Les attouchements de la vendeuse– Eloge de la candeur (épisode02)
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 117 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de VIEULOU ont reçu un total de 1 113 706 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 5 455 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Les attouchements de la vendeuse– Eloge de la candeur (épisode02)
Les attouchements de la vendeuse– Eloge de la candeur (épisode02)
Paul rêve que son sexe grandit démesurément. Il se trouve sur une sorte de petit nuage alors qu'une lumière intense l'entoure, une douceur bienfaisante envahit son bas-ventre alors que son sexe devient de plus en plus rigide et qu'il enfle, qu'il enfle....
Soudain ! Le rêve faisant place à une semi-conscience, il s'aperçoit, reprenant peu à peu ses esprits, que Sandy s'est installés entre ses jambes et qu'elle aspire littéralement sa verge. C'est vrai qu'il la sent bien dure, mais tout de même, il sait parfaitement qu'il ne possède malheureusement qu'un pénis de grosseur moyenne et de longueur plus que raisonnable. Lorsqu'elle comprend qu'il se réveille, elle l'enjambe et, écartant de ses doigts les grandes lèvres de sa vulve, elle vient s'empaler sur la tige turgescente, s'enfonçant elle-même le pénis au plus profond de sa matrice. Puis, elle s'allonge sur son torse et vient l'embrasser. Cela pourrait être un réveil plus désagréable pense-t-il, il croit du reste que c'est la première fois que cela lui arrive, il le lui dit en répondant à son baiser. Heureuse, elle se frotte contre lui comme une chatte amoureuse. Cette jeune femme si inhibée à l'encontre des hommes, jusqu'ici apparemment frigide, affiche à présent un comportement complètement débridé. Il est difficile de croire qu'elle puisse se défouler ainsi, toute pudeur envolée, se livrant nue dans une bacchanale sexuelle incroyable. Bientôt, n'en pouvant plus, il éjacule violemment au fond de la moule brûlante de Sandy qui est étroitement collée sur lui et le couvre de baisers, tandis qu'il continue à caresser son corps chaud et pulpeux. Après un long moment de repos et de détente, enlacés et emmêlés l'un dans l'autre, Sandy lui susurre des mots d'amour à l'oreille :
- Paul, je t'aime, je me fiche de ton âge, tu m'as fait découvrir que l'amour charnel est un plaisir fabuleux, et des choses, que jamais, jamais je n'aurais osé imaginer. Oh ! Paul, je ne veux pas prendre d'amant, c'est toi qui m'apprendras, promets-moi, je veux que tu sois mon professeur et mon amant, je veux découvrir avec toi tout ce que je ne connais pas, promets mon chéri.
Paul est dans un état de grande fatigue, aussi, il a très peu de défenses :
- Sandy, tu m'as presque rendu la vigueur de mes vingt ans, tu es adorable et je ne suis pas surpris de ton appétit sexuel. Mais ne crois-tu pas qu'un garçon de ton âge serait plus approprié pour ce que tu as envie maintenant, et puis, tu peux toujours espérer que ton mari sous tes directives te satisfasse à l'avenir.
- Non ! Paul ! C'est avec toi que je veux apprendre, tu es très délicat et puis, je me sens bien avec toi, tu me rassures. Bien que je sois tout de même inquiète de certains agissements que tu pourrais avoir l'intention de me faire découvrir.
Un silence prolongé puis :
- J'ai peur, c'est vrai, mais je suis aussi avide de connaître ce que j'ai attendu depuis trop longtemps, embrasses-moi, j'ai encore envie de toi.
Il mélange sa langue à la sienne le plus délicatement qu'il le peut, mais n'est pas en état de la satisfaire de nouveau, aussi, il la caresse et l'embrasse sur tout son corps, très subtilement pour ne pas toucher les points les plus sensibles en risquant de réveiller sa passion torrentielle. Elle ronronne doucement ainsi pendant presque une heure. Lorsqu'il recouvre ses forces et qu'il sent sa verge durcir à nouveau, il envisage de passer à une autre activité, d'abord pour satisfaire sa libido, ensuite pour façonner sa compagne dans des activités qu'elle n'a certainement jamais osé faire. En conséquence, se redressant dans le lit, il prend un peignoir et il va l'installer dans un fauteuil, sous le regard de Sandy surprise :
- Ma chérie, il est temps de passer à ton apprentissage puisque c'est cela que tu me demandes. Viens t'installer dans le fauteuil en face de moi ! Bien, maintenant, ouvre largement tes cuisses, et avec tes deux mains écartes ton vagin et distends tes grandes lèvres !
Sandy s'est empourprée, elle hésite manifestement, à s'offrir ainsi devant lui de cette façon plus qu'impudique, puis, comme apparemment elle veut aller au bout de ses aspirations, elle se prête à son jeu, s'ouvrant le sexe de ses dix doigts tout en le regardant fixement droit dans les yeux. Il baisse les siens, pour contempler à satiété cette jolie chatte si complaisamment ouverte à son intention. Il la laisse pendant plusieurs minutes dans un silence qui s'éternise, contemplant la vulve qui palpite d'émotion et qui laisse s'écouler un mince filet de liqueur vaginale :
- Maintenant, ma chérie, tu vas te caresser, comme tu le fais quand tu es seule et jusqu'à ce que tu jouisses. Je t'en prie, ne triche pas, je suis un peu connaisseur, tu le sais !
