Les archives Ep01 Mes débuts dans l'entreprise

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Les archives Ep01 Mes débuts dans l'entreprise Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les archives Ep01 Mes débuts dans l'entreprise
Les archives Ep01
Mes débuts dans l'entreprise


C'est au sous sol que ça se passe, deuxième sous sol pour être exact. On passe les néons qui clignotent, à chaque fois que je vois ça j'ai l'impression que tout va s'éteindre et que je vais me retrouver dans le noir.

Vous savez à la façon d'un film noir, on s'introduit dans un couloir sombre, la lumière s'éteint et … heureusement les locaux qui suivent sont très lumineux.

Bref le bureau est plutôt confortable et tout à fait vivable. La zone de stockage elle, c'est moins agréable, ça ressemble à un immense placard plein de couloir de tiroir et d'étagère mais on n'y va le moins souvent possible.

Je m'y installais, une plante verte en plastique sur mon bureau, il n'y avait pas de fenêtre, une vrai n'aurait pas survécu, un petit truc qui bouge, un mobile et je me sentais chez moi.

Je recevais les dossiers, il ne me restait plus qu'à les classer. J'étais seul pour faire ce travail mais bien organisé, j'avais au moins trois fois le temps nécessaire pour ça.

Le reste du temps, je faisais ce que je voulais … Je glandais !

Au bout de quelques mois, je m'étais organisé, un jeux de fléchettes contre le mur de mon bureau, un poste de radio. La radio ne passait pas au sous sol, il était blindé, en cas de guerre nucléaire les archives devaient être protégées. Mais en attendant, la radio ne passait pas. Heureusement il y avait les CD.

Donc je travaillais, très décontracté, je glandais, je me tournais les pouces. Et quelquefois je recevais de la visite. C'était pas souvent, à ce moment l'ascenseur m'avertissait et je remontais rapidement mon pantalon …

Oui je sais, je ne glande pas toujours, quelquefois je me branle. J'avais entendu dire un de mes collègue un jour. '' Oh tu sais là bas, aux archives, ça ne rigole pas, là bas tu ne risques pas de te branler !''. Je peux vous garantir que si !

C'est lors du passage d'un agent qui était absent depuis plus de six mois que j'avais un premier doute. Je venais de me branler, c'était au moins la deuxième fois depuis le début de la journée. Je remontais mon pantalon, le réajustais et mine de rien j'allais accueillir mon visiteur à la sortie de l'ascenseur.

– Salut ! Il est pas là Sébastien ?
– Qui ça ?

Ma réponse semblait le surprendre, il s'attendait à autre chose, il s'attendait à quelque chose en fait. Ou alors il attendait quelque chose.

– Tu sais, je connais bien l'endroit moi aussi.
– Tu as travaillé ici également.
– Non mais je venais souvent à l'époque … de … Sébastien.
– Comme je te dis, je ne connais pas. Je ne sais pas qui était là avant moi !

Il hochait la tête de haut en bas et semblait chercher quelque chose.

Il me regardait, il allait dire quelque chose puis se ravisait. Je sentais bien qu'il voulait quelque chose mais n'osait pas aborder le sujet.

Je reprenais mon activité, en fait je n'avais rien à faire mais je faisais semblant. Je m'occupais enfin je faisais comme si j'avais quelque chose à faire. J'avais trié, classé, scanné et rangé tous les documents qu'on m'avait envoyé.

– Si tu cherches quelque chose, explique, je peux sans doute t'aider.

Il me regardait alors, il était là bien planté sur ses jambes en face de moi …

– Tu baises ? Me demandait-il.

C'était directe, vous en conviendrez. Sa question faisait le tour de ma tête, y rebondissait dans tous les sens. Je le regardait du sommet de son crane à ses genoux, je ne voyais pas ses pieds, je m'attardais distraitement sur son entre cuisse, ça semblait prometteur.

– C'est une proposition ?
– Gouirc ! Me répondait-il un peu embarrassé.
– Pourquoi pas.
– On peut baiser ? Là ?
– Montre moi ce que tu as à proposer.

Il me répondait avec un large sourire.

– Tu ne bloques pas l'entrée ?
– Bloquer la porte ? Mais on ne peut pas.
– Si tu enclenche l'alarme, on serait prévenu au cas ou quelqu'un arrive.

J'apprenais des choses sur mon prédécesseur. Les archives étaient donc un lupanar ou un truc comme ça. C'était du propre ! J'enclenchais l'alarme.

Mon visiteur ouvrait alors sa chemise, il avait un torse musclé, pas difforme, juste musclé, bien proportionné. Bel homme ! Il ouvrait ensuite son pantalon, le faisait tomber sur ses cheville et là je dois dire que j'étais séduit.

Il avait une magnifique bite, bien droite, bien proportionnée, un gland brillant et circoncis. Et ça pendait lourdement, bien à la verticale, bien droit entre ses cuisses. J'étais impressionné.

Et en plus le mec ne perdait pas de temps, il s'approchait de moi et me disait juste …

– Suce !

En voyant sa queue, je ne demandais que ça, je ne l'ai pas fait répéter. Je me penchais sur lui et prenais sa queue, cette très belle queue dans la bouche. Elle commençait à se redresser et continuait à prendre du volume dans ma bouche. Je sentais la douceur de son gland, il était large et épais. La queue qui suivait était bien épaisse également, c'était un régal !

Il me caressait les cheveux, il appuyait doucement sur ma nuque pour me tirer vers lui, il m'obligeait ainsi à bien avaler sa queue, à l'avaler bien à fond. Je ne résistais pas, et c'est vrai que là je découvrait un nouveau poste, depuis ce poste, on pouvait baiser en toute tranquillité.

