Les aventures d'un queutard (1)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les aventures d'un queutard (1)
Thomas, dit Tom, avait une solide réputation de dragueur impénitent. Célibataire âgé de 30 ans, brun aux yeux bleus et plutôt bien de sa personne grâce à une pratique régulière de la nage avec palmes, cadre dans la fonction publique territoriale, sa réputation de "tombeur" était désormais bien établie dans la ville où il exerçait, une ville ni trop grande ni trop petite facilitant les conquêtes sans trop de risques.
Ce jour là, c'était un samedi de printemps, il sirotait sa boisson à la terrasse d'un café, non loin de deux femmes qui, à l'évidence, se connaissaient bien. Elles papotaient avec vivacité autour d'un thé, ignorant leurs voisins. L'une était une fausse blonde aux cheveux raides tombant sur ses épaules avec raie sur le côté, vêtue d'un blouson, d'un jean et de bottines, au visage rond et souriant, en fin de quarantaine à moins que ce ne fût au début de cinquantaine, allait savoir avec les femmes d'aujourd'hui qui s'habillent comme des jeunes : mais elle était incontestablement sexy. L'autre était tout aussi séduisante mais visiblement plus âgée, très classe avec sa veste pied de poule, sa jupe courte et droite dévoilant généreusement ses jambes fines gainées de collants noirs, ses escarpins à hauts talons, ses cheveux auburn et ses ongles rouges laqués.
Tom les observait et à force de les regarder, sentait monter en lui le désir de les posséder. Qui étaient-elles ? Deux bourgeoises, apparemment, surtout celle aux cheveux auburn. Mariées sans doute, divorcées peut-être. Mais deux femmes qui baisent, il en était sûr. Son intuition le trompait rarement. Et il se faisait fort de les baiser, au moins une des deux. Il en avait un peu assez des jeunesses au corps certes plein et ardent mais qui finissaient par lui parler mariage ou lui reprochaient son manque de romantisme. Il avait envie d'une mature bien cochonne qui ne demanderait rien d'autre que sa bite. Pourquoi pas ces deux là, à la sexualité visiblement très assumée ?
Pris d'une résolution, il se leva et s'avança vers elle :- Bonjour, je m'appelle Thomas mais mes amis m'appellent Tom. Puis-je vous offrir un verre ?
Les deux femmes se regardèrent, un peu interloquées. La rousse répondit :- C'est gentil mais non, nous allions partir.
- Vraiment ? Vous ne voulez pas qu'on fasse connaissance un peu ? Je m'ennuie tout seul à ma table.
Cette fois, c'est la blonde qui intervint.
- Ecoutez, vous êtes sympa mais on a passé l'âge de se faire draguer sur une terrasse de café et en plus, je suis mariée (elle montra son alliance). Regardez ces jeunes filles là-bas, elles ne demandent que ça. Merci monsieur et bonne journée.
Et les deux femmes se levèrent de leur siège puis se quittèrent après s'être fait la bise.
Un râteau, un. Tom avait l'habitude de ce genre de situation mais il ne renonçait jamais. C'était la clé de ses réussites. Il paya sa consommation et se décida à suivre les deux femmes, ou plutôt la blonde, au hasard. Elle se dirigeait vers la rue commerçante, s'attardait devant quelques vitrines. Il eut tout loisir de la détailler. Assez grande mais pas trop, c'était le prototype de la femme bien balancée aux formes féminines et sûre de sa séduction. Tom détachait difficilement les yeux de son fessier moulé dans le jean sous le blouson. Un fessier comme il les aimait, ni trop gros, ni trop petit, charnu sans excès, fait pour l'enculade. Qu'allait-il faire ? L'aborder à nouveau ? Il ne savait pas trop. Il se contenta donc de la suivre. Bientôt, elle sortit du quartier commerçant et emprunta des rues moins fréquentées. Elle devait rentrer chez elle à pied. Il sentait monter un désir de plus en plus prégnant à voir ce beau cul onduler légèrement au fil de la marche. Pris d'une impulsion subite, il accéléra le pas et, arrivé à sa hauteur, lui tint ce langage :- Rebonjour. Comme on se retrouve. Vous rentrez chez vous ?
Elle le considéra de ses yeux émeraude avec étonnement.
- Ah oui, je vous reconnais, l'homme de la terrasse. Eh bien vous, au moins, vous avez de la constance. Vous me suivez ou quoi ?
Tom ne se démonta pas :- Oui, je vous suis parce que je vous admire, je vous trouve belle, ça vous choque ?
- Une femme n'est jamais choquée par ce genre de remarque. Mais ça va vous amener où, tout ça ? Vous croyez que je vais vous faire entrer chez moi ?
- Oh non, encore que... on ne sait jamais. Qui ne tente rien n'a rien.
- Vous êtes vraiment gonflé.