Elle est foudroyée de stupeur, ne sachant si elle va oser s'exécuter. Tout en le regardant fixement, Paul voit dans ses yeux passer un voile de détresse. Pourtant, elle commence à se caresser de ses deux mains, les glissant autour de sa vulve, enfin, deux doigts de sa main droite écartent le capuchon du clitoris et le font rouler doucement. Le bourgeon est devenu très gros, sa couleur rose virant au rouge sang. Elle halète doucement et gémit tout en s'activant plus rapidement. Pendant que les doigts de sa main droite triturent son clitoris, les doigts de sa main gauche viennent pénétrer dans son vagin largement distendu, la faisant râler de bonheur et de jouissance. D'un seul coup, elle tend brusquement ses jambes allongées et grandes ouvertes, raidies par l'orgasme en laissant échapper un râle de joie et de volupté. Paul se lève, et, s'agenouillant entre ses cuisses, il lèche, il lape et il aspire la mouille abondante qui coule de sa vulve. Elle entoure son cou de ses deux jambes et se laisse aller de nouveau à jouir bruyamment, poussant de petits cris de satisfaction. Après lui avoir procuré plusieurs orgasmes, elle n'en peux plus et le supplie d'arrêter. C'est alors qu'il la pénètre alors vigoureusement de sa verge qui est de nouveau bien raide, éjaculant rapidement dans son fourreau en ébullition tellement son excitation a été considérable et son attente insupportable. Épuisé à nouveau, il l'allonge à côté d'elle et la prend dans ses bras, alors qu'elle se blottit contre lui et s'endort, vaincue par l'émotion trop forte qu'elle vient de découvrir. Deux bonnes heures après il sort de la douche fraîchement rasé et de nouveau en forme, en donnant deux petites tapes sur le derrière bien ferme et rebondi de la jeune femme. Celle-ci se réveille, tendant langoureusement ses membres, tout en lui offrant un large sourire :
- Sandy, ma chérie, il faudrait peut-être te lever, nous avons beaucoup de choses à faire aujourd'hui. Heureusement, je me suis débarrassé de mes occupations principales en téléphonant à mes correspondants. Nous aurons juste un vernissage en fin d'après-midi auquel je suis obligé d'assister. Tu m'accompagneras bien sûr. En attendant, va vite te glisser dans le bain que je t'ai préparé, car nous avons des courses à faire en ville !
Paul téléphone à la réception, demandant qu'ils fassent monter deux petits déjeuners continentaux qu'il fait disposer sur la table ronde près de la baie vitrée. Quand Sandy sort de la salle de bains enveloppée dans son peignoir, elle le rejoint et se restaure copieusement, car elle a bien sûr besoin de reprendre des forces. Elle le regarde amoureusement tout en dégustant ses toasts beurrés. Après qu'elle se soit maquillée très sobrement, elle revêt les seuls vêtements qu'elle portait la veille. Un tailleur classique de couleur jaune, ainsi que des chaussures et un sac en daim tabac, complétant ainsi sa tenue. Paul remarque qu'elle a remis sa culotte en coton blanc ainsi que son collant fumé. Il la prend dans ses bras et lui susurre qu'il a horreur des collants, qu'ils vont aller dans les magasins pour la vêtir convenablement afin qu'elle soit à son goût pour le vernissage auquel ils vont assister. Ils en profiteront pour acheter des bas, plus seyants à son avis que les collants. En souriant, elle retrousse sa jupe, toute pudeur envolée et retire son collant. Au moment où elle veut rabattre sa jupe, il la retient et lui retire sa culotte d'adolescente. Elle croit qu'il veut de nouveau faire l'amour, car entourant sa tête de ses deux bras, elle lui tend ses lèvres. Il l'embrasse sur le coin de sa bouche tout en flattant sa vulve d'une main négligente, puis il lui annonce inopinément :
- Ma chérie, dorénavant, tu ne porteras plus de culottes lorsque nous serons ensemble, je veux pouvoir te toucher à tout moment en n'importe quel endroit.
Elle le regarde de ses grands yeux, effrayée par cette injonction peu conformiste :
- Oh ! Paul, je n'oserais jamais, tu veux que je me conduise comme une grue, et si nous allons dans un magasin pour essayer, comment vais-je faire ?
- Eh ! Bien ma chérie, la vendeuse verra que tu ne portes pas de culotte, tu ne seras pas la première, et puis il faut bien que tu te dévergondes un peu n'est-ce pas ?
