lui faire oublier ses préventions. Sans un mot, sans attendre, il la saisit aux hanches et la posa sur le plateau de son chariot, relevant la tunique d'êta sur ses hanches, il dévoila son triangle intime, aussi frais et lisse qu'au premier jour et fit jaillir un énorme pénis turgescent qu'il poussa sans attendre entre les cuisses charnues à la peau délicate. Il entra en elle d'un coup sec et brusque... Puis se mit à la saillir brutalement, méthodiquement, sans égards ni originalité, Mais avec une puissance, une virilité que êta appréciait. Elle n'avait pas espéré de délicatesse, ni d'imagination de la part de cet homme... juste un sexe épais et de la puissance afin de sentir remplie, baisée, possédée pleinement... Elle s'abandonnait, la tête renversée en arrière, les lèvres tremblantes, les seins agités par les coups de boutoir qui la soulevaient du plancher de bois à chaque fois qu'il s'enfonçait en elle... Il ahanait, semblant libérer dans ce coït violent une longue période d'abstinence, "à moins que les chèvres …", s'interrogea êta sans trop s'en soucier... Elle ne voyait pas dans ces braves bêtes de concurrentes pour accéder aux plaisirs auxquels elle s'était juré de consacrer sa vie tout en cheminant vers Thèbes. L'homme la baisait avec une ardeur sans faille. Elle avait joui, crié de plaisir mais il ne cessait pas de la besogner, ignorant sans doute de ce que peut être le plaisir d'une femme et de comment il s'exprime. Mais êta était bien décidée à combler celui qui serait son hôte cette nuit...
Elle se livrait donc à lui et à sa puissante mais banale pénétration, vidant son esprit pour ne penser qu'à cet énorme sexe qui la labourait et à ce corps musclé, épais et odorant qui pesait sur elle... Elle s'adaptait au rythme que l'homme avait choisi, s'appliquait à l'accompagner, à le devancer, juste un peu, à le guider discrètement... Il ne s'en rendait pas compte, mais au fil de leurs ébats, c'était elle qui le menait par le bout de la queue. Ils jouirent ensemble cette fois, elle par de puissants et longs cris orgasmiques et lui par de longs râles de vieux mâle en manque quand sa semence s’éjacula avec abondance en elle, profondément en elle… Puis dans un silence total, il resta un long moment, de longues minutes ainsi, sa verge encore dure planté dans sa chatte et sans bouger en coït appréciant à chaque seconde l’humidité chaude et accueillante puis se retira sans n’avoir toujours pas prononcé un seul mot. A moins que les forts grognements qu'il avait laissé échapper tout au long de l'acte ne constituent l'unique langage qu'il connut...
- Suis-moi, dit-il pourtant, en posant êta sans brusquerie sur le sol…
Le paysan grec mena ses boeufs, la blonde jeune femme lui emboîtant le pas. Ils arrivèrent un long moment plus tard devant une humble masure de pierres sèches, au toit de chaume. L'homme fit entrer les deux boeufs dans un enclos, laissa la charrette à proximité et entra dans la petite maison par une porte qui nécessitait qu'il baissa la tête. êta le suivit... Malgré la chaleur, un feu nauséabond flambait sous des bûches de bois dans un trou creusé à même le sol près de la fenêtre et ceci afin d’avoir toujours de quoi faire cuire les aliments ou de pouvoir s’éclairer. Un liquide noir et huileux était stocké dans un grand tonneau de chêne proche du rudimentaire âtre. C’était son combustible qui était tout simplement, ce que l’on appellera plus tard de nos jours, du pétrole ! L'homme s’en servit pour allumer une espèce de torche primaire qui nimba encore plus l'unique pièce d'une maigre lueur vacillante. êta fit l'inventaire des lieux... c'était vite fait : Une table et un seul siège, tabouret de bois, une sorte de grabat, sans doute la couche de l'homme et donc le foyer noirci de suie au-dessus du trou où semblait mijoter quelque chose... L'homme alla justement soulever le couvercle du plat de terre qui chauffait ainsi et en huma l'intérieur. Il reposa le couvercle et se tourna vers êta, restée à l'entrée, en montrant sa bouche d'un doigt
- Manger ?