Et pour la première fois, elle lui sourit. Son visage rond s'éclaira alors et Tom y lut celui d'une femme ouverte, nullement revêche. Encouragé, et tout en marchant à ses côtés, il se présenta. Il lui dit son prénom et elle lui donna le sien, Corinne. Il lui indiqua son célibat et elle lui répondit qu'elle était mariée avec deux enfants adolescents. Il lui parla de ses loisirs, en particulier de son goût pour la nage avec palmes et elle évoqua ses séances de natation à la même piscine que lui, mais à des horaires différents. Ils parlèrent de la ville où ils vivaient, du quartier où elle habitait, tant et si bien qu'arrivés devant chez elle, le duo se sépara dans de bien meilleures dispositions. Tom lui proposa de la retrouver à la piscine pour lui prêter ses palmes. Elle ne dit pas non. Il s'en contenta et la salua cérémonieusement, ce qui la fit une nouvelle fois sourire. Et il s'en retourna, convaincu d'avoir "fait une touche".
**********
Deux jours plus tard, Tom entrait dans le grand bassin de la piscine avec ses palmes au pied, non sans avoir jeté un regard circulaire pour voir si Corinne était bien présente. Il avait beau scruter l'assistance, il ne la voyait pas. Déçu, il allait entamer ses longueurs lorsqu'il la vit. Coiffée d'un bonnet de bain qui dissimulait toute sa chevelure, vêtue d'un maillot une pièce très échancré au niveau des hanches et profondément décolleté dans le dos, avançant souplement au bord du bassin, elle était tellement désirable qu'il ressentit une raideur au niveau du slip. Alors qu'elle descendait l'échelle, il s'avança et la salua d'un geste de la main.
- Ah vous êtes là ! C'est bien et vous allez me prêter vos palmes, hein, j'ai envie d'essayer.
Suivit une série d'échanges aquatiques et la naissance d'une vraie complicité. Il lui prêta aussi son masque pour qu'elle puisse évoluer la tête dans l'eau et c'est ainsi qu'ils passèrent pas loin d'une heure dans le bassin. Lorsqu'il en sortit, ce fut elle qui fut frappée. "Quel beau mâle !" se dit-elle en découvrant le corps finement musclé de Tom, ses petites fesses rondes, son sexe bien marqué sous le mince maillot. Pour la première fois, elle aussi ressentit du désir. Elle ne se connaissait que trop bien. Elle ne pourrait pas résister longtemps aux efforts de séduction de ce jeune homme qui lui faisait l'honneur de la courtiser en dépit de la différence d'âge. La fidélité conjugale n'avait jamais été son fort et pour peu qu'il n'empiète pas trop sur sa vie de couple, céder à une aventure ponctuelle ne lui semblait pas irréaliste. Mais il fallait encore le faire mijoter un peu, cet Apollon des piscines. Il fallait qu'il soit à point.
Le samedi suivant, elle raconta l'épisode à son amie, la rousse Mylène, à la même terrasse de café.
- Quoi ? Le mec qui nous draguait l'autre jour ici ? Tu l'as revu ?
- Eh oui. Il m'a suivie après et on a discuté. Il est charmant. Pas vulgaire du tout. Et ce corps... On s'est revu à la piscine où il m'a prêté ses palmes et son masque. On a même renagé ensemble ce matin.
- Bon, j'ai compris, tu vas baiser avec lui et tu veux que je te prête mon appart'.
- Si c'est possible, j'aimerais bien. A charge de revanche. Si c'est un bon coup, comme je le pense, je te le prête. Et toi au moins, tu n'auras pas besoin de te cacher puisque tu es divorcée.
- Merci, c'est gentil de me le rappeler. Et ton gigolo, tu comptes le revoir quand ?
-Normalement, lundi à la pause déjeuner à la boite mais il ne le sait pas encore. On doit prendre un café ensemble et après, hop, au lit. Pas la peine de changer les draps, je les mettrai à la machine après.
-Toujours ce souci du détail, Coco. Bon, à part ça, Christophe va bien ?
- Ne cherche pas à me culpabiliser. J'ai 52 ans et plus beaucoup de temps à me faire draguer par un beau mec. J'aurais tout le loisir d'être fidèle à la retraite. Et au fait, toi, tes amours ?
-Bof, plutôt calme en ce moment. J'ai pas mal de boulot, faut dire. Ton gigolo m'intéresse. Laisse m'en un peu, hein ?
********Quand il reçut l'invitation de Corinne, Tom y vit une étape supplémentaire vers sa conquête. Il était cependant loin d'imaginer la teneur du dialogue entre les deux quinquagénaires. C'étaient bien, comme il en avait eu l'intuition, des "femmes qui baisent", ces deux bourgeoises bcbg mais bien plus que cela encore : deux cochonnes grandioses cachant bien leur jeu. Corinne l'avait invité à se rendre dans un café au bas de l'immeuble de Mylène à l'heure du déjeuner. Arrivé en avance, il avait déjà commencé à regarder la carte lorsque Corinne arriva, toujours vêtue de son jean, de son blouson et de ses bottines, mais aussi d'un chemisier dont elle avait généreusement déboutonné les boutons du haut, dévoilant la naissance de ses seins. Après une bise, elle le prévint avec le sourire :- Juste un café, on ne mange pas.
