LES AVENTURES DE DJE Ep 74 : UN CLUB PRIVE 02

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : LES AVENTURES DE DJE Ep 74 : UN CLUB PRIVE 02 Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LES AVENTURES DE DJE Ep 74 : UN CLUB PRIVE 02
LES AVENTURES DE DJEEp 74 : UN CLUB PRIVE 02

Je n'ai pas bien dormi cette nuit là. J'étais épuisé, j'avais beaucoup roulé, fais beaucoup de kilomètres depuis quelques jours, j'aurais bien aimé me faire défoncé le cul et tout ce que j'avais gagné c'était d'avoir mal à la mâchoire. Bon c'était pas la première fois et je savais que je m'en remettrais !

Je me demandais toutefois ce que c'était que ce '' club ''. Je me demandais si Justine ne pourrait pas me renseigner sur ce point aussi je passais récupérer mon téléphone. On ne devait pas le garder avec nous mais nous n'étions pas prisonnier et on avait le droit de communiquer avec l'extérieur si on en éprouvait le besoin. Je m'installais tranquillement sous un arbre et appelait Justine.

Justine c'est mon avocate et elle connaît tout le monde, surtout sur les bancs des tribunaux. Je tombais sur Joss, son principal collaborateur, je le connais bien Joss, il est très sympa. Je lui racontais mon aventure et j'avais à peine fini que je l'entendais qui rigolait à l'autre bout du fil.

Moi : C'est moi qui te fait rire Joss ?
Joss : Oui c'est toi ! Mais comment tu as fait pour te retrouver dans ce genre d'endroit ?
Moi : Bon c'est pas la peine de te moquer, je passais par là par le plus grand des hasards, et voilà !
Joss : Bon tu ne t'inquiètes pas, nous avons enquêté pour le Château au sujet de plusieurs de ces groupes, et ce monastère ou tu es arrivé … C'est … Comment dire … Une sorte de club ou les porteurs comme toi peuvent se retrouver et se défouler … Par contre ce qui m'étonne c'est que s'il ne te connaissaient pas tu ais réussi à y entrer. Il faut être parrainé pour ça … C'est bizarre !
Moi : Je suis arrivé et on m'a accepté … C'est tout !
Joss : C'est vraiment bizarre, s'ils connaissaient ton identité on peut comprendre qu'il t'accepte sans parrain mais tu me dis qu'ils ne savent pas qui tu es … Moi : Bizarre, tu as dit bizarre !

Il rigolait.

Joss : Ça me rappelle quelque chose ça … Mais bon soyons sérieux. Tu n'as donc pas à t'inquiéter ! C'est tout ce que je peux faire pour toi ?

J'étais rassuré même si je ne comprenais pas vraiment pourquoi j'avais réussi à rentrer dans ce club. Ils savaient peut être qui j'étais finalement ? J'en profitais pour lire mon courrier, Antoine me racontait qu'il avait trouvé un club de vacances touristique absolument génial, et mon frère me racontait que depuis son arrivé tout se passait bien, qu'avec Bob ils s'éclataient bien et que maman avait complètement adopté Bob.

Donc si tout se passe bien pour tout le monde … Je retournais mon téléphone à sa consigne et me retrouvais rapidement sur le court de tennis ou on m'attendait. Finalement on peut faire laver sa tunique quand on voulaitt mais ça ne doit pas arriver souvent ça, on ne la porte jamais !

J'étais toujours à poil ! Enfin presque … J'avais sur la tête un chapeau de paille du meilleur goût et toujours ce petit truc autour de la queue Mais je me sentais très bien.

La nuit suivante, j'étais trop fatigué et je dormais profondément du sommeil du juste. Je retrouvais Titi au petit déjeuner.

Titi : On ne t'a pas vu hier soir !
Moi : J'avais surtout envie de dormir.
Titi : Et tu as trouvé ça comment ? J'avais l'impression que tu aimais.
Moi : Toi aussi tu avais l'air d'aimer ? Hier j'avais encore un peu mal à la mâchoire.
Titi : Tu m'étonnes, moi j'avais mal au cul !

