LES AVENTURES DE DAVID 25 Ep 25 : LES GARDES SE RAPPROCHENT

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : LES AVENTURES DE DAVID 25 Ep 25 : LES GARDES SE RAPPROCHENT Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LES AVENTURES DE DAVID 25 Ep 25 : LES GARDES SE RAPPROCHENT
LES AVENTURES DE DAVID 25Ep 25 : LES GARDES SE RAPPROCHENT

Laurent avait différé sa réponse, il avait demandé un délai. Il était inquiet, porter un dispositif de chasteté n'avait jamais fait partie de ses projets. C'est une question qu'il ne s'était jamais posé, en tout cas d'une manière sérieuse et, là on le lui proposait de la manière la plus sérieuse qui soit.

Laurent : Je n'ai pas répondu !
Ed : Et que vas-tu répondre ?
Laurent : Je ne sais pas, sérieusement je ne sais pas !
Ed : C'est une obligation ?
Laurent : Pour cette mission … Oui !
Ed : Mais c'est quoi cette mission ?
Laurent : On ne m'a rien dit sur ce sujet. On m'a seulement dit que c'est en rapport avec la PK Compagnie, nous seront sous le contrôle de son conseil d'administration. J'en sais pas plus.

Ed réfléchissait.

Ed : Tu te souviens le jour de la convocation le Président Fédéral Continental (PFC) était là …Laurent : Je me souviens, l'affaire doit être importante.
Ed : Le président de la PK est un certain Marthe, je ne pense pas que soit pour lui que nous travaillerons.
Laurent : Pourquoi tu dis ça ?
Ed : Je me suis renseigné, il a son propre service de sécurité, certains dans son service viennent de l'armée mais ils sont tous civils. L'affaire est plus importante.
Laurent : Mais que peut-il y avoir de plus important que la PK C ?


La question restait sans réponse. Laurent se détendait. Brusquement il se relevait.

Laurent : Le PII ( Président Interfédéral Intercontinental ) ! C'est de lui qu'il s'agit, c'est évident !
Ed : Ce ne serait pas la PK alors ?
Laurent : C'est vrai ! Mais la mission semble tellement secrète qu'ils nous ont peut être aiguillé dans une mauvaise direction ? A mon avis, c'est le PII !

Le silence revenait entre les deux hommes.

Ed : Je te proposerais bien quelques chose …Laurent : Vas y je t'écoute.
Ed : Retire tes vêtements …
Laurent éclatait de rire, mais il s'exécutait.

Laurent : Tu veux sucer ma queue ?

Depuis la première fois qu'ils s'étaient amusé à ce jeux, ils avaient recommencé à plusieurs reprise et on peut supposer que Laurent y avait pris goût. Déjà il bandait. Bon à ce niveau de l'histoire il ne faut pas exagérer, ils ne l'avait pas fait souvent.

À plusieurs reprises ils s'étaient retrouvés sous les douches et comme Laurent ne portait pas de dispositif, que Ed était en manque permanent, que les douches leurs étaient réservées et que personnes ne risquait de venir les déranger, il avaient partagé quelques moment de douceur, de câlins.

La peau caressait la peau, les lèvres caressaient les lèvres de l'autre avant de se promener sur tout le reste du corps. C'était doux, c'était chaud. La peau brûlait mais sans laisser de blessure, c'est une chaleur, une brûlure qui ne provoque aucune blessure et qui ne donne que du plaisir.

Les deux hommes se serraient fermement l'un contre l'autre, chacun d'entre eux retenait son camarade avec autant de force que de douceur. Et la peau caressait la peau. Ed était nu également.

Ed repoussait Laurent sur son lit et s'allongeait sur lui, le faisait rouler sur lui-même, le retournait et glissait ses mains partout ou il pouvait. Sur le torse pour commencer puis rapidement sur le ventre, puis elles se glissaient entre les cuisses, s'attardaient sur les couilles de Laurent pendant que ses lèvres se refermaient avec douceur sur la bite de son camarade qui rapidement lui rentrait jusqu'au fond de la gorge.

Ensuite Ed maintenait son camarade sur le ventre, il s'était allongé sur lui et de son corps caressait celui de Laurent. Son dispositif de chasteté se relevait avec force et glissait entre les cuisses de Laurent. Ed couvrait de baisers les épaules de son amant, puis ses lèvres descendaient sur le dos et quand elles arrivaient au creux des reins il avait glissé ses mains sous les cuisses de Laurent et le masturbait doucement. Laurent soulevait légèrement son bassin et laissait faire son camarade...

D'un mouvement rapide Laurent se retournait et prenant fermement Édouard dans ses bras le retournait sur le dos. C'est Laurent qui se retrouvait alors allongé sur son camarade et le couvrait de baisers à son tour. Il caressait le torse de son ami tout en l'embrassant sur son ventre puis plus bas, il lui gobait les couilles et glissait ses mains sous ses couilles.

