Les aventures de 'choupinette' 2/2
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-01-2015 dans la catégorie Plus on est
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Les aventures de 'choupinette' 2/2
Après avoir joui avec Armand, avant même de changer ma culotte noyée par ma mouille et qui colle a ma minette, j’ai attendu avec impatience le retour de mes parents, très remontée contre eux
- PAPA ! MAMAN ! je dois vous parler de notre voisin Armand
- Armand ? mon dieu, que lui arrive-t-il ?
- Rien, absolument rien c’est justement cela qui ne va pas …
- Explique-toi Lydia ?
- Souvenez vous lorsque vous étiez jeunes, vous avez étés bien content de trouver nos voisins pour faire des galipettes
- Qui t’as raconté ça ?
- Lui pardi, mais peut être n’en avez-vous jamais parlé entre vous ? papa ?
- Oui ? …
- Qui t’as dévirginisé ou dépucelé si tu préfère !
- Tu divague ?
- Et toi maman n’était-tu pas amie avec Eugénie ? quand je dis amie … hummmm ! veux-tu des précisions ?
- Non ! non !!! elle dit vrai chéri, nous avons étés très amies, et toi chéri ? c’est Eugénie ta première femme ?
- Oui, et alors ? mais toi ? que veux dire notre fille en parlant de ‘précisions’ ?
- Hé bien … OUI ! j’ai fais l’amour avec elle un après midi
- Et ? dit bien tout maman !
- Armand nous as surprises et … il m’a baisée …
- BRAVO !! merci pour la confiance !
- Nous n’étions pas encore mariés …
- Bon au lieu de vous engueuler que comptez vous faire pour Armand qui n’a plus rien à se mettre entre les jambes
- Comment parles-tu ma fille ?
- Préférez vous que ce soit moi qui me sacrifie ? si vous ne faites rien, demain Armand va me sauter, je le jure
- Bon, chérie j’avoue qu’Eugénie m’a fait homme dans un champ de blé, là, juste derrière chez nous, je sais qu’Armand était au courant et nous épiaient, je ne t’en veux pas d’avoir succombé a son charme, il était bel homme, serait-tu prête à faire l’amour avec lui ?
- Si tu participe, oui, sinon...
- Il sera d’accord pour vous recevoir tous les deux, soyez en sûrs, et tu ne seras pas déçue maman, si tu voyais sa verge, elle est grosse et bien noueuse, un vrai phallus à coté de celle de celle de valentin, trop fine et trop lisse
- Mais de quoi parles tu ma fille, tu a vu son sexe ?
- Oui, il m’a mis un doigt et je l’ai masturbé, j’aurais voulu qu’il me prenne mais il a refusé, alors a vous de jouer !
- Petite vicieuse file dans ta chambre
Je crois que j’ai gagné la partie, mais je ne renonce pas pour autant avec la permission de Valentin, à avoir une aventure avec le voisin, mes parents ont discuté très longtemps, j’ai entendues leurs dernières paroles
- Nous irons le voir demain, tu va t’habiller très sexy ma chérie
- Je ne te cache pas que ça m’excite !
Après cela ils se sont enfermés dans leur chambre … maman à beaucoup hurlé… de joie cette fois !
J’en ai profité pour appeler Valentin, je lui ai tout raconté, il salivait devant mon audace
- Tu m’épate Lydia ! Je n’osais pas te demander si tu voulais coucher avec lui !
- Tu veux qu’ont le fasse ?
- Bien sûr !
- Alors ce sera le weekend prochain, le temps qu’il recharge ses ‘accus’ après avoir baisé maman ! je veux qu’il me fasse le grand jeu !
- Il ne faut quand même pas tuer ce vieux monsieur !
- Soit sans crainte il a des réserves
Le lendemain papa et maman sont allés chez Armand, elle est partie bien maquillée, habillée d’un long manteau alors qu’il fait chaud, je doute que dessous elle ne porte pas grand-chose a part peut être une paire de bas !
J’aurais voulu être petite souri afin d’assister au spectacle, mais je ne vais quand même pas épier mes parents après faire l’amour, de toute façons je saurais tout par Armand !, le lendemain maman chantonne sous la douche, leur soirée s’est donc bien passée, les cernes sous les yeux le prouvent, j’attendais avec impatience samedi pour avoir des cernes moi aussi, a moins qu’il refuse catégoriquement de me prendre, mais les femmes arrivent toujours a leur fin !
