Les 12 servitudes d'Hélène : êta sur l'île de Scyllaë
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les 12 servitudes d'Hélène : êta sur l'île de Scyllaë
Les 12 servitudes d'Hélène : êta sur l'île de Scyllaë -
Scyllaë, la Maléfique, avait pris place sur un trône étrange, formé par les corps pétrifiés de plusieurs mâles devenus de la pierre extrêmement dure comme si chacune de ces statues avaient été d’un seul bloc taillé dans la masse... Les pauvres créatures changées en pierre avaient ainsi gagné le redoutable supplice de l'immortalité immobile, pour avoir mécontenté la redoutable et gynarchique Magicienne de la Nuit... D'un geste, Celle-Ci signifia leur congé à Ses esclaves si peureux qu’ils déguerpirent précipitamment, vivant constamment dans la crainte de devenir à leur tour statues si par malheur et par mégarde, ils auraient gêné, ne serait-ce qu’un instant, la Reine. La laissant Seule en compagnie d'êta dont l'apparence était fort piteuse, couverte encore d'une épaisse couche de semence séchée des frères Amphisbène, les cheveux collés, épuisée par les terribles épreuves des Jeux d'Apollon et le manque de repos... La Magicienne Noire observait celle qui avait provoqué son courroux mais aussi sa curiosité, cherchant ce qu'il y avait chez cette femelle qui avait pu lui faire gagner le droit de devenir l'épouse du Dieu de la Beauté pour une année entière, alors qu'Elle Même, qui tenait son pouvoir de son demi-sang Divin (puisqu'Elle était La Fille de Medusa et que Son Ascendance la faisait remonter aux Divinités Primordiales) avait dans Sa jeunesse échoué à cet honneur, et cultivant depuis une haine sans bornes à la Cité Sacrée et à toutes celles qui étaient désignées, années après années, haine causée par une jalousie sans précédent.
Jusqu'à ce jour, Scyllaë s'était consolée par l'échec de toutes les prétendantes à faire jouir les monstrueux frères Amphisbène. Mais Elle aujourd'hui Elle ne décolérait pas et observait la frêle créature qui se tenait devant Elle... Piteuse certes, mais de cette femelle sans mémoire émanait une sorte d'aura. Scyllaë n'aurait pu dire quoi, mais de ce corps, dont Elle appréciait les formes absolument parfaites, venait une sorte de lumière, une force qui échappait à l'observateur distrait, mais qui frappait La Magicienne. Cette fille, êta, n'était pas une simple femelle, mais alors qui était-elle !?
- Ainsi, commença La Magicienne intriguée, tu as su faire jouir ces stupides géants lesquelles je leur avais affublé pour chacun deux une double verge dès leur naissance... Je ne puis que t'en féliciter, car jamais, oui... Nulle femelle avant toi ne pouvait s'en vanter. Ces viles créatures mâles étaient impossibles à faire éjaculer ! Je les avais créées ainsi et pourtant... J'avoue que tu m'impressionnes sale chienne… Tu m'as défiée et ce n'est jamais bon, pour quelque créature que ce soit. Les mâles finissent en meubles de pierre, tels ceux sur lesquels je me tiens assise, ou en décoration dans Mes jardins ou dans Ma Cité… Les femelles, quant à elles, subissent mille supplices pervers dans Mes cachots et servent de vide-couilles à Mes gardes… Mais toi... Toi je te réserve une autre forme de destin… Je vais te livrer à l'une de Mes créatures, ha ! ha ! ha !... si tu me prouves que tes dons sont aussi exceptionnels qu'on me le rapporte, alors tu seras libre… Sinon... sinon tu seras à jamais enchaînée dans mon plus sombre cachot où tu seras la putain de tous les mâles de cette île… Te baiser sera la récompense que j'accorderai à Mes esclaves, à Mes gardes, à Mes visiteurs... chaque jour, chaque nuit, sans aucun répit, tu seras baisée, enculée et baisée encore et encore, éternellement !... Mais tu as encore une chance … une chance improbable... Qui sait... Enfin n’espère pas trop car nulle n’a survécu à Ma créature laquelle tu vas avoir à faire … Ha ! ha ! ha !... s’exclama Scyllaë avec un rire démoniaque.