Sandy, décontenancée, rabaisse sa jupe et le regarde du coin de l'œil. Cette situation, malgré ses protestations, ne lui déplaît pas autant qu'elle le dit, aussi elle l'embrasse langoureusement pendant qu'il glisse ses doigts sur ses fesses nues qui frémissent aux attouchements libidineux de son amant. Mais il est dix heures passées, aussi, il est temps de partir. Très digne, accrochée à son bras, Sandy descend avec lui au parking où ils récupèrent sa voiture. Paul lui ouvre la porte du côté passager, tout en lui demandant de retrousser sa jupe pour qu'elle puisse sentir directement le cuir sur la peau de ses fesses. Elle rougit des paroles crûes qu'il lance à haute voix, mais ne proteste pas et s'exécute. En sortant du parking rapidement, il lui demande de relever le devant de sa jupe jusqu'au plus haut de ses cuisses et de les écarter. Accédant à sa demande, prenant son parti d'accepter ses suggestions les plus saugrenues, elle se retrousse et expose ainsi toute sa féminité à son regard concupiscent. C'est alors qu'il appuie sur la commande électrique pour basculer légèrement le siège en arrière, l'empêchant de se redresser, car la ceinture la plaque contre le dossier. Il lui sourit, regardant et admirant ses cuisses et sa chatte, à ce point offertes au regard des passants. Paul la caresse de sa main droite qu'il glisse dans son entrejambe où il sent sa vulve palpiter sous ses doigts. Elle jette des regards inquiets à l'extérieur de la voiture, vérifiant que personne ne la voit, mais cette situation doit aussi l'exciter, car il sent ses doigts s'humidifier, alors que le vagin s'ouvre largement sous ses attouchements. Elle halète doucement en murmurant :
- Oh ! Paul, Oh ! Paul ! Non ! Quelqu'un pourrait me voir. Oh ! Oh !........
Se faisant une raison, elle se laisse aller, soulevant son ventre à la rencontre des doigts qui la fouillent, elle ne se rend même pas compte que son bas-ventre est largement exposé à la vue des passants. Le chauffeur d'une fourgonnette qui domine la voiture reste à la hauteur de la portière et n'en perd pas une miette. Paul laissant aller ses doigts rapidement sur son clitoris, elle agite sa tête en tous sens et se laisse aller à jouir bruyamment, poussant de petits cris brefs de jubilation. Il retire alors sa main, lui laissant le temps de se reprendre. Elle ouvre soudainement ses yeux, apercevant le chauffeur qui ne peut détacher son regard du spectacle des jambes et du vagin grand ouvert, aussi largement exposé à sa curiosité. Elle devient rouge pivoine, et, essayant de se redresser, elle tire sur sa jupe. Paul en profite pour accélérer et distancer la fourgonnette. Sandy se sent offensée et humiliée, elle se tait et reste recroquevillée, adossée à la portière, car elle a trouvé la commande du siège et l'a redressé. Elle le regarde en coin et après un long silence, elle lui dit avec un peu de rancunes :
- Tu l'as fait exprès pour le chauffeur ? Tu es un affreux effronté, que me fais-tu faire ?
Paul garde lui aussi le silence un moment, puis il l'attire vers lui en l'entourant de son bras libre. D'abord, quelque peu circonspecte, elle se laisse aller contre sa poitrine :
- Chérie, tu as encore beaucoup de choses à découvrir, mais d'abord, soit sincère avec toi-même, as-tu joui ?
- Oui, mais !
- Eh ! Alors ! C'est le principal. Dis-moi, honnêtement, d'être admiré en train de jouir et de t'exposer aux regards de ce chauffeur, cela ne t'a pas excité, jures-le moi ?
- Tu es un monstre Paul ! C'est vrai que cette situation ne m'a pas été indifférente, mais quand même, tu exagères.
Ils se regardent en souriant, complices. À ce moment, il a juste le temps de donner un coup de volant pour éviter un autobus qui venait vers eux. Ils arrivent enfin dans le centre de la ville, aussi, il se gare dès qu'il trouve une place libre. Il ouvre la porte à Sandy qui descend en tirant sur sa jupe trop courte, gênée de se savoir sans culotte. Paul l'embrasse profondément, la rendant toute molle entre ses bras, ayant pardonné son audace, étant donné qu'elle se frotte contre lui comme une chatte.
Il l'entraîne vers un magasin de mode bien connu où ils entrent tous les deux très détendus. Il s'adresse à une vendeuse blonde aux formes pleines qui paraît avoir la quarantaine, elle porte un badge où est inscrit le nom de Corinne. Il lui demande une robe ou un ensemble pour un cocktail qui peut être retouché au plus tard en début d'après-midi. Ils font sortir deux robes et trois ensembles, puis Sandy va les essayer dans une cabine où naturellement, il la suit à l'intérieur alors que la vendeuse reste au-dehors, passant les vêtements à Sandy, au fur et à mesure des essais. Celle-ci, a retiré sa jupe et sa veste de tailleur ainsi que son chemisier. Il lui reste uniquement son soutien-gorge, puisque bien sûr, elle n'a déjà plus sa culotte. Dès lors, elle n'est pas très à l'aise, surtout que Paul la regarde un peu goguenard. La vendeuse qui passe les vêtements au-dessus du rideau s'est bien rendue compte que Sandy ne portait pas de slip sur ses fesses, mais elle a dû en voir beaucoup d'autres dans son magasin, aussi elle reste impassible.
