LES AVENTURES DE DJE Ep 90 : VACANCES AVEC LIAM
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LES AVENTURES DE DJE Ep 90 : VACANCES AVEC LIAM
LES AVENTURES DE DJEEp 90 : VACANCES AVEC LIAM
On a trouvé des plages ou les porteur de dispositifs PK avaient le droit de de ne rien porter d'autre. C'étaient pas des plages naturistes mais quelque part ça y ressemblait. Il y avait aussi des plages naturistes ou le port d'un tel dispositif semblait mal vu …
La morale changeait et avec elle la vision que la société porte envers la nudité, un peu comme avec la sexualité, ça devenait bizarre tout ça. Si on avait le choix on choisissait les premières plages. Dans les secondes on se sentait obligés de garder un maillot de bain … C'était ridicule !
C'est un tout autre plaisir que Liam et moi découvrions chaque jour. Nous n'avions pas de jouets, pas de gigoteur non plus, j'ai bien penser faire des courses mais Liam ne réclamait pas.
Au niveau de la bite, au niveau du cul c'était l'abstinence totale. On se suçait bien les couilles, souvent le soir dans le lit. On se massait l'un l'autre les couilles un peu, quelquefois, souvent, enfin quand on le pouvait … Aucun d'entre nous deux n'a glissé un doigt dans le cul de l'autre, pas de massage de la prostate, pourtant on a pris du plaisir, on s'en est donné.
Ce n'étaient que des caresses et des baisers, des caresses à n'en plus finir, une douceur sans fin, son torse contre mon torse, une caresse contre une caresse, un baiser contre un baiser. Des étreintes, et pour finir, le plaisir infini de se toucher, juste de se toucher.
A plusieurs reprises, on parvenait même à éjaculer, les caresses sur les testicules n'y étaient pas étrangères. Et puis il y avait aussi une certaine frustration, un manque délicieux. Je l'avais déjà connu ce manque, cette frustration mai à cette époque j'étais seul, là je partageais sans aucune restriction une tendresse avec un garçon que j'aimais.
Bob semblait lui aussi apprécier ses vacances, il gardait toujours le sourire et une humeur réjouie. Le mois passait vite, on n'a même pas parlé de retirer notre dispositif, on n'a pas abordé le sujet une seule fois.
Un matin, au petit déjeuner sur la terrasse de notre chambre double, Bob en avait une simple. Nous partagions toujours nos repas, tous nos repas …
Bob : J'ai eu des nouvelles de Luc !
Moi : C'est vrai ça il ne m'a pas appelé une seule fois !
Bob : Il travaille et je crois qu'il nous avait un peu oublié !
Moi : Et il dit quoi mon petit frère !
Bob : Il voulait savoir si nous avions prévu de passer par le château pour le retour.
Moi : J'allais vous le proposer.
Bob : Il y est déjà !
Liam : Le Château ?
On lui avait déjà raconté … On lui racontait encore. Ça nous a pris une partie de la matinée pourtant on avait choisi la version courte ! Après ça je vous garantis qu'il voulait y aller aussi. Bob se chargeait de rappeler Luc pour qu'il avertisse de notre arrivée. Et deux jours plus tard on prenait la route. On était à l'autre bout du pays et comme nous avions décidé de faire la route en une seule fois, on partait très tôt et on se relayait. Pour midi Bob arrêtait la voiture sur le parking d'un restaurant.
J'ouvrais un œil, '' Je vois que tu as fini par prendre les habitudes de Luc toi ! ''. Il me regardait semblant ne pas comprendre … '' C'est un trois étoiles que tu as choisi ! ''.
Bob : Oh, je n'avais même pas fait attention !
Moi : C'est exactement ce que m'aurait répondu mon frère !
On s'offrait un repas réconfortant, c'est moi qui invitais. Une petite pause après le repas et c'est Liam qui prenait ensuite le volant. Ce jour là on n'a fait que de l'autoroute, on voulait être arrivé le soir même. C'est moi qui était au volant quant on arrivait.
Bob donnait un coup de téléphone peu avant. Liam n'en revenait pas en voyant la lourde grille de fer s'ouvrir seule devant la voiture, personne ne vérifiait rien, personne ne contrôlait la voiture. J'avançais jusqu'à la porte du château. Des employés venaient nous accueillir, Antoine était là. Il nous faisait l’accolade.
