Les après-midi de Nathalie 1

- Par l'auteur HDS Cplcandaudu60 -
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Récit libertin : Les après-midi de Nathalie 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les après-midi de Nathalie 1
Quand Nathalie avait une trentaine d’année, elle avait toutes ses après-midi de libre, elle ne travaillait que le matin, elle pouvait ainsi passer du bon temps quand l’occasion se présentait.
Voici deux de ses aventures, si elles vous ont plu, je pourrais vous en raconter d’autres :

Les livreurs
C’était une belle journée de printemps ensoleillée ou la température dépassée les 20 degrés.
Je venais de terminer mon travail chez mon client et, avant de repartir, j’avais appelé mon patron qui m’avait dit que je pouvais rentrer chez moi car il n’y avait pas d’autres interventions pour aujourd’hui.
Il était quatorze heures trente, quarante-cinq minutes de trajet, je serai chez moi vers quinze heures quinze environ.

Nous avions, avec Nathalie, deux jours plus tôt acheter une nouvelle télévision dans un grand magasin et justement, elle devait-être livrée cette après-midi.
Elle qui terminait sa journée vers treize heures serait là pour la réceptionner.
La livraison et ma mise en service étaient incluses avec l’offre.
J’étais donc pressé de voir mon nouveau téléviseur installé.

Un peu d’embouteillage sur le trajet m’a fait perdre un bon quart d’heure.
Arrivé chez moi, j’ai rentré ma voiture dans le garage, suis passé par le patio situé entre le garage et la maison pour rentrer par la porte de service.
J’ai trouvé bizarre que toutes les portes et fenêtres ne soient pas ouvertes, d’habitude par ce beau temps Nathalie aérait la maison dès qu’elle rentrait de son boulot.
Personne dans la cuisine ni dans le salon.
J’ai remarqué que la nouvelle télé était installée et au moment où j’allais l’appeler pour savoir où elle était, j’ai vu des chaussures en bas de l’escalier et j’ai entendu des gémissement venant de la chambre.
J’ai monté l’escalier à pas de loup pour ne pas faire de bruit et essayer de mater qui était avec elle.
La porte légèrement entre-ouverte m’a permis d’apercevoir une scène que je n’aurais pas imaginé quelques minutes plus tôt.
Un homme était couché sur le dos, il pénétrait ma femme qui était allongée sur lui et face à lui, son cul qu’elle tendait bien en arrière, était lui, remplit par une deuxième homme qui la pilonnait sans vergogne.
Les deux devaient avoir bien accordé leurs mouvements de vas et vient car Nathalie prenait beaucoup de plaisir et commençait à crier très fort.
Ils étaient tous les trois sur le point de jouir, ils étaient déchaînés, Nathalie semblait ne plus s’arrêter de prendre son pied alors que les deux autres se défoulaient verbalement en la pistonnant bien fort.
« Putain qu’elle est bonne la salope, elle aime la bite »
« T’aime ça te faire baiser et enculer par deux mecs sale chienne »
« On va-t’en mettre plein le cul sale petite pute »
Ma femme de son côté criait qu’elle aimait ça et qu’elle voulait qu’il la défonce encore plus fort.
Après une bonne dizaine de minutes, ils se sont vidés en elle presque simultanément en vociférant encore plus de mots vulgaires.

Je suis redescendu discrètement pour aller me cacher dans le cellier en attendant qu’ils partent.
J’ai, juste avant de fermer la porte, entendu Nathalie qui leur disait :
« Putain bande de salaud vous m’avait défoncé le cul, je vais avoir mal pendant plusieurs jours »
« Hé c’est toi qui as voulu »
« Je sais, j’en avais envie et c’était trop bon, c’est quand vous voulez que vous pouvait venir me rebaiser comme ça »

Ce qui s’est passé avant, elle me l’a racontée :
Rentrée du boulot vers treize heure, elle a grignoté un truc puis est allée dans la salle de bain.
Ce jour-là, elle ne sait pas pourquoi, elle était excitée et s’est masturbée dans la douche
Elle a ensuite enfilé une mini-jupe et un chemisier, ample et très ouvert, noué à la hauteur du nombril.
Nathalie à toujours aimé exciter les hommes par des tenues affriolantes, ça lui plaisait de voir les regards furtifs se poser sur elle quand ils étaient timides, parfois certains plus hardis que d’autres tentaient leur chance et parfois c’était elle qui provoquait jusqu’à ce qu’ils craquent.
Beaucoup d’hommes ont ainsi visités sont intimité ou ont eu les faveurs de sa bouche pulpeuse et gourmande.

