Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 49)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 49)
Les 12 servitudes d'Hélène : Hélène prépare sa résurrection –
Un à un, Hélène s'ouvrit sans pudeur par ses cuisses largement écartées et son sexe largement exhibé à tous les gardes qui se succédèrent afin de baiser bestialement la reine que leur Souverain avait livré à leurs désirs. Celle pour la beauté de laquelle plus de mille navires avaient pris la mer pour une guerre si meurtrière, leur était offerte comme la plus commune des pornaï. Ils entraient dans la cage où elle était confinée, captive, enchaînée, jetaient une monnaie de fer sur le sol et contemplaient tous un instant cette incomparable beauté offerte nue, allongée les cuisses ouvertes sur une misérable paillasse... Mais Hélène ne se contentait pas de se laisser prendre avec docilité, usant de toute la science acquise lorsqu'elle n'était que l'esclave êta, sans mémoire et sans droits, elle leur offrait des plaisirs tels qu'ils n'avaient jamais seulement osé en rêver. Elle se laissait pénétrer, mais lorsque l'homme était en elle, elle s'agitait bestialement, elle usait de tout son savoir, de toute la souplesse de son corps, de toutes ses plus vicieuses connaissances pour les attirer à elle, s'emparer de leurs corps pour mieux posséder leurs âmes ! Même avilie, humiliée, nue et si fragile, c'est elle qui menait le jeu, rendant les hommes qui venaient en elle totalement dépendants des plaisirs qu'elle leur faisait découvrir.
Après avoir été livrée à la Garde rapprochée de Ménélas, le Roi avait mis sa menace à exécution. Des crieurs avaient sillonné les rues de Sparte, annonçant que pour la modique somme d'une monnaie de fer, chacun des Vétérans ayant participé (et survécu) à l'expédition contre la fameuse Cité de Troie pouvaient venir au palais Royal et s'offrir la jouissance du corps de celle pour qui, ils avaient tous combattu. De celle aussi qui reste la plus belle de toutes les femmes, Hélène, épouse de Ménélas, infidèle et maudite. De celle également qui avait entraîné par son attitude la chute d'une glorieuse Cité et sa destruction devenue si célèbre bien au-delà des frontières de toute la Grèce. Ainsi, on se pressait aux portes du palais, chaque ancien guerrier spartiate brandissant une pièce de fer et exhibant les blessures reçues sous les remparts de la Cité d'Asie Mineure, afin de mériter un moment dans les sous-sols, entre les cuisses dégoulinantes de cette Belle Hélène dont tous avaient rêvé et que si peu avaient pu approcher. Tout au long du jour, Hélène leur était livrée, subissant durant des heures et des heures ininterrompues des pénétrations multiples, offrant au gré des envies de chacun sa chatte, son cul ou sa bouche.
Et Hélène qui était censée subir, était à l’inverse dans le plaisir extrême, dans la jouissance totale. En effet, plus elle était abondement pénétrée, plus sa libido était en éveil, elle ne comptait plus ses innombrables orgasmes provoqués par tant de ‘’partenaires’’ qui se succédaient. Elle aurait pu un moment ou à un autre de la journée, ressentir quelques fatigues, aimer souffler un peu, se reprendre, mais étonnement, Divinement plutôt, elle était en pleine forme physique, en pleine excitation sexuelle et elle en redemandait encore et encore. Mais elle comprenait désormais pourquoi elle était dans cet état, La Volonté Divine lui accordait et lui provoquait la force indispensable à cette énième servitude, et de plus est, dans le plaisir de la chair ! Ménélas venait parfois assister à ce qu’il croyait être une humiliation qu'il imposait à son épouse, se faisant accompagner de la douce Clytia, docilement pendue à son bras épais. Il aimait bien peloter un peu la croupe de sa favorite tout en contemplant sa femme se cambrer et gémir sous les coups de boutoirs de dizaines d'anciens guerriers. Il aimait à voir Hélène traitée comme une vulgaire putain, la salir, souiller son corps et son âme, l'humilier et ainsi se venger ! Cette situation l'excitait et parfois, sans ménagement, il forçait Clytia à s'agenouiller afin de le soulager de cette excitation, se vidant en râlant entre les lèvres délicates de la jeune femme qu'il avait contrainte à devenir sa concubine. Mais la docilité de la jeune spartiate ne suffisait pas à Ménélas, conscient malgré ses réticences que son vrai désir n'était autre qu'Hélène...
