Les aventures d'un queutard (3)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les aventures d'un queutard (3)
Depuis qu'il fréquentait régulièrement la piscine pour satisfaire à sa pratique de la nage avec palmes, Tom éprouvait un vrai penchant pour la caissière. C'était une femme d'une quarantaine d'années, remarquable par son imposant casque de cheveux argentés dont on ne savait s'ils étaient naturels (et donc prématurés vu son âge) ou optimisés par une teinture. Le résultat était en tout cas très seyant. Mais c'est surtout son buste qui fascinait Tom. Dans son petit palmarès personnel, il avait palpé bien des poitrines féminines : des en pommes, des en poires, des Jane Birkin, des Audrey Fleurot mais celle-ci était d'un genre vraiment spécial. Un seul mot lui venait à l'esprit : obus. Souvent, les seins opulents ont tendance à s'affaisser, surtout à partir d'un certain âge. Mais ceux-là constituaient un véritable défi à l'apesanteur et se montraient d'une incroyable agressivité tout en occupant généreusement l'espace dans le sens de la largeur. La dame, prénommée Nathalie, devait être consciente de ce privilège naturel (en tout cas vécu comme tel) car elle exposait complaisamment ses atouts mammaires avec des décolletés de tailles et de formes variées. Tom suspectait fortement certains baigneurs de venir faire trempette uniquement pour mater les globes fantastiques de la caissière.
Ce n'était pas le cas de Tom, nageur émérite. N'empêche : commencer son entrainement par une vision plongeante de l'imposant sillon mammaire lui mettait du coeur à l'ouvrage... et la queue raide. Il avait bien entendu tenté de la draguer. Elle lui avait répondu en tendant la main gauche et en repliant tous ses doigts moins l'annulaire. Avec une alliance bien visible. Avec un sourire mais aucun commentaire. Il s'en était pas tenu pour dit. Il profitait parfois d'un manque de clients derrière lui pour lui faire un brin de conversation, en habitué des lieux. Elle savait désormais qu'il était informaticien à la collectivité locale et c'est cette information qui, sans qu'il le sache, allait lui permettre d'arriver à ses fins.
**********Un jour qu'il passait au niveau à la caisse, la titulaire du poste se montra étonnamment aimable avec lui.
- Cher monsieur, vous m'avez bien dit que vous étiez informaticien ?
- Parfaitement. Vous avez un problème d'ordinateur ?
- Pas du tout, enfin pas pour le moment. Non, c'est à propos de ma fille. Elle passe son bac cette année et elle a besoin de travailler ses maths. Je suppose que vous êtes fort en maths ?
- Disons que j'ai fait des études scientifiques et il m'en reste encore quelques broutilles.
- Parfait. Si vous aviez la gentillesse de venir l'aider, moyennant une contribution bien sûr, est-ce que vous seriez disponible ?
- Euh... oui, pourquoi pas ?
- Super ! Ce sera chez moi en ma présence, quand je ne suis pas de perm ici. Quand êtes-vous disponible ?
Tous deux arrangèrent un rendez-vous pour le lendemain soir. Tom était surpris de l'évolution de cette situation mais y vit tout de suite une opportunité à ne surtout pas laisser passer. La dame, qui lui demanda de l'appeler par son prénom, Nathalie, devenait soudain beaucoup plus accessible, même s'il faudrait évidemment compter avec le mari... mais il en avait l'habitude. A partir d'un certain âge, la notion de fidélité a tendance à s'amoindrir. C'était en tout cas le reflet de son expérience... et de ses désirs.
*******Lorsqu'il se présenta au rendez-vous le samedi suivant, Tom ressentit un petit choc. La jeune fille qui lui ouvrit, et qui allait être son élève, était un vrai canon. Petite comme sa mère mais magnifiquement roulée avec une paire de nibards qui semblaient le fusiller. Il avala néanmoins sa salive et une fois les présentations faites par la mère (laquelle était sommairement vêtue d'un peignoir moulant ses avantages), gagna le bureau de la jeune fille (prénommée Sandra) pour les premiers exercices mathématiques. Tom comprit qu'il s'était fourré dans un vrai guêpier. Mineure, Sandra n'en exerçait pas moins un puissant attrait érotique et il devrait absolument se concentrer pour ne pas déraper. Du reste, en passant de temps à autre la tête par la porte, Nathalie veillait au grain. Il comprenait mieux maintenant pourquoi elle tenait à être là pendant le cours.