- Tu es bien décidée Lydia ? nous allons êtres deux pour te faire jouir
- Muuuummmm quel bonheur !
- Va-y sonne ….
Des pas dans le couloir annonce l’arrivée d’Armand qui est très étonné de notre visite
- Ah, les amoureux ! Que me vaut l’honneur ?
- Nous ne vous dérangeons pas ?
- Bah un vieux comme moi est toujours content d’avoir de la visite ! assoyez-vous, je vous sers un petit verre ?
- C’n’est pas de refus, ça va nous donner du courage
- A votre âge ont en a à revendre !
- A propos de visite, vous avez eu celle de mes parents je crois ?
- Est-il bien nécessaire de parler de ça ?
- Ça ne s’est pas bien passé ? maman avait l’ait plutôt satisfaite !
- Ils m’ont piégé les bougres ! bon, tu va me persécuter tant que tu ne sauras pas tout ?
- Racontez ….
- A la votre … comme un imbécile j’ai demandé a ta mère pourquoi elle était si chaudement vêtue, alors ton père, sans rien dire, est venu derrière elle et a fait glisser son manteau en ajoutant : - ‘elle aura moins chaud ainsi’ - elle est apparue nue avec seulement des bas qui tiennent tout seuls, je me suis assis de surprise, elle est venue vers moi, sa foufounne a hauteur de mon visage me narguait, je distinguais des gouttelettes dans sa toison blonde, elle a pris une de mes mains pour la porter entre ses cuisses : - ‘touchez moi Armand’, nous somment venus pour vous remercier de ce qui s’est passé il y a vingt ans’ -
- Elle mouillait ?
- Comme toi l’autre jour
- Vous l’avez baisée devant papa ?
- Bien sûr, il a tenu à ce que je la prenne comme lorsqu’elle broutait la chatte a Eugénie, par derrière, en même temps elle suçait ton père
- C’est tout ce qui c’est passé ?
- Ce serait trop long à t’expliquer, mais je suppose que vous n’êtes pas ici pour entendre ça ?
- Bien sûr que non, il pleut et nous ne savions pas ou nous abriter pour nous caresser
- Seriez vous d’accord pour me faire une petite exhibe
- Avec plaisir Armand, assoyez-vous confortablement, comme au spectacle ! tu peux y aller valentin …
- Approchez vous tout prés de moi les enfants…
Valentin a commencé par faire remonter le bas de ma robe, comme un rideau qui se lève au théâtre, pour la coincer a ma taille, j’ai séparés mes pieds afin que notre spectateur voit bien le fond de mon slip qui commence à recueillir ma mouille
- Passe ta main dans son slip petit, j’adore voir l’étoffe onduler lorsque les doigts sont dans la chatte… je peux sortir ma verge ?
- Caressez vous Armand, toutefois évitez d’éjaculer …
Valentin m’a enfilé directement deux doigts profondément dans le con, les yeux du retraité se sont agrandis, j’en rajoute un peu en poussant de longs râles
- Qu’elle est belle … retire tes doigts et fait les moi gouter… Aaah quel nectar ! Retire-lui cette culotte souillée, je sens son parfum de jeune biche en chaleur d’ici
- Déshabillez-moi vous-même Armand …
Valentin m’a lâchée, l’homme a pris sa place derrière moi, en peu de temps je me suis retrouvée entièrement nue avec des mains qui parcouraient les moindres parties de mon corps, puis, petit a petit il m’a fait reculer vers la table en chêne massif, une fois les fesses sur le bord je me suis laissée tomber en relevant les jambes
- Elle est aussi blonde que sa mère, cette fois tu vas y passer petite dévergondée, pose tes jambes sur mes épaules je vais d’abord fouiller ton vagin …écoute moi ce bruit, un véritable torrent de mouille ! c’est trop tentant, je te ferais minette après t’avoir enfilée, tu prends la pilule ?
