Les aventures de Clémence ... 2/ ?? - histoire érotique

Huit jours se sont écoulés, le souvenir de la visite de ma petite protégée Clémence est toujours aussi tenace, a-t-elle sauté le pas ? Si oui, j’espère pour elle que ça s’est bien passé, j’étais perdu dans mes douces pensées lorsque le téléphone sonna…

- Allô ? Docteur G. ? C’est Clémence ! Je suis venue en consultation avec ma mère il y a huit jours !
- Clémence ! Quelle surprise ! Bien sûr que je me souviens ! Comment vas-tu ?
- Bien, très bien, puis-je passer vous voir ?
- Tu veux une consultation ? Hé bien viens en fin d’après-midi, rien de grave j’espère ?
- C’est vous qui jugerez ! A ce soir Docteur !

Elle a raccroché avant que je ne puisse en savoir davantage. Le souvenir de son petit cul frétillant sous ma verge revint à ma mémoire… Quel privilège de jouir dans un étau aussi doux... Se masturber n’est pas un péché ? Alors pourquoi m’en priver ? Le prochain patient va attendre un peu c’est tout !
A dix sept heures Clémence est déjà dans la salle d’attente, j’expédie la visite de son prédécesseur…

- Bonjour Clémence, entres et assieds-toi…
- Bonjour docteur, merci de me recevoir.
- C’est naturel, que t’arrive-t-il ?
- J’avais promis de vous raconter maaaaa... monnnnnn… Mon dépucelage !
- Ha ! C’est donc fait ? Bravo ! Alors ??
- Alors ? Un véritable fiasco !
- ‘Il’ t’a ratée ? Tu n’as pas jouis ?
- Pour m’avoir raté il m’a raté ce jeune con ! Il a tenu à ce que je le suce avant, j’ai tout avalé pour lui faire plaisir, car sa queue sentait mauvais, et au moment de me dépuceler il a déchargé sur mes poils avant de m’avoir pénétré !
- Pas grave, il a recommencé ?
- Pensez-vous ! Il ne bandait plus, je l’ai jeté !
- Et que veux-tu de moi ? Des conseils ?
- Que vous me le fassiez…
- Faire quoi ?
- Me dépuceler… Ne dites pas non, un docteur doit porter assistance à une personne en détresse, vous êtes un spécialiste en la matière, je me souviens comment vous m’avez sodomisé sans douleur. Pour la circonstance j’ai piqué un tangua à ma mère, il est un peu grand et ne colle pas bien à mon entrejambe, j’adore sentir l’air frais passer sur ma minette, j’ai l’impression d’être nue ! Et je me suis taillée le pubis ! Regardez…

La jeune effrontée relève sa robe et écarte le fond du sous-vêtement, les lèvres sont quasiment absentes de duvet blond, seul le mont de vénus est garni d’une forme de cœur. Comme l’autre jour ma queue fait un bond dans mon boxer, le docteur s’efface pour faire place à l’homme chasseur de chatte, j’essaie néanmoins de faire face.

- Clémence, tu vas tout de suite sortir de mon cabinet, c’est un ordre, sinon je ne réponds plus de mes actes.

Sans se démonter la jeune fille ôte sa robe sous laquelle elle ne porte pas de soutien-gorge.

- Je m’allonge sur la table ou je sors comme ça dans la salle d’attente ?
- Ne me pousses pas a bout… C’est bon, tu l’as bien cherché…

Sans me presser je me déshabille, Clémence les yeux brillants, en appui sur les coudes, attend le moment où ma queue va jaillir du boxer. Volontairement je fais durer le suspense, ma verge tend le tissu à le percer, l’élastique est décollé de ma taille, je m’approche d’elle les poings sur les hanches.

- C’est pour qui ça ??
- Pour ma petite chatte ?
- Avant tu va commencer par me montrer tes talents de suceuse. Descends de cette table, c’est moi qui vais m’y asseoir, fais glisser toi-même mon slip. Regardes cette belle poupée avec laquelle tu vas jouer avant qu’elle ne t’explose la chatte.
- Elle bave déjà ! Ce n’est pas gentil ! Attends que j’essuie ta grosse goutte jolie poupée… Muuuuuummmm !
- Hoooo ouuuuuiiiiii… Lèches mon nœud et masturbes moi, tu vas tout avaler n’est-ce pas ?
- Huuuummmm-Huuuuummmm !... A condition que vous ne débandiez pas !
- Tu seras fatiguée avant moi ! Pelotes moi les couilles en même temps… Plus rapidement sur la queue et descends jusqu’en bas… Voilààààà ! Haaaaaa c’est boooooonnnnnn !