La camionnette de livraison s’est arrêtée devant la porte aux alentours de quatorze heures, deux hommes d’une petite trentaine en sont descendus.
« Bonjour madame, on vient pour la télé. »
Ils sont entrés avec un gros carton contenant la nouvelle qu’ils ont déballé.
Le temps de débrancher l’ancienne, reconnecter l’autre, en quinze minute c’était presque prêt, il ne restait plus qu’à installer les chaînes dessus.
Un des deux livreur est allé garer la voiture plus loin car elle gênait pour passer dans la rue, le temps de trouver une place il est revenu presque cinq bonnes minutes plus tard.
Pendant ce temps, Nathalie s’était installée dans le canapé devant à la télé, les cuisses bien ouverte.
Malgré sa précédente masturbation, elle avait toujours des envies de sexe.
Le livreur, qui faisait le réglage des chaînes, ne pouvait maintenant ignorer le faite que ma femme ne portait pas de culotte car il était face à elle et lui expliquait en même temps le fonctionnement de la télécommande.
Un peu perturbé au départ, il s’est vite senti plus à l’aise et lui a dit :
« La vue que vous m’offrez est magnifique »
« Merci, mais si tu veux, tu peux faire plus que regarder » lui a-t-elle répondue.
« Mon collègue ne va pas tarder »
« Alors il pourra participer aussi, deux hommes ça ne me fait pas peur. »
Il s’est avancé vers elle et elle s’est agenouillée devant lui en déboutonnant son pantalon pour en extraire une verge en semi-érection.
Très vite après l’avoir pris dans sa bouche, le membre était devenu bien raide.
Sa langue s’enroulait autour du gland pendant que ses lèvres l’enserraient bien fort, elle tenait d’une main la base de son pénis et avait engloutie le reste dans sa bouche gourmande.
« Oh putain tu suce bien. »
Elle lui a alors dit d’un ton très sensuelle et très salope :
« Oui j’adore la bite, j’espère que ton pote va être OK car j’ai envie de me faire baiser comme une chienne cette après-midi »
« Oh putain, même s’il ne veut pas, moi je vais te défoncer, tu m’excite trop »
Quand son collègue est revenu, il a été un peu interloqué au départ, puis l’autre lui a dit :
« Viens c’est une chaudasse, elle veut qu’on la baise à deux, viens voir comme elle suce bien cette salope. »
Sans trop hésiter, il est venu rejoindre son pote face à ma femme, il a baissé son pantalon et son slip et a tendu sa queue presque déjà en érection complète.
Elle a attrapé sa bite avec son autre main puis les a sucés chacun leur tour tout en les branlant.
Sa langue courrait le long de chaque membre avec gourmandise, elle les engloutissait un par un et parfois ensemble.
Un des deux avait ouvert son chemisier et lui caressait les seins.
« Putain t’as des bon gros nibard toi, j’adore ça. »
« T’as des capotes j’ai envie de ta démonter maintenant ? »
« Oui là-haut dans la chambre, venez on monte »
« Hummm, j’adore ça, on va la baiser dans son lit la petite pute, j’espère qu’il rentre tard ton mec. »
« Pas avant dix-huit heures, on a le temps de s’éclater un peu. » A-t-elle répondu en les précédent dans l’escalier.