Antoine : Il est tard, on sort de table, on a prévu de vous servir le souper dans votre chambre si vous le souhaitez, mais si vous préférez la salle à manger … Bob : Et Luc ? Il n'est pas là Luc ?
Antoine : Luc, il est intenable en ce moment. Il travaille tous les jours. On a tout essayé mais il n'y a pas moyen de le décoller de son ordinateur.
Justement Luc arrivait. Il me faisait la bise, à Liam aussi …
Bob : Et moi alors ? Tu sais que tu m'as manqué aussi …Luc : Toi je ne te parles plus lâcheur …
Quelques secondes plus tard ils étaient dans les bras l'un de l'autre. Liam ouvrait des yeux tout rond. Pour lui tout était nouveau, il avait entendu parler du fameux ' Château ', on le lui avait décrit. L'architecture, le fameux groupe de vacances ( pour ceux qui ne connaîtraient pas le groupe de vacances, je rappelle que c'est le point de départ de cette histoire ), les lieux de détente.
Heureusement qu'il commençait s'habituer à la présence d'un majordome car il y en avait plusieurs qui entouraient la voiture pour prendre les bagages, les clés pour aller garer la voiture. Même la présence de son professeur de philosophie, Greg, ne le surprenait plus.
Il suivait le mouvement, la maison l'impressionnait on ne pouvait pas en douter, il regardait partout. Un secrétaire arrivait.
Le secrétaire : Monsieur … Liam … Je suppose. Monsieur Le Conte aimerait s'entretenir avec vous dès que possible, et comme il doit s'absenter demain de très bonne heure, si vous n'êtes pas trop fatigué par votre voyage, il aimerait vous recevoir tout de suite.
Luc : Oh là là ! Mon pauvre ! Là je ne voudrais pas être à ta place !
Moi : Mais vas-tu te taire espèce de grosse bourrique. Ne l'inquiète pas. Liam c'est juste une formalité, et Mr Le Conte est un homme adorable !
Bob : N'écoute pas Luc c'est une bourrique, il rigolait quand il est sorti du bureau lui.
On est jeune, et ce n'est pas quelques kilomètres qui allaient nous fatiguer, Liam suivait le secrétaire, nous on montait dans notre chambre. Je n'étais pas vraiment surpris de me trouver dans une chambre avec un grand lit et d'y trouver les bagages de Liam et les miens. Bob lui trouvait ses bagages dans la chambre destinée à Luc.
Il n'y avait presque personne dans le château, enfin je veux dire qu'il n'y avait pas plus de personnes qu'en temps normal. Les commerciaux qui étaient formés ici avaient disparus.
Moi : Dis moi Greg, il n'y a plus de stagiaires, vous ne formez plus de commerciaux pour les bureaux de la PK ?
Greg : Oh que si mais on les reçoit dans des bureaux administratifs, à environ un kilomètre d'ici. Tu sais que tous les bâtiments qui suivent sur la route sur deux kilomètres sont des locaux qui appartiennent à la PK .
Moi : Je ne m'étais jamais vraiment posé la question mais je me doutais qu'il y avait quelques chose comme ça.
Greg nous accompagnait Bob et moi à la salle à manger, on nous avait réservé un petit coin. Greg, Luc et Antoine avaient déjà soupé mais ils s'installaient avec nous, histoire de discuter et de prendre des nouvelles.
On ne nous faisait pas attendre bien longtemps, mais le serveur servait les trois repas en même temps …
Moi : On pourrait peut être attendre Liam ?
Je n'avais pas terminé ma phrase qu'il arrivait, il avait le sourire, tout s'était bien passé.
Luc : Tu en a bavé non ? Il t'a dit quoi ? Il a fait quoi ? Il a pas été trop dur avec toi ?
Greg : Mais tu as fini toi, tu veux faire passer mon oncle pour un ogre ou quoi ?
Liam : Ton oncle ?
Moi : Eh oui, notre ami Greg est le neveux de notre hôte.
Bob : Vas y raconte.
