les aventures de Martine - Chantage
Récit érotique écrit par PIERRE DAVID [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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les aventures de Martine - Chantage
- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS-
En ce lundi matin, la journée s’annonce calme pour Martine.
Son mari, Pierre, a emmené les enfants au lycée ou ils sont pensionnaires, et il ne rentrera que ce soir, assez tard comme d’habitude.
Après avoir bu un café, elle flâne dans la maison, simplement vêtue d’un léger peignoir en soie, dont elle aime le contact sur sa peau nue.
Soudain la sonnerie de la porte d’entrée retentit.
Martine va ouvrir et se trouve en face d’un inconnu, un grand gaillard aux cheveux gras, la cinquantaine passée, comme le suggère les traits marqués de son visage.
L’homme la fixe de ses petits yeux noirs, la déshabillant littéralement du regard, un sourire vicieux au coin des lèvres.
Le peignoir mal serré laisse entrevoir la naissance d’une poitrine visiblement généreuse, augurant de belles sensations pour ceux qui en obtiendraient la faveur.
L’instant de surprise passé, elle reconnaît immédiatement en lui l’hôtelier qui les avait hébergés lors du week-end en Ardèche.
Sa présence sur le pas de sa porte est totalement incroyable
Elle a beau chercher dans ses souvenirs, rien ne justifie la présence de cet individu chez elle, le trio avait quitté l’établissement en payant ce qu’il devait, ils n’avaient rien oublié, et surtout c’était il y a plusieurs mois
-Qu’est-ce que vous me voulez ? interroge-t-elle, en resserrant la ceinture de son peignoir, gênée par le regard de l’individu.
- Je m’appelle Robert, dit-il, vous vous rappelez de moi ?
- Euh oui… vous êtes hôtelier…c’est ça ?
- Oui, tout à fait. J’ai quelque chose à vous montrer ! dit-il en brandissant un petit boitier en plastique
- De quoi s’agit-il ? demande Martine, c’est quelque chose que nous aurions oubliés ?
- Pas du tout, pas du tout… ! c’est un petit souvenir que je voudrais vous offrir, en échange d’une faveur
- Je ne comprends rien à tout ça. Je vous remercie mais je n’ai besoin de rien ! Dit-elle en tentant de refermer la porte.
-
Mais l’homme l’a bloquée avec son pied, et il insiste, d’un ton soudain plus menaçant.
- Je pense que vous devriez regarder ce que je vous amène et y réfléchir ! c’est un petit film réalisé lors de votre passage à l’hôtel, et vous êtes très photogénique !
-
Martine sent son sang se glacer brutalement en entendant ces mots, le souvenir de cette soirée particulièrement torride revenant brutalement au premier plan.
Comment ce type peut-il être au courant de ça ? pense-t-elle.
- si vous avez un lecteur de dvd nous pouvons regarder quelques images !
Abasourdie par la nouvelle, Martine s’efface pour faire entrer l’individu, puis l’accompagne au salon.
Sans un mot il lui tend le disque de plastique qu’elle insère dans le lecteur et démarre la lecture.
Les premières images, très explicites, la montre exécutant une danse lascive, à demi-nue, entourée de ses deux amis Jacques et Rachid.
On la voit dégrafer son soutien-gorge, sous les applaudissements des garçons, libérant une somptueuse poitrine qu’elle caresse langoureusement en se déhanchant face à la caméra.
Martine se rappelle qu’elle avait dansé face au miroir et comprend qu’il s’agissait d’une glace sans tain, et que l’hôtelier les a filmés à volonté.
Un salaud de voyeur !
- Vous être très belle ! La félicite-t-il d’une voix mielleuse
- Mais comment vous m’avez trouvée ? S’inquiète-t-elle
- Grâce au chèque de caution, ma petite dame.
Elle se rappelle alors qu’elle avait effectivement fait le chèque de caution car jacques n’en avait plus.
- Je serai bien venu plus tôt, mais l’Ardèche ce n’est pas la porte à côté, vous savez, alors j’attendais l’opportunité de me déplacer dans votre région.
- Que voulez-vous ? demande-t-elle, soudainement angoissée par les images qui continuent à défiler.
- Vous avez démontré de belles qualités lors de cette soirée avec vos petits copains, et je crois qu’il n’y avait pas votre mari ! je me trompe ?
-
Elle ne répond pas, l’œil fixé sur l’écran ou elle voit Jacques arriver derrière elle et lui pétrir les seins à pleines mains.
- non bien sûr, il n’était pas là ! poursuit Robert. Il ignore tout de votre aventure, et vous souhaitez certainement qu’il continue de l’ignorer !
- Combien voulez vous pour ce film ? demande Martine, horrifiée par la situation.
- Je ne veux pas d’argent, je veux juste profiter moi aussi de vos belles dispositions !
- Il n’en est pas question ! Sortez d’ici ou j’appelle la police !
- C’est comme vous voulez, répond-il en gagnant lentement la sortie. Mais demain ce film sera dans les mains de votre mari et sur internet, et il ne faudra pas longtemps avant que quelqu’un de votre entourage ne tombe dessus !
La menace a claqué comme un coup de fouet, laissant Martine complètement décontenancée.
Elle imagine déjà son mari en train de découvrir comme elle l’a fait cocu avec deux de ses meilleurs amis, et n’ose pas penser aux conséquences si ses amis ou sa famille venaient à apprendre cela.
Sans bien connaître les possibilités d’internet, elle en pressent néanmoins les dangereuses possibilités, et ne tient pas à ce que cette vidéo soit diffusée librement, accessible à tout un chacun.
L’homme est sur le point de quitter la maison quand elle l’interpelle :
- Attendez…. !
- Oui… ? dit-il avec un sourire en biais.
- Si je fais ce que vous voulez, vous me laissez le dvd, c’est ça ?
- Tout à fait madame, il sera à vous ! Et vous n’entendrez plus parler de moi !
- C’est d’accord… ! dit-elle dans un souffle presque inaudible, la tête basse, blême de rage à l’idée de se laisser toucher par ce gros porc de voyeur.
Sa réponse remplit de joie l’hôtelier qui regagne le salon, et s’installe confortablement sur le divan, visiblement très à l’aise et sûr de lui.
- on va regarder quelques extraits de ta soirée, ma belle, cela va nous échauffer, hein !
Viens t’asseoir prés de moi ! ordonne-t-il d‘un ton très familier.
