Les archives Ep02 Un infirmier très mignon
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les archives Ep02 Un infirmier très mignon
Les archives Ep02
Un infirmier très mignon
J'aurais bien parlé de ce truc à mon camarade de travail mais voilà, je n'avais pas de camarade de travail. J'oubliais donc cette histoire et continuais à glander et à me branler.
Mais je travaillais aussi, pas tout le temps mais de temps en temps.
Les jours passaient toujours aussi monotones, je recevais les archives à classer par le réseau pneumatique et un jour il y avait une lettre personnelle, une convocation pour être précis. J'étais invité à me rendre dans la journée au bureau des régularisation du service archivage.
J'espérais par dessus tout que ce n'était pas pour remettre en cause ma récente affectation. C'est que je m'y étais habitué à ce poste et je ne voulais pas le quitter.
À l'heure précise j'étais sur place. Je savais que la direction aimait la ponctualité. On ne me faisait pas attendre, et j'étais reçu par l'infirmier de l'équipement.
– Bonjour Charly, entrez, installez vous.
– Rien de grave j'espère.
– Oh non, juste un petit détail, un oublie.
– Je vous écoute.
– Voilà … Il nous est remonté aux oreilles que vous ne seriez pas porteur du dispositif de chasteté obligatoire dans nos services.
– C'est la deuxième fois qu'on m'en parle ces dernier temps. En effet je ne porte pas ce genre de dispositif.
L'idée commençait à me faire bander, j'avais bien sûr déjà vu ce genre de dispositif, et cette image ma faisait réagir.
– Mais on ne m'a jamais parlé de ça. Et vous non plus n'en portez pas je suppose.
– Justement c'est ça … ' le petit détail ' … on vous a oublié !
Il s'était levé et était devant moi à côté de son bureau. Il tirait alors l'avant de son pantalon vers le bas, il me révélait ainsi que lui, n'avait pas été oublié. Il me montrait un superbe dispositif de chasteté.
– Comme vous voyez, j'en porte un ! Me disait-il.
– Je vois, mais dites moi, pour pouvoir le mettre il ne faut pas bander je suppose ?
– Ça c'est sûr, sinon ça ne rentre pas ! Parce que …
– Bein oui !
L'infirmier réfléchissait un moment.
– Si ça ne passe pas, il ne reste plus qu'une seule solution.
– Ah parce que vous voulez vraiment que je mette un truc comme ça.
– Oh vous n'êtes pas obligé. Si vous refusé vous serez viré mais on vous trouvera un poste équivalent. Il n'y a que dans notre service que ce dispositif est obligatoire. Vous ne perdrez rien au change !
Je réfléchissais un long moment, il ne me bousculait pas, il ne voulait pas donner l'impression de me forcer la main.
Au bout d'un petit moment.
– Vous bandez toujours ?
– Plus que jamais !
– Si on en profitait pour faire les mesures en érection …
Vous croyez vraiment ?
– Il faut faire les mesures en érection et au repos, on ne sait jamais. Mais sachez qu'en aucun cas vous n'êtes obligé ou engagé.
Je baissais mon pantalon. J'étais un peu intimidé, il avait remonté le sien mais j'avais toujours cette image dans les yeux.
– Ça fait pas mal au moins ?
– Non,non, la mesure est totalement indolore.
– C'est pas à la mesure que je pensais.
L'infirmer procédait, il avait quelques petit outils gradué, dans le genre pied à coulisse ou règle, il y avait plusieurs tailles.
– Elle est bien grosse ? Vous ne trouvez pas ?
– Sans vouloir vous vexer, vous êtes dans la moyenne, sans plus. Peut être un peu plus large que la moyenne mais c'est tout.
Bon là je faisais la gueule, je le cachais mais je faisais la gueule.
– Et maintenant on fait quoi ? Demandais-je .
– Ça dépend de vous, si vous voulez procéder … Soit je fait une petite piqûre qui va en quelques secondes faire retomber l'érection, soi vous avez envie de vous faire plaisir.
– Je crois que je …
Et là c'était sans pensé à rien que je commençais à me masturber. L'infirmier me regardait avec un large sourire.
