LES AVENTURES DE DAVID Ep 26 : IL FAUT CHOISIR

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : LES AVENTURES DE DAVID  Ep 26 : IL FAUT CHOISIR Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LES AVENTURES DE DAVID Ep 26 : IL FAUT CHOISIR
LES AVENTURES DE DAVID 26Ep 26 : IL FAUT CHOISIR

Le reste de la journée, Laurent restait très perplexe, pensif, dubitatif. La situation devenait claire et le choix tout autant. Enfin le choix … Oui de ce côté c'était clair mais ça ne veut pas dire que c'était facile de décider.

En temps normal, quand on passe par la procédure habituelle, on peut se réserver des périodes d'essais. C'est ce que font la plupart des étudiants, il profitent des vacances qui précèdent la rentrée pour s'entraîner à porter la cage à bite. Pas tous, c'est vrai. Quelques uns enfilent le truc et le gardent sans limite dans le temps, c'est plus rare. De plus à l'époque ou on est, tous les garçons ont essayé au moins une fois un dispositif de chasteté. Ce n'était pas le cas de Laurent.

Il ne l'avait pas mis pendant ses études, ni à la fin du secondaire contrairement à la plupart de ses camarades qui préparaient la fac. Il avait choisi une école militaire qui ne le demandait pas, la seule. Le port du dispositif n'était pas interdit dans cette école mais aucun de ses camarades ne le portait. En fait tous ceux qui ne voulaient pas porter le truc la choisissaient en priorité et aucun élève ne portait le dispositif de chasteté.

Plusieurs de ses anciens camarade d'école avaient fini par se décider et portaient maintenant le dispositif, en fait tous ceux qui comme lui, faisaient carrière, en portait un, plusieurs avaient même fait le choix du modèle PK OR, celui là il n'était pas seulement permanent il était définitif. On ne pouvait pas le retirer !

Laurent se souvenait de discussions avec ses anciens camarades. A l'époque pour lui c'était clair : Ce n'était pas une obligation il ne le porterait donc pas !

Il n'avait jamais eu un doute, une hésitation, un questionnement … Jusqu'à ce jour !

En fait ce n'était pas une obligation, il lui restait toujours la possibilité de refuser, il serait alors muté à une autre mission. Mais si ce n'est pas une obligation et si personne ne peut l'exiger ( sauf pour lui même ) on sait qu'il y a quelquefois des requêtes qui valent largement une exigence, et qu'il vaut mieux accepter.

C'est vrai qu'il n'avait jamais entendu parler d'un officier d'un grade supérieur au sien qui ne portait pas ce dispositif PK. Il n'y avait pas d'obligation, c'est vrai mais il fallait toutefois faire un choix !

Laurent, quelquefois, avait pensé à cette famille étrange dont on ne savait que peu de chose. Enfin je m'exprime mal, de cette famille on savait tout. Mais des membres de cette famille on ne savait presque rien. On savait que depuis deux générations ce n'était plus elle qui dirigeait la société, on savait que le dernier petit avorton prendrait la direction de l'entreprise, on connaissait le fief de cette famille, cette petite ville qui lui appartenait pratiquement. Mais le visage de cet héritier, son âge, ce qu'il faisait … Rien ! On ne savait rien ou si peu !

La presse avait parlé de lui il y a peu, il avait été intronisé comme futur maître du monde, une photo de lui avait été publiée mais elle était floue, c'était volontaire bien sûr, pour sa tranquillité. C'est à peu prêt tout ce qu'on savait. Un commentaire plein d'éloge sur sa gentillesse, sur le fait qu'il savait se faire apprécier, que tous ses proches l'aimaient, que tous ceux qui l'approchaient tombaient sous son charme. Enfin Laurent trouvait que la propagande était parfaitement organisée. Tout n'était certainement pas faux mais, c'était trop beau pour le croire …
Encore une fois Laurent se disait que quelques part c'était un pauvre petit garçon riche … Il avait vécu dans un palais depuis sa naissance, savait-il seulement ouvrir une porte ? Il n'avait pas le choix, lui il serait obligé de porter le dispositif, on ne lui demanderait pas son avis, il n'aurait pas la possibilité de refuser …
Mais pourquoi avait-on sauté deux générations ?

L'équipe de Laurent remarquait que le capitaine n'était pas dans son état normal, mais comme personne ne savait rien de ce qui était proposé à Laurent, ils supposaient simplement qu'il ne devait pas être en forme ... Seul Édouard se doutait de ce qui se passait. Seul Édouard devinait que l'échéance du choix se présentait maintenant.

Il se retrouvaient sous la douche dans la soirée.

Ed : Tu veux parler ?
Laurent : Non ça va merci.
Ed : Tu es sûr, tu sais je suis passé par là !
Laurent : Oui je sais mais j'ai surtout pas envie de parler !


Laurent : Je dois donner ma réponse demain !


Laurent : Soit je dis oui , soit je pars pour une autre mission.


