Les Aventures de Marie - 5
Récit érotique écrit par Zoorg35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les Aventures de Marie - 5
Ce soir la Marie eut beaucoup de mal à trouver le sommeil, elle repassait en boucle dans sa tête les moments de plaisir qu'elle venait de partager avec Eva et s'était même caressée plusieurs fois. Elle culpabilisait également d'avoir permis à Mr Lambert d'avoir pu prendre des photos de toutes les deux en plein ébat. Cela ne la dérangeait pas d'être sa chose, elle y prenait même maintenant beaucoup de plaisir, mais elle s'en voulait d'avoir jeté Eva qui avait été si douce et si gentille dans les bras de Mr Lambert.
Elle se surprit même à deviner ce qu'il pourrait lui faire, elle imaginait Eva en train de faire une fellation à son responsable, elle voyait la langue de sa collègue se promener sur la queue épaisse de Mr Lambert. Elle l'imaginait même se faire sauvagement sodomiser sur la table de réunion, l'énorme pieux de son responsable entrant et sortant de son anus.
Ces visions rallumèrent le feu en elle et elle se caressa une dernière fois. Elle finit par s'endormir, mais c'était un sommeil léger et tourmenté, elle était vraiment partagée entre l'excitation et le remord.
On était le vendredi matin, Marie se demandait comment s'habiller : Benoit rentre ce soir, il va se poser des questions s'il me voit habillée un peu sexy... Et puis zut, après tout il ne va pas se plaindre quand même... Je n'aurai qu'à dire que c'est pour lui.
Ainsi Marie opta pour un boxer blanc en dentelle et le soutien gorge assorti, elle mit une paire de dim-up de couleur claire, une jupe grise qui arrivait au dessus du genou et un chemisier rouge.
Une fois arrivée au travail elle fit, comme tous les matins, la bise à Florence et Eva et alla s'asseoir à son bureau.
Florence : Vous n'avez pas trop galéré hier soir les filles ?
Eva : Non ne t'inquiètes pas, cela a été, on a pas travaillé trop tard.
Marie : Oui, on a pas vu le temps passer.
Pendant toute la matinée, Marie et Eva eurent du mal à se concentrer sur leur travail, et pour cause, elles passèrent leur temps à s'envoyer des mails à propos de leur expérience d'hier soir.
Eva : Alors, remise de tes émotions ?
Marie : Oui, mais j'ai eu beaucoup de mal à m'endormir hier soir.
Eva : Moi aussi, j'étais encore toute excitée.
Marie : C'est pareil, j'avais encore envie de sentir tes mains et ta langue sur mon corps.
Eva : Tu m'as donné tellement de plaisir hier, moi aussi j'avais encore envie de toi.
Marie : Si tu veux, tu pourras passer un soir chez moi la semaine prochaine.
Eva : Ce sera avec plaisir.
Mr Lambert vint interrompre cet échange de mails un peu avant midi : Marie, vous pouvez venir dans mon bureau s'il vous plait.
Marie savait très bien ce qu'il attendait, son responsable allait réclamer son du, mais elle était plutôt contente car cette échange de messages avec Eva l'avait un peu émoustillée.
Marie s'assit de l'autre coté du bureau de Mr Lambert en prenant bien soin de faire frotter ses jambes l'une contre l'autre afin de faire crisser ses bas. Elle avait également fait remonter sa jupe de telle sorte que Mr Lambert ait une vue imprenable sur la lisière de ses bas.
Marie n'écoutait même pas ce que lui disait Mr Lambert, elle passait de temps sa langue autour de ses lèvres, elle croisait et décroisait sans cesse ses jambes, continuant ainsi à faire crisser ses bas, elle grattait également délicatement le fin tissu qui recouvrait son genou. Elle avait envie de le rendre fou afin qu'il se soulage de toute sa frustration et de son excitation dans une partie de baise mémorable.
Mr Lambert excité comme jamais avait du mal à garder son calme et sa concentration, heureusement les deniers employés venaient d'aller déjeuner, ils étaient seuls.
Mr Lambert se leva fit le tour de son bureau, il fit tomber son pantalon en sortit son sexe et le présenta à Marie qui était toujours assise. Elle le prit en bouche immédiatement, offrant la douceur de son palais à ce phallus déjà bandé par le plaisir.
Mr Lambert : Suce moi petite salope, depuis le temps que tu m'excites.
Marie ne répondit pas, trop occupée à déguster la queue qui lui était offerte.
Mr Lambert : Au fait merci pour hier, grâce à toi j'ai des photos très sympathiques, je n'ai plus qu'à m'organiser un tête à tête avec Eva.
Marie : Mfff...
Mr Lambert : Bientôt je vais aussi la baiser cette petite salope, depuis le temps qu'elle m'allume, elle ne va pas être déçue.
Marie : Mfff...