A l’écran on la voit maintenant debout, se tenant aux barreaux du lit, et ses deux partenaires agenouillés à ses pieds qui lui explorent fébrilement la chatte en la faisant hurler de bonheur.
- Dis donc, c’est chaud…hein ! Ils savent y faire tes potes, il n’y a pas à dire… !
Regardes comme il te doigte… !
Martine se rappelle la jouissance extrême ressentie quand Jacques lui avait presque entièrement introduit sa main dans son vagin.
Elle en tremble encore.
- Tu sais que tu m’as fait sacrément bander ma salope… ! Et tous mes potes avec moi… ! s’esclaffe-t-il bruyamment.
Je leur ai fait voir le film le lendemain, et j’aime autant te dire qu’ils ont apprécié tes prouesses, ça oui… ! On s’est bien branlé ! Fais-moi voir un peu tes nibards !
Tout en parlant il dénoue la ceinture de son peignoir, dénudant l’opulente poitrine qu’il contemple un instant avant de la malaxer de ses doigts épais.
- Whaoo ! C’est de la belle marchandise ça Madame… ! Aussi beau à toucher qu’à voir, hein…! S’exclame-t-il en pressant les mamelons à pleines mains. Et du naturel en plus… !
Martine ne bronche pas, priant le ciel pour qu’il ne soit pas violent et que tout cela finisse au plus vite.
Cachant son dégoût elle laisse l’hôtelier palper sauvagement ses seins nus, les pétrir de ses doigts boudinés, puis descendre le long de son ventre jusqu’à sa chatte qu’elle vient juste d’épiler.
- T’es épilée maintenant ? s’étonne-t-il, un soupçon de regret dans la voix. Dommage j’aimais bien ta petite foufoune bien taillée, c’était plus joli.
Ses doigts fouillent la vulve sans trop de ménagement, frottant lourdement sur les lèvres finement ourlées, et cherchent à la pénétrer, en vain.
Martine est trop sèche, rétractée par l’angoisse de la situation et les méthodes peu délicates de l’individu.
- dis donc, mais tu ne mouilles pas… ce n’est pas normal ça !
- cela va venir, ne vous inquiétez pas ! dit-elle pour le rassurer. Tenez !
Elle lui saisit son index qu’elle porte à sa bouche, le couvre de salive, puis le ramène à l’entrée de sa chatte.
Le doigt s’introduit alors facilement, et elle le sent l’explorer maladroitement, lui faisant presque mal par moment.
Ce type est un vrai goujat, et elle se demande si elle va pouvoir tenir jusqu’au bout.
Mais à l’idée que Pierre puisse découvrir ce qui s’est passé avec Jacques, son meilleur ami, elle se convainc qu’elle n’a pas le choix.
Elle l’a trompé, c’est vrai, pourtant son amour pour son mari n’a pas changé, et elle veut absolument sauvegarder leur couple.
- j’ai vu que les bites ne te font pas peur, hein ?
Fais-moi voir un peu ce que tu sais faire ! dit-il en ouvrant la braguette de son pantalon.
Soucieuse de ne pas le contrarier, Martine s’agenouille docilement devant lui, découvrant la bosse conséquente qui déforme son slip.
Elle tire sur l’élastique pour en dégager une verge épaisse, qui présente déjà une belle érection.
L’engin n’est pas très long mais d’un gros diamètre, et dégage une odeur prenante de vieux sperme pas très agréable.
- Attend ! lui intime Robert.
Il sort de sa poche un petit étui de cuir noir qu’il place à la base de son pénis, et qu’il resserre grâce à lien.
Instantanément le gland, déjà de belle taille, se gonfle très sensiblement, prenant un volume impressionnant et une couleur proche du violet.
- Voilà, régale-toi ma belle… ! Rafraichis Popaul… !
Non sans une certaine réticence Martine se penche sur le membre gonflé qui se dresse entre les cuisses épaisses et velues du maître-chanteur et referme ses lèvres sur le gland violacé.
Il est particulièrement dur, lisse, manifestement gonflé à l’extrême, et il lui emplit si complètement la bouche qu’elle a l’impression de gober un œuf entier.
Pendant qu’elle s’exécute le mieux possible sur la verge tendue, Robert a avancé le film jusqu’à la scène ou elle suce ses deux amis, et a monté le son du téléviseur
Elle peut entendre les râles de plaisir de Jacques tandis qu’elle s’affairait sur lui, démontrant un appétit sans égal.
- Tu entends ma chérie…Ils ont l’air de bien apprécier tes copains… ! Il va falloir faire pareil !
Les larmes aux yeux, désarmée face à la menace représentée par le dvd, Martine rassemble toute son énergie, et entreprend de sucer l’hôtelier le plus intensément possible.
Après tout, plus tôt il jouira, plus tôt son cauchemar cessera, espère-t-elle.
Mettant en œuvre tout son savoir-faire, elle empoigne la verge gonflée et l’enfourne le plus profond possible dans sa gorge, puis remonte, les lèvres serrées autour de la tige qu’elle sent palpiter sous l’afflux du sang.
Elle la lèche du plat de la langue, lentement, de bas en haut, avant de s’enrouler autour du gland, et de l’aspirer avec force.
Sa main libre s’est emparé des bourses, et malaxe les testicules fermes et élastiques, exerçant une traction sur eux, ce qui semble plaire à Robert.
Elle accentue sa pression sur les boules assez grosses qui roulent sous ses doigts, ce qui fait gonfler un peu plus la bite qui lui encombre la bouche.
- Ahhh… C’est bon ça ! Oui…. ! meugle Robert. Tu sais y faire toi… !
Lèche-moi les couilles… ! Tu dois aimer ça, les grosses burnes, hein ?
Martine obtempère en silence, jetant son dévolu sur la volumineuse paire de couilles contenues dans les bourses tout aussi poilues que les cuisses de l’individu.
Tour à tour elle les engloutit, jouant avec leur consistance élastique, n’hésitant pas à les presser fortement contre son palais, pour la plus grande joie de l’hôtelier.
- Ouiii…. Petite salope… ! Ah tu aimes ça…. ! Ton copain maghrébin en a une belle paire aussi ! Tu as du te régaler… !
Martine ne répond pas, la bouche emplie des bourses velues de son triste visiteur, mais elle entend bien les encouragements de Rachid à la télé, quand elle le remerciait à sa façon du plaisir qu’il lui avait donné.