êta fit oui de la tête :
- Oui, j'ai longtemps marché et j'ai grand faim.
L'homme s'assit sur l'unique tabouret et désigna le plat de terre :
- Sert moi alors et après tu mangeras, dit-il d'une voix ferme.
êta jeta un bref coup d'oeil à cet environnement. Par certains aspects, les lieux lui rappelaient le jour où elle s'était réveillée sur une plage, privée de toute mémoire, entièrement nue, ne portant qu'un fin collier où pendait cette lettre, êta, qui était devenue son nom, faute de mieux... Le pêcheur qui l'avait recueillie, traitée en esclave et avait abusé d'elle. Paradoxalement, ses souvenirs éveillaient toujours en elle une forme d'excitation... aussi avilissante et brutale qu'ait été la façon dont il l'avait alors traitée, elle y avait aussi pris du plaisir. Elle aimait sentir Ce pouvoir Brut, Primal qui agitait ces hommes simples qui ne connaissaient que le pouvoir de la force et la voyaient comme une créature fragile à soumettre... Elle regarda encore cet homme assis, cette brute primaire qui venait de la posséder et de la faire jouir par deux fois... Il puait, mais il émanait de lui une puissance brute et bestiale qui la fascinait et l'attirait... Comme il tapait du poing sur la table, impatient, elle baissa la tête ainsi sûrement qu'il allait l'apprécier et se saisit du plat qui chauffait, le portant jusqu'à la table et le posant devant lui. D'un regard, elle tenta de repérer une gamelle, une cuillère, mais il n'y avait rien, visiblement. L'homme souleva le couvercle et elle découvrit... une tête entière de chèvre qui avait manifestement mijoté durant des heures avec quelques oignons... Un sourire éclairait le visage de la brute, il plongea une main dans le plat et se saisit d'un oignon dégoulinant dans lequel il mordit... Le jus gras dégoulinait sur sa barbe sale et mal taillée et son menton tandis qu'il mastiquait l'oignon. Il regardait êta qui attendait, les yeux baissés, les mains jointes...
Il sourit et lui fit signe de venir auprès de lui, ce qu'elle fit docilement et soudainement saisie par un désir irrépressible d'être soumise à cet homme, elle baissa la tête, mit les mains derrière le dos ... Il ne lui fallut que très peu de temps pour comprendre ce qu’elle attendait et il la fit s'agenouiller tout près de lui, et lui tendit du bout des doigts un morceau d'oignon qu'il venait d'arracher à celui qu'il mangeait et le tendit vers les lèvres d'êta qui ouvrir la bouche et reçut la piètre nourriture avec un regard d'humble reconnaissance que perçut l'homme qui prenait un plaisir évident à la faire becqueter, doucement, longuement, de petits bouts d’oignons… Il termina l'oignon et commença à arracher de pauvres morceaux de chair de la tête de chèvre cuite. Parfois, entre deux bouchées, il en accordait une bouchée à la jeune femme toujours agenouillée près de lui... Puis soudain, de sa main grasse, il saisit l'abondante et brillante chevelure et contraignit êta à venir entre ses cuisses où le pénis se dressait à nouveau, dur et tendu... docilement et sans qu'elle eut besoin de précisions, êta avala le sexe du mâle et commença à le sucer lentement, profondément tandis que le paysan mastiquait bruyamment son repas... êta le suçait avidement, savourant l'humiliante situation qu'elle subissait juste pour avoir un toit au-dessus de sa tête pour une nuit... elle mouillait abondamment et sentait la cyprine qui s'écoulait lentement à l'intérieur de ses cuisses. Tout en accomplissant d'une bouche experte son humble devoir, elle pensait en elle-même :
- Décidément, Grand Prince, mendiant ou humble paysan, les hommes ont les mêmes pensées, les mêmes appétits... et j'ai aimé et j’aime encore et encore qu'ils me traitent comme une chienne, une esclave, ou objet dédié à tous leurs plaisirs... mmhh oh oui j'aime subir et satisfaire leurs plus bas appétits, se disait-elle tout en faisant aller et venir la verge dure entre ses lèvres…
Tout en l'avalant aussi au plus profond de sa gorge, tout en la titillant de sa langue. Un long moment plus tard, tandis que êta s'appliquait toujours à combler le désir de l'homme et de son énorme pénis turgescent, elle entendit un grognement, et la tête de chèvre cuite tomba sur le sol, quasiment débarrassée de toute chair... dans le même temps, l'homme se mit à jouir et inonda la bouche d'êta d'un flot de semence épais et abondant qu'elle avala consciencieusement. Ce nectar fort odorant, au goût salé était réputé avoir de grandes vertus nutritives. Vu la quantité qu'en déversait l'homme, et si les disciples d’Hippocrate de Cos disaient vrai, elle était nourrie pour plusieurs jours ! se dit-elle. Mais elle n'eut guère le temps de savourer la semence et de se demander étant amnésique comment se faisait-il qu’elle se souvienne de ce célèbre médecin grec du siècle de Périclès, car déjà, l'homme la saisissait et la forçait à revenir à son côté. Il lui montra la tête tombée au sol dans la terre et lui fit un signe de la main, pour lui signifier qu'elle pouvait manger les restes. Si elle en trouvait se dit-elle en approchant du peu ragoutant morceau osseux. Il s'était un peu tourné, toujours assis sur le tabouret et l'observait…
