Les archives Ep04 Pan dans l'cul
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les archives Ep04 Pan dans l'cul
Les archives Ep04
Pan dans l'cul
Sa fausse queue était nettement plus grosse que la mienne, que ma vraie queue je veux dire. Mais il l'avait aussi acheté pour lui, par seulement pour faire plaisir à ses invités.
Tout comme celle qu'on venait d'acheter pour moi. Modèle hyperréaliste, très doux au contact, hypoallergénique et anti acarien, comme il convient …
Il se masturbait comme s'il voulait s'assurer de son érection. Je ne voudrais pas dire mais il y en a plein qui font ça, pourtant avec un truc pareil, on ne risque pas de débander, enfin …
Je le regardais faire, je savais parfaitement ou il voulait en venir. Ça me faisait un peu peur, l'engin était de belle taille, mais pas trop. Avec un peu de douceur et une bonne dose de gel lubrifiant, ça devait aisément glisser.
C'est que je ne suis plus un débutant moi.
– Tu te retournes ? Me demandait-il avec une voix très douce.
Je prenais position, à quatre patte devant lui, mon cul bien offert. Comme je viens de vous le dire, je ne suis plus un débutant !
Il me caressait alors les fesses, il ne touchait pas à mes couilles, moi j'aime bien qu'on me tripote les couilles, mais bon, c'est lui qui était aux commandes. Je le laissait faire.
Tranquillement il me caressait les fesses et me lubrifiait le cul. Il entrait un doigt, puis deux, il les ressortait et les glissait de nouveau, il prenait bien la peine de lubrifier.
Cette opération devait durer quelques minutes, puis il prenait position, plaçais sa queue. Oui je sais c'était pas une vrai mais c'était sa queue tout de même. Donc il plaçait le bout de sa queue juste sur l'ouverture de mon petit trou de balle et poussait.
Il n'a pas fait semblant le con. Il a poussé avec une certaine force, juste assez pour que sa queue me défonce le cul. Oui on peut résumer sa manière d'agir à ça. Juste assez … J'ai hurlé, il m'a fait un peu mal l'animal, ensuite il ne bougeait plus. Il se laissait retomber sur mon dos, je reprenais mon souffle comme je pouvais et lui appuyait son ventre, sur mes fesses.
Son gode était entré en un seul mouvement mais je l'avais senti passer et je le sentais encore. Je parvenais à me détendre et voyant cela il ressortait doucement avant de revenir avec force.
Je ne hurlais plus mais je respirais bien fort. Il était plus violent que je ne l'aurais pensé. Il se retirait puis revenait bien à fond, il faisait une pause avant de recommencer.
Rapidement le plaisir montait. Il écrasait mollement ma prostate, et le plaisir qu'il me donnait n'était pas dépourvu d'une certaine douleur, mais quelque chose de très supportable. Une douleur que remplaçait un plaisir, un très grand plaisir.
Il continuait à enfoncer son gode puis de le retirer, il continuait à s'amuser avec mon cul. Pour moi c'était un plaisir, un plaisir qui rayonnait dans tout mon corps, je tremblais, mes bras tremblaient, mes jambes … Je ne parvenais même plus à tenir à quatre patte. Je retombais la joue sur le tapis, je râlais de plaisir, je gémissais.
Il me secouait tant qu'il pouvait. Il me tirait vers lui avec force et en même temps il balançais son bassin contre mes fesses. J'en prenais plein le cul et tout ce que pouvais faire était râler, gémir, implorer.
Brusquement ses mouvements devenaient plus saccadés, s'il m'avait enculé avec sa vraie queue je me serais dit qu'il jouissait mais là, il ne devait pas ressentir grand chose. Ses coups devenaient très violents, il râlait lui aussi, oui lui aussi car je jouissais, je jouissais déjà depuis un moment et à ce moment précisément je jouissais avec tout mon corps, pas seulement avec mon cul ou avec ma queue.
Je jutais longuement, un flot de sperme coulait de ma cage au moment ou il se retirait. Lui aussi il avait éjaculé.
Je ne comprenais pas vraiment pourquoi.
On prenait le temps de récupérer, juste après ça, je ne pouvais pas tenir debout, il m'a fallu un moment pour tenir debout.
On se retrouvait sous la douche.
– Mais tu as joui ? Lui demandait-je.
– C'est dans la tête que tout se passe.
– Mais c'est pas une vraie queue, tu ne peux rien ressentir.
