Les 12 servitudes d'Hélène (Le poème N°3)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les 12 servitudes d'Hélène (Le poème N°3)
Suite du poème écrit par soumise Phryné MDE -
D'une plume toujours magique,
Pour ce récit encore mythique,
Le Marquis d'Evans s'applique
À nous conter la suite logique,
Aux rebondissements chaotiques
Du destin de la belle hellénique.
La reine Hyppolitée tyrannique
Utilise les charmes diaboliques
Et les attouchements féeriques
De la belle éta, jouet lubrique,
Sur les mâles à la queue phallique
Dans une excitation spasmodique.
Êta remplie comme une barrique
Loin de pouvoir être hermétique
Laisse couler, c'est automatique,
Un liquide doré mêlé d'acide urique
Qu'elle doit lécher. Le sol, elle astique
Sous des quolibets forts caustiques.
Aphrodite a une rancœur toxique
Contre la trop Belle Hélène antique
Et se venge sur l'autre éta amnésique,
Attisant le désir très peu platonique
Et les souvenirs bien nostalgiques
De Lysipée, à la jalousie prolifique.
Sur une roue, êta, exhibée impudique,
Enchaînée par décision despotique
Est baisée par un olibos peu antalgique.
De la roulette, la reine cruelle la pique.
Tandis que dans l'immense salle publique,
Amazones, servantes, serfs forniquent.
Ne pouvant regarder la scène stoïque,
La guerrière excédée, sans panique,
Délivra d'un seul coup de hache tonique
Celle qui servait de royal plaisir ludique,
Assénant de surcroît une gifle algique,
En reniant tout respect hiérarchique.
Arrachée au dur pouvoir monarchique,
L'otage, presque comme aphasique,
Suit l'Amazone, trainée flegmatique,
A travers une porte fort diplomatique,
Pour gagner enfin la forêt labyrinthique
Qui pour leur longue fuite sera idyllique.
L'esclave produit un vif effet fanatique
Sur Lysipée, aux humeurs lunatiques.
Jalouse de ses guérisons fantastiques,
Frappant à coups de branches rustiques
Pour se défouler de pulsions frénétiques,
Ce qu'elle inflige est pur plaisir érotique.
Attachée par des liens peu élastiques
Dans des conditions vraiment drastiques
Êta se voit gratifier d'un baiser angélique.
Par sa guerrière devenue sympathique,
Qui ayant dérobé mieux qu'une bourrique
Revient chercher son trophée en tunique.
A l'abri d'une bonne distance kilométrique,
Se nourrissant par haltes épisodiques,
L'amazone à l'humeur dysharmonique,
Malmène sa proie à la beauté plastique.
Flagellée et battue à coups de triques,
La femelle n'est que jouissance orgasmique.
Corps à corps mêlés d'un amour saphique,
Dominante et dominée, deux excentriques
Copulent jusqu'à l'épuisement léthargique.
Le matin reprenant leur route sans panique
À la recherche d'une espérée halte hydrique
Pour éta, en cordes, un licou elle fabrique.
Dans la rivière, lavée d'une main épidermique
La détenue agenouillée en position oblique
Est enculée, fistée de manière classique.
Un philosophe voyant la scène réplique :
Jusqu'ici, vos exploits ont fait la chronique,
Voyons ce trésor pour lequel tu rappliques.
Anamystène, à la sagesse philosophique,
Était pour Lysippée le Maître académique.
Par une fouille approfondie et systématique,
Sur le corps de la belle sa main trafique.
Mais c'est une fellation qu'il revendique
Pour tester de la catin docilité et pratique.
La bouche jugée accueillante et peu atonique,
Pour le reste, il se réserve et pronostique
Une nature vouée aux plaisirs atypiques.
Le vieil homme formule un jugement empirique.
Du temps pour un dressage serait bénéfique
Pour la captive, à la sensualité mirobolique.
De retour chez le sage, cela s'alambique.
Un couple d'esclaves à la mine pathétique
Voit l'arrivée de l'intrus d'un air antinomique.
La femelle conduit éta au bain sans critique.
Le cul du mâle subit les assauts énergiques,
Du vieillard à la vigueur toujours priapique.
"Joui et fait jouir", une philosophie ascétique
Mais une exaltation de débauche boulimique
La verge sucée par des lèvres peu apraxiques
Le penseur jouit souvent de façon dynamique.
Les deux complices que leur jalousie implique
Méritent une punition malgré leur supplique.
Emheb reçu d’elle vingt coups en harmonique,
D'un fin roseau manié d'une ferveur héroïque.
Les enseignements du Maître sont basiques
Et ses punitions sont justes et pédagogiques.
Imposant douleur et humiliation caractéristiques.
Faire baiser les pieds d'éta était machiavélique.