Ce fut ainsi durant plusieurs jours. Hélène qu'il rabaissait quotidiennement, en la livrant à tous les Spartiates, mais aussi en l'exhibant à travers les rues de la cité, la faisant promener sur un chariot, nue et écartelée entre deux mats, attachée à la vue de tous. Même dans cette position, Hélène demeurait une reine ! Rien ne semblait pouvoir altérer sa beauté et sa noblesse. Ce qui rendait Ménélas fou de rage ! Il n'avait cessé de rêver à tout ce qu'il infligerait à Hélène si d'aventure elle revenait un jour entre ses mains. Elle y était désormais et il avait le pouvoir sans limites d'user d'elle comme bon lui semblait. Il en usait, en abusait, jouissait d'elle et de tout ce qu'il pouvait lui faire subir. Il l'humiliait, l'avilissait, la souillait... Et pourtant il n'en ressentait pas vraiment de satisfaction. Des érections et éjaculations, bien sûr, quelques instants d'excitation, mais si peu de satisfaction au fond ! Même sa Clytia, qu'il avait choisie et façonnée afin de retrouver en elle tout ce qui l'avait séduit et subjugué en Hélène, ne lui suffisait plus. Elle n'était qu'une trop pâle imitation de cette Beauté Unique, sans pareille, qui habitait Hélène, même dans les plus impudiques et scabreuses positions. Depuis des jours, Hélène alternait les sorties dans les rues, exposée dans la plus totale nudité, et les séances de saillies par les Vétérans, saillies ô combien jouissives pour elle. Elle avait été exhibée aux yeux de tous, livrée à des dizaines, des centaines peut-être, de verges qui s'étaient vidées en elle... Elle en avait joui mainte fois et avait fait connaître à tous ces hommes, venus méprisants de tant de souffrances guerrières passées et conquérants de tant de vengeances et ressentis à assouvir, elle leur avait donc fait connaître un plaisir si exceptionnel, si Divin, qu'ils ressortaient de sa cage en la remerciant, définitivement séduits, apaisés, sous le charme inhumain et Divin de la souveraine humiliée. Plus aucune rancœur, plus de haine ne les habitaient. Ils étaient comme hypnotisés comme s’ils avaient baisé une Déesse. Tous les Vétérans n’en revenaient pas, disant que ce n’était pas une catin qu’il avait baisé mais un cadeau des Dieux, tant leurs plaisirs en avaient été décuplés tout en savourant une Beauté hors norme comme jamais ils avaient pu contempler.
Hélène, heureusement pour elle, bénéficiait donc dans cette servitude de ces bienfaits Divins. Les Dieux lui avaient accordé le pouvoir de ne jamais rester marquée par les coups, les blessures ou les épreuves. Elle subissait et ressentait tout, mais n'en gardait pas les séquelles, son corps effaçant rapidement toutes traces de sévices. Une nuit, alors qu'elle tentait tout de même de prendre un peu de repos, elle perçut une nouvelle fois un léger bruit dans l'obscurité de la salle souterraine où on la gardait captive. Elle sourit, car elle savait qui venait... Elle se redressa sur sa paillasse et guetta... rapidement, la silhouette de Clytia se découpa dans l'obscurité. La jeune femme dévoila une torche qu'elle accrocha au mur dans une torchère et s'approcha timidement de la cage...
- Le spectacle de ce jour ne t'a pas suffi, tu en redemandes ? lui cracha Hélène, obtenant avec satisfaction un petit sursaut de la jeune femme qui baissa les yeux vers le sol
- Oh non ! Non Madame... je... je suis désolée de ce que vous subissez
Hélène s'amusait beaucoup de cette situation, appréciant l'humble dévouement que lui témoignait cette jeune femme qui aurait pu la traiter sans le moindre égard. Son projet en serait facilité, trop facile presque, se dit Hélène...
- Je sais, dit la Reine sur un ton plus conciliant, j'ai vu dans tes yeux combien cette situation te met mal à l'aise...et je sais que tu subis sans plaisir les attouchements que t'imposent mon Roi de mari...
- Oui Majesté ! lança clytia... c'est vrai que tout cela... tout cela me dégoute !