- Ah bon ?
- Ne fais pas l'innocent. Tu as envie de moi et j'ai envie de toi. On n'est plus à l'âge, surtout moi, de se faire des simagrées. Ma copine nous prête son appartement au-dessus.
Tom dut faire une drôle de tête car Corinne éclata de rire.
- Je te bouscule un peu, hein ? C'est qu'on a tout juste une bonne heure devant nous. Et je veux en profiter pleinement avec toi. Tu as intérêt à être à la hauteur, mon lapin. J'ai une grosse faim.
Tom se mit à triquer tellement fort qu'il se demanda si sa braguette n'allait pas éclater. Quand il se leva à la suite de Corinne, une grosse bosse marquait le devant de son pantalon. Elle s'en aperçut et lui souffla à l'oreille :- Prometteur...
Décidément, se dit-il, j'ai touché le gros lot. Et ils gagnèrent l'ascenseur puis l'appartement de Mylène.
*********
A peine entrée, Corinne se débarrassa de son blouson, prit le visage de Tom à deux mains et lui administra une pelle monumentale. Il était temps qu'il reprenne les choses en mains. Il n'avait pas l'habitude qu'une femme lui impose son jeu. Il la souleva avec aisance en la prenant dans ses bras et la conduisit à la chambre avant de la déposer avec délicatesse sur le lit de Mylène. Sans se presser, il lui ôta ses bottines, ses chaussettes, son jean, son chemisier puis enfin son soutif et son slip, dévoilant deux seins en pomme et un pubis soyeux, une peau douce, un ventre légèrement bombé et des cuisses pleines. Tout pour satisfaire un homme. De son côté, elle s'attaqua directement à son pantalon et libéra un dard déjà tendu, légèrement en arc de cercle et l'apprécia d'un "mmmh" évocateur. Quand tous deux furent nus, Corinne tira sur la couette de manière à dégager le drap du dessous, promis à la machine à laver. Puis elle se posa sur ses coudes, cuisses ouvertes, regard pétillant, et le défia :- Alors, beau mâle, tu me rends ton hommage ?
Il décida de la faire languir un peu. Après tout, lui n'était pas pressé. Il commença par lui suçoter les orteils et remonta lentement le long de la jambe jusqu'à la vulve palpitante où il colla sa bouche. Un frémissement parcourut tout le corps de Corinne, qui se mua en gémissement quand Tom se mit à la "manger". Il adorait le cunnilingus, c'est ce qui le faisait le plus bander. Il s'y prenait si bien que la plupart de ses partenaires finissait par se tordre de plaisir et Corinne n'y fit pas exception. Tendue en arc de cercle, elle accompagnait de ses hanches le travail de la langue, qu'il compléta d'un doigtage, et elle connut un premier orgasme. Le regard noyé, elle l'implora :- S'il te plait, baise-moi maintenant. J'ai besoin de ta bite.
Toujours sans se presser, il alla chercher dans sa pochette un préservatif qu'il coiffa en la regardant dans les yeux. Elle l'attendait, frémissante, pointes de seins dressées, ventre palpitant, cuisses en V. Toujours en la fixant, il se positionna entre ses jambes, en appui sur les mains et, lentement, la pénétra. Un cri de ventre et de gorge lui répondit et aussitôt, elle se mit à ruer sous lui. Engagé jusqu'à la garde, il clapotait en elle en "rabotant" ses parois vaginales et elle lui répondit en lui talonnant les reins, manifestant ainsi sa totale adhésion.
Puis sans attendre la moindre revendication de sa part, il la retourna pour la prendre en levrette, lui laissant juste le temps d'attacher ses cheveux en chignon à l'aide d'une barrette, car il voulait voir son cul. Elle venait le chercher à grands coups de hanches, tournant parfois son visage vers lui pour le défier mais inlassablement, son pénis poursuivait son ouvrage. Sûr de sa virilité et de sa capacité à se retenir, il la creusa, la fora et la fouilla encore longuement en variant les positions mais en ne lui laissant pas le loisir de le dominer en le chevauchant. Il la voulait soumise, écartelée, pliée, sous son joug. Et ça marchait puisqu'il la voyait perdre complètement les pédales, bredouiller des mots incompréhensibles d'où émergeaient juste quelques implorations ("continue, t'arrête pas..."), réservant juste le meilleur pour la fin.
Car depuis le début, son intention était claire : la sodomiser. Il voulait entrer dans ce cul qu'il avait vu danser devant ses yeux pendant qu'il la suivait. Quand il la retourna une nouvelle fois et glissa sa langue dans son anus, elle comprit aussitôt où il voulait en venir :- Non, non, pas ça ! gémit-elle, car c'était une privauté qu'elle voulait réserver à son mari, pourtant si souvent trompé.
