Les après-midi de Nathalie 2
Récit érotique écrit par Cplcandaudu60 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les après-midi de Nathalie 2
Le jeune maçon.
Le vent avait soufflé toute la nuit, moins fort qu’en 1999, mais le lendemain au réveil nous avons eu la mauvaise surprise de voir le mur de clôture effondré dans l’allée.
Difficile de trouver un maçon, ils avaient tous un carnet de commande bien rempli.
Nous avons quand même réussi à en trouver un par connaissance.
Les travaux devaient durer plusieurs jours, avant il travaillait seul, mais vu la charge de travail qu’il avait, il s’était résigné à prendre un apprenti.
Armindo était un Portugais d’une cinquantaine d’année, il travaillait dur et beaucoup, son nouvel équipier, Tony, démarrait dans la vie active, il avait 18 ou 19 ans et semblait aussi courageux que son patron.
Ils avaient bien avancé, encore une bonne journée de boulot et ce serait fini.
Quand Nathalie est revenue du taf, vers treize heures ce jour-là, il n’y avait que Tony.
« Il n’est pas avec toi Armindo ? »
« Non madame, il a dû se rendre en urgence sur un autre chantier, il repassera me prendre vers dix-sept heures. »
« Tu veux un café ? »
« Merci c’est gentil mais le temps se couvre et je voudrais avancer dans le travail qu’il reste à faire »
Elle est rentrée dans la maison, a grignotée puis est allée prendre un douche.
Il ne faisait pas chaud à l’intérieur, alors en sortant de la salle de bain, elle a enfilé un caleçon long, blanc et un gros pull à maille large avant de mettre la cheminée en route.
Elle avait un peu de mal à se réchauffer malgré le feu qui commençait à crépiter, ses tétons pointaient et traversaient la laine de son chandail.
Elle n’avait pas fait attention mais dehors il pleuvait à sceau, depuis quand, elle l’ignorait et soudain elle a pensée à Tony.
« J’espère qu’il s’est mis à l’abri, sinon il va être dans un sale état. »
Alors elle s’est levée pour aller voir.
Il était dans le garage, devant la porte de coté qui donnait face à celle de la cuisine, séparé par la terrasse, trempé, dégoulinant, frigorifié.
« Ne reste pas là, rentre dans la maison, tu va attraper la crève, pourquoi ne t’es tu pas mis à l’abri plus tôt ? Allez viens, rentre vite, je vais te chercher des serviettes pour te sécher. »
Quand elle est revenue de la salle de bain avec de quoi l’essuyer, il était dans le pas de la porte, une mare d’eau à ses pieds, il tremblait de froid et claquait des dents.
« Mon pauvre, tu as l’air trempé jusqu’aux os, tu ne vas jamais arriver à sécher, donne-moi ta veste et ton pantalon, je vais mettre ça au sèche-linge et tes chaussures devant la cheminée. »
Après un courte hésitation, il s’est exécuté.
Aie, le sweat, le slip et les chaussettes étaient dans le même état que le reste, il aurait du mal à se réchauffer même en se collant près du feu.
« Bon, je crois que là il faut employer les grands moyens, va dans la salle de bain, enlève tout et mets ça dans le sèche-linge, prends une douche bien chaude, jusqu’à ce que tu te sois réchauffé et enfile une grande serviette en attendant que ton linge soit sec. Je vais te préparer ça, tu auras juste à appuyer sur le bouton marche pour que ça démarre. »
De quinze ans son aînée et avec un ton autoritaire, elle ne lui avait pas donné le choix.
Quand il est sorti de la salle bain, tout penaud, la serviette autour de la taille, elle lui a dit de venir s’asseoir dans le canapé devant la cheminée.
Malgré son mètre quatre-vingts, il était tout frêle, pas encore une carrure d’homme.
« Tu veux un café ? »
« Oui je veux bien, merci. Mais … heuu… si votre mari rentre et qu’il me voit comme ça il va se poser des questions. »
Alors en éclatant de rire, elle lui a dit :
« Dit donc, tu as des idées bien salaces. »
« Non, non… mais… c’est pas ce que je voulais dire… je… heuu… »
« T’inquiète pas, il ne va pas rentrer tout de suite et te trouver presque à poil chez lui. »
Il était rouge de honte et de confusion.
Quand elle est revenue avec les boissons, elle s’est aperçue que son pull était assez transparent, les grosses mailles laissaient apparaître ses tétons et ne cachaient rien de son anatomie, de plus le caleçon qu’elle portait, permettait la même vision du bas de son corps.
Malgré sa gêne, Tony ne pouvait s’empêcher de lancer des regards furtifs vers elle.
Dès qu’il pouvait, ses yeux se portaient vers ses seins qui semblaient l’attirer.
Il avait placé ses mains devant lui, à la hauteur de son bas-ventre, comme s’il voulait cachait quelque chose.
A force de mater en douce, son corps lui jouait des tours et la serviette qu’il avait sur lui commençait doucement à prendre une forme de chapiteau.
Voyant qu’elle s’était aperçue de son état, il a bafouillé :
« Je… je… suis désolé… pardon, je… c’est pas de ma faute … »
« Chutttttttttt ne t’inquiète pas, ça va aller, ce n’est pas grave. »
« Oui mais… heu…pardon…vous êtes trop jolie, ça me perturbe, je ne voudrais pas vous choquer. »
En éclatant de rire, elle lui a dit :
« Ce n’est pas une bite en érection qui va me choquer, ne t’en fait pas pour ça. »
Et elle a ajoutée :
« Si tu veux je peux m’en arranger. »
Voyant qu’il ne semblait pas contre, elle a enlevé son pull et a ajoutée.