– Ça ne vous dérange pas si …
– Au contraire, c'est un spectacle que j'adore. C'est ce que je préfère dans mon métier.
Je ne comprenais pas vraiment ce qui m'arrivait. Me branler devant un mec, je l'avais souvent fait mais lui se branlait également. Là un très beau mec, un infirmier en plus, me regardait faire et ça me gênait. C'est pas pour ça que je débandais.
– Un problème, me demandait-il.
– Oui, heu, enfin non, c'est que vous me regardez … et …
– Je vois !
Sans rien rajouter d'autre il se penchait sur moi et prenait ma queue dans sa bouche. La tête me tournais, j'étais aux anges. Je me sentais terriblement virile, terriblement bien.
Il y avait cette petite cage à bite posée sur le bureau, je ne l'avais pas remarquée avant, je la regardait,elle me faisait bander. Je pense que l'infirmier et le plaisir qu'il me donnait avec sa langue n'étaient pas les seules choses qui me faisaient bander. Cette petite cage était entrée dans ma tête, je la devinais déjà autour de ma bite et je bandais comme jamais, comme si je ne pourrais jamais débander.
Avec sa langue il me caressait le gland, il savait y faire. Ensuite sa langue me caressait le bite pendant qu'elle glissait dans sa bouche.
Il faisait ça bien le petit bonhomme, j'ai même pensé lui demander de m'épouser mais aussitôt j'ai pouffé de rire. Il relevait la tête.
– Quelque chose te fait rire ?
– Heu ! La situation. C'était pas prévu tout ça !
– Après ça, tu ne vas pas refuser de porter le dispositif au moins.
– Vas y suce moi.
Je n'avais pas dit oui mais déjà je ne m'imaginais pas lui dire non. Il appuyait son visage sur moi, il le relevait et ma queue ressortait complètement. Une petite langue et il reprenait, il rabaissait son visage sur moi et ma queue toujours au sommet de sa forme s'écrasait au fond de sa gorge. C'était doux, c'était dur, c'était bon.
Je lui caressais les cheveux, j'appuyais sur sa tête et ma queue entrait dans sa gorge et quand je le relâchais elle ressortait.
– Je veux t'enculer !
Là il se redressait, il me regardait. C'est pas très conforme au règlement. Puis il réfléchissait.
Finalement au bout de quelques instants, il se relevait, d'un geste il retirait sa blouse. Il avait un très beau corps, une peau qui semblait tellement douce, et douceurs musculaire, il était musclé mais il était doux également. Il baissait sur sa lancée son pantalon, il n'avait pas de sous vêtements.
J'en faisais de même, je n'étais pas aussi beau que lui. Enfin j'avais un certains succès mais je le trouvais mieux que moi, plus beau que moi.
On se prenait dans les bras, on s'embrassait avec passion maintenant. Il se retournait, se penchait en avant, il m'offrait son cul. Il me tendait un flacon de gel, je m'en recouvrais la bite et sans attendre prenais position.
– C'est bon ! Lui demandais-je.
– Vas-y défonce moi le cul ! Me répondait-il.
Il le voulait, je le voulais, je poussais bien fort d'un coup et mon ventre s'écrasait sur ses fesses. Je l'avait enfilé en un mouvement, rapide mais il l'avait senti passer. Je l'avais senti se contracter et je le sentais gémir, il était crispé.
– C'est bon ? lui demandais-je.
– Gnnnn …
C'est à peut près tout ce qu'il parvenait à me répondre. Je n'attendais pas vraiment et je commençais à lui limer le cul. Je ressortais et revenais avec force. Je le sentais, il se contractait, il se crispait mais il en redemandait.
J'accélérais mon mouvement et rapidement je devenais violent, je faisais claquer mon ventre contre ses fesses, en réponse, il hurlait. Je ne me laissais pas attendrir, je prenais conscience que c'était la dernière fois que je faisais ça, qu'il le savait. Je décidais de me venger en avance sur son cul. Je ne lui ferais pas de cadeaux.