Il revint le samedi suivant, avec le même accueil et la même tenue pour Nathalie. Au moins, elle ne faisait pas de frais vestimentaires. L'élève fut moins attentive. Sa cuisse toucha plusieurs fois celle de Tom qui la retira une première fois, mais pas la deuxième. Il triquait. Et Sandra s'en aperçut pour la bonne et simple raison qu'elle laissa sa main trainer sur sa braguette. Tom se leva d'un bond, la sueur aux tempes, et mit fin prématurément au cours. Nathalie s'en étonna et Tom bredouilla quelques excuses qui attirèrent d'emblée la suspicion de la mère.
- Je parie qu'elle vous a dragué.
- Euh...
- Elle est incorrigible. Elle a le diable au corps.
- Rassurez-vous, ce n'est pas mon genre, les jeunes filles. Je préfère de beaucoup les femmes mûres.
- Ah bon ? C'est étonnant. Et pourquoi ?
- L'expérience. Les formes épanouies (il lorgna alors le buste moulé de Nathalie). Généralement l'absence de tabous.
- Je vous vois venir, vous. Tiens, voilà mon mari qui arrive. Je vous présente ?
Tom se retrouva nez à nez avec un homme corpulent, un gros cigare aux lèvres, qui répondit mollement à sa poignée de main. Il s'échappa rapidement, visiblement peu concerné par les progrès mathématiques de sa fille. Nathalie poursuivit :- Bon, qu'est-ce qu'on fait maintenant ? Elle avait apprécié la première séance, ce serait bête d'arrêter, non ? Je vais la chapitrer. S'il vous plait, revenez samedi prochain.
Tom acquiesça. Au moins, il aurait prévenu.
La semaine suivante, lorsqu'il se présenta à la caisse de la piscine, Nathalie lui fit les yeux doux. Elle avait une façon de se lécher les lèvres en le regardant qui frisait l'indécence. Il y avait, dans son comportement, une évidente volonté de séduction. Pour les leçons de sa fille ? Pour elle-même ? Difficile à dire. Il se présenta à son domicile comme prévu, son livre de maths de terminale à la main.
Cette fois, ce fut Nathalie qui lui ouvrit. Elle n'était pas vêtue de son peignoir mais d'une robe d'intérieur à fines épaulettes lui arrivant à mi-cuisses et dévoilant son imposant sillon mammaire. Un véritable appel au sexe. Tom se dit qu'elle était probablement à poil dessous. A quoi jouait-elle ?
Sandra se montra cette fois très sage et studieuse. Une fois la leçon terminée, Nathalie le raccompagna à la porte. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle lui glissa un petit papier à la main au moment des salutations. Il le découvrit quelques minutes plus tard : "je serai seule à la maison à partir de 15h jusqu'à 19h". Instantanément, il banda. Il allait enfin arriver à ses fins.
********Elle l'accueillit dans un fourreau de soie décolleté en pointe moulant ses opulentes mamelles au point qu'on pouvait parfaitement discerner les pointes et mêmes les aréoles. Son cul rond et ferme se balançait sous l'étoffe légère, sans la moindre trace de sous-vêtement. "Elle est à poil dessous", se dit instantanément Tom, qui ressentit une petite boule dans l'estomac. Son casque argenté virevoltait dans la maison vide d'autres occupants et elle le fit asseoir dans le canapé du salon, recouvert d'un drap (tiens tiens...). Elle l'entreprit d'emblée sur sa fille, sur ses progrès en mathématiques, mais aussi sur son comportement vis à vis de lui :- Je tiens encore à vous remercier de ne pas vous être laissé embarquer dans sa séduction. Cela doit être dur pour un homme comme vous, jeune et fringant. Beaucoup à votre place aurait succombé car elle est très jolie, ma fille, n'est-ce pas ?
- Oui, bien sûr mais... elle tient de sa mère.
- Vous êtes trop aimable. Mais j'ai conscience de mon âge. J'ai 45 ans, savez-vous ?
- Vous ne les faites pas.
- Trop gentil. Mais je me pose parfois des questions. A partir d'un certain âge, une femme se demande si elle est toujours attirante. Je vais être franche avec vous : mon mari ne me fait plus l'amour. Sa libido est en berne et la mienne en pâtit.
- Je vois pourtant pas mal de nageurs vous tourner autour à la piscine. Ne me dîtes pas que vous ne succombez jamais.
- Joker. Mais parlons plutôt de vous. Vous avez une petite amie ?
- Du tout. J'ai, disons, des amies.