Au bout d'une bonne demi-heure, ils choisissent un ensemble en soie sauvage de couleur saumonée qui va à ravir à Sandy. La vendeuse vient ajuster la jupe pour les retouches, ce faisant, elle glisse une main sous la jupe pour remonter la ceinture jusqu'à la taille. Sandy tressaille au frôlement de la main qui chemine si près de son pubis. La vendeuse prénommée Corinne s'en rend compte, car tout en jetant un coup d'œil complice au compagnon de sa cliente, elle s'attarde avec ses épingles tout en appuyant sa paume contre le ventre nu de Sandy. Celle-ci n'ose pas bouger, statufiée par la main féminine qui frôle son intimité dénudée. Paul en effet aperçoit les doigts de la femme qui s'agitent graduellement sous le tissu presque transparent de la jupe.
En fait, Sandy lui a avoué après, la vendeuse a laissé glisser ses doigts comme par inadvertance sur le haut de sa vulve et sur son ventre légèrement bombé. Après avoir posé les épingles, la dénommée Corinne en retirant sa main, a passé ses doigts bien près des chairs entrouvertes et humides, glissant dans l'entrecuisse faisant faire un brusque soubresaut à Sandy qui n'a osé rien dire. Paul demande à la vendeuse, si elle peut proposer des bas et des porte-jarretelles de différentes couleurs, elle lui demande s'il faut apporter aussi des soutiens-gorge et des slips, Paul lui précise devant Sandy, que les soutiens-gorge suffiront, car Madame ne porte jamais ni slip ni culotte. La préposée à la vente de lingerie, lui dit avec un grand sourire qu'elle s'en était bien aperçue. Sandy devient cramoisi et n'ose protester devant cet échange de propos la concernant dans ce qu'elle a de plus intime.
Pendant l'absence de la vendeuse, Paul vérifie en introduisant ses doigts dans son vagin si cette séance lui fait de l'effet. Il constate qu'il est, en effet, tout trempé et c'est alors qu'elle lui raconte tout bas les attouchements qu'elle a subis de la part de cette vendeuse un peu coquine. Cela donne une idée à Paul. Aussi, lorsque la dénommée Corinne revient, il lui demande d'essayer à Sandy un porte-jarretelles et un soutien-gorge et de lui passer des bas fumés. Pour cela, il fait retirer à Sandy sa jupe et son soutien. Elle se retrouve entièrement nue devant eux. La blonde lui passe d'abord un soutien-gorge, puis un second de forme différente. Pour cela, elle prend les globes bien fermes de Sandy pour les ajuster dans les bonnets. À aucun moment, cela ne paraît déplacé, pourtant la poitrine de Sandy se soulève à un rythme inhabituel. Ses bouts de seins se sont redressés et ont pris une couleur brune. Ensuite, la vendeuse passe le porte-jarretelles autour de la taille de Sandy, alors que celle-ci tressaille au moindre attouchement. Puis, la femme lui enfile ses bas et les attache aux porte-jarretelles, ses mains viennent de nouveau au contact du pubis de Sandy, ses doigts caressant la peau très tendre, au-dessus du bas. La vendeuse regarde malicieusement l'homme qui lui sourit tout en entourant de ses bras les épaules de sa compagne, lui baisant sa bouche si fraîche. D'abord un peu réticente, elle prend sa langue entre ses lèvres et l'aspire, la tension qu'elle subit depuis un bon moment malgré elle étant devenue trop forte. Pendant ce temps, la blonde Corinne a entrepris le clitoris et le vagin à sa portée. Il le sent aux réactions de Sandy contre lui et dans sa bouche. Il baisse les yeux et il voit le visage de la femme qui est enfoui dans l'intimité qui est offerte sans défense, elle a dû introduire sa langue dans la vulve de Sandy, car celle-ci s'agite de plus en plus entre ses bras, poussant des gémissements assourdis. La plantureuse vendeuse vient sans doute d'arriver à ses fins, car les yeux de Sandy se révulsent, elle devient très lourde entre les bras de Paul, se laissant aller complètement, ne pouvant retenir son ventre qui tressaute violemment et ses jambes qui s'agitent en tous sens jusqu'à ce qu'un orgasme fulgurant la terrasse pour le compte.
Paul, alors que sa jeune compagne pleure silencieusement, la fait asseoir sur le fauteuil qui est dans la vaste cabine afin qu'elle récupère et qu'elle puisse reprendre ses esprits. La blonde étant partie avec les sous-vêtements pour les emballer, il abandonne Sandy afin qu'elle se remette et se rhabille, allant à la caisse pour payer. Il y retrouve la pulpeuse Corinne qui lui sourit avec connivence. Alors qu'il lui laisse un très bon pourboire, en retour, elle lui glisse sa carte discrètement. Le couple prévient la vendeuse qu'ils reviendront l'après-midi pour chercher l'ensemble.