« Tiens tu peux les toucher si ça te dit. »
Aussitôt il a plaqué ses mains sur sa poitrine pour la caresser.
Dans ce mouvement brusque, sa serviette s’est détachée, libérant du même coup un sexe bien raide au gland turgescent.
La main droite de Nathalie a attrapé cette queue toute dure pour commencer à la branler, puis s’est penchée pour y coller sa bouche pulpeuse et l’engloutir complètement.
Sa langue jouait avec cette bite qui était aussi dur qu’une barre de fer, elle s’enroulait autour de son gland hyper sensible qui semblait prêt à exploser à chaque instant.
Elle descendait ensuite, en léchant son membre, jusqu’à ses couilles qu’elle godait entièrement, puis recommençait à le branler avant de le reprendre complètement dans sa bouche en l’aspirant bien fort. Des gouttes de sécrétions sortait de son méat.
Alors le sentant au bord de l’orgasme, elle a accéléré le mouvement de sa main tout en le gardant dans sa bouche, jusqu’à ce qu’il libère des flots de foutre au fond de sa gorge.
Pendant qu’elle lui nettoyait bien la queue, elle continuait de le branler.
« J’ai envie que tu me baise. »
Cette phrase lui a fait un électrochoc, le faisant rebander encore plus fort.
Aucun doute l’idée lui plaisait.
Nathalie s’est levée pour attraper une boite de préservatif dans le tiroir de la table de salon, puis a enlevé son caleçon pour se mettre à quatre pattes, sur un fauteuil de canapé, face au dossier.
Un genoux sur chaque accoudoir, les fesses bien offerte à la vue du jeune homme qui n’a pas résisté longtemps à cette position indécente.
Chaussé d’une capote, il l’a enfilé sans crier gare, presque bestialement et a commencé à la limer bien fort en lui tenant les hanches.
Il semblait parti pour un marathon.
Malgré son manque d’expérience flagrant, son endurance a permis à ma femme de prendre plusieurs fois son pied, plus elle jouissait, plus il semblait encore plus excité et plus il bandait fort.
Pendant plus d’une demi-heure, il l’a baisé dans cette position.
S’il avait été plus doux et plus expérimenté, elle lui aurait certainement offert son cul, mais ça elle s’est bien gardée de lui dire, en attendant il continuait à la démonter, presque mécaniquement.
Ils ont ensuite changé de position, Nathalie s’est allongée sur le canapé et il est venu sur elle.
Maintenant il l’embrassait et lui malaxait les seins sans s’arrêter de la défoncer.
C’est certainement la vue du visage de ma femme qui jouissait qui l’a fait craquer.
Dans un dernier élan il a éjaculé au fond de son ventre en poussant des grognements de plaisir, il semblait ne plus s’arrêter de libérer sa semence.
Une fois vidé, il s’est écroulé sur elle à bout de souffle.
Après avoir repris ses esprits, il s’est levé, à retirer le préservatif puis lui a demandé s’il pouvait reprendre une douche.
« Bien sûr, vas-y »
« Merci, heuuu… au fait, ne le dites pas à mon patron. »
« Mais non, ne t’inquiète pas. Allez maintenant file avant que je ne saute encore sur ta queue qui est toujours aussi raide. »
Ses affaires avaient eu le temps de sécher et il a pu se rhabiller en sortant de la salle de bain.
Seules ses chaussures étaient encore mouillées.
La pluie s’était arrêtée, il est sorti pour attendre son patron qui n’a pas tardé à arriver.
Une après-midi chez les voisins.
Dans une précédente histoire (Les deux frères), je vous ai raconté comment Nathalie avait connue deux frères Patrick et Jordan ainsi que leur père Robert.
Quand elle me parlait d’eux, elle les appelait « les voisins » car ils habitaient à cinq minutes de chez nous en voiture, enfin c’étaient les parents et le cadet (Jordan) qui habitait là, Patrick, lui, avait un appartement où il vivait avec sa copine situé dans un autre département d’Île de France.
Elle les voyait de temps en temps et souvent à la dernière minute, soit chez nous, soit chez les parents quand ils n’étaient pas là.
Un jour alors qu’elle était encore au boulot, elle a reçu un message de Patrick :
« On fait un barbecue ce midi avec Jordan, un cousin et un autre pote, ça te dit de venir maintenant ? On leur a parlé de toi, ils sont chauds bouillants. La piscine est à bonne température. »
Ils avaient une piscine hors sol, démontable qu’ils installaient aux beaux jours.
Nathalie a attendu sa pause pour répondre :
« Je ne peux pas venir, je ne finis pas avant treize heures trente »
Quelques minutes plus tard il lui a écrit :
« Viens après ton taf ce n’est pas grave. »
On s’était couchés tard la veille, des amis étaient venus manger à la maison, elle était fatiguée et aurait bien aimé faire une bonne sieste après son boulot.
Elle s’est dit que c’était dommage de louper une occasion pareil, quatre mecs qui allaient la démonter une partie de l’après-midi, ça ne pouvait pas se rater.
Tans-pis pour la sieste, elle dormira plus tôt ce soir.
« Ok je passe prendre une douche à la maison et j’arrive vers quatorze heures quinze, quatorze heures trente. »
« Superrrrrr, oublie le maillot de bain, ici on se baigne tous à poil. »
Une mini-jupe, un tee-shirt moulant et une paire de basket, tel était sa tenue quand elle a sonné à la porte.
