Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 45)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-09-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 45)
Les 12 servitudes d'Hélène : Hélène, une deuxième vie, un deuxième destin -
… Quand soudain une sensation de froid se fit le dos d’Hélène... une légère douleur... puis une voix menaçante :
- Demeure ainsi, putain dit cette voix aussi froide que la lame d'acier qui traçait lentement un petit sillon sanglant dans le dos de la blonde jeune femme...
Œdipe avait reconnu la voix
- Etéocle ! Que fais tu ici !?
- Je fais, père, ce que tu aurais du faire toi même, si tu étais encore digne de régner sur Thèbes !
Une autre lame s'était posée sur le cou du Roi qui sursauta, faisant apparaître également une goutte de sang :
- Qui !?...
- Polynice, bien sûr père... Puisque tu ne fais pas ce qu'il faut, nous tes fils avons choisi d'agir à ta place. Allons, cessez ces ignobles ébats et levez-vous !
Sous la menace des glaives, les amants obéirent... Œdipe semblait perdu face à cette soudaine révolte de ses deux fils, Hélène les observait et voyait en eux une froide et dure détermination. Ils n'hésiteraient pas à l'abattre si elle résistait. Pour l'instant il était donc prudent de se montrer docile. Malgré la beauté si envoûtante de son corps nu, ils ne semblaient éprouver aucun désir, du moins en apparence ! Juste de la haine apparaissait... Des gardes venaient de les rejoindre, déjà, on entraînait Œdipe, elle eut un regard inquiet envers le vieil aveugle.
- N'ai nulle inquiétude, il ne lui sera fait aucun mal ! L'exil lui sera doux... Plus doux que ton destin, en tout cas, cracha Etéocle en la saisissant par les cheveux.
- Goûtons donc à ce qui a tant excité notre père, lança le prince à son frère.
Poussant Hélène sur la couche encore chaude de ses folles chevauchées sur le souverain aveugle, ils la firent mettre à quatre pattes, Etéocle la saisissant par les hanches et poussant son sexe déjà fort tendu entre les fesses, tandis que Polynice investissait la bouche de la Belle d'une verge dure et raide. Ainsi, malgré leur froideur pleine de haine qu’ils avaient affichée, les deux frères aussi brûlaient de désir pour elle, se dit Hélène en se laissant ainsi posséder par les deux frères, persuadés de l'humilier alors qu'ils ne faisaient que lui confirmer l'irrésistible séduction qui émanait d'elle. Tout en subissant leurs violents coups de boutoir et leurs insultes, elle ne faisait que se renforcer. Sa bouche et son cul remplis par les fougueuses queues des deux frères... Le mouvement qu'ils imposaient à son corps, poussant en elle comme s'ils s'affrontaient, elle jouissait de ce moment et reçut comme une offrande le flot de semence qui l'emplit brusquement lorsque les deux jeunes hommes se vidèrent en elle simultanément, laissant échapper un râle commune qui ne faisait que souligner le plaisir qu'elle leur avait, en fait, accordé... Ils se retirèrent et contemplèrent cette beauté sans fard, ce corps parfait, cette nudité idéale qu'ils avaient voulu souiller mais semblait pourtant encore aussi pur qu'innocent… Ils l'attachèrent et la traînèrent jusqu'à la salle du Trône où ils avaient réuni la cour. Jetant Hélène aux pieds des nobles et des généraux réunis, ils firent face :
- Voici l'occasion de réconcilier Thèbes avec l'Alliance du Péloponnèse. Nous avons terni la réputation de cette Cité en ne prenant pas part à la Ligue contre Troie et on nous en garde rancune. Nous pouvons changer cela. Œdipe, notre père qui a déshonoré notre Noble Famille ainsi que son peuple va être exilé à Colone où il restera sous la surveillance d’Athènes qui en est fort proche… Quant à elle ! (Etéocle saisit l'abondante chevelure d'or d'Hélène, exposant sans pudeur son corps aux regards lubriques de la cour...) Elle est Hélène, oui la Belle Hélène en personne ! L’Unique Hélène… Celle que l'on croyait morte sous les Remparts de cette Cité dont elle a entraîné la déchéance. Cette Noble épouse qui s'est muée en catin ! Nous allons la rendre au Roi Ménélas, son époux ! La lui livrer et ainsi rentrer dans les bonnes grâces de Sparte, puis de la Grèce toute entière…
Les membres de la cour s'étaient approchés, ils regardaient Hélène d'un oeil brillant et avec avidité, certains osant même passer leur main sur son visage, ses seins... Les plus anciens agitaient la tête d'un air approbateur, hochant la tête positivement :
- Oui... oui, c'est bien elle nous la reconnaissons, affirmaient-ils.