Mais sa langue était aussi diabolique dans son anneau que dans sa vulve et, au surplus, elle était tellement excitée, tellement en transes, qu'elle n'était guère en mesure d'opposer un refus catégorique. Alors, quand il insinua son gland à l'entrée de son orifice intime, loin de le repousser, elle creusa les reins. Et il entra sans difficulté. Limant dans le confort, il ne tarda pas à provoquer des gémissements de plaisir, qui se muèrent en exclamations quand il se mit à cogner dur et à faire claquer leurs peaux en contact. Penché en avant, il lui murmura à l'oreille :- Tu aimes ça, hein, te faire enculer ?
Elle fit oui de la tête ce qui eut pour effet de défaire définitivement son chignon et ses longs cheveux blonds cascadèrent sur ses épaules. L'ardeur enthousiaste de Corinne eut cette fois raison de sa résistance et il éjacula dans son rectum en grognant avant de se détacher vivement, d'arracher sa capote et d'offrir son membre à la bouche de sa partenaire qui en expulsa les dernières giclées avant de les avaler, non sans en laisser tomber au passage, car le sperme de Tom était particulièrement copieux. Il faudrait bien changer les draps...
Ils restèrent quelques minutes côte à côte, main dans la main sur le lit, évoquant sans tabous leur accouplement :- Tu es un formidable baiseur, ta bite est géniale.
- Tu es une magnifique salope, tu caches admirablement ton jeu.
- J'adore ton corps, tu es fait pour l'amour.
- Je pourrais te dire la même chose, ton mari a bien de la chance de t'avoir toujours à ta disposition. Il te baise suffisamment ?
- Oui mais j'aime aussi du changement de temps en temps. J'ai toujours été branchée cul. Il le sait et l'accepte.
- Libertine, hein ? Coquine va.
- Je n'ai plus de temps à perdre. J'arrive à un âge où on plait moins aux hommes. A ce propos, j'ai un service à te demander.
- Ah bon ? Et quoi donc ?
- Tu sais, la copine avec laquelle j'étais en terrasse l'autre jour. C'est chez elle ici. Elle est divorcée et se trouve en manque d'hommes. J'aimerais que tu la baises comme tu m'as baisée.
Tom se remémora la belle rousse auburn, sa jupe courte, ses collants noirs, sa classe. Il accepta et chargea Corinne d'arranger le rendez-vous.
*******Deux jours plus tard, Tom entrait dans le même appartement avec Mylène au bras. Celle-ci avait tenu à l'inviter préalablement à dîner dans le meilleur restaurant de la ville. Il n'avait pas boudé son plaisir, aimant la bonne chère autant que la bonne chair, même s'il avait la désagréable impression de passer pour un gigolo. La rousse était en effet un peu plus âgée que la blonde et son visage marquait déjà l'épreuve du temps par quelques rides. Elle n'en restait pas moins séduisante avec un corps visiblement bien entretenu. Confirmation lui fut apportée lorsqu'ils se retrouvèrent nus sur le même lit que celui où il avait honoré Corinne... avec des draps différents. Mylène n'éprouva pas le besoin de diminuer la lumière pour masquer les marques de son âge, au demeurant limitées à quelques traces de cellulite. Mais Tom fut très vite attiré par sa croupe aux deux globes bien séparés, bien fendus. Un appel muet à sa bite.
Mais auparavant, il lui proposa un 69, lui dessus et il la découvrit dans l'amour. Un véritable torrent de montagne. Non seulement elle n'arrêtait pas de gigoter mais elle couinait, bramait, tempêtait au point qu'il se demanda s'il n'aurait pas dû apporter des boules quies. En voilà une au moins qui n'avait pas le sexe passif. Comme elle réclamait du dur et du lourd à cor et à cris, il la dévasta pendant une demi-heure d'affilée, sans débander. Plus il en donnait, plus elle en voulait, plantant ses ongles laqués rouges dans ses épaules ou dans ses fesses, le chevauchant avec frénésie comme si elle n'avait pas été baisée depuis des lustres. Ce qui le ravit et l'étonna, c'est qu'elle n'arrêtait pas, entre deux brames, de lui parler de sa bite, de tout le bonheur qu'elle lui donnait. Jamais une fille de 20 ans ne lui aurait parlé comme ça. Il en sortit vidé et étourdi tandis qu'après avoir joui très bruyamment, elle semblait plongée dans un demi coma. Bien entendu, il l'avait sodomisée et il y était même revenu à sa demande, ce qui n'était pas fréquent, ce qui l'avait contraint à changer de capote en pleine action et elle avait tellement joui qu'il avait failli tout lâcher. Mais il s'était retenu et avait "dégorgé le poireau" un peu plus tard dans la bouche distinguée de Mylène, qui avait tout avalé.
Comme elle était nettement plus disponible que Corinne du fait de son divorce, il revint plusieurs fois l'honorer dans les semaines suivantes. Mais forcément, le plaisir s'amenuisa avec le temps et d'un commun accord, ils décidèrent un jour d'en rester là. Dans l'intervalle, il avait revu et possédé Corinne une ou deux fois en pleine nature, chose qu'elle appréciait particulièrement. Puis Tom jeta son dévolu sur Marjorie... mais c'est une autre histoire.