Laurent : Le général me donne demain un nouvel ordre de mission si …Ed : Ou alors on te donne ton '' Équipement ''.
Laurent : Oui c'est exactement ça !
Ed : Et tu penses répondre … ?
Laurent : Je ne sais pas, je ne parviens pas à … C'est pas un choix facile … C'est vrai quoi ! Moi j'ai toujours organisé ma vie, ma carrière dans le choix contraire. Et là …
Édouard est un garçon prévoyant ou alors il avait envie de rigoler. Il avait prévu un petit godemichet. Ça devait être pour rigoler !

Il s'approchait de Laurent et lui frottait le dos. Laurent ne bandait pas et même ce doux contact ne provoquait chez lui aucune réaction. Les caresses d'Édouard devenaient plus fortes, il s'approchait de son ami et le prenait dans ses bras, il lui caressait le torse, suivait des doigts chacun des muscles qui dessinaient la silhouette de Laurent. Ils était tous les deux d'une plastique exceptionnelle, mais le reste de l'équipe également …
Laurent commençait à réagir quand les mains d'Édouard arrivait sur la queue et commençait à le masturber.

Ed : Tu la mettras en cage ou tu ne le feras pas mais ce soir je vais t'initier à un autre plaisir qui lui ne te seras pas interdit …
Laurent ne comprenait pas ou il voulait en venir mais ne se posait pas vraiment de questions. Édouard se collait dans le dos de Laurent. Laurent sentait ce contact si doux qu'il connaissait déjà bien et auquel il prenait goût. Il sentais la cage de son camarade qui se redressait au niveau des ses fesses. Il se disait qu'il aurait le bon rôle ce soir encore.

Mais ce soir Édouard insistait plus longtemps sur les fesses de son ami, son doigt glissait de plus en plus vite, bien lubrifié par le savon, entre les ses fesses. Il faisait une légère pause juste sur l'anus de Laurent, exerçait une petite pression sans insister d'avantage. Laurent laissait faire. Édouard lui avait déjà prodigué ce plaisir et il avait apprécié, aussi il laissait faire.

Ed : Retourne toi !

Laurent se retournait, Édouard le guidait avec une main, l'appuyait contre le mur, lui écartait largement les jambes avant de reprendre ses caresses. Là il insistait un peu plus sur l'anus, puis sans prévenir il enfonçait un doigt.

Laurent poussait un long soupir de plaisir.

Édouard continuait avec un peu plus de force mais toujours beaucoup de douceur. Son doigt entrait, sortait puis entrait de nouveau un peu plus profond puis … Rapidement le doigt entrait sur toute sa longueur.

Laurent continuait à soupirer de plaisir .

Édouard, regardait le visage de son ami qui n'exprimait que du plaisir. Il continuait le mouvement et sans prévenir introduisait un deuxième doigt avec le premier mais sans prévenir.

Laurent se contractait, faisait une grimace et tremblait, c'est un petit cri de surprise qu'il poussait en même temps. Il baissait alors les yeux vers Édouard qui était à genoux devant lui et lui faisait un sourire.

Laurent : Là je ne m'y attendais pas !
Ed : Ça va ?
Laurent : Super ! Suce moi la queue !
Ed : Non, ce soir c'est un autre plaisir que je vais te faire découvrir ce soir. Tu me fais confiance ?
Laurent : Fais de moi ce que tu voudras !

Édouard enfonçait son index et son majeur bien à fond dans le cul de son camarade puis toujours sans prévenir commençait à remuer fermement les deux doigts avec le même mouvement de jambes qu'on fait quand on nage le crawl.

Laurent se contractait de tous ses muscles, il tremblait bien maintenant.

Laurent : Ahhhh ! C'est bon là ! Oooooh oui ! Vas y !

Édouard continuait et Laurent aussi .

Laurent : Terrible ! Là c'est terrible !

En même temps Laurent se caressait le ventre, ses mains glissaient à la base de son sexe, entre ses cuisses. Il avait quelques première convulsions et se penchait en avant d'un mouvement saccadé.

Ed : Tu ne te masturbes pas !
Laurent : Là tu es dur avec moi !

Laurent obéissait, Édouard devinait qu'il avait du mal à se retenir et n'hésitait pas à lui écarter les mains s'il était trop tenté. Au fond du cul de Laurent les deux doigts d'Édouard bougeaient de plus en plus, de plus en plus fort et tambourinaient avec force contre sa prostate. Le corps de Laurent était pris de nouveau de convulsions, un peu comme quand on rigole et le ventre se contracte mais là il ne rigolait pas le mec, non il ne rigolait pas, il faisait des grimaces qui dans une autre situation auraient montré de la douleur mais là ce n'était que du plaisir .

Ed : Ça va ?
Laurent : Ahhh, Ohhh, Ehhh, baaa, béééé …
Oui bon vous avez compris !

Ed : Bon on passe à la suite ?

Laurent ne disait plus rien mais regardait ce qui se passait. Édouard lui ressortait les doigts du cul. ( j'ai entendu un jour un joueur de foot qui utilisait cette expression mais je suis pas sûr qu'il fallait la prendre dans le même sens que dans cette histoire … Enfin j'espère … Pour la réputation du foot … Pfff … note de l'auteur).

C'est donc à ce moment qu'il montrait le gode à Laurent.

Laurent sursautait.