Mr Lambert : Alors elle est bonne sa petite chatte, en tout cas tu avais l'air d'aimer hier.
Marie : Mfff... Oui, elle est bonne sa chatte...
Mr Lambert : Et son cul, il a l'air serré son petit cul.
Marie : Mff... Oui...
Mr Lambert : Elle s'est déjà faite enculer ?
Marie : Mfff... Non, jamais...
Mr Lambert : Génial, elle ne va pas être déçue quand je vais lui mettre dans son petit cul, elle va devenir complètement accro, comme toi.
Marie : Mfff oui... J'aime bien... Mffff... quand tu me la mets dans le cul...
Pendant ce temps là, Marie avait écarté les jambes sur son fauteuil, glissé une main son son boxer et commencé à se caresser. La situation actuelle l'excitait et en plus elle imaginait son responsable en train de baiser sa collègue par tous les orifices, ces visions ne faisaient que décupler son désir.
Puis à un moment Mr Lambert allongea son bras qu'il plongea dans le tiroir de son bureau, il en sortit un préservatif et un petit tube de lubrifiant, il tendit le préservatif à Marie et lui dit : Mets moi ça, vu que tu as l'air d'être une sacrée salope, je préfère prendre mes précautions, on ne sait jamais.
Cette remarque rappela Marie à la réalité, en effet, en quelques jours elle avait laissé plusieurs hommes déverser leurs semences en elle, elle se dit que son responsable avait bien raison et que de son coté, elle prendrait également ses dispositions à l'avenir.
Elle déchira l'emballage du préservatif et le posa sur le gland, elle posa ses lèvres sur le capuchon et commença à faire descendre la fine protection en latex le long de la tige. A chaque fois, ses lèvres faisait descendre le préservatif un peu plus bas, puis une fois que le gland buta au fond de sa gorge, elle utilisa sa main pour dérouler le préservatif jusqu'en bas du sexe nervuré. Elle n'aimait pas trop le gout du latex, elle n'y goutait que quelques fois dans l'année, à chaque fois c'était pour faire plaisir à son mari. Elle lui offrait le temps d'une poignée de minutes une courte fellation mais avec un préservatif.
Elle continua de lécher avidement le sexe pendant quelques minutes, tout en le suçant, elle le fixait droit dans les yeux, avec un regard de chienne en manque de sexe. Au bout d'un moment, Mr Lambert la fit se lever et s'asseoir sur le bord du bureau, il remonta la jupe de Marie et plongea sa tête entre ses compas. Il fit tomber le boxer et commença à lécher le sexe de Marie.
Mr lambert : Mmmm, j'adore ta petite chatte, elle sent si bon.
Marie : Ahhh oui... Lèche le bien mon petit minou...
Mr lambert continuait de laper soigneusement Marie, puis il se saisit du petit tube de lubrifiant, appuya sur la pompe pour en faire sortir une noisette qu'il appliqua sur sa rosette. Son doigt coulissa instantanément et sans aucune difficulté dans son œillet.
Marie : Ahhh... Oui...
Mr Lambert : Mm, ton petit cul me fait vraiment craquer, je crois que je vais encore t'enculer tout de suite.
Marie : Oui, viens me la mettre dans le cul ta grosse bite.
Mr Lambert se releva, déposa du lubrifiant sur le préservatif et posa son gland sur l'anus de Marie qui avala aussitôt l'offrande qui lui était offerte.
Marie : Ahhhhh... Putain c'est bon...
Mr Lambert : Tu aimes vraiment ça te faire défoncer le cul, espèce de petite salope.
Marie : Ahhhhh... Oui, putain c'est trop bon... Ahhhhhh... Continue...
Marie avait également mis deux doigts dans sa sexe qu'elle agitait avec frénésie.
Mr Lambert : Bientôt, elle sera dans celui de ta collègue ma grosse queue, elle a aimé ça quand tu lui as collé deux doigts dans le cul ?
Marie : Hannn... Oui... Han... Elle a aimé.
Mr Lambert continua de pistonner sauvagement Marie, il faisait rentrer la totalité de son sexe dans ses entrailles, Marie haletait sur le bureau, son visage était cramoisi et congestionné par le plaisir.
Mr Lambert avait saisi les jambes de Marie et il avait déposé ses chevilles sur ses épaules, il léchait copieusement les jambes gainées de son assistante.
Mr Lambert : Ah putain tu m'excites trop petite salope, je vais te défoncer le cul
Marie : Hannn ouuuuuiiiiiiiii... Défonce moi le cul...
Marie gémissait de plaisir sous les coups de boutoir que lui assenait son chef : Hannnnnn... Putain... Vas-y... Plus fort...
Mr Lambert redoublait d'efforts et faisant claquer son bassin de plus en plus fort contre les cuisses de Marie : Tiens... Prends ça dans ton cul petite salope... Je vais tellement bien te le baiser que tous les jours tu viendras mendier pour que je te la refourre dans ton petit cul.