A suivre…
Paul rêve que son sexe grandit démesurément. Il se trouve sur une sorte de petit nuage alors qu'une lumière intense l'entoure, une douceur bienfaisante envahit son bas-ventre alors que son sexe devient de plus en plus rigide et qu'il enfle, qu'il enfle....
Soudain ! Le rêve faisant place à une semi-conscience, il s'aperçoit, reprenant peu à peu ses esprits, que Sandy s'est installés entre ses jambes et qu'elle aspire littéralement sa verge. C'est vrai qu'il la sent bien dure, mais tout de même, il sait parfaitement qu'il ne possède malheureusement qu'un pénis de grosseur moyenne et de longueur plus que raisonnable. Lorsqu'elle comprend qu'il se réveille, elle l'enjambe et, écartant de ses doigts les grandes lèvres de sa vulve, elle vient s'empaler sur la tige turgescente, s'enfonçant elle-même le pénis au plus profond de sa matrice. Puis, elle s'allonge sur son torse et vient l'embrasser. Cela pourrait être un réveil plus désagréable pense-t-il, il croit du reste que c'est la première fois que cela lui arrive, il le lui dit en répondant à son baiser. Heureuse, elle se frotte contre lui comme une chatte amoureuse. Cette jeune femme si inhibée à l'encontre des hommes, jusqu'ici apparemment frigide, affiche à présent un comportement complètement débridé. Il est difficile de croire qu'elle puisse se défouler ainsi, toute pudeur envolée, se livrant nue dans une bacchanale sexuelle incroyable. Bientôt, n'en pouvant plus, il éjacule violemment au fond de la moule brûlante de Sandy qui est étroitement collée sur lui et le couvre de baisers, tandis qu'il continue à caresser son corps chaud et pulpeux. Après un long moment de repos et de détente, enlacés et emmêlés l'un dans l'autre, Sandy lui susurre des mots d'amour à l'oreille :
- Paul, je t'aime, je me fiche de ton âge, tu m'as fait découvrir que l'amour charnel est un plaisir fabuleux, et des choses, que jamais, jamais je n'aurais osé imaginer. Oh ! Paul, je ne veux pas prendre d'amant, c'est toi qui m'apprendras, promets-moi, je veux que tu sois mon professeur et mon amant, je veux découvrir avec toi tout ce que je ne connais pas, promets mon chéri.
Paul est dans un état de grande fatigue, aussi, il a très peu de défenses :
- Sandy, tu m'as presque rendu la vigueur de mes vingt ans, tu es adorable et je ne suis pas surpris de ton appétit sexuel. Mais ne crois-tu pas qu'un garçon de ton âge serait plus approprié pour ce que tu as envie maintenant, et puis, tu peux toujours espérer que ton mari sous tes directives te satisfasse à l'avenir.
- Non ! Paul ! C'est avec toi que je veux apprendre, tu es très délicat et puis, je me sens bien avec toi, tu me rassures. Bien que je sois tout de même inquiète de certains agissements que tu pourrais avoir l'intention de me faire découvrir.
Un silence prolongé puis :
- J'ai peur, c'est vrai, mais je suis aussi avide de connaître ce que j'ai attendu depuis trop longtemps, embrasses-moi, j'ai encore envie de toi.
Il mélange sa langue à la sienne le plus délicatement qu'il le peut, mais n'est pas en état de la satisfaire de nouveau, aussi, il la caresse et l'embrasse sur tout son corps, très subtilement pour ne pas toucher les points les plus sensibles en risquant de réveiller sa passion torrentielle. Elle ronronne doucement ainsi pendant presque une heure. Lorsqu'il recouvre ses forces et qu'il sent sa verge durcir à nouveau, il envisage de passer à une autre activité, d'abord pour satisfaire sa libido, ensuite pour façonner sa compagne dans des activités qu'elle n'a certainement jamais osé faire. En conséquence, se redressant dans le lit, il prend un peignoir et il va l'installer dans un fauteuil, sous le regard de Sandy surprise :
- Ma chérie, il est temps de passer à ton apprentissage puisque c'est cela que tu me demandes. Viens t'installer dans le fauteuil en face de moi ! Bien, maintenant, ouvre largement tes cuisses, et avec tes deux mains écartes ton vagin et distends tes grandes lèvres !
Sandy s'est empourprée, elle hésite manifestement, à s'offrir ainsi devant lui de cette façon plus qu'impudique, puis, comme apparemment elle veut aller au bout de ses aspirations, elle se prête à son jeu, s'ouvrant le sexe de ses dix doigts tout en le regardant fixement droit dans les yeux. Il baisse les siens, pour contempler à satiété cette jolie chatte si complaisamment ouverte à son intention. Il la laisse pendant plusieurs minutes dans un silence qui s'éternise, contemplant la vulve qui palpite d'émotion et qui laisse s'écouler un mince filet de liqueur vaginale :
- Maintenant, ma chérie, tu vas te caresser, comme tu le fais quand tu es seule et jusqu'à ce que tu jouisses. Je t'en prie, ne triche pas, je suis un peu connaisseur, tu le sais !