Liam : Tout d'abord il s'est excuser de me recevoir ainsi, avant de me laisser passer à table, mais il devait s'absenter … Ensuite il s'est montré charmant, il savait tout de moi …Bob : Oui ça, il fait le coup à tout le monde !
Liam : Il m'a demandé quels étaient mes projets, comment je m'entendais avec Djé, il a dit Jérémy et j'ai pas compris tout de suite … Ensuite on a parlé un peu puis il m'a souhaité bon appétit … Voilà ...
Pour ce repas décalé on ne nous demandait pas de nous changer. Ici on s'habille toujours pour passer à table, mais pas ce soir, pour nous en tous cas.
On se retrouvait dans nos chambres. Liam n'en revenait pas le château paraissait magique à ses yeux. On restait allongé sur le lit un bon moment, la nuit était tombée quand je me relevait.
Moi : Je crois que c'est le moment !
Liam me regardait sans comprendre. Je lui faisais signe de me suivre. On prenait le couloir en direction des escaliers, je montais au grenier, il me suivait.
Liam : On va ou comme ça ?
Moi : Tu vas voir ! La PK est pleine de contradictions, tu vas voir.
Arrivé au grenier on prenait le couloir, au bout la porte était fermée mais on voyait un filet de lumière sous la porte. J'ouvrais doucement sans faire de bruit, je reconnaissais aussitôt la voix de mon frère et celle de Bob.
Je suppose que vous avez compris ou je voulais en venir. Liam, lui, n'a compris que quand il a vu ce qu'il y avait dans les cartons. J'entrais en criant très fort.
Moi : Plus personne ne bouge, ils sont là je les ai repéré.
Luc n'était pas impressionné mais pas impressionné du tout mais Bob hurlait de surprise et jetais en l'air gode qu'il avait dans la main. C'est Liam qui l'a rattrapé, sans savoir ce que c'était au départ.
Liam : Ah ouai je vois mieux là, je vois mieux !
Bob : Mais ça va pas Jérémy ! Tu veux me tuer ou quoi ?
Moi je rigolais mais j'étais le seul, Luc me regardais en faisant la moue, '' C'est malin tu es content de ton effet ? ''. Bob m'avait engueulé, et Liam regardait avec un petit sourire amusé ce qui lui était tombé dans les mains. On faisait notre choix, comme vous le savez il y en avait pour tous les goûts. Des gros, des moins gros, longs, courts …
On revenait vers notre chambre avec chacun un jouet dans les mains. J'avais laissé Liam choisir celui qu'il voulait pour lui, je m'en était choisi un de belle taille et deux harnais.
Depuis plus d'un mois Liam et moi avions surtout marché aux câlins, il était temps de partager d'autres plaisirs. Je lui sautais dessus, le renversais sur le lit et lui retirais tous ses vêtements. Quelques minutes plus tard on était à poil tous les deux.
C'était câlin, caresses, baisers. C'était une sorte de combat dans lequel aucun de nous ne tentait de faire du mal à l'autre mais tentait de lui fixer un harnais alors que l'autre résistait. On finissait par y arriver je prenais alors le gode qu'il s'était choisi pour lui, il en faisait de même avec le mien.
Je ne me doutais pas à quel point il était en manque mon petit Liam. Il était allongé sur le dos, il relevais et écartait les jambes et me regardait avec un air triste. Frénétiquement je m'allongeais sur lui, positionnait le gode bien lubrifié et en même temps que je l'embrassais avec passion lui enfonçais le gode dans le cul.
C'est un long gémissement qui lui échappait par le nez. C'était amusant mes lèvres étaient collées aux siennes, il ne restait plus que cette solution. J'y allais doucement, ce n'était pas la première fois que je le pratiquait le petit Liam, vous vous en doutez mais, depuis plus d'un mois oui, c'était la première fois.
Quand il laissait retombé sa tête en arrière, il gémissait de plaisir, il fermait les yeux. Je le sentais vibrer. Ses mains se refermaient fermement sur mes bras. Il se cramponnait à moi, refermait ses jambes dans mon dos et me tirait vers lui. Il aime bien la position de passif sexuel Liam, je ne suis pas le seul.