(A suivre)
Ce jour là, c'était un samedi de printemps, il sirotait sa boisson à la terrasse d'un café, non loin de deux femmes qui, à l'évidence, se connaissaient bien. Elles papotaient avec vivacité autour d'un thé, ignorant leurs voisins. L'une était une fausse blonde aux cheveux raides tombant sur ses épaules avec raie sur le côté, vêtue d'un blouson, d'un jean et de bottines, au visage rond et souriant, en fin de quarantaine à moins que ce ne fût au début de cinquantaine, allait savoir avec les femmes d'aujourd'hui qui s'habillent comme des jeunes : mais elle était incontestablement sexy. L'autre était tout aussi séduisante mais visiblement plus âgée, très classe avec sa veste pied de poule, sa jupe courte et droite dévoilant généreusement ses jambes fines gainées de collants noirs, ses escarpins à hauts talons, ses cheveux auburn et ses ongles rouges laqués.
Tom les observait et à force de les regarder, sentait monter en lui le désir de les posséder. Qui étaient-elles ? Deux bourgeoises, apparemment, surtout celle aux cheveux auburn. Mariées sans doute, divorcées peut-être. Mais deux femmes qui baisent, il en était sûr. Son intuition le trompait rarement. Et il se faisait fort de les baiser, au moins une des deux. Il en avait un peu assez des jeunesses au corps certes plein et ardent mais qui finissaient par lui parler mariage ou lui reprochaient son manque de romantisme. Il avait envie d'une mature bien cochonne qui ne demanderait rien d'autre que sa bite. Pourquoi pas ces deux là, à la sexualité visiblement très assumée ?
Pris d'une résolution, il se leva et s'avança vers elle :- Bonjour, je m'appelle Thomas mais mes amis m'appellent Tom. Puis-je vous offrir un verre ?
Les deux femmes se regardèrent, un peu interloquées. La rousse répondit :- C'est gentil mais non, nous allions partir.
- Vraiment ? Vous ne voulez pas qu'on fasse connaissance un peu ? Je m'ennuie tout seul à ma table.
Cette fois, c'est la blonde qui intervint.
- Ecoutez, vous êtes sympa mais on a passé l'âge de se faire draguer sur une terrasse de café et en plus, je suis mariée (elle montra son alliance). Regardez ces jeunes filles là-bas, elles ne demandent que ça. Merci monsieur et bonne journée.
Et les deux femmes se levèrent de leur siège puis se quittèrent après s'être fait la bise.
Un râteau, un. Tom avait l'habitude de ce genre de situation mais il ne renonçait jamais. C'était la clé de ses réussites. Il paya sa consommation et se décida à suivre les deux femmes, ou plutôt la blonde, au hasard. Elle se dirigeait vers la rue commerçante, s'attardait devant quelques vitrines. Il eut tout loisir de la détailler. Assez grande mais pas trop, c'était le prototype de la femme bien balancée aux formes féminines et sûre de sa séduction. Tom détachait difficilement les yeux de son fessier moulé dans le jean sous le blouson. Un fessier comme il les aimait, ni trop gros, ni trop petit, charnu sans excès, fait pour l'enculade. Qu'allait-il faire ? L'aborder à nouveau ? Il ne savait pas trop. Il se contenta donc de la suivre. Bientôt, elle sortit du quartier commerçant et emprunta des rues moins fréquentées. Elle devait rentrer chez elle à pied. Il sentait monter un désir de plus en plus prégnant à voir ce beau cul onduler légèrement au fil de la marche. Pris d'une impulsion subite, il accéléra le pas et, arrivé à sa hauteur, lui tint ce langage :- Rebonjour. Comme on se retrouve. Vous rentrez chez vous ?
Elle le considéra de ses yeux émeraude avec étonnement.
- Ah oui, je vous reconnais, l'homme de la terrasse. Eh bien vous, au moins, vous avez de la constance. Vous me suivez ou quoi ?
Tom ne se démonta pas :- Oui, je vous suis parce que je vous admire, je vous trouve belle, ça vous choque ?
- Une femme n'est jamais choquée par ce genre de remarque. Mais ça va vous amener où, tout ça ? Vous croyez que je vais vous faire entrer chez moi ?
- Oh non, encore que... on ne sait jamais. Qui ne tente rien n'a rien.
- Vous êtes vraiment gonflé.
