Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 50)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les 12 servitudes d'Hélène (épisode 50)
Les 12 servitudes d'Hélène : L'offrande de Clytia –
Les jours passaient, monotones. Hélène était quotidiennement livrée aux saillies souvent bestiales et toujours banales des Vétérans spartiates, venus (et pour beaucoup revenus encore et encore maintes fois) profiter de l'aubaine de pouvoir s'offrir pour une simple pièce de bronze le corps de la plus belle femme du monde connu. Forte de la science acquise au fil de ses errances lorsqu'elle n'était que êta l'esclave amnésique, Hélène s'appliquait cependant à donner à ces hommes, souvent marqués dans leur chair par les combats meurtriers menés en son nom face aux remparts de Troie. Elle surmontait sa lassitude en déployant sous leurs assauts les plus salaces des pratiques, qu'elle avait apprises auprès des personnages les plus pervers qui soient. Elle leur ouvrait ses cuisses, leur offrait son cul, faisait de sa bouche l'écrin confortable de tous leurs désirs... Et parvenait à y prendre du plaisir, même si la lassitude était de mise. Lorsqu'elle n'était pas maintenue captive dans cette cage où elle était devenue la putain royale, Hélène, la Belle Hélène était promenée nue et enchaînée par les rues de la Cité, cible des quolibets et des crachats des femmes, du regard concupiscent des hommes. Elle prenait plaisir à ces exhibitions que Ménélas voulait humiliantes, dégradantes, mais qui provoquaient en son infidèle épouse de réels moments d'excitation, car malgré son caractère désormais affirmé et son nouveau tempérament dominant, dont elle exerçait les effets sur la jeune et craintive Clytia, Hélène avait gardé de sa découverte du sexe un goût profond pour ces moments où elle était livrée aux yeux de tous dans les plus impudiques et dégradantes des positions.
Menée sur un chariot, écartelée nue, elle jouissait d'être ainsi montrée, exposée sans aucun artifice. Elle jouissait d'être vue, mais aussi du regard de ceux qui ne pouvaient s'empêcher de l'admirer et de la désirer. Il en était de même dans sa cage, lorsque Ménélas venait assister au défilé des Vétérans venant jouir de leur dû. Elle s'appliquait à satisfaire tous ces hommes, à jouir de leurs assauts sous les yeux effarés et jaloux de son époux qui avait cru lui infliger la pire des humiliations et voyait, au contraire dans une concrète réalité, sa femme gémir et se trémousser de plaisir sous les corps transpirants de ses anciens soldats. Le Roi, dépité, ne venait plus. Ménélas avait un temps envisagé d'envoyer des hérauts à travers la Grèce, pour offrir à tous les combattants de la Guerre de Troie le même privilège qu'à ses propres vétérans. Mais la cité de Sparte était jalouse de ses prérogatives. La rumeur de ce projet avait franchi les murs du palais, provoquant le mécontentement des spartiates et le recul de Ménélas sur ce projet. Depuis, il cherchait une nouvelle façon d'avilir celle qui avait fait de lui la risée du Péloponnèse. Il priait chaque soir les Dieux de lui inspirer quelque nouveau tourment, tentant de masquer ainsi le désir de plus en plus fortement ancré en lui et qui le torturait de l’intérieur, oui, de masquer ce désir de faire revenir Hélène auprès de lui, d'en refaire officiellement sa reine. Mais le pourrait-il après tout ce qu'il lui avait infligé ? Malgré ses efforts, qui n'avaient jamais été aussi appuyés, Clytia ne parvenait pas à lui prodiguer l'apaisement dont il avait besoin. Certes il besognait fréquemment la jeune femme, et celle-ci se montrait plus entreprenante que jamais, osant des gestes, des actes qu'elle n'aurait jamais supportée quelques mois plus tôt. Sous les ordres d’Hélène, elle se montrait désormais très ardente et l'épuisait quotidiennement. Si cela n'apaisait pas son esprit, au moins trouvait-il à l'issue de leurs ébats un profond sommeil réparateur, dont il ne s'éveillait avec difficulté que lorsque le jour était déjà bien avancé…
