Les aventures de 'choupinette' 1/2
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les aventures de 'choupinette' 1/2
Mon petit copain Valentin dix neuf ans et moi Lydia presque dix huit nous aimons passionnément, enfin comme savent le faire deux jeunes amoureux ! bien qu’il soit très précoce sur les techniques amoureuses
Nullement jaloux il n’hésite pas a ‘m’exhiber’ gentiment, certains hommes profitent de ses largesses, tel notre voisin Armand, veuf, retraité un peu bedonnant, maman par gentillesse lui prépare de temps en temps des plats, un homme très gentil qui depuis ma plus tendre enfance m’appelle sa ‘ choupinette’, allez savoir pourquoi
Au fil des années je vois bien qu’il s’aperçoit de ma métamorphose mais reste très respectueux malgré certaines réflexions quelquefois osées
Valentin s’en est aperçu et pour le faire rager ne perd pas l’occasion de lui faire profiter de la vue de mes cuisses dénudées ou de mes seins lors de caresses poussées lorsque nous nous isolons derrière la maison ou donne son jardin
Notamment hier dimanche, alors que le soir tombait, nous étions sur la balancelle a prendre le frais, invisibles a la vue de mes parent, Valentin se doutait qu’Armand pouvait nous espionner depuis ses rideaux tirés, j’avais une jambe sur une cuisse de mon copain et l’autre pied posé sur la balancelle ce qui donnait un angle ‘pleine vue’ sur ma culotte mauve a fleurs dans laquelle s’attardait la main baladeuse de mon amoureux, surtout qu’une des miennes était passée dans la braguette bien pleine ! dés qu’il a fait brun je me suis assise a califourchon sur ses genoux la jupe retroussée, slip écarté, empalée sur son membre plutôt large sur lequel je me suis acharnée pendant vingt minutes sans arrières pensées…
- Tu crois que mon voisin nous a vus ?
- Si c’est le cas il a dût se régaler !
- Je ne sais pas et je m’en fous, il n’ira pas le crier sur les toits
- Ça me plais de penser qu’il a pu assister a notre partie de jambes en l’air
- Tu aime m’exhiber mon salaud !
- Si tu étais moche je ne le ferais pas !
- C’est un compliment ?
- J’aimerais te baiser au milieu d’une foule de voyeurs
Bizarrement, dés que nous nous sommes relevés pour rentrer à la maison la lumière de la cuisine d’Armand c’est allumée …le lendemain je n’avais pas cours, avant de partir travailler maman m’a chargée d’aller récupérer un plat chez notre voisin, pourquoi ai-je mise cette robe a fines bretelles sans soutien gorge en sachant que cet homme m’avait vue baiser la vielle ? C’est clair mes téton pointaient insolemment, mon souffle s’est accéléré lorsque j’ai sonné chez lui …il a redoublé lorsque ses yeux sont quasiment sortis de leurs orbites a la vue de ma poitrine a peine voilée
- Ah, c’est ma choupinette ! Entre, le plat de ta mère est à la cuisine, passe devant …tu n’as pas l’air d’avoir grand chose sur toi dit donc
- Ha bon ? il fait chaud et je ne vais pas au lycée ce matin
- Ton petit copain vient te rendre visite comme hier ?
- Non, non, Valentin travaille
- Bien … tu es belle, une vraie femme à présent, d’ailleurs tu fais tout comme
- Que voulez-vous dire Armand ?
- Je vous ai vu hier soir, j’ai adoré ton petit slip mauve à fleurs et puis la façon dont vous avez fait l’amour
- Pardon si cela vous a choqué Armand
- Me choquer ?? cela m’a simplement ramené des années en arrière, vous n’avez rien inventé les jeunes, assied toi je vais te raconter une histoire
- J’adore les histoires !
- C’est surtout un secret qu’il te faudra garder
- Ahhhhh ?
- Tu te souviens d’Eugénie ma défunte et regrettée épouse
- Oui, elle était très belle
- Figure toi que je l’ai connue a l’époque des minis jupes, elle en avait une particulièrement courte sous laquelle, théoriquement elle aurait dût porter un ‘panty’, une sorte de slip anti-viol avec lequel il était pratiquement impossible d’accéder au sexe pour le caresser furtivement encore moins pour autre chose comme ce que vous avez fait hier …
- Ah quelle horreur ce vêtement !
