Les amis, il n'y que cela de vrai. - histoire érotique

Lorena et Christian, se fréquentent depuis de nombreuses années. Ils décident de se marier. Pour témoin, ils prennent leurs meilleurs amis Lina et José, avec lesquels ils partagent beaucoup de choses. La noce bat son plein. Il est très tard, l'alcool coule à flot. Lina, c'est déjà éclipsée pour préparer le nid des jeunes mariés.

José, lui, est chargé de conduit ses amis à leur nid d'amour, un peu plus tard. Donc.
Pour l'occasion, il ne boit pas d'alcool. Les invités dansent, chantent et boivent pour fêter l'évènement, l'ambiance est magnifique. Il est très tard, les mariés réussissent à se défiler sans que personne le remarque. Au bout de quelques minutes de route, ils arrivent à destination.

Christian titube, Lorena et un peu éméchée. Ils entrent dans la maison ou Lina les reçoit. Elle a préparé le lit des tourtereaux, et mis quelques trucs au frais. Mais avant, Christian veut trinquer avec ses deux amis. Il va dans le frigo et en sort une bouteille de champagne. Il fait péter le bouchon et sert les verres, les verres se cognent, les quatre amis semblent heureux. Christian retire sa veste et se laisse tomber sur le canapé.

Rapidement, l'alcool a raison de lui, il s'endort comme une masse. Pendant que Lina se trouve dans la cuisine, Lorena en Tournant le dos à José lui demande :

-Tu veux bien stp me dégrafer ma robe. José saisit avec deux doigts la longue fermeture éclaire, et la descend jusqu'au niveau des fesses. Le dos se découvre, ainsi qu'une partie de la culotte. Lorena se démène comme un beau diable pour retirer ses bras des manches de la robe. Lina fait son apparition, elle sourit et en s'approchant de son amie, lui dit :

-Je vais t'aider !

Non sans peine, la robe se retrouve sur une chaise. Les deux amies éclatent de rire en se jetant dans les bras l'une de l'autre. Lorena appuie sa poitrine généreuse sur celle de Lina, les seins s'écrasent sous la pression de l'enlacement. Les femmes se regardent longuement, Lorena dit :

-Je suis heureuse, c'est le plus beau jour de ma vie, et en plus, j'ai les amis les plus merveilleux du monde !

Lorena donne une multitude de baisers sur le visage, sa meilleure amie. Lina en riant dit :

-Je crois que ta nuit de noce, tu vas la passer seule, vu l'état de Christian !

En haussant les épaules, Lorena réplique en riant également :

-Oh, mais j'ai mes doigts, et je sais m'en servir, n'est crainte !

Lina regarde son amie et avec une pointe d'humour dit :

-Mais ma chérie, tu as des amis, et tu peux tout leur demander, surtout pour cette nuit !

Lorena en riant réplique :

-Donc si je comprends bien, tu veux remplacer mon mari défaillant pour cette nuit. Eh bien, c'est d'accord, aller fais de ma nuit la plus belle de mes nuits !

Lina sursaute et répond :

-Oh, je déconnais Lorena !

Elle réplique :

-Moi non, ce qui est dit est dit !

Les yeux de Lorena sont vitreux, elle dégrafe malhabilement son soutien-gorge et retire sa culotte, elle exhibe sans complexe son corps nue devant ses amis. C'est la première fois que José voit Lorena nue, ses yeux pétillent.
Pour Lina, c'est autre chose, elles se connaissent depuis l'enfance, lorsque leurs parents étaient absents, elles prenaient des douches ensemble, et se faisaient de petits attouchements, pour obtenir des orgasmes qui au fil des jours devenaient de plus en plus intenses.

Lina se pince les lèvres, elle se remémore les instants passés lors de l'absence des parents. Elle pousse de nombreux soupirs et dit :

- Si c'est ton souhait, je ne vois pas comment je peux te le refuser !

La langue de Lorena, surement dû à l'alcool, se délie. Elle dit en souriant :

-Tu sais, que quelques fois, je repense à nos délires d'autrefois, et que je dois me masturber tellement ils m'échauffent !

Lina la regarde et répond en baissant la tête :

-Moi aussi cela m'arrive !


José regarde les deux femmes en fronçant les sourcils, il ne comprend rien à ce qui se passe. Lorena prend Lina par la main et l'entraine dans la chambre, José dubitatif les suit, sa femme lui cache surement quelque chose. Lorena maladroitement effeuille son amie qui reste plantée comme un piquet sans réagir. Avec douceur, Lorena bascule Lina sur le lit, et pose sa main moite sur le corps frémissant de Lina. La main voyage sur la peau laiteuse de Lina, en faisant de petits cercles rapprochés.

Mais dès que Lorena lui saisit un des seins, elle se cabre. Son souffle s'accélère, et devient saccadé, elle frissonne comme une feuille en plein vent.


Lorena malaxe les lobes à tour de rôle, les pétrit, en enfonçant ses doigts dans la chair souple des seins.
José n'en croit pas ses yeux, sa queue se durcit dans son pantalon, il découvre que Lorena et sa femme étaient amantes autrefois, et que cela refait surface. Il se caresse au travers du pantalon, sa verge devient de plus en plus dure, et devient même douloureuse. Il extirpe de son pantalon sa verge raide qui se détend comme un ressort. Il l'empoigne et sans quitter des yeux les deux femmes, se masturbe férocement.