Je me retirais et je revenais, de plus en plus vite, de plus en plus fort et même de plus en plus violent. Je me sentais bien, je me sentais fier, je me sentais virile. Je me disais que c'est ça que je voulais faire, tous les jours …
l'image de la virilité enfermé dans une petite cage en titane me stimulait, me donnait des désirs. Le désir de jouir, le plaisir d'être un homme, la fierté de pouvoir l'exprimer comme je le faisais là avec ma queue !
Je sentais le plaisir monter en moi, je sentais le plaisir exploser dans mon torse. Je ne m'inquiétais plus du tout de mon petit infirmier, il n'était plus qu'un objet de plaisir, une sorte de sex-toy.
Je le voyais se tordre, je ne savais pas si c'était de plaisir ou de douleur mais comme il ne tentait pas de se dégager, je le retenait sans effort et j'en profitait.
Il respirait très fort, il poussait des sortes de râles, de gémissements qui devenaient de plus en plus forts et de plus en plus violent. Au bout d'un moment il fallait bien se rendre à l'évidence, si au début je lui avait fait mal par la suite la douleur s'était transformée en un plaisir, il n'aurait pas supporté autrement. Le plaisir devait être intense, et pour moi aussi le plaisir montait.
J'ai atteint la limite de contrôle. Passé cette limite de non retour le plaisir se manifestait au niveau de ma bite. J'éjaculais, j'éjaculais généreusement j'ai du gicler au moins quinze ou trente fois … Peut être moins en fait.
Mais la vue de ce dispositif sur le bureau terminait de participer à ce plaisir qui devait me marquer et rester bien gravé dans mon esprit.
Je me retirais, il me montrait une salle de bain. Je me lavais, il me rejoignait rapidement. Il se lavait le cul pendant que j'essuyais ma queue.
– Tu es sûr de vouloir garder ton poste aux archives ? Me demandait-il. Sinon je te garde pour moi.
Mais il faut bien comprendre que j'aime me faire défoncer le cul !
Nous revenions dans la salle d'examen, il se rhabillait, c'était rapide, il n'avait pas grand chose sur le dos. Je bandais toujours.
– Ça ne nous a pas fait avancer cette histoire ! Me disait-il. Je vais faire une petite piqûre.
– Ça ne fait pas mal ?
– Non ! Tu ne sentiras presque rien !
En effet je n'ai presque rien senti, l'aiguille était tellement petite qu'on ne la voyait même pas, elle faisait moins d'un millimètre de long.
Par contre elle était efficace, en quelques secondes je voyais ma queue se ratatiner. Il procédait aux mesures. Il entrait les mesures dans son ordinateur et quelques instant plus tard il avait la taille du dispositif que je mettrais.
Il me le présentait. L'objet me semblait minuscule. Mais tellement minuscule qu'une certaine angoisse se manifestait. Je ne pourrais jamais tenir la dedans. Pourtant quand je le posais à côté de ma bite, ça semblait jouable. Ça semblait réaliste. Il fallait que le dispositif rentre dans la tête avant que la queue ne rentre dans la cage.
Plus rien ne s'y opposait, il ne m'a fallu que quelques secondes pour glisser mes couilles puis ma bite dans l'anneau puis enfin ma queue, elle glissait ensuite dans la cage, elle touchait bien un peu les bords mais c'était pas gênant.
Je me sentais surexcité pourtant je ne bandais pas. C'était étrange, étrange et fascinant. J'étais comme un témoin extérieur qui regardait une opérations qui ne le concernait pas. J'avais l'impression de bander mais pourtant rien !
Il me donnait le cadenas. C'était à moi de le refermer, la première fois qu'on met un tel dispositif, ce doit toujours être ainsi.
Je me retrouvais enfermé dans une cage à bite. Vous pouvez me croire ce n'est pas à mon boulot que je pensais.
Je me rhabillais, je discutais un moment avec l'infirmier, il me donnais des conseils. Avant de me laisser repartir.
– Si tu décides de le garder on se revoit dans un an, sauf en cas de besoin.
J'avais trois mois pour valider, ensuite la clé serait envoyée au centre de contrôle des clés. C'est le second service ou tout le monde porte un tel dispositif.