Le chemisier et la jupe ôtés, elle s’est allongée sur le lit, les jambes bien ouvertes en disant :
« J’ai envie de me faire bouffer la chatte. »
Le premier déshabillé et venu se glisser entre ses cuisses pour la dévorer, alors que l’autre l’a chevauché pour poser ses couilles au-dessus de son visage.
D’une main elle le branlait pendant qu’elle lui gobait les bourses.
Le premier s’activait vigoureusement sur son sexe, sa langue la fouillait profondément et il jouait avec son clito en l’aspirant et en léchant ses lèvres intimes.
Elle appréciait beaucoup ce qu’il lui faisait et sentait son plaisir monter.
« Putain elle est trempée la salope, j’adore son gout, elle est trop bonne. »
Celui qui la chevauchait avait maintenant remplacé ses couilles par son braquemart dans la bouche de ma femme, il essayait de l’enfoncer le plus loin possible, il lui baisait la bouche pendant que son pote commençait à la faire jouir.
Après son premier orgasme elle a dit :
« J’ai envie de me faire baiser maintenant, je veux sentir une queue bien profond en moi »
Celui qu’elle suçait à sauter sur l’occasion, en enfilant une capote et en la retournant pour la mettre à quatre pattes.
Il l’a pénétré d’un coup, sans fioriture, jusqu’à la garde.
Son collègue s’est allongé face à elle, le sexe à la hauteur de son visage pour se faire sucer.
Celui qui la pistonnait émettait des grognements de satisfaction à chaque coup de reins qu’il lui donnait, il se lâchait verbalement aussi en la traitant, alors que celui dans sa bouche lui tenait bien la tête tout en acquiesçant les propos de son pote envers ma femme.
Il se sont servi d’elle comme une vulgaire poupée en la baisant dans toutes les positions possible, la faisant jouir une bonne dizaine de fois, se relayant pour la démonter et l’insulter.
Plus il la traitait ainsi et plus elle prenait de plaisir, elle se sentait complétement dominée par ces deux hommes mais elle aimait ça, le fait qu’ils s’en servent comme d’un jouet, qu’ils lui disent des mots crus et qu’ils la fassent bien jouir, amplifiait encore plus sa soif de sexe.
Pendant leurs ébats l’un des deux s’est vidé dans son ventre pendant que l’autre éjaculait sur son visage, ils ont à peine débandé et ont recommencés très vite à la prendre.
La boite de préservatifs n’étant pas suffisante, il a fallu en ouvrir une autre.
Alors qu’elle était couchée et empalée sur un, le deuxième titillait de plus en plus son anus et lui caressait les fesses.
Se sentant prête il lui dit :
« Prend du gel dans le tiroir et encule moi en douceur »
Sa jouissance était à son paroxysme quand elle les a sentis tous les deux bien enfoncés en elle et qu’ils la pistonnaient en même temps.
C’est ainsi que je les ai retrouvés en rentrant de mon boulot plus tôt ce jour-là.


Un collègue black
Nathalie travaillait dans une grande surface pour faire la mise en rayon des produits frais, elle commençait très tôt le matin pour finir entre midi et treize heures.
Elle avait un collègue antillais, à peu près quatre ans plus jeune qu’elle, qui lui tournait discrètement autour, elle n’y prêtait pas trop attention au début car il avait une copine qui travaillait aussi dans le magasin mais au niveau des caisses.
Il était mignon, assez baraqué et grand.
Quand il se retrouvait seul avec ma femme, il lui faisait du charme, gentiment, sans être lourd et surtout pas ouvertement, il craignait certainement que sa copine l’apprenne ou que Nathalie aille la voir pour lui dire que son mec la draguait.
Ses avances sont devenues un peu plus poussées au fur et à mesure des jours, bien sûr, dès que quelqu’un d’autres était là, il se comportait comme un simple collègue et ne la draguait plus.
Il y avait souvent peu de monde dans la réserve car chacun était afféré à remplir ses rayons avant que le magasin n’ouvre, bizarrement quand Nathalie y allait, il la suivait souvent.
Un jour, il l’a rejointe et comme il n’y avait qu’eux deux, il s’est collé à elle et a juste eu le temps de lui faire un smack avant que quelqu’un ne rentre.
Un peu surprise mais pas outrée, elle lui a fait un grand sourire, comme une sorte d’encouragement.
Alors, voyant qu’elle ne semblait pas contre, il a réitéré dès que l’occasion se présentait, un frottement, un bisous plus prononcé, une caresse.
Un jour alors qu’il l’avait prise dans ses bras et qu’il allait l’embrasser, un chef est arrivé et à faillit les griller, heureusement une rangée de palette les cachait et ils ont eu juste le temps de s’écarter.
« Il faudrait que tu passes venir boire un café à la maison un de ces jours. » lui a-t-elle dit un peu plus tard.
Il a aussitôt répondu :
« Demain, si tu veux, ma copine finit à vingt heures. »
Le rendez-vous était pris, il viendrait le lendemain vers quatorze heures trente.