- Et que viens-tu donc chercher auprès de moi ? s'enquit Hélène
- Je... je ne sais... j'en ai ressenti le besoin... un besoin irrépressible, mais je ne sais pas pourquoi
- Moi je le sais…, répondit laconiquement Hélène, … Approche !
A petits pas, Clytia obéit et s'approcha de la grille tandis qu’Hélène faisait de même. Seuls les barreaux de la cage où Hélène était prisonnière séparaient les deux femmes. Hélène tendit un bras, posant sa main sur l'épaule de la jeune femme qu'elle attira vers elle, la pressant contre les barreaux et se pressant elle aussi, leurs deux corps tout près l'un de l'autre, se touchant malgré les épais barreaux. Clytia se laissait faire, telle une poupée sans volonté et Hélène s'emparait d'elle, la caressait, explorait chaque courbe de son jeune corps ferme et souple. D'un geste rapide et précis, Hélène dégrafa la tunique de Clytia qui tomba avec légèreté sur le sol. Clytia laissa échapper un doux gémissement tandis que les doigts d’Hélène écartaient doucement ses chairs intimes...
- Te souviens-tu de notre rencontre ? murmura Hélène sans cesser de caresser le corps offert
- Mmmhh… oh oui, oui je m'en souviens, répondit Clytia dans un gémissement rauque.
Hélène recula d'un pas, cessant tout contact, s'installant sur sa paillasse tandis que Clytia demeurait interdite... Debout, nue, frémissante et humide au plus profond de son corps, Clytia ne comprenait pas. Elle se pressait contre les barreaux... tendant ses bras tout fins, ses petites mains vers celle qui un instant plus tôt lui donnait tant de plaisir en si peu de secondes...
- Je ne suis pas n'importe quelle prisonnière, dit Hélène d'une voix sévère. Je suis ta Reine
- Oui Majesté, oui soupira Clytia, oui vous êtes ma Reine bien aimée...
- Non, je suis ta Reine et toi tu n'es rien... Mais je veux bien faire de toi ... mon esclave ! (Clytia sursauta à ce mot)
- esclave ?
- Oui, mon esclave... Saches, petite, que je ne demeurerai pas indéfiniment dans cette cage. J'en sortirai bientôt car je le veux et je punirai Ménélas, ce gros porc lubrique. Puis je partirai, car bien des contrées restent à découvrir pour revenir comme La Reine, l’Unique Reine de Sparte. Mais mon expérience me dit que je pourrai avoir besoin d'être accompagnée. J'aurai quelque utilité d'une esclave, que je veux charmante, docile, dévouée corps et âme. Je ne puis la choisir sans attraits, ce sera donc toi, commenta Hélène
Ces mots dits avec froideur, comme une naturelle évidence. Clytia demeurait abasourdie... C'est Hélène qui poursuivit
- Je ne te demande pas de réponse sur l’instant, ton destin est déjà écrit. Mais il te faudra un peu de temps pour l'accepter, je le comprends. Aussi j'ai tenu à te le dire aujourd'hui et je ne te permets de revenir que pour me donner ta réponse, définitive. La prochaine fois que tu me rejoindras ici la nuit, ce sera pour venir te soumettre à Ma volonté. Maintenant, disparait, j'en ai assez, je veux dormir, dit Hélène, se couchant sur le côté et ignorant la frêle présence...