Patrick est venu lui ouvrir :
« T’es toujours aussi bonne toi, c’est cool que tu sois là. »
« Je ne pouvais pas refuser quatre bites pour moi toute seule. »
En riant il a répondu :
« T’es quand même une sacré salope. Allez viens que je te présente. »
Une bonne dizaine de bières et deux bouteilles de rosé vides gisaient sur le sol.
Pascal, leur pote et Kevin, le cousin, étaient dans la piscine.
Jordan ramassait la nourriture qu’ils n’avaient pas manger pendant que Patrick faisait les présentations tout en caressant et en montrant les attributs de ma femme.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il l’avait mise à poil.
Ils étaient maintenant tous dans la même tenue.
« Va les rejoindre dans la piscine, je vais aider Jordan à ranger un peu et on arrive pour te démonter. »
« Hummm je n’attends que ça. »
A peine rentrée dans l’eau, les deux baigneurs se sont tout de suite rapprochés d’elle pour la tripoter sans vergogne.
« Alors comme ça c’est toi qui te tapes tous les mecs de la famille ? » lui a dit Kevin en ajoutant :
« Il parait que t’es une baiseuse hors pair, on va voir ça. »
Il attaquait fort, mais Nathalie n’était pas choquée pas ses paroles, ils savaient tous pourquoi elle était là, alors elle n’allait pas jouer l’offusquée, surtout qu’elle aimait être une salope et qu’on lui dise.
Les deux frères ne se gênaient pas pour la traiter avec des mots crus quand ils la baisaient ou quand elle les suçait, alors elle ne se faisait pas d’illusions, les deux autres allaient en faire autant.
Pas de séduction, Kevin s’est directement collé à elle pour lui rouler une pelle et lui caresser les fesses, Pascal s’est placé derrière pour s’occuper de sa lourde poitrine.
Elle les embrassait tour à tour, avait pris leur bite dans chaque main pour les branler.
Ils étaient déjà en érection et semblaient très échauffés.
Patrick est revenu avec des grandes serviettes qu’il a étalé sur l’herbe et voyant les deux autres surexcités, il a dit en montrant la couche qu’il venait de préparer :
« Venez, on sera mieux installé ici. »
Les deux avaient du mal à libérer Nathalie, mais elle a quand même réussi à se dégager de leur emprise pour sortir de la piscine.
Elle s’est agenouillée devant Patrick et a engloutie sa verge en semi-érection entre ses lèvres.
En quelques coups de langues, elle l’avait amenée au maximum de sa forme.
Jordan est arrivé avec deux boites de capotes qu’il a jeté au sol et s’est installé à côté de son frère en disant :
« Hé moi aussi j’en veux ! »
Nathalie a aussitôt attrapé sa queue pour la mettre dans le même état que celle de Patrick.
Sa bouche alternée d’une bite à l’autre, elle aspirait leur gland, léchait leur hampe et leurs couilles tout en leur jetant un regard de salope qu’ils connaissaient bien.
Kevin et Pascal n’ont pas tardés à venir les rejoindre et Natalie avait maintenant quatre belles queues devant elle à sucer.
Kevin est très vite passé derrière elle, la forçant à se mettre à quatre pattes, a enfilé une capote et s’est agenouillé pour se caler contre ses fesses et la pénétrer.
Les mains sur ses hanches il allait et venait avec vigueur en elle.
Elle gémissait de plaisir alors qu’elle continuait à sucer les trois autres et qu’elle se faisait copieusement baiser par le cousin.
Pascal voulait lui aussi en profiter, alors dès qu’elle a joui, il s’est présenté à son tour derrière elle, poussant son pote sans ménagement pour aller prendre sa place.
Debout au-dessus d’elle, il avait placé ses jambes à l’extérieur de celle de ma femme, puis s’est légèrement accroupi pour s’enfoncer en elle.
La position était un peu acrobatique mais très efficace, elle a de nouveau joui en moins de cinq minutes, elle le sentait bien loin et ses coups de reins rapide et profond lui on procurés beaucoup de plaisir, il a continué à la limer ainsi un bon moment, lui provoquant plusieurs orgasmes successifs.
N’en pouvant plus d’excitation, il s’est laissé aller à son tour et a éjaculé au fond son ventre.
Kevin s’est aussitôt précipité pour reprendre sa place et a recommencé à la bourrer d’une façon presque hystérique, elle aimait aussi cette façon presque bestiale de se faire démonter et a eu un nouvel orgasme très rapidement.
Il s’est lui aussi vidé en elle, en émettant un grognement de plaisir et en la traitant de salope.
« J’ai bien fait d’en ramener deux boites » s’est exclamé Jordan, « A ce rythme là on ne va pas en avoir assez »
Il s’est allongé, la bite bien raide coiffé d’un préservatif, il a fait un signe de la tête vers Nathalie pour lui proposer de venir s’empaler sur lui, sans aucune hésitation elle est venue s’asseoir sur ce chibre qu’elle connaissait bien et qui lui a donné du plaisir à maintes reprises.
Patrick qui ne se lassait pas de sa bouche et revenu tout près d’elle pour qu’elle l’engloutisse à nouveau tout en l’aidant à monter et descendre sur la queue de son frère.
Ils ont régulièrement échangé leurs positions et la prenaient ainsi dans tous les sens, en lui donnant un maximum de plaisir et de multiples orgasmes, alors que les deux autres s’étaient endormis sur la pelouse.