Ainsi, livrée aux regards avides et aux pelotages discrets, Hélène savait qu'Œdipe ne s'était pas fourvoyé et elle comprenait maintenant encore mieux les terribles visions qui l'avaient envahie lorsqu'elle s'était plongée dans le regard vide du Roi aveugle dont elle avait, encore une fois entraîné la perte ! Elle subissait ces regards et ces attouchements sans se révolter, ondulant légèrement sous les mains qui ne se gênaient plus pour palper son corps si parfait, sa peau si douce... Elle savourait ces instants, car même si son caractère s'était affirmé, même si elle se savait de sang royal et si elle voulait désormais exercer son pouvoir en toute conscience, elle avait là une preuve de son irrésistible attraction. Elle se savait en danger, ignorante de la façon dont elle serait accueillie à Sparte chez son époux. Mais elle ne doutait pas un instant que ses charmes quasiment Divins lui permettraient de se sortir de toutes les situations. Elle subissait maintenant, courbait l'échine et se pliait docilement à tout, mais ce n'était que calcul, perspective...
Les jours suivants, Hélène fut jetée dans un cachot et enchaînée... Etéocle et Polynice se chargeaient eux-même de venir la nourrir, profitant chacun leur tour du plaisir de contraindre la plus Belle femme du monde à leur prodiguer un éclair de plaisir avec sa bouche. Lorsqu'ils avaient joui, ils répandaient la vile nourriture de la gamelle qu'ils avaient apportée sur le sol et regardaient Hélène se nourrir comme une chienne. Généralement, ils se branlaient frénétiquement en la contemplant ainsi avilie, se répandant ensuite sur le corps nu et toujours immaculé de la blonde jeune femme qu'ils détenaient. Il fallut des semaines avant que les messagers envoyés à Sparte ne reviennent à Thèbes, porteurs d'un message enthousiaste du Roi Ménélas. Celui-ci se réjouissait que son épouse infidèle ait été retrouvée. Il n'avait jamais cru à sa mort, le corps de la Belle n'ayant jamais été retrouvé malgré d'intensives recherches durant des jours et des jours. Ainsi, Thèbes rachetait ses fautes passées à n’avoir pas aidé le Roi Ménélas à la guerre de Troie, en proposant de lui livrer Hélène et il affirmait sa profonde reconnaissance... Lavée, parfumée et coiffée, Hélène fut menée une nouvelle fois devant la cour, où Etéocle et Polynice trônaient désormais. Ce fut un scribe qui lut la sentence :
- Par la volonté de Etéocle et Polynice, Rois de Thèbes, Hélène épouse infidèle sera livrée au Roi Ménélas de Sparte, afin qu'il inflige à cette femelle le châtiment qu'il jugera nécessaire. Elle sera menée jusqu'aux limites du royaume par une patrouille thébaine, écartelée et nue sur une grande croix de bois dressée sur un chariot, ainsi que le Roi Ménélas l'a souhaité. C'est ainsi exposée aux regards réprobateurs de tous qu'elle sera livrée à une patrouille spartiate qui la prendra en charge et la mènera jusqu'à la prestigieuse Cité et à son Roi.