- Oui laissez vous aller, vous pouvez juter dans ma moule
En appuis sur les coudes j’ai regardé Armand se préparer à me baiser, dans sa main son gros membre violacé donnait des à-coups à intervalles réguliers, valentin très intéressé par la situation, était aussi très prés de mon entre jambes, il a avancé une main pour tenir mes lèvres écartées, après avoir fait un pas le gland gros comme un œuf est entre mes lèvres prêt a m’investir
- Regarde le boudin que ta petite chatte va absorber …
- J’ai hâte de sentir les grosses veines de votre membre forcer mon vagin
- C’est exactement ce que m’a dit ta mère …elle n’a pas arrêté de s’égosiller, accroche tes mains au bord de la table sinon je vais te faire reculer
- Caresse-moi le clito en même temps qu’il va rentrer valentin…
Mon col n’en finit pas de s’étirer à mesure que le champignon fait son passage, ça me brule, j’ai peur que ma fourchette ne déchire …et soudain c’est l’extase, la queue déploie mon fourreau en largeur mais aussi en longueur et ses bourses ne touchent encore pas mon anus
- Tu es encore pucelle ma parole ! Je vais me retirer et te mettre tout cette fois
- Vous allez lui exploser la chatte ! jamais je ne l’ai bourrée ainsi !
- Tu es jeune valentin, ta verge peut encore se développer… voilà cette fois je l’ai mise jusqu’aux couilles, ça va Lidia ?
- A part que j’ai un platane entre les cuisses ça va …
- Le feu d’artifice va commencer
A présent je sais ce que ‘se faire emmancher’ veut dire ! Valentin me tient la main comme on le fait à une femme qui accouche dans la douleur, il me rassure et me commente ce qu’il voit en sa masturbant, je sens la biroute me défoncer de plus en plus vite !
La table pourtant costaude grince sous les coups de reins puissants du mâle trop longtemps sevré, soudain ses mains se crispent sur mes cuisse comme s’il voulait entre ses testicules dans mon ventre, aux contractions de sa bite je comprends que son sperme va jaillir très vite, je m’ouvre à fond pour profiter de ces bienfaits
La première giclée est timide, elle fait le passage pour la rivière qui fuse par saccades épaisses, je noue mes jambes autour de mon amant pour le souder a ma chatte, Valentin s’avance au dessus de mon visage pour se soulager a grands coups de poignets, moi, aussitôt le pic de la jouissance je sombre dans une douce torpeur tandis que les spasmes de mon vagin obligent le trop plein de foutre à couler entre mes fesses
Les deux hommes se demandent déjà quelle position adopter pour me prendre à deux et surtout qui utilisera mon anus …..
- PAPA ! MAMAN ! je dois vous parler de notre voisin Armand
- Armand ? mon dieu, que lui arrive-t-il ?
- Rien, absolument rien c’est justement cela qui ne va pas …
- Explique-toi Lydia ?
- Souvenez vous lorsque vous étiez jeunes, vous avez étés bien content de trouver nos voisins pour faire des galipettes
- Qui t’as raconté ça ?
- Lui pardi, mais peut être n’en avez-vous jamais parlé entre vous ? papa ?
- Oui ? …
- Qui t’as dévirginisé ou dépucelé si tu préfère !
- Tu divague ?
- Et toi maman n’était-tu pas amie avec Eugénie ? quand je dis amie … hummmm ! veux-tu des précisions ?
- Non ! non !!! elle dit vrai chéri, nous avons étés très amies, et toi chéri ? c’est Eugénie ta première femme ?
- Oui, et alors ? mais toi ? que veux dire notre fille en parlant de ‘précisions’ ?
- Hé bien … OUI ! j’ai fais l’amour avec elle un après midi
- Et ? dit bien tout maman !
- Armand nous as surprises et … il m’a baisée …
- BRAVO !! merci pour la confiance !
- Nous n’étions pas encore mariés …
- Bon au lieu de vous engueuler que comptez vous faire pour Armand qui n’a plus rien à se mettre entre les jambes
- Comment parles-tu ma fille ?
- Préférez vous que ce soit moi qui me sacrifie ? si vous ne faites rien, demain Armand va me sauter, je le jure
- Bon, chérie j’avoue qu’Eugénie m’a fait homme dans un champ de blé, là, juste derrière chez nous, je sais qu’Armand était au courant et nous épiaient, je ne t’en veux pas d’avoir succombé a son charme, il était bel homme, serait-tu prête à faire l’amour avec lui ?
- Si tu participe, oui, sinon...