Sans un mot de plus, Scyllaë claqua dans ses mains. Un instant plus tard, La Magicienne avait pris place sur un siège à porteurs, soutenu par six robustes esclaves mâles nus à la verge encagée, courbés et silencieux. Et êta suivait, docile mais attentive. Il fallut traverser d'immenses jardins verdoyants où travaillaient sans relâche des esclaves, motivés par la volonté d'échapper au destin de leurs semblables moins dociles qui décoraient désormais ces mêmes jardins sous la forme de statues aux positions figées les plus diverses, selon le moment et la raison pour laquelle ils s'étaient attiré l'ire de Leur Maîtresse... Au-delà de ces jardins, une large grotte s'ouvrait sur le flanc même d'une haute colline. C'est là qu'il fallut entrer, puis suivre un couloir qui, au fil des minutes devenait boyau par lequel parvenait tout juste à passer le siège et les porteurs de Scyllaë. Il fallait cependant prendre garde à ce que le siège et La Magicienne ne ressentent en rien les aléas du déplacement, car dans le cas contraire, la cruelle morsure d'un fouet aux lanières plombées marquait sans pitié les corps serviles... Il fallut ainsi descendre jusqu'aux entrailles de la terre, sans doute êta n'avait-elle été aussi proche du Domaine d'Hadès !
Enfin, le petit cortège fit halte. Des torches furent allumées, dévoilant une grotte un peu plus large où une masse informe était posée dans un coin, visiblement enchaînée à la paroi par une lourde chaîne... Scyllaë claque dans Ses mains et la masse informe prit vie... C'était un homme, nu, qui dès qu'il se redressait ne pouvait dissimuler l'énorme verge dressée... L'homme se tenait maintenant presque debout, mais courbé comme devant lutter pour ne pas être entraîné vers le sol par le poids de son énorme sexe et de ses testicules aux dimensions tout aussi démesurées. La pauvre créature mâle tremblait et provoqua le rire de La Maléfique Magicienne qui s'adressa à êta :
- Regarde-le ! Voici Priapus, poète et jardinier en son temps. Lorsque j'ai jeté mon dévolu sur cette île, il y vivait et a voulu m'en refuser l'accès. Il organisait ici des orgies pour lesquelles il faisait enlever de jeunes femmes qu'il livrait à ses amis... Des amis qui décorent désormais quelques allées de Mes jardins. Quant à lui, il croyait que son ascendance divine le protégerait !! (Scyallë éclata à nouveau d’un rire Dominant) Il n'en a bien sûr rien été… J'ai jeté sur lui un intéressant maléfice, au lieu de le pétrifier totalement, je l'ai puni par là où il avait fauté... Uniquement ses couilles et sa verge sont en pierre, et donc sans avoir transformé aucunes autres parties de son corps ! Oui j'en ai fait de la pierre, il ne débande donc jamais et il ne peut pas jouir... contrairement aux frères Amphisbène… mais il bande en permanence et ne peut jamais être satisfait ! Regarde son énorme gland devenu d’un gris pierreux… Je sais que seul dans le noir, il ne cesse de se masturber, en pure perte ! il ne frotte qu’un dur caillou étiré ! … Ha ! ha ! ha !...
La Magicienne Noire s’arrêta de parler, toisa la réaction d’êta qui ne bougeait pas. Scyllaë reprit :
- Voici ton défi, femelle ! Puisque tu t'es comportée comme une chienne en chaleur que tu as pu faire jouir les frères Amphisbène, voici une épreuve à ta hauteur... Fait jouir Priapus et tu seras libre, j’en fais le serment de te relâcher... Sinon, tu seras enchaînée à ses côtés pour l'éternité... et servira de putain à Mes gardes… Ha ! ha ! ha !... Je te demande donc l’impossible … Ha ! ha ! ha !...