Sans mot dire, l'esprit embrouillé, Clytia s'en alla... Et les jours passèrent, avec pour Hélène son lot quotidien de jouissances par les Vétérans spartiates venant cracher entre ses cuisses leur désir et leur ressentiment pour ces années perdues sous les remparts de Troie et pour encore une fois en ressortir comblés, charmés, séduits par la Divine et Belle Hélène.. Le tas de pièces de fer devenait conséquent dans la cage, ce qui amusait beaucoup Ménélas, qui venait encore fréquemment toiser son épouse... Parfois il entrait dans la cage, forçant Hélène à venir se frotter contre lui... il la contraignait à s'agenouiller et poussait entre ses lèvres son sexe trop souvent flasque, l'âge et les excès ayant eu raison de sa fringante virilité d'autrefois. Hélène s'appliquait à rendre un peu de vigueur à ce membre défaillant, rendant son époux fier de sa verge tendue qu'il vidait dans un spasme entre les lèvres humides et tendres de la reine qu'il avait transformée en putain. Parfois, après avoir joui, Ménélas parlait... Il n'attendait aucune réponse de la part d’Hélène, juste une écoute. Il déversait sur elle toute sa bile, ses frustrations, ses déboires, ses regrets... Il l'insultait, lui crachait dessus en lui rappelant comment elle s'était enfuie entre les bras de ce prince troyen de Pâris aussi jeune que peu viril. Hélène contemplait celui qui avait mobilisé toute la Grèce pour venir la récupérer. Il avait tout fait pour qu'elle soit à nouveau sienne. Vogué vers des contrées lointaines, combattu contre les plus féroces guerriers, négocié avec les plus habiles diplomates tel ce roi d'Itaque, Ulysse., celui qui imagina ce fameux stratège d’un immense Cheval de bois qui entrant dans Troie afin d’obtenir la prise de cette fameuse Cité troyenne…
Et voilà où Mélénas en était. Gras et flasque, frustré, quasiment impuissant, contraint à user d'une jeune femme transformée en une pâle copie d'elle-même... Hélène riait sous cape en assistant à la déconfiture de son époux, roi de Sparte encore, mais dont elle comptait bien écraser les débris de fierté entre ses doigts, avant de laisser derrière elle cette cité à la gloire vacillante, pour peut-être, si elle en déciderai un jour dans son Destin Divin en revenir pour en être La Reine incontestée… Finalement, un soir, Clytia revint vers Hélène. Une torche éclairait la scène tandis que la jeune femme se débarrassait de sa tunique légère, pour s'avancer nue jusqu'à la cage où l'attendait Hélène. Clytia s'agenouilla devant la cage
- J'ai réfléchi, ma Reine... Et me voici, je sollicite humblement que Vous consentiez à m'accepter pour esclave. je me livre à Vous, corps et âme, je Vous servirai et Vous obéirai en tout... à jamais, avec tant de dévotion et de fascination que je ressens pour Vous, prononça-t-elle avec émotion.
Hélène contemplait la jolie jeune femme qui venait de lui faire don de sa personne, sans rien demander en retour, même pas une explication sur ce qui serait exigé d'elle. C'était... Parfait !
- Je consens à accepter ce don, répondit elle, dès cet instant tu deviens Mon esclave et je puis tout exiger de toi et tu accompliras ma volonté, sans réfléchir, sans poser de questions, sans hésiter. Quoi que j'exige, tu le feras, nous sommes bien d'accord ?
- Oui Majesté, répondit Clytia qui se sentait troublée, la bouche sèche, l'esprit serein toutefois...
- Pour te récompenser, esclave, je consentirai à te donner du plaisir... Mais pour cela tu vas devoir me prouver ton absolu dévouement. Tu reviendras demain avec la clé de cette cage et tu ouvriras la porte pour me rejoindre (Clytia tressaillit)
- Mais ? Majesté, la seule clé pend au cou du Roi... Ménélas ne s'en sépare jamais, sauf à un garde afin que celui-ci vienne ouvrir aux Vétérans et ce garde lui ramène la clé à chaque fois et…
- Déjà !? Tu renonces déjà ? J'ai dit sans réfléchir, sans poser de questions, sans hésiter … (Clytia demeurait muette)… Bien, alors je vais t'aider... Je connais trop bien Ménélas et je ne doute pas que le temps n'aura fait qu'appesantir encore ses plus viles habitudes. Je sais que lorsqu'il prend du plaisir, le soir, il sombre toujours dans le plus profond des sommeils. Dont rien ne peut le tirer. Alors demain tu te donneras à lui et tu le feras jouir. Nul doute qu'ensuite il sombrera dans le plus profond sommeil. Tu t'empareras de la clé et tu viendras me rejoindre, pour recevoir ta récompense... Ensuite, j'aviserai. C'est compris ?
- Oui, oh oui Majesté, je sais ce que j'ai à faire…
- Alors, déguerpit et ne revient qu'avec la clé, ordonna Hélène.
Ces derniers mots furent exprimés en n’accordant qu'un regard distrait à la silhouette de la jeune concubine qui s'éloignait tête baissée, nue, serrant contre elle la tunique froissée qu'elle allait revêtir avant de regagner les couloirs richement décorés du palais Royal ...