Le soumis excité par ce traitement emphatique,
Ressentait excitation et pulsions antagoniques
Autorisé à pénétrer l'anus femelle, il s'en acquitte
D'une dure et profonde pénétration en réplique,
Poursuivi par de tendres va-et-vient méthodiques,
La jouissance est infirmée d'un ordre laconique.
Eta enchaînée pour une méditation psychologique,
Son sort va devenir de plus en plus catastrophique.
Sortie au jardin pour des raisons hygiéniques
Une gamelle d’eau suffira pour l’anorexique
Qui suis-je ? se demande t-elle d’un je enclitique
Appréciant néanmoins ses penchants ataviques.
Profitant du départ du Seigneur hédonistique
Les deux vils sujets devenus neurasthéniques
Vexés dans leur fond égotique et narcissique,
Pour se venger ont une vision magnifique.
L’égyptien à son tour veut la jouer didactique
D’une instruction qui sera peu dogmatique.
Dans la bouche de l’enchainée, l’air comique,
Il déverse crachats presque tous miasmatiques.
L’Assyrienne joue elle d’une autre musique,
Fustigeant d’un buisson épineux non oxalique,
Mais tout aussi mordant de pointes organiques,
Jouissant des grimaces de la rivale qui abdique.
Viols et férocités manifestes, tous horrifiques,
Ne tourmentent pas celle à la libido thermique
Qui ne réclame nullement un zèle pithiatique.
Au phénomène, pas d’explication scientifique
Juste un invisible désir Divin à dessein sadique,
Pour icelle à la destinée humaine unique.
Poursuivant leurs abus traumatiques,
La chienne à quatre pattes est conduite
Au bord d’une grande route touristique
Telle une latrine pour adultes eunurétiques
Tous l’utilisent pour un drachme symbolique
L’abreuvant contre une obole monétique.
La soumise qui était loin d’être vomitique
Se délectait des jets aux acides acétiques
Qui coulaient au creux de sa cage thoracique.
Un homme sombre a eu une vue spécifique
Menaçant et jouant du glaive, il communique
Qu’il a pris possession d’éta par tactique.
Mon Maître Vénéré, par ce poème hymnique
Votre soumise Phryné MDE Vous indique,
Que pour la suite, d'une cadence rythmique,
Elle poursuivra l'envoi de rimes méthodiques
Car elle adore Votre beau récit mythologique
Qui nous fait découvrir douze servitudes épiques.
(A suivre ..)
soumise Phryné MDE à l'esprit sublimement poétique
Que son Maître sincère remercie de façon magnifique
En lui disant un grand merci d'une pensée sympathique
Pour ce résumé de mes écrits plus D/s que mythologiques
D'une plume toujours magique,
Pour ce récit encore mythique,
Le Marquis d'Evans s'applique
À nous conter la suite logique,
Aux rebondissements chaotiques
Du destin de la belle hellénique.
La reine Hyppolitée tyrannique
Utilise les charmes diaboliques
Et les attouchements féeriques
De la belle éta, jouet lubrique,
Sur les mâles à la queue phallique
Dans une excitation spasmodique.
Êta remplie comme une barrique
Loin de pouvoir être hermétique
Laisse couler, c'est automatique,
Un liquide doré mêlé d'acide urique
Qu'elle doit lécher. Le sol, elle astique
Sous des quolibets forts caustiques.
Aphrodite a une rancœur toxique
Contre la trop Belle Hélène antique
Et se venge sur l'autre éta amnésique,
Attisant le désir très peu platonique
Et les souvenirs bien nostalgiques
De Lysipée, à la jalousie prolifique.
Sur une roue, êta, exhibée impudique,
Enchaînée par décision despotique
Est baisée par un olibos peu antalgique.
De la roulette, la reine cruelle la pique.
Tandis que dans l'immense salle publique,
Amazones, servantes, serfs forniquent.
Ne pouvant regarder la scène stoïque,
La guerrière excédée, sans panique,
Délivra d'un seul coup de hache tonique
Celle qui servait de royal plaisir ludique,
Assénant de surcroît une gifle algique,
En reniant tout respect hiérarchique.
Arrachée au dur pouvoir monarchique,
L'otage, presque comme aphasique,
Suit l'Amazone, trainée flegmatique,
A travers une porte fort diplomatique,
Pour gagner enfin la forêt labyrinthique
Qui pour leur longue fuite sera idyllique.
L'esclave produit un vif effet fanatique
Sur Lysipée, aux humeurs lunatiques.
Jalouse de ses guérisons fantastiques,
Frappant à coups de branches rustiques
Pour se défouler de pulsions frénétiques,
Ce qu'elle inflige est pur plaisir érotique.
Attachée par des liens peu élastiques
Dans des conditions vraiment drastiques
Êta se voit gratifier d'un baiser angélique.
Par sa guerrière devenue sympathique,
Qui ayant dérobé mieux qu'une bourrique
Revient chercher son trophée en tunique.