Scyllaë et ses esclaves étaient partis, la Magicienne ne rajouta rien avant de quitter les lieux et son orgueil suivit le cortège… êta demeurait seule en compagnie de Priapus qui n'était même plus capable de composer le moindre mot... Il ne cessait d'agiter ses mains autour de son sexe de pierre, regardant êta avec une lueur animale et lubrique dans les yeux... Consciente de la terrible épreuve qui lui était imposée, êta s'avança vers lui et le poussa sur le sol. Le poids, lourd, de son appareil génital le fit tomber net, sans qu’il puisse se retenir. êta s'asseyant sur lui et le chevauchant en s'empalant sans plus de manières ni de préliminaires sur sa verge de pierre. D’abord surprit de la rapidité de la belle à venir le chevaucher sans préambule, Pirapus était comme saisi d'une folle frénésie... Il s'agitait sous êta, tentant de se libérer pour une fois, enfin ! Après tant d'années il espérait pouvoir enfin soulager cette érection permanente, cette excitation éternelle qui l'habitait... Ainsi, retrouvant des forces qu'il pensait avoir à jamais perdues, il réussit à emmener le poids de ses couilles en avant pour renverser la jeune femme qui sentait encore la semence dont son corps était recouvert... Il la pénétra, la posséda, ne négligeant aucun des orifices qu'elle lui offrait d'ailleurs avec enthousiasme, car instinctivement son côté lubrique refit vite surface. êta découvrait à quel point les épreuves multiples qu'elle avait affronté depuis son réveil sur la plage l'avait ‘’ouverte’’... si ce mot avait encore un sens ici, tandis que l’homme au sexe de pierre s'agitait frénétiquement sur elle et en elle…
La pensée de ce mot la fit sourire sans pour autant la déconcentrer dans son désir de faire jouir l'homme, même si elle espérait cela, elle se rendait bien compte que cela relevait de l’impossible à réaliser, alors perdu pour perdu, elle se donna à fond pour prendre au moins un maximum de plaisirs sexuels... Malgré les heures et les heures durant lesquelles elle avait tant subi les assauts virils des frères Amphisbène lors des Jeux d'Apollon, elle ressentait donc encore en elle le désir d'une nouvelle étreinte. Elle ressentait du plaisir à être ainsi labourée par cette verge de roc démesurée et plus dure qu'aucune qu'elle ait reçu avant ! Cela dura des heures encore. Priapus était infatigable, la malédiction qui le frappait faisait de lui une verge ambulante, il ne vivait que pour tenter d'assouvir ce désir qui le submergeait, le rendait fou et qu'il ne pourrait jamais, oui jamais assouvir ! … êta jouit maintes et maintes fois. Sans aucun mot, juste parfois avec des regards de reconnaissance, la jeune esclave blonde et l'homme à la verge de pierre s'étaient lancés dans une étreinte aussi démesurée que les conditions dans lesquelles ils se trouvaient. Ils ne pratiquaient pas le sexe, ils "étaient" le sexe, deux sexes qui ne se détachaient plus. Elle ouverte, béante, et lui allant et venant en elle, passant d'un orifice à l'autre, sans jamais un instant de repos. Combien dura cette frénésie ? Nul ne put jamais répondre à cette question. Le frottement permanent de la verge de pierre avait tant échauffé les chairs intimes et trempées d'êta, qu'un simple mouvement suffisait à la faire gémir, puis jouir et jouir encore et encore... et Priapus ne cessait jamais d'aller et venir en elle tel un automate réalisant toujours le même mouvement de vas et vient à l’infini dans son vagin, dans son cul, dans sa bouche...
Il ne prenait jamais de pause et êta, sans espoir d’y arriver, faisait tout pour tenter de le satisfaire. Mais la cruelle malédiction de La Magicienne Scyllaë était implacable. La Magicienne ne ratait rien de cet incroyable spectacle, car une ouverture aux lourds barreaux en haut de la grotte Lui permettait de voir, tout ce qui se passait dans la grotte où Elle avait enchaîné Priapus. La cruelle Magicienne se réjouissait de voir ainsi êta épuiser ses dernières forces pour tenter d'obtenir la jouissance de l'homme dont elle avait rendu tout éjaculation impossible... êta n'en pouvait plus. Tout son corps n'était plus que tension et le moindre souffle sur sa peau suscitait en elle les vibrations d'une jouissance qu'elle ne contrôlait plus. Désespérée, la belle esclave blonde avait donc pour la première fois peur d'échouer, car toujours sans espoir de le voir éjaculer. Le défi que lui avait lancé La Magicienne ne pouvait être relevé. Elle qui avait affronté tant d'épreuves, comblé tant de désirs, satisfait tant de créatures, suscité tant de convoitises, elle sombrait peu à peu dans une sorte de lascive torpeur. Couchée sur le dos, ouvrant largement ses cuisses, le sexe béant et dégoulinant, elle s'offrait aux assauts insatiables, interminables du prisonnier et de sa verge minérale... Chose incroyable, ils n'avaient eu ni faim, ni soif et pourtant, êta était convaincue que cela faisait plusieurs jours qu'il la baisait sans trêve !