Il est marrant Titi. Il avait mal au cul mais ça ne l'avait pas empêché de recommencer.

Moi : Donc on peut dire qu'il y a deux club en un …Titi : Si on veut. Le club des grosse bites qui sont actif, et les autres qui sont passifs. Mais toi tu devrais t'inscrire dans le club des actif je te dis. Je suis sûr que tu as la taille.
Moi : Peut être mais de toutes façons j'ai pas la clé … Donc …Titi : C'est pas vrai ta femme garde ta clé !
Moi : Je ne suis pas marié !
Titi : Pas ta femme alors … Ton petit copain ?
Moi : Non plus ! Je suis étudiant à la PK université !
Titi : Oui j'ai entendu parler de ce truc. Il paraît que tous les mecs portent un truc comme ça. C'est vrai alors qu'ils ne doivent pas le retirer jusqu'à la fin de leurs études ?
Moi : Non ! En fait on peut le retirer pendant les vacances mais ce n'est pas une obligation.
Titi : Et toi tu le gardes ?
Moi : C'est addictif ce truc !
Titi : Tu connaissais les dispositifs plus anciens ?
Moi : Oui, au début, mais ils étaient moins confortables !
Titi : Ceux qui ont inventé ces nouveaux modèles ont fait un super travail à la PK . Moi l'ancien modèle j'avais du mal à le supporter sur une longue période.
Moi : Un dispositif plus confortable … C'est ce qu'on cherchait a faire avec Antoine quand on a mis au point ce dispositif …
Titi me regardait sans rien dire. Dire qu'il avait l'air surpris, c'était peu dire.

Titi : C'est toi qui ?

Je lui faisais oui de la tête. Il continuait à me regarder un moment, les yeux tout ronds, la bouche ouverte, il n'en revenait pas et n'avait pas vraiment l'air futé à ce moment. Moi, je rigolais.

Vous devinez que cette information que j'avais lâché faisait le tour du club avant la fin de la journée. Le soir j'étais la star du club. Je me disais que j'aurais peut être du éviter de me faire reconnaître. Mais finalement ça ne changeait pas grand chose, dans ce club il y avait des personnes bien plus célèbres que moi !

Je rencontrais des industriels, des chefs d'entreprise, des intellectuels, il y avait du beau monde dans ce club. Mais c'est vrai qu'il en fallait un peu plus pour m'impressionner.

La nuit suivante je me retrouvais avec Titi au bord de la piscine, le personnel retirait les transats, les tables puis les buissons très épais qui étaient entre les arbres s'ouvraient et ce coin de détente se transformait en hall d'entrée vers le jardin des délices … Je prenais le temps de visiter plus longuement cette partie des jardins, Titi et moi étions les premiers à y entrer.

Titi : Tu t'appelles Jérémy Brosso, tu ne travailles pas pour la PK Compagnie, mais en effet tu es un des deux inventeurs du dispositif que nous portons …
Il me regardait avec un petit sourire rieur …
Moi : Tu as fais ton enquête ?
Titi : Après que tu m'ais dit que tu avait inventé les dispositifs. On dit aussi que tu es payé par la PK alors que tu ne travailles pas pour cette entreprise … C'est vrai ça ?

Je lui faisais oui de la tête. Il n'en revenait pas …
Moi : Tu travailles pour la PK toi ?
Titi : Bein oui ! Je m'occupe de l'exportation vers l'Asie … Je vis au nord de l'Inde et j'étais de passage pour un séminaire … Tu connais le Château je suppose …Moi : J'y passe régulièrement !

Il ne disais plus rien et gardait son sourire complice. Nous nous enfoncions dans le jardin, le haut de la montagne était encore largement éclairé, les jours sont longs à cette période de l'année, mais le fond de la vallée était déjà dans l'ombre. Je me disais qu'en hiver il devait faire froid mais là il faisait encore chaud et les nuits étaient agréables, surtout à poil !