- Je vois. Libertin, hein ?
- Si on veut. Libre serait plus exact.
- Veinard. Bon, que diriez vous de quelque chose à boire ?
- Je crois qu'on a mieux à faire ensemble.
Et Tom quitta son fauteuil, où il se régalait pourtant du jeu de jambes de Nathalie, pour s'asseoir à côté d'elle, l'enlacer et l'embrasser.
- Mais que faites-vous ? Je... non...
Mais elle répondit à son baiser et il la sentir s'amollir de plus en plus. Il glissa la main de ce décolleté tant désiré, empauma un sein étonnant de lourdeur et toucha une pointe bien érigée. Ce fut comme s'il avait actionné l'ouverture de la caverne d'Ali Baba. Les cuisses de Nathalie prirent aussitôt un angle de 45°. Il profita de l'aubaine pour glisser un doigt fureteur et son médius trouva la fente littéralement trempée. "Elle s'est branlée avant que je vienne, c'est pas possible". Lorsqu'il la fouilla, elle poussa un profond gémissement en ondulant des hanches sur le canapé cependant que de l'autre main, il dégageait les plantureuses mamelles aux pointes durcies par le désir. Il les agaça de la langue tout en poursuivant son travail digital et ces préliminaires mirent Nathalie en totale ébullition. Elle fourragea avec frénésie dans la braguette de Tom ouverte par lui-même pour dégager son membre tendu en arc de cercle et cette masturbation mutuelle aboutit à l'inéluctable : la mise à nu sur le canapé. Tom découvrit le corps qu'il conjecturait : abondant mais sans excès, juteux, frémissant, ouvert, en attente. Elle s'allongea sur le canapé, un pied sur le dossier, pendant qu'il coiffait sa capote et il comprit qu'elle était vraiment dans le besoin. Mais il ne répondit pas immédiatement à son envie de pénétration. Il la lécha longuement, soigneusement, se barbouillant le visage de sa cyprine avant que, au comble du désir, elle l'implora :- Mets la moi maintenant, s'il te plait.
Lorsqu'il s'enfonça en elle, son visage prit une couleur nouvelle, rayonnante, presque extatique et il lut dans son regard une immense gratitude, comme s'il lui faisait un don inestimable en lui donnant sa queue. Ce fut le début d'un accouplement torrentueux, bruyant et mobile, Nathalie le déplaçant dans la maison au gré de ses désirs. A l'évidence, elle aspirait à un coït non conventionnel. C'est ainsi qu'il l'a prit dans la cuisine sur la table, dans la chambre d'amis sur fauteuil et finalement dans la salle de bains face à un miroir où il put se régaler du balancement de ses seins lourds sous ses coups de bite. Elle célébra plusieurs fois, de vive voix, les vertus de son endurance qui la menait au comble du plaisir mais il lui fit comprendre qu'il n'allait pas pouvoir durer longtemps et elle le ramena sur le canapé pour le bouquet final. Elle le fit asseoir et s'installa sur sa bite, lui envoyant ses obus en pleine figure tout en faisant la toupie. Il s'en gava en essayant de contenir son sperme qui ne demandait qu'à gicler. Puis elle se releva, se mit à genoux sur le canapé, et à sa grande surprise, ordonna :- Encule-moi maintenant.
Il considéra le sourire vertical qui s'offrait à lui avec impatience entre deux globes charnus qui ne demandaient qu'à être séparés. Il commença par lui lécher l'anus, ce qui la fit roucouler comiquement, et s'apprêtait à entrer de la manière la plus virile qui soit quand un bruit de moteur se fit entendre à proximité :- Ciel, mon mari rentre déjà ! Vite, prends tes vêtements et cache toi ! Non, pas dans le placard, malheureux, dans la salle de bain. Il y a une fenêtre, tu l'ouvres et tu te sauves, vite !
Nu, les chaussures et les vêtements à la main, encore en semi érection, Tom se précipita dans la salle de bain. Nathalie, sommairement rhabillée, eut juste le temps de lui jeter une chaussette avant de refermer la porte. Pendant qu'il enfilait son boxer, il entendit le mari qui l'interrogeait pourquoi elle n'était pas en "tenue décente" à cette heure de la journée, et l'intéressée répondant qu'elle venait tout juste de prendre une douche. Il expliqua que le match de rugby auquel il comptait assisté avait été remis en raison du mauvais temps. De fait, quand Tom sortit par la fenêtre, il pleuvait des cordes et il récupéra sa voiture totalement trempé, autant par la pluie que par la trouille. Il l'avait échappé belle !