Elle allait capituler, implorer Scyllaë de lui accorder un peu de repos, puis se soumettrait à sa cruelle geôlière et accepterait ce destin d'éternelle putain qu'Elle lui réservait, quand elle se mit à supplier, à prier dans ses pensées : "Oh Divinités de l'Olympe, mettez fin à mon sacrifice, je vous en supplie" se disait-elle sans relâche dans sa tête, tout en étant encore puissamment secouée par les vas-et-viens de Priapus qui s'acharnait toujours sur elle... "Zeus, Apollon, Oh Dieux de l'Olympe, par pitié pour Votre humble servante, mettez fin à cette inextricable situation" priait-elle sans le moindre espoir d'être entendue. Jamais elle avait prié ainsi, jamais, seule cette incroyable situation lui fit dire ces mots de supplication… elle restait persuadée que cela serait en vain…
Mais êta ignorait tant de choses sur elle-même. En particulier qu'elle n'était autre que La Belle Hélène, qui avait provoqué la plus grande guerre de son temps et qui était devenue êta par la volonté de ces Dieux qui se jouait si souvent et si cruellement des humains... Alors le miracle se produisit… Pour une fois, Apollon l'entendit. Cette sublime créature Lui était promise, il ne saurait souffrir de la voir ainsi condamnée à l'obscurité par la pure jalousie de Scyllaë. Par jeu oui simplement pour s’amuser à contrarier Scyllaë qu’il ne portait pas dans son coeur, Apollon décida donc que les prières d'êta méritaient Sa Divine Ecoute… Alors Il y eut soudain un énorme rugissement, un cri inhumain. Oui soudain, Priapus se retira d'êta, se redressa et hurla ! Scyllaë qui espionnait encore une fois le couple sursauta et êta demeura immobile... Soudain, la verge de pierre de Priapus se mit à palpiter, la masse pierreuse qui faisait office de gland se craquela brusquement et un flot de semence s'en échappa fortement en jets qu’on aurait cru sortir d’un tuyau d’arrosage ! C'était toute la verge et les couilles de pierre qui se craquelaient... se fissuraient... et sous le regard des trois protagonistes incrédules, Priapus se mit à jouir encore et encore sans pouvoir s’interrompre, ne maîtrisant point cette éjaculation hors norme et des quantités incalculables de sperme jaillissaient à n’en plus finir. Au bout de longues minutes sans interruption à éjaculer, la source se tarie enfin, les couilles redevenues de chairs et longues à se vider devenaient plus petites pour qu’enfin plus rien ne sortent de la bite devenue également petite et molle… Quand tout d’un coup, telle avait été la décision d’Apollon, les couilles de l’homme et son sexe se transforment en… sable ! et se répandent sur le corps inerte d'êta. Aux longs cris de jouissance que venait de laisser échapper le prisonnier répondit soudain un autre cri, rauque, hystérique...
Scyllaë voyait sa vengeance lui échapper. Contre l'impensable, l'impossible, êta venait de faire jouir Priapus ! La Magicienne était folle de rage et les esclaves qui portaient son trône en firent les frais, se voyant transformés en autant de statues de pierre. Priapus venait de s'écrouler sur le sol, sanglotant, devenu comme castré... Tandis que êta se relevait lentement, le cul et le sexe en feu après tant d'heures et de jours à être en permanence pénétrée... Elle parvenait tout juste à marcher, mais elle marchait vers la sortie de la grotte, vers l'air libre, vers le ciel bleu, vers la liberté de quitter cette île maudite...