A suive
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Un infirmier très mignon
J'aurais bien parlé de ce truc à mon camarade de travail mais voilà, je n'avais pas de camarade de travail. J'oubliais donc cette histoire et continuais à glander et à me branler.
Mais je travaillais aussi, pas tout le temps mais de temps en temps.
Les jours passaient toujours aussi monotones, je recevais les archives à classer par le réseau pneumatique et un jour il y avait une lettre personnelle, une convocation pour être précis. J'étais invité à me rendre dans la journée au bureau des régularisation du service archivage.
J'espérais par dessus tout que ce n'était pas pour remettre en cause ma récente affectation. C'est que je m'y étais habitué à ce poste et je ne voulais pas le quitter.
À l'heure précise j'étais sur place. Je savais que la direction aimait la ponctualité. On ne me faisait pas attendre, et j'étais reçu par l'infirmier de l'équipement.
– Bonjour Charly, entrez, installez vous.
– Rien de grave j'espère.
– Oh non, juste un petit détail, un oublie.
– Je vous écoute.
– Voilà … Il nous est remonté aux oreilles que vous ne seriez pas porteur du dispositif de chasteté obligatoire dans nos services.
– C'est la deuxième fois qu'on m'en parle ces dernier temps. En effet je ne porte pas ce genre de dispositif.
L'idée commençait à me faire bander, j'avais bien sûr déjà vu ce genre de dispositif, et cette image ma faisait réagir.
– Mais on ne m'a jamais parlé de ça. Et vous non plus n'en portez pas je suppose.
– Justement c'est ça … ' le petit détail ' … on vous a oublié !
Il s'était levé et était devant moi à côté de son bureau. Il tirait alors l'avant de son pantalon vers le bas, il me révélait ainsi que lui, n'avait pas été oublié. Il me montrait un superbe dispositif de chasteté.
– Comme vous voyez, j'en porte un ! Me disait-il.
– Je vois, mais dites moi, pour pouvoir le mettre il ne faut pas bander je suppose ?
– Ça c'est sûr, sinon ça ne rentre pas ! Parce que …
– Bein oui !
L'infirmier réfléchissait un moment.
– Si ça ne passe pas, il ne reste plus qu'une seule solution.
– Ah parce que vous voulez vraiment que je mette un truc comme ça.
– Oh vous n'êtes pas obligé. Si vous refusé vous serez viré mais on vous trouvera un poste équivalent. Il n'y a que dans notre service que ce dispositif est obligatoire. Vous ne perdrez rien au change !
Je réfléchissais un long moment, il ne me bousculait pas, il ne voulait pas donner l'impression de me forcer la main.
Au bout d'un petit moment.
– Vous bandez toujours ?
– Plus que jamais !
– Si on en profitait pour faire les mesures en érection …
Vous croyez vraiment ?
– Il faut faire les mesures en érection et au repos, on ne sait jamais. Mais sachez qu'en aucun cas vous n'êtes obligé ou engagé.
Je baissais mon pantalon. J'étais un peu intimidé, il avait remonté le sien mais j'avais toujours cette image dans les yeux.
– Ça fait pas mal au moins ?
– Non,non, la mesure est totalement indolore.
– C'est pas à la mesure que je pensais.
L'infirmer procédait, il avait quelques petit outils gradué, dans le genre pied à coulisse ou règle, il y avait plusieurs tailles.
– Elle est bien grosse ? Vous ne trouvez pas ?
– Sans vouloir vous vexer, vous êtes dans la moyenne, sans plus. Peut être un peu plus large que la moyenne mais c'est tout.
Bon là je faisais la gueule, je le cachais mais je faisais la gueule.
– Et maintenant on fait quoi ? Demandais-je .
– Ça dépend de vous, si vous voulez procéder … Soit je fait une petite piqûre qui va en quelques secondes faire retomber l'érection, soi vous avez envie de vous faire plaisir.
– Je crois que je …
Et là c'était sans pensé à rien que je commençais à me masturber. L'infirmier me regardait avec un large sourire.