Quand ils se sont réveillés, elle était à genoux, face aux deux frères, occupée à boire le jus qu’ils déversaient dans sa bouche et qu’elle avalait avec gourmandise, n’en laissant pas une goutte, elle a bien nettoyé leur queue.
Pascal et Kevin sont revenus vers elle le braquemart toujours en l’air.
« Putain j’en encore envie de te baiser » lui a dit le premier, mais c’était déjà trop tard, le cousin qui avait déjà mis une capote, l’a reprise en levrette et s’astiquait au fond de son ventre en lui claquant les fesses.
« Oh t’es trop bonne toi salope, j’adore te baiser. »
Eux aussi se sont relayés pour la prendre et la faire jouir à plusieurs reprises, jusqu’à ce qu’ils soient sur le point d’éjaculer.
« Donne moi ta gueule de pute, je vais juter dessus » lui a dit Kevin.
« Oh putain oui bonne idée, on va la couvrir de jus cette chienne. » a répondu Pascal.
Ils se sont alors vidés sur son visage et ses seins, en vociférant tout un tas de mots crus à l’encontre de ma femme.
Patrick est venu vers eux en leur disant :
« Alors, je vous l’avais dit elle est d’enfer notre copine »
Nathalie s’est relevée en disant :
« Je vais prendre une douche parce que là j’en ai partout »
« Pas de problème ma belle, tu connais le chemin. » lui a répondu Patrick.
A poil elle a traversée un long couloir avec plusieurs portes fermées de chaque côté et au bout se trouvait la salle de bain.
Redevenue toute propre et toute fraîche, elle se dirigeait maintenant de nouveau vers le jardin d’où elle entendait les quatre garçons qui échangeaient apparemment leur ressenti sur celle qu’ils venaient de démonter une partie de l’après-midi, ça semblait assez élogieux et ils étaient près à remettre ça dès que possible.
En avançant dans le couloir une grande silhouette se trouvait dans l’encadrement d’une porte, désormais ouverte, Robert, le père était rentré plus tôt du travail, il semblait attendre Nathalie car dès qu’elle l’a vue, il lui a dit :
« Dit donc tu t’es bien éclatée toi. »
« Heuuuu oui c’était pas mal, tu nous as maté ? »
« Pas depuis le début, mais assez longtemps pour me donner envie. » disant cela il lui a pris la main pour la faire rentrer dans la pièce, c’était son bureau.
Se doutant de se dont il espérait avoir, elle a posé la main sur son sexe à travers son pantalon en lui disant :
« Tu veux me baiser ou tu préfère que je te fasse une pipe ? »
Sans répondre il lui a posé les mains sur les épaules pour la faire se mettre à genoux.
Le pantalon et le slip en bas des chevilles, elle avait englouti entre ses lèvres la queue en érection qu’elle avait devant elle.
Après quelques coups de langue il lui a dit :
« Attends viens je veux que tu me suce là-bas. »
Maintenant assis sur le bord de son fauteuil de bureau, les jambes bien écartées, ma femme à genoux entre ses cuisses, il pouvait savourer la fellation qu’elle lui prodiguait.
Elle lui gobait les couilles en les aspirant bien fort, puis remontait lécher sa hampe tout doucement pour arriver jusqu’au gland qu’elle titillait du bout de la langue avant de le mordillait puis de l’aspirer en l’entourant de ses lèvres pulpeuses, elle le sortait parfois de sa bouche pour le branler de ses mains, puis allait de nouveau l’engloutir et entourer son méat de sa langue.
Elle savait qu’il était assez cérébral, car il lui parlait souvent quand ils avaient des relations sexuelles et souvent elle rentrait dans son jeu.
« Tu aimes te faire défoncer par plusieurs mecs, petite pute. »
« Hummm oui j’adore ça, ils m’ont bien baisé tes fils, leur cousin et leur pote. »
« Oh salope, t’as bien pris ton pied. »
« Oui plein de fois, leurs queues étaient bonnes, la tienne aussi est bonne salaud. »
« Tu l’aimes ma bite aussi salope. »
« Oui je l’adore, j’aime quand elle se vide dans ma bouche. »
« Oh putain, sale chienne, tu suce trop bien. »
Elle le regardait droit dans les yeux avec un air très salope et en passant bien sa langue tout le long de sa queue.
Au summum de l’excitation il lui dit :
« Tu veux que je te ramène des potes un après-midi, moi aussi ? »
« Hummm, pourquoi pas » lui-a-t-elle répondue d’un air langoureux.
« Ça te plairait que je te présente à mes potes pour qu’ils te baisent, n’est-ce pas ma petite pute. »
« Hummm oui je crois que j’adorerais ça. »
« Tu serai ma chienne et je te prêterais à eux, tu feras tout ce que je te dis avec eux. »
« Salaud, tu veux leurs faire croire que je t’appartiens, que je suis ta pute et que tu me prête à eux. »
« Oui c’est ça t’es ma pute, ma chienne et ils vont te défoncer. »
« Tu me baisera aussi ? »
« Non, quand tu auras bien vidé leurs couilles, moi je viendrais à mon tour me vider dans ta bouche pour que tu avale tout. »
« Oh oui, j’adore te sentir éjaculer au fond de ma gorge. »
S’en était trop, il n’a pas réussi à se retenir plus longtemps, de grandes giclées de sperme sont venues se répandre sur sa langue.
Après qu’elle ait tout avalé et nettoyé, il lui a dit :
« J’étais sérieux dans ma proposition »
« Moi aussi dans ma réponse » a-t-elle répondue.