(A suivre…)
Scyllaë, la Maléfique, avait pris place sur un trône étrange, formé par les corps pétrifiés de plusieurs mâles devenus de la pierre extrêmement dure comme si chacune de ces statues avaient été d’un seul bloc taillé dans la masse... Les pauvres créatures changées en pierre avaient ainsi gagné le redoutable supplice de l'immortalité immobile, pour avoir mécontenté la redoutable et gynarchique Magicienne de la Nuit... D'un geste, Celle-Ci signifia leur congé à Ses esclaves si peureux qu’ils déguerpirent précipitamment, vivant constamment dans la crainte de devenir à leur tour statues si par malheur et par mégarde, ils auraient gêné, ne serait-ce qu’un instant, la Reine. La laissant Seule en compagnie d'êta dont l'apparence était fort piteuse, couverte encore d'une épaisse couche de semence séchée des frères Amphisbène, les cheveux collés, épuisée par les terribles épreuves des Jeux d'Apollon et le manque de repos... La Magicienne Noire observait celle qui avait provoqué son courroux mais aussi sa curiosité, cherchant ce qu'il y avait chez cette femelle qui avait pu lui faire gagner le droit de devenir l'épouse du Dieu de la Beauté pour une année entière, alors qu'Elle Même, qui tenait son pouvoir de son demi-sang Divin (puisqu'Elle était La Fille de Medusa et que Son Ascendance la faisait remonter aux Divinités Primordiales) avait dans Sa jeunesse échoué à cet honneur, et cultivant depuis une haine sans bornes à la Cité Sacrée et à toutes celles qui étaient désignées, années après années, haine causée par une jalousie sans précédent.
Jusqu'à ce jour, Scyllaë s'était consolée par l'échec de toutes les prétendantes à faire jouir les monstrueux frères Amphisbène. Mais Elle aujourd'hui Elle ne décolérait pas et observait la frêle créature qui se tenait devant Elle... Piteuse certes, mais de cette femelle sans mémoire émanait une sorte d'aura. Scyllaë n'aurait pu dire quoi, mais de ce corps, dont Elle appréciait les formes absolument parfaites, venait une sorte de lumière, une force qui échappait à l'observateur distrait, mais qui frappait La Magicienne. Cette fille, êta, n'était pas une simple femelle, mais alors qui était-elle !?
- Ainsi, commença La Magicienne intriguée, tu as su faire jouir ces stupides géants lesquelles je leur avais affublé pour chacun deux une double verge dès leur naissance... Je ne puis que t'en féliciter, car jamais, oui... Nulle femelle avant toi ne pouvait s'en vanter. Ces viles créatures mâles étaient impossibles à faire éjaculer ! Je les avais créées ainsi et pourtant... J'avoue que tu m'impressionnes sale chienne… Tu m'as défiée et ce n'est jamais bon, pour quelque créature que ce soit. Les mâles finissent en meubles de pierre, tels ceux sur lesquels je me tiens assise, ou en décoration dans Mes jardins ou dans Ma Cité… Les femelles, quant à elles, subissent mille supplices pervers dans Mes cachots et servent de vide-couilles à Mes gardes… Mais toi... Toi je te réserve une autre forme de destin… Je vais te livrer à l'une de Mes créatures, ha ! ha ! ha !... si tu me prouves que tes dons sont aussi exceptionnels qu'on me le rapporte, alors tu seras libre… Sinon... sinon tu seras à jamais enchaînée dans mon plus sombre cachot où tu seras la putain de tous les mâles de cette île… Te baiser sera la récompense que j'accorderai à Mes esclaves, à Mes gardes, à Mes visiteurs... chaque jour, chaque nuit, sans aucun répit, tu seras baisée, enculée et baisée encore et encore, éternellement !... Mais tu as encore une chance … une chance improbable... Qui sait... Enfin n’espère pas trop car nulle n’a survécu à Ma créature laquelle tu vas avoir à faire … Ha ! ha ! ha !... s’exclama Scyllaë avec un rire démoniaque.