Nathalie venait de prendre sa douche et était comme à son habitude vêtue court et sexy, mini-jupe et chemisier transparent sans aucun sous-vêtements, quand il a sonné à la porte.
« Whaaaaaaa, tu es encore plus belle habillée comme ça. »
« Merci, tu veux un café ? »
« Avec plaisir. »
Ils ont discuté de futilités pendant qu’elle préparer la boisson puis, sont allés s’installer sur le canapé.
Un grand silence, un peu gêné, ils ne savaient trop comment faire sachant qu’ils se doutaient tous les deux de l’issue de cette rencontre.
Alors Fabien (c’était son prénom), a fait le premier pas en approchant son visage d’elle pour venir l’embrasser.
Leurs bouches se sont collées, leurs langues se sont mélangées dans un long baiser langoureux, en même temps il a avancé ses mains pour dégrafer son corsage et venir lui caresser les seins et jouer avec les mamelons.
De son coté, Nathalie avait posé la main sur son sexe à travers le Jeans, la bosse semblait énorme, curieuse et envieuse, elle a très vite déboutonné le pantalon pour faire sortir la bête, l’engin débordait outrageusement du slip de son propriétaire.
Rien qu’au touché, elle lui semblait impressionnante, quand elle l’a regardé c’était encore plus flagrant, une colonne de chair bien raide dépassant largement les vingt centimètres (vingt-quatre exactement) et d’un diamètre de plus de six centimètres.
« Whaouuu, elle est énorme ta bite. » Dit-elle.
« Ça ne te fait pas peur j’espère, car malheureusement beaucoup de femmes n’aiment pas quand le sexe d’un homme est trop gros »
« Non non, il faudra juste y aller en douceur. »
Elle lui a complètement enlever son Jeans et son slip puis est venue s’agenouiller entre ses cuisses pour le prendre dans sa bouche.
Sa bite était tellement grosse qu’elle ne pouvait en prendre qu’un tiers, les mains sur sa hampe, elle s’affairait à lui prodiguer une fellation du mieux qu’elle pouvait, vu la taille.
Elle le branlait doucement pendant que sa langue virevoltait sur son gland, elle le léchait, l’embrasser, le suçait, le mordillait puis allait gober ses couilles qui semblaient presque ridicule par rapport à son énorme braquemart.
Il se laissait aller à cette caresse buccale qu’il avait l’air de fort apprécier, la bouche et les mains de Nathalie qui triturait son membre l’excitait au plus haut point.
« Doucement, si tu continu comme ça je vais jouir »
Alors pour faire descendre la pression, elle s’est relevée, à ôtée sa jupe puis est venue à califourchon sur lui pour coller son sexe nu contre cette énorme pieu bien raide.
Elle se frottait contre lui, ses lèvres déjà toutes humide contre sa hampe rigide, son clito qu’elle stimulait en même temps lui donnait envie d’engloutir cette queue dans sa chatte.
« Viens, on monte dans la chambre, on sera mieux »