Laurent : Tu es sûr ?
Ed : tu es partant ?
Laurent : Je te fais confiance. Vas-y doucement, là tu me fais un peu peur !

Ed y allait tout doucement, il lubrifiait bien le gode, de nouveau il lubrifiait le trou du cul de Laurent puis positionnait le gode.

Ed : Tu respire bien à fond et surtout tu te détends.

Ed commençait alors à pousser le gode qui doucement se frayait le passage. Il écartait les fesses d'une main et poussait de l'autre. Le gode entrait.

Laurent respirait fort, très fort et râlait de plaisir. En tous cas ce n'étaient pas des cris de douleur même si la sensation devait être particulièrement intense.

Ed continuait à pousser le gode qui s'enfonçait de plus en plus profondément. Laurent grimaçait, tremblait, convulsait mais il tenait le coup et ne demandait pas son ami d'arrêter. Il poussait des cris de plaisir.

Laurent : Oh oui c'est bon ! Vas y ! Fourre le moi bien à fond !

Quelques instants plus tard, Laurent lâchait la purée, il éjaculait avec force et Édouard se prenait tout sur la figure. Laurent ne bougeait plus, Édouard non plus. Il n'avait pas retiré le gode du cul de Laurent qui s'en rendait compte, n'en doutez surtout pas, et qui le retirait doucement un peu plus tard .

Édouard était content de lui, Laurent était content …
Laurent : C'était génial, je savait pas que … J'avais jamais joui comme ça !
Ed : Et ça t'a plu ?
Laurent : C'était le pied !
Et : Si tu dis oui, tu dois savoir que ça c'est toujours possible.

Finalement le lendemain quand Laurent s'est rendu au bureau du directeur, pardon je voulais dire du général, il n'avait pas fait son paquetage, il avait décidé d'accepté la mission.

Il avait tout de même un pincement là, au niveau de son cœur … Un nœud aussi là, au niveau de l'estomac. Il ne savait pas combien de temps ça devrait durer. Il se souvenait des histoires qu'ils se racontaient quelques années plus tôt à l'école militaire …
On racontait que certains avaient signé le contrat sans le lire et se sont retrouvé sous clé pour la totalité de leur engagement. Sans avoir été prévenus, ils ont porté le dispositif pendant plus de dix ans...

D'autres en renouvelant leur contrat n'ont pas fait attention à la petite close et se sont retrouvé avec un dispositif PK OR sur la queue sans qu'on ne les ait prévenus. Ils l'ont senti passé et s'en souviennent encore, et pour cause. Le dispositif PK OR ne peut pas être retiré.

Laurent savait que c'était des histoires mais son estomac lui semblait l'ignorer et son cœur battait fort au moment ou on lui présentait le dispositif. Il hésitait, tout le monde hésite à ce moment. La première fois tout le monde hésite. Il n'aurait pas la clé, comme prévu. Les porteurs de ces dispositifs n'ont jamais la clé, ce serait idiot.

Il avait mesuré son membre avec soin et au moment fatidique il ne bandait pas, il n'en menait pas large non plus. Il ressentait encore le plaisir qu'il avait découvert la veille entre les mains d’Édouard, ça lui donnait le courage de procéder. Comme on lui avait conseillé plus tôt il glissait d'abord un testicule puis le second. Une pause pour reprendre son souffle. Il commençait à sentir une certaine excitation et glissait sa queue dans l'anneau avant qu'il ne le puisse plus.

Il prenait la cage et y glissait sa queue également, il commençait à bander et ça ne rentrait pas comme prévu, il respirait bien à fond, retrouvait son calme et en forçant un peu parvenait à emboîter la cage sur l'anneau de maintien.

Ce modèle était équipé d'un cadenas incorporé. On pouvait le changer mais uniquement quand le dispositif était ouvert, là on allait le fermer et pour verrouiller le tout il suffisait de forcer sur le dispositif, le cadenas de refermait alors et seule la clé pouvait le rouvrir.

Laurent bandait à moitié au moment ou il enclenchait la cage sur l'anneau et avait un peu forcé c'est donc sans s'en rendre compte qu'il avait verrouillé le dispositif. Il était sous clé et ne le savait pas encore. Il se retournait vers le sous officier infirmier chargé de superviser la mise en place du dispositif.

Le sous officier : Voyons voir … Il me semble que le dispositif est verrouillé . Tu auras du le verrouiller au moment ou tu as forcé.
Laurent : C'est tout … C'est ...  ?
Le sous officier : Bein j'en ai bien l'impression.

Le sous officier tentait de faire jouer la cage sur l'anneau, tout était bien verrouillé. Laurent remontait son pantalon, on lui remettait une attestation à remettre au bureau du général. C'était réglé, il avait signé pour cinq ans.

C'est avec un petit sourire pincé qui retrouvait son équipe.

Ed : Ça va ? Ça s'est bien passé !

Laurent lui répondait d'un mouvement de la tête.

Quelques jours plus tard on convoquait nos deux capitaines au bureau du général, le Président Fédéral était là comme au jour de leur arrivée. Ils allaient enfin savoir de quoi il s'agissait.


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