Les amis de mes parents -partie 3-
Récit érotique écrit par Maxlife [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les amis de mes parents -partie 3-
Après nos ébats de samedi matin, tout semblait s’être calmé dans la maison, peut être aussi parce que Jean était revenu et que Adeline partait à une compétition de gymnastique le dimanche. Je ne pouvais l’accompagner car j’avais une tonne de travail à rattraper pour le lundi.
On est donc dimanche, il doit être 14h, après déjeuner, tout le monde est parti à ses occupations, Jean regarde le GP de formule 1 (il en est fan), Jocelyne est partie bronzer sur son transat au fond du jardin, Adeline à la gym, et moi au travail.
Le GP est à peine lancé que mon travail me saoule vraiment, je ne pense qu’au sexe.
Je sors donc un instant pour aller voir Jocelyne en espérant que celle-ci pourrait me calmer le gland.
Lorsque j’arrive au fond du jardin, je la vois en string ficelle allongée sur le dos. Son string est vraiment petit car on distingue les lèvres de sa chatte dépassant un peu de chaque coté.
Son corps est vraiment bien bronzé.
A peine arrivé je me jette sur son cul et fourre mon nez dans son entre jambe. Elle se redressa sèchement.
J : Eh calme toi Maxime, qu’est ce qu’il te prend ?
M : Je veux une autre leçon de sexe !
J : Non pas aujourd’hui, Jean est à la maison.
M : Il regarde la F1, y en a pour deux heures de course on a le temps, et puis on est caché ici.
J : Arrête tes bêtises, va plutôt me chercher mon huile corporelle dans ma chambre.
Je repartais donc bredouille avec une envie grandissante.
Une fois dans sa chambre, je pris le lait corporel, mais aussi et surtout, je suis tombé par hasard sur son lubrifiant intime.
Vu la taille de sa chatte, j’imagine que cela ne pouvait être que destiné à des sodomies. Excité comme une puce je décide de lui ramener les deux.
Arrivé à son transat, je lui présente le lait corporel et je cache le lubrifiant sous le siège.
J : Merci t’es gentil mon chou, étale le moi sur le dos tu veux !
M : Bien
Je commençais donc à malaxer cette peau de femme avec un lait sensuel, elle brillait, je m’attardais longuement sur ses fesses bien galbées, j’étais trop bandé encore, je lui embrassais le cul, lui tirais légèrement le string pour lui exciter la chatte.
Quand elle vit que cela me donnait trop d’émoi elle se retourna et me dit de la masser devant.
Je m’exécuta avec mes mains biens huilées commençais à caresser ses seins, de belles grosses ogives avec de gros tétons, puis le ventre, puis les jambes.
Elle était là les yeux fermés en train de profiter du plaisir de ces jeunes mains, et moi je ne pouvais pas me soulager.
Lorsque je vis des frissons sur ses cuisses, je me suis dit qu’elle n’était pas restée indifférente à mon massage.
Je lui dis alors de se remettre sur le ventre pour que je puisse finir, ce qu’elle fit.
Je sorti le lubrifiant anal, m’en enduisit les mains et commença un massage plus poussé des parties intimes. Avec mes mains je lui massais le cul, la chatte, elle était vraiment très excitée.
Je me suis mis à poil, m’enduisit la bite et commença à lui titiller la rondelle. Elle compris vite ce que je voulais, mais prise de plaisir, elle se redressa à quatre pattes sur son transat et me dit :
« En levrette tu me l’enfileras mieux ». Je commençais donc à poser ma queue sur sa chatte, elle entra sans aucun problème, son trou est vraiment énorme, je la lime vite, avec le gel ça glisse tout seul, la sensation est exquise.
Quand je l’ai sentie prête, j’ai sorti ma queue pour l’appuyer sur sa petite rondelle brune. Je commençais à pousser fortement, ma queue entra d’un coup sec. Je la pistonnais avec vivacité, elle me lançait des « oh oui elle est bonne ta queue » ou « plus vite fais moi mouiller »…
Je lui dis de s’asseoir sur moi, je m’assis donc sur le transat, elle s’installa de dos à califourchon sur mon mandrin raide comme un pieux. Son cul glissa tout seul sur ma queue.
Elle bougeait et ondulait magnifiquement bien, une véritable furie, elle m’offrait une vue imprenable sur son bon gros cul. Je lui pelotais les seins en même temps qu’elle rebondissait sur mon dard.
Je la défonçais avec vigueur, je sentais mon sperme monter en pression.