********Deux jours plus tard, il se repointa à la piscine. Nathalie l'accueillit à la caisse comme un client ordinaire. Pas la moindre complicité. Pas le moindre sourire. A se demander s'il l'avait bien baisée. Il en ressentit une vraie vexation. Mais un Don Juan ne s'arrête pas à ce genre de déconvenue. Une de perdue, une de retrouvée. Et justement, il était "sur un coup". Depuis quelque temps, il guignait une femme célibataire dans son environnement professionnel. Au moins, il ne risquerait pas d'être obligé de se replier en pleine action à cause d'un mari. Mais c'est une autre histoire...
(A suivre).
Ce n'était pas le cas de Tom, nageur émérite. N'empêche : commencer son entrainement par une vision plongeante de l'imposant sillon mammaire lui mettait du coeur à l'ouvrage... et la queue raide. Il avait bien entendu tenté de la draguer. Elle lui avait répondu en tendant la main gauche et en repliant tous ses doigts moins l'annulaire. Avec une alliance bien visible. Avec un sourire mais aucun commentaire. Il s'en était pas tenu pour dit. Il profitait parfois d'un manque de clients derrière lui pour lui faire un brin de conversation, en habitué des lieux. Elle savait désormais qu'il était informaticien à la collectivité locale et c'est cette information qui, sans qu'il le sache, allait lui permettre d'arriver à ses fins.
**********Un jour qu'il passait au niveau à la caisse, la titulaire du poste se montra étonnamment aimable avec lui.
- Cher monsieur, vous m'avez bien dit que vous étiez informaticien ?
- Parfaitement. Vous avez un problème d'ordinateur ?
- Pas du tout, enfin pas pour le moment. Non, c'est à propos de ma fille. Elle passe son bac cette année et elle a besoin de travailler ses maths. Je suppose que vous êtes fort en maths ?
- Disons que j'ai fait des études scientifiques et il m'en reste encore quelques broutilles.
- Parfait. Si vous aviez la gentillesse de venir l'aider, moyennant une contribution bien sûr, est-ce que vous seriez disponible ?
- Euh... oui, pourquoi pas ?
- Super ! Ce sera chez moi en ma présence, quand je ne suis pas de perm ici. Quand êtes-vous disponible ?
Tous deux arrangèrent un rendez-vous pour le lendemain soir. Tom était surpris de l'évolution de cette situation mais y vit tout de suite une opportunité à ne surtout pas laisser passer. La dame, qui lui demanda de l'appeler par son prénom, Nathalie, devenait soudain beaucoup plus accessible, même s'il faudrait évidemment compter avec le mari... mais il en avait l'habitude. A partir d'un certain âge, la notion de fidélité a tendance à s'amoindrir. C'était en tout cas le reflet de son expérience... et de ses désirs.
*******Lorsqu'il se présenta au rendez-vous le samedi suivant, Tom ressentit un petit choc. La jeune fille qui lui ouvrit, et qui allait être son élève, était un vrai canon. Petite comme sa mère mais magnifiquement roulée avec une paire de nibards qui semblaient le fusiller. Il avala néanmoins sa salive et une fois les présentations faites par la mère (laquelle était sommairement vêtue d'un peignoir moulant ses avantages), gagna le bureau de la jeune fille (prénommée Sandra) pour les premiers exercices mathématiques. Tom comprit qu'il s'était fourré dans un vrai guêpier. Mineure, Sandra n'en exerçait pas moins un puissant attrait érotique et il devrait absolument se concentrer pour ne pas déraper. Du reste, en passant de temps à autre la tête par la porte, Nathalie veillait au grain. Il comprenait mieux maintenant pourquoi elle tenait à être là pendant le cours.
Il revint le samedi suivant, avec le même accueil et la même tenue pour Nathalie. Au moins, elle ne faisait pas de frais vestimentaires. L'élève fut moins attentive. Sa cuisse toucha plusieurs fois celle de Tom qui la retira une première fois, mais pas la deuxième. Il triquait. Et Sandra s'en aperçut pour la bonne et simple raison qu'elle laissa sa main trainer sur sa braguette. Tom se leva d'un bond, la sueur aux tempes, et mit fin prématurément au cours. Nathalie s'en étonna et Tom bredouilla quelques excuses qui attirèrent d'emblée la suspicion de la mère.
- Je parie qu'elle vous a dragué.
- Euh...
- Elle est incorrigible. Elle a le diable au corps.