Elle reprend la verge dans sa bouche tout en la branlant avec vigueur, bien décidé à mettre un terme à tout ça.
La bite est devenue extrêmement dure, proche de l’explosion, mais Robert ne semble pas vouloir s’arrêter là.
Il se dégage de la bouche vorace et se relève, entraînant Martine avec lui.
- Doucement ma belle…pas si vite… je n’en ai pas fini avec toi !
- S’il vous plait ! implore-t-elle. J’ai fait ce que vous vouliez… Laissez-moi !
- Ne sois pas si pressée ! j’ai encore des choses à découvrir moi… ! comme ça par exemple… !
A l’aide de la télécommande il revient en arrière sur le film, jusqu’au moment ou on voit Jacques coucher son amie sur une table, jambes écartées et lui lécher la chatte.
- Il a été rapide, je trouve, beaucoup trop rapide ! Allez, dit-il en l’amenant à la cuisine, couche-toi sur la table, comme tu l’as si bien fait à l’hôtel !
- Et enlèves-moi ça… ! dit-il en faisant glisser le peignoir au sol, découvrant ainsi la totale nudité de sa victime, qu’il salue d’un sifflement admiratif.
- T’es quand même bien foutue…. ! j’ai bien fait de venir… !
Gardant le silence, résignée, Martine se couche sur la table, les fesses au bord du plateau, les jambes pendantes dans le vide.
Elle se sait totalement à la merci des désirs pervers de l’individu, furieuse de se sentir aussi soumise, sans pouvoir renverser la situation.
Avant tout elle veut que cela se termine bien, surtout qu’il ne lui fasse pas de mal, et pour cela elle est prête à tout.
L’homme n’a pas l’air menaçant, mais sait-on jamais, s’il venait à s’énerver…
Robert lui relève les cuisses, les tenant bien écartées et se penche sur son bas-ventre, humant les effluves qui émanent de son sexe parfaitement épilé.
- Tu as une belle chatte…! dit-il en passant sa langue sur les grandes lèvres brunes. Et tu sens bon la femme ! J’aime ça… ! Pourquoi tu t’es épilée ?
- C’est mon mari qui me l’a demandé ! Ment-elle. Il trouve que c’est plus joli, plus propre !
- Il n’y connaît rien ! C’est mieux une belle foufoune bien taillée !
Elle sent les doigts de l’homme écarter ses lèvres et le bout de la langue venir la lécher déposant sur les chairs roses une abondante salive qui rend la caresse agréable.
Martine essaie de penser à l’obscénité de la situation, en vain, le glissement de l’organe humide sur son intimité fait naître en elle des sensations qui lui réchauffe le ventre.
La langue explore sa vulve, s’insinue dans les replis de son vagin, dans des caresses de plus en plus jouissives, entrecoupées des grognements de satisfaction de Robert.
- Humm… ! Qu’est-ce que c’est bon de te lécher ! J’aime ça tu sais… !
Elle ne répond pas, luttant contre le plaisir qu’elle sent monter en elle, au fur et à mesure que la langue la fouille plus profondément, glissant par moment vers son petit œillet qu’elle tente de forcer en pressant fortement dessus.
Les yeux fermés Martine se concentre sur ce qui ne lui plait pas du tout chez cet individu, son regard vicieux, ses cheveux gras, l’odeur acre de son pénis, ses jambes velues, et cela semble porter ses fruits.
Mais un éclair de plaisir la traverse brusquement.
Robert vient de dégager son clitoris et le fouette du bout de la langue.
Les ondes de plaisir se succèdent, sans qu’elle puisse y résister, explosant en elle à chaque nouvelle sollicitation de son petit bouton.
- Et ça tu aimes… dis-moi ?
Il accentue ses caresses, exacerbant le délicat bourgeon dont il a bien compris l’exceptionnelle sensibilité.
Il le presse entre ses lèvres, le tiraille, l’aspire, le branle entre deux doigts épais, excité de le voir grossir, jusqu’à prendre la taille d’un petit pois.
- Ca c’est un clito… ! s’exclame-t-il, réellement admiratif du petit organe nacré qui émerge fièrement sur le haut de la vulve. J’en ai rarement vu d’aussi gros !
Il presse de plus en plus fortement le clitoris entre ses doigts, sentant sa fermeté à travers la chair qui le protège, le branle tout en suçant le petit gland lisse, gorgé de désir.
- Mais dis donc… Tu mouilles ma salope….. ! Ah Ah tu aimes ça hein… ?
- Oui…. ! avoue Martine, de façon presque inaudible.
- Je n’ai pas compris… crie Robert. Répond plus fort !
- Oui !
- Oui quoi… ? insiste-t-il
La perversité de l’hôtelier lui embue les yeux de larmes, elle voudrait répondre qu’elle ne ressent rien mais sa chatte trempée prouve le contraire, elle le sait bien.
Elle sent son clito gonflé à bloc, et chaque coup de langue la fait tressaillir, sans pouvoir contrôler quoique que ce soit.
- Oui j’aime ça… ! répond-elle en fermant les yeux de honte.
- Tu aimes que je te suce ton clito, hein… ?
- Oui…oui… j’aime ça !
- Tu aimes quoi ? Allez…dis-le !
Martine est bord des larmes.-
- J’aime qu’on me suce le clito… !
- Non pas ça… tu aimes que je te suce le clito
- J’aime que tu me suces le clito… !
- Eh bien voilà… ! Bon je crois que tu es prête ! dit –il en se redressant.
D’un geste rapide il défait sa ceinture et fait glisser au sol slip et pantalon, arborant fièrement une imposante érection.
La verge comprimée par l’anneau de cuir présente une couleur cramoisie et le gland, énorme, semble sur le point d’éclater.
- Non… s’il vous plait ! proteste faiblement Martine, essayant timidement de l’amadouer. Laissez-moi !
- Je suis sûr que tu vas apprécier ma queue… ! Ne t’en fais pas… ! réplique-t-il, en relevant lui les jambes à la verticale.
Il présente son sexe contre la vulve humide, et d’un puissant coup de rein il s’introduit en elle, indifférent au cri de douleur lâché par Martine.
Le gland congestionné, incroyablement dur, se fraie son chemin en force, plongeant dans l’intimité délicate dont il force les chairs.
Martine a l’impression qu’on lui pousse une boule de billard au fond du vagin tellement la pression est importante, et elle soupire de soulagement quand Robert se retire.