Ce qu'ignorait Ménélas, c'est que si Clytia se montrait si délurée, c’était dans le seul but de l'épuiser et de s'emparer chaque nuit de la clé qui pendait à son cou, seul moyen d'accéder à l'intérieur de la cage où Hélène était emprisonnée. Dès que le gros roi, épuisé, s'effondrait pour gagner les bras de Morphée, Clytia s'emparait de la clé et gagnait précipitamment les sous-sols du palais, pour retrouver Hélène et se donner à Elle. Le rite était désormais bien établi. Clytia quittait nue la chambre royale, et rejoignait dans le plus simple appareil Celle dont elle était désormais l'esclave. La jeune femme s'agenouillait devant la porte de fer, baissait la tête et tendait dans ses deux mains la clé à Hélène à travers les barreaux. Hélène s'en saisissait et ouvrait la porte, s'offrant ainsi la sensation d'être libre d'aller et venir hors de cette cage minuscule où elle était contrainte. Parfois, Hélène permettait à Clytia de la rejoindre et lui prodiguait les savantes caresses, de sa main, de sa bouche, qui rendaient la jeune femme si vulnérable. Mais Hélène n'accordait ces privautés qu'avec parcimonie. Gardant ainsi Clytia dans une dépendance extrême. Clytia suppliait parfois pour obtenir au moins quelques caresses... ce qui lui valait le plus souvent de fermes remontrances et même quelques tourments, Hélène lui ayant ordonné de lui fournir quelques instruments. Hélène aimait à tourmenter son esclave, à la voir dévorée de désir, les yeux perdus dans le vide lorsqu'elle lui accordait un orgasme, le visage empourpré lorsqu'elle l'initiait à de nouveaux jeux toujours plus dépravés.
Après leurs retrouvailles, ce n'est qu'en de rares occasions que Ménélas avait ordonné aux deux femmes de se livrer devant lui à des ébats débridés. Mais il ne se mêlait jamais à elles, préférant les regarder, parfois saisir l'une ou l'autre par leur abondante chevelure, afin de la forcer à s'agenouiller pour accueillir dans leur bouche sa verge dressée par l'excitation de ces deux superbes créatures s'abandonnant aux ébats saphiques exigés par lui. Mais Hélène savait que Clytia détestait être ainsi livrée au regard de ce roi lubrique et pervers qui l'avait contrainte à devenir sa favorite. Elle préférait venir s'offrir seule à Hélène, se sentir son esclave, sa chose, prête à tout accepter sans jamais poser la moindre question. Clytia, au fil des nuits, devenait une experte, certes incapable de rivaliser avec sa Maîtresse, mais bien assez rouée, déjà, pour pouvoir s'avérer utile lorsqu'avec Hélène elle devrait quitter l'abri du palais royal de Sparte afin de partir à l'aventure sur les routes antiques. Car c'était bien là le projet de Hélène. Elle s'était laissée mener à Sparte pour retrouver Ménélas et lui faire payer la perte de son grand Amour qu’était Pâris, payer aussi la perte de ces nobles troyens qui l'avaient accueillie à bras ouverts, mais également de la destruction de la florissante Cité d'Asie Mineure, les morts, les viols, le sang... Le Roi de Sparte devait payer et Hélène avait l'intention de présenter la note, jusqu'à l'ultime pièce de bronze... Ces pièces qui s'accumulaient désormais dans sa cage, puisque le Roi, son époux, avait fixé le plus bas des prix à payer pour tous ceux qui voulaient s'offrir son corps.