Le vent avait soufflé toute la nuit, moins fort qu’en 1999, mais le lendemain au réveil nous avons eu la mauvaise surprise de voir le mur de clôture effondré dans l’allée.
Difficile de trouver un maçon, ils avaient tous un carnet de commande bien rempli.
Nous avons quand même réussi à en trouver un par connaissance.
Les travaux devaient durer plusieurs jours, avant il travaillait seul, mais vu la charge de travail qu’il avait, il s’était résigné à prendre un apprenti.
Armindo était un Portugais d’une cinquantaine d’année, il travaillait dur et beaucoup, son nouvel équipier, Tony, démarrait dans la vie active, il avait 18 ou 19 ans et semblait aussi courageux que son patron.
Ils avaient bien avancé, encore une bonne journée de boulot et ce serait fini.
Quand Nathalie est revenue du taf, vers treize heures ce jour-là, il n’y avait que Tony.
« Il n’est pas avec toi Armindo ? »
« Non madame, il a dû se rendre en urgence sur un autre chantier, il repassera me prendre vers dix-sept heures. »
« Tu veux un café ? »
« Merci c’est gentil mais le temps se couvre et je voudrais avancer dans le travail qu’il reste à faire »
Elle est rentrée dans la maison, a grignotée puis est allée prendre un douche.
Il ne faisait pas chaud à l’intérieur, alors en sortant de la salle de bain, elle a enfilé un caleçon long, blanc et un gros pull à maille large avant de mettre la cheminée en route.
Elle avait un peu de mal à se réchauffer malgré le feu qui commençait à crépiter, ses tétons pointaient et traversaient la laine de son chandail.
Elle n’avait pas fait attention mais dehors il pleuvait à sceau, depuis quand, elle l’ignorait et soudain elle a pensée à Tony.
« J’espère qu’il s’est mis à l’abri, sinon il va être dans un sale état. »
Alors elle s’est levée pour aller voir.
Il était dans le garage, devant la porte de coté qui donnait face à celle de la cuisine, séparé par la terrasse, trempé, dégoulinant, frigorifié.
« Ne reste pas là, rentre dans la maison, tu va attraper la crève, pourquoi ne t’es tu pas mis à l’abri plus tôt ? Allez viens, rentre vite, je vais te chercher des serviettes pour te sécher. »
Quand elle est revenue de la salle de bain avec de quoi l’essuyer, il était dans le pas de la porte, une mare d’eau à ses pieds, il tremblait de froid et claquait des dents.
« Mon pauvre, tu as l’air trempé jusqu’aux os, tu ne vas jamais arriver à sécher, donne-moi ta veste et ton pantalon, je vais mettre ça au sèche-linge et tes chaussures devant la cheminée. »
Après un courte hésitation, il s’est exécuté.
Aie, le sweat, le slip et les chaussettes étaient dans le même état que le reste, il aurait du mal à se réchauffer même en se collant près du feu.
« Bon, je crois que là il faut employer les grands moyens, va dans la salle de bain, enlève tout et mets ça dans le sèche-linge, prends une douche bien chaude, jusqu’à ce que tu te sois réchauffé et enfile une grande serviette en attendant que ton linge soit sec. Je vais te préparer ça, tu auras juste à appuyer sur le bouton marche pour que ça démarre. »
De quinze ans son aînée et avec un ton autoritaire, elle ne lui avait pas donné le choix.
Quand il est sorti de la salle bain, tout penaud, la serviette autour de la taille, elle lui a dit de venir s’asseoir dans le canapé devant la cheminée.
Malgré son mètre quatre-vingts, il était tout frêle, pas encore une carrure d’homme.
« Tu veux un café ? »
« Oui je veux bien, merci. Mais … heuu… si votre mari rentre et qu’il me voit comme ça il va se poser des questions. »
Alors en éclatant de rire, elle lui a dit :
« Dit donc, tu as des idées bien salaces. »
« Non, non… mais… c’est pas ce que je voulais dire… je… heuu… »
« T’inquiète pas, il ne va pas rentrer tout de suite et te trouver presque à poil chez lui. »
Il était rouge de honte et de confusion.
Quand elle est revenue avec les boissons, elle s’est aperçue que son pull était assez transparent, les grosses mailles laissaient apparaître ses tétons et ne cachaient rien de son anatomie, de plus le caleçon qu’elle portait, permettait la même vision du bas de son corps.
Malgré sa gêne, Tony ne pouvait s’empêcher de lancer des regards furtifs vers elle.
Dès qu’il pouvait, ses yeux se portaient vers ses seins qui semblaient l’attirer.
Il avait placé ses mains devant lui, à la hauteur de son bas-ventre, comme s’il voulait cachait quelque chose.
A force de mater en douce, son corps lui jouait des tours et la serviette qu’il avait sur lui commençait doucement à prendre une forme de chapiteau.
Voyant qu’elle s’était aperçue de son état, il a bafouillé :
« Je… je… suis désolé… pardon, je… c’est pas de ma faute … »
« Chutttttttttt ne t’inquiète pas, ça va aller, ce n’est pas grave. »
« Oui mais… heu…pardon…vous êtes trop jolie, ça me perturbe, je ne voudrais pas vous choquer. »
En éclatant de rire, elle lui a dit :
« Ce n’est pas une bite en érection qui va me choquer, ne t’en fait pas pour ça. »
Et elle a ajoutée :
« Si tu veux je peux m’en arranger. »
Voyant qu’il ne semblait pas contre, elle a enlevé son pull et a ajoutée.