Le répit est de courte durée car aussitôt il la pénètre à nouveau, de la même façon, rapide et brutale, et l’infernale pression la fait crier à nouveau, sans qu’il paraisse s’en soucier le moins du monde.
Il se met à aller et venir en elle, en poussant des grognements de satisfaction, poussant son membre le plus loin possible à chaque pénétration.
- Ahhh… Oui… ! Ah c’est bon… ! tu aimes…dis ?
La douleur s’estompe peu à peu au fur et à mesure que sa chatte s’adapte, et l’hôtelier glisse maintenant facilement en elle.
Incontestablement la bite gonflée remplit son con à merveille, et la fouille avec une si belle vigueur que le trouble s’installe dans l’esprit de Martine.
Elle a du mal à réprimer les sensations qui montent de son ventre, envahissant tout son être, et qu’elle ne voudrait pas ressentir.
Pourtant c’est bien du plaisir qui est en train de naître, au rythme implacable du membre qui la fouille, ponctué par le claquement des couilles de Robert contre ses fesses.
- Putain…c’est vrai que t’es bonne… ! J’adore ta chatte tu sais… !
Viens, tournes-toi ! lui ordonne-t-il en l’aidant à se relever. Ils t’ont prise comme ça aussi, hein ?
Il la fait se coucher le buste contre le plateau de la table, les jambes écartées, la croupe offerte à sa concupiscence.
- quelle belle paire de fesses ! C’est bien dodu ! dit-il en les pétrissant les deux globes charnus exposés devant lui. D’ailleurs tout est bien dodu chez toi…! ajout-t-il en remarquant les seins qui débordent de chaque coté, écrasés par le poids du buste.
A la télé on entend toujours les cris de plaisir des protagonistes qui maintenant sont sur le lit, les deux hommes ayant pris Martine en sandwich et la baisant copieusement.
Avisant un portrait posé sur le meuble de la cuisine, il s’en empare et le montre à Martine.
- c’est ton mari qui pose avec toi ? demande-t-il
- Oui ! répond-elle doucement.
- Comment s’appelle-t-il ?
- Pierre !
- Bonjour Pierre ! rigole Robert en contemplant le portrait ou le couple apparaît main dans la main, au détour d’un sentier forestier. Je suis avec ta petite femme, et je vais la baiser… !
Sous les yeux effarés de Martine il cale le portrait en bout de table, et la prenant par les cheveux lui relève la tête, l’obligeant à regarder l’image de son mari.
- regarde le bien ton homme ma belle, pendant que je te baise… !
Avant qu’elle ait pu répondre quoique que ce soit, l’hôtelier la pénètre à nouveau, et se met à la tringler furieusement, galvanisé par son petit geste pervers.
- Elle est bonne ta femme Pierre.… il n’y a pas de doute… ! rigole-t-il bruyamment.
Tu as vraiment de la chance… ! Mais il ne faut pas être égoïste, hein ! Tu dois partager… ! Et toi je t’ai dit de regarder ton homme… ! Ne ferme pas les yeux, hein !
La tête maintenue relevée par Robert, Martine ne peut faire autrement que d’obéir, car son visage se reflète dans le vitrage du cadre.
Anéantie elle contemple l’image de Pierre qui semble la regarder en souriant, tandis que le pieu de chair la défonce, explosant sa chatte à une cadence infernale.
Elle essaie de se raccrocher à l’amour qu’elle lui porte, à la façon tendre et sensuelle qu’il a de lui faire l’amour, mais la sensation de la grosse bite qui la fouille de fond en comble est de plus en plus jouissive.
Son sexe est totalement détrempé et Robert s’en est rendu compte.
- Ah tu mouilles ma salope… ! Elle te fait du bien ma grosse queue, hein ?
Devant le silence de Martine il insiste, tirant un peu plus fort sur ses cheveux, ce qui l’oblige à se relever, le dos cambré, le buste dégagé du plateau.
- Regarde Pierre… Elle aime ma queue ta femme… ! Et moi j’aime sa chatte… !
Et ses seins… ! Ce n’est pas possible une paire de miches pareille ! S’exclame-t-il en pressant tour à tour les superbes mamelons aux pointes érigées, gorgées de désir.
Regarde-moi ces tétons comme ils sont gros… !
Diablement excité, il redouble d’efforts, enfonçant son membre le plus profondément possible entre les reins de Martine qui se mord les lèvres pour ne pas laisser échapper des cris de plaisir, ce plaisir qui devient incontrôlable.
Les coups de boutoir de l’hôtelier font vibrer tout son corps, l’enivrant d’une jouissance sans égal.
La réalité semble avoir basculé dans un monde ou il n’y a que volupté et désir, chaque fois que le gland monstrueux lui écartèle la chatte elle reçoit une décharge si délectable qu’elle attend la prochaine avec impatience.
Elle s’est maintenant redressée, et creuse son dos pour mieux s’offrir au pieu formidable qui la laboure.
- Qu’est ce que c’est bon de te bourrer… ! tu la sens bien ma queue… ?
- Oui … ! répond-elle, submergée par la jouissance. Oui… c’est bon !
- Je savais que tu l’aimerais… ! tu aimes les grosses bites… !
- Ohhhh….Oui… ! J’aime ça… ! gémit-elle doucement, accrochée à la table qui tremble sous les violents coups de reins de Robert.
Brusquement un jet brûlant jaillit au cœur de son ventre, tandis que l’hôtelier beugle à plein poumon, et elle comprend qu’il vient de jouir en elle, éjaculant sa semence qui fuse abondamment, noyant littéralement son intimité.
Cela a pour effet de déclencher son propre orgasme, auquel elle s’abandonne, la tête rejetée en arrière, les yeux fermés, le corps pris de tremblements irrépressibles.
Ils restent ainsi un long moment, intimement liés l’un à l’autre, chacun savourant à sa manière la jouissance vécue.
Quand Martine rouvre les yeux elle sent toujours la bite de Robert plantée en elle, à peine dégonflée, et ce dernier lui pelote les seins, qui sont durs et gonflés.
En retrouvant devant elle la photo de son couple ou son mari, confiant, lui sourit, elle ne peut réprimer une larme, discrètement essuyée, afin d’éviter tout nouveau commentaire obscène.
L’homme se dégage enfin, visiblement très satisfait de sa prestation, et se rhabille tranquillement.
- Après t’avoir vue à l’œuvre avec tes copains à l’hôtel, j’étais sûr que tu étais un bon coup… ! la félicite-t-il. Mais à ce point, là…chapeau ! Je crois que je vais revenir… !