– En effet mais comme je te le dis, c'est dans la tête. J'ai vu des mecs se masturber le gode et finir par éjaculer, ils jouissaient.
– C'est pas croyable !
– Bon, tout le monde n'y arrive pas !
Ensuite on est resté là à discuter, il était vraiment très beau. Par moments je voulais garder la cage pour toujours, par moment j'étais décidé à ne pas la garder bien longtemps. Là c'était nouveau, c'était un moment ou je ne savais plus.
On a bu une bière, on a parlé, on a commandé une pizza. Il faisait déjà nuit quand je suis rentré chez moi.
Le lendemain on s'est revu au boulot, il connaissait tout le personnel dans le service, il avait équipé tout le personnel avec un dispositif de chasteté. Il voyait régulièrement tout le monde. Au moindre petit problème c'est lui qu'on venait voir.
Depuis il passe me voir, comme ça, pour discuter ou pour prendre des nouvelles. Et là, il me raconte comment ça se passe dans le service.
Sinon, le matin vers dix heures je recevais de la visite, je ne sais pas comment ils s'organisaient mais, il y avait toujours une visite à la fois. Au début, c'était un peu timide mais si tout se passait bien. C'est quand même moi qui décidait si affinité. Car selon affinité, on discutait ou on faisait plus.
Un jour par exemple.
– Il paraît que tu portes un cage de chasteté dans ce service. Me demandait un petit jeune qui était venu chercher un document bien précis.
– Tout à fait ! Lui répondais-je, et comme il était mignon je rajoutais. Tu veux voir ?
Il faisait ' oui 'de la tête avec un large sourire gêné, il devenait également tout rouge. Je me relevais, lui faisait face et ouvrais mon pantalon. J'avais rapidement pris l'habitude de ne plus mettre de sous vêtements.
Il me regardait faire, je pouvais ressentir sa gêne, mais c'est lui qui avait demandé. Je baissais mon pantalon et lui montrait fièrement mon dispositif. Il regardait avec des yeux tout ronds.
– Et toi alors, tu montres.
Il semblait se réveiller en entendant ma voix, il baissait son pantalon, rien ne se voyait à ce niveau puis il me montrait une toute petite bite.
Là je me disais qu'on n'allait pas s'amuser finalement. Il bandait mais ça ne se voyait même pas sous son pantalon. Il continuait à regarder ma cage à bite avec attention puis murmurait.
– C'est superbe, j'en veux une pareil !
Il remontait son pantalon et se sauvait en oubliant le document qu'il était venu chercher. Je me disais alors que ce n'était pas un client pour mon cul mais pour l'infirmier du service.
Le jour même l'infirmier l'a vu passer, j'avais gardé son nom et mon très mignon infirmier me confirmait qu'il l'avait équipé alors qu'il n'était pas obligé, il travaillait dans un autre service et en plus il était stagiaire. Quand il a terminé son stage il n'a même pas demandé sa clé. Il avait déclaré qu'il espérait bien revenir travailler dans cette entreprise et que ça l'aiderait à avoir une place … C'est ce qu'on lui avait dit.
Sinon il y avait Hubert, Monsieur Hubert … lui il était bien monté, très bien monté même. J'étais toujours ravis de ses visites, moi qui aime les bite bien grosses, bien grasses, bien longues. Avec lui j'étais comblé.
Il n'aimait pas perdre de temps et ne s'attardait jamais plus d'une demie heure. Il arrivait, s'assurait qu'il ne dérangeait personne puis retirait ses vêtements. J'en faisais de même. Ce n'était pas un bavard, il préférait les actes aux mots.
Je prenais alors position et c'est en tremblant, toujours en tremblant avec lui que je le laissais procéder. Il bandait, je pense ne l'avoir vu qu'en érection celui là. Il se lubrifiait la queue et sans plus de formalité il me défonçait le cul.
Il prenait position et appuyait sa queue sur mon cul, j'adorais le sentir appuyer contre mon trou de balle, j'adorais cette pression et cette sensation au moment ou mon cul cédait. Ça faisait un peu mal mais je savais me détendre, il savait appuyer juste ce qu'il fallait. Sa queue entrait alors lentement mais sans pitié. Puis il me limait le cul. Il me parlait en même temps, j'écoutais sans répondre. Il ne s'occupait pas de ce je disais ou ne disais pas.
Il me parlait, il racontait sa vie, sa femme par exemple. Avec elle il ne s'amusait pas tous les jours.