Ce soir encore, Clytia se tenait prosternée à l'entrée de la cage dont la porte était ouverte. Le visage dans la poussière, nue, les reins creusés, la croupe dressée, elle attendait le bon vouloir de sa Divine Maîtresse. Hélène la contemplait, avec la satisfaction d'avoir su si promptement réduire cette belle jeune femme en esclavage. Désormais, la concubine de son mari lui appartenait totalement. Si elle se montrait empressée auprès du roi gras et bedonnant, c'était uniquement sur l'ordre d'Hélène qui voulait l'épuisement nocturne de son époux, afin que Clytia put la rejoindre et se donner à elle... Hélène claqua des doigts et Clytia s'avança vers elle à quatre pattes, venant poser un humble et doux baiser sur son pied. En souriant, Hélène se pencha sur la jeune femme, caressa ses abondants cheveux blonds, décolorés sur l'ordre de Ménélas afin qu'elle ressemblât autant qu'il était possible à Hélène. Puis Hélène promena lentement sa main sur le dos, sur les fesses de son esclave, avant de lui permettre de se lever. Debout, les deux femmes s'enlacèrent, Hélène offrant à Clytia un baiser intense et profond, avant de la pousser sur sa paillasse et de peser sur ses genoux afin que la jeune femme écarte au mieux les cuisses, qu'elle s'ouvre largement pour offrir à sa Maîtresse la vue et puis le goût acide et frais de ses chairs les plus intimes. Hélène adorait savourer ainsi les chairs roses de la jeune femme qui frémissait sous les petits coups de langue qui la dégustaient. Lorsqu'elle était ainsi frémissante de plaisir, Clytia avait l'agréable habitude de mouiller si abondamment qu'elle offrait à Hélène un long flot de son nectar. Et la Reine savourait cette offrande.... Lorsqu'elle fut repue, Hélène se redressa et intima à Clytia l'ordre d'en faire autant :
- Le moment est venu, esclave
- Le moment, Maîtresse ?
- Oui, il est temps de quitter ce palais, ce gros cochon de roi obèse, de vivre en toute liberté... Enfin, pour moi !
- Oh par pitié, ne m'abandonnez pas, supplia Clytia en tombant à genoux, saisissant la main de Hélène pour la couvrir de baisers... hélène sourit
- Qui parle de t'abandonner ? Tu m'appartiens et il est donc de ton devoir de me suivre, où que j'aille. Tu me suivras, certes libérée de ce gros porc de Mélénas, mais pas de Mon joug… et après avoir participé à mon plan, à ma vengeance et avoir payé le prix de ton inconduite avec mon gros époux
- Oh merci, merci Divine Maîtresse Hélène, Ô Reine, dit Clytia avec ferveur, sans cesser de baiser la main de la Belle Hélène
- Suffit !, intima Hélène en retirant la main
Main qu'elle avait un bref instant abandonné à la vénération de son esclave. Clytia obéit instantanément, se tenant humblement agenouillée, joignant ses mains dans son dos.
- Bien, dit Hélène, tu sais ce que tu auras à faire, demain... Maintenant regagne la couche de ce gros porc et réveille le donc en léchant longuement ses couilles flasques de goret, s'amusa Hélène....
Le lendemain, tandis que le palais s'enfonçait peu à peu dans la torpeur d'une nuit commençant, Clytia avait entraîné Ménélas jusqu'à leur lit. Avec ardeur et imagination, elle avait su faire durcir et gonfler la verge si souvent défaillante du Roi, le chevauchant avec entrain, ranimant la moindre faiblesse de sa bouche voluptueuse et de sa langue aussi agile que précise. Sur le dos, ses cuisses largement ouvertes, elle subissait maintenant les assauts du Roi, son corps gras et lourd pesant sur la frêle jeune femme, l'enfonçant dans leur épaisse couche, il laissa échapper un râle et se retira d'un brusque mouvement tandis que sa semence jaillissait, inondant le corps et le visage de Clytia... Le roi haletant se tenait au-dessus d'elle et appréciait la finesse des traits de la jeune femme si dévouée à son plaisir. Certes, elle ne pouvait rivaliser avec la sublime et irréelle beauté Divine de Hélène, mais elle était fort jolie, très belle même, si l'on oubliait de la comparer avec la Reine ! Clytia léchait avec une apparente gourmandise la semence qui coulait sur son visage, adressant un regard feinté de plein de promesses à son Roi... Elle se redressa, juste assez pour lécher le cou de son Seigneur et Maître, puis l'embrasser avec fougue. Le roi s'amusait de ce juvénile enthousiasme dont il appréciait les bienfaits depuis quelques semaines...