Sans un mot de plus, Scyllaë claqua dans ses mains. Un instant plus tard, La Magicienne avait pris place sur un siège à porteurs, soutenu par six robustes esclaves mâles nus à la verge encagée, courbés et silencieux. Et êta suivait, docile mais attentive. Il fallut traverser d'immenses jardins verdoyants où travaillaient sans relâche des esclaves, motivés par la volonté d'échapper au destin de leurs semblables moins dociles qui décoraient désormais ces mêmes jardins sous la forme de statues aux positions figées les plus diverses, selon le moment et la raison pour laquelle ils s'étaient attiré l'ire de Leur Maîtresse... Au-delà de ces jardins, une large grotte s'ouvrait sur le flanc même d'une haute colline. C'est là qu'il fallut entrer, puis suivre un couloir qui, au fil des minutes devenait boyau par lequel parvenait tout juste à passer le siège et les porteurs de Scyllaë. Il fallait cependant prendre garde à ce que le siège et La Magicienne ne ressentent en rien les aléas du déplacement, car dans le cas contraire, la cruelle morsure d'un fouet aux lanières plombées marquait sans pitié les corps serviles... Il fallut ainsi descendre jusqu'aux entrailles de la terre, sans doute êta n'avait-elle été aussi proche du Domaine d'Hadès !
Enfin, le petit cortège fit halte. Des torches furent allumées, dévoilant une grotte un peu plus large où une masse informe était posée dans un coin, visiblement enchaînée à la paroi par une lourde chaîne... Scyllaë claque dans Ses mains et la masse informe prit vie... C'était un homme, nu, qui dès qu'il se redressait ne pouvait dissimuler l'énorme verge dressée... L'homme se tenait maintenant presque debout, mais courbé comme devant lutter pour ne pas être entraîné vers le sol par le poids de son énorme sexe et de ses testicules aux dimensions tout aussi démesurées. La pauvre créature mâle tremblait et provoqua le rire de La Maléfique Magicienne qui s'adressa à êta :
- Regarde-le ! Voici Priapus, poète et jardinier en son temps. Lorsque j'ai jeté mon dévolu sur cette île, il y vivait et a voulu m'en refuser l'accès. Il organisait ici des orgies pour lesquelles il faisait enlever de jeunes femmes qu'il livrait à ses amis... Des amis qui décorent désormais quelques allées de Mes jardins. Quant à lui, il croyait que son ascendance divine le protégerait !! (Scyallë éclata à nouveau d’un rire Dominant) Il n'en a bien sûr rien été… J'ai jeté sur lui un intéressant maléfice, au lieu de le pétrifier totalement, je l'ai puni par là où il avait fauté... Uniquement ses couilles et sa verge sont en pierre, et donc sans avoir transformé aucunes autres parties de son corps ! Oui j'en ai fait de la pierre, il ne débande donc jamais et il ne peut pas jouir... contrairement aux frères Amphisbène… mais il bande en permanence et ne peut jamais être satisfait ! Regarde son énorme gland devenu d’un gris pierreux… Je sais que seul dans le noir, il ne cesse de se masturber, en pure perte ! il ne frotte qu’un dur caillou étiré ! … Ha ! ha ! ha !...
La Magicienne Noire s’arrêta de parler, toisa la réaction d’êta qui ne bougeait pas. Scyllaë reprit :
- Voici ton défi, femelle ! Puisque tu t'es comportée comme une chienne en chaleur que tu as pu faire jouir les frères Amphisbène, voici une épreuve à ta hauteur... Fait jouir Priapus et tu seras libre, j’en fais le serment de te relâcher... Sinon, tu seras enchaînée à ses côtés pour l'éternité... et servira de putain à Mes gardes… Ha ! ha ! ha !... Je te demande donc l’impossible … Ha ! ha ! ha !...