Puis comme Ed lui avait déjà montré une fois, il lui glissait un doigt dans le cul …
Ed : Oui vas y ! C'est bon ! Prends moi !

Rapidement et très décidé Laurent plaçait les chevilles de son amis sur ses propres épaules avant de s'allonger de nouveau sur lui en lui repliant les jambes, Ed se retrouvait alors le cul relevé et offert, il attrapait les épaules de Laurent et râlait de plaisir quand il sentait la queue de son compagnon se positionner sur son cul, puis appuyer contre son cul et enfin s'enfoncer, s'introduire.

Une convulsion, un tremblement, un gémissement, un sanglot de plaisir peut être suivaient et la queue de Laurent s'enfonçait lentement.

Les deux hommes se regardaient dans les yeux, Laurent très attentif à la moindre réaction de son amant, Édouard envahi de plaisir. Il faisait quelques grimaces par moment, sans doute un peu de douleur mêlé au plaisir. Souvent il y a un peu de douleur dans le plaisir quand il devient intense.

Le ventre de Laurent s'écrasait contre les fesses d'Edouard qui poussait un long soupir de plaisir qui se terminait comme une plainte. Les corps ne bougeaient plus, les lèvres ne se séparaient plus et les langues se caressaient dans des mouvement autant doux que sensuels.

Puis lentement, avec une grande douceur Laurent se retirait. Doucement il retirait sa queue du cul de son ami, pas totalement, juste à moitié avant de revenir et de l'enfoncer de nouveau en poussant doucement et fermement au moment ou son ventre s'écrasait sur les fesses de son camarade.

Édouard gémissait de plaisir à ce moment, il saisissait ses chevilles et retenait ses jambes bien repliées contre lui alors que Laurent se retirait de nouveau, un peu plus, et revenait de nouveau bien à fond, un peu plus vite, un peu plus fort. Édouard tremblait et ses gémissements se transformaient en plaintes.

Laurent accélérait les mouvements, plus amples, plus rapides, plus forts, plus violents. Il s'était relevé et c'est lui qui retenait les chevilles de son ami. Quand il enfonçait sa queue dans le cul d'Édouard il ne se retenait plus, il appuyait ensuite de tout son poids contre les fesses de son camarade qui ne gémissait plus, qui râlait de plaisir, qui en redemandait et qui en recevait.

Laurent se lâchait ses mouvements devenaient rapides, très rapides et violents, très violents. Édouard gueulait, le bâtiment est ancien et les portes sont épaisses, personne n'intervindrait, heureusement !

Édouard gémissait, gueulait, pleurait au moment ou il jutais, il jouissait et c'était intense. Laurent le regardait, il était fasciné par le visage de son ami qui semblait exprimer de la douleur alors que ce qu'il éprouvait était avant tout un intense plaisir, peut être même une certaine extase. Il continuait ses mouvements de toutes ses forces, le plus vite possible. Édouard convulsait alors , il ne contrôlait plus ses réflexes, il était alors pris de mouvements qui échappaient à son contrôle. Il ne jutais plus mais il jouissait toujours. Laurent était un peu dépassé.

Dépassé peut être mais c'est pas pour ça qu'il se calmait, il sentait le plaisir monter, il s'entait qu'il allait jouir lui aussi, il lâchait tout. Il jouissait, il éjaculait dans le cul de son ami, il était lui aussi pris de quelques convulsions, enfin de quelques mouvements qui échappaient à son contrôle.

Laurent appuyait contre les fesses d'Édouard.

Plus personne ne bougeait, ils restaient dans cette dernière position un long moment. Laurent finissait par se pencher contre son ami, lui déposait un baiser sur les lèvres et se retirait dans un même mouvement.

Édouard laissait retomber ses jambes, Laurent se laissait retomber sur son ami et ils restaient là sans bouger pendant un très long moment. Ils échangeaient encore quelques câlins puis se décidaient à passer sous la douche. Il n'y avait personne dans le couloir, c'était un soir de relâche et presque tous les gars de l'équipe étaient sortis.

C'est un bruit étrange qui attirait leur attention en passant devant la porte d'une chambre. On aurait dit un cris étouffé. Les deux hommes se regardaient l'air interrogatif puis Laurent décidait d'ouvrir pour voir ce qui se passait.

Doucement il ouvrait la porte et y glissait un œil. Il y avait le sergent Lamass, à quatre patte sur un lit et juste derrière lui le sergent Dupont placé juste derrière lui. Dupont avait lubrifié le cul de Lamass, il y glissait un puis deux doigts, il tenait dans la main une sorte de gode fait maison. C'était une serviette de bain de petite taille enroulée sur elle même puis bien saucissonnée avec un lacet, le tout était alors enfilé dans un préservatif ou deux. Le tout faisait un godemichet tout à fait fonctionnel.