(A suivre…)
Un à un, Hélène s'ouvrit sans pudeur par ses cuisses largement écartées et son sexe largement exhibé à tous les gardes qui se succédèrent afin de baiser bestialement la reine que leur Souverain avait livré à leurs désirs. Celle pour la beauté de laquelle plus de mille navires avaient pris la mer pour une guerre si meurtrière, leur était offerte comme la plus commune des pornaï. Ils entraient dans la cage où elle était confinée, captive, enchaînée, jetaient une monnaie de fer sur le sol et contemplaient tous un instant cette incomparable beauté offerte nue, allongée les cuisses ouvertes sur une misérable paillasse... Mais Hélène ne se contentait pas de se laisser prendre avec docilité, usant de toute la science acquise lorsqu'elle n'était que l'esclave êta, sans mémoire et sans droits, elle leur offrait des plaisirs tels qu'ils n'avaient jamais seulement osé en rêver. Elle se laissait pénétrer, mais lorsque l'homme était en elle, elle s'agitait bestialement, elle usait de tout son savoir, de toute la souplesse de son corps, de toutes ses plus vicieuses connaissances pour les attirer à elle, s'emparer de leurs corps pour mieux posséder leurs âmes ! Même avilie, humiliée, nue et si fragile, c'est elle qui menait le jeu, rendant les hommes qui venaient en elle totalement dépendants des plaisirs qu'elle leur faisait découvrir.
Après avoir été livrée à la Garde rapprochée de Ménélas, le Roi avait mis sa menace à exécution. Des crieurs avaient sillonné les rues de Sparte, annonçant que pour la modique somme d'une monnaie de fer, chacun des Vétérans ayant participé (et survécu) à l'expédition contre la fameuse Cité de Troie pouvaient venir au palais Royal et s'offrir la jouissance du corps de celle pour qui, ils avaient tous combattu. De celle aussi qui reste la plus belle de toutes les femmes, Hélène, épouse de Ménélas, infidèle et maudite. De celle également qui avait entraîné par son attitude la chute d'une glorieuse Cité et sa destruction devenue si célèbre bien au-delà des frontières de toute la Grèce. Ainsi, on se pressait aux portes du palais, chaque ancien guerrier spartiate brandissant une pièce de fer et exhibant les blessures reçues sous les remparts de la Cité d'Asie Mineure, afin de mériter un moment dans les sous-sols, entre les cuisses dégoulinantes de cette Belle Hélène dont tous avaient rêvé et que si peu avaient pu approcher. Tout au long du jour, Hélène leur était livrée, subissant durant des heures et des heures ininterrompues des pénétrations multiples, offrant au gré des envies de chacun sa chatte, son cul ou sa bouche.
Et Hélène qui était censée subir, était à l’inverse dans le plaisir extrême, dans la jouissance totale. En effet, plus elle était abondement pénétrée, plus sa libido était en éveil, elle ne comptait plus ses innombrables orgasmes provoqués par tant de ‘’partenaires’’ qui se succédaient. Elle aurait pu un moment ou à un autre de la journée, ressentir quelques fatigues, aimer souffler un peu, se reprendre, mais étonnement, Divinement plutôt, elle était en pleine forme physique, en pleine excitation sexuelle et elle en redemandait encore et encore. Mais elle comprenait désormais pourquoi elle était dans cet état, La Volonté Divine lui accordait et lui provoquait la force indispensable à cette énième servitude, et de plus est, dans le plaisir de la chair ! Ménélas venait parfois assister à ce qu’il croyait être une humiliation qu'il imposait à son épouse, se faisant accompagner de la douce Clytia, docilement pendue à son bras épais. Il aimait bien peloter un peu la croupe de sa favorite tout en contemplant sa femme se cambrer et gémir sous les coups de boutoirs de dizaines d'anciens guerriers. Il aimait à voir Hélène traitée comme une vulgaire putain, la salir, souiller son corps et son âme, l'humilier et ainsi se venger ! Cette situation l'excitait et parfois, sans ménagement, il forçait Clytia à s'agenouiller afin de le soulager de cette excitation, se vidant en râlant entre les lèvres délicates de la jeune femme qu'il avait contrainte à devenir sa concubine. Mais la docilité de la jeune spartiate ne suffisait pas à Ménélas, conscient malgré ses réticences que son vrai désir n'était autre qu'Hélène...