Marie : Hannnnn... Oui... Han... Tu pourras me... Han... Baiser tous les jours...
Mr Lambert : Tu vas devenir ma petite pute ... Hein...
Marie : Hannn... Putain c'est trop bon... Hannnnn... Claque moi bien le cul... Han... Avec ta grosse queue.
Mr Lambert sentait qu'il n'allait pas tarder à venir, il sortit du cul de Marie, la fit mettre à genoux, retira d'un seul coup le préservatif et colla sa queue dans sa bouche : Tu vas me sucer pour finir, j'ai envie de te gicler dans la bouche.
Marie sans rechigner, prit la queue dans sa main et commença à la branler énergiquement, elle avait la bouche ouverte, prête à recueillir ce précieux nectar.
Emportée par le frénésie sexuelle qui s'était emparée de son corps, Marie porta sa deuxième main jusqu'à la raie culière de son responsable et commença à caresser son anus.
Cette caresse retentit comme une décharge dans le corps de Mr Lambert, presque aussitôt un premier jet de sperme sortit de son sexe et retomba sur la langue de Marie, puis trois autres jets rejoignirent le premier et finirent leur course dans sa bouche.
Mr Lambert : Ahhhhh putain salope... Vas-y avale tout...
Marie eut un peu de mal à déglutir vu la quantité de sperme qu'il lui avait envoyé, mais elle réussit tant bien que mal à tout avaler. Elle passa même son doigt à la commissure de ses lèvres pour récolter les quelques goutes qui s'y étaient égarées. Elle ne trouva pas le gout si désagréable que ça, c'était certes particulier mais nettement moins pire que ce qu'elle s'était toujours imaginée.
Une fois qu'elle eut tout avalé, Mr Lambert s'adressa à elle : Décidément, tous m'étonnes un peu plus tous les jours, vu que as l'air d'aimer le sperme, tu vas me nettoyer la bite maintenant.
Marie obtempéra et commença à nettoyer soigneusement le sexe avec sa langue, elle se mit à lécher méthodiquement la tige, puis elle enfourna le gland dans sa bouche et aspira les derniers résidus de sperme qui subsistaient ici et là. En quelques minutes, Marie avait effacé toute trace de jouissance de la queue qu'elle tenait en main.
Mr Lambert : Décidément c'est un vrai repère de salopes ici, moi qui pensait que c'était Florence la plus chaude, je me suis bien trompé. Bon , tu peux aller déjeuner, je n'aurai plus besoin de tes services aujourd'hui, tu m'as complètement vidé. Par contre pour lundi, tu me reverras la coupe de ton maillot, je préfère un petit ticket de métro comme Eva, ou tu peux même tout enlever, je te laisse choisir.
Marie : Très bien Monsieur je m'en occuperai ce week-end.
La journée se termina normalement et Marie rentra chez elle. A sa grande surprise, son mari Benoit était déjà rentré, lui aussi fut surpris de la trouver si élégante.
Benoit : Dis donc ma chérie tu en es élégante aujourd'hui, c'est pour moi que tu t'es faite toute belle.
Marie : je te plais habillée comme ça.
Benoit : Un peu oui, ça change...
Elle vint se coller à lui et l'embrasser tendrement, elle commença à se frotter contre la cuisse de son mari. Sentant l'excitation monter, elle lui prit la main et l'entraina dans la chambre. Benoit était complètement déboussolé mais tellement content qu'il suivit bêtement sa femme. Elle jeta son mari sur le lit et vint s'allonger sur lui, elle l'embrassait fiévreusement tout en frottant son entre-jambe contre le sexe de Benoit qu'elle sentit durcir rapidement sous son pantalon. Benoit caressait les cuisses de sa femme et remontait petit à petit. Il fut étonné et agréablement surpris de tomber sur des bas, Marie n'en mettait quasiment jamais. Il passa ensuite sa main sous son boxer et commença à promener sa main entre les fesses pour finalement tomber sur la chatte toute humide de sa femme.
Marie continuait d'embrasser Benoit pendant qu'il caressait tendrement son sexe, elle poussait de petits gémissements encourageant son mari à continuer ses caresses. Au bout d'un moment, Marie se releva et baissa le pantalon le boxer de Benoit, elle alla vers la table de nuit prit un préservatif. Benoit était aux anges, il savait qu'il aurait droit à une petite fellation, à sa grande surprise Marie vint placer sa croupe au dessus de son visage, puis elle dit à son mari : Lèche moi bien pendant que je te suce.