Rapidement on voyait des silhouettes arriver de l'autre entrée du jardin, je reconnaissais un des bar-man, il était à poil et ne cachait pas une bite énorme. Je n'avais pas remarqué qu'il portait un dispositif de grande taille, je n'avais remarqué personne avec un dispositif d'une taille plus grande que la mienne et comme vous le savez c'est moi qui les ai conçus alors j'ai l’œil … En tout cas une chose était sûre, il en avait une belle !

Si vous en avez une sous la main, ou si votre copain en a une et qu'il vous autorise à vous amuser avec ( dans le cas ou vous seriez une fille par exemple ) vous savez qu'une bite est à géométrie variable. Sa taille varie selon bien des paramètres, la température, le moment de la journée, la stimulation sexuelle que vous ressentez … Souvent le matin, dans le lit elle a tendance à se développer et à prendre de l'importance, c'est d'ailleurs un excellent moment pour … Bon je m'égare … Bref pour faire court, sous une douche froide ça ne donne pas le même résultat que dans un bains chaud …
Quelquefois une petite bite pas trop épaisse en position repos peut devenir de très belle taille, longue et large, en position relevée. Je voulais dire en action. Ça devait être le cas de ce garçon, il devait porter une taille plus petite que moi sans que pour autant ça n'indique qu'en pleine action il n'ait quoi que ce soit à m'envier.

En ce moment, c'est plutôt moi qui avait quelque chose à lui envier. Lui il pouvait bander librement alors que moi … Je bandais à mort, mon excitation sexuelle était à son maximum et rien ne dépassait. Le dispositif se relevait mais cette position devenait tellement habituelle que personne ne faisait plus attention à ce petit truc ridicule. J'avais une violente envie de me branler, de me faire sucer, et de défoncer un cul … Ce garçon je l'avais vu dans la journée, il avait un corps magnifique et un petit truc pathétique entre les cuisse, comme moi en ce moment ! Et le voir bander aussi librement me donnait envie d'en faire autant et là … J'étais un peu coincé … Titi avait disparu mais il ne devait pas être bien loin. Je ne pouvais pas lâcher du regard cet homme qui dans la journée nous servait des cocktails et dans la nuit se proposait à nous enculer …
Je suis preneur, dans la journée je suis preneur et la nuit aussi … J'en veux ! Je ne traînais pas, des fois que quelqu'un d'autre ne me pique ma place, enfin c'est une façon de parler … Sauf quand je dis : '' J'en veux !''.

Je m'approchais rapidement de lui et sans attendre je lui caressais la queue avec douceur, il se laissait faire et me caressait le visage puis il appuyait sur mon épaule, je m'accroupissais et prenait sa queue dans la bouche. Il était aussi bien monté que le mec de l'autre jour. Autour de nous de nouvelle silhouettes s'approchaient.

Un autre homme prenait position juste à côté du premier que j'étais en train de sucer. Le premier ressortait sa queue de ma bouche et le second prenait sa place, ils ne me demandaient pas ce que j'en pensais, l'un d'entre eux me tenait la tête et m'enfonçais sa queue jusque au fond de ma gorge puis laissait son camarade le remplacer, il faisait alors de même. Ce jeux durait un long moment et je commençais à avoir mal à la mâchoire une fois encore.

L'un d'entre eux passait sa main sous mon bras et doucement me tirait vers lui en m'incitant à me relever. Ils me guidaient alors vers un banc, et me faisaient signe de me pencher contre le dossier du banc, un d'entre eux me caressait tout le corps, l'autre prenait position juste derrière moi. Je sentais une pression forte et ferme contre mon anus, je sentais en même temps mon cœur battre fort, très fort. Ma queue se contractait dans sa cage, prenait du volume, la cage devenait vite trop petite et la pression intense. Je ressentais une certaine douleur, pas au niveau de ma queue, là je ne ressentais que de l'inconfort, beaucoup d'inconfort mais rien de plus. La douleur venait de mon anus et la pression devenait plus forte. Je me décontractais comme j'en avais l'habitude, mon anus se détendais et brusquement sa bite me rentrait dans le cul, avec force et violence. Elle s'enfonçait jusqu'au fond de mon cul et je sentais son ventre s'écraser contre mes fesses, je gueulais !