Ce fut ainsi durant plusieurs jours. Hélène qu'il rabaissait quotidiennement, en la livrant à tous les Spartiates, mais aussi en l'exhibant à travers les rues de la cité, la faisant promener sur un chariot, nue et écartelée entre deux mats, attachée à la vue de tous. Même dans cette position, Hélène demeurait une reine ! Rien ne semblait pouvoir altérer sa beauté et sa noblesse. Ce qui rendait Ménélas fou de rage ! Il n'avait cessé de rêver à tout ce qu'il infligerait à Hélène si d'aventure elle revenait un jour entre ses mains. Elle y était désormais et il avait le pouvoir sans limites d'user d'elle comme bon lui semblait. Il en usait, en abusait, jouissait d'elle et de tout ce qu'il pouvait lui faire subir. Il l'humiliait, l'avilissait, la souillait... Et pourtant il n'en ressentait pas vraiment de satisfaction. Des érections et éjaculations, bien sûr, quelques instants d'excitation, mais si peu de satisfaction au fond ! Même sa Clytia, qu'il avait choisie et façonnée afin de retrouver en elle tout ce qui l'avait séduit et subjugué en Hélène, ne lui suffisait plus. Elle n'était qu'une trop pâle imitation de cette Beauté Unique, sans pareille, qui habitait Hélène, même dans les plus impudiques et scabreuses positions. Depuis des jours, Hélène alternait les sorties dans les rues, exposée dans la plus totale nudité, et les séances de saillies par les Vétérans, saillies ô combien jouissives pour elle. Elle avait été exhibée aux yeux de tous, livrée à des dizaines, des centaines peut-être, de verges qui s'étaient vidées en elle... Elle en avait joui mainte fois et avait fait connaître à tous ces hommes, venus méprisants de tant de souffrances guerrières passées et conquérants de tant de vengeances et ressentis à assouvir, elle leur avait donc fait connaître un plaisir si exceptionnel, si Divin, qu'ils ressortaient de sa cage en la remerciant, définitivement séduits, apaisés, sous le charme inhumain et Divin de la souveraine humiliée. Plus aucune rancœur, plus de haine ne les habitaient. Ils étaient comme hypnotisés comme s’ils avaient baisé une Déesse. Tous les Vétérans n’en revenaient pas, disant que ce n’était pas une catin qu’il avait baisé mais un cadeau des Dieux, tant leurs plaisirs en avaient été décuplés tout en savourant une Beauté hors norme comme jamais ils avaient pu contempler.
Hélène, heureusement pour elle, bénéficiait donc dans cette servitude de ces bienfaits Divins. Les Dieux lui avaient accordé le pouvoir de ne jamais rester marquée par les coups, les blessures ou les épreuves. Elle subissait et ressentait tout, mais n'en gardait pas les séquelles, son corps effaçant rapidement toutes traces de sévices. Une nuit, alors qu'elle tentait tout de même de prendre un peu de repos, elle perçut une nouvelle fois un léger bruit dans l'obscurité de la salle souterraine où on la gardait captive. Elle sourit, car elle savait qui venait... Elle se redressa sur sa paillasse et guetta... rapidement, la silhouette de Clytia se découpa dans l'obscurité. La jeune femme dévoila une torche qu'elle accrocha au mur dans une torchère et s'approcha timidement de la cage...
- Le spectacle de ce jour ne t'a pas suffi, tu en redemandes ? lui cracha Hélène, obtenant avec satisfaction un petit sursaut de la jeune femme qui baissa les yeux vers le sol
- Oh non ! Non Madame... je... je suis désolée de ce que vous subissez
Hélène s'amusait beaucoup de cette situation, appréciant l'humble dévouement que lui témoignait cette jeune femme qui aurait pu la traiter sans le moindre égard. Son projet en serait facilité, trop facile presque, se dit Hélène...
- Je sais, dit la Reine sur un ton plus conciliant, j'ai vu dans tes yeux combien cette situation te met mal à l'aise...et je sais que tu subis sans plaisir les attouchements que t'imposent mon Roi de mari...
- Oui Majesté ! lança clytia... c'est vrai que tout cela... tout cela me dégoute !