- Aussi aussitôt partie de chez elle, elle le fourrait dans son sac
- Donc, elle se baladait les fesses à l’air ?
- Exactement, je ne te dit pas la convoitise des hommes lorsqu’elle était accrochée a mon bras et que le vent jouait avec sa jupe, nous en riions beaucoup !
- Un peu comme Valentin le fait avec moi ?
- Tu as tout compris, mais c’est d’autre chose que je veux te parler, en ce temps là ton père sortait de l’adolescence, il était notre jeune et joli voisin, un jour Eugénie m’a demandé un truc ???
- Quel truc ???
- La permission de déniaiser ton père …
- Le dépuceler ?? non !!
- Si, ça c’est passé dans un champ de blé, juste derrière, qui est devenu une cité, j’ai assisté à tout en me dissimulant
- Ça alors !!!
- C’est arrivé seulement une fois, ce n’est pas tout, par la suite ta mère est devenue très amie avec Eugénie… très intimement
- Non ? elles se …..
- Oui... elles faisaient l’amour ensemble pratiquement sous mes yeux, un jour je suis entré dans la chambre, cela ne les a pas dérangées, elles étaient adorables entièrement nues et enlacées, ta mère était accroupie entre les cuisses de ma femme qui m’a fait signe d’approcher, impossible de résister a la vue de ce sexe éclaté … elle ne m’as pas repoussé lorsque je l’ai pénétrée, au contraire, elle a joui instantanément
- Vous avez baisé maman ???
- Une seule fois aussi, nous ne voulions pas créer de liens, tes parents se sont mariés, nous n’y avons jamais fait allusions par la suite
- Je comprends mieux le respect admiratif que maman vous porte
- Dire que maintenant ma vie sexuelle est un désert …parfois je ferme les yeux et je caresse les formes d’une femme imaginaire en me faisant plaisir avec ma main...
La détresse de ce vieux monsieur est touchante, j’en ai les larmes aux yeux, je dois faire quelque chose …
- Fermez les yeux Armand …
- Que veux-tu faire ?
- Ne dites rien …et ne les ouvrez pas quoiqu’il arrive
- Si tu veux …
Campée devant lui je fais glisser ma robe qui tombe en corole à mes pieds, je lui prends une main et la plaque sur un sein, il résiste un peu avant de le prendre dans sa large paume
- Que voyez-vous ?
- Je vois un sein très ferme, le téton chatouille le creux de ma main, je revis une situation lointaine …..
- Mettez les deux mains, palpez moi autant que vous le désirez
Pour être plus prés de lui je m’avance en passant son genou entre mes cuisses, je frotte mon entre jambes sur son pantalon, le pelotage de mes nichons et le frottement de ma moule sur la toile rugueuse suffisent à me faire mouiller considérablement, une fois rassasié de ma poitrine il parcoure mon corps comme pour en mémoriser les contours, arrivé aux fesses qu’il malaxent vigoureusement avant de faire passer une main par devant pour effleurer ma chatte, afin de l’encourager je pose ma main sur l’excroissance de sa queue qui pointe monstrueusement sous la braguette
- Que me fait tu faire ma choupinette ?
- Chuuuut, laissez vos mains vagabonder sur moi …
- Mais elles vont …
- Baisser ma culotte ? attendez …. C’est mieux sans ! vous pouvez ouvrir les yeux à présent
- Que tu es belle
- Mettez-moi un doigt …
- C’est vrai ? tu veux bien ?
L’homme tremble en écartant mes lèvres détrempées, tandis qu’il m’enfile son index je défais sa ceinture de pantalon, son membre veineux jaillit, il est à moitié décalotté je repousse le prépuce derrière le gland cramoisi
- Si tu veux me faire plaisir branle-moi, je suis prêt à jouir
- Moi aussi, enfoncer votre doigt très profond
Il touille tellement ma vulve que ma mouille coule abondamment dans sa paume, sa queue se raidie une ultime fois dans ma main, son sperme fuse sur mes seins, dés la dernière giclée Armand se ressaisit
- Sauve-toi avant que je ne fasse une bêtise irrémédiable
- Vous ne voulez pas me baiser ?
