Les Aventures d'Amélie 2 - histoire érotique

Les jeunes gens n'avaient pas échangé un seul mot lorsqu'ils arrivèrent à la salle des fêtes où se tenait le bal. Dès leur arrivée ils furent accueillis par d'autres jeunes du village qui les attendaient pour entrer et commencer la soirée. Marc, un garçon brun plutôt mignon mais à l'air renfrogné vint les saluer il posa deux bises très chastes sur les joues d'Amélie et serra Bruno dans ses bras avec effusion. À partir de cet instant la jeune fille ne le quitta pas des yeux. Dés qu'elle pouvait elle se collait à lui l'entraînait sur la piste de danse malgré ses réticences se trémoussant et collant contre lui comme une chatte en chaleur.
Malheureusement, le garçon était plutôt distant avec elle, et Amélie désespérait un peu, craignant que sa soirée ne fut pas aussi intéressante qu'elle l'avait souhaité. Elle fut complètement dépitée lorsque Marc sauta au cou de son copain Cyrille dès son arrivée et ne tarda pas à disparaitre avec lui. Se hissant sur la pointe des pieds pour parler à l'oreille de son cousin pour couvrir le bruit, elle se retrouva plaquée contre son ventre. Il la prit par la taille et l'entraina sur la piste pour un slow. La piste était bondée et les danseurs se pressaient les un contre les autres. Amélie sentait sa poitrine frotter contre le torse musclé de son cousin et ne pouvait s'empêcher d'apprécier la caresse involontaire qui faisait durcir la pointe de ses seins.
Rapidement elle sentit contre son ventre le sexe étrangement ferme du garçon. Souriant intérieurement elle pensa qu'avec un garçon comme lui les choses auraient sans doute évolué autrement. Après une série de slows, les cousins regagnèrent le bar pour se désaltérer. Amélie questionna Bruno sur l'attitude de Marc :
- Tu ne trouves pas qu'il est un peu bizarre Marc ?
Bruno colla presque sa bouche à l'oreille de la jeune fille et répondit :
- Si, et il y a des moments où je me demande s'il n'est pas un peu pédé… Il paraît que le Cyrille en question a une tendance marquée pour ce genre de relations…"
Entourant la taille de la jeune fille de son bras il posa la main sur son ventre et lui dit à l'oreille :
- Tu dois être un peu déçue non ?
Elle se retourna complètement vers lui en répondant :
- Oui, j'avais l'intention de le choisir pour une soirée chaude… Ceci dit, je pense que j'ai devant moi quelqu'un qui a les moyens de me consoler de cette déception…
Amélie était stupéfaite de ce qu'elle venait de dire. L'alcool qu'ils avaient consommé, la chaleur d'étuve de la salle et la situation étrange lui avaient fait oublier toute retenue.
- Tu plaisantes ! s'exclama Bruno.
- Heu… pas vraiment, j'ai trouvé ce que j'avais contre le ventre tout à l'heure était très … motivant…
Se penchant pour lui répondre le garçon se rendit compte qu'elle avait déboutonné un peu plus son corsage, révélant le haut de sa belle poitrine. Appuyant un coude sur le bar, il posa sa main sur l'épaule de la jeune fille et l'attira contre lui et lui dit en riant.
- Je crois que tu as bu trop vite Lilie, je suis ton cousin, tu ne peux pas envisager de coucher avec moi…
Se tournant à nouveau face à lui elle colla son ventre contre lui et lui dit à l'oreille :
- Ce que j'ai entendu dire de toi m'encourage quand même à te considérer comme un amant potentiellement intéressant…
- Et qu'est ce qu'on t'a raconté de si intéressant ?
- On m'a dit que tu fais très bien l'amour..
- Ah bon ! fit le garçon stupéfait.
- Oui, on m'a dit que tu connais plein de positions et que tu ne manques pas d'imagination…
- Bigre ! si mes partenaires me font ce genre de publicité je ne vais plus savoir où donner de la tête… Qui c'est qui t'a raconté ça ?
- Secret ! Mais c'est une fille qui a une certaine expérience en la matière…
- Denise ou Muriel ?