Mon ventre touchait ses fesses, un sanglot lui échappait. Je me retirais, son souffle devait plus fort. Je revenais, il gémissait. J'accélérais le mouvement il tremblait, et en redemandait.
En temps normal on ne se livre pas à cette gymnastique à chaque fois qu'on est ensemble mais là, ça faisait plus d'un mois. Je continuais mes mouvements, je le regardais dans les yeux et je voyais son visage se transformer, je voyais le plaisir naître sur son visage, je voyais le désir monter toujours plus dans ses yeux. Il se cramponnait à moi.
Son souffle était irrégulier, ses gémissements aussi, il râlait de plaisir, il semblait ne plus contrôler ses gestes. Je sentais ses jambes que se resserraient dans mon dos ou qui lâchaient tout. Suivaient quelques convulsions puis un long gémissement comme une plainte, il jutais et de toutes évidences il jouissait aussi.
Je continuais mes mouvements, toujours aussi rapides, toujours aussi violents, aussi amples et son corps se cambrait, se raidissait, il ne contrôlait plus rien. Je ne me calmais que quand il me criait .. ;
Liam : Arrête ! Arrête tout, j'en peux plus.
Là je ne bougeais plus, il continuait à trembler dans mes bras. Je me retirais lentement il continuait à convulser à chaque mouvement du gode dans son cul mais au moment ou je me retirais totalement je sentais tout son corps se relâcher, se détendre. Ses bras tombaient à côté de lui, il était tout mou. Il respirait fort. Je retirais le gode et le harnais et m'allongeait à côté de lui.
Il lui fallait un moment pour retrouver son souffle.
Liam : Ça te dérange si on en restait là pour ce soir Djé ?
Vous auriez dit quoi vous à ma place ? J'étais en manque, j'avais dans mes bras le garçon que j'aimais, nous étions dans un décor de rêve dans un lit très confortable. Personne ne viendrait nous déranger et depuis un mois j'avais espéré que …
Moi : Repose toi mon doudou !
Et je l'embrassais tendrement sur les lèvres. Je lui retirais son harnais, je le bordais et m'allongeais à côté de lui. La chaleur de sa peau, l'endroit, le confort du lit provoquait chez moi un manque particulier fort …
J'ai pas vraiment bien dormi cette nuit là !
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
On a trouvé des plages ou les porteur de dispositifs PK avaient le droit de de ne rien porter d'autre. C'étaient pas des plages naturistes mais quelque part ça y ressemblait. Il y avait aussi des plages naturistes ou le port d'un tel dispositif semblait mal vu …
La morale changeait et avec elle la vision que la société porte envers la nudité, un peu comme avec la sexualité, ça devenait bizarre tout ça. Si on avait le choix on choisissait les premières plages. Dans les secondes on se sentait obligés de garder un maillot de bain … C'était ridicule !
C'est un tout autre plaisir que Liam et moi découvrions chaque jour. Nous n'avions pas de jouets, pas de gigoteur non plus, j'ai bien penser faire des courses mais Liam ne réclamait pas.
Au niveau de la bite, au niveau du cul c'était l'abstinence totale. On se suçait bien les couilles, souvent le soir dans le lit. On se massait l'un l'autre les couilles un peu, quelquefois, souvent, enfin quand on le pouvait … Aucun d'entre nous deux n'a glissé un doigt dans le cul de l'autre, pas de massage de la prostate, pourtant on a pris du plaisir, on s'en est donné.
Ce n'étaient que des caresses et des baisers, des caresses à n'en plus finir, une douceur sans fin, son torse contre mon torse, une caresse contre une caresse, un baiser contre un baiser. Des étreintes, et pour finir, le plaisir infini de se toucher, juste de se toucher.
A plusieurs reprises, on parvenait même à éjaculer, les caresses sur les testicules n'y étaient pas étrangères. Et puis il y avait aussi une certaine frustration, un manque délicieux. Je l'avais déjà connu ce manque, cette frustration mai à cette époque j'étais seul, là je partageais sans aucune restriction une tendresse avec un garçon que j'aimais.
Bob semblait lui aussi apprécier ses vacances, il gardait toujours le sourire et une humeur réjouie. Le mois passait vite, on n'a même pas parlé de retirer notre dispositif, on n'a pas abordé le sujet une seule fois.