Elle est foudroyée de stupeur, ne sachant si elle va oser s'exécuter. Tout en le regardant fixement, Paul voit dans ses yeux passer un voile de détresse. Pourtant, elle commence à se caresser de ses deux mains, les glissant autour de sa vulve, enfin, deux doigts de sa main droite écartent le capuchon du clitoris et le font rouler doucement. Le bourgeon est devenu très gros, sa couleur rose virant au rouge sang. Elle halète doucement et gémit tout en s'activant plus rapidement. Pendant que les doigts de sa main droite triturent son clitoris, les doigts de sa main gauche viennent pénétrer dans son vagin largement distendu, la faisant râler de bonheur et de jouissance. D'un seul coup, elle tend brusquement ses jambes allongées et grandes ouvertes, raidies par l'orgasme en laissant échapper un râle de joie et de volupté. Paul se lève, et, s'agenouillant entre ses cuisses, il lèche, il lape et il aspire la mouille abondante qui coule de sa vulve. Elle entoure son cou de ses deux jambes et se laisse aller de nouveau à jouir bruyamment, poussant de petits cris de satisfaction. Après lui avoir procuré plusieurs orgasmes, elle n'en peux plus et le supplie d'arrêter. C'est alors qu'il la pénètre alors vigoureusement de sa verge qui est de nouveau bien raide, éjaculant rapidement dans son fourreau en ébullition tellement son excitation a été considérable et son attente insupportable. Épuisé à nouveau, il l'allonge à côté d'elle et la prend dans ses bras, alors qu'elle se blottit contre lui et s'endort, vaincue par l'émotion trop forte qu'elle vient de découvrir. Deux bonnes heures après il sort de la douche fraîchement rasé et de nouveau en forme, en donnant deux petites tapes sur le derrière bien ferme et rebondi de la jeune femme. Celle-ci se réveille, tendant langoureusement ses membres, tout en lui offrant un large sourire :
- Sandy, ma chérie, il faudrait peut-être te lever, nous avons beaucoup de choses à faire aujourd'hui. Heureusement, je me suis débarrassé de mes occupations principales en téléphonant à mes correspondants. Nous aurons juste un vernissage en fin d'après-midi auquel je suis obligé d'assister. Tu m'accompagneras bien sûr. En attendant, va vite te glisser dans le bain que je t'ai préparé, car nous avons des courses à faire en ville !
Paul téléphone à la réception, demandant qu'ils fassent monter deux petits déjeuners continentaux qu'il fait disposer sur la table ronde près de la baie vitrée. Quand Sandy sort de la salle de bains enveloppée dans son peignoir, elle le rejoint et se restaure copieusement, car elle a bien sûr besoin de reprendre des forces. Elle le regarde amoureusement tout en dégustant ses toasts beurrés. Après qu'elle se soit maquillée très sobrement, elle revêt les seuls vêtements qu'elle portait la veille. Un tailleur classique de couleur jaune, ainsi que des chaussures et un sac en daim tabac, complétant ainsi sa tenue. Paul remarque qu'elle a remis sa culotte en coton blanc ainsi que son collant fumé. Il la prend dans ses bras et lui susurre qu'il a horreur des collants, qu'ils vont aller dans les magasins pour la vêtir convenablement afin qu'elle soit à son goût pour le vernissage auquel ils vont assister. Ils en profiteront pour acheter des bas, plus seyants à son avis que les collants. En souriant, elle retrousse sa jupe, toute pudeur envolée et retire son collant. Au moment où elle veut rabattre sa jupe, il la retient et lui retire sa culotte d'adolescente. Elle croit qu'il veut de nouveau faire l'amour, car entourant sa tête de ses deux bras, elle lui tend ses lèvres. Il l'embrasse sur le coin de sa bouche tout en flattant sa vulve d'une main négligente, puis il lui annonce inopinément :
- Ma chérie, dorénavant, tu ne porteras plus de culottes lorsque nous serons ensemble, je veux pouvoir te toucher à tout moment en n'importe quel endroit.
Elle le regarde de ses grands yeux, effrayée par cette injonction peu conformiste :
- Oh ! Paul, je n'oserais jamais, tu veux que je me conduise comme une grue, et si nous allons dans un magasin pour essayer, comment vais-je faire ?
- Eh ! Bien ma chérie, la vendeuse verra que tu ne portes pas de culotte, tu ne seras pas la première, et puis il faut bien que tu te dévergondes un peu n'est-ce pas ?
