Les aventures d'un bon garçon chapitre 5

- Par l'auteur HDS Pup Orock -
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Récit libertin : Les aventures d'un bon garçon chapitre 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les aventures d'un bon garçon chapitre 5
Voici le dernier chapitre de la déchéance de Jonathan.

J’espère qu’il vous plaira 😉.

Pdv Jonathan

Cela fait déjà quelques semaines ou je jongle entre mon nouveau maître, et des séances avec Orock, mon puppy.

Sur ordre de mon maître j'ai complètement arrêté mes virées au sauna et autre lieu de drague. Il m’a permis de garder mon pup, « pour l'instant » a-t-il rajouter.

Et je crois que cet instant touche à son terme. Je ne le supporte plus. Je me sens de moins en moins à ma place quand je joue le dominant. Cela fait presque un mois que, malgré nos deux séances par semaine, je n’ai pas baisé Orock. J’en suis devenu incapable.

La dernière fois que j’ai essayé, impossible pour moi de rester dur. A chaque fois j’entendais la voix de mon maître me dire que je n’étais pas un homme et que je devrais laisser quelqu’un d’autres s’occuper de ce cul accueillant.

Mais ce petit pup tout soumis je m’y suis attaché. Je ne suis pas amoureux, loin de là, mais je le considère comme un bon ami malgré la façon dont j’aimais le rabaissé.

Je sais qu’il aime ça et que si je laisse partir tout seul il va se jeter sur la première queue qui passe au détriment de sa sécurité.

Je décide donc de tout dire à mon maître, un matin avant mon départ.

- Je n'en peux plus maître, dis-je. Chaque jour ou je ne vous lèche pas les couilles est devenu un jour triste pour moi. Chaque fois que je dois dominer Orock je me sens minable d’oser me faire passer pour un homme.

- C’est normal mon garçon, me dit Thomas, tu connais désormais ta place et tu y es heureux. Les choses ne peuvent pas continuer comme cela. J’en ai discuté avec Red et nous sommes prêts à accueillir ton garçon pour un test. Si cela se passe bien il pourra nous rejoindre ici et on s’en occupera à ta place. Amène le samedi prochain, mais attention, quoi qu’il se passe quand il sera ici, c’est la dernière fois que tu lui seras supérieur.

Autant vous dire que J’en avais les larmes aux yeux. Mon maître va s’occuper de tout à ma place, je n’ai qu’à être à ses pieds et observer.

Je vous passe tout le début de la journée, vous pouvez le trouver dans le chapitre 1, allons directement à l’essentiel.

Alors que nous laissons Red et Orock ensemble, mon maître m’attire dans la cuisine et me fait m’asseoir à un des tabourets du bar.

- Il est tant que les choses changent, clame mon maître. Aujourd’hui va se jouer l’entrée de ton pup dans notre petite famille. Mais aussi ta position. Je vais te laisser un choix, un tout dernier. Je sais que tu n’es pas heureux dans ta vie, que tu vis à peine quand tu es seul mais qu’ici tu te sens entier

C’est vrai, au fil des semaines, mon mal-être grandissant, la dissonance entre ma vie de tous les jours et celle que j’ai ici entre ses mains, tout cela m’épuise. Je lui ai avoué tous mes défauts, mes envies, mes regrets et à chaque fois il s’accaparait une plus grande partie de mon âme. Il n’y a que sur sa queue que je me sens heureux.

- Voici la proposition que j’ai à te faire, reprend le maître. Nous pouvons continuer comme nous le faisons, tu viens un soir sur deux, on te baise, je te torture et t’éduque un peu et au matin tu repars triste de nous quitter. Ou alors tu deviens mon esclave. Un soumis quotidien. Tu vis ici, tu t'occupes de l’appart, des courses, de satisfaire le voisin, et en échange je prends soin de toi tous les jours, je m’assure que tu es en sécurité.

Alors que je l’écoute les larmes coulent sur mes joues. Suis-je prêt à tout abandonner pour lui ? A vivre pour lui et le satisfaire tous les jours ?

Oui ! Oui, je le veux. Plus de boulot chiant. Plus de soirée vide ou je regarde juste le plafond en pensant à lui. Plus de cette sensation de chute que je ressens à chaque fois que je quitte cet immeuble.

Mon maître me tire sur ses genoux et essuies de ces doigts mes larmes.