« Tiens tu peux les toucher si ça te dit. »
Aussitôt il a plaqué ses mains sur sa poitrine pour la caresser.
Dans ce mouvement brusque, sa serviette s’est détachée, libérant du même coup un sexe bien raide au gland turgescent.
La main droite de Nathalie a attrapé cette queue toute dure pour commencer à la branler, puis s’est penchée pour y coller sa bouche pulpeuse et l’engloutir complètement.
Sa langue jouait avec cette bite qui était aussi dur qu’une barre de fer, elle s’enroulait autour de son gland hyper sensible qui semblait prêt à exploser à chaque instant.
Elle descendait ensuite, en léchant son membre, jusqu’à ses couilles qu’elle godait entièrement, puis recommençait à le branler avant de le reprendre complètement dans sa bouche en l’aspirant bien fort. Des gouttes de sécrétions sortait de son méat.
Alors le sentant au bord de l’orgasme, elle a accéléré le mouvement de sa main tout en le gardant dans sa bouche, jusqu’à ce qu’il libère des flots de foutre au fond de sa gorge.
Pendant qu’elle lui nettoyait bien la queue, elle continuait de le branler.
« J’ai envie que tu me baise. »
Cette phrase lui a fait un électrochoc, le faisant rebander encore plus fort.
Aucun doute l’idée lui plaisait.
Nathalie s’est levée pour attraper une boite de préservatif dans le tiroir de la table de salon, puis a enlevé son caleçon pour se mettre à quatre pattes, sur un fauteuil de canapé, face au dossier.
Un genoux sur chaque accoudoir, les fesses bien offerte à la vue du jeune homme qui n’a pas résisté longtemps à cette position indécente.
Chaussé d’une capote, il l’a enfilé sans crier gare, presque bestialement et a commencé à la limer bien fort en lui tenant les hanches.
Il semblait parti pour un marathon.
Malgré son manque d’expérience flagrant, son endurance a permis à ma femme de prendre plusieurs fois son pied, plus elle jouissait, plus il semblait encore plus excité et plus il bandait fort.
Pendant plus d’une demi-heure, il l’a baisé dans cette position.
S’il avait été plus doux et plus expérimenté, elle lui aurait certainement offert son cul, mais ça elle s’est bien gardée de lui dire, en attendant il continuait à la démonter, presque mécaniquement.
Ils ont ensuite changé de position, Nathalie s’est allongée sur le canapé et il est venu sur elle.
Maintenant il l’embrassait et lui malaxait les seins sans s’arrêter de la défoncer.
C’est certainement la vue du visage de ma femme qui jouissait qui l’a fait craquer.
Dans un dernier élan il a éjaculé au fond de son ventre en poussant des grognements de plaisir, il semblait ne plus s’arrêter de libérer sa semence.
Une fois vidé, il s’est écroulé sur elle à bout de souffle.
Après avoir repris ses esprits, il s’est levé, à retirer le préservatif puis lui a demandé s’il pouvait reprendre une douche.
« Bien sûr, vas-y »
« Merci, heuuu… au fait, ne le dites pas à mon patron. »
« Mais non, ne t’inquiète pas. Allez maintenant file avant que je ne saute encore sur ta queue qui est toujours aussi raide. »
Ses affaires avaient eu le temps de sécher et il a pu se rhabiller en sortant de la salle de bain.
Seules ses chaussures étaient encore mouillées.
La pluie s’était arrêtée, il est sorti pour attendre son patron qui n’a pas tardé à arriver.
Une après-midi chez les voisins.
Dans une précédente histoire (Les deux frères), je vous ai raconté comment Nathalie avait connue deux frères Patrick et Jordan ainsi que leur père Robert.
Quand elle me parlait d’eux, elle les appelait « les voisins » car ils habitaient à cinq minutes de chez nous en voiture, enfin c’étaient les parents et le cadet (Jordan) qui habitait là, Patrick, lui, avait un appartement où il vivait avec sa copine situé dans un autre département d’Île de France.
Elle les voyait de temps en temps et souvent à la dernière minute, soit chez nous, soit chez les parents quand ils n’étaient pas là.
Un jour alors qu’elle était encore au boulot, elle a reçu un message de Patrick :
« On fait un barbecue ce midi avec Jordan, un cousin et un autre pote, ça te dit de venir maintenant ? On leur a parlé de toi, ils sont chauds bouillants. La piscine est à bonne température. »
Ils avaient une piscine hors sol, démontable qu’ils installaient aux beaux jours.
Nathalie a attendu sa pause pour répondre :
« Je ne peux pas venir, je ne finis pas avant treize heures trente »
Quelques minutes plus tard il lui a écrit :
« Viens après ton taf ce n’est pas grave. »
On s’était couchés tard la veille, des amis étaient venus manger à la maison, elle était fatiguée et aurait bien aimé faire une bonne sieste après son boulot.
Elle s’est dit que c’était dommage de louper une occasion pareil, quatre mecs qui allaient la démonter une partie de l’après-midi, ça ne pouvait pas se rater.
Tans-pis pour la sieste, elle dormira plus tôt ce soir.
« Ok je passe prendre une douche à la maison et j’arrive vers quatorze heures quinze, quatorze heures trente. »
« Superrrrrr, oublie le maillot de bain, ici on se baigne tous à poil. »
Une mini-jupe, un tee-shirt moulant et une paire de basket, tel était sa tenue quand elle a sonné à la porte.