Je ne cherchais pas à me dégager pour autant, ça faisait quelques jours que j'avais envie de me faire défoncer le cul, ça faisait du bien. Ça faisait un peu mal mais ça faisait du bien et si je gueulais c'était pour en redemander. Il ne se faisait pas prier le gars, il y allait de bon cœur. Il ne devait pas être en manque de sexe, pas en ce moment en tout cas. Je ne comprenais pas vraiment le fonctionnement de ce club mais j'avais seulement compris que si un certain nombre de membres portaient un dispositif de chasteté, d'autres n'en portaient pas et pouvaient se défouler quand ils voulaient.

Il me balançait des coups de bassin joyeusement, il ne se retenait pas, se retirait complètement puis revenait d'un mouvement rapide et fluide bien à fond. Il en profitait pour bien écraser le bas de son ventre contre mon cul, continuait à exercer une forte pression, il m’arrachait des râles de plaisir, il me donnait beaucoup de plaisir un peu de douleur mais c'était tellement bon. Je me laissait aller et mon torse retombait contre le banc, je me retrouvais presque plié en deux, les fesses bien offerte et le cul bien rempli. Mes gémissements devenaient une longue plainte, mon corps vibrais, je tremblais et je peux vous garantir qu'avec la température ce n'était pas de froid.

C'était de plaisir, un plaisir qui envahissait tout mon corps. Il me tirait vers lui quand il s'enfonçait en moi et me repoussait quand il se retirait, ma cage de chasteté se balançait et à chaque mouvement frappait contre le dossier du banc et rythmait les saccades des coups de bites que je me prenais dans le cul. Je me cramponnais.

Quand ses mouvements devenaient irréguliers, je sentais son souffle qui lui aussi devenait plus fort, et également irréguliers. Il râlait mais aussi de plaisir, dans mon oreille, de plus en plus fort dans mon oreille et finissait par hurler de plaisir au moment ou il jouissait dans mon cul. Il poussait alors contre mon cul de toutes ses forces. J'encaissais sans me plaindre, j'avais pas envie de me plaindre, au contraire, je prenais beaucoup de plaisir.

Je prenais vraiment beaucoup de plaisir et je n'avais pas le temps de souffler ou d'en redemander, le premier personnage qui était resté à côté de nous et qui me caressait pendant tout ce temps prenait la place et sans prévenir m'enfonçait sa queue bien à fond. D'une certaine manière il reprenait là ou l'autre s'était arrêté.

Il mettait de la vigueur, de nouveau ma cage de chasteté battait le rythme contre le dossier du banc de bois, il était un peu plus violent que le premier et je ne sentais pas seulement son ventre frapper contre mes fesses, on l'entendait aussi … Je me détendais complètement, mes bras devenaient tout mous, je ne parvenais plus à me retenir. Il me secouait rapidement, fermement, ne me laissait aucune chance de me dégager mais je n'essayais même pas. Mes jambes tremblaient, je ne tenais plus debout. C'est lui qui me retenait. Je ne tenais debout que grâce à lui. L'autre était parti. J'avais du mal à déterminer lequel des deux avait la plus grosse … Ils étaient très bien montés tous les deux. En tout cas mieux que moi, je ne sais pas si j'avais la taille pour rejoindre l'autre club, mais je savais qu'à côté d'eux je n'étais pas de taille …
Ma queue voulait démolir ma cage et poussait de toutes ses forces, mon cul se dilatait comme jamais, c'est toujours ce qu'on dit à ce moment, mon cœur battait si fort que mes cotes allaient se briser de l'intérieur. Le plaisir envahissait mon torse, mon cœur, mes poumons … Je manquais d'air, mes jambes me lâchaient, je me laissais tomber juste derrière le banc et me retournais pour voir ou en était mon partenaire.