Scyllaë et ses esclaves étaient partis, la Magicienne ne rajouta rien avant de quitter les lieux et son orgueil suivit le cortège… êta demeurait seule en compagnie de Priapus qui n'était même plus capable de composer le moindre mot... Il ne cessait d'agiter ses mains autour de son sexe de pierre, regardant êta avec une lueur animale et lubrique dans les yeux... Consciente de la terrible épreuve qui lui était imposée, êta s'avança vers lui et le poussa sur le sol. Le poids, lourd, de son appareil génital le fit tomber net, sans qu’il puisse se retenir. êta s'asseyant sur lui et le chevauchant en s'empalant sans plus de manières ni de préliminaires sur sa verge de pierre. D’abord surprit de la rapidité de la belle à venir le chevaucher sans préambule, Pirapus était comme saisi d'une folle frénésie... Il s'agitait sous êta, tentant de se libérer pour une fois, enfin ! Après tant d'années il espérait pouvoir enfin soulager cette érection permanente, cette excitation éternelle qui l'habitait... Ainsi, retrouvant des forces qu'il pensait avoir à jamais perdues, il réussit à emmener le poids de ses couilles en avant pour renverser la jeune femme qui sentait encore la semence dont son corps était recouvert... Il la pénétra, la posséda, ne négligeant aucun des orifices qu'elle lui offrait d'ailleurs avec enthousiasme, car instinctivement son côté lubrique refit vite surface. êta découvrait à quel point les épreuves multiples qu'elle avait affronté depuis son réveil sur la plage l'avait ‘’ouverte’’... si ce mot avait encore un sens ici, tandis que l’homme au sexe de pierre s'agitait frénétiquement sur elle et en elle…
La pensée de ce mot la fit sourire sans pour autant la déconcentrer dans son désir de faire jouir l'homme, même si elle espérait cela, elle se rendait bien compte que cela relevait de l’impossible à réaliser, alors perdu pour perdu, elle se donna à fond pour prendre au moins un maximum de plaisirs sexuels... Malgré les heures et les heures durant lesquelles elle avait tant subi les assauts virils des frères Amphisbène lors des Jeux d'Apollon, elle ressentait donc encore en elle le désir d'une nouvelle étreinte. Elle ressentait du plaisir à être ainsi labourée par cette verge de roc démesurée et plus dure qu'aucune qu'elle ait reçu avant ! Cela dura des heures encore. Priapus était infatigable, la malédiction qui le frappait faisait de lui une verge ambulante, il ne vivait que pour tenter d'assouvir ce désir qui le submergeait, le rendait fou et qu'il ne pourrait jamais, oui jamais assouvir ! … êta jouit maintes et maintes fois. Sans aucun mot, juste parfois avec des regards de reconnaissance, la jeune esclave blonde et l'homme à la verge de pierre s'étaient lancés dans une étreinte aussi démesurée que les conditions dans lesquelles ils se trouvaient. Ils ne pratiquaient pas le sexe, ils "étaient" le sexe, deux sexes qui ne se détachaient plus. Elle ouverte, béante, et lui allant et venant en elle, passant d'un orifice à l'autre, sans jamais un instant de repos. Combien dura cette frénésie ? Nul ne put jamais répondre à cette question. Le frottement permanent de la verge de pierre avait tant échauffé les chairs intimes et trempées d'êta, qu'un simple mouvement suffisait à la faire gémir, puis jouir et jouir encore et encore... et Priapus ne cessait jamais d'aller et venir en elle tel un automate réalisant toujours le même mouvement de vas et vient à l’infini dans son vagin, dans son cul, dans sa bouche...
Il ne prenait jamais de pause et êta, sans espoir d’y arriver, faisait tout pour tenter de le satisfaire. Mais la cruelle malédiction de La Magicienne Scyllaë était implacable. La Magicienne ne ratait rien de cet incroyable spectacle, car une ouverture aux lourds barreaux en haut de la grotte Lui permettait de voir, tout ce qui se passait dans la grotte où Elle avait enchaîné Priapus. La cruelle Magicienne se réjouissait de voir ainsi êta épuiser ses dernières forces pour tenter d'obtenir la jouissance de l'homme dont elle avait rendu tout éjaculation impossible... êta n'en pouvait plus. Tout son corps n'était plus que tension et le moindre souffle sur sa peau suscitait en elle les vibrations d'une jouissance qu'elle ne contrôlait plus. Désespérée, la belle esclave blonde avait donc pour la première fois peur d'échouer, car toujours sans espoir de le voir éjaculer. Le défi que lui avait lancé La Magicienne ne pouvait être relevé. Elle qui avait affronté tant d'épreuves, comblé tant de désirs, satisfait tant de créatures, suscité tant de convoitises, elle sombrait peu à peu dans une sorte de lascive torpeur. Couchée sur le dos, ouvrant largement ses cuisses, le sexe béant et dégoulinant, elle s'offrait aux assauts insatiables, interminables du prisonnier et de sa verge minérale... Chose incroyable, ils n'avaient eu ni faim, ni soif et pourtant, êta était convaincue que cela faisait plusieurs jours qu'il la baisait sans trêve !