Les doigts agiles de Lorena s'emparent des mamelons, les roulent, les pressent avant de les étirer, elle épie à réaction de son amie en les étirant au maximum. La douleur fait grimacer Lina, ses yeux s'emplissent de larmes, elle ne repousse pas Lorena, mais pousse un petit gémissement. Son amie lui dit, sans se soucier de la présence de José :

- Tu n'as pas changé, tu réagis comme autrefois ma chérie, j'aime te voir gémir, cela m'excite toujours autant tu sais. Enfin, je retrouve le grain de ta peau qui m'a tant manqué !

Lorena presse plus fort les mamelons, Lina gémit plus fort, en se cabrant légèrement. Enfin, après les avoir suppliciées un instant, elle pose sa bouche dessus, et fait de nombreuses succions sur les mats de chair, qui prennent de plus en plus de volume. Elle tète comme un enfant qui s'allaite, en faisant geindre son amie. Lina devient molle, elle fond. Son amie n'a pas oublié comment la faire défaillir. Chaque mamelon a toute l'attention de Lorena, la coquine, les mordille pour augmenter les gémissements de Lina, qui est comme une poupée de chiffon dans ses bras. Lorena a toujours était une maitresse femme, qui sait donner beaucoup de plaisir.

Lina souffle comme un dragon, elle se cramponne au lit en ne retenant pas des gémissements. La bouche experte quitte les mamelons et progresse doucement sur le corps fébrile de Lina, qui geint comme une bête blessée. Chaque parcelle de peau reçoit soit un baiser ou une lèche humide.
La langue habile fouille un instant le nombril de la gémisseuse, qui se cambre fortement, sous les coups de langue redoutables de Lorena. La vulve de Lina est en feu, elle rejette un filet continu de cyprine. La bouche avide s'approche de plus en plus de la vulve brulante.

Mais dès qu'elle entre en contacte avec Lina pousse terrible gémissement rauque, qui fait sursauter le mari voyeur. Lorena, aspire tout le jus qu'elle peut, avant d'enfoncer profondément sa langue dans le puits, et de le fouiller. Lina se cabre, ses râles sont ceux d'une agonisante. Soudain son corps fait le pont, un cri strident résonne dans la chambre. Une violente jouissance traverse le ventre de Lina qui croit mourir. Elle se laisse retomber sur le lit en haletant. Lorena en profite pour lui gober le clito, le bougre est devenu monstrueux. Elle le suce comme un bonbon, Lina pâme de bonheur, une nouvelle jouissance la fait hurler.


José n'a jamais entendu sa femme hurler si fort de plaisir, il se demande s'il est à la hauteur. Lorena roule sur Lina, les deux femmes sont tête bêchent, l'une sur l'autre. Les bouches trouvent rapidement les chattes en feux, qu'elles dévorent. Les deux amantes sont sur une autre planète, elles ignorent la présence de José, qui ne cesse d'agiter sa bite, il en est à sa troisième éjaculation. Il regarde le cul de Lorena s'agiter sous les coups de langue de sa femme. Il prend une décision, il retire ses vêtements et monte sur le lit. Il se place derrière Lorena et frotte sa bite contre la chatte dégoulinante que Lina dévore.

Il s'accroche à ses hanches et, sans se poser de question, pousse. La bite gorgée de sang s'enfonce jusqu'aux couilles dans le ventre de l'amie, qui pousse un couinement sans lâcher la chatte de Lina. José ramone le ventre de la soumise en donnant de grands coups de reins. À chaque retour de la verge, Lina donne un coup de langue sur la hampe fortement veinée. José grince des dents, il pilonne Lorena comme un marteau-pilon. Elle gémit en agitant son bassin comme une forcenée. Soudain, elle se cabre et explose, sa jouissance est phénoménale, elle grimace tellement c'est intense.

Encore quelques estocades avant que José ne déverse dans le ventre de son amie son sperme épais. Il donne encore plusieurs coups de reins avant de se retirer. Les deux femmes continuent de se brouter, jusqu'à ce qu'elles explosent de jouissance.

Lorena roule sur le côté, Lina reste jambes écartées en haletant fortement. José, terriblement excité par ce qu'il a vu, se faufile entre ses cuisses et lui, plante sa queue gluante dans le ventre. Lina serre son mari dans ses bras et en gémissant se fait honorer jusqu'à ce qu'elle explose. Une fois qu'il lui a rempli le ventre de sa semence, José, se retire, il regarde Lorena qui git en chien de fusil sur le lit, la jouisseuse, a beaucoup de mal à retrouver ses esprits.

Jamais José n'aurait pensé faire l'amour à son amie, il en reste baba. Mais d'un coup, il stresse, et si Christian apprend ça, comment il réagira, José craint que ce soit la fin d'une amitié. Il regrette, mais un peu tard, ce geste. Lina se plaque contre Lorena, son bas-ventre est contre les fesses de son amie. Elle s'agite doucement. Les deux femmes le faisaient autrefois, pour se stimuler, avant de reprendre l'ébat.