Tous approuvèrent l'accord et Hélène fut menée jusqu'au chariot. Sur celui-ci avait été dressée une grande croix en forme de X, Hélène y fut liée par les chevilles et les poignets, entièrement nue, exposée aux yeux de tous. une patrouille de vingt cavaliers accompagnaient le chariot, à la fois pour protéger celle qui s'y trouvait et pour attirer la foule de la ville et des campagnes sur leur passage, battant le rappel afin qu'un maximum de Grecs puissent voir Hélène, Reine et catin, dont l'attitude avait déshonoré toute la Grèce et entraîné un bain de sang, le plus terrible de l'Histoire. Ainsi, au rythme lent des boeufs qui tiraient le chariot, Hélène fut menée hors de Thèbes et traversa une grande partie de la Grèce, exhibée devant des foules de plus en plus nombreuses au fur et à mesure que le bruit se répandait comme une trainée de poudre, au-delà des lointains horizons : ‘’Hélène était vivante, la Belle Putain allait être livrée à Ménélas !’’… Quittant Thèbes et la Béotie, elle voyagea ainsi durant des semaines, passant par la cité de Corinthe où une foule dense vint assister au passage de la Reine déchue et humiliée, puis par Argos en Argolide. Là encore, un accueil terrible attendait Hélène, conspuée et couverte de crachats... Plus le petit cortège s'enfonçait dans le Péloponnèse et plus la foule était dense sur le bord des routes, voulant assister à l'humiliation publique de celle qui avait entraîné dans son sillage tant de jeunes gens partis faire la guerre vers un funeste destin. Et nul n'était déçu de voir cette femme splendide, ses longs cheveux d'or, son corps parfait à la peau fine et pâle car sa beauté était inaltérable malgré la morsure quotidienne du soleil, ainsi exhibée, avilie, menée sans égards vers un destin que tous lui souhaitaient cruel lorsque son époux, le Roi Ménélas de Sparte la tiendrait entre ses mains vengeresses. Comme on pouvait s'en douter, l'entrée en Laconie fut pire encore. Sans la présence des cavaliers thébains, le peuple aurait sans doute réservé le pire des destins à la Belle Hélène. Mais c'est ici, à proximité d'un village anonyme, que les guerriers spartiates dépêchés par Ménélas vinrent prendre livraison de la prisonnière. Les deux groupes se faisaient face, et l'officier de Thèbes détacha la prisonnière, la menant sans ménagement jusqu'à son homologue de Sparte. Il lui présenta Hélène et le spartiate la toisa. Elle se tenait bien droite face à lui. Provocante malgré la fragile précarité de son humiliante situation. L'officier la toisa et de sa main gantée d'acier, la gifla sans ménagement :
- Bienvenue sur tes terres, Reine Putassière ! Tu y es fort attendue, ricana-t-il.
L'échange fut rapide seules quelques phrases dignes de la haute diplomatie furent échangées et les thébains repartirent en sens inverse, ramenant leur chariot que les soldats venus de Sparte n'avaient pas souhaité utiliser. L'officier tenait fermement l'abondante chevelure dorée de la jeune femme, la menant après lui afin de lui faire faire le tour de la petite place sur laquelle avait eu lieu l'échange. Une petite foule s'était réunie et tous insultaient celle qui leur était ainsi exhibée dans sa plus absolue nudité. Parfois, l'officier la forçait à faire face à une vieille qui avait perdu ses fils dans la guerre de Troie, ou face à un homme estropié, revenu diminué de ce même conflit. A chaque fois, insultes et crachats étaient lancés au visage d'Hélène qui les subissait avec morgue, sentant au plus profond d'elle-même que ces épreuves, aussi cruelles qu'elles fussent, ne faisaient que renforcer son pouvoir et sa détermination. Elle avait subi, en tant que êta, les plus avilissantes des situations, y puisant sa raison d'être. Aujourd'hui, revenue de son amnésie, consciente de celle qu'elle était, de celle qu’elle a été, Hélène savait que tout ce qu'elle avait subi et subirait encore ne ferait que la renforcer... jusqu'à ce qu'elle puisse prendre définitivement son destin en mains. Elle savait que la chance incroyable octroyée par les Dieux de l’Olympe en lui offrant une seconde vie, certes avec toutes les servitudes qu’elle avait subie, que cette chance ne serait pas vaine, que son destin de cette deuxième vie aurait un certain avenir, elle en était même persuadé. Et s'il fallait subir le mépris, la haine, la cruauté des autres, elle s'y contraindrait... Elle était donc convaincue que, plus loin, son avenir serait long et riche. Ainsi, c'est avec une relative indifférence qu'Hélène se laissa lier les poignets et attacher à l'arrière du cheval de l'officier qui prit la route de Sparte en la traînant à sa suite, nue sur les chemins pierreux de Laconie. Sous les quolibets de la foule venue la voir et des autres gardes de l'escorte qui la menait au terme de son humiliant périple, vers Sparte et son Roi, son époux bafoué, Ménélas...