Elle allait capituler, implorer Scyllaë de lui accorder un peu de repos, puis se soumettrait à sa cruelle geôlière et accepterait ce destin d'éternelle putain qu'Elle lui réservait, quand elle se mit à supplier, à prier dans ses pensées : "Oh Divinités de l'Olympe, mettez fin à mon sacrifice, je vous en supplie" se disait-elle sans relâche dans sa tête, tout en étant encore puissamment secouée par les vas-et-viens de Priapus qui s'acharnait toujours sur elle... "Zeus, Apollon, Oh Dieux de l'Olympe, par pitié pour Votre humble servante, mettez fin à cette inextricable situation" priait-elle sans le moindre espoir d'être entendue. Jamais elle avait prié ainsi, jamais, seule cette incroyable situation lui fit dire ces mots de supplication… elle restait persuadée que cela serait en vain…
Mais êta ignorait tant de choses sur elle-même. En particulier qu'elle n'était autre que La Belle Hélène, qui avait provoqué la plus grande guerre de son temps et qui était devenue êta par la volonté de ces Dieux qui se jouait si souvent et si cruellement des humains... Alors le miracle se produisit… Pour une fois, Apollon l'entendit. Cette sublime créature Lui était promise, il ne saurait souffrir de la voir ainsi condamnée à l'obscurité par la pure jalousie de Scyllaë. Par jeu oui simplement pour s’amuser à contrarier Scyllaë qu’il ne portait pas dans son coeur, Apollon décida donc que les prières d'êta méritaient Sa Divine Ecoute… Alors Il y eut soudain un énorme rugissement, un cri inhumain. Oui soudain, Priapus se retira d'êta, se redressa et hurla ! Scyllaë qui espionnait encore une fois le couple sursauta et êta demeura immobile... Soudain, la verge de pierre de Priapus se mit à palpiter, la masse pierreuse qui faisait office de gland se craquela brusquement et un flot de semence s'en échappa fortement en jets qu’on aurait cru sortir d’un tuyau d’arrosage ! C'était toute la verge et les couilles de pierre qui se craquelaient... se fissuraient... et sous le regard des trois protagonistes incrédules, Priapus se mit à jouir encore et encore sans pouvoir s’interrompre, ne maîtrisant point cette éjaculation hors norme et des quantités incalculables de sperme jaillissaient à n’en plus finir. Au bout de longues minutes sans interruption à éjaculer, la source se tarie enfin, les couilles redevenues de chairs et longues à se vider devenaient plus petites pour qu’enfin plus rien ne sortent de la bite devenue également petite et molle… Quand tout d’un coup, telle avait été la décision d’Apollon, les couilles de l’homme et son sexe se transforment en… sable ! et se répandent sur le corps inerte d'êta. Aux longs cris de jouissance que venait de laisser échapper le prisonnier répondit soudain un autre cri, rauque, hystérique...
Scyllaë voyait sa vengeance lui échapper. Contre l'impensable, l'impossible, êta venait de faire jouir Priapus ! La Magicienne était folle de rage et les esclaves qui portaient son trône en firent les frais, se voyant transformés en autant de statues de pierre. Priapus venait de s'écrouler sur le sol, sanglotant, devenu comme castré... Tandis que êta se relevait lentement, le cul et le sexe en feu après tant d'heures et de jours à être en permanence pénétrée... Elle parvenait tout juste à marcher, mais elle marchait vers la sortie de la grotte, vers l'air libre, vers le ciel bleu, vers la liberté de quitter cette île maudite...
(A suivre…)
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