Marie posa le préservatif sur la gland et commença à le faire descendre sur la tige, le sexe de son mari était beaucoup moins long que ceux qu'elle avait côtoyé ernièrement, elle n'eut aucun mal à le descendre totalement. Une fois la fine protection de latex en place, elle se mit à sucer passionnément la queue qu'elle avait entre les mains. Benoit jubilait, jamais sa femme ne l'avait sucé de la sorte, contrairement aux fois précédentes, il sentait qu'elle y prenait du plaisir, il se décidait donc de lui rendre la pareille du mieux possible.
Il avait ôté le boxer et léchait la fente qui était au dessus de son visage, il enfonçait sa langue le plus loin possible dans la chatte de sa femme. Marie poussait maintenant des gémissements réguliers et prononcés : Mfffffff... Mffffffff...
Encouragé par les nouvelles dispositions de sa femme, il commença à masser doucement sa rosette avec son doigt, d'habitude, dès qu'il touchait à cet orifice, Marie le repoussait immédiatement. A son grand étonnement, cette fois elle ne dit rien, cela faisait plusieurs minutes qu'il titillait son œillet, il lui semblait que le bassin de Marie ondulait plus nettement depuis qu'il s'intéressait à son petit trou. Il avait une envie folle de l'enculer mais n'osait pas lui demander de peur qu'elle se braque.
Marie se releva, se mit face à son mari et vint s'empaler d'un seul coup sur son sexe, elle se mit à le chevaucher sauvagement, c'est elle qui avait pris les commandes et qui imprimait le rythme. Benoit subissait le rythme effréné auquel il était soumis par son épouse, il se contentait de caresser ses cuisses mises en valeur par les bas. Sa femme était également beaucoup plus expressive que d'habitude : Ah... oui... C'est bon... Continue...
Marie commençait à ressentir un manque au niveau de son cul, elle avait envie de se faire sodomiser mais elle n'osait pas le demander à Benoit, elle avait peur qu'il se doute de quelque chose face à de tels changements au niveau de son comportement. Mais l'envie de se faire enculer fut la plus forte, elle se leva et se mit à quatre pattes sur le lit, puis elle dit à son mari : Viens me prendre par derrière s'il te plait, si tu veux j'ai acheté du lubrifiant, il est dans la table de nuit.
Benoit se demandait s'il ne rêvait pas, même dans ses rêves les plus fous il n'aurait jamais imaginé une soirée pareilel, il demanda quand même : Tu es sure, tu n'as jamais voulu avant.
Marie : Oui mais ce soir je suis ta chose, j'ai envie que tu me prennes par là.
Benoit appliqua du lubrifiant sur l'anus de Marie et commença à insérer un doigt, à sa grande surprise celui rentra facilement dans le cul de sa femme, il lui dit : Ca va, je ne fais pas mal ?
Marie eut envie de lui crier : Vas y, fourre moi ta queue dans le cul tout de suite, avec celles que j'ai prises dernièrement tu peux me le mettre tout de suite.
Elle lui répondit simplement : Non, ça va... Continue.
Il continua donc ses va-et-vient dans le fondement de sa femme, mais celle-ci ne pouvait plus attendre et lui dit : Hann ...chéri, je n'en peux plus ...... mets là moi tout de suite.
Benoit vint se placer derrière le cul de sa femme et posa sur gland sur son petit trou, il poussa un peu et s'enfonça facilement. Il se retrouva très vite avec la totalité de son sexe dans les entrailles de Marie. Même si la sensation était moins extrême qu'avec les sexes qu'elles avaient connus récemment, elle n'en demeurait pas moins très agréable. Pour augmenter son plaisir, Marie passa la main sous son ventre et se caressa le clitoris.
Benoit lui appréciait étroitesse se ce conduit, mais fut quand même étonné de la facilité avec lequel son membre coulissait dans le cul de sa femme, il se dit en lui même : Elle doit avoir des pré-dispositions pour la sodomie, pour une première fois cela se passe plutôt bien. C'était bien la peine de faire la mijaurée de me faire attendre si longtemps.
Marie quant à elle encourageait son mari : Hannn vas y... Han... Plus fort...
Il se mit à la culbuter de plus en fort, faisant taper ses testicules contre le sexe de sa femme. Elle apprécia ce changement de cadence et lui fit savoir : Hannn... Ouiiiiiii... Hannn... Encore plus fort... Hannn... Défonce moi...
Excité par les paroles crues de sa femme, il fit claquer encore quelques fois son bassin contre les fesses de sa femme et il envoya sa semence au fond du préservatif. Il s'écroula ensuite sur elle, épuisé et vidé par l'appétit sexuel de sa femme.
Cette dernière restait sur sa faim, mais elle allait devoir se contenter de son mari pour ce week-end, et puis elle pensait à Eva qu'elle allait retrouver lundi et qu'elle comptait inviter le soir à la maison. Il y aurait aussi les réunions du midi avec Mr Lambert et surtout à Patrice et Michel qui devaient repasser mardi. Bref elle se disait que la semaine allait être bien remplie, et elle aussi dans doute...