(A suivre pour la douzième et dernière servitude d'Hélène …)
… Quand soudain une sensation de froid se fit le dos d’Hélène... une légère douleur... puis une voix menaçante :
- Demeure ainsi, putain dit cette voix aussi froide que la lame d'acier qui traçait lentement un petit sillon sanglant dans le dos de la blonde jeune femme...
Œdipe avait reconnu la voix
- Etéocle ! Que fais tu ici !?
- Je fais, père, ce que tu aurais du faire toi même, si tu étais encore digne de régner sur Thèbes !
Une autre lame s'était posée sur le cou du Roi qui sursauta, faisant apparaître également une goutte de sang :
- Qui !?...
- Polynice, bien sûr père... Puisque tu ne fais pas ce qu'il faut, nous tes fils avons choisi d'agir à ta place. Allons, cessez ces ignobles ébats et levez-vous !
Sous la menace des glaives, les amants obéirent... Œdipe semblait perdu face à cette soudaine révolte de ses deux fils, Hélène les observait et voyait en eux une froide et dure détermination. Ils n'hésiteraient pas à l'abattre si elle résistait. Pour l'instant il était donc prudent de se montrer docile. Malgré la beauté si envoûtante de son corps nu, ils ne semblaient éprouver aucun désir, du moins en apparence ! Juste de la haine apparaissait... Des gardes venaient de les rejoindre, déjà, on entraînait Œdipe, elle eut un regard inquiet envers le vieil aveugle.
- N'ai nulle inquiétude, il ne lui sera fait aucun mal ! L'exil lui sera doux... Plus doux que ton destin, en tout cas, cracha Etéocle en la saisissant par les cheveux.
- Goûtons donc à ce qui a tant excité notre père, lança le prince à son frère.
Poussant Hélène sur la couche encore chaude de ses folles chevauchées sur le souverain aveugle, ils la firent mettre à quatre pattes, Etéocle la saisissant par les hanches et poussant son sexe déjà fort tendu entre les fesses, tandis que Polynice investissait la bouche de la Belle d'une verge dure et raide. Ainsi, malgré leur froideur pleine de haine qu’ils avaient affichée, les deux frères aussi brûlaient de désir pour elle, se dit Hélène en se laissant ainsi posséder par les deux frères, persuadés de l'humilier alors qu'ils ne faisaient que lui confirmer l'irrésistible séduction qui émanait d'elle. Tout en subissant leurs violents coups de boutoir et leurs insultes, elle ne faisait que se renforcer. Sa bouche et son cul remplis par les fougueuses queues des deux frères... Le mouvement qu'ils imposaient à son corps, poussant en elle comme s'ils s'affrontaient, elle jouissait de ce moment et reçut comme une offrande le flot de semence qui l'emplit brusquement lorsque les deux jeunes hommes se vidèrent en elle simultanément, laissant échapper un râle commune qui ne faisait que souligner le plaisir qu'elle leur avait, en fait, accordé... Ils se retirèrent et contemplèrent cette beauté sans fard, ce corps parfait, cette nudité idéale qu'ils avaient voulu souiller mais semblait pourtant encore aussi pur qu'innocent… Ils l'attachèrent et la traînèrent jusqu'à la salle du Trône où ils avaient réuni la cour. Jetant Hélène aux pieds des nobles et des généraux réunis, ils firent face :
- Voici l'occasion de réconcilier Thèbes avec l'Alliance du Péloponnèse. Nous avons terni la réputation de cette Cité en ne prenant pas part à la Ligue contre Troie et on nous en garde rancune. Nous pouvons changer cela. Œdipe, notre père qui a déshonoré notre Noble Famille ainsi que son peuple va être exilé à Colone où il restera sous la surveillance d’Athènes qui en est fort proche… Quant à elle ! (Etéocle saisit l'abondante chevelure d'or d'Hélène, exposant sans pudeur son corps aux regards lubriques de la cour...) Elle est Hélène, oui la Belle Hélène en personne ! L’Unique Hélène… Celle que l'on croyait morte sous les Remparts de cette Cité dont elle a entraîné la déchéance. Cette Noble épouse qui s'est muée en catin ! Nous allons la rendre au Roi Ménélas, son époux ! La lui livrer et ainsi rentrer dans les bonnes grâces de Sparte, puis de la Grèce toute entière…
Les membres de la cour s'étaient approchés, ils regardaient Hélène d'un oeil brillant et avec avidité, certains osant même passer leur main sur son visage, ses seins... Les plus anciens agitaient la tête d'un air approbateur, hochant la tête positivement :
- Oui... oui, c'est bien elle nous la reconnaissons, affirmaient-ils.