- Il sera d’accord pour vous recevoir tous les deux, soyez en sûrs, et tu ne seras pas déçue maman, si tu voyais sa verge, elle est grosse et bien noueuse, un vrai phallus à coté de celle de celle de valentin, trop fine et trop lisse
- Mais de quoi parles tu ma fille, tu a vu son sexe ?
- Oui, il m’a mis un doigt et je l’ai masturbé, j’aurais voulu qu’il me prenne mais il a refusé, alors a vous de jouer !
- Petite vicieuse file dans ta chambre
Je crois que j’ai gagné la partie, mais je ne renonce pas pour autant avec la permission de Valentin, à avoir une aventure avec le voisin, mes parents ont discuté très longtemps, j’ai entendues leurs dernières paroles
- Nous irons le voir demain, tu va t’habiller très sexy ma chérie
- Je ne te cache pas que ça m’excite !
Après cela ils se sont enfermés dans leur chambre … maman à beaucoup hurlé… de joie cette fois !
J’en ai profité pour appeler Valentin, je lui ai tout raconté, il salivait devant mon audace
- Tu m’épate Lydia ! Je n’osais pas te demander si tu voulais coucher avec lui !
- Tu veux qu’ont le fasse ?
- Bien sûr !
- Alors ce sera le weekend prochain, le temps qu’il recharge ses ‘accus’ après avoir baisé maman ! je veux qu’il me fasse le grand jeu !
- Il ne faut quand même pas tuer ce vieux monsieur !
- Soit sans crainte il a des réserves
Le lendemain papa et maman sont allés chez Armand, elle est partie bien maquillée, habillée d’un long manteau alors qu’il fait chaud, je doute que dessous elle ne porte pas grand-chose a part peut être une paire de bas !
J’aurais voulu être petite souri afin d’assister au spectacle, mais je ne vais quand même pas épier mes parents après faire l’amour, de toute façons je saurais tout par Armand !, le lendemain maman chantonne sous la douche, leur soirée s’est donc bien passée, les cernes sous les yeux le prouvent, j’attendais avec impatience samedi pour avoir des cernes moi aussi, a moins qu’il refuse catégoriquement de me prendre, mais les femmes arrivent toujours a leur fin !
- Tu es bien décidée Lydia ? nous allons êtres deux pour te faire jouir
- Muuuummmm quel bonheur !
- Va-y sonne ….
Des pas dans le couloir annonce l’arrivée d’Armand qui est très étonné de notre visite
- Ah, les amoureux ! Que me vaut l’honneur ?
- Nous ne vous dérangeons pas ?
- Bah un vieux comme moi est toujours content d’avoir de la visite ! assoyez-vous, je vous sers un petit verre ?
- C’n’est pas de refus, ça va nous donner du courage
- A votre âge ont en a à revendre !
- A propos de visite, vous avez eu celle de mes parents je crois ?
- Est-il bien nécessaire de parler de ça ?
- Ça ne s’est pas bien passé ? maman avait l’ait plutôt satisfaite !
- Ils m’ont piégé les bougres ! bon, tu va me persécuter tant que tu ne sauras pas tout ?
- Racontez ….
- A la votre … comme un imbécile j’ai demandé a ta mère pourquoi elle était si chaudement vêtue, alors ton père, sans rien dire, est venu derrière elle et a fait glisser son manteau en ajoutant : - ‘elle aura moins chaud ainsi’ - elle est apparue nue avec seulement des bas qui tiennent tout seuls, je me suis assis de surprise, elle est venue vers moi, sa foufounne a hauteur de mon visage me narguait, je distinguais des gouttelettes dans sa toison blonde, elle a pris une de mes mains pour la porter entre ses cuisses : - ‘touchez moi Armand’, nous somment venus pour vous remercier de ce qui s’est passé il y a vingt ans’ -
- Elle mouillait ?
- Comme toi l’autre jour
- Vous l’avez baisée devant papa ?
- Bien sûr, il a tenu à ce que je la prenne comme lorsqu’elle broutait la chatte a Eugénie, par derrière, en même temps elle suçait ton père
- C’est tout ce qui c’est passé ?
- Ce serait trop long à t’expliquer, mais je suppose que vous n’êtes pas ici pour entendre ça ?