- Mais vous m’avez promis que cela serait fini si j’obéissais…. ! riposte Martine d’une voix tremblante.
- Je ne savais pas à quel point tu es bonne ! répond-il en fixant les mamelons qui se dressent fièrement, les pointes brunes encore gonflées. Tu peux garder ce dvd, j’en ai plein de copies…. !
L’hôtelier s’en va, sans autre explication, laissant Martine en proie à un affreux sentiment d’échec, de remord de s’être laissée piégée de la sorte.
Toutefois son ventre brûle encore des va et vient du membre ardent de son persécuteur, elle a encore dans sa bouche l’odeur prenante du gland et cela ne lui est plus si horrible que ça.
En ce lundi matin, la journée s’annonce calme pour Martine.
Son mari, Pierre, a emmené les enfants au lycée ou ils sont pensionnaires, et il ne rentrera que ce soir, assez tard comme d’habitude.
Après avoir bu un café, elle flâne dans la maison, simplement vêtue d’un léger peignoir en soie, dont elle aime le contact sur sa peau nue.
Soudain la sonnerie de la porte d’entrée retentit.
Martine va ouvrir et se trouve en face d’un inconnu, un grand gaillard aux cheveux gras, la cinquantaine passée, comme le suggère les traits marqués de son visage.
L’homme la fixe de ses petits yeux noirs, la déshabillant littéralement du regard, un sourire vicieux au coin des lèvres.
Le peignoir mal serré laisse entrevoir la naissance d’une poitrine visiblement généreuse, augurant de belles sensations pour ceux qui en obtiendraient la faveur.
L’instant de surprise passé, elle reconnaît immédiatement en lui l’hôtelier qui les avait hébergés lors du week-end en Ardèche.
Sa présence sur le pas de sa porte est totalement incroyable
Elle a beau chercher dans ses souvenirs, rien ne justifie la présence de cet individu chez elle, le trio avait quitté l’établissement en payant ce qu’il devait, ils n’avaient rien oublié, et surtout c’était il y a plusieurs mois
-Qu’est-ce que vous me voulez ? interroge-t-elle, en resserrant la ceinture de son peignoir, gênée par le regard de l’individu.
- Je m’appelle Robert, dit-il, vous vous rappelez de moi ?
- Euh oui… vous êtes hôtelier…c’est ça ?
- Oui, tout à fait. J’ai quelque chose à vous montrer ! dit-il en brandissant un petit boitier en plastique
- De quoi s’agit-il ? demande Martine, c’est quelque chose que nous aurions oubliés ?
- Pas du tout, pas du tout… ! c’est un petit souvenir que je voudrais vous offrir, en échange d’une faveur
- Je ne comprends rien à tout ça. Je vous remercie mais je n’ai besoin de rien ! Dit-elle en tentant de refermer la porte.
-
Mais l’homme l’a bloquée avec son pied, et il insiste, d’un ton soudain plus menaçant.
- Je pense que vous devriez regarder ce que je vous amène et y réfléchir ! c’est un petit film réalisé lors de votre passage à l’hôtel, et vous êtes très photogénique !
-
Martine sent son sang se glacer brutalement en entendant ces mots, le souvenir de cette soirée particulièrement torride revenant brutalement au premier plan.
Comment ce type peut-il être au courant de ça ? pense-t-elle.
- si vous avez un lecteur de dvd nous pouvons regarder quelques images !
Abasourdie par la nouvelle, Martine s’efface pour faire entrer l’individu, puis l’accompagne au salon.
Sans un mot il lui tend le disque de plastique qu’elle insère dans le lecteur et démarre la lecture.
Les premières images, très explicites, la montre exécutant une danse lascive, à demi-nue, entourée de ses deux amis Jacques et Rachid.
On la voit dégrafer son soutien-gorge, sous les applaudissements des garçons, libérant une somptueuse poitrine qu’elle caresse langoureusement en se déhanchant face à la caméra.
Martine se rappelle qu’elle avait dansé face au miroir et comprend qu’il s’agissait d’une glace sans tain, et que l’hôtelier les a filmés à volonté.
Un salaud de voyeur !
- Vous être très belle ! La félicite-t-il d’une voix mielleuse
- Mais comment vous m’avez trouvée ? S’inquiète-t-elle
- Grâce au chèque de caution, ma petite dame.
Elle se rappelle alors qu’elle avait effectivement fait le chèque de caution car jacques n’en avait plus.
- Je serai bien venu plus tôt, mais l’Ardèche ce n’est pas la porte à côté, vous savez, alors j’attendais l’opportunité de me déplacer dans votre région.
- Que voulez-vous ? demande-t-elle, soudainement angoissée par les images qui continuent à défiler.
- Vous avez démontré de belles qualités lors de cette soirée avec vos petits copains, et je crois qu’il n’y avait pas votre mari ! je me trompe ?
-
Elle ne répond pas, l’œil fixé sur l’écran ou elle voit Jacques arriver derrière elle et lui pétrir les seins à pleines mains.
- non bien sûr, il n’était pas là ! poursuit Robert. Il ignore tout de votre aventure, et vous souhaitez certainement qu’il continue de l’ignorer !
- Combien voulez vous pour ce film ? demande Martine, horrifiée par la situation.
- Je ne veux pas d’argent, je veux juste profiter moi aussi de vos belles dispositions !
- Il n’en est pas question ! Sortez d’ici ou j’appelle la police !
- C’est comme vous voulez, répond-il en gagnant lentement la sortie. Mais demain ce film sera dans les mains de votre mari et sur internet, et il ne faudra pas longtemps avant que quelqu’un de votre entourage ne tombe dessus !
La menace a claqué comme un coup de fouet, laissant Martine complètement décontenancée.
Elle imagine déjà son mari en train de découvrir comme elle l’a fait cocu avec deux de ses meilleurs amis, et n’ose pas penser aux conséquences si ses amis ou sa famille venaient à apprendre cela.
Sans bien connaître les possibilités d’internet, elle en pressent néanmoins les dangereuses possibilités, et ne tient pas à ce que cette vidéo soit diffusée librement, accessible à tout un chacun.
L’homme est sur le point de quitter la maison quand elle l’interpelle :
- Attendez…. !
- Oui… ? dit-il avec un sourire en biais.
- Si je fais ce que vous voulez, vous me laissez le dvd, c’est ça ?