Un matin, au petit déjeuner sur la terrasse de notre chambre double, Bob en avait une simple. Nous partagions toujours nos repas, tous nos repas …
Bob : J'ai eu des nouvelles de Luc !
Moi : C'est vrai ça il ne m'a pas appelé une seule fois !
Bob : Il travaille et je crois qu'il nous avait un peu oublié !
Moi : Et il dit quoi mon petit frère !
Bob : Il voulait savoir si nous avions prévu de passer par le château pour le retour.
Moi : J'allais vous le proposer.
Bob : Il y est déjà !
Liam : Le Château ?
On lui avait déjà raconté … On lui racontait encore. Ça nous a pris une partie de la matinée pourtant on avait choisi la version courte ! Après ça je vous garantis qu'il voulait y aller aussi. Bob se chargeait de rappeler Luc pour qu'il avertisse de notre arrivée. Et deux jours plus tard on prenait la route. On était à l'autre bout du pays et comme nous avions décidé de faire la route en une seule fois, on partait très tôt et on se relayait. Pour midi Bob arrêtait la voiture sur le parking d'un restaurant.
J'ouvrais un œil, '' Je vois que tu as fini par prendre les habitudes de Luc toi ! ''. Il me regardait semblant ne pas comprendre … '' C'est un trois étoiles que tu as choisi ! ''.
Bob : Oh, je n'avais même pas fait attention !
Moi : C'est exactement ce que m'aurait répondu mon frère !
On s'offrait un repas réconfortant, c'est moi qui invitais. Une petite pause après le repas et c'est Liam qui prenait ensuite le volant. Ce jour là on n'a fait que de l'autoroute, on voulait être arrivé le soir même. C'est moi qui était au volant quant on arrivait.
Bob donnait un coup de téléphone peu avant. Liam n'en revenait pas en voyant la lourde grille de fer s'ouvrir seule devant la voiture, personne ne vérifiait rien, personne ne contrôlait la voiture. J'avançais jusqu'à la porte du château. Des employés venaient nous accueillir, Antoine était là. Il nous faisait l’accolade.
Antoine : Il est tard, on sort de table, on a prévu de vous servir le souper dans votre chambre si vous le souhaitez, mais si vous préférez la salle à manger … Bob : Et Luc ? Il n'est pas là Luc ?
Antoine : Luc, il est intenable en ce moment. Il travaille tous les jours. On a tout essayé mais il n'y a pas moyen de le décoller de son ordinateur.
Justement Luc arrivait. Il me faisait la bise, à Liam aussi …
Bob : Et moi alors ? Tu sais que tu m'as manqué aussi …Luc : Toi je ne te parles plus lâcheur …
Quelques secondes plus tard ils étaient dans les bras l'un de l'autre. Liam ouvrait des yeux tout rond. Pour lui tout était nouveau, il avait entendu parler du fameux ' Château ', on le lui avait décrit. L'architecture, le fameux groupe de vacances ( pour ceux qui ne connaîtraient pas le groupe de vacances, je rappelle que c'est le point de départ de cette histoire ), les lieux de détente.
Heureusement qu'il commençait s'habituer à la présence d'un majordome car il y en avait plusieurs qui entouraient la voiture pour prendre les bagages, les clés pour aller garer la voiture. Même la présence de son professeur de philosophie, Greg, ne le surprenait plus.
Il suivait le mouvement, la maison l'impressionnait on ne pouvait pas en douter, il regardait partout. Un secrétaire arrivait.
Le secrétaire : Monsieur … Liam … Je suppose. Monsieur Le Conte aimerait s'entretenir avec vous dès que possible, et comme il doit s'absenter demain de très bonne heure, si vous n'êtes pas trop fatigué par votre voyage, il aimerait vous recevoir tout de suite.
Luc : Oh là là ! Mon pauvre ! Là je ne voudrais pas être à ta place !
Moi : Mais vas-tu te taire espèce de grosse bourrique. Ne l'inquiète pas. Liam c'est juste une formalité, et Mr Le Conte est un homme adorable !
Bob : N'écoute pas Luc c'est une bourrique, il rigolait quand il est sorti du bureau lui.