Et pour la première fois, elle lui sourit. Son visage rond s'éclaira alors et Tom y lut celui d'une femme ouverte, nullement revêche. Encouragé, et tout en marchant à ses côtés, il se présenta. Il lui dit son prénom et elle lui donna le sien, Corinne. Il lui indiqua son célibat et elle lui répondit qu'elle était mariée avec deux enfants adolescents. Il lui parla de ses loisirs, en particulier de son goût pour la nage avec palmes et elle évoqua ses séances de natation à la même piscine que lui, mais à des horaires différents. Ils parlèrent de la ville où ils vivaient, du quartier où elle habitait, tant et si bien qu'arrivés devant chez elle, le duo se sépara dans de bien meilleures dispositions. Tom lui proposa de la retrouver à la piscine pour lui prêter ses palmes. Elle ne dit pas non. Il s'en contenta et la salua cérémonieusement, ce qui la fit une nouvelle fois sourire. Et il s'en retourna, convaincu d'avoir "fait une touche".
**********
Deux jours plus tard, Tom entrait dans le grand bassin de la piscine avec ses palmes au pied, non sans avoir jeté un regard circulaire pour voir si Corinne était bien présente. Il avait beau scruter l'assistance, il ne la voyait pas. Déçu, il allait entamer ses longueurs lorsqu'il la vit. Coiffée d'un bonnet de bain qui dissimulait toute sa chevelure, vêtue d'un maillot une pièce très échancré au niveau des hanches et profondément décolleté dans le dos, avançant souplement au bord du bassin, elle était tellement désirable qu'il ressentit une raideur au niveau du slip. Alors qu'elle descendait l'échelle, il s'avança et la salua d'un geste de la main.
- Ah vous êtes là ! C'est bien et vous allez me prêter vos palmes, hein, j'ai envie d'essayer.
Suivit une série d'échanges aquatiques et la naissance d'une vraie complicité. Il lui prêta aussi son masque pour qu'elle puisse évoluer la tête dans l'eau et c'est ainsi qu'ils passèrent pas loin d'une heure dans le bassin. Lorsqu'il en sortit, ce fut elle qui fut frappée. "Quel beau mâle !" se dit-elle en découvrant le corps finement musclé de Tom, ses petites fesses rondes, son sexe bien marqué sous le mince maillot. Pour la première fois, elle aussi ressentit du désir. Elle ne se connaissait que trop bien. Elle ne pourrait pas résister longtemps aux efforts de séduction de ce jeune homme qui lui faisait l'honneur de la courtiser en dépit de la différence d'âge. La fidélité conjugale n'avait jamais été son fort et pour peu qu'il n'empiète pas trop sur sa vie de couple, céder à une aventure ponctuelle ne lui semblait pas irréaliste. Mais il fallait encore le faire mijoter un peu, cet Apollon des piscines. Il fallait qu'il soit à point.
Le samedi suivant, elle raconta l'épisode à son amie, la rousse Mylène, à la même terrasse de café.
- Quoi ? Le mec qui nous draguait l'autre jour ici ? Tu l'as revu ?
- Eh oui. Il m'a suivie après et on a discuté. Il est charmant. Pas vulgaire du tout. Et ce corps... On s'est revu à la piscine où il m'a prêté ses palmes et son masque. On a même renagé ensemble ce matin.
- Bon, j'ai compris, tu vas baiser avec lui et tu veux que je te prête mon appart'.
- Si c'est possible, j'aimerais bien. A charge de revanche. Si c'est un bon coup, comme je le pense, je te le prête. Et toi au moins, tu n'auras pas besoin de te cacher puisque tu es divorcée.
- Merci, c'est gentil de me le rappeler. Et ton gigolo, tu comptes le revoir quand ?
-Normalement, lundi à la pause déjeuner à la boite mais il ne le sait pas encore. On doit prendre un café ensemble et après, hop, au lit. Pas la peine de changer les draps, je les mettrai à la machine après.
-Toujours ce souci du détail, Coco. Bon, à part ça, Christophe va bien ?
- Ne cherche pas à me culpabiliser. J'ai 52 ans et plus beaucoup de temps à me faire draguer par un beau mec. J'aurais tout le loisir d'être fidèle à la retraite. Et au fait, toi, tes amours ?
-Bof, plutôt calme en ce moment. J'ai pas mal de boulot, faut dire. Ton gigolo m'intéresse. Laisse m'en un peu, hein ?
********Quand il reçut l'invitation de Corinne, Tom y vit une étape supplémentaire vers sa conquête. Il était cependant loin d'imaginer la teneur du dialogue entre les deux quinquagénaires. C'étaient bien, comme il en avait eu l'intuition, des "femmes qui baisent", ces deux bourgeoises bcbg mais bien plus que cela encore : deux cochonnes grandioses cachant bien leur jeu. Corinne l'avait invité à se rendre dans un café au bas de l'immeuble de Mylène à l'heure du déjeuner. Arrivé en avance, il avait déjà commencé à regarder la carte lorsque Corinne arriva, toujours vêtue de son jean, de son blouson et de ses bottines, mais aussi d'un chemisier dont elle avait généreusement déboutonné les boutons du haut, dévoilant la naissance de ses seins. Après une bise, elle le prévint avec le sourire :- Juste un café, on ne mange pas.
- Ah bon ?