C'est juste à ce moment que je recevais une grosse giclée de sperme sur la figure. Ça le faisait rire. Il me donnait une caresse sur la joue, un baiser et repartait dans le jardin … Il y avait plusieurs silhouettes qui s’attroupaient autour de nous, certaines étaient des porteurs, d'autres bandaient.

Je ne bougeais plus pendant un moment, je restais assis là ou j'étais. Plusieurs me proposaient leur queue à sucer ou plus je suppose mais je leur faisait signe que pour moi, c'était bon. Ils n'insistaient pas et passaient leur chemin. Je regardais ces mouvements, ces passages, j'admirais ces grosses queue bien droites, bien grasses qui tournaient autour de moi. C'était beau à regarder, il n'y avait que du gros calibre.

Un peu plus tard je retrouvais Titi.

Titi : C'est de toi qu'on parle dans le coin ?
Moi : De moi, mais pourquoi voudrais-tu qu'on parle de moi ?
Titi : On parle d'un mec bien chaud … Moi : Donc tu as pensé à moi …
Titi rigolait … Quelqu'un lui avait tout raconté ou bien il avait tout vu …
Le lendemain tout était redevenu à la normale. Dans l'après midi le barman, Joey avait repris son travail au bar … J'allais y demander un de ces cocktail dont il a le secret, un grand sourire de sa part me confirmait qu'il se souvenait de moi, il faisait sombre mais il m'avait parfaitement reconnu. Quand il me servait mon verre à ma table …
Moi : ( en regardant son dispositif ) Pas trop à l'étroit ?
Joey : Au repos je taille petit !
Moi : Mais en action tu tailles très grand …Joey : Comme vous avez pu le remarquer !

J'admirais son corps pendant un long moment dans l'après midi … Je me posais beaucoup de questions sur l’endroit ou je m'étais retrouvé. C'est quoi ce club, y a-t-il un rapport entre le Château et le Club ?

J'avais entendu parler de diverses communautés qui s'étaient construite sur la base du port d'un dispositif de chasteté. La morale se transformait peu à peu, le port d'un tel dispositif était LA preuve et on pourrait même dire LA définition de la moralité !

Il faudra que je me renseigne lors de mon prochain passage au Château. Justement j'y vais aussitôt après mon séjour ici.

Les deux semaines qui suivaient je me contentait de me détendre, je faisais une descente dans le jardin des délices tous les deux jours en moyenne et je ne vous cacherais pas que je profitais de l'endroit. J'en profitais autant le jour que la nuit. Ici on pouvait se régaler, il n'y avait que des grosse bite, ça me changeait de mon quotidien. Dans mon quotidien il y avait surtout des bites en cages, ça oui, il y en avait tous mes camarades de fac, mon majordome, mon frère, mon colocataire Antoine … Bref, tous mes proches, oui, tous mes proches portent un tel dispositif. Dans la journée ici c'est un peu pareil mais dans la nuit les rencontres sont plus chaudes, plus viriles …
Deux semaines plus tard, quand je quittais le club j'avais presque du regret. Je serais bien resté plus longtemps moi, c'était l'éclate, la détente dans la journée et l'éclate dans la nuit. Ça c'était des vacances comme je les aime. Loin de mon frère, c'est pas que je ne l'aime pas, en fait je l'adore mais il y a des fois il me fatigue. Et puis ça ne devrait plus durer très longtemps, dans un ou deux jours je le retrouve, il devrait passer au Château avec Bob. Antoine y sera probablement aussi … On verra bien !

Je prenais la route, tôt le matin mais j'étais loin, il y avait des kilomètres à faire et le soir je n'était pas encore arrivé. Je décidais donc de passer la nuit dans un hôtel.

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