- Pas question, file avant que je ne me fâche
- D’accord je pars, mais je n’ai pas dis mon dernier mot, nous allons nous revoir très vite, croyez moi, votre vie va changer Armand ….
A SUIVRE …
Nullement jaloux il n’hésite pas a ‘m’exhiber’ gentiment, certains hommes profitent de ses largesses, tel notre voisin Armand, veuf, retraité un peu bedonnant, maman par gentillesse lui prépare de temps en temps des plats, un homme très gentil qui depuis ma plus tendre enfance m’appelle sa ‘ choupinette’, allez savoir pourquoi
Au fil des années je vois bien qu’il s’aperçoit de ma métamorphose mais reste très respectueux malgré certaines réflexions quelquefois osées
Valentin s’en est aperçu et pour le faire rager ne perd pas l’occasion de lui faire profiter de la vue de mes cuisses dénudées ou de mes seins lors de caresses poussées lorsque nous nous isolons derrière la maison ou donne son jardin
Notamment hier dimanche, alors que le soir tombait, nous étions sur la balancelle a prendre le frais, invisibles a la vue de mes parent, Valentin se doutait qu’Armand pouvait nous espionner depuis ses rideaux tirés, j’avais une jambe sur une cuisse de mon copain et l’autre pied posé sur la balancelle ce qui donnait un angle ‘pleine vue’ sur ma culotte mauve a fleurs dans laquelle s’attardait la main baladeuse de mon amoureux, surtout qu’une des miennes était passée dans la braguette bien pleine ! dés qu’il a fait brun je me suis assise a califourchon sur ses genoux la jupe retroussée, slip écarté, empalée sur son membre plutôt large sur lequel je me suis acharnée pendant vingt minutes sans arrières pensées…
- Tu crois que mon voisin nous a vus ?
- Si c’est le cas il a dût se régaler !
- Je ne sais pas et je m’en fous, il n’ira pas le crier sur les toits
- Ça me plais de penser qu’il a pu assister a notre partie de jambes en l’air
- Tu aime m’exhiber mon salaud !
- Si tu étais moche je ne le ferais pas !
- C’est un compliment ?
- J’aimerais te baiser au milieu d’une foule de voyeurs
Bizarrement, dés que nous nous sommes relevés pour rentrer à la maison la lumière de la cuisine d’Armand c’est allumée …le lendemain je n’avais pas cours, avant de partir travailler maman m’a chargée d’aller récupérer un plat chez notre voisin, pourquoi ai-je mise cette robe a fines bretelles sans soutien gorge en sachant que cet homme m’avait vue baiser la vielle ? C’est clair mes téton pointaient insolemment, mon souffle s’est accéléré lorsque j’ai sonné chez lui …il a redoublé lorsque ses yeux sont quasiment sortis de leurs orbites a la vue de ma poitrine a peine voilée
- Ah, c’est ma choupinette ! Entre, le plat de ta mère est à la cuisine, passe devant …tu n’as pas l’air d’avoir grand chose sur toi dit donc
- Ha bon ? il fait chaud et je ne vais pas au lycée ce matin
- Ton petit copain vient te rendre visite comme hier ?
- Non, non, Valentin travaille
- Bien … tu es belle, une vraie femme à présent, d’ailleurs tu fais tout comme
- Que voulez-vous dire Armand ?
- Je vous ai vu hier soir, j’ai adoré ton petit slip mauve à fleurs et puis la façon dont vous avez fait l’amour
- Pardon si cela vous a choqué Armand
- Me choquer ?? cela m’a simplement ramené des années en arrière, vous n’avez rien inventé les jeunes, assied toi je vais te raconter une histoire
- J’adore les histoires !
- C’est surtout un secret qu’il te faudra garder
- Ahhhhh ?
- Tu te souviens d’Eugénie ma défunte et regrettée épouse
- Oui, elle était très belle
- Figure toi que je l’ai connue a l’époque des minis jupes, elle en avait une particulièrement courte sous laquelle, théoriquement elle aurait dût porter un ‘panty’, une sorte de slip anti-viol avec lequel il était pratiquement impossible d’accéder au sexe pour le caresser furtivement encore moins pour autre chose comme ce que vous avez fait hier …
- Ah quelle horreur ce vêtement !
- Aussi aussitôt partie de chez elle, elle le fourrait dans son sac
- Donc, elle se baladait les fesses à l’air ?