Il me limait le cul de plus en plus vite. Il savait accélérer juste assez pour que je craque pas. Avec lui tout était calculé. La vitesse de ses allers retours, la violence des coups qu'il ne manquait pas de me donner quand il écrasait son ventre sur mes fesses. Il s'énervait un peu, me tirait vers lui en me donnant des coups de bite au fond de mes entrailles, pendant de longues minutes j'entendais le bruit que ça faisait. Ça claquait sec.
Il râlait, là il ne racontait plus sa vie, il râlait de plaisir puis il jutait. Il jouissait en poussant quelques cris de plaisir. Moi à chaque fois, j'étais retourné, c'était la juste violence et la juste tendresse pour donner du plaisir. Je ne comprenais pas que sa femme ne voulait pas de lui. Enfin pas de cette manière.
Mon plaisir était intense mais je n'éjaculais pas, pas avec lui, jamais avec lui mais je prenait vraiment beaucoup de plaisir. Je jouissais par mon cul, c'était suffisant et c'était fantastique.
Peu après il se retirait, toujours en érection il entrait dans la salle de bain. Il en ressortait quelques instants plus tard, habillé, comme je vous le disais je n'ai jamais vu sa queue au repos.
Elle devait être belle si je me fie au plaisir qu'elle savait donner. J'aurais bien aimé la sucer, m'amuser un peu avec, la branler par exemple.
Il me saluait et repartait vers l'ascenseur … Là ce n'était pas nécessaire de regarder l'heure, il s'était passé trente minutes très exactement.
Il était au service comptable, et il comptait tout, les secondes passée à faire ceci ou cela. Je me disais qu'il devait avoir des origines extra terrestres. C'était la seule explication rationnelle.
Avec l'infirmier on parlait un peu de tout le monde.
– Mais la direction sait-elle ce qui se passe ici ?
– Bien sûr ! Me répondait-il. Et tu as reçu à plusieurs reprise des membres du conseil d'administration !
– C'est à peine croyable. Mais c'est pourquoi tout ça.
– Pourquoi quoi ?
– Pourquoi on porte une cage à bite, pourquoi on sert de vide couille à tout ceux qui passent, pourquoi tout ça ?
– Je ne sais pas moi ! Peut être parce que l'auteur de l'histoire est complètement névrosé.
– C'est vrai ça se tient, lui répondais-je ! Tout ça c'est à cause de l'auteur !
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Pan dans l'cul
Sa fausse queue était nettement plus grosse que la mienne, que ma vraie queue je veux dire. Mais il l'avait aussi acheté pour lui, par seulement pour faire plaisir à ses invités.
Tout comme celle qu'on venait d'acheter pour moi. Modèle hyperréaliste, très doux au contact, hypoallergénique et anti acarien, comme il convient …
Il se masturbait comme s'il voulait s'assurer de son érection. Je ne voudrais pas dire mais il y en a plein qui font ça, pourtant avec un truc pareil, on ne risque pas de débander, enfin …
Je le regardais faire, je savais parfaitement ou il voulait en venir. Ça me faisait un peu peur, l'engin était de belle taille, mais pas trop. Avec un peu de douceur et une bonne dose de gel lubrifiant, ça devait aisément glisser.
C'est que je ne suis plus un débutant moi.
– Tu te retournes ? Me demandait-il avec une voix très douce.
Je prenais position, à quatre patte devant lui, mon cul bien offert. Comme je viens de vous le dire, je ne suis plus un débutant !
Il me caressait alors les fesses, il ne touchait pas à mes couilles, moi j'aime bien qu'on me tripote les couilles, mais bon, c'est lui qui était aux commandes. Je le laissait faire.
Tranquillement il me caressait les fesses et me lubrifiait le cul. Il entrait un doigt, puis deux, il les ressortait et les glissait de nouveau, il prenait bien la peine de lubrifier.
Cette opération devait durer quelques minutes, puis il prenait position, plaçais sa queue. Oui je sais c'était pas une vrai mais c'était sa queue tout de même. Donc il plaçait le bout de sa queue juste sur l'ouverture de mon petit trou de balle et poussait.
Il n'a pas fait semblant le con. Il a poussé avec une certaine force, juste assez pour que sa queue me défonce le cul. Oui on peut résumer sa manière d'agir à ça. Juste assez … J'ai hurlé, il m'a fait un peu mal l'animal, ensuite il ne bougeait plus. Il se laissait retomber sur mon dos, je reprenais mon souffle comme je pouvais et lui appuyait son ventre, sur mes fesses.