Je peux vous garantir qu'il n'existe dans cette entreprise aucun autre bureau qui permet une telle chose. Si quelqu'un voulait nous déranger, il rappellerait l'ascenseur et une alarme m'avertirait, l'ascenseur était lent nous aurions tout le temps de nous rhabiller.

Il y avait aussi une salle d'eau, c'était dans le cas ou le locataire se retrouverait enfermé. Il ne faut pas oublier que nous étions dans un abris anti-atomique.

Je me laissait distraire mais mon hôte savait me rappeler à notre occupation. Il appuyait plus fort sur ma tête et toute mon attention revenait à sa queue qui glissait alors dans le fond de ma gorge. Je synchronisais ma respiration pour pouvoir bien gober cette magnifique queue. Je ne voulais rien perdre, oui je sais, c'est de la gourmandise mais ça ne fait pas grossir …

quand il retirait sa main, je continuais le mouvement moi même, j'avançais la tête, sa queue s'introduisait, glissait avec fluidité et je la caressais avec la langue.

À chaque mouvement je lui arrachais quelques gémissements de plaisir. Il me caressait les cheveux.

je vais t'enculer, relève toi, retourne toi et penche toi sur le bureau.

Ses intentions ne présentaient aucune équivoque. Je m'exécutais, j'ouvrais mon pantalon, il ne me laissait pas le temps de le baisser, avec énergie il me retournait, je me penchais sur mon bureau, il me baissait mon pantalon, il baissait aussi le sien.

Il bandait bien ferme à ce moment. Il s'enduisait la queue de gel puis sans attendre, il me l'enfonçait dans le cul avec force. J'ai hurlé, il me pénétrait avec une certaine violence, je hurlais de nouveau. Son ventre s'écrasait sur me fesses et claquait pendant que je criais de nouveau.

Nous étions dans abris anti atomique, à je ne sais combien de mètres sous terre, nul ne pouvait entendre mes cris. Il y avait bien un bouton d'appel d'urgence, mais pourquoi l'aurais-je enclenché. J'étais consentant. Je ne dis pas qu'il y allait un peu fort mais bon c'est souvent pas plus mal. Il me faisait mal mais ce sont là des choses qui arrivent.

Il se retirait complètement puis revenait à la charge, il recommençait encore et encore, par moment il se calmait. Par moment il appuyait son ventre contre mes fesses et je sentais sa queue bien logée au chaud dans mes entrailles.

C'était bon, terriblement bon.

Ensuite il se retirait, lentement et revenait lentement également puis il changeait de rythme. Il se retirait lentement puis revenait à la charge, bien à fond dans un mouvement rapide, vraiment rapide. Il s'amusait à faire claquer son ventre sur mes fesses.

Tout naturellement la douleur que j'avais ressenti au début avait disparu. Douloureux au début, ce rapport n'était plus que plaisir intense, ce n'était plus que du plaisir et j'en voulais encore, j'en voulais plus.

Il n'était pas pressé, et prenait bien son temps, il recommençait. De nouveau c'était la tendresse puis de nouveau c'était violent. Le plaisir montait, il faisait une pause et reprenait, le plaisir montait encore plus. À chaque fois qu'il reprenait après une pause je me sentais envahi d'une vague de plaisir qui rayonnait en moi depuis mon cul, ma prostate et le centre de mon ventre que tout le reste de mon corps.

Mes bras tremblaient, mes jambes aussi et si j'avais glissé du bureau je serait sans doute tombé. Mais même s'il me remuait, il me retenait également. Il me retenait avec force.

Je me laissais faire, je gémissais de plaisir, je tremblais de plaisir. Il faisait une nouvelle pause et déjà je respirais fort, je gémissait très fort. Il reprenait avec force et là j'ai joui, j'ai éjaculé. Je jouissais comme jamais ( Bon ça je le dis à chaque fois, ça ne compte pas ).

Il continuait, je suppliais, je le suppliais de me lâcher puis de ne pas me lâcher. Je le suppliais d'arrêter puis je l'implorait de continuer, plus fort. Il a fini par jouir dans un cri de plaisir. Je ne bougeais plus, il me lâchais et je tombais par terre.

Il se calmait.

– Super on va pouvoir recommencer nos petites discussions, comme à l'époque de Sébastien.

Il passait rapidement dans la salle d'eau, je récupérais, il faut dire qu'il avait une grosse bite, bien grosse et endurante. Je me préparais à me rendre à mon tour dans la salle d'eau.

– Mais qu'est-ce que ? S'exclamait-il.
– Quoi ! Répondais-je.
– Mais ta queue ?
– Tu t'imaginais que je n'en avais pas ?
– Non mais elle est libre !
– Bein oui ! La tienne aussi ! Non.
– Je croyais que tous les employé de ce service portait une cage à bite et que c'est pour ça qu'on peut les enculer aussi facilement.
– Moi j'ai pas besoin de ça pour qu'on m'encule aussi facilement. Tu sais, quand on aime !
– Mais c'est dégoûtant !

Il faisait alors une étrange grimace qui exprimait son dégoût.

– Mais qu'est ce que tu me racontes, on ne m'a jamais parlé de ça …
– Enfin, c'est une coutume ! Une tradition quoi ! Les employés masculins qui travaille dans cet immeuble doivent porter un dispositif de chasteté. C'est comme ça.

Je restais dubitatif à l'entendre.

– Je n'en ai jamais entendu parler. Et toi alors ?
– Moi je ne travaille pas dans ce service. Pour moi, c'est pas une obligation.

Je n'avais pas tout compris, on ne m'avais rien dit. J'ai d'abord pensé à une blague... Puis je n'y ai plus pensé …


A suivre


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