Bien que maladroite Clémence me pompe consciencieusement, je me concentre afin de décharger rapidement. Après seulement trois minutes les spasmes libérateurs font leur apparition, je pose une main derrière la tête de ma protégée pour lui ôter l’envie de se reculer, des paquets de foutre s’échappent aux coins de ses lèvres mais le plus gros de ma sauce est avalé.

- J’ai bien fait mon travail ?
- Très bon début, maintenant c’est à moi de jouer, tu es toujours d’accord ? C’est irréversible !
- Regardez l’intérieur de mes cuisses, il est trempé, c’est bien une preuve non ? ! Bouffez-moi le minou.
- Je vais enfoncer ma langue dans tes deux trous, en position !

La position est telle que je ne vois que les deux orifices de la jeune fille. Je me jette sur sa chatte comme un vorace, ma langue jongle de l’anus au clitoris, elle jubile en se contorsionnant, pour un peu il faudrait que je l’attache, son vagin s’ouvre comme une fleur en mouillant mes doigts venus à la rescousse pour masser son anus qui palpite comme une bouche affamée.
Le moment est venu de la prendre… Je me relève et plie mes genoux afin que ma queue soit a bonne hauteur de la vulve qui recrache des bulles de cyprine, l’introduction est volontairement lente, je veux sentir le moment où l’hymen va exploser sous la pression de mon gland. Clémence a les yeux chavirés, des râles s’échappent de sa bouche ouverte, elle se pince la pointe des seins… Tiens ! Au fait, ils sont ressortis du mamelon ??

- Poussez ! Je meurs d’envie, ne me faites plus languir !
- Ça vient… Dans deux secondes tu va être femme à part entière… Et voilà je pousse …
- Haaaaaaaaaaaooooouuuiiiii que c’est boooooooonnnnnnnnn

Nos ventre se touchent, sa gaine vaginale enserre ma bite, je lui laisse le temps de se faire à la présence d’une bite dans son ventre.

- Marc ! C’est merveilleusement bon, baises moi à présent… Je saigne ?
- A peine, regardes il n’y a qu’un mince filet rouge sur ma hampe, je vais te faire découvrir ton point G… Je ressors au maximum et je pousse vers le haut de ta moule, c’est là juste à l’entrée, pas la peine d’en enfoncer des centimètres, même une bite courte peut te faire jouir.
- C’est vrai que ça fait des choses, mais pour l’instant je veux sentir toute la longueur de ta verge dans mon con, ramones moi à fond Marc.

Je ne m’étais même pas aperçu qu’elle me tutoyait, à grands coups de queues je la cloue sur la table comme un papillon, elle m’enserre la taille avec ses longues jambes, sa chatte émet des bruits mouillés, sa tête bascule de droite à gauche, ses ongles griffent le papier de protection de la table qui recule à chaque coup de reins, son cou se gonfle son visage se crispe et rougit, elle va jouir.

- Hooooooooooooonnnnnnnnnnooooooooonnnnnnnn !!!!! Décharges maintenant, Marc ! Inondes moi la moule !
- Ça vient ma chérie… Hoooooooouuuuuuuuuaaaaaaaaaaaaaaaaah tiiiiiiieeeeeennnnns !!!!
- Ça fait du biiiieeeeeeennnnnnnnnnnn !!!!

Je reste un long moment collé à elle avant de me retirer lentement à son grand désespoir, des flots de foutre mélangés à sa mouille s’évacuent du vagin qui reste ouvert, je colle un bouchon de papier sur la fente afin d’éviter de tâcher le parquet.

- Essuies toi l’entrejambe et rhabilles toi ma puce, il est temps de partir.
- Tu ne m’en mets pas un p’tit coup derrière ? Tu bandes encore ! Allez ! S’il te plaît !!!

Avant que je ne puisse m’exprimer, elle est déjà accoudée sur la table, les pieds écartés le cul tendu en arrière. Quel homme normalement constitué peux résister à cette invitation ? Le temps de placer mon nœud face au petit trou et je pousse sans interruption jusqu'à ce que mes couilles buttent sur son clitoris, mes deux mains ancrées sur ses hanches, je la sodomise sans délicatesse, plus elle souffle, mugit, vocifère, plus mon ventre claque sur ses fesses. En deux minutes je décharge abondamment entre ses reins, je me retire, elle peste contre moi et reste courbée sur la table. Cette fois Clémence est rassasiée de sexe.

- Je reviendrai une fois par mois en consultation chez mon docteur adoré !

Elle est partie en marchant en canard, je l’ai revu pendant plusieurs mois, toujours aussi demandeuse.

A SUIVRE