Ainsi, livrée aux regards avides et aux pelotages discrets, Hélène savait qu'Œdipe ne s'était pas fourvoyé et elle comprenait maintenant encore mieux les terribles visions qui l'avaient envahie lorsqu'elle s'était plongée dans le regard vide du Roi aveugle dont elle avait, encore une fois entraîné la perte ! Elle subissait ces regards et ces attouchements sans se révolter, ondulant légèrement sous les mains qui ne se gênaient plus pour palper son corps si parfait, sa peau si douce... Elle savourait ces instants, car même si son caractère s'était affirmé, même si elle se savait de sang royal et si elle voulait désormais exercer son pouvoir en toute conscience, elle avait là une preuve de son irrésistible attraction. Elle se savait en danger, ignorante de la façon dont elle serait accueillie à Sparte chez son époux. Mais elle ne doutait pas un instant que ses charmes quasiment Divins lui permettraient de se sortir de toutes les situations. Elle subissait maintenant, courbait l'échine et se pliait docilement à tout, mais ce n'était que calcul, perspective...
Les jours suivants, Hélène fut jetée dans un cachot et enchaînée... Etéocle et Polynice se chargeaient eux-même de venir la nourrir, profitant chacun leur tour du plaisir de contraindre la plus Belle femme du monde à leur prodiguer un éclair de plaisir avec sa bouche. Lorsqu'ils avaient joui, ils répandaient la vile nourriture de la gamelle qu'ils avaient apportée sur le sol et regardaient Hélène se nourrir comme une chienne. Généralement, ils se branlaient frénétiquement en la contemplant ainsi avilie, se répandant ensuite sur le corps nu et toujours immaculé de la blonde jeune femme qu'ils détenaient. Il fallut des semaines avant que les messagers envoyés à Sparte ne reviennent à Thèbes, porteurs d'un message enthousiaste du Roi Ménélas. Celui-ci se réjouissait que son épouse infidèle ait été retrouvée. Il n'avait jamais cru à sa mort, le corps de la Belle n'ayant jamais été retrouvé malgré d'intensives recherches durant des jours et des jours. Ainsi, Thèbes rachetait ses fautes passées à n’avoir pas aidé le Roi Ménélas à la guerre de Troie, en proposant de lui livrer Hélène et il affirmait sa profonde reconnaissance... Lavée, parfumée et coiffée, Hélène fut menée une nouvelle fois devant la cour, où Etéocle et Polynice trônaient désormais. Ce fut un scribe qui lut la sentence :
- Par la volonté de Etéocle et Polynice, Rois de Thèbes, Hélène épouse infidèle sera livrée au Roi Ménélas de Sparte, afin qu'il inflige à cette femelle le châtiment qu'il jugera nécessaire. Elle sera menée jusqu'aux limites du royaume par une patrouille thébaine, écartelée et nue sur une grande croix de bois dressée sur un chariot, ainsi que le Roi Ménélas l'a souhaité. C'est ainsi exposée aux regards réprobateurs de tous qu'elle sera livrée à une patrouille spartiate qui la prendra en charge et la mènera jusqu'à la prestigieuse Cité et à son Roi.