Accroupie, genoux pliés, elle se saisit de la tête et lécha les restes de jus et de chair qui s'accrochaient encore. Elle se sentait si délicieusement avilie dans cette position, mâchonnant l'infâme restant de repas qui lui avait été ainsi accordé. Et elle mangeait sous le regard satisfait de cet homme vulgaire, brutal, ignare qui se mit à éructer bruyamment... Certes ignare mais puissant, viril et doté d'un si bel engin ! Elle mangeait accroupie, telle une bête, et prenait garde à garder ses cuisses bien ouvertes, montrant un sexe bien exhibé quel que soit l'inconfort de cette position. Elle voulait l’exciter encore, elle voulait se faire baiser de nouveau, sentir sa grosse bite en elle, telle la chienne en chaleur qu’elle était. Elle tortilla son bassin d’avant en arrière comme pour lui faire comprendre qu’il fallait qu’il la baise, qu’elle en avait tant envie. Elle le regardait droit dans les yeux, avec un regard plein de désirs et qui parlait tout seul, un regard qui disait ‘’Vient, baise moi’’… Et ce fut efficace, car finalement, ça excitait de nouveau le paysan et il ne tarda pas à reprendre une érection qu’il ne contrôlait pas. L'homme se leva, il arracha les ossements des mains d'êta et les jeta dans un coin de la misérable bâtisse. L'homme attrapa êta par les épaules et la remit debout, contempla son visage et sortit sa langue épaisse et lécha les lèvres et le visage d'êta, lentement, faisant couler sur elle une salive épaisse... Il souleva êta et la plaqua contre un mur, continuant à lui lécher le visage, la soulevant d'une seule main et usant de l'autre pour écarter les cuisses dociles de celle qui s'était totalement et humblement offerte à Lui pour une nuit sous un toit. Une fois en elle, il la baisa encore avec fureur virile pris par une vigueur incroyable à grands coups de reins puissants, l'écrasant contre le mur, poussant sa verge dure entre les cuisses à la peau délicate, fouillant au plus profond ces chairs fragiles et roses dans lesquelles il glissait aisément, tant elle avait mouillé tandis qu'elle avalait et suçait sa longue et grosse verge. êta plaquée contre le mur qui blessait son dos, l'homme la maintenait soulevée par la seule force de son sexe planté en elle. Et de ses mains, il pétrissait en grognant les seins lourds à la peau de velours dont les tétons épais d'un rose vif se durcissaient et se dressaient. êta avait envie qu'il morde, pince, torture ces tétons, elle avait un ardent désir d'être non seulement humiliée, avilie, mais aussi de se sentir maltraitée... de subir les supplices cruels que certains avaient parfois su lui infliger…
Mais cet homme était trop simple, trop primaire... il ne voulait que se vider en elle, l'empaler sur son énorme pieu et la saillir aussi bestialement que son instinct primitif lui commandait. Et à sentir comme il était excité, êta se doutait qu'il ne devait pas souvent se présenter de femmes à lui et encore moins des propositions comme celle qu'elle lui avait faite. Elle sourit, avant d'exhaler un long gémissement tandis qu'elle s'abandonnait une nouvelle fois au plaisir si fort que lui procurait les puissants coups de queue de cet homme quand sans préambule ni aucun mot, soudainement sortit d'elle et recula, l'abandonnant contre le mur sur lequel elle glissa jusqu'à s'écrouler épuisée au pied du mur. L'homme sortit de la masure et s'absenta quelques minutes. Il revint en tenant une cruche dégoulinante. Sans doute était-il allé à un puits proche pour se désaltérer. Il avait tout de même pensé à elle... Elle se redressa lentement, épuisée par les assauts de cet homme à l'esprit des plus simples, mais à la force démesurée et aux capacités sexuelles... inépuisables ! Il s'approcha, la saisit ,par l'épaule et lui présenta la cruche... elle but maladroitement, de l'eau coulant sur son menton, puis suivant les courbes généreuses de son corps pour faire comme des ruisseaux sur ses épaules, entre ses seins...