- Mmmhhh, ooh Sire, puis-je émettre une requête ?, murmura Clytia avec une douce langueur qui amusa Ménélas
- Que veux-tu donc ma belle ? Et que pourrais-je te refuser après les bienfaits que tu viens de m'offrir ?
Clytia passa ses bras autour de son cou et se colla à lui, enserrant les larges hanches du Roi de ses cuisses fines mais musclées...
- Je... je souhaiterai que nous allions réveiller Votre Hélène de sa torpeur... que nous nous amusions de cette royale catin…
Ménélas surpris, contempla sa jeune favorite, soudainement si audacieuse
- Et que veux-tu donc à cette femelle ?
- Oh Sire, j'ai quelques idées qui devraient vous divertir et puniront cette putain pour ses fautes... mais auparavant, mon Seigneur... buvez donc de ce délicieux breuvage, si revigorant (un regard concupiscent de Clytia) vous pourriez en avoir grand besoin, dit la jeune femme…
Ses mots furent prononcés en tendant à Ménélas une coupe d'argent finement ciselée, emplie d'un vin épicé et délicieusement odorant, que le Roi vida d'un trait, sans aucune méfiance. Un instant plus tard, Ménélas vêtu seulement d'un drap, s'appuyant sur Clytia, entièrement nue, titubait dans les couloirs sombres et abandonnés du palais, descendant les marches humides menant jusqu'aux sinistres sous-sols afin de rejoindre la cage où il laissait croupir depuis bien des semaines son épouse. Celle-ci somnolait, recroquevillée sur sa paillasse souillée, au côté d'un véritable amas de pièces de bronze, prix modique de la vente du Divin corps de la Belle Reine. Le bruit de la clé réveilla Hélène qui sembla surprise et apeurée. Assez inutilement, elle couvrait la nudité de ses seins à l'aide de ses bras repliés, provoquant le rire gras de Ménélas qui s'approcha et lui saisit les poignets, la forçant à découvrir sa poitrine aux seins parfaits, dont la peau fine et pâle contrastait avec les mains bronzées et poilues du Roi qui les pétrissait maintenant sans ménagement. Ménélas se tourna vers Clytia qui contemplait la scène....
- Voici ma royale putain, fais en ce qu'il te plaira, mais que j'y ai du plaisir, beaucoup de plaisir !, ordonna le roi.
Clytia s'approcha de Hélène et l'entraîna sur la paillasse, la caressant, la pelotant, tirant ses cheveux d'or en arrière et découvrant sa gorge où elle planta lentement ses petites dents blanches et brillantes, arrachant un lent gémissement à la prisonnière qui semblait perdue et troublée, pas vraiment sortie de son sommeil... Ménélas se réjouissait du spectacle qui commençait, curieux de savoir quelles perversions avaient pu naître dans le jeune esprit de Clytia qui depuis peu se révélait à ses yeux, bien plus coquine qu'il l'avait cru. Les deux femmes tout en se caressant, avaient entamé un danse lascive qui troublait les sens et le regard du Roi. Le spectacle de ces deux corps enlacés, ne faisant plus qu'un lui donnait des sueurs, il avait la vue trouble malgré la concentration dont il faisait preuve pour ne rien perdre de ce moment si excitant... La danse se faisait à chaque instant plus chaude, plus indécente sous le regard lubrique de Ménélas qui luttait avec difficulté contre l'engourdissement. Il tenta de se branler, histoire de se réveiller, mais sa verge demeurait flasque, il voulut ordonner qu'une femelle vint la lui sucer, mais il ne parvint même pas à prononcer les mots... Les deux femmes dansaient, se caressaient, leurs corps formaient comme une boule de chair totalement dédiée au plaisir. Ménélas tenta de se lever, il tituba, vacilla et tout se mit à tourner autour de lui, le vertige s’amplifiait, les formes des deux femmes devenaient vagues, puis il s'écroula comme une masse sur le sol de tout son poids, le visage dans le tas de pièces. Il gisait là, de toute la masse de son corps devenu au fil du temps si épais. Les deux femmes le contemplaient, souriantes.
- Bien, tu as bien rempli ta mission, j'accepte ton offrande, esclave... Maintenant à nous de jouer, dit Hélène...