- Exactement, je ne te dit pas la convoitise des hommes lorsqu’elle était accrochée a mon bras et que le vent jouait avec sa jupe, nous en riions beaucoup !
- Un peu comme Valentin le fait avec moi ?
- Tu as tout compris, mais c’est d’autre chose que je veux te parler, en ce temps là ton père sortait de l’adolescence, il était notre jeune et joli voisin, un jour Eugénie m’a demandé un truc ???
- Quel truc ???
- La permission de déniaiser ton père …
- Le dépuceler ?? non !!
- Si, ça c’est passé dans un champ de blé, juste derrière, qui est devenu une cité, j’ai assisté à tout en me dissimulant
- Ça alors !!!
- C’est arrivé seulement une fois, ce n’est pas tout, par la suite ta mère est devenue très amie avec Eugénie… très intimement
- Non ? elles se …..
- Oui... elles faisaient l’amour ensemble pratiquement sous mes yeux, un jour je suis entré dans la chambre, cela ne les a pas dérangées, elles étaient adorables entièrement nues et enlacées, ta mère était accroupie entre les cuisses de ma femme qui m’a fait signe d’approcher, impossible de résister a la vue de ce sexe éclaté … elle ne m’as pas repoussé lorsque je l’ai pénétrée, au contraire, elle a joui instantanément
- Vous avez baisé maman ???
- Une seule fois aussi, nous ne voulions pas créer de liens, tes parents se sont mariés, nous n’y avons jamais fait allusions par la suite
- Je comprends mieux le respect admiratif que maman vous porte
- Dire que maintenant ma vie sexuelle est un désert …parfois je ferme les yeux et je caresse les formes d’une femme imaginaire en me faisant plaisir avec ma main...
La détresse de ce vieux monsieur est touchante, j’en ai les larmes aux yeux, je dois faire quelque chose …
- Fermez les yeux Armand …
- Que veux-tu faire ?
- Ne dites rien …et ne les ouvrez pas quoiqu’il arrive
- Si tu veux …
Campée devant lui je fais glisser ma robe qui tombe en corole à mes pieds, je lui prends une main et la plaque sur un sein, il résiste un peu avant de le prendre dans sa large paume
- Que voyez-vous ?
- Je vois un sein très ferme, le téton chatouille le creux de ma main, je revis une situation lointaine …..
- Mettez les deux mains, palpez moi autant que vous le désirez
Pour être plus prés de lui je m’avance en passant son genou entre mes cuisses, je frotte mon entre jambes sur son pantalon, le pelotage de mes nichons et le frottement de ma moule sur la toile rugueuse suffisent à me faire mouiller considérablement, une fois rassasié de ma poitrine il parcoure mon corps comme pour en mémoriser les contours, arrivé aux fesses qu’il malaxent vigoureusement avant de faire passer une main par devant pour effleurer ma chatte, afin de l’encourager je pose ma main sur l’excroissance de sa queue qui pointe monstrueusement sous la braguette
- Que me fait tu faire ma choupinette ?
- Chuuuut, laissez vos mains vagabonder sur moi …
- Mais elles vont …
- Baisser ma culotte ? attendez …. C’est mieux sans ! vous pouvez ouvrir les yeux à présent
- Que tu es belle
- Mettez-moi un doigt …
- C’est vrai ? tu veux bien ?
L’homme tremble en écartant mes lèvres détrempées, tandis qu’il m’enfile son index je défais sa ceinture de pantalon, son membre veineux jaillit, il est à moitié décalotté je repousse le prépuce derrière le gland cramoisi
- Si tu veux me faire plaisir branle-moi, je suis prêt à jouir
- Moi aussi, enfoncer votre doigt très profond
Il touille tellement ma vulve que ma mouille coule abondamment dans sa paume, sa queue se raidie une ultime fois dans ma main, son sperme fuse sur mes seins, dés la dernière giclée Armand se ressaisit
- Sauve-toi avant que je ne fasse une bêtise irrémédiable
- Vous ne voulez pas me baiser ?
- Pas question, file avant que je ne me fâche
- D’accord je pars, mais je n’ai pas dis mon dernier mot, nous allons nous revoir très vite, croyez moi, votre vie va changer Armand ….
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C'est un bon début,à quand la suite? J'en salive d'avance.