– Ça ne vous dérange pas si …
– Au contraire, c'est un spectacle que j'adore. C'est ce que je préfère dans mon métier.
Je ne comprenais pas vraiment ce qui m'arrivait. Me branler devant un mec, je l'avais souvent fait mais lui se branlait également. Là un très beau mec, un infirmier en plus, me regardait faire et ça me gênait. C'est pas pour ça que je débandais.
– Un problème, me demandait-il.
– Oui, heu, enfin non, c'est que vous me regardez … et …
– Je vois !
Sans rien rajouter d'autre il se penchait sur moi et prenait ma queue dans sa bouche. La tête me tournais, j'étais aux anges. Je me sentais terriblement virile, terriblement bien.
Il y avait cette petite cage à bite posée sur le bureau, je ne l'avais pas remarquée avant, je la regardait,elle me faisait bander. Je pense que l'infirmier et le plaisir qu'il me donnait avec sa langue n'étaient pas les seules choses qui me faisaient bander. Cette petite cage était entrée dans ma tête, je la devinais déjà autour de ma bite et je bandais comme jamais, comme si je ne pourrais jamais débander.
Avec sa langue il me caressait le gland, il savait y faire. Ensuite sa langue me caressait le bite pendant qu'elle glissait dans sa bouche.
Il faisait ça bien le petit bonhomme, j'ai même pensé lui demander de m'épouser mais aussitôt j'ai pouffé de rire. Il relevait la tête.
– Quelque chose te fait rire ?
– Heu ! La situation. C'était pas prévu tout ça !
– Après ça, tu ne vas pas refuser de porter le dispositif au moins.
– Vas y suce moi.
Je n'avais pas dit oui mais déjà je ne m'imaginais pas lui dire non. Il appuyait son visage sur moi, il le relevait et ma queue ressortait complètement. Une petite langue et il reprenait, il rabaissait son visage sur moi et ma queue toujours au sommet de sa forme s'écrasait au fond de sa gorge. C'était doux, c'était dur, c'était bon.
Je lui caressais les cheveux, j'appuyais sur sa tête et ma queue entrait dans sa gorge et quand je le relâchais elle ressortait.
– Je veux t'enculer !
Là il se redressait, il me regardait. C'est pas très conforme au règlement. Puis il réfléchissait.
Finalement au bout de quelques instants, il se relevait, d'un geste il retirait sa blouse. Il avait un très beau corps, une peau qui semblait tellement douce, et douceurs musculaire, il était musclé mais il était doux également. Il baissait sur sa lancée son pantalon, il n'avait pas de sous vêtements.
J'en faisais de même, je n'étais pas aussi beau que lui. Enfin j'avais un certains succès mais je le trouvais mieux que moi, plus beau que moi.
On se prenait dans les bras, on s'embrassait avec passion maintenant. Il se retournait, se penchait en avant, il m'offrait son cul. Il me tendait un flacon de gel, je m'en recouvrais la bite et sans attendre prenais position.
– C'est bon ! Lui demandais-je.
– Vas-y défonce moi le cul ! Me répondait-il.
Il le voulait, je le voulais, je poussais bien fort d'un coup et mon ventre s'écrasait sur ses fesses. Je l'avait enfilé en un mouvement, rapide mais il l'avait senti passer. Je l'avais senti se contracter et je le sentais gémir, il était crispé.
– C'est bon ? lui demandais-je.
– Gnnnn …
C'est à peut près tout ce qu'il parvenait à me répondre. Je n'attendais pas vraiment et je commençais à lui limer le cul. Je ressortais et revenais avec force. Je le sentais, il se contractait, il se crispait mais il en redemandait.
J'accélérais mon mouvement et rapidement je devenais violent, je faisais claquer mon ventre contre ses fesses, en réponse, il hurlait. Je ne me laissais pas attendrir, je prenais conscience que c'était la dernière fois que je faisais ça, qu'il le savait. Je décidais de me venger en avance sur son cul. Je ne lui ferais pas de cadeaux.
