Les amis de mes parents -partie 2-
Récit érotique écrit par Maxlife [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-10-2007 dans la catégorie Pour la première fois
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Les amis de mes parents -partie 2-
Après m’être fait une bonne partie de baise avec Jocelyne, j’allais réveiller sa fille.
M : Adeline tu dors.
A : humm
Je commençais à la caresser partout, à l’embrasser sur les fesses, les jambes, pour finir par sa chatte.
Elle écarta en grand ses jambes et se laissait aller au plaisir du réveil. Je lui titillais le clito, lui mordillais ses lèvres humides.
Puis je me lançai pour la deuxième fois de ma journée en lui glissant tout bas à l’oreille :
M : J’ai envie de te prendre.
A : Hum mm je t’attend depuis longtemps.
M : je te veux Adeline.
Elle me fit un large sourire et posa sa main sur ma queue et commença à me branler.
A : T’as une capote ?
M : Oui met la moi s’il te plaît.
Elle mis la capote sur mon dard et me dit de m’allonger sur elle. Elle croyait me guider mais je n’avais plus à apprendre après ce que je venais de faire avec sa mère.
Ma queue sentait la chatte de Jocelyne et j’allais maintenant pilonner sa fille Adeline.
Cependant, alors que je frottais mon sexe sur la fente d’Adeline, je ne parvenais pas à m’insérer. Elle me pris alors la queue et la dirigea vers son minuscule trou, rien à voir avec sa mère. Je commençais donc doucement à forcer cette entrée pour crever l’hymen.
C’est fait, Adeline cri vraiment fort, j’ai peur de lui faire mal mais elle semble adorer alors j’accélère le mouvement de bassin.
Heureusement que son père n’est pas là et que sa mère est au courant car ses cris sont vraiment fort.
Le lit grince en plus, bonjour la discrétion. Je me concentre à fond sur le plaisir d’Adeline, j’entre, je sort ma bite, je l’enfoui jusqu'à la garde, comme m’a appris sa mère peu avant. Je la pilonne de façon très rythmée, sa mouille m’inonde la queue.
Elle est aux anges, je lui dis que je vais venir, d’un mouvement elle se met à genoux pour me pomper comme d’habitude.
aaahhhhh je lui lâche tout dans la bouche c’est trop bon, elle continue de me pomper un peu puis se couche à mes cotés.
A : Tu as vraiment été très bien mon chéri, je t’aime.
M : moi aussi je t’aime tu sais.
Je pensais encore à sa mère que j’avais pistonnée avant, en une matinée, j’ai pistonné une femme d’expérience et une pucelle, pas mal pour une première !
M : Adeline tu dors.
A : humm
Je commençais à la caresser partout, à l’embrasser sur les fesses, les jambes, pour finir par sa chatte.
Elle écarta en grand ses jambes et se laissait aller au plaisir du réveil. Je lui titillais le clito, lui mordillais ses lèvres humides.
Puis je me lançai pour la deuxième fois de ma journée en lui glissant tout bas à l’oreille :
M : J’ai envie de te prendre.
A : Hum mm je t’attend depuis longtemps.
M : je te veux Adeline.
Elle me fit un large sourire et posa sa main sur ma queue et commença à me branler.
A : T’as une capote ?
M : Oui met la moi s’il te plaît.
Elle mis la capote sur mon dard et me dit de m’allonger sur elle. Elle croyait me guider mais je n’avais plus à apprendre après ce que je venais de faire avec sa mère.
Ma queue sentait la chatte de Jocelyne et j’allais maintenant pilonner sa fille Adeline.
Cependant, alors que je frottais mon sexe sur la fente d’Adeline, je ne parvenais pas à m’insérer. Elle me pris alors la queue et la dirigea vers son minuscule trou, rien à voir avec sa mère. Je commençais donc doucement à forcer cette entrée pour crever l’hymen.
C’est fait, Adeline cri vraiment fort, j’ai peur de lui faire mal mais elle semble adorer alors j’accélère le mouvement de bassin.
Heureusement que son père n’est pas là et que sa mère est au courant car ses cris sont vraiment fort.
Le lit grince en plus, bonjour la discrétion. Je me concentre à fond sur le plaisir d’Adeline, j’entre, je sort ma bite, je l’enfoui jusqu'à la garde, comme m’a appris sa mère peu avant. Je la pilonne de façon très rythmée, sa mouille m’inonde la queue.
Elle est aux anges, je lui dis que je vais venir, d’un mouvement elle se met à genoux pour me pomper comme d’habitude.
aaahhhhh je lui lâche tout dans la bouche c’est trop bon, elle continue de me pomper un peu puis se couche à mes cotés.
A : Tu as vraiment été très bien mon chéri, je t’aime.
M : moi aussi je t’aime tu sais.
Je pensais encore à sa mère que j’avais pistonnée avant, en une matinée, j’ai pistonné une femme d’expérience et une pucelle, pas mal pour une première !
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