L'homme vint boire l'eau qui s'écoulait ainsi sur sa peau. Il finit de vider la cruche dans la bouche de la belle, d'un geste brusque, excessif, elle s'étouffa un peu, ne pouvant boire tout ce qu'il restait... l'eau s'écoulait sur elle et il la léchait. Finalement, même lui pouvait avoir un désir un peu plus subtil se dit-elle, tandis qu'il la soulevait des deux mains jusqu'à pouvoir s'abreuver directement entre les cuisses de cette si douce et humaine fontaine. Il la but ainsi, jusqu'à plus soif... puis, décidément jamais rassasié, la fit s'incliner de face sur la table et lui écarta les cuisses pour la prendre maintenant par le cul. Il l'encula comme il l'avait baisée, brusquement, méthodiquement, très longuement, sans aucun égard pour elle, ne cherchant que son propre plaisir en usant de cette femme qui s'était offerte à lui et qui n'était dès lors plus qu'un objet dont il voulait tirer le plus de plaisir avant de la voir repartir. Il l'enculait, poussait son épaisse queue dans le petit cul qui s'ouvrait en corolle sous ses assauts incessants. et lorsqu'il eut fini, qu'il eut encore une fois craché ce long et épais jet de semence dans le cul d'êta, qu’il lâcha de nouveau son sperme profondément en elle dans de puissants râles, il la relâcha et sans un mot de plus alla s'écrouler sur sa paillasse. êta regarda un moment ce grand corps musclé, ce sexe maintenant flasque mais toujours aux dimensions extrêmes...
L'homme dormait à poings fermés, sa poitrine se soulevant au rythme de ses bruyants ronflements tel un ogre. Comme il bougeait, dégageant un peu d'espace, elle se glissa contre lui et dormit à son tour... Le lendemain matin, l'homme dormait encore, visiblement épuisé par les efforts inhabituels qu'il avait fourni la veille au soir. êta le contemplait. Elle avait apprécié sa puissance, sa virilité hors du commun mais la banalité de ses envies l'avaient lassée. Elle se leva silencieusement, et telle une chatte glissa sur le sol jusqu'à la porte qui grinça mais le paysan plongé dans un sommeil profond n’entendit absolument rien… Il faisait soleil, mais pas encore trop chaud. êta quitta la chaumière d'un pas joyeux. Mieux valait ne pas trop s'attarder car il n'était pas dit que l'homme ne voudrait pas la garder encore auprès de lui, après les plaisirs qu'elle lui avait offerts. Il était fort, vivait comme un animal, prenant ce qu'il voulait, ne s'arrêtant que lorsque ses appétits étaient assouvis. Elle ne pourrait pas lui résister, mais si elle devenait sa chose, ce qui pourrait avoir quelques bons côtés lorsqu'il la pénétrerait, elle s'ennuierait aussi… Alors elle s'éloigna donc pendant le sommeil de ce mâle qui lui avait tout de même offert quelques si forts moments de jouissance et prit le chemin de la Cité de Thèbes qui dressait ses remparts et ses temples au loin et ne savait pas encore ce que cette fameuse Cité allait lui réserver...
(A suivre…)
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