(A suivre…)
Les jours passaient, monotones. Hélène était quotidiennement livrée aux saillies souvent bestiales et toujours banales des Vétérans spartiates, venus (et pour beaucoup revenus encore et encore maintes fois) profiter de l'aubaine de pouvoir s'offrir pour une simple pièce de bronze le corps de la plus belle femme du monde connu. Forte de la science acquise au fil de ses errances lorsqu'elle n'était que êta l'esclave amnésique, Hélène s'appliquait cependant à donner à ces hommes, souvent marqués dans leur chair par les combats meurtriers menés en son nom face aux remparts de Troie. Elle surmontait sa lassitude en déployant sous leurs assauts les plus salaces des pratiques, qu'elle avait apprises auprès des personnages les plus pervers qui soient. Elle leur ouvrait ses cuisses, leur offrait son cul, faisait de sa bouche l'écrin confortable de tous leurs désirs... Et parvenait à y prendre du plaisir, même si la lassitude était de mise. Lorsqu'elle n'était pas maintenue captive dans cette cage où elle était devenue la putain royale, Hélène, la Belle Hélène était promenée nue et enchaînée par les rues de la Cité, cible des quolibets et des crachats des femmes, du regard concupiscent des hommes. Elle prenait plaisir à ces exhibitions que Ménélas voulait humiliantes, dégradantes, mais qui provoquaient en son infidèle épouse de réels moments d'excitation, car malgré son caractère désormais affirmé et son nouveau tempérament dominant, dont elle exerçait les effets sur la jeune et craintive Clytia, Hélène avait gardé de sa découverte du sexe un goût profond pour ces moments où elle était livrée aux yeux de tous dans les plus impudiques et dégradantes des positions.
Menée sur un chariot, écartelée nue, elle jouissait d'être ainsi montrée, exposée sans aucun artifice. Elle jouissait d'être vue, mais aussi du regard de ceux qui ne pouvaient s'empêcher de l'admirer et de la désirer. Il en était de même dans sa cage, lorsque Ménélas venait assister au défilé des Vétérans venant jouir de leur dû. Elle s'appliquait à satisfaire tous ces hommes, à jouir de leurs assauts sous les yeux effarés et jaloux de son époux qui avait cru lui infliger la pire des humiliations et voyait, au contraire dans une concrète réalité, sa femme gémir et se trémousser de plaisir sous les corps transpirants de ses anciens soldats. Le Roi, dépité, ne venait plus. Ménélas avait un temps envisagé d'envoyer des hérauts à travers la Grèce, pour offrir à tous les combattants de la Guerre de Troie le même privilège qu'à ses propres vétérans. Mais la cité de Sparte était jalouse de ses prérogatives. La rumeur de ce projet avait franchi les murs du palais, provoquant le mécontentement des spartiates et le recul de Ménélas sur ce projet. Depuis, il cherchait une nouvelle façon d'avilir celle qui avait fait de lui la risée du Péloponnèse. Il priait chaque soir les Dieux de lui inspirer quelque nouveau tourment, tentant de masquer ainsi le désir de plus en plus fortement ancré en lui et qui le torturait de l’intérieur, oui, de masquer ce désir de faire revenir Hélène auprès de lui, d'en refaire officiellement sa reine. Mais le pourrait-il après tout ce qu'il lui avait infligé ? Malgré ses efforts, qui n'avaient jamais été aussi appuyés, Clytia ne parvenait pas à lui prodiguer l'apaisement dont il avait besoin. Certes il besognait fréquemment la jeune femme, et celle-ci se montrait plus entreprenante que jamais, osant des gestes, des actes qu'elle n'aurait jamais supportée quelques mois plus tôt. Sous les ordres d’Hélène, elle se montrait désormais très ardente et l'épuisait quotidiennement. Si cela n'apaisait pas son esprit, au moins trouvait-il à l'issue de leurs ébats un profond sommeil réparateur, dont il ne s'éveillait avec difficulté que lorsque le jour était déjà bien avancé…