Je me retirais et je revenais, de plus en plus vite, de plus en plus fort et même de plus en plus violent. Je me sentais bien, je me sentais fier, je me sentais virile. Je me disais que c'est ça que je voulais faire, tous les jours …
l'image de la virilité enfermé dans une petite cage en titane me stimulait, me donnait des désirs. Le désir de jouir, le plaisir d'être un homme, la fierté de pouvoir l'exprimer comme je le faisais là avec ma queue !
Je sentais le plaisir monter en moi, je sentais le plaisir exploser dans mon torse. Je ne m'inquiétais plus du tout de mon petit infirmier, il n'était plus qu'un objet de plaisir, une sorte de sex-toy.
Je le voyais se tordre, je ne savais pas si c'était de plaisir ou de douleur mais comme il ne tentait pas de se dégager, je le retenait sans effort et j'en profitait.
Il respirait très fort, il poussait des sortes de râles, de gémissements qui devenaient de plus en plus forts et de plus en plus violent. Au bout d'un moment il fallait bien se rendre à l'évidence, si au début je lui avait fait mal par la suite la douleur s'était transformée en un plaisir, il n'aurait pas supporté autrement. Le plaisir devait être intense, et pour moi aussi le plaisir montait.
J'ai atteint la limite de contrôle. Passé cette limite de non retour le plaisir se manifestait au niveau de ma bite. J'éjaculais, j'éjaculais généreusement j'ai du gicler au moins quinze ou trente fois … Peut être moins en fait.
Mais la vue de ce dispositif sur le bureau terminait de participer à ce plaisir qui devait me marquer et rester bien gravé dans mon esprit.
Je me retirais, il me montrait une salle de bain. Je me lavais, il me rejoignait rapidement. Il se lavait le cul pendant que j'essuyais ma queue.
– Tu es sûr de vouloir garder ton poste aux archives ? Me demandait-il. Sinon je te garde pour moi.
Mais il faut bien comprendre que j'aime me faire défoncer le cul !
Nous revenions dans la salle d'examen, il se rhabillait, c'était rapide, il n'avait pas grand chose sur le dos. Je bandais toujours.
– Ça ne nous a pas fait avancer cette histoire ! Me disait-il. Je vais faire une petite piqûre.
– Ça ne fait pas mal ?
– Non ! Tu ne sentiras presque rien !
En effet je n'ai presque rien senti, l'aiguille était tellement petite qu'on ne la voyait même pas, elle faisait moins d'un millimètre de long.
Par contre elle était efficace, en quelques secondes je voyais ma queue se ratatiner. Il procédait aux mesures. Il entrait les mesures dans son ordinateur et quelques instant plus tard il avait la taille du dispositif que je mettrais.
Il me le présentait. L'objet me semblait minuscule. Mais tellement minuscule qu'une certaine angoisse se manifestait. Je ne pourrais jamais tenir la dedans. Pourtant quand je le posais à côté de ma bite, ça semblait jouable. Ça semblait réaliste. Il fallait que le dispositif rentre dans la tête avant que la queue ne rentre dans la cage.
Plus rien ne s'y opposait, il ne m'a fallu que quelques secondes pour glisser mes couilles puis ma bite dans l'anneau puis enfin ma queue, elle glissait ensuite dans la cage, elle touchait bien un peu les bords mais c'était pas gênant.
Je me sentais surexcité pourtant je ne bandais pas. C'était étrange, étrange et fascinant. J'étais comme un témoin extérieur qui regardait une opérations qui ne le concernait pas. J'avais l'impression de bander mais pourtant rien !
Il me donnait le cadenas. C'était à moi de le refermer, la première fois qu'on met un tel dispositif, ce doit toujours être ainsi.
Je me retrouvais enfermé dans une cage à bite. Vous pouvez me croire ce n'est pas à mon boulot que je pensais.
Je me rhabillais, je discutais un moment avec l'infirmier, il me donnais des conseils. Avant de me laisser repartir.
– Si tu décides de le garder on se revoit dans un an, sauf en cas de besoin.
J'avais trois mois pour valider, ensuite la clé serait envoyée au centre de contrôle des clés. C'est le second service ou tout le monde porte un tel dispositif.
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