- Ne fais pas l'innocent. Tu as envie de moi et j'ai envie de toi. On n'est plus à l'âge, surtout moi, de se faire des simagrées. Ma copine nous prête son appartement au-dessus.
Tom dut faire une drôle de tête car Corinne éclata de rire.
- Je te bouscule un peu, hein ? C'est qu'on a tout juste une bonne heure devant nous. Et je veux en profiter pleinement avec toi. Tu as intérêt à être à la hauteur, mon lapin. J'ai une grosse faim.
Tom se mit à triquer tellement fort qu'il se demanda si sa braguette n'allait pas éclater. Quand il se leva à la suite de Corinne, une grosse bosse marquait le devant de son pantalon. Elle s'en aperçut et lui souffla à l'oreille :- Prometteur...
Décidément, se dit-il, j'ai touché le gros lot. Et ils gagnèrent l'ascenseur puis l'appartement de Mylène.
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A peine entrée, Corinne se débarrassa de son blouson, prit le visage de Tom à deux mains et lui administra une pelle monumentale. Il était temps qu'il reprenne les choses en mains. Il n'avait pas l'habitude qu'une femme lui impose son jeu. Il la souleva avec aisance en la prenant dans ses bras et la conduisit à la chambre avant de la déposer avec délicatesse sur le lit de Mylène. Sans se presser, il lui ôta ses bottines, ses chaussettes, son jean, son chemisier puis enfin son soutif et son slip, dévoilant deux seins en pomme et un pubis soyeux, une peau douce, un ventre légèrement bombé et des cuisses pleines. Tout pour satisfaire un homme. De son côté, elle s'attaqua directement à son pantalon et libéra un dard déjà tendu, légèrement en arc de cercle et l'apprécia d'un "mmmh" évocateur. Quand tous deux furent nus, Corinne tira sur la couette de manière à dégager le drap du dessous, promis à la machine à laver. Puis elle se posa sur ses coudes, cuisses ouvertes, regard pétillant, et le défia :- Alors, beau mâle, tu me rends ton hommage ?
Il décida de la faire languir un peu. Après tout, lui n'était pas pressé. Il commença par lui suçoter les orteils et remonta lentement le long de la jambe jusqu'à la vulve palpitante où il colla sa bouche. Un frémissement parcourut tout le corps de Corinne, qui se mua en gémissement quand Tom se mit à la "manger". Il adorait le cunnilingus, c'est ce qui le faisait le plus bander. Il s'y prenait si bien que la plupart de ses partenaires finissait par se tordre de plaisir et Corinne n'y fit pas exception. Tendue en arc de cercle, elle accompagnait de ses hanches le travail de la langue, qu'il compléta d'un doigtage, et elle connut un premier orgasme. Le regard noyé, elle l'implora :- S'il te plait, baise-moi maintenant. J'ai besoin de ta bite.
Toujours sans se presser, il alla chercher dans sa pochette un préservatif qu'il coiffa en la regardant dans les yeux. Elle l'attendait, frémissante, pointes de seins dressées, ventre palpitant, cuisses en V. Toujours en la fixant, il se positionna entre ses jambes, en appui sur les mains et, lentement, la pénétra. Un cri de ventre et de gorge lui répondit et aussitôt, elle se mit à ruer sous lui. Engagé jusqu'à la garde, il clapotait en elle en "rabotant" ses parois vaginales et elle lui répondit en lui talonnant les reins, manifestant ainsi sa totale adhésion.
Puis sans attendre la moindre revendication de sa part, il la retourna pour la prendre en levrette, lui laissant juste le temps d'attacher ses cheveux en chignon à l'aide d'une barrette, car il voulait voir son cul. Elle venait le chercher à grands coups de hanches, tournant parfois son visage vers lui pour le défier mais inlassablement, son pénis poursuivait son ouvrage. Sûr de sa virilité et de sa capacité à se retenir, il la creusa, la fora et la fouilla encore longuement en variant les positions mais en ne lui laissant pas le loisir de le dominer en le chevauchant. Il la voulait soumise, écartelée, pliée, sous son joug. Et ça marchait puisqu'il la voyait perdre complètement les pédales, bredouiller des mots incompréhensibles d'où émergeaient juste quelques implorations ("continue, t'arrête pas..."), réservant juste le meilleur pour la fin.
Car depuis le début, son intention était claire : la sodomiser. Il voulait entrer dans ce cul qu'il avait vu danser devant ses yeux pendant qu'il la suivait. Quand il la retourna une nouvelle fois et glissa sa langue dans son anus, elle comprit aussitôt où il voulait en venir :- Non, non, pas ça ! gémit-elle, car c'était une privauté qu'elle voulait réserver à son mari, pourtant si souvent trompé.