Tous approuvèrent l'accord et Hélène fut menée jusqu'au chariot. Sur celui-ci avait été dressée une grande croix en forme de X, Hélène y fut liée par les chevilles et les poignets, entièrement nue, exposée aux yeux de tous. une patrouille de vingt cavaliers accompagnaient le chariot, à la fois pour protéger celle qui s'y trouvait et pour attirer la foule de la ville et des campagnes sur leur passage, battant le rappel afin qu'un maximum de Grecs puissent voir Hélène, Reine et catin, dont l'attitude avait déshonoré toute la Grèce et entraîné un bain de sang, le plus terrible de l'Histoire. Ainsi, au rythme lent des boeufs qui tiraient le chariot, Hélène fut menée hors de Thèbes et traversa une grande partie de la Grèce, exhibée devant des foules de plus en plus nombreuses au fur et à mesure que le bruit se répandait comme une trainée de poudre, au-delà des lointains horizons : ‘’Hélène était vivante, la Belle Putain allait être livrée à Ménélas !’’… Quittant Thèbes et la Béotie, elle voyagea ainsi durant des semaines, passant par la cité de Corinthe où une foule dense vint assister au passage de la Reine déchue et humiliée, puis par Argos en Argolide. Là encore, un accueil terrible attendait Hélène, conspuée et couverte de crachats... Plus le petit cortège s'enfonçait dans le Péloponnèse et plus la foule était dense sur le bord des routes, voulant assister à l'humiliation publique de celle qui avait entraîné dans son sillage tant de jeunes gens partis faire la guerre vers un funeste destin. Et nul n'était déçu de voir cette femme splendide, ses longs cheveux d'or, son corps parfait à la peau fine et pâle car sa beauté était inaltérable malgré la morsure quotidienne du soleil, ainsi exhibée, avilie, menée sans égards vers un destin que tous lui souhaitaient cruel lorsque son époux, le Roi Ménélas de Sparte la tiendrait entre ses mains vengeresses. Comme on pouvait s'en douter, l'entrée en Laconie fut pire encore. Sans la présence des cavaliers thébains, le peuple aurait sans doute réservé le pire des destins à la Belle Hélène. Mais c'est ici, à proximité d'un village anonyme, que les guerriers spartiates dépêchés par Ménélas vinrent prendre livraison de la prisonnière. Les deux groupes se faisaient face, et l'officier de Thèbes détacha la prisonnière, la menant sans ménagement jusqu'à son homologue de Sparte. Il lui présenta Hélène et le spartiate la toisa. Elle se tenait bien droite face à lui. Provocante malgré la fragile précarité de son humiliante situation. L'officier la toisa et de sa main gantée d'acier, la gifla sans ménagement :
- Bienvenue sur tes terres, Reine Putassière ! Tu y es fort attendue, ricana-t-il.
L'échange fut rapide seules quelques phrases dignes de la haute diplomatie furent échangées et les thébains repartirent en sens inverse, ramenant leur chariot que les soldats venus de Sparte n'avaient pas souhaité utiliser. L'officier tenait fermement l'abondante chevelure dorée de la jeune femme, la menant après lui afin de lui faire faire le tour de la petite place sur laquelle avait eu lieu l'échange. Une petite foule s'était réunie et tous insultaient celle qui leur était ainsi exhibée dans sa plus absolue nudité. Parfois, l'officier la forçait à faire face à une vieille qui avait perdu ses fils dans la guerre de Troie, ou face à un homme estropié, revenu diminué de ce même conflit. A chaque fois, insultes et crachats étaient lancés au visage d'Hélène qui les subissait avec morgue, sentant au plus profond d'elle-même que ces épreuves, aussi cruelles qu'elles fussent, ne faisaient que renforcer son pouvoir et sa détermination. Elle avait subi, en tant que êta, les plus avilissantes des situations, y puisant sa raison d'être. Aujourd'hui, revenue de son amnésie, consciente de celle qu'elle était, de celle qu’elle a été, Hélène savait que tout ce qu'elle avait subi et subirait encore ne ferait que la renforcer... jusqu'à ce qu'elle puisse prendre définitivement son destin en mains. Elle savait que la chance incroyable octroyée par les Dieux de l’Olympe en lui offrant une seconde vie, certes avec toutes les servitudes qu’elle avait subie, que cette chance ne serait pas vaine, que son destin de cette deuxième vie aurait un certain avenir, elle en était même persuadé. Et s'il fallait subir le mépris, la haine, la cruauté des autres, elle s'y contraindrait... Elle était donc convaincue que, plus loin, son avenir serait long et riche. Ainsi, c'est avec une relative indifférence qu'Hélène se laissa lier les poignets et attacher à l'arrière du cheval de l'officier qui prit la route de Sparte en la traînant à sa suite, nue sur les chemins pierreux de Laconie. Sous les quolibets de la foule venue la voir et des autres gardes de l'escorte qui la menait au terme de son humiliant périple, vers Sparte et son Roi, son époux bafoué, Ménélas...
(A suivre pour la douzième et dernière servitude d'Hélène …)
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