Sandy, décontenancée, rabaisse sa jupe et le regarde du coin de l'œil. Cette situation, malgré ses protestations, ne lui déplaît pas autant qu'elle le dit, aussi elle l'embrasse langoureusement pendant qu'il glisse ses doigts sur ses fesses nues qui frémissent aux attouchements libidineux de son amant. Mais il est dix heures passées, aussi, il est temps de partir. Très digne, accrochée à son bras, Sandy descend avec lui au parking où ils récupèrent sa voiture. Paul lui ouvre la porte du côté passager, tout en lui demandant de retrousser sa jupe pour qu'elle puisse sentir directement le cuir sur la peau de ses fesses. Elle rougit des paroles crûes qu'il lance à haute voix, mais ne proteste pas et s'exécute. En sortant du parking rapidement, il lui demande de relever le devant de sa jupe jusqu'au plus haut de ses cuisses et de les écarter. Accédant à sa demande, prenant son parti d'accepter ses suggestions les plus saugrenues, elle se retrousse et expose ainsi toute sa féminité à son regard concupiscent. C'est alors qu'il appuie sur la commande électrique pour basculer légèrement le siège en arrière, l'empêchant de se redresser, car la ceinture la plaque contre le dossier. Il lui sourit, regardant et admirant ses cuisses et sa chatte, à ce point offertes au regard des passants. Paul la caresse de sa main droite qu'il glisse dans son entrejambe où il sent sa vulve palpiter sous ses doigts. Elle jette des regards inquiets à l'extérieur de la voiture, vérifiant que personne ne la voit, mais cette situation doit aussi l'exciter, car il sent ses doigts s'humidifier, alors que le vagin s'ouvre largement sous ses attouchements. Elle halète doucement en murmurant :
- Oh ! Paul, Oh ! Paul ! Non ! Quelqu'un pourrait me voir. Oh ! Oh !........
Se faisant une raison, elle se laisse aller, soulevant son ventre à la rencontre des doigts qui la fouillent, elle ne se rend même pas compte que son bas-ventre est largement exposé à la vue des passants. Le chauffeur d'une fourgonnette qui domine la voiture reste à la hauteur de la portière et n'en perd pas une miette. Paul laissant aller ses doigts rapidement sur son clitoris, elle agite sa tête en tous sens et se laisse aller à jouir bruyamment, poussant de petits cris brefs de jubilation. Il retire alors sa main, lui laissant le temps de se reprendre. Elle ouvre soudainement ses yeux, apercevant le chauffeur qui ne peut détacher son regard du spectacle des jambes et du vagin grand ouvert, aussi largement exposé à sa curiosité. Elle devient rouge pivoine, et, essayant de se redresser, elle tire sur sa jupe. Paul en profite pour accélérer et distancer la fourgonnette. Sandy se sent offensée et humiliée, elle se tait et reste recroquevillée, adossée à la portière, car elle a trouvé la commande du siège et l'a redressé. Elle le regarde en coin et après un long silence, elle lui dit avec un peu de rancunes :
- Tu l'as fait exprès pour le chauffeur ? Tu es un affreux effronté, que me fais-tu faire ?
Paul garde lui aussi le silence un moment, puis il l'attire vers lui en l'entourant de son bras libre. D'abord, quelque peu circonspecte, elle se laisse aller contre sa poitrine :
- Chérie, tu as encore beaucoup de choses à découvrir, mais d'abord, soit sincère avec toi-même, as-tu joui ?
- Oui, mais !
- Eh ! Alors ! C'est le principal. Dis-moi, honnêtement, d'être admiré en train de jouir et de t'exposer aux regards de ce chauffeur, cela ne t'a pas excité, jures-le moi ?
- Tu es un monstre Paul ! C'est vrai que cette situation ne m'a pas été indifférente, mais quand même, tu exagères.
Ils se regardent en souriant, complices. À ce moment, il a juste le temps de donner un coup de volant pour éviter un autobus qui venait vers eux. Ils arrivent enfin dans le centre de la ville, aussi, il se gare dès qu'il trouve une place libre. Il ouvre la porte à Sandy qui descend en tirant sur sa jupe trop courte, gênée de se savoir sans culotte. Paul l'embrasse profondément, la rendant toute molle entre ses bras, ayant pardonné son audace, étant donné qu'elle se frotte contre lui comme une chatte.
Il l'entraîne vers un magasin de mode bien connu où ils entrent tous les deux très détendus. Il s'adresse à une vendeuse blonde aux formes pleines qui paraît avoir la quarantaine, elle porte un badge où est inscrit le nom de Corinne. Il lui demande une robe ou un ensemble pour un cocktail qui peut être retouché au plus tard en début d'après-midi. Ils font sortir deux robes et trois ensembles, puis Sandy va les essayer dans une cabine où naturellement, il la suit à l'intérieur alors que la vendeuse reste au-dehors, passant les vêtements à Sandy, au fur et à mesure des essais. Celle-ci, a retiré sa jupe et sa veste de tailleur ainsi que son chemisier. Il lui reste uniquement son soutien-gorge, puisque bien sûr, elle n'a déjà plus sa culotte. Dès lors, elle n'est pas très à l'aise, surtout que Paul la regarde un peu goguenard. La vendeuse qui passe les vêtements au-dessus du rideau s'est bien rendue compte que Sandy ne portait pas de slip sur ses fesses, mais elle a dû en voir beaucoup d'autres dans son magasin, aussi elle reste impassible.