Elle se surprit même à deviner ce qu'il pourrait lui faire, elle imaginait Eva en train de faire une fellation à son responsable, elle voyait la langue de sa collègue se promener sur la queue épaisse de Mr Lambert. Elle l'imaginait même se faire sauvagement sodomiser sur la table de réunion, l'énorme pieux de son responsable entrant et sortant de son anus.
Ces visions rallumèrent le feu en elle et elle se caressa une dernière fois. Elle finit par s'endormir, mais c'était un sommeil léger et tourmenté, elle était vraiment partagée entre l'excitation et le remord.
On était le vendredi matin, Marie se demandait comment s'habiller : Benoit rentre ce soir, il va se poser des questions s'il me voit habillée un peu sexy... Et puis zut, après tout il ne va pas se plaindre quand même... Je n'aurai qu'à dire que c'est pour lui.
Ainsi Marie opta pour un boxer blanc en dentelle et le soutien gorge assorti, elle mit une paire de dim-up de couleur claire, une jupe grise qui arrivait au dessus du genou et un chemisier rouge.
Une fois arrivée au travail elle fit, comme tous les matins, la bise à Florence et Eva et alla s'asseoir à son bureau.
Florence : Vous n'avez pas trop galéré hier soir les filles ?
Eva : Non ne t'inquiètes pas, cela a été, on a pas travaillé trop tard.
Marie : Oui, on a pas vu le temps passer.
Pendant toute la matinée, Marie et Eva eurent du mal à se concentrer sur leur travail, et pour cause, elles passèrent leur temps à s'envoyer des mails à propos de leur expérience d'hier soir.
Eva : Alors, remise de tes émotions ?
Marie : Oui, mais j'ai eu beaucoup de mal à m'endormir hier soir.
Eva : Moi aussi, j'étais encore toute excitée.
Marie : C'est pareil, j'avais encore envie de sentir tes mains et ta langue sur mon corps.
Eva : Tu m'as donné tellement de plaisir hier, moi aussi j'avais encore envie de toi.
Marie : Si tu veux, tu pourras passer un soir chez moi la semaine prochaine.
Eva : Ce sera avec plaisir.
Mr Lambert vint interrompre cet échange de mails un peu avant midi : Marie, vous pouvez venir dans mon bureau s'il vous plait.
Marie savait très bien ce qu'il attendait, son responsable allait réclamer son du, mais elle était plutôt contente car cette échange de messages avec Eva l'avait un peu émoustillée.
Marie s'assit de l'autre coté du bureau de Mr Lambert en prenant bien soin de faire frotter ses jambes l'une contre l'autre afin de faire crisser ses bas. Elle avait également fait remonter sa jupe de telle sorte que Mr Lambert ait une vue imprenable sur la lisière de ses bas.
Marie n'écoutait même pas ce que lui disait Mr Lambert, elle passait de temps sa langue autour de ses lèvres, elle croisait et décroisait sans cesse ses jambes, continuant ainsi à faire crisser ses bas, elle grattait également délicatement le fin tissu qui recouvrait son genou. Elle avait envie de le rendre fou afin qu'il se soulage de toute sa frustration et de son excitation dans une partie de baise mémorable.
Mr Lambert excité comme jamais avait du mal à garder son calme et sa concentration, heureusement les deniers employés venaient d'aller déjeuner, ils étaient seuls.
Mr Lambert se leva fit le tour de son bureau, il fit tomber son pantalon en sortit son sexe et le présenta à Marie qui était toujours assise. Elle le prit en bouche immédiatement, offrant la douceur de son palais à ce phallus déjà bandé par le plaisir.
Mr Lambert : Suce moi petite salope, depuis le temps que tu m'excites.
Marie ne répondit pas, trop occupée à déguster la queue qui lui était offerte.
Mr Lambert : Au fait merci pour hier, grâce à toi j'ai des photos très sympathiques, je n'ai plus qu'à m'organiser un tête à tête avec Eva.
Marie : Mfff...
Mr Lambert : Bientôt je vais aussi la baiser cette petite salope, depuis le temps qu'elle m'allume, elle ne va pas être déçue.
Marie : Mfff...
Mr Lambert : Alors elle est bonne sa petite chatte, en tout cas tu avais l'air d'aimer hier.
Marie : Mfff... Oui, elle est bonne sa chatte...
Mr Lambert : Et son cul, il a l'air serré son petit cul.
Marie : Mff... Oui...
Mr Lambert : Elle s'est déjà faite enculer ?
Marie : Mfff... Non, jamais...
Mr Lambert : Génial, elle ne va pas être déçue quand je vais lui mettre dans son petit cul, elle va devenir complètement accro, comme toi.
Marie : Mfff oui... J'aime bien... Mffff... quand tu me la mets dans le cul...