Ce qu'ignorait Ménélas, c'est que si Clytia se montrait si délurée, c’était dans le seul but de l'épuiser et de s'emparer chaque nuit de la clé qui pendait à son cou, seul moyen d'accéder à l'intérieur de la cage où Hélène était emprisonnée. Dès que le gros roi, épuisé, s'effondrait pour gagner les bras de Morphée, Clytia s'emparait de la clé et gagnait précipitamment les sous-sols du palais, pour retrouver Hélène et se donner à Elle. Le rite était désormais bien établi. Clytia quittait nue la chambre royale, et rejoignait dans le plus simple appareil Celle dont elle était désormais l'esclave. La jeune femme s'agenouillait devant la porte de fer, baissait la tête et tendait dans ses deux mains la clé à Hélène à travers les barreaux. Hélène s'en saisissait et ouvrait la porte, s'offrant ainsi la sensation d'être libre d'aller et venir hors de cette cage minuscule où elle était contrainte. Parfois, Hélène permettait à Clytia de la rejoindre et lui prodiguait les savantes caresses, de sa main, de sa bouche, qui rendaient la jeune femme si vulnérable. Mais Hélène n'accordait ces privautés qu'avec parcimonie. Gardant ainsi Clytia dans une dépendance extrême. Clytia suppliait parfois pour obtenir au moins quelques caresses... ce qui lui valait le plus souvent de fermes remontrances et même quelques tourments, Hélène lui ayant ordonné de lui fournir quelques instruments. Hélène aimait à tourmenter son esclave, à la voir dévorée de désir, les yeux perdus dans le vide lorsqu'elle lui accordait un orgasme, le visage empourpré lorsqu'elle l'initiait à de nouveaux jeux toujours plus dépravés.
Après leurs retrouvailles, ce n'est qu'en de rares occasions que Ménélas avait ordonné aux deux femmes de se livrer devant lui à des ébats débridés. Mais il ne se mêlait jamais à elles, préférant les regarder, parfois saisir l'une ou l'autre par leur abondante chevelure, afin de la forcer à s'agenouiller pour accueillir dans leur bouche sa verge dressée par l'excitation de ces deux superbes créatures s'abandonnant aux ébats saphiques exigés par lui. Mais Hélène savait que Clytia détestait être ainsi livrée au regard de ce roi lubrique et pervers qui l'avait contrainte à devenir sa favorite. Elle préférait venir s'offrir seule à Hélène, se sentir son esclave, sa chose, prête à tout accepter sans jamais poser la moindre question. Clytia, au fil des nuits, devenait une experte, certes incapable de rivaliser avec sa Maîtresse, mais bien assez rouée, déjà, pour pouvoir s'avérer utile lorsqu'avec Hélène elle devrait quitter l'abri du palais royal de Sparte afin de partir à l'aventure sur les routes antiques. Car c'était bien là le projet de Hélène. Elle s'était laissée mener à Sparte pour retrouver Ménélas et lui faire payer la perte de son grand Amour qu’était Pâris, payer aussi la perte de ces nobles troyens qui l'avaient accueillie à bras ouverts, mais également de la destruction de la florissante Cité d'Asie Mineure, les morts, les viols, le sang... Le Roi de Sparte devait payer et Hélène avait l'intention de présenter la note, jusqu'à l'ultime pièce de bronze... Ces pièces qui s'accumulaient désormais dans sa cage, puisque le Roi, son époux, avait fixé le plus bas des prix à payer pour tous ceux qui voulaient s'offrir son corps.