- Allons mon garçon, ça va aller. Je vais prendre soin de toi. Tu auras droit chaque jour à ta dose de sperme. Mais il y’aura des conditions et des règles strictes.

Nous sommes alors interrompus par de longs gémissements. En nous rendons au salon, on peut voir Orock se soumettre à la langue de Red qui lui excite les tétons.

- Vous voyez monsieur, je vous avais dit qu’il n’y aurait pas de problème, dis-je, content de la soumission facile de mon puppy.

- Allez viens salope laissons les faire connaissances pendant que je te baise dans mon lit. Réplique mon maître.

Je suis alors mon maître tout excité. Je vais me faire baiser pour la première fois en tant qu'esclave.

Désormais je n’ai plus à me restreindre, plus besoin de me demander si demain je pourrais encore marcher normalement. Plus besoin de me retenir de vénérer mon maître toute la nuit et de finir plus bas que terre en partant le lendemain. Désormais je suis chez moi ici, j’ai ma place dans son lit.

Alors que nous repassons devant la porte d’entrée, mon maître s’arrête.

- J’ai laissé passer pour une fois car tu es arrivé avec ton pup mais maintenant qu’il est pris en charge, sors et fous toi à poil. Tu vas repasser cette porte non plus comme un homme mais comme ma pute.

Je sors alors de l’appartement et le maître ferme la porte derrière moi. Je me déshabille donc sur le palier à la vue de n’importe qui qui prendrait les escaliers. Et comme fait exprès j’entends des pas monter. Je ne m’en formalise pas. Après tout je ne suis qu’une pute. Et en même temps la bouffée de honte que me tiraille à imaginer des gens me regarder ainsi, me fait durcir.

Complètement nu, je m’apprête à ouvrir la porte au moment où les bruit de pas arrive à mon niveau. Je pensais être prêts à laisser tomber ma fierté mais je ne peux pas. J’essaie d’ouvrir la porte mais le maître l’as refermé derrière moi.

Je vais pour sauter et ramasser mon caleçon quand finalement apparaît devant moi le voisin. Le vieux que j’ai dû sucer l’autre jour. Rouge de honte mais en sécurité je laisse tomber à terre mon caleçon. Vite fait le vieux le rattrape et le porte à son nez avant de se diriger vers son appart comme si je n’existais pas.

En me retournant, je peux alors constater que le maître m’a ouvert la porte et me fixe durement

- Je peux savoir pourquoi tu as essayé de remettre ton caleçon ? Je t’ai ordonné de te déshabiller. Si je veux que tu le fasses dans le couloir c’est pour que chacun puisse te voir. Mais non il semblerait que même ça tu ne puisses le faire correctement. Moi qui comptais bien te baiser pour fêter ton nouveau statut, tu me déçois.

Je baisse alors la tête et le suit sans un mot quand il rentre.

Il m’attire vers la pièce donjon et m’ordonne de me tenir debout au milieu de la pièce.

Bien vite il revient avec une corde rêche, bien différente de celle que l’on utilise d’habitude.

Toujours sans un mot il commence à me lier les bras ensemble. La corde frotte contre ma peau et me brûle, mais plus que tout c’est son silence qui me fait mal.

Bordel que je suis con ! Je ne pouvais pas juste obéir et ne rien faire d’autre.

Une fois les mains solidement liées, le maître prend sa cravache dans un des meubles et me tire vers le banc à fessé qu’il a tiré au milieu de la pièce

- 10 coups de cravache pour te punir. Même si tu es désormais un esclaves tes mots de sécurité t’appartiennent toujours, ce sont les seuls sont que j’accepterai d’entendre.

Et il commence à me frapper avec cet instrument. Il me pique fort la peau et j’ai envie de pleurer, hurler, supplier mais je garde les lèvres serrées pendant ma punition. Le 10eme coup, plus puissant que les autres, écorche ma peau et laisse une goutte de sang perlé.

Mon maître me soulève du banc et m’agenouiller devant lui avant de sortir sa queue.

Il prend violemment possession de ma bouche et me rentre toujours à fond de gorge. Il me faut un moment douloureux avant de pouvoir synchroniser mes respirations à ses coups de bassin.

Le maître attrape mes cheveux et tire dessus, rajoutant à la douleur.