Complètement nue sur le lit, elle attendait avec impatience qu’il enlève ses habits pour la rejoindre.
Après avoir mis un préservatif, il s’est allongé sur elle, lui a largement écarté les jambes puis a commencé à la pénétrer.
Le sexe de ma femme était trempé d’excitation, cependant il l’a investi tout doucement, centimètre par centimètre pour lui laisser le temps que ses chairs intimes se dilatent progressivement.
Plus il s’enfonçait en elle, plus elle se sentait rempli, elle avait l’impression de se faire déflorer pour la seconde fois de sa vie, elle se demandait si elle allait arriver à tout prendre en elle.
A fur et à mesure qu’il rentrait en elle, il s’arrêtait, faisait de court vas et vient puis progressait doucement un peu plus loin dans son vagin puis recommençait quelques vas et vient et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’elle soit complètement enfoncée dans son ventre.
Elle n’arrivait presque plus à se contrôler, sa jouissance était imminente, cette énorme queue qu’elle avait en elle l’avait rendue folle d’excitation, un orgasme fulgurant l’a envahie, accrochée à lui elle a joui comme rarement en lui criant dans les oreilles.
Une fois ses esprits retrouvés, il l’a retourné pour qu’elle soit maintenant au-dessus de lui, malgré ce changement de position, elle était toujours empalée sur sa queue.
« A toi de gérer maintenant. » Lui a-t-il dit.
Alors doucement c’est elle qui montait et descendait sur sa bite, quand il était bien au fond, elle ondulait du bassin avant de le faire ressortir.
Ses vas et vient étaient lent au départ puis plus rapide au fur et à mesure que son excitation augmentait.
Il lui caressait les seins qui débordaient de ses mains, il lui tétait les mamelons puis prenait ses fesses à pleine mains en lui disant qu’elle était bonne.
Leurs ébats augmentaient en intensité, Nathalie se sentait de nouveau au bord de la jouissance, comme lui d’ailleurs.
Ils se sont embrassés fougueusement avoir d’avoir un orgasme simultané.
Elle sentait bien les spasmes de son membre quand il lui éjaculait ses flots de sperme, par saccades, au fond de son ventre.
« Ça va être compliqué maintenant que je vais te voir dans le magasin, je vais bander dès que je vais m’approcher de toi. »
« Je n’aurais pas la même tenue que j’avais pour t’accueillir tout à l’heure, ce sera moins excitant. »
« Peut-être mais rien que le fait de te voir, je suis sur que je vais repenser à cette après-midi. »

Dans le magasin, ils sont restés comme si rien ne s’était passé, personne n’a pu remarquer leur liaison.
Ils se sont vus plusieurs fois après ça, parfois ils se donnaient rendez-vous quelques part en extérieur et elle le suçait dans la voiture et parfois il passait à la maison à l’improviste ou après avoir défini un créneau horaire.

Un jour où je ne travaillais pas l’après-midi, c’était en hiver, le temps était gris, il faisait sombre et frais, nous étions Nathalie et moi tranquillement installé dans le canapé, devant la cheminée qui crépitait, à regarder la télé.
Tenue décontractée, moi en slip et tee-shirt et ma femme juste en string, elle n’avait pas eu envie de s’habiller après la douche.
Il devait être aux alentours de seize-heures trente et la nuit commençait à tomber, quand une voiture s’est arrêtée devant la maison, elle s’est levée pour regarder à la fenêtre :
« C’est Fabien, on ne s’est pourtant pas donné rendez-vous. »
J’ai souri en lui disant :
« Il a certainement envie de se vider les couilles. Si tu veux, je me cache dans le cellier mais tu l’accueille comme ça. »
« OK, si ça ne te dérange pas, au moins tu verras comment je prends mon pied avec sa grosse bite. »
Juste le temps de me cacher et il a sonné à la porte.
J’avais laissé la porte de ma cache légèrement entre-ouverte pour pouvoir mater un peu.
Quand elle lui a ouvert juste en string, il a été agréablement surpris et à peine avait-elle refermé derrière lui qu’il s’est collé à elle pour l’embrasser en plaquant ses mains sur ses fesses.
Ils ont échangé un long baiser fougueux pendant lequel il a tripoté ma femme sous toutes les coutures, ses mains parcouraient son corps et il semblait très excité.
Elle s’est agenouillée devant lui pour déboutonner son pantalon et faire sortir l’énorme queue déjà en érection qu’elle a entouré de ses mains et prise entre ses lèvres.
Je n’avais jamais vu un aussi gros calibre en réel, c’était vraiment impressionnant, je me demandais même comment elle pouvait prendre ça en elle, c’est clair que si je voulais lui faire l’amour juste après lui, elle me sentirait à peine.
Pourtant, elle arrivait à en prendre au moins un bon tiers dans la bouche et avait l’air de le suçait correctement, elle jouait aussi beaucoup avec ses doigts qui courraient le long de sa hampe et sur son gland en même temps que sa langue.
On voyait bien que ça lui faisait de l’effet, il penchait sa tête en arrière et caressait celle de ma femme en ouvrant grand la bouche de plaisir.
« On peut monter ? J’ai envie de te prendre. » lui a-t-il dit.