Ce soir encore, Clytia se tenait prosternée à l'entrée de la cage dont la porte était ouverte. Le visage dans la poussière, nue, les reins creusés, la croupe dressée, elle attendait le bon vouloir de sa Divine Maîtresse. Hélène la contemplait, avec la satisfaction d'avoir su si promptement réduire cette belle jeune femme en esclavage. Désormais, la concubine de son mari lui appartenait totalement. Si elle se montrait empressée auprès du roi gras et bedonnant, c'était uniquement sur l'ordre d'Hélène qui voulait l'épuisement nocturne de son époux, afin que Clytia put la rejoindre et se donner à elle... Hélène claqua des doigts et Clytia s'avança vers elle à quatre pattes, venant poser un humble et doux baiser sur son pied. En souriant, Hélène se pencha sur la jeune femme, caressa ses abondants cheveux blonds, décolorés sur l'ordre de Ménélas afin qu'elle ressemblât autant qu'il était possible à Hélène. Puis Hélène promena lentement sa main sur le dos, sur les fesses de son esclave, avant de lui permettre de se lever. Debout, les deux femmes s'enlacèrent, Hélène offrant à Clytia un baiser intense et profond, avant de la pousser sur sa paillasse et de peser sur ses genoux afin que la jeune femme écarte au mieux les cuisses, qu'elle s'ouvre largement pour offrir à sa Maîtresse la vue et puis le goût acide et frais de ses chairs les plus intimes. Hélène adorait savourer ainsi les chairs roses de la jeune femme qui frémissait sous les petits coups de langue qui la dégustaient. Lorsqu'elle était ainsi frémissante de plaisir, Clytia avait l'agréable habitude de mouiller si abondamment qu'elle offrait à Hélène un long flot de son nectar. Et la Reine savourait cette offrande.... Lorsqu'elle fut repue, Hélène se redressa et intima à Clytia l'ordre d'en faire autant :
- Le moment est venu, esclave
- Le moment, Maîtresse ?
- Oui, il est temps de quitter ce palais, ce gros cochon de roi obèse, de vivre en toute liberté... Enfin, pour moi !
- Oh par pitié, ne m'abandonnez pas, supplia Clytia en tombant à genoux, saisissant la main de Hélène pour la couvrir de baisers... hélène sourit
- Qui parle de t'abandonner ? Tu m'appartiens et il est donc de ton devoir de me suivre, où que j'aille. Tu me suivras, certes libérée de ce gros porc de Mélénas, mais pas de Mon joug… et après avoir participé à mon plan, à ma vengeance et avoir payé le prix de ton inconduite avec mon gros époux
- Oh merci, merci Divine Maîtresse Hélène, Ô Reine, dit Clytia avec ferveur, sans cesser de baiser la main de la Belle Hélène
- Suffit !, intima Hélène en retirant la main
Main qu'elle avait un bref instant abandonné à la vénération de son esclave. Clytia obéit instantanément, se tenant humblement agenouillée, joignant ses mains dans son dos.
- Bien, dit Hélène, tu sais ce que tu auras à faire, demain... Maintenant regagne la couche de ce gros porc et réveille le donc en léchant longuement ses couilles flasques de goret, s'amusa Hélène....
Le lendemain, tandis que le palais s'enfonçait peu à peu dans la torpeur d'une nuit commençant, Clytia avait entraîné Ménélas jusqu'à leur lit. Avec ardeur et imagination, elle avait su faire durcir et gonfler la verge si souvent défaillante du Roi, le chevauchant avec entrain, ranimant la moindre faiblesse de sa bouche voluptueuse et de sa langue aussi agile que précise. Sur le dos, ses cuisses largement ouvertes, elle subissait maintenant les assauts du Roi, son corps gras et lourd pesant sur la frêle jeune femme, l'enfonçant dans leur épaisse couche, il laissa échapper un râle et se retira d'un brusque mouvement tandis que sa semence jaillissait, inondant le corps et le visage de Clytia... Le roi haletant se tenait au-dessus d'elle et appréciait la finesse des traits de la jeune femme si dévouée à son plaisir. Certes, elle ne pouvait rivaliser avec la sublime et irréelle beauté Divine de Hélène, mais elle était fort jolie, très belle même, si l'on oubliait de la comparer avec la Reine ! Clytia léchait avec une apparente gourmandise la semence qui coulait sur son visage, adressant un regard feinté de plein de promesses à son Roi... Elle se redressa, juste assez pour lécher le cou de son Seigneur et Maître, puis l'embrasser avec fougue. Le roi s'amusait de ce juvénile enthousiasme dont il appréciait les bienfaits depuis quelques semaines...
- Mmmhhh, ooh Sire, puis-je émettre une requête ?, murmura Clytia avec une douce langueur qui amusa Ménélas
- Que veux-tu donc ma belle ? Et que pourrais-je te refuser après les bienfaits que tu viens de m'offrir ?