Mais sa langue était aussi diabolique dans son anneau que dans sa vulve et, au surplus, elle était tellement excitée, tellement en transes, qu'elle n'était guère en mesure d'opposer un refus catégorique. Alors, quand il insinua son gland à l'entrée de son orifice intime, loin de le repousser, elle creusa les reins. Et il entra sans difficulté. Limant dans le confort, il ne tarda pas à provoquer des gémissements de plaisir, qui se muèrent en exclamations quand il se mit à cogner dur et à faire claquer leurs peaux en contact. Penché en avant, il lui murmura à l'oreille :- Tu aimes ça, hein, te faire enculer ?
Elle fit oui de la tête ce qui eut pour effet de défaire définitivement son chignon et ses longs cheveux blonds cascadèrent sur ses épaules. L'ardeur enthousiaste de Corinne eut cette fois raison de sa résistance et il éjacula dans son rectum en grognant avant de se détacher vivement, d'arracher sa capote et d'offrir son membre à la bouche de sa partenaire qui en expulsa les dernières giclées avant de les avaler, non sans en laisser tomber au passage, car le sperme de Tom était particulièrement copieux. Il faudrait bien changer les draps...
Ils restèrent quelques minutes côte à côte, main dans la main sur le lit, évoquant sans tabous leur accouplement :- Tu es un formidable baiseur, ta bite est géniale.
- Tu es une magnifique salope, tu caches admirablement ton jeu.
- J'adore ton corps, tu es fait pour l'amour.
- Je pourrais te dire la même chose, ton mari a bien de la chance de t'avoir toujours à ta disposition. Il te baise suffisamment ?
- Oui mais j'aime aussi du changement de temps en temps. J'ai toujours été branchée cul. Il le sait et l'accepte.
- Libertine, hein ? Coquine va.
- Je n'ai plus de temps à perdre. J'arrive à un âge où on plait moins aux hommes. A ce propos, j'ai un service à te demander.
- Ah bon ? Et quoi donc ?
- Tu sais, la copine avec laquelle j'étais en terrasse l'autre jour. C'est chez elle ici. Elle est divorcée et se trouve en manque d'hommes. J'aimerais que tu la baises comme tu m'as baisée.
Tom se remémora la belle rousse auburn, sa jupe courte, ses collants noirs, sa classe. Il accepta et chargea Corinne d'arranger le rendez-vous.
*******Deux jours plus tard, Tom entrait dans le même appartement avec Mylène au bras. Celle-ci avait tenu à l'inviter préalablement à dîner dans le meilleur restaurant de la ville. Il n'avait pas boudé son plaisir, aimant la bonne chère autant que la bonne chair, même s'il avait la désagréable impression de passer pour un gigolo. La rousse était en effet un peu plus âgée que la blonde et son visage marquait déjà l'épreuve du temps par quelques rides. Elle n'en restait pas moins séduisante avec un corps visiblement bien entretenu. Confirmation lui fut apportée lorsqu'ils se retrouvèrent nus sur le même lit que celui où il avait honoré Corinne... avec des draps différents. Mylène n'éprouva pas le besoin de diminuer la lumière pour masquer les marques de son âge, au demeurant limitées à quelques traces de cellulite. Mais Tom fut très vite attiré par sa croupe aux deux globes bien séparés, bien fendus. Un appel muet à sa bite.
Mais auparavant, il lui proposa un 69, lui dessus et il la découvrit dans l'amour. Un véritable torrent de montagne. Non seulement elle n'arrêtait pas de gigoter mais elle couinait, bramait, tempêtait au point qu'il se demanda s'il n'aurait pas dû apporter des boules quies. En voilà une au moins qui n'avait pas le sexe passif. Comme elle réclamait du dur et du lourd à cor et à cris, il la dévasta pendant une demi-heure d'affilée, sans débander. Plus il en donnait, plus elle en voulait, plantant ses ongles laqués rouges dans ses épaules ou dans ses fesses, le chevauchant avec frénésie comme si elle n'avait pas été baisée depuis des lustres. Ce qui le ravit et l'étonna, c'est qu'elle n'arrêtait pas, entre deux brames, de lui parler de sa bite, de tout le bonheur qu'elle lui donnait. Jamais une fille de 20 ans ne lui aurait parlé comme ça. Il en sortit vidé et étourdi tandis qu'après avoir joui très bruyamment, elle semblait plongée dans un demi coma. Bien entendu, il l'avait sodomisée et il y était même revenu à sa demande, ce qui n'était pas fréquent, ce qui l'avait contraint à changer de capote en pleine action et elle avait tellement joui qu'il avait failli tout lâcher. Mais il s'était retenu et avait "dégorgé le poireau" un peu plus tard dans la bouche distinguée de Mylène, qui avait tout avalé.
Comme elle était nettement plus disponible que Corinne du fait de son divorce, il revint plusieurs fois l'honorer dans les semaines suivantes. Mais forcément, le plaisir s'amenuisa avec le temps et d'un commun accord, ils décidèrent un jour d'en rester là. Dans l'intervalle, il avait revu et possédé Corinne une ou deux fois en pleine nature, chose qu'elle appréciait particulièrement. Puis Tom jeta son dévolu sur Marjorie... mais c'est une autre histoire.
(A suivre)
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