- Bien sûr que non, il pleut et nous ne savions pas ou nous abriter pour nous caresser
- Seriez vous d’accord pour me faire une petite exhibe
- Avec plaisir Armand, assoyez-vous confortablement, comme au spectacle ! tu peux y aller valentin …
- Approchez vous tout prés de moi les enfants…
Valentin a commencé par faire remonter le bas de ma robe, comme un rideau qui se lève au théâtre, pour la coincer a ma taille, j’ai séparés mes pieds afin que notre spectateur voit bien le fond de mon slip qui commence à recueillir ma mouille
- Passe ta main dans son slip petit, j’adore voir l’étoffe onduler lorsque les doigts sont dans la chatte… je peux sortir ma verge ?
- Caressez vous Armand, toutefois évitez d’éjaculer …
Valentin m’a enfilé directement deux doigts profondément dans le con, les yeux du retraité se sont agrandis, j’en rajoute un peu en poussant de longs râles
- Qu’elle est belle … retire tes doigts et fait les moi gouter… Aaah quel nectar ! Retire-lui cette culotte souillée, je sens son parfum de jeune biche en chaleur d’ici
- Déshabillez-moi vous-même Armand …
Valentin m’a lâchée, l’homme a pris sa place derrière moi, en peu de temps je me suis retrouvée entièrement nue avec des mains qui parcouraient les moindres parties de mon corps, puis, petit a petit il m’a fait reculer vers la table en chêne massif, une fois les fesses sur le bord je me suis laissée tomber en relevant les jambes
- Elle est aussi blonde que sa mère, cette fois tu vas y passer petite dévergondée, pose tes jambes sur mes épaules je vais d’abord fouiller ton vagin …écoute moi ce bruit, un véritable torrent de mouille ! c’est trop tentant, je te ferais minette après t’avoir enfilée, tu prends la pilule ?
- Oui laissez vous aller, vous pouvez juter dans ma moule
En appuis sur les coudes j’ai regardé Armand se préparer à me baiser, dans sa main son gros membre violacé donnait des à-coups à intervalles réguliers, valentin très intéressé par la situation, était aussi très prés de mon entre jambes, il a avancé une main pour tenir mes lèvres écartées, après avoir fait un pas le gland gros comme un œuf est entre mes lèvres prêt a m’investir
- Regarde le boudin que ta petite chatte va absorber …
- J’ai hâte de sentir les grosses veines de votre membre forcer mon vagin
- C’est exactement ce que m’a dit ta mère …elle n’a pas arrêté de s’égosiller, accroche tes mains au bord de la table sinon je vais te faire reculer
- Caresse-moi le clito en même temps qu’il va rentrer valentin…
Mon col n’en finit pas de s’étirer à mesure que le champignon fait son passage, ça me brule, j’ai peur que ma fourchette ne déchire …et soudain c’est l’extase, la queue déploie mon fourreau en largeur mais aussi en longueur et ses bourses ne touchent encore pas mon anus
- Tu es encore pucelle ma parole ! Je vais me retirer et te mettre tout cette fois
- Vous allez lui exploser la chatte ! jamais je ne l’ai bourrée ainsi !
- Tu es jeune valentin, ta verge peut encore se développer… voilà cette fois je l’ai mise jusqu’aux couilles, ça va Lidia ?
- A part que j’ai un platane entre les cuisses ça va …
- Le feu d’artifice va commencer
A présent je sais ce que ‘se faire emmancher’ veut dire ! Valentin me tient la main comme on le fait à une femme qui accouche dans la douleur, il me rassure et me commente ce qu’il voit en sa masturbant, je sens la biroute me défoncer de plus en plus vite !
La table pourtant costaude grince sous les coups de reins puissants du mâle trop longtemps sevré, soudain ses mains se crispent sur mes cuisse comme s’il voulait entre ses testicules dans mon ventre, aux contractions de sa bite je comprends que son sperme va jaillir très vite, je m’ouvre à fond pour profiter de ces bienfaits
La première giclée est timide, elle fait le passage pour la rivière qui fuse par saccades épaisses, je noue mes jambes autour de mon amant pour le souder a ma chatte, Valentin s’avance au dessus de mon visage pour se soulager a grands coups de poignets, moi, aussitôt le pic de la jouissance je sombre dans une douce torpeur tandis que les spasmes de mon vagin obligent le trop plein de foutre à couler entre mes fesses
Les deux hommes se demandent déjà quelle position adopter pour me prendre à deux et surtout qui utilisera mon anus …..
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Toujours aussi bon... je me régale de vos mots.... quelle chance elle a...