- Tout à fait madame, il sera à vous ! Et vous n’entendrez plus parler de moi !
- C’est d’accord… ! dit-elle dans un souffle presque inaudible, la tête basse, blême de rage à l’idée de se laisser toucher par ce gros porc de voyeur.
Sa réponse remplit de joie l’hôtelier qui regagne le salon, et s’installe confortablement sur le divan, visiblement très à l’aise et sûr de lui.
- on va regarder quelques extraits de ta soirée, ma belle, cela va nous échauffer, hein !
Viens t’asseoir prés de moi ! ordonne-t-il d‘un ton très familier.
A l’écran on la voit maintenant debout, se tenant aux barreaux du lit, et ses deux partenaires agenouillés à ses pieds qui lui explorent fébrilement la chatte en la faisant hurler de bonheur.
- Dis donc, c’est chaud…hein ! Ils savent y faire tes potes, il n’y a pas à dire… !
Regardes comme il te doigte… !
Martine se rappelle la jouissance extrême ressentie quand Jacques lui avait presque entièrement introduit sa main dans son vagin.
Elle en tremble encore.
- Tu sais que tu m’as fait sacrément bander ma salope… ! Et tous mes potes avec moi… ! s’esclaffe-t-il bruyamment.
Je leur ai fait voir le film le lendemain, et j’aime autant te dire qu’ils ont apprécié tes prouesses, ça oui… ! On s’est bien branlé ! Fais-moi voir un peu tes nibards !
Tout en parlant il dénoue la ceinture de son peignoir, dénudant l’opulente poitrine qu’il contemple un instant avant de la malaxer de ses doigts épais.
- Whaoo ! C’est de la belle marchandise ça Madame… ! Aussi beau à toucher qu’à voir, hein…! S’exclame-t-il en pressant les mamelons à pleines mains. Et du naturel en plus… !
Martine ne bronche pas, priant le ciel pour qu’il ne soit pas violent et que tout cela finisse au plus vite.
Cachant son dégoût elle laisse l’hôtelier palper sauvagement ses seins nus, les pétrir de ses doigts boudinés, puis descendre le long de son ventre jusqu’à sa chatte qu’elle vient juste d’épiler.
- T’es épilée maintenant ? s’étonne-t-il, un soupçon de regret dans la voix. Dommage j’aimais bien ta petite foufoune bien taillée, c’était plus joli.
Ses doigts fouillent la vulve sans trop de ménagement, frottant lourdement sur les lèvres finement ourlées, et cherchent à la pénétrer, en vain.
Martine est trop sèche, rétractée par l’angoisse de la situation et les méthodes peu délicates de l’individu.
- dis donc, mais tu ne mouilles pas… ce n’est pas normal ça !
- cela va venir, ne vous inquiétez pas ! dit-elle pour le rassurer. Tenez !
Elle lui saisit son index qu’elle porte à sa bouche, le couvre de salive, puis le ramène à l’entrée de sa chatte.
Le doigt s’introduit alors facilement, et elle le sent l’explorer maladroitement, lui faisant presque mal par moment.
Ce type est un vrai goujat, et elle se demande si elle va pouvoir tenir jusqu’au bout.
Mais à l’idée que Pierre puisse découvrir ce qui s’est passé avec Jacques, son meilleur ami, elle se convainc qu’elle n’a pas le choix.
Elle l’a trompé, c’est vrai, pourtant son amour pour son mari n’a pas changé, et elle veut absolument sauvegarder leur couple.
- j’ai vu que les bites ne te font pas peur, hein ?
Fais-moi voir un peu ce que tu sais faire ! dit-il en ouvrant la braguette de son pantalon.
Soucieuse de ne pas le contrarier, Martine s’agenouille docilement devant lui, découvrant la bosse conséquente qui déforme son slip.
Elle tire sur l’élastique pour en dégager une verge épaisse, qui présente déjà une belle érection.
L’engin n’est pas très long mais d’un gros diamètre, et dégage une odeur prenante de vieux sperme pas très agréable.
- Attend ! lui intime Robert.
Il sort de sa poche un petit étui de cuir noir qu’il place à la base de son pénis, et qu’il resserre grâce à lien.
Instantanément le gland, déjà de belle taille, se gonfle très sensiblement, prenant un volume impressionnant et une couleur proche du violet.
- Voilà, régale-toi ma belle… ! Rafraichis Popaul… !
Non sans une certaine réticence Martine se penche sur le membre gonflé qui se dresse entre les cuisses épaisses et velues du maître-chanteur et referme ses lèvres sur le gland violacé.
Il est particulièrement dur, lisse, manifestement gonflé à l’extrême, et il lui emplit si complètement la bouche qu’elle a l’impression de gober un œuf entier.
Pendant qu’elle s’exécute le mieux possible sur la verge tendue, Robert a avancé le film jusqu’à la scène ou elle suce ses deux amis, et a monté le son du téléviseur
Elle peut entendre les râles de plaisir de Jacques tandis qu’elle s’affairait sur lui, démontrant un appétit sans égal.
- Tu entends ma chérie…Ils ont l’air de bien apprécier tes copains… ! Il va falloir faire pareil !
Les larmes aux yeux, désarmée face à la menace représentée par le dvd, Martine rassemble toute son énergie, et entreprend de sucer l’hôtelier le plus intensément possible.
Après tout, plus tôt il jouira, plus tôt son cauchemar cessera, espère-t-elle.
Mettant en œuvre tout son savoir-faire, elle empoigne la verge gonflée et l’enfourne le plus profond possible dans sa gorge, puis remonte, les lèvres serrées autour de la tige qu’elle sent palpiter sous l’afflux du sang.
Elle la lèche du plat de la langue, lentement, de bas en haut, avant de s’enrouler autour du gland, et de l’aspirer avec force.
Sa main libre s’est emparé des bourses, et malaxe les testicules fermes et élastiques, exerçant une traction sur eux, ce qui semble plaire à Robert.
Elle accentue sa pression sur les boules assez grosses qui roulent sous ses doigts, ce qui fait gonfler un peu plus la bite qui lui encombre la bouche.
- Ahhh… C’est bon ça ! Oui…. ! meugle Robert. Tu sais y faire toi… !
Lèche-moi les couilles… ! Tu dois aimer ça, les grosses burnes, hein ?
Martine obtempère en silence, jetant son dévolu sur la volumineuse paire de couilles contenues dans les bourses tout aussi poilues que les cuisses de l’individu.