On est jeune, et ce n'est pas quelques kilomètres qui allaient nous fatiguer, Liam suivait le secrétaire, nous on montait dans notre chambre. Je n'étais pas vraiment surpris de me trouver dans une chambre avec un grand lit et d'y trouver les bagages de Liam et les miens. Bob lui trouvait ses bagages dans la chambre destinée à Luc.
Il n'y avait presque personne dans le château, enfin je veux dire qu'il n'y avait pas plus de personnes qu'en temps normal. Les commerciaux qui étaient formés ici avaient disparus.
Moi : Dis moi Greg, il n'y a plus de stagiaires, vous ne formez plus de commerciaux pour les bureaux de la PK ?
Greg : Oh que si mais on les reçoit dans des bureaux administratifs, à environ un kilomètre d'ici. Tu sais que tous les bâtiments qui suivent sur la route sur deux kilomètres sont des locaux qui appartiennent à la PK .
Moi : Je ne m'étais jamais vraiment posé la question mais je me doutais qu'il y avait quelques chose comme ça.
Greg nous accompagnait Bob et moi à la salle à manger, on nous avait réservé un petit coin. Greg, Luc et Antoine avaient déjà soupé mais ils s'installaient avec nous, histoire de discuter et de prendre des nouvelles.
On ne nous faisait pas attendre bien longtemps, mais le serveur servait les trois repas en même temps …
Moi : On pourrait peut être attendre Liam ?
Je n'avais pas terminé ma phrase qu'il arrivait, il avait le sourire, tout s'était bien passé.
Luc : Tu en a bavé non ? Il t'a dit quoi ? Il a fait quoi ? Il a pas été trop dur avec toi ?
Greg : Mais tu as fini toi, tu veux faire passer mon oncle pour un ogre ou quoi ?
Liam : Ton oncle ?
Moi : Eh oui, notre ami Greg est le neveux de notre hôte.
Bob : Vas y raconte.
Liam : Tout d'abord il s'est excuser de me recevoir ainsi, avant de me laisser passer à table, mais il devait s'absenter … Ensuite il s'est montré charmant, il savait tout de moi …Bob : Oui ça, il fait le coup à tout le monde !
Liam : Il m'a demandé quels étaient mes projets, comment je m'entendais avec Djé, il a dit Jérémy et j'ai pas compris tout de suite … Ensuite on a parlé un peu puis il m'a souhaité bon appétit … Voilà ...
Pour ce repas décalé on ne nous demandait pas de nous changer. Ici on s'habille toujours pour passer à table, mais pas ce soir, pour nous en tous cas.
On se retrouvait dans nos chambres. Liam n'en revenait pas le château paraissait magique à ses yeux. On restait allongé sur le lit un bon moment, la nuit était tombée quand je me relevait.
Moi : Je crois que c'est le moment !
Liam me regardait sans comprendre. Je lui faisais signe de me suivre. On prenait le couloir en direction des escaliers, je montais au grenier, il me suivait.
Liam : On va ou comme ça ?
Moi : Tu vas voir ! La PK est pleine de contradictions, tu vas voir.
Arrivé au grenier on prenait le couloir, au bout la porte était fermée mais on voyait un filet de lumière sous la porte. J'ouvrais doucement sans faire de bruit, je reconnaissais aussitôt la voix de mon frère et celle de Bob.
Je suppose que vous avez compris ou je voulais en venir. Liam, lui, n'a compris que quand il a vu ce qu'il y avait dans les cartons. J'entrais en criant très fort.
Moi : Plus personne ne bouge, ils sont là je les ai repéré.
Luc n'était pas impressionné mais pas impressionné du tout mais Bob hurlait de surprise et jetais en l'air gode qu'il avait dans la main. C'est Liam qui l'a rattrapé, sans savoir ce que c'était au départ.
Liam : Ah ouai je vois mieux là, je vois mieux !
Bob : Mais ça va pas Jérémy ! Tu veux me tuer ou quoi ?