Clytia passa ses bras autour de son cou et se colla à lui, enserrant les larges hanches du Roi de ses cuisses fines mais musclées...
- Je... je souhaiterai que nous allions réveiller Votre Hélène de sa torpeur... que nous nous amusions de cette royale catin…
Ménélas surpris, contempla sa jeune favorite, soudainement si audacieuse
- Et que veux-tu donc à cette femelle ?
- Oh Sire, j'ai quelques idées qui devraient vous divertir et puniront cette putain pour ses fautes... mais auparavant, mon Seigneur... buvez donc de ce délicieux breuvage, si revigorant (un regard concupiscent de Clytia) vous pourriez en avoir grand besoin, dit la jeune femme…
Ses mots furent prononcés en tendant à Ménélas une coupe d'argent finement ciselée, emplie d'un vin épicé et délicieusement odorant, que le Roi vida d'un trait, sans aucune méfiance. Un instant plus tard, Ménélas vêtu seulement d'un drap, s'appuyant sur Clytia, entièrement nue, titubait dans les couloirs sombres et abandonnés du palais, descendant les marches humides menant jusqu'aux sinistres sous-sols afin de rejoindre la cage où il laissait croupir depuis bien des semaines son épouse. Celle-ci somnolait, recroquevillée sur sa paillasse souillée, au côté d'un véritable amas de pièces de bronze, prix modique de la vente du Divin corps de la Belle Reine. Le bruit de la clé réveilla Hélène qui sembla surprise et apeurée. Assez inutilement, elle couvrait la nudité de ses seins à l'aide de ses bras repliés, provoquant le rire gras de Ménélas qui s'approcha et lui saisit les poignets, la forçant à découvrir sa poitrine aux seins parfaits, dont la peau fine et pâle contrastait avec les mains bronzées et poilues du Roi qui les pétrissait maintenant sans ménagement. Ménélas se tourna vers Clytia qui contemplait la scène....
- Voici ma royale putain, fais en ce qu'il te plaira, mais que j'y ai du plaisir, beaucoup de plaisir !, ordonna le roi.
Clytia s'approcha de Hélène et l'entraîna sur la paillasse, la caressant, la pelotant, tirant ses cheveux d'or en arrière et découvrant sa gorge où elle planta lentement ses petites dents blanches et brillantes, arrachant un lent gémissement à la prisonnière qui semblait perdue et troublée, pas vraiment sortie de son sommeil... Ménélas se réjouissait du spectacle qui commençait, curieux de savoir quelles perversions avaient pu naître dans le jeune esprit de Clytia qui depuis peu se révélait à ses yeux, bien plus coquine qu'il l'avait cru. Les deux femmes tout en se caressant, avaient entamé un danse lascive qui troublait les sens et le regard du Roi. Le spectacle de ces deux corps enlacés, ne faisant plus qu'un lui donnait des sueurs, il avait la vue trouble malgré la concentration dont il faisait preuve pour ne rien perdre de ce moment si excitant... La danse se faisait à chaque instant plus chaude, plus indécente sous le regard lubrique de Ménélas qui luttait avec difficulté contre l'engourdissement. Il tenta de se branler, histoire de se réveiller, mais sa verge demeurait flasque, il voulut ordonner qu'une femelle vint la lui sucer, mais il ne parvint même pas à prononcer les mots... Les deux femmes dansaient, se caressaient, leurs corps formaient comme une boule de chair totalement dédiée au plaisir. Ménélas tenta de se lever, il tituba, vacilla et tout se mit à tourner autour de lui, le vertige s’amplifiait, les formes des deux femmes devenaient vagues, puis il s'écroula comme une masse sur le sol de tout son poids, le visage dans le tas de pièces. Il gisait là, de toute la masse de son corps devenu au fil du temps si épais. Les deux femmes le contemplaient, souriantes.
- Bien, tu as bien rempli ta mission, j'accepte ton offrande, esclave... Maintenant à nous de jouer, dit Hélène...
(A suivre…)
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