Pendant ce temps là, Marie avait écarté les jambes sur son fauteuil, glissé une main son son boxer et commencé à se caresser. La situation actuelle l'excitait et en plus elle imaginait son responsable en train de baiser sa collègue par tous les orifices, ces visions ne faisaient que décupler son désir.
Puis à un moment Mr Lambert allongea son bras qu'il plongea dans le tiroir de son bureau, il en sortit un préservatif et un petit tube de lubrifiant, il tendit le préservatif à Marie et lui dit : Mets moi ça, vu que tu as l'air d'être une sacrée salope, je préfère prendre mes précautions, on ne sait jamais.
Cette remarque rappela Marie à la réalité, en effet, en quelques jours elle avait laissé plusieurs hommes déverser leurs semences en elle, elle se dit que son responsable avait bien raison et que de son coté, elle prendrait également ses dispositions à l'avenir.
Elle déchira l'emballage du préservatif et le posa sur le gland, elle posa ses lèvres sur le capuchon et commença à faire descendre la fine protection en latex le long de la tige. A chaque fois, ses lèvres faisait descendre le préservatif un peu plus bas, puis une fois que le gland buta au fond de sa gorge, elle utilisa sa main pour dérouler le préservatif jusqu'en bas du sexe nervuré. Elle n'aimait pas trop le gout du latex, elle n'y goutait que quelques fois dans l'année, à chaque fois c'était pour faire plaisir à son mari. Elle lui offrait le temps d'une poignée de minutes une courte fellation mais avec un préservatif.
Elle continua de lécher avidement le sexe pendant quelques minutes, tout en le suçant, elle le fixait droit dans les yeux, avec un regard de chienne en manque de sexe. Au bout d'un moment, Mr Lambert la fit se lever et s'asseoir sur le bord du bureau, il remonta la jupe de Marie et plongea sa tête entre ses compas. Il fit tomber le boxer et commença à lécher le sexe de Marie.
Mr lambert : Mmmm, j'adore ta petite chatte, elle sent si bon.
Marie : Ahhh oui... Lèche le bien mon petit minou...
Mr lambert continuait de laper soigneusement Marie, puis il se saisit du petit tube de lubrifiant, appuya sur la pompe pour en faire sortir une noisette qu'il appliqua sur sa rosette. Son doigt coulissa instantanément et sans aucune difficulté dans son œillet.
Marie : Ahhh... Oui...
Mr Lambert : Mm, ton petit cul me fait vraiment craquer, je crois que je vais encore t'enculer tout de suite.
Marie : Oui, viens me la mettre dans le cul ta grosse bite.
Mr Lambert se releva, déposa du lubrifiant sur le préservatif et posa son gland sur l'anus de Marie qui avala aussitôt l'offrande qui lui était offerte.
Marie : Ahhhhh... Putain c'est bon...
Mr Lambert : Tu aimes vraiment ça te faire défoncer le cul, espèce de petite salope.
Marie : Ahhhhh... Oui, putain c'est trop bon... Ahhhhhh... Continue...
Marie avait également mis deux doigts dans sa sexe qu'elle agitait avec frénésie.
Mr Lambert : Bientôt, elle sera dans celui de ta collègue ma grosse queue, elle a aimé ça quand tu lui as collé deux doigts dans le cul ?
Marie : Hannn... Oui... Han... Elle a aimé.
Mr Lambert continua de pistonner sauvagement Marie, il faisait rentrer la totalité de son sexe dans ses entrailles, Marie haletait sur le bureau, son visage était cramoisi et congestionné par le plaisir.
Mr Lambert avait saisi les jambes de Marie et il avait déposé ses chevilles sur ses épaules, il léchait copieusement les jambes gainées de son assistante.
Mr Lambert : Ah putain tu m'excites trop petite salope, je vais te défoncer le cul
Marie : Hannn ouuuuuiiiiiiiii... Défonce moi le cul...
Marie gémissait de plaisir sous les coups de boutoir que lui assenait son chef : Hannnnnn... Putain... Vas-y... Plus fort...
Mr Lambert redoublait d'efforts et faisant claquer son bassin de plus en plus fort contre les cuisses de Marie : Tiens... Prends ça dans ton cul petite salope... Je vais tellement bien te le baiser que tous les jours tu viendras mendier pour que je te la refourre dans ton petit cul.
Marie : Hannnnn... Oui... Han... Tu pourras me... Han... Baiser tous les jours...
Mr Lambert : Tu vas devenir ma petite pute ... Hein...
Marie : Hannn... Putain c'est trop bon... Hannnnn... Claque moi bien le cul... Han... Avec ta grosse queue.
Mr Lambert sentait qu'il n'allait pas tarder à venir, il sortit du cul de Marie, la fit mettre à genoux, retira d'un seul coup le préservatif et colla sa queue dans sa bouche : Tu vas me sucer pour finir, j'ai envie de te gicler dans la bouche.