- Rassurez-vous, ce n'est pas mon genre, les jeunes filles. Je préfère de beaucoup les femmes mûres.
- Ah bon ? C'est étonnant. Et pourquoi ?
- L'expérience. Les formes épanouies (il lorgna alors le buste moulé de Nathalie). Généralement l'absence de tabous.
- Je vous vois venir, vous. Tiens, voilà mon mari qui arrive. Je vous présente ?
Tom se retrouva nez à nez avec un homme corpulent, un gros cigare aux lèvres, qui répondit mollement à sa poignée de main. Il s'échappa rapidement, visiblement peu concerné par les progrès mathématiques de sa fille. Nathalie poursuivit :- Bon, qu'est-ce qu'on fait maintenant ? Elle avait apprécié la première séance, ce serait bête d'arrêter, non ? Je vais la chapitrer. S'il vous plait, revenez samedi prochain.
Tom acquiesça. Au moins, il aurait prévenu.
La semaine suivante, lorsqu'il se présenta à la caisse de la piscine, Nathalie lui fit les yeux doux. Elle avait une façon de se lécher les lèvres en le regardant qui frisait l'indécence. Il y avait, dans son comportement, une évidente volonté de séduction. Pour les leçons de sa fille ? Pour elle-même ? Difficile à dire. Il se présenta à son domicile comme prévu, son livre de maths de terminale à la main.
Cette fois, ce fut Nathalie qui lui ouvrit. Elle n'était pas vêtue de son peignoir mais d'une robe d'intérieur à fines épaulettes lui arrivant à mi-cuisses et dévoilant son imposant sillon mammaire. Un véritable appel au sexe. Tom se dit qu'elle était probablement à poil dessous. A quoi jouait-elle ?
Sandra se montra cette fois très sage et studieuse. Une fois la leçon terminée, Nathalie le raccompagna à la porte. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle lui glissa un petit papier à la main au moment des salutations. Il le découvrit quelques minutes plus tard : "je serai seule à la maison à partir de 15h jusqu'à 19h". Instantanément, il banda. Il allait enfin arriver à ses fins.
********Elle l'accueillit dans un fourreau de soie décolleté en pointe moulant ses opulentes mamelles au point qu'on pouvait parfaitement discerner les pointes et mêmes les aréoles. Son cul rond et ferme se balançait sous l'étoffe légère, sans la moindre trace de sous-vêtement. "Elle est à poil dessous", se dit instantanément Tom, qui ressentit une petite boule dans l'estomac. Son casque argenté virevoltait dans la maison vide d'autres occupants et elle le fit asseoir dans le canapé du salon, recouvert d'un drap (tiens tiens...). Elle l'entreprit d'emblée sur sa fille, sur ses progrès en mathématiques, mais aussi sur son comportement vis à vis de lui :- Je tiens encore à vous remercier de ne pas vous être laissé embarquer dans sa séduction. Cela doit être dur pour un homme comme vous, jeune et fringant. Beaucoup à votre place aurait succombé car elle est très jolie, ma fille, n'est-ce pas ?
- Oui, bien sûr mais... elle tient de sa mère.
- Vous êtes trop aimable. Mais j'ai conscience de mon âge. J'ai 45 ans, savez-vous ?
- Vous ne les faites pas.
- Trop gentil. Mais je me pose parfois des questions. A partir d'un certain âge, une femme se demande si elle est toujours attirante. Je vais être franche avec vous : mon mari ne me fait plus l'amour. Sa libido est en berne et la mienne en pâtit.
- Je vois pourtant pas mal de nageurs vous tourner autour à la piscine. Ne me dîtes pas que vous ne succombez jamais.
- Joker. Mais parlons plutôt de vous. Vous avez une petite amie ?
- Du tout. J'ai, disons, des amies.
- Je vois. Libertin, hein ?
- Si on veut. Libre serait plus exact.
- Veinard. Bon, que diriez vous de quelque chose à boire ?
- Je crois qu'on a mieux à faire ensemble.
Et Tom quitta son fauteuil, où il se régalait pourtant du jeu de jambes de Nathalie, pour s'asseoir à côté d'elle, l'enlacer et l'embrasser.
- Mais que faites-vous ? Je... non...