- Voilà mon garçon, dit-il, tu ne sens plus que moi maintenant. Mes marques sur tes fesses, ma bite dans ta gorge, mes couilles frappant ton visage, mes mains tirant tes cheveux, ma voix dans tes oreilles. Tu m’appartiens, ne t’avise plus de me désobéir. Tu n'es plus qu’un trou pour mon plaisir, accepte-le.

Sa queue accélère de plus en plus, ma langue essai tant bien que mal de l’entourer mais elle est si grosse. Ma gorge me fait souffrir autant que mon cul mais il a raison, je suis à lui alors je ne résiste pas.

Quand je sens sa queue se contracter je me prépare à avaler mais il ressort de la bouche et gicle partout sur mon visage. De longue traîné blanche à l’odeur envoûtante vienne marquer mes joues, mon front, mon nez et mes lèvres. Je m’empresse de léchée ces dernières afin de récolter son goût.

Une fois qu’il a repris son souffle mon maître me penche à nouveau sur le banc à fessée et je le sens appliquer une pommade sur mon derrière chauffé ainsi qu’un pansement sur la marque sanglante.

- Voilà mon garçon, regarde-toi dans le miroir, vois comme tu es beau avec mon foutre sur ta gueule, ma marque sur ton cul et cette adorable petite bite bandé. Tu vas rester comme cela, à mes pieds pendant que l’on rejoint les autres.

Je le suis jusqu’au salon ou je peux voir Red finir de féconder mon ancien puppy. L’alpha me nargue quand Thomas jette le collier avec ma plaque dessus. Il me toise ensuite alors qu’il arrose copieusement de son urine, celui qui était à moi, et l’entraîne vers le panier pour puppy.

- Voilà déjà un travail pour mon nouvel esclave. Va lécher l’urine laisser au sol. Cette maison doit rester propre.

Et j’obéis, je lèche cette pisse au goût de revendications alors qu’Orock s’endort dans les bras de son alpha.

Je galère à tout récupérer, le maître s’impatientant vient alors près de moi et pose son pied sur ma nuque, me collant la face au sol avant de l’utiliser comme une serpillière pour éponger le reste de pisse.

Il attrape ensuite mes cheveux et me tire jusqu’au bord du panier ou Red nous observe, son oméga endormi entre ses pattes. Il me fait mettre à 4 pattes, la gueule à quelque centimètre à peine de celle de l’alpha.

Et sans la moindre préparation, me rentre toute sa queue d’un coup. La douleur est puissante. Je suis écartelé par son engin, brûlé par la sensation de son pubis sur mes fesses déjà à vif.

- Ta gueule, gronde Red, si tu réveilles mon nouvel oméga tu vas avoir affaire à moi.

Je suis toujours en train de pleurer de douleur alors que le maître commence ses mouvements. Il ne lui faut que quelque coup avant de réussir à frapper ma prostate et alors la douleur est oubliée. Je sens toujours la brûlure des coups sur mon cul et celle provoqué par le manque de lubrifiant mais j’aime cette douleur. Elle est la car mon maître l’as voulu.

Red me regarde fixement dans les yeux avant de se racler la gorge. Je comprends le message et ouvre grand la bouche dans laquelle atterrit un mollard craché par l’alpha. Il me rappelle que même si nous appartenons tous les deux à Thomas, je ne suis qu’une merde comparée à lui.

- Je l’aime bien le petit gars que tu m’as ramené, déclare-t-il, mais il n’est pas prêt à être malmené comme toi. Tu as complètement raté son dressage. Alors je pense que c’est normal que tu sois même considéré comme son inférieur. Désormais ici tu es la pute de tous. Aucun trou ne nous sera interdit et bien sûr tu vas aimer cela.

En finissant sa phrase il me mord alors fort dans le cou avant d’aspirer pour me laisser un suçon. La sensation combinée à celle du maître toujours en train de me baiser me fait jouir sur le sol.

Le maître n’a que faire de mon orgasme et malgré mes nerfs à vif, continue de me baiser toujours aussi fort.

- Profite bien de cet orgasme, dit-il dans mon dos, les suivant risquent d’être bien différent.

Et sur ces mots il jouit dans mon cul.

Après cela il me porte jusqu’au canapé où nous attendrons le réveil du puppy oméga.



A suivre

Et voilà c’est la fin de l’histoire du point de vue de Jonathan. Prochainement nous reviendrons sur mon point de vue.

Je sais ce chapitre est plutôt court et soft comparer aux autres, ne vous en faites pas la suite sera mieux :D.

Bisous

Pup Orock

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