- Et que viens-tu donc chercher auprès de moi ? s'enquit Hélène
- Je... je ne sais... j'en ai ressenti le besoin... un besoin irrépressible, mais je ne sais pas pourquoi
- Moi je le sais…, répondit laconiquement Hélène, … Approche !
A petits pas, Clytia obéit et s'approcha de la grille tandis qu’Hélène faisait de même. Seuls les barreaux de la cage où Hélène était prisonnière séparaient les deux femmes. Hélène tendit un bras, posant sa main sur l'épaule de la jeune femme qu'elle attira vers elle, la pressant contre les barreaux et se pressant elle aussi, leurs deux corps tout près l'un de l'autre, se touchant malgré les épais barreaux. Clytia se laissait faire, telle une poupée sans volonté et Hélène s'emparait d'elle, la caressait, explorait chaque courbe de son jeune corps ferme et souple. D'un geste rapide et précis, Hélène dégrafa la tunique de Clytia qui tomba avec légèreté sur le sol. Clytia laissa échapper un doux gémissement tandis que les doigts d’Hélène écartaient doucement ses chairs intimes...
- Te souviens-tu de notre rencontre ? murmura Hélène sans cesser de caresser le corps offert
- Mmmhh… oh oui, oui je m'en souviens, répondit Clytia dans un gémissement rauque.
Hélène recula d'un pas, cessant tout contact, s'installant sur sa paillasse tandis que Clytia demeurait interdite... Debout, nue, frémissante et humide au plus profond de son corps, Clytia ne comprenait pas. Elle se pressait contre les barreaux... tendant ses bras tout fins, ses petites mains vers celle qui un instant plus tôt lui donnait tant de plaisir en si peu de secondes...
- Je ne suis pas n'importe quelle prisonnière, dit Hélène d'une voix sévère. Je suis ta Reine
- Oui Majesté, oui soupira Clytia, oui vous êtes ma Reine bien aimée...
- Non, je suis ta Reine et toi tu n'es rien... Mais je veux bien faire de toi ... mon esclave ! (Clytia sursauta à ce mot)
- esclave ?
- Oui, mon esclave... Saches, petite, que je ne demeurerai pas indéfiniment dans cette cage. J'en sortirai bientôt car je le veux et je punirai Ménélas, ce gros porc lubrique. Puis je partirai, car bien des contrées restent à découvrir pour revenir comme La Reine, l’Unique Reine de Sparte. Mais mon expérience me dit que je pourrai avoir besoin d'être accompagnée. J'aurai quelque utilité d'une esclave, que je veux charmante, docile, dévouée corps et âme. Je ne puis la choisir sans attraits, ce sera donc toi, commenta Hélène
Ces mots dits avec froideur, comme une naturelle évidence. Clytia demeurait abasourdie... C'est Hélène qui poursuivit
- Je ne te demande pas de réponse sur l’instant, ton destin est déjà écrit. Mais il te faudra un peu de temps pour l'accepter, je le comprends. Aussi j'ai tenu à te le dire aujourd'hui et je ne te permets de revenir que pour me donner ta réponse, définitive. La prochaine fois que tu me rejoindras ici la nuit, ce sera pour venir te soumettre à Ma volonté. Maintenant, disparait, j'en ai assez, je veux dormir, dit Hélène, se couchant sur le côté et ignorant la frêle présence...