- Secret de filles ! Comme je n'ai aucune expérience sur le sujet, X m'a dit qu'il était bien dommage que tu sois mon cousin parce que toi tu saurais faire mon éducation…
- Tu veux dire que tu es vierge ?
- Oui, complètement. À part embrasser, je n'ai jamais rien fait d'autre avec un garçon…
Brusquement l'obscurité envahit la salle et au micro, le responsable de la soirée demanda le silence et annonça que trois jeunes fêtant leur anniversaire ce soir là, on leur avait réservé une surprise…
Amélie de son côté en fit une à son cousin en le prenant par le cou pour lui donner un baiser torride. Bruno l'embrassa à pleine bouche et commença à caresser sa poitrine. La lâchant vivement lorsque la lumière revint.
Se penchant à nouveau sur l'oreille du garçon elle demanda :
- Tu ne veux pas m'emmener ailleurs ?
Bruno n'en revenait pas, il n'avait pas imagine cette situation et sentait sa virilité à l'étroit dans son pantalon. Il acquiesça et se décollant du bar il dit à la fille :
- Ok, allons ailleurs…
Ils se dirigèrent vers la sortie, Amélie passant devant usant de son charme pour ouvrir le passage et Bruno suivant, ses mains posées sur les hanches rondes.
Au moment de franchir la porte, Amélie stoppa brusquement pour laisser passer un des organisateurs, les bras chargés de cotillons. Elle sentit le corps de son cousin se plaquer contre elle, semblant épouser chacune de ses formes. Bruno sentit une flambée de désir monter dans ses reins lorsque son sexe s'écrasa sur les fesses rondes de la jeune fille. De toute évidence, l'alcool lui faisait perdre le sens des réalités à lui aussi, le faisant démarrer au quart de tour. Bruno donna un coup de bassin contre les fesses fermes et souffla d'une voix grave à l'oreille de la jeune fille :
- Si tu veux nous pouvons aller chez Bentley pour partager un grand moment de plaisir… les clés sont dans la voiture…
- En effet, je sens que tu as des arguments qui méritent d'être examinés plus en détail…
Discrètement elle glissa sa main dans son dos et posa sa main sur la bosse du pantalon du jeune homme. L'alcool aidant elle venait cette fois encore de prendre une initiative qu'elle n'avait jamais osée. Bruno se repencha à son oreille pour dire :
- Es tu satisfaite de cette vérification ? Tu sais que tu peux inspecter plus en profondeur si tu veux… il y a tellement de monde que personne ne s'en rendrait compte, de plus, je trouve ça très agréable…
Une fois dehors, la jeune fille prit son compagnon pas la taille, se glissant sous son bras et lui demanda :
- Tu avais prévu d'emmener quelqu'un là bas ?
- Non c'est mon père qui a les laissé les cléfs dans la voiture. Il y va de temps en temps… C'est une propriété intéressante mais j'ai l'impression qu'il n'est pas pressé de trouver un acquéreur…
Dès qu'ils eurent gagné une zone moins éclairée, elle s'arrêta et l'embrassa à nouveau à pleine bouche. Se collant étroitement à lui, elle posa les mains de son cousin sur ses fesses et frotta son pubis sur la virilité tendue. Écartant son visage de celui du garçon elle lui dit :
- Tu sais que ça fait longtemps que j'avais envie de ça ?
- Je dois avouer que jusqu'à aujourd'hui je ne t'avais pas regardée comme une femme…
- Et maintenant, tu as envie de moi ?
- Oui, malgré notre lien de parenté, j'ai envie de passer outre les tabous…
- Pourtant tu as pas mal de conquêtes…
- L'occasion fait le larron et je te trouve très … motivante…
Bruno appuya les fesses de sa cousine contre une voiture en stationnement et glissa sa main sous sa jupe, la faisant remonter doucement sur l'intérieur de la cuisse.
Amélie se tortilla et entreprit de faire glisser sa jolie culotte pour faciliter la caresse rendue totalement anonyme par la pénombre, l'élastique qu'elle faisait glisser céda sous son geste empressé et elle dit en riant à l'oreille de son cousin :
- Je perds ma culotte, l'élastique est cassé.