Moi je rigolais mais j'étais le seul, Luc me regardais en faisant la moue, '' C'est malin tu es content de ton effet ? ''. Bob m'avait engueulé, et Liam regardait avec un petit sourire amusé ce qui lui était tombé dans les mains. On faisait notre choix, comme vous le savez il y en avait pour tous les goûts. Des gros, des moins gros, longs, courts …
On revenait vers notre chambre avec chacun un jouet dans les mains. J'avais laissé Liam choisir celui qu'il voulait pour lui, je m'en était choisi un de belle taille et deux harnais.
Depuis plus d'un mois Liam et moi avions surtout marché aux câlins, il était temps de partager d'autres plaisirs. Je lui sautais dessus, le renversais sur le lit et lui retirais tous ses vêtements. Quelques minutes plus tard on était à poil tous les deux.
C'était câlin, caresses, baisers. C'était une sorte de combat dans lequel aucun de nous ne tentait de faire du mal à l'autre mais tentait de lui fixer un harnais alors que l'autre résistait. On finissait par y arriver je prenais alors le gode qu'il s'était choisi pour lui, il en faisait de même avec le mien.
Je ne me doutais pas à quel point il était en manque mon petit Liam. Il était allongé sur le dos, il relevais et écartait les jambes et me regardait avec un air triste. Frénétiquement je m'allongeais sur lui, positionnait le gode bien lubrifié et en même temps que je l'embrassais avec passion lui enfonçais le gode dans le cul.
C'est un long gémissement qui lui échappait par le nez. C'était amusant mes lèvres étaient collées aux siennes, il ne restait plus que cette solution. J'y allais doucement, ce n'était pas la première fois que je le pratiquait le petit Liam, vous vous en doutez mais, depuis plus d'un mois oui, c'était la première fois.
Quand il laissait retombé sa tête en arrière, il gémissait de plaisir, il fermait les yeux. Je le sentais vibrer. Ses mains se refermaient fermement sur mes bras. Il se cramponnait à moi, refermait ses jambes dans mon dos et me tirait vers lui. Il aime bien la position de passif sexuel Liam, je ne suis pas le seul.
Mon ventre touchait ses fesses, un sanglot lui échappait. Je me retirais, son souffle devait plus fort. Je revenais, il gémissait. J'accélérais le mouvement il tremblait, et en redemandait.
En temps normal on ne se livre pas à cette gymnastique à chaque fois qu'on est ensemble mais là, ça faisait plus d'un mois. Je continuais mes mouvements, je le regardais dans les yeux et je voyais son visage se transformer, je voyais le plaisir naître sur son visage, je voyais le désir monter toujours plus dans ses yeux. Il se cramponnait à moi.
Son souffle était irrégulier, ses gémissements aussi, il râlait de plaisir, il semblait ne plus contrôler ses gestes. Je sentais ses jambes que se resserraient dans mon dos ou qui lâchaient tout. Suivaient quelques convulsions puis un long gémissement comme une plainte, il jutais et de toutes évidences il jouissait aussi.
Je continuais mes mouvements, toujours aussi rapides, toujours aussi violents, aussi amples et son corps se cambrait, se raidissait, il ne contrôlait plus rien. Je ne me calmais que quand il me criait .. ;
Liam : Arrête ! Arrête tout, j'en peux plus.
Là je ne bougeais plus, il continuait à trembler dans mes bras. Je me retirais lentement il continuait à convulser à chaque mouvement du gode dans son cul mais au moment ou je me retirais totalement je sentais tout son corps se relâcher, se détendre. Ses bras tombaient à côté de lui, il était tout mou. Il respirait fort. Je retirais le gode et le harnais et m'allongeait à côté de lui.
Il lui fallait un moment pour retrouver son souffle.
Liam : Ça te dérange si on en restait là pour ce soir Djé ?
Vous auriez dit quoi vous à ma place ? J'étais en manque, j'avais dans mes bras le garçon que j'aimais, nous étions dans un décor de rêve dans un lit très confortable. Personne ne viendrait nous déranger et depuis un mois j'avais espéré que …
Moi : Repose toi mon doudou !
Et je l'embrassais tendrement sur les lèvres. Je lui retirais son harnais, je le bordais et m'allongeais à côté de lui. La chaleur de sa peau, l'endroit, le confort du lit provoquait chez moi un manque particulier fort …
J'ai pas vraiment bien dormi cette nuit là !
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