Son gode était entré en un seul mouvement mais je l'avais senti passer et je le sentais encore. Je parvenais à me détendre et voyant cela il ressortait doucement avant de revenir avec force.
Je ne hurlais plus mais je respirais bien fort. Il était plus violent que je ne l'aurais pensé. Il se retirait puis revenait bien à fond, il faisait une pause avant de recommencer.
Rapidement le plaisir montait. Il écrasait mollement ma prostate, et le plaisir qu'il me donnait n'était pas dépourvu d'une certaine douleur, mais quelque chose de très supportable. Une douleur que remplaçait un plaisir, un très grand plaisir.
Il continuait à enfoncer son gode puis de le retirer, il continuait à s'amuser avec mon cul. Pour moi c'était un plaisir, un plaisir qui rayonnait dans tout mon corps, je tremblais, mes bras tremblaient, mes jambes … Je ne parvenais même plus à tenir à quatre patte. Je retombais la joue sur le tapis, je râlais de plaisir, je gémissais.
Il me secouait tant qu'il pouvait. Il me tirait vers lui avec force et en même temps il balançais son bassin contre mes fesses. J'en prenais plein le cul et tout ce que pouvais faire était râler, gémir, implorer.
Brusquement ses mouvements devenaient plus saccadés, s'il m'avait enculé avec sa vraie queue je me serais dit qu'il jouissait mais là, il ne devait pas ressentir grand chose. Ses coups devenaient très violents, il râlait lui aussi, oui lui aussi car je jouissais, je jouissais déjà depuis un moment et à ce moment précisément je jouissais avec tout mon corps, pas seulement avec mon cul ou avec ma queue.
Je jutais longuement, un flot de sperme coulait de ma cage au moment ou il se retirait. Lui aussi il avait éjaculé.
Je ne comprenais pas vraiment pourquoi.
On prenait le temps de récupérer, juste après ça, je ne pouvais pas tenir debout, il m'a fallu un moment pour tenir debout.
On se retrouvait sous la douche.
– Mais tu as joui ? Lui demandait-je.
– C'est dans la tête que tout se passe.
– Mais c'est pas une vraie queue, tu ne peux rien ressentir.
– En effet mais comme je te le dis, c'est dans la tête. J'ai vu des mecs se masturber le gode et finir par éjaculer, ils jouissaient.
– C'est pas croyable !
– Bon, tout le monde n'y arrive pas !
Ensuite on est resté là à discuter, il était vraiment très beau. Par moments je voulais garder la cage pour toujours, par moment j'étais décidé à ne pas la garder bien longtemps. Là c'était nouveau, c'était un moment ou je ne savais plus.
On a bu une bière, on a parlé, on a commandé une pizza. Il faisait déjà nuit quand je suis rentré chez moi.
Le lendemain on s'est revu au boulot, il connaissait tout le personnel dans le service, il avait équipé tout le personnel avec un dispositif de chasteté. Il voyait régulièrement tout le monde. Au moindre petit problème c'est lui qu'on venait voir.
Depuis il passe me voir, comme ça, pour discuter ou pour prendre des nouvelles. Et là, il me raconte comment ça se passe dans le service.
Sinon, le matin vers dix heures je recevais de la visite, je ne sais pas comment ils s'organisaient mais, il y avait toujours une visite à la fois. Au début, c'était un peu timide mais si tout se passait bien. C'est quand même moi qui décidait si affinité. Car selon affinité, on discutait ou on faisait plus.
Un jour par exemple.
– Il paraît que tu portes un cage de chasteté dans ce service. Me demandait un petit jeune qui était venu chercher un document bien précis.
– Tout à fait ! Lui répondais-je, et comme il était mignon je rajoutais. Tu veux voir ?
Il faisait ' oui 'de la tête avec un large sourire gêné, il devenait également tout rouge. Je me relevais, lui faisait face et ouvrais mon pantalon. J'avais rapidement pris l'habitude de ne plus mettre de sous vêtements.
Il me regardait faire, je pouvais ressentir sa gêne, mais c'est lui qui avait demandé. Je baissais mon pantalon et lui montrait fièrement mon dispositif. Il regardait avec des yeux tout ronds.
– Et toi alors, tu montres.
Il semblait se réveiller en entendant ma voix, il baissait son pantalon, rien ne se voyait à ce niveau puis il me montrait une toute petite bite.
Là je me disais qu'on n'allait pas s'amuser finalement. Il bandait mais ça ne se voyait même pas sous son pantalon. Il continuait à regarder ma cage à bite avec attention puis murmurait.