Au bout d'une bonne demi-heure, ils choisissent un ensemble en soie sauvage de couleur saumonée qui va à ravir à Sandy. La vendeuse vient ajuster la jupe pour les retouches, ce faisant, elle glisse une main sous la jupe pour remonter la ceinture jusqu'à la taille. Sandy tressaille au frôlement de la main qui chemine si près de son pubis. La vendeuse prénommée Corinne s'en rend compte, car tout en jetant un coup d'œil complice au compagnon de sa cliente, elle s'attarde avec ses épingles tout en appuyant sa paume contre le ventre nu de Sandy. Celle-ci n'ose pas bouger, statufiée par la main féminine qui frôle son intimité dénudée. Paul en effet aperçoit les doigts de la femme qui s'agitent graduellement sous le tissu presque transparent de la jupe.
En fait, Sandy lui a avoué après, la vendeuse a laissé glisser ses doigts comme par inadvertance sur le haut de sa vulve et sur son ventre légèrement bombé. Après avoir posé les épingles, la dénommée Corinne en retirant sa main, a passé ses doigts bien près des chairs entrouvertes et humides, glissant dans l'entrecuisse faisant faire un brusque soubresaut à Sandy qui n'a osé rien dire. Paul demande à la vendeuse, si elle peut proposer des bas et des porte-jarretelles de différentes couleurs, elle lui demande s'il faut apporter aussi des soutiens-gorge et des slips, Paul lui précise devant Sandy, que les soutiens-gorge suffiront, car Madame ne porte jamais ni slip ni culotte. La préposée à la vente de lingerie, lui dit avec un grand sourire qu'elle s'en était bien aperçue. Sandy devient cramoisi et n'ose protester devant cet échange de propos la concernant dans ce qu'elle a de plus intime.
Pendant l'absence de la vendeuse, Paul vérifie en introduisant ses doigts dans son vagin si cette séance lui fait de l'effet. Il constate qu'il est, en effet, tout trempé et c'est alors qu'elle lui raconte tout bas les attouchements qu'elle a subis de la part de cette vendeuse un peu coquine. Cela donne une idée à Paul. Aussi, lorsque la dénommée Corinne revient, il lui demande d'essayer à Sandy un porte-jarretelles et un soutien-gorge et de lui passer des bas fumés. Pour cela, il fait retirer à Sandy sa jupe et son soutien. Elle se retrouve entièrement nue devant eux. La blonde lui passe d'abord un soutien-gorge, puis un second de forme différente. Pour cela, elle prend les globes bien fermes de Sandy pour les ajuster dans les bonnets. À aucun moment, cela ne paraît déplacé, pourtant la poitrine de Sandy se soulève à un rythme inhabituel. Ses bouts de seins se sont redressés et ont pris une couleur brune. Ensuite, la vendeuse passe le porte-jarretelles autour de la taille de Sandy, alors que celle-ci tressaille au moindre attouchement. Puis, la femme lui enfile ses bas et les attache aux porte-jarretelles, ses mains viennent de nouveau au contact du pubis de Sandy, ses doigts caressant la peau très tendre, au-dessus du bas. La vendeuse regarde malicieusement l'homme qui lui sourit tout en entourant de ses bras les épaules de sa compagne, lui baisant sa bouche si fraîche. D'abord un peu réticente, elle prend sa langue entre ses lèvres et l'aspire, la tension qu'elle subit depuis un bon moment malgré elle étant devenue trop forte. Pendant ce temps, la blonde Corinne a entrepris le clitoris et le vagin à sa portée. Il le sent aux réactions de Sandy contre lui et dans sa bouche. Il baisse les yeux et il voit le visage de la femme qui est enfoui dans l'intimité qui est offerte sans défense, elle a dû introduire sa langue dans la vulve de Sandy, car celle-ci s'agite de plus en plus entre ses bras, poussant des gémissements assourdis. La plantureuse vendeuse vient sans doute d'arriver à ses fins, car les yeux de Sandy se révulsent, elle devient très lourde entre les bras de Paul, se laissant aller complètement, ne pouvant retenir son ventre qui tressaute violemment et ses jambes qui s'agitent en tous sens jusqu'à ce qu'un orgasme fulgurant la terrasse pour le compte.
Paul, alors que sa jeune compagne pleure silencieusement, la fait asseoir sur le fauteuil qui est dans la vaste cabine afin qu'elle récupère et qu'elle puisse reprendre ses esprits. La blonde étant partie avec les sous-vêtements pour les emballer, il abandonne Sandy afin qu'elle se remette et se rhabille, allant à la caisse pour payer. Il y retrouve la pulpeuse Corinne qui lui sourit avec connivence. Alors qu'il lui laisse un très bon pourboire, en retour, elle lui glisse sa carte discrètement. Le couple prévient la vendeuse qu'ils reviendront l'après-midi pour chercher l'ensemble.
A suivre…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par VIEULOU
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...