Zut, je ne pourrais pas voir, je vais quand même essayer de mater depuis l’escalier.
Une fois tous les deux dans la chambre, je suis sorti de ma cachette pour grimper les escaliers sans bruits.
Nathalie était allongée sur le dos, Fabien entre ses cuisses lui dévorait le sexe, elle gémissait sous sa grosse langue agile et très vite elle a joui une première fois en lui bloquant la tête contre sa chatte trempée.
Il a continué jusqu’à ce qu’elle ait un deuxième orgasme.
Il s’est couché ensuite à son tour sur le dos pour que ma femme monte sur lui.
Elle lui a enfilé un préservatif puis est venue à califourchon pour s’empaler sur son pieux.
Je la voyais légèrement de coté, mais je voyais bien cette énorme colonne de chair pénétrer doucement Nathalie avant de disparaître complètement en elle.
Incroyable, elle arrivait à tout prendre.
Ensuite, elle montait et descendait sur son membre, parfois elle s’écroulait sur son torse pour venir lui enfoncer sa langue dans la bouche et c’est lui qui reprenait les vas et vient, jusqu’à ce qu’elle se relève et reprenne les commandes.
Je voyais à son visage qu’elle prenait beaucoup de plaisir, je savais qu’elle se retenait de ne pas jouir trop rapidement, certainement pour que lui ne se lâche pas trop vite non plus, elle voulait en profiter au maximum.
Il faisait courir ses mains sur toutes les parties du corps de ma femme pendant qu’il la baisait, son cou, ses seins, son dos, ses fesses, ses cuisses comme s’il voulait la toucher partout en même temps, elle haletait de bonheur et de plaisir sous ses caresses.
Au bord de l’orgasme elle lui a dit :
« Viens me prendre par derrière, mais vas-y doucement quand même, ce n’est pas une petite bite que tu as. »
Elle s’est mise à quatre patte, il s’est placé contre ses fesses après avoir changé de capote puis l’a pénétré.
C’était une fois de plus, impressionnant de voir cet énorme chibre s’enfoncer dans le ventre de ma femme.
Une fois complètement au fond il a commencé des vas et vient lents en accélérant progressivement.
Il la tenait fermement par les hanches comme pour aller encore plus loin, ils gémissaient l’un et l’autre de plaisir, ils n’allaient pas tarder à jouir, leurs corps étaient trempés de sueur, Nathalie s’est écroulée pour mordre l’oreiller.
Cette fois, elle ne pouvait plus se retenir et criait en jouissant, pendant que lui se vidait en même temps au fond d’elle en criant de plaisir aussi.
Ils ont mis du temps à reprendre leur souffle, j’ai ainsi pu regagner tranquillement ma cachette avant qu’ils ne redescendent de la chambre.
Ça m’avait terriblement excité, mon slip était trempé, dès qu’il est parti, j’ai attrapé ma femme contre moi pour l’embrasser fougueusement à mon tour et l’ai gentiment fait s’agenouiller pour qu’elle me suce.
Dix petite minutes après, j’éjaculai au fond de sa gorge en la traitant de salope.

Les avis des lecteurs

Merci pour vos commentaires et tout particulièrement à Olga T, qui je pense suis toutes nos histoires.
La partie 2 ne devrait pas tarder à arriver, je n'ai pas encore fini de l’écrire par manque de temps et j’essaie d'être le plus fidèle possible à leurs déroulements.

Histoire Erotique
Jolis récits d un couple libéré, merci

Histoire Erotique
Superbes histoires

Nathalie est une sacrée cochonne!

Histoire Coquine
histoire bien raconté, les femmes des générations actuelles n’hésitent pas à exprimer leurs hyper-sexualités, pour certaines leur multi-sexualité, de plus certains hommes se révèlent candaulistes, c'est mon cas ma compagne étant hyper-sexuelles ...
Le sexe c'est la vie, une distraction, un loisir, une nécessité physiologique, physique...

A bientôt la suite



Texte coquin : Les après-midi de Nathalie 1
Histoire sexe : Une rose rouge
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