Marie sans rechigner, prit la queue dans sa main et commença à la branler énergiquement, elle avait la bouche ouverte, prête à recueillir ce précieux nectar.
Emportée par le frénésie sexuelle qui s'était emparée de son corps, Marie porta sa deuxième main jusqu'à la raie culière de son responsable et commença à caresser son anus.
Cette caresse retentit comme une décharge dans le corps de Mr Lambert, presque aussitôt un premier jet de sperme sortit de son sexe et retomba sur la langue de Marie, puis trois autres jets rejoignirent le premier et finirent leur course dans sa bouche.
Mr Lambert : Ahhhhh putain salope... Vas-y avale tout...
Marie eut un peu de mal à déglutir vu la quantité de sperme qu'il lui avait envoyé, mais elle réussit tant bien que mal à tout avaler. Elle passa même son doigt à la commissure de ses lèvres pour récolter les quelques goutes qui s'y étaient égarées. Elle ne trouva pas le gout si désagréable que ça, c'était certes particulier mais nettement moins pire que ce qu'elle s'était toujours imaginée.
Une fois qu'elle eut tout avalé, Mr Lambert s'adressa à elle : Décidément, tous m'étonnes un peu plus tous les jours, vu que as l'air d'aimer le sperme, tu vas me nettoyer la bite maintenant.
Marie obtempéra et commença à nettoyer soigneusement le sexe avec sa langue, elle se mit à lécher méthodiquement la tige, puis elle enfourna le gland dans sa bouche et aspira les derniers résidus de sperme qui subsistaient ici et là. En quelques minutes, Marie avait effacé toute trace de jouissance de la queue qu'elle tenait en main.
Mr Lambert : Décidément c'est un vrai repère de salopes ici, moi qui pensait que c'était Florence la plus chaude, je me suis bien trompé. Bon , tu peux aller déjeuner, je n'aurai plus besoin de tes services aujourd'hui, tu m'as complètement vidé. Par contre pour lundi, tu me reverras la coupe de ton maillot, je préfère un petit ticket de métro comme Eva, ou tu peux même tout enlever, je te laisse choisir.
Marie : Très bien Monsieur je m'en occuperai ce week-end.
La journée se termina normalement et Marie rentra chez elle. A sa grande surprise, son mari Benoit était déjà rentré, lui aussi fut surpris de la trouver si élégante.
Benoit : Dis donc ma chérie tu en es élégante aujourd'hui, c'est pour moi que tu t'es faite toute belle.
Marie : je te plais habillée comme ça.
Benoit : Un peu oui, ça change...
Elle vint se coller à lui et l'embrasser tendrement, elle commença à se frotter contre la cuisse de son mari. Sentant l'excitation monter, elle lui prit la main et l'entraina dans la chambre. Benoit était complètement déboussolé mais tellement content qu'il suivit bêtement sa femme. Elle jeta son mari sur le lit et vint s'allonger sur lui, elle l'embrassait fiévreusement tout en frottant son entre-jambe contre le sexe de Benoit qu'elle sentit durcir rapidement sous son pantalon. Benoit caressait les cuisses de sa femme et remontait petit à petit. Il fut étonné et agréablement surpris de tomber sur des bas, Marie n'en mettait quasiment jamais. Il passa ensuite sa main sous son boxer et commença à promener sa main entre les fesses pour finalement tomber sur la chatte toute humide de sa femme.
Marie continuait d'embrasser Benoit pendant qu'il caressait tendrement son sexe, elle poussait de petits gémissements encourageant son mari à continuer ses caresses. Au bout d'un moment, Marie se releva et baissa le pantalon le boxer de Benoit, elle alla vers la table de nuit prit un préservatif. Benoit était aux anges, il savait qu'il aurait droit à une petite fellation, à sa grande surprise Marie vint placer sa croupe au dessus de son visage, puis elle dit à son mari : Lèche moi bien pendant que je te suce.
Marie posa le préservatif sur la gland et commença à le faire descendre sur la tige, le sexe de son mari était beaucoup moins long que ceux qu'elle avait côtoyé ernièrement, elle n'eut aucun mal à le descendre totalement. Une fois la fine protection de latex en place, elle se mit à sucer passionnément la queue qu'elle avait entre les mains. Benoit jubilait, jamais sa femme ne l'avait sucé de la sorte, contrairement aux fois précédentes, il sentait qu'elle y prenait du plaisir, il se décidait donc de lui rendre la pareille du mieux possible.
Il avait ôté le boxer et léchait la fente qui était au dessus de son visage, il enfonçait sa langue le plus loin possible dans la chatte de sa femme. Marie poussait maintenant des gémissements réguliers et prononcés : Mfffffff... Mffffffff...