Patrick est venu lui ouvrir :
« T’es toujours aussi bonne toi, c’est cool que tu sois là. »
« Je ne pouvais pas refuser quatre bites pour moi toute seule. »
En riant il a répondu :
« T’es quand même une sacré salope. Allez viens que je te présente. »
Une bonne dizaine de bières et deux bouteilles de rosé vides gisaient sur le sol.
Pascal, leur pote et Kevin, le cousin, étaient dans la piscine.
Jordan ramassait la nourriture qu’ils n’avaient pas manger pendant que Patrick faisait les présentations tout en caressant et en montrant les attributs de ma femme.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il l’avait mise à poil.
Ils étaient maintenant tous dans la même tenue.
« Va les rejoindre dans la piscine, je vais aider Jordan à ranger un peu et on arrive pour te démonter. »
« Hummm je n’attends que ça. »
A peine rentrée dans l’eau, les deux baigneurs se sont tout de suite rapprochés d’elle pour la tripoter sans vergogne.
« Alors comme ça c’est toi qui te tapes tous les mecs de la famille ? » lui a dit Kevin en ajoutant :
« Il parait que t’es une baiseuse hors pair, on va voir ça. »
Il attaquait fort, mais Nathalie n’était pas choquée pas ses paroles, ils savaient tous pourquoi elle était là, alors elle n’allait pas jouer l’offusquée, surtout qu’elle aimait être une salope et qu’on lui dise.
Les deux frères ne se gênaient pas pour la traiter avec des mots crus quand ils la baisaient ou quand elle les suçait, alors elle ne se faisait pas d’illusions, les deux autres allaient en faire autant.
Pas de séduction, Kevin s’est directement collé à elle pour lui rouler une pelle et lui caresser les fesses, Pascal s’est placé derrière pour s’occuper de sa lourde poitrine.
Elle les embrassait tour à tour, avait pris leur bite dans chaque main pour les branler.
Ils étaient déjà en érection et semblaient très échauffés.
Patrick est revenu avec des grandes serviettes qu’il a étalé sur l’herbe et voyant les deux autres surexcités, il a dit en montrant la couche qu’il venait de préparer :
« Venez, on sera mieux installé ici. »
Les deux avaient du mal à libérer Nathalie, mais elle a quand même réussi à se dégager de leur emprise pour sortir de la piscine.
Elle s’est agenouillée devant Patrick et a engloutie sa verge en semi-érection entre ses lèvres.
En quelques coups de langues, elle l’avait amenée au maximum de sa forme.
Jordan est arrivé avec deux boites de capotes qu’il a jeté au sol et s’est installé à côté de son frère en disant :
« Hé moi aussi j’en veux ! »
Nathalie a aussitôt attrapé sa queue pour la mettre dans le même état que celle de Patrick.
Sa bouche alternée d’une bite à l’autre, elle aspirait leur gland, léchait leur hampe et leurs couilles tout en leur jetant un regard de salope qu’ils connaissaient bien.
Kevin et Pascal n’ont pas tardés à venir les rejoindre et Natalie avait maintenant quatre belles queues devant elle à sucer.
Kevin est très vite passé derrière elle, la forçant à se mettre à quatre pattes, a enfilé une capote et s’est agenouillé pour se caler contre ses fesses et la pénétrer.
Les mains sur ses hanches il allait et venait avec vigueur en elle.
Elle gémissait de plaisir alors qu’elle continuait à sucer les trois autres et qu’elle se faisait copieusement baiser par le cousin.
Pascal voulait lui aussi en profiter, alors dès qu’elle a joui, il s’est présenté à son tour derrière elle, poussant son pote sans ménagement pour aller prendre sa place.
Debout au-dessus d’elle, il avait placé ses jambes à l’extérieur de celle de ma femme, puis s’est légèrement accroupi pour s’enfoncer en elle.
La position était un peu acrobatique mais très efficace, elle a de nouveau joui en moins de cinq minutes, elle le sentait bien loin et ses coups de reins rapide et profond lui on procurés beaucoup de plaisir, il a continué à la limer ainsi un bon moment, lui provoquant plusieurs orgasmes successifs.
N’en pouvant plus d’excitation, il s’est laissé aller à son tour et a éjaculé au fond son ventre.
Kevin s’est aussitôt précipité pour reprendre sa place et a recommencé à la bourrer d’une façon presque hystérique, elle aimait aussi cette façon presque bestiale de se faire démonter et a eu un nouvel orgasme très rapidement.
Il s’est lui aussi vidé en elle, en émettant un grognement de plaisir et en la traitant de salope.
« J’ai bien fait d’en ramener deux boites » s’est exclamé Jordan, « A ce rythme là on ne va pas en avoir assez »
Il s’est allongé, la bite bien raide coiffé d’un préservatif, il a fait un signe de la tête vers Nathalie pour lui proposer de venir s’empaler sur lui, sans aucune hésitation elle est venue s’asseoir sur ce chibre qu’elle connaissait bien et qui lui a donné du plaisir à maintes reprises.
Patrick qui ne se lassait pas de sa bouche et revenu tout près d’elle pour qu’elle l’engloutisse à nouveau tout en l’aidant à monter et descendre sur la queue de son frère.
Ils ont régulièrement échangé leurs positions et la prenaient ainsi dans tous les sens, en lui donnant un maximum de plaisir et de multiples orgasmes, alors que les deux autres s’étaient endormis sur la pelouse.