A l'abri d'une bonne distance kilométrique,
Se nourrissant par haltes épisodiques,
L'amazone à l'humeur dysharmonique,
Malmène sa proie à la beauté plastique.
Flagellée et battue à coups de triques,
La femelle n'est que jouissance orgasmique.
Corps à corps mêlés d'un amour saphique,
Dominante et dominée, deux excentriques
Copulent jusqu'à l'épuisement léthargique.
Le matin reprenant leur route sans panique
À la recherche d'une espérée halte hydrique
Pour éta, en cordes, un licou elle fabrique.
Dans la rivière, lavée d'une main épidermique
La détenue agenouillée en position oblique
Est enculée, fistée de manière classique.
Un philosophe voyant la scène réplique :
Jusqu'ici, vos exploits ont fait la chronique,
Voyons ce trésor pour lequel tu rappliques.
Anamystène, à la sagesse philosophique,
Était pour Lysippée le Maître académique.
Par une fouille approfondie et systématique,
Sur le corps de la belle sa main trafique.
Mais c'est une fellation qu'il revendique
Pour tester de la catin docilité et pratique.
La bouche jugée accueillante et peu atonique,
Pour le reste, il se réserve et pronostique
Une nature vouée aux plaisirs atypiques.
Le vieil homme formule un jugement empirique.
Du temps pour un dressage serait bénéfique
Pour la captive, à la sensualité mirobolique.
De retour chez le sage, cela s'alambique.
Un couple d'esclaves à la mine pathétique
Voit l'arrivée de l'intrus d'un air antinomique.
La femelle conduit éta au bain sans critique.
Le cul du mâle subit les assauts énergiques,
Du vieillard à la vigueur toujours priapique.
"Joui et fait jouir", une philosophie ascétique
Mais une exaltation de débauche boulimique
La verge sucée par des lèvres peu apraxiques
Le penseur jouit souvent de façon dynamique.
Les deux complices que leur jalousie implique
Méritent une punition malgré leur supplique.
Emheb reçu d’elle vingt coups en harmonique,
D'un fin roseau manié d'une ferveur héroïque.
Les enseignements du Maître sont basiques
Et ses punitions sont justes et pédagogiques.
Imposant douleur et humiliation caractéristiques.
Faire baiser les pieds d'éta était machiavélique.
Le soumis excité par ce traitement emphatique,
Ressentait excitation et pulsions antagoniques
Autorisé à pénétrer l'anus femelle, il s'en acquitte
D'une dure et profonde pénétration en réplique,
Poursuivi par de tendres va-et-vient méthodiques,
La jouissance est infirmée d'un ordre laconique.
Eta enchaînée pour une méditation psychologique,
Son sort va devenir de plus en plus catastrophique.
Sortie au jardin pour des raisons hygiéniques
Une gamelle d’eau suffira pour l’anorexique
Qui suis-je ? se demande t-elle d’un je enclitique
Appréciant néanmoins ses penchants ataviques.
Profitant du départ du Seigneur hédonistique
Les deux vils sujets devenus neurasthéniques
Vexés dans leur fond égotique et narcissique,
Pour se venger ont une vision magnifique.
L’égyptien à son tour veut la jouer didactique
D’une instruction qui sera peu dogmatique.
Dans la bouche de l’enchainée, l’air comique,
Il déverse crachats presque tous miasmatiques.
L’Assyrienne joue elle d’une autre musique,
Fustigeant d’un buisson épineux non oxalique,
Mais tout aussi mordant de pointes organiques,
Jouissant des grimaces de la rivale qui abdique.
Viols et férocités manifestes, tous horrifiques,
Ne tourmentent pas celle à la libido thermique
Qui ne réclame nullement un zèle pithiatique.
Au phénomène, pas d’explication scientifique
Juste un invisible désir Divin à dessein sadique,
Pour icelle à la destinée humaine unique.
Poursuivant leurs abus traumatiques,
La chienne à quatre pattes est conduite
Au bord d’une grande route touristique
Telle une latrine pour adultes eunurétiques
Tous l’utilisent pour un drachme symbolique
L’abreuvant contre une obole monétique.
La soumise qui était loin d’être vomitique
Se délectait des jets aux acides acétiques
Qui coulaient au creux de sa cage thoracique.
Un homme sombre a eu une vue spécifique
Menaçant et jouant du glaive, il communique
Qu’il a pris possession d’éta par tactique.
Mon Maître Vénéré, par ce poème hymnique
Votre soumise Phryné MDE Vous indique,
Que pour la suite, d'une cadence rythmique,
Elle poursuivra l'envoi de rimes méthodiques
Car elle adore Votre beau récit mythologique
Qui nous fait découvrir douze servitudes épiques.
(A suivre ..)
soumise Phryné MDE à l'esprit sublimement poétique
Que son Maître sincère remercie de façon magnifique
En lui disant un grand merci d'une pensée sympathique
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