Tour à tour elle les engloutit, jouant avec leur consistance élastique, n’hésitant pas à les presser fortement contre son palais, pour la plus grande joie de l’hôtelier.
- Ouiii…. Petite salope… ! Ah tu aimes ça…. ! Ton copain maghrébin en a une belle paire aussi ! Tu as du te régaler… !
Martine ne répond pas, la bouche emplie des bourses velues de son triste visiteur, mais elle entend bien les encouragements de Rachid à la télé, quand elle le remerciait à sa façon du plaisir qu’il lui avait donné.
Elle reprend la verge dans sa bouche tout en la branlant avec vigueur, bien décidé à mettre un terme à tout ça.
La bite est devenue extrêmement dure, proche de l’explosion, mais Robert ne semble pas vouloir s’arrêter là.
Il se dégage de la bouche vorace et se relève, entraînant Martine avec lui.
- Doucement ma belle…pas si vite… je n’en ai pas fini avec toi !
- S’il vous plait ! implore-t-elle. J’ai fait ce que vous vouliez… Laissez-moi !
- Ne sois pas si pressée ! j’ai encore des choses à découvrir moi… ! comme ça par exemple… !
A l’aide de la télécommande il revient en arrière sur le film, jusqu’au moment ou on voit Jacques coucher son amie sur une table, jambes écartées et lui lécher la chatte.
- Il a été rapide, je trouve, beaucoup trop rapide ! Allez, dit-il en l’amenant à la cuisine, couche-toi sur la table, comme tu l’as si bien fait à l’hôtel !
- Et enlèves-moi ça… ! dit-il en faisant glisser le peignoir au sol, découvrant ainsi la totale nudité de sa victime, qu’il salue d’un sifflement admiratif.
- T’es quand même bien foutue…. ! j’ai bien fait de venir… !
Gardant le silence, résignée, Martine se couche sur la table, les fesses au bord du plateau, les jambes pendantes dans le vide.
Elle se sait totalement à la merci des désirs pervers de l’individu, furieuse de se sentir aussi soumise, sans pouvoir renverser la situation.
Avant tout elle veut que cela se termine bien, surtout qu’il ne lui fasse pas de mal, et pour cela elle est prête à tout.
L’homme n’a pas l’air menaçant, mais sait-on jamais, s’il venait à s’énerver…
Robert lui relève les cuisses, les tenant bien écartées et se penche sur son bas-ventre, humant les effluves qui émanent de son sexe parfaitement épilé.
- Tu as une belle chatte…! dit-il en passant sa langue sur les grandes lèvres brunes. Et tu sens bon la femme ! J’aime ça… ! Pourquoi tu t’es épilée ?
- C’est mon mari qui me l’a demandé ! Ment-elle. Il trouve que c’est plus joli, plus propre !
- Il n’y connaît rien ! C’est mieux une belle foufoune bien taillée !
Elle sent les doigts de l’homme écarter ses lèvres et le bout de la langue venir la lécher déposant sur les chairs roses une abondante salive qui rend la caresse agréable.
Martine essaie de penser à l’obscénité de la situation, en vain, le glissement de l’organe humide sur son intimité fait naître en elle des sensations qui lui réchauffe le ventre.
La langue explore sa vulve, s’insinue dans les replis de son vagin, dans des caresses de plus en plus jouissives, entrecoupées des grognements de satisfaction de Robert.
- Humm… ! Qu’est-ce que c’est bon de te lécher ! J’aime ça tu sais… !
Elle ne répond pas, luttant contre le plaisir qu’elle sent monter en elle, au fur et à mesure que la langue la fouille plus profondément, glissant par moment vers son petit œillet qu’elle tente de forcer en pressant fortement dessus.
Les yeux fermés Martine se concentre sur ce qui ne lui plait pas du tout chez cet individu, son regard vicieux, ses cheveux gras, l’odeur acre de son pénis, ses jambes velues, et cela semble porter ses fruits.
Mais un éclair de plaisir la traverse brusquement.
Robert vient de dégager son clitoris et le fouette du bout de la langue.
Les ondes de plaisir se succèdent, sans qu’elle puisse y résister, explosant en elle à chaque nouvelle sollicitation de son petit bouton.
- Et ça tu aimes… dis-moi ?
Il accentue ses caresses, exacerbant le délicat bourgeon dont il a bien compris l’exceptionnelle sensibilité.
Il le presse entre ses lèvres, le tiraille, l’aspire, le branle entre deux doigts épais, excité de le voir grossir, jusqu’à prendre la taille d’un petit pois.
- Ca c’est un clito… ! s’exclame-t-il, réellement admiratif du petit organe nacré qui émerge fièrement sur le haut de la vulve. J’en ai rarement vu d’aussi gros !
Il presse de plus en plus fortement le clitoris entre ses doigts, sentant sa fermeté à travers la chair qui le protège, le branle tout en suçant le petit gland lisse, gorgé de désir.
- Mais dis donc… Tu mouilles ma salope….. ! Ah Ah tu aimes ça hein… ?
- Oui…. ! avoue Martine, de façon presque inaudible.
- Je n’ai pas compris… crie Robert. Répond plus fort !
- Oui !
- Oui quoi… ? insiste-t-il
La perversité de l’hôtelier lui embue les yeux de larmes, elle voudrait répondre qu’elle ne ressent rien mais sa chatte trempée prouve le contraire, elle le sait bien.
Elle sent son clito gonflé à bloc, et chaque coup de langue la fait tressaillir, sans pouvoir contrôler quoique que ce soit.
- Oui j’aime ça… ! répond-elle en fermant les yeux de honte.
- Tu aimes que je te suce ton clito, hein… ?
- Oui…oui… j’aime ça !
- Tu aimes quoi ? Allez…dis-le !
Martine est bord des larmes.-
- J’aime qu’on me suce le clito… !
- Non pas ça… tu aimes que je te suce le clito
- J’aime que tu me suces le clito… !
- Eh bien voilà… ! Bon je crois que tu es prête ! dit –il en se redressant.
D’un geste rapide il défait sa ceinture et fait glisser au sol slip et pantalon, arborant fièrement une imposante érection.
La verge comprimée par l’anneau de cuir présente une couleur cramoisie et le gland, énorme, semble sur le point d’éclater.
- Non… s’il vous plait ! proteste faiblement Martine, essayant timidement de l’amadouer. Laissez-moi !