Quand ils se sont réveillés, elle était à genoux, face aux deux frères, occupée à boire le jus qu’ils déversaient dans sa bouche et qu’elle avalait avec gourmandise, n’en laissant pas une goutte, elle a bien nettoyé leur queue.
Pascal et Kevin sont revenus vers elle le braquemart toujours en l’air.
« Putain j’en encore envie de te baiser » lui a dit le premier, mais c’était déjà trop tard, le cousin qui avait déjà mis une capote, l’a reprise en levrette et s’astiquait au fond de son ventre en lui claquant les fesses.
« Oh t’es trop bonne toi salope, j’adore te baiser. »
Eux aussi se sont relayés pour la prendre et la faire jouir à plusieurs reprises, jusqu’à ce qu’ils soient sur le point d’éjaculer.
« Donne moi ta gueule de pute, je vais juter dessus » lui a dit Kevin.
« Oh putain oui bonne idée, on va la couvrir de jus cette chienne. » a répondu Pascal.
Ils se sont alors vidés sur son visage et ses seins, en vociférant tout un tas de mots crus à l’encontre de ma femme.
Patrick est venu vers eux en leur disant :
« Alors, je vous l’avais dit elle est d’enfer notre copine »
Nathalie s’est relevée en disant :
« Je vais prendre une douche parce que là j’en ai partout »
« Pas de problème ma belle, tu connais le chemin. » lui a répondu Patrick.
A poil elle a traversée un long couloir avec plusieurs portes fermées de chaque côté et au bout se trouvait la salle de bain.
Redevenue toute propre et toute fraîche, elle se dirigeait maintenant de nouveau vers le jardin d’où elle entendait les quatre garçons qui échangeaient apparemment leur ressenti sur celle qu’ils venaient de démonter une partie de l’après-midi, ça semblait assez élogieux et ils étaient près à remettre ça dès que possible.
En avançant dans le couloir une grande silhouette se trouvait dans l’encadrement d’une porte, désormais ouverte, Robert, le père était rentré plus tôt du travail, il semblait attendre Nathalie car dès qu’elle l’a vue, il lui a dit :
« Dit donc tu t’es bien éclatée toi. »
« Heuuuu oui c’était pas mal, tu nous as maté ? »
« Pas depuis le début, mais assez longtemps pour me donner envie. » disant cela il lui a pris la main pour la faire rentrer dans la pièce, c’était son bureau.
Se doutant de se dont il espérait avoir, elle a posé la main sur son sexe à travers son pantalon en lui disant :
« Tu veux me baiser ou tu préfère que je te fasse une pipe ? »
Sans répondre il lui a posé les mains sur les épaules pour la faire se mettre à genoux.
Le pantalon et le slip en bas des chevilles, elle avait englouti entre ses lèvres la queue en érection qu’elle avait devant elle.
Après quelques coups de langue il lui a dit :
« Attends viens je veux que tu me suce là-bas. »
Maintenant assis sur le bord de son fauteuil de bureau, les jambes bien écartées, ma femme à genoux entre ses cuisses, il pouvait savourer la fellation qu’elle lui prodiguait.
Elle lui gobait les couilles en les aspirant bien fort, puis remontait lécher sa hampe tout doucement pour arriver jusqu’au gland qu’elle titillait du bout de la langue avant de le mordillait puis de l’aspirer en l’entourant de ses lèvres pulpeuses, elle le sortait parfois de sa bouche pour le branler de ses mains, puis allait de nouveau l’engloutir et entourer son méat de sa langue.
Elle savait qu’il était assez cérébral, car il lui parlait souvent quand ils avaient des relations sexuelles et souvent elle rentrait dans son jeu.
« Tu aimes te faire défoncer par plusieurs mecs, petite pute. »
« Hummm oui j’adore ça, ils m’ont bien baisé tes fils, leur cousin et leur pote. »
« Oh salope, t’as bien pris ton pied. »
« Oui plein de fois, leurs queues étaient bonnes, la tienne aussi est bonne salaud. »
« Tu l’aimes ma bite aussi salope. »
« Oui je l’adore, j’aime quand elle se vide dans ma bouche. »
« Oh putain, sale chienne, tu suce trop bien. »
Elle le regardait droit dans les yeux avec un air très salope et en passant bien sa langue tout le long de sa queue.
Au summum de l’excitation il lui dit :
« Tu veux que je te ramène des potes un après-midi, moi aussi ? »
« Hummm, pourquoi pas » lui-a-t-elle répondue d’un air langoureux.
« Ça te plairait que je te présente à mes potes pour qu’ils te baisent, n’est-ce pas ma petite pute. »
« Hummm oui je crois que j’adorerais ça. »
« Tu serai ma chienne et je te prêterais à eux, tu feras tout ce que je te dis avec eux. »
« Salaud, tu veux leurs faire croire que je t’appartiens, que je suis ta pute et que tu me prête à eux. »
« Oui c’est ça t’es ma pute, ma chienne et ils vont te défoncer. »
« Tu me baisera aussi ? »
« Non, quand tu auras bien vidé leurs couilles, moi je viendrais à mon tour me vider dans ta bouche pour que tu avale tout. »
« Oh oui, j’adore te sentir éjaculer au fond de ma gorge. »
S’en était trop, il n’a pas réussi à se retenir plus longtemps, de grandes giclées de sperme sont venues se répandre sur sa langue.
Après qu’elle ait tout avalé et nettoyé, il lui a dit :
« J’étais sérieux dans ma proposition »
« Moi aussi dans ma réponse » a-t-elle répondue.
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