– C'est superbe, j'en veux une pareil !
Il remontait son pantalon et se sauvait en oubliant le document qu'il était venu chercher. Je me disais alors que ce n'était pas un client pour mon cul mais pour l'infirmier du service.
Le jour même l'infirmier l'a vu passer, j'avais gardé son nom et mon très mignon infirmier me confirmait qu'il l'avait équipé alors qu'il n'était pas obligé, il travaillait dans un autre service et en plus il était stagiaire. Quand il a terminé son stage il n'a même pas demandé sa clé. Il avait déclaré qu'il espérait bien revenir travailler dans cette entreprise et que ça l'aiderait à avoir une place … C'est ce qu'on lui avait dit.
Sinon il y avait Hubert, Monsieur Hubert … lui il était bien monté, très bien monté même. J'étais toujours ravis de ses visites, moi qui aime les bite bien grosses, bien grasses, bien longues. Avec lui j'étais comblé.
Il n'aimait pas perdre de temps et ne s'attardait jamais plus d'une demie heure. Il arrivait, s'assurait qu'il ne dérangeait personne puis retirait ses vêtements. J'en faisais de même. Ce n'était pas un bavard, il préférait les actes aux mots.
Je prenais alors position et c'est en tremblant, toujours en tremblant avec lui que je le laissais procéder. Il bandait, je pense ne l'avoir vu qu'en érection celui là. Il se lubrifiait la queue et sans plus de formalité il me défonçait le cul.
Il prenait position et appuyait sa queue sur mon cul, j'adorais le sentir appuyer contre mon trou de balle, j'adorais cette pression et cette sensation au moment ou mon cul cédait. Ça faisait un peu mal mais je savais me détendre, il savait appuyer juste ce qu'il fallait. Sa queue entrait alors lentement mais sans pitié. Puis il me limait le cul. Il me parlait en même temps, j'écoutais sans répondre. Il ne s'occupait pas de ce je disais ou ne disais pas.
Il me parlait, il racontait sa vie, sa femme par exemple. Avec elle il ne s'amusait pas tous les jours.
Il me limait le cul de plus en plus vite. Il savait accélérer juste assez pour que je craque pas. Avec lui tout était calculé. La vitesse de ses allers retours, la violence des coups qu'il ne manquait pas de me donner quand il écrasait son ventre sur mes fesses. Il s'énervait un peu, me tirait vers lui en me donnant des coups de bite au fond de mes entrailles, pendant de longues minutes j'entendais le bruit que ça faisait. Ça claquait sec.
Il râlait, là il ne racontait plus sa vie, il râlait de plaisir puis il jutait. Il jouissait en poussant quelques cris de plaisir. Moi à chaque fois, j'étais retourné, c'était la juste violence et la juste tendresse pour donner du plaisir. Je ne comprenais pas que sa femme ne voulait pas de lui. Enfin pas de cette manière.
Mon plaisir était intense mais je n'éjaculais pas, pas avec lui, jamais avec lui mais je prenait vraiment beaucoup de plaisir. Je jouissais par mon cul, c'était suffisant et c'était fantastique.
Peu après il se retirait, toujours en érection il entrait dans la salle de bain. Il en ressortait quelques instants plus tard, habillé, comme je vous le disais je n'ai jamais vu sa queue au repos.
Elle devait être belle si je me fie au plaisir qu'elle savait donner. J'aurais bien aimé la sucer, m'amuser un peu avec, la branler par exemple.
Il me saluait et repartait vers l'ascenseur … Là ce n'était pas nécessaire de regarder l'heure, il s'était passé trente minutes très exactement.
Il était au service comptable, et il comptait tout, les secondes passée à faire ceci ou cela. Je me disais qu'il devait avoir des origines extra terrestres. C'était la seule explication rationnelle.
Avec l'infirmier on parlait un peu de tout le monde.
– Mais la direction sait-elle ce qui se passe ici ?
– Bien sûr ! Me répondait-il. Et tu as reçu à plusieurs reprise des membres du conseil d'administration !
– C'est à peine croyable. Mais c'est pourquoi tout ça.
– Pourquoi quoi ?
– Pourquoi on porte une cage à bite, pourquoi on sert de vide couille à tout ceux qui passent, pourquoi tout ça ?
– Je ne sais pas moi ! Peut être parce que l'auteur de l'histoire est complètement névrosé.
– C'est vrai ça se tient, lui répondais-je ! Tout ça c'est à cause de l'auteur !
Fin
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