Dupont enfonçait alors le gode ainsi bricolé lentement dans le cul de Lamass qui ne cachait pas son plaisir, qui râlait et en redemandait. Dupont lui en donnait, il enfonçait le gode bien à fond, finalement il était de belle taille, ça marchait bien ce truc. Dupont le retirait puis l'enfonçait de nouveau et continuait de plus en plus vite.

Édouard et Laurent regardait le spectacle sans bouger, sans faire de bruit, surtout sans se faire remarquer. Édouard avait lui aussi glissé la tête dans l'ouverture de la porte. Ils se rinçait l’œil un long moment. Lamass râlait de plaisir et s'abandonnait totalement à la volonté de son ami qui ne ralentissait pas le mouvement, même pas au moment ou on voyait couler du dispositif de Lamass un liquide blanc et épais.

Nos deux héros, voyait les deux sergents de côté, Lamass avait les cuisses écartés et ils pouvaient voir parfaitement le dispositif de chasteté qui se balançait et le sperme qui en coulait.

Au bout d'un moment les deux hommes se calmaient et Laurent tout comme Édouard se retirait doucement, sans faire de bruit et refermaient la porte le plus doucement possible.

Ils se regardaient alors en rigolant.

Ed : Tu vois ! On n'est pas les seuls à se faire plaisir.
Laurent : J'y crois pas ! C'est sûr, demain je vais regarder le sergent Lamass avec un tout autre regard.
Ed : Moi, ça ne m'étonne pas !
Laurent : Tu as vu le truc qu'ils se sont bricolé.
Ed : On m'en avait déjà parlé ! Ça marche bien on dirait !
Laurent : Ils portent tous les deux un dispositif, ils n'ont pas trop le choix !

La discussion avait continué sous la douche, ils étaient sous la même douche et se savonnaient l'un l'autre. Ils se séchaient et enfilaient une tenue de sport.

Laurent : Et tu ne regrette pas ton choix de porter ce truc ?
Ed : Non, tu sais j'arrive à prendre mon pied moi aussi.
Laurent : J'ai vu ça.
Ed : Le plaisir est très différent mais il y a du plaisir, ça dure plus longtemps même. Et en plus on devient addict !

En sortant des douches ils croisaient dans le couloir le sergent Lamass et le sergent Dupont.

Laurent : Vous n'étiez pas sortis les gars ?
Lamass : Non mais on y va là !
Ed : Et bien passez une bonne soirée les gars.

Nos deux héros échangeaient un regard complice et amusés, les deux autres continuaient leur chemin.

Laurent : Woah ! Lamass, j'y crois pas !
Ed : On était pas mieux tous les deux juste avant !
Laurent : Et tu as vu il porte un dispositif de petite taille.
Ed : Il ne faut pas se fier à la première impression …
Lamass était une montagne de muscles et il ne valait mieux pas se retrouver coincé entre ses bras dans un combat. C'était une force de la nature mais là Laurent le voyait autrement. Il l'avait vu dans une position qu'il n'aurait pas soupçonner.

Dans les jours qui suivaient la vie reprenait son rythme, entraînement, formation, dodo. C'était monotone par certains côtés mais il n'y avait pas de quoi s'ennuyer, ils étaient toujours occupés. Le soir c'était détente, la bouffe était bonne, le salon télé était plein tous les soirs … Des liens se créaient entre les membres du groupe, des affinités, des amitiés et même plus …
Quelques jours plus tard le Capitaine Lassible était de nouveau convoqué au bureau du général. Il y restait un long moment en discussion avec le Général. En fait on le pressait à donner une réponse. L'état major ne lui cachait pas qu'une réponse positive serait bien vue mais lui confirmait toutefois qu'aucune sanction ne serait prise, aucune pression ne serait faite. Il fallait seulement qu'il donne sa réponse.

Le général : Vous savez Lassible, vous étiez le premier choix, vos états de service, votre âge font de vous le premier candidat auquel nous avions pensé. Il nous faut une réponse rapide pour savoir si nous devons envisager un remplacement.
Laurent : Le port du dispositif est une obligation pour cette mission ?
Le général : C'est une obligation incontournable !
Laurent : Et on ne peut toujours pas en savoir plus ?
Le général : Négatif capitaine !

Laurent réfléchissait un moment, le général ne l'interrompait pas.

Laurent : Vous êtes vous-même porteur je suppose ?
Le général : Affirmatif capitaine, affirmatif … PK OR depuis maintenant dix ans …Laurent : Et … Vous … Je sais pas comment dire …Le général : Non … C'est un choix personnel, mais on ne vous demande pas de choisir la PK OR, c'est un modèle un peu définitif ( Ce modèle ne peut en effet pas être retiré ). On vous propose juste une modèle permanent et permanent ne veux pas dire définitif …Laurent : Vous me laissez une dernière nuit avant de me décider mon général ?
Le général : Demain matin dans mon bureau à dix heures. Vous recevrez votre équipement ou votre ordre de route si vous préférez nous quitter. À vous de choisir !


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