Mais elle répondit à son baiser et il la sentir s'amollir de plus en plus. Il glissa la main de ce décolleté tant désiré, empauma un sein étonnant de lourdeur et toucha une pointe bien érigée. Ce fut comme s'il avait actionné l'ouverture de la caverne d'Ali Baba. Les cuisses de Nathalie prirent aussitôt un angle de 45°. Il profita de l'aubaine pour glisser un doigt fureteur et son médius trouva la fente littéralement trempée. "Elle s'est branlée avant que je vienne, c'est pas possible". Lorsqu'il la fouilla, elle poussa un profond gémissement en ondulant des hanches sur le canapé cependant que de l'autre main, il dégageait les plantureuses mamelles aux pointes durcies par le désir. Il les agaça de la langue tout en poursuivant son travail digital et ces préliminaires mirent Nathalie en totale ébullition. Elle fourragea avec frénésie dans la braguette de Tom ouverte par lui-même pour dégager son membre tendu en arc de cercle et cette masturbation mutuelle aboutit à l'inéluctable : la mise à nu sur le canapé. Tom découvrit le corps qu'il conjecturait : abondant mais sans excès, juteux, frémissant, ouvert, en attente. Elle s'allongea sur le canapé, un pied sur le dossier, pendant qu'il coiffait sa capote et il comprit qu'elle était vraiment dans le besoin. Mais il ne répondit pas immédiatement à son envie de pénétration. Il la lécha longuement, soigneusement, se barbouillant le visage de sa cyprine avant que, au comble du désir, elle l'implora :- Mets la moi maintenant, s'il te plait.
Lorsqu'il s'enfonça en elle, son visage prit une couleur nouvelle, rayonnante, presque extatique et il lut dans son regard une immense gratitude, comme s'il lui faisait un don inestimable en lui donnant sa queue. Ce fut le début d'un accouplement torrentueux, bruyant et mobile, Nathalie le déplaçant dans la maison au gré de ses désirs. A l'évidence, elle aspirait à un coït non conventionnel. C'est ainsi qu'il l'a prit dans la cuisine sur la table, dans la chambre d'amis sur fauteuil et finalement dans la salle de bains face à un miroir où il put se régaler du balancement de ses seins lourds sous ses coups de bite. Elle célébra plusieurs fois, de vive voix, les vertus de son endurance qui la menait au comble du plaisir mais il lui fit comprendre qu'il n'allait pas pouvoir durer longtemps et elle le ramena sur le canapé pour le bouquet final. Elle le fit asseoir et s'installa sur sa bite, lui envoyant ses obus en pleine figure tout en faisant la toupie. Il s'en gava en essayant de contenir son sperme qui ne demandait qu'à gicler. Puis elle se releva, se mit à genoux sur le canapé, et à sa grande surprise, ordonna :- Encule-moi maintenant.
Il considéra le sourire vertical qui s'offrait à lui avec impatience entre deux globes charnus qui ne demandaient qu'à être séparés. Il commença par lui lécher l'anus, ce qui la fit roucouler comiquement, et s'apprêtait à entrer de la manière la plus virile qui soit quand un bruit de moteur se fit entendre à proximité :- Ciel, mon mari rentre déjà ! Vite, prends tes vêtements et cache toi ! Non, pas dans le placard, malheureux, dans la salle de bain. Il y a une fenêtre, tu l'ouvres et tu te sauves, vite !
Nu, les chaussures et les vêtements à la main, encore en semi érection, Tom se précipita dans la salle de bain. Nathalie, sommairement rhabillée, eut juste le temps de lui jeter une chaussette avant de refermer la porte. Pendant qu'il enfilait son boxer, il entendit le mari qui l'interrogeait pourquoi elle n'était pas en "tenue décente" à cette heure de la journée, et l'intéressée répondant qu'elle venait tout juste de prendre une douche. Il expliqua que le match de rugby auquel il comptait assisté avait été remis en raison du mauvais temps. De fait, quand Tom sortit par la fenêtre, il pleuvait des cordes et il récupéra sa voiture totalement trempé, autant par la pluie que par la trouille. Il l'avait échappé belle !
********Deux jours plus tard, il se repointa à la piscine. Nathalie l'accueillit à la caisse comme un client ordinaire. Pas la moindre complicité. Pas le moindre sourire. A se demander s'il l'avait bien baisée. Il en ressentit une vraie vexation. Mais un Don Juan ne s'arrête pas à ce genre de déconvenue. Une de perdue, une de retrouvée. Et justement, il était "sur un coup". Depuis quelque temps, il guignait une femme célibataire dans son environnement professionnel. Au moins, il ne risquerait pas d'être obligé de se replier en pleine action à cause d'un mari. Mais c'est une autre histoire...
(A suivre).
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