Bruno ne tenta pas de retenir le fin vêtement qui glissa irrémédiablement le long des jambes de la fille et tomba à ses pieds sur le sol. Sa main continua à s'activer sous la jupe et la fille se retrouva rapidement ruisselante. Posant sa joue contre celle de son cousin pour lui parler tout bas elle dit :
- Tu vois bien que nous pouvons nous entendre… il nous suffit de continuer …
- Peut être Lilie, mais nous ne pouvons pas nous afficher bouche à bouche, tout le monde sait que je suis ton cousin !
- Tu as raison, et c'est pour ça que j'ai subitement très envie de visiter la ferme des Bentley…
Ils s'écartèrent l'un de l'autre et reprirent leur chemin. Parvenus à la voiture, Bruno prit le volant et sa compagne prit place près de lui. Le garçon démarra en douceur et quitta le parking lentement car les fêtards continuaient d'affluer. Empruntant la petite route longeant un bosquet il se dirigèrent vers la ferme. Amélie posa sa tête sur l'épaule du conducteur et caressa de sa main droite la bosse du pantalon en disant :
- Je ne pensais pas pouvoir faire bander un garçon, c'est super…
Malgré cette sollicitation, Bruno conduisit en souplesse jusqu'à l'ancienne propriété des Bentley. Il gara la voiture devant la porte du bâtiment d'habitation de la ferme, prit un trousseau de clés dans la boîte à gants et venant ouvrir la portière de sa passagère il lui dit :
- Il n'y a pas d'électricité mais la pleine lune nous donnera assez de lumière pour la visite…
La jeune fille prit son bras et le suivit. Bruno ouvrit la porte et s'effaça pour la laisser passer en disant :
- Tu vas voir, elle est super cette ferme…
S'arrêtant au niveau de la première porte ouverte il prit le ton d'un guide et il annonça :
- Ici Madame, vous trouverez une cuisine tout confort complètement équipée de tout l'électroménager dernier cri. Notez le banc solide qui facilite la levrette…
Amélie se colla à lui en riant et le suivit vers une autre porte ouverte derrière lui de l'autre côté du couloir.
- Ici pour Monsieur un bureau. Lieu confortable, propice à la réflexion et dont le sofa permettra à sa lubricité de s'exprimer pleinement… L'endroit rêvé pour les siestes crapuleuses…"
Puis il avança dans le couloir et s'arrêtant devant une autre porte ouverte il prit le même ton pour annoncer :
- Là le salon. Lui aussi confortablement meublé, ses dimensions généreuses permettront d'accueillir les amis les plus proches pour des orgies débridées… Je vous recommande particulièrement la banquette très bien adaptée aux copulations dans toutes les positions… je l'ai essayée et j'en ai été ravi.
La jeune fille le pinça gentiment en disant :
- Si je comprend bien cette maison est ton baisodrome…
- Ça arrive en effet… Ceci dit, je n'ai pas été le premier…
- Ah ! Il y a d'autres utilisateurs ? Qui donc ?
- Monsieur mon père…
- Il est venu là avec Cécile ?
- C'était pas avec Cécile. Je l'ai surpris un jour avec Madame Bentley. Ils étaient trop occupés pour que je les dérange et ils semblaient vraiment bien s'entendre…
- C'était sans doute une façon agréable de conclure la transaction immobilière…
- Alors ils l'ont conclue plusieurs fois… De plus comme c'est sur mon trajet de VTT j'ai pu vérifier qu'il venait de temps à autre avec d'autres nanas…
- Mince alors, si Cécile savait ça…
- Nous n'irons pas le lui raconter… Mieux vaut exploiter l'emplacement tant qu'il n'a pas trouvé acquéreur… Viens, la chambre est là bas…
Ils avancèrent enlacés jusqu'à la pièce puis Bruno fit passer sa cousine devant lui en posant les mains sur ses hanches. Il poussa la jeune fille sur le lit et par jeu celle-ci s'agenouilla et commença à avancer à quatre pattes. Le garçon la retint d'une main et de son autre main il souleva la jupe faisant apparaitre le joli postérieur dénudé.
- Que c'est beau ! je crois que nous allons encore améliorer nos relations… fit il.