Encouragé par les nouvelles dispositions de sa femme, il commença à masser doucement sa rosette avec son doigt, d'habitude, dès qu'il touchait à cet orifice, Marie le repoussait immédiatement. A son grand étonnement, cette fois elle ne dit rien, cela faisait plusieurs minutes qu'il titillait son œillet, il lui semblait que le bassin de Marie ondulait plus nettement depuis qu'il s'intéressait à son petit trou. Il avait une envie folle de l'enculer mais n'osait pas lui demander de peur qu'elle se braque.
Marie se releva, se mit face à son mari et vint s'empaler d'un seul coup sur son sexe, elle se mit à le chevaucher sauvagement, c'est elle qui avait pris les commandes et qui imprimait le rythme. Benoit subissait le rythme effréné auquel il était soumis par son épouse, il se contentait de caresser ses cuisses mises en valeur par les bas. Sa femme était également beaucoup plus expressive que d'habitude : Ah... oui... C'est bon... Continue...
Marie commençait à ressentir un manque au niveau de son cul, elle avait envie de se faire sodomiser mais elle n'osait pas le demander à Benoit, elle avait peur qu'il se doute de quelque chose face à de tels changements au niveau de son comportement. Mais l'envie de se faire enculer fut la plus forte, elle se leva et se mit à quatre pattes sur le lit, puis elle dit à son mari : Viens me prendre par derrière s'il te plait, si tu veux j'ai acheté du lubrifiant, il est dans la table de nuit.
Benoit se demandait s'il ne rêvait pas, même dans ses rêves les plus fous il n'aurait jamais imaginé une soirée pareilel, il demanda quand même : Tu es sure, tu n'as jamais voulu avant.
Marie : Oui mais ce soir je suis ta chose, j'ai envie que tu me prennes par là.
Benoit appliqua du lubrifiant sur l'anus de Marie et commença à insérer un doigt, à sa grande surprise celui rentra facilement dans le cul de sa femme, il lui dit : Ca va, je ne fais pas mal ?
Marie eut envie de lui crier : Vas y, fourre moi ta queue dans le cul tout de suite, avec celles que j'ai prises dernièrement tu peux me le mettre tout de suite.
Elle lui répondit simplement : Non, ça va... Continue.
Il continua donc ses va-et-vient dans le fondement de sa femme, mais celle-ci ne pouvait plus attendre et lui dit : Hann ...chéri, je n'en peux plus ...... mets là moi tout de suite.
Benoit vint se placer derrière le cul de sa femme et posa sur gland sur son petit trou, il poussa un peu et s'enfonça facilement. Il se retrouva très vite avec la totalité de son sexe dans les entrailles de Marie. Même si la sensation était moins extrême qu'avec les sexes qu'elles avaient connus récemment, elle n'en demeurait pas moins très agréable. Pour augmenter son plaisir, Marie passa la main sous son ventre et se caressa le clitoris.
Benoit lui appréciait étroitesse se ce conduit, mais fut quand même étonné de la facilité avec lequel son membre coulissait dans le cul de sa femme, il se dit en lui même : Elle doit avoir des pré-dispositions pour la sodomie, pour une première fois cela se passe plutôt bien. C'était bien la peine de faire la mijaurée de me faire attendre si longtemps.
Marie quant à elle encourageait son mari : Hannn vas y... Han... Plus fort...
Il se mit à la culbuter de plus en fort, faisant taper ses testicules contre le sexe de sa femme. Elle apprécia ce changement de cadence et lui fit savoir : Hannn... Ouiiiiiii... Hannn... Encore plus fort... Hannn... Défonce moi...
Excité par les paroles crues de sa femme, il fit claquer encore quelques fois son bassin contre les fesses de sa femme et il envoya sa semence au fond du préservatif. Il s'écroula ensuite sur elle, épuisé et vidé par l'appétit sexuel de sa femme.
Cette dernière restait sur sa faim, mais elle allait devoir se contenter de son mari pour ce week-end, et puis elle pensait à Eva qu'elle allait retrouver lundi et qu'elle comptait inviter le soir à la maison. Il y aurait aussi les réunions du midi avec Mr Lambert et surtout à Patrice et Michel qui devaient repasser mardi. Bref elle se disait que la semaine allait être bien remplie, et elle aussi dans doute...
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Enfin le mari s'en mêle... tant mieux pour lui
bonjour
j'attends impatiemment la suite de ce passionnant recit
j'attends impatiemment la suite de ce passionnant recit
j'aime bien l'evolution de l'histoire
j'espere que les demandes seront différentes pour les deux "soumises" de M. Lambert.
..Et si en fait Benoit était le commanditaire pour "libérer totalement Marie..
j'ai hate de lire la suite
j'espere que les demandes seront différentes pour les deux "soumises" de M. Lambert.
..Et si en fait Benoit était le commanditaire pour "libérer totalement Marie..
j'ai hate de lire la suite
Vos histoires sont très bien écrites et excitantes bravo