Sans mot dire, l'esprit embrouillé, Clytia s'en alla... Et les jours passèrent, avec pour Hélène son lot quotidien de jouissances par les Vétérans spartiates venant cracher entre ses cuisses leur désir et leur ressentiment pour ces années perdues sous les remparts de Troie et pour encore une fois en ressortir comblés, charmés, séduits par la Divine et Belle Hélène.. Le tas de pièces de fer devenait conséquent dans la cage, ce qui amusait beaucoup Ménélas, qui venait encore fréquemment toiser son épouse... Parfois il entrait dans la cage, forçant Hélène à venir se frotter contre lui... il la contraignait à s'agenouiller et poussait entre ses lèvres son sexe trop souvent flasque, l'âge et les excès ayant eu raison de sa fringante virilité d'autrefois. Hélène s'appliquait à rendre un peu de vigueur à ce membre défaillant, rendant son époux fier de sa verge tendue qu'il vidait dans un spasme entre les lèvres humides et tendres de la reine qu'il avait transformée en putain. Parfois, après avoir joui, Ménélas parlait... Il n'attendait aucune réponse de la part d’Hélène, juste une écoute. Il déversait sur elle toute sa bile, ses frustrations, ses déboires, ses regrets... Il l'insultait, lui crachait dessus en lui rappelant comment elle s'était enfuie entre les bras de ce prince troyen de Pâris aussi jeune que peu viril. Hélène contemplait celui qui avait mobilisé toute la Grèce pour venir la récupérer. Il avait tout fait pour qu'elle soit à nouveau sienne. Vogué vers des contrées lointaines, combattu contre les plus féroces guerriers, négocié avec les plus habiles diplomates tel ce roi d'Itaque, Ulysse., celui qui imagina ce fameux stratège d’un immense Cheval de bois qui entrant dans Troie afin d’obtenir la prise de cette fameuse Cité troyenne…
Et voilà où Mélénas en était. Gras et flasque, frustré, quasiment impuissant, contraint à user d'une jeune femme transformée en une pâle copie d'elle-même... Hélène riait sous cape en assistant à la déconfiture de son époux, roi de Sparte encore, mais dont elle comptait bien écraser les débris de fierté entre ses doigts, avant de laisser derrière elle cette cité à la gloire vacillante, pour peut-être, si elle en déciderai un jour dans son Destin Divin en revenir pour en être La Reine incontestée… Finalement, un soir, Clytia revint vers Hélène. Une torche éclairait la scène tandis que la jeune femme se débarrassait de sa tunique légère, pour s'avancer nue jusqu'à la cage où l'attendait Hélène. Clytia s'agenouilla devant la cage
- J'ai réfléchi, ma Reine... Et me voici, je sollicite humblement que Vous consentiez à m'accepter pour esclave. je me livre à Vous, corps et âme, je Vous servirai et Vous obéirai en tout... à jamais, avec tant de dévotion et de fascination que je ressens pour Vous, prononça-t-elle avec émotion.
Hélène contemplait la jolie jeune femme qui venait de lui faire don de sa personne, sans rien demander en retour, même pas une explication sur ce qui serait exigé d'elle. C'était... Parfait !
- Je consens à accepter ce don, répondit elle, dès cet instant tu deviens Mon esclave et je puis tout exiger de toi et tu accompliras ma volonté, sans réfléchir, sans poser de questions, sans hésiter. Quoi que j'exige, tu le feras, nous sommes bien d'accord ?
- Oui Majesté, répondit Clytia qui se sentait troublée, la bouche sèche, l'esprit serein toutefois...
- Pour te récompenser, esclave, je consentirai à te donner du plaisir... Mais pour cela tu vas devoir me prouver ton absolu dévouement. Tu reviendras demain avec la clé de cette cage et tu ouvriras la porte pour me rejoindre (Clytia tressaillit)
- Mais ? Majesté, la seule clé pend au cou du Roi... Ménélas ne s'en sépare jamais, sauf à un garde afin que celui-ci vienne ouvrir aux Vétérans et ce garde lui ramène la clé à chaque fois et…
- Déjà !? Tu renonces déjà ? J'ai dit sans réfléchir, sans poser de questions, sans hésiter … (Clytia demeurait muette)… Bien, alors je vais t'aider... Je connais trop bien Ménélas et je ne doute pas que le temps n'aura fait qu'appesantir encore ses plus viles habitudes. Je sais que lorsqu'il prend du plaisir, le soir, il sombre toujours dans le plus profond des sommeils. Dont rien ne peut le tirer. Alors demain tu te donneras à lui et tu le feras jouir. Nul doute qu'ensuite il sombrera dans le plus profond sommeil. Tu t'empareras de la clé et tu viendras me rejoindre, pour recevoir ta récompense... Ensuite, j'aviserai. C'est compris ?
- Oui, oh oui Majesté, je sais ce que j'ai à faire…
- Alors, déguerpit et ne revient qu'avec la clé, ordonna Hélène.
Ces derniers mots furent exprimés en n’accordant qu'un regard distrait à la silhouette de la jeune concubine qui s'éloignait tête baissée, nue, serrant contre elle la tunique froissée qu'elle allait revêtir avant de regagner les couloirs richement décorés du palais Royal ...
(A suivre…)
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