Je sorti ma queue de son anus, me leva et la tendit vers son visage, elle me regarda puis avala ma queue.
Sa bouche chaude et experte m’a fait gicler de longues salves dans sa gorge.
Je la pelota une dernière fois puis retourna travailler.
On est donc dimanche, il doit être 14h, après déjeuner, tout le monde est parti à ses occupations, Jean regarde le GP de formule 1 (il en est fan), Jocelyne est partie bronzer sur son transat au fond du jardin, Adeline à la gym, et moi au travail.
Le GP est à peine lancé que mon travail me saoule vraiment, je ne pense qu’au sexe.
Je sors donc un instant pour aller voir Jocelyne en espérant que celle-ci pourrait me calmer le gland.
Lorsque j’arrive au fond du jardin, je la vois en string ficelle allongée sur le dos. Son string est vraiment petit car on distingue les lèvres de sa chatte dépassant un peu de chaque coté.
Son corps est vraiment bien bronzé.
A peine arrivé je me jette sur son cul et fourre mon nez dans son entre jambe. Elle se redressa sèchement.
J : Eh calme toi Maxime, qu’est ce qu’il te prend ?
M : Je veux une autre leçon de sexe !
J : Non pas aujourd’hui, Jean est à la maison.
M : Il regarde la F1, y en a pour deux heures de course on a le temps, et puis on est caché ici.
J : Arrête tes bêtises, va plutôt me chercher mon huile corporelle dans ma chambre.
Je repartais donc bredouille avec une envie grandissante.
Une fois dans sa chambre, je pris le lait corporel, mais aussi et surtout, je suis tombé par hasard sur son lubrifiant intime.
Vu la taille de sa chatte, j’imagine que cela ne pouvait être que destiné à des sodomies. Excité comme une puce je décide de lui ramener les deux.
Arrivé à son transat, je lui présente le lait corporel et je cache le lubrifiant sous le siège.
J : Merci t’es gentil mon chou, étale le moi sur le dos tu veux !
M : Bien
Je commençais donc à malaxer cette peau de femme avec un lait sensuel, elle brillait, je m’attardais longuement sur ses fesses bien galbées, j’étais trop bandé encore, je lui embrassais le cul, lui tirais légèrement le string pour lui exciter la chatte.
Quand elle vit que cela me donnait trop d’émoi elle se retourna et me dit de la masser devant.
Je m’exécuta avec mes mains biens huilées commençais à caresser ses seins, de belles grosses ogives avec de gros tétons, puis le ventre, puis les jambes.
Elle était là les yeux fermés en train de profiter du plaisir de ces jeunes mains, et moi je ne pouvais pas me soulager.
Lorsque je vis des frissons sur ses cuisses, je me suis dit qu’elle n’était pas restée indifférente à mon massage.
Je lui dis alors de se remettre sur le ventre pour que je puisse finir, ce qu’elle fit.
Je sorti le lubrifiant anal, m’en enduisit les mains et commença un massage plus poussé des parties intimes. Avec mes mains je lui massais le cul, la chatte, elle était vraiment très excitée.
Je me suis mis à poil, m’enduisit la bite et commença à lui titiller la rondelle. Elle compris vite ce que je voulais, mais prise de plaisir, elle se redressa à quatre pattes sur son transat et me dit :
« En levrette tu me l’enfileras mieux ». Je commençais donc à poser ma queue sur sa chatte, elle entra sans aucun problème, son trou est vraiment énorme, je la lime vite, avec le gel ça glisse tout seul, la sensation est exquise.
Quand je l’ai sentie prête, j’ai sorti ma queue pour l’appuyer sur sa petite rondelle brune. Je commençais à pousser fortement, ma queue entra d’un coup sec. Je la pistonnais avec vivacité, elle me lançait des « oh oui elle est bonne ta queue » ou « plus vite fais moi mouiller »…
Je lui dis de s’asseoir sur moi, je m’assis donc sur le transat, elle s’installa de dos à califourchon sur mon mandrin raide comme un pieux. Son cul glissa tout seul sur ma queue.
Elle bougeait et ondulait magnifiquement bien, une véritable furie, elle m’offrait une vue imprenable sur son bon gros cul. Je lui pelotais les seins en même temps qu’elle rebondissait sur mon dard.
Je la défonçais avec vigueur, je sentais mon sperme monter en pression.
Je sorti ma queue de son anus, me leva et la tendit vers son visage, elle me regarda puis avala ma queue.
Sa bouche chaude et experte m’a fait gicler de longues salves dans sa gorge.
Je la pelota une dernière fois puis retourna travailler.
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