- Je suis sûr que tu vas apprécier ma queue… ! Ne t’en fais pas… ! réplique-t-il, en relevant lui les jambes à la verticale.
Il présente son sexe contre la vulve humide, et d’un puissant coup de rein il s’introduit en elle, indifférent au cri de douleur lâché par Martine.
Le gland congestionné, incroyablement dur, se fraie son chemin en force, plongeant dans l’intimité délicate dont il force les chairs.
Martine a l’impression qu’on lui pousse une boule de billard au fond du vagin tellement la pression est importante, et elle soupire de soulagement quand Robert se retire.
Le répit est de courte durée car aussitôt il la pénètre à nouveau, de la même façon, rapide et brutale, et l’infernale pression la fait crier à nouveau, sans qu’il paraisse s’en soucier le moins du monde.
Il se met à aller et venir en elle, en poussant des grognements de satisfaction, poussant son membre le plus loin possible à chaque pénétration.
- Ahhh… Oui… ! Ah c’est bon… ! tu aimes…dis ?
La douleur s’estompe peu à peu au fur et à mesure que sa chatte s’adapte, et l’hôtelier glisse maintenant facilement en elle.
Incontestablement la bite gonflée remplit son con à merveille, et la fouille avec une si belle vigueur que le trouble s’installe dans l’esprit de Martine.
Elle a du mal à réprimer les sensations qui montent de son ventre, envahissant tout son être, et qu’elle ne voudrait pas ressentir.
Pourtant c’est bien du plaisir qui est en train de naître, au rythme implacable du membre qui la fouille, ponctué par le claquement des couilles de Robert contre ses fesses.
- Putain…c’est vrai que t’es bonne… ! J’adore ta chatte tu sais… !
Viens, tournes-toi ! lui ordonne-t-il en l’aidant à se relever. Ils t’ont prise comme ça aussi, hein ?
Il la fait se coucher le buste contre le plateau de la table, les jambes écartées, la croupe offerte à sa concupiscence.
- quelle belle paire de fesses ! C’est bien dodu ! dit-il en les pétrissant les deux globes charnus exposés devant lui. D’ailleurs tout est bien dodu chez toi…! ajout-t-il en remarquant les seins qui débordent de chaque coté, écrasés par le poids du buste.
A la télé on entend toujours les cris de plaisir des protagonistes qui maintenant sont sur le lit, les deux hommes ayant pris Martine en sandwich et la baisant copieusement.
Avisant un portrait posé sur le meuble de la cuisine, il s’en empare et le montre à Martine.
- c’est ton mari qui pose avec toi ? demande-t-il
- Oui ! répond-elle doucement.
- Comment s’appelle-t-il ?
- Pierre !
- Bonjour Pierre ! rigole Robert en contemplant le portrait ou le couple apparaît main dans la main, au détour d’un sentier forestier. Je suis avec ta petite femme, et je vais la baiser… !
Sous les yeux effarés de Martine il cale le portrait en bout de table, et la prenant par les cheveux lui relève la tête, l’obligeant à regarder l’image de son mari.
- regarde le bien ton homme ma belle, pendant que je te baise… !
Avant qu’elle ait pu répondre quoique que ce soit, l’hôtelier la pénètre à nouveau, et se met à la tringler furieusement, galvanisé par son petit geste pervers.
- Elle est bonne ta femme Pierre.… il n’y a pas de doute… ! rigole-t-il bruyamment.
Tu as vraiment de la chance… ! Mais il ne faut pas être égoïste, hein ! Tu dois partager… ! Et toi je t’ai dit de regarder ton homme… ! Ne ferme pas les yeux, hein !
La tête maintenue relevée par Robert, Martine ne peut faire autrement que d’obéir, car son visage se reflète dans le vitrage du cadre.
Anéantie elle contemple l’image de Pierre qui semble la regarder en souriant, tandis que le pieu de chair la défonce, explosant sa chatte à une cadence infernale.
Elle essaie de se raccrocher à l’amour qu’elle lui porte, à la façon tendre et sensuelle qu’il a de lui faire l’amour, mais la sensation de la grosse bite qui la fouille de fond en comble est de plus en plus jouissive.
Son sexe est totalement détrempé et Robert s’en est rendu compte.
- Ah tu mouilles ma salope… ! Elle te fait du bien ma grosse queue, hein ?
Devant le silence de Martine il insiste, tirant un peu plus fort sur ses cheveux, ce qui l’oblige à se relever, le dos cambré, le buste dégagé du plateau.
- Regarde Pierre… Elle aime ma queue ta femme… ! Et moi j’aime sa chatte… !
Et ses seins… ! Ce n’est pas possible une paire de miches pareille ! S’exclame-t-il en pressant tour à tour les superbes mamelons aux pointes érigées, gorgées de désir.
Regarde-moi ces tétons comme ils sont gros… !
Diablement excité, il redouble d’efforts, enfonçant son membre le plus profondément possible entre les reins de Martine qui se mord les lèvres pour ne pas laisser échapper des cris de plaisir, ce plaisir qui devient incontrôlable.
Les coups de boutoir de l’hôtelier font vibrer tout son corps, l’enivrant d’une jouissance sans égal.
La réalité semble avoir basculé dans un monde ou il n’y a que volupté et désir, chaque fois que le gland monstrueux lui écartèle la chatte elle reçoit une décharge si délectable qu’elle attend la prochaine avec impatience.
Elle s’est maintenant redressée, et creuse son dos pour mieux s’offrir au pieu formidable qui la laboure.
- Qu’est ce que c’est bon de te bourrer… ! tu la sens bien ma queue… ?
- Oui … ! répond-elle, submergée par la jouissance. Oui… c’est bon !
- Je savais que tu l’aimerais… ! tu aimes les grosses bites… !
- Ohhhh….Oui… ! J’aime ça… ! gémit-elle doucement, accrochée à la table qui tremble sous les violents coups de reins de Robert.
Brusquement un jet brûlant jaillit au cœur de son ventre, tandis que l’hôtelier beugle à plein poumon, et elle comprend qu’il vient de jouir en elle, éjaculant sa semence qui fuse abondamment, noyant littéralement son intimité.
Cela a pour effet de déclencher son propre orgasme, auquel elle s’abandonne, la tête rejetée en arrière, les yeux fermés, le corps pris de tremblements irrépressibles.
Ils restent ainsi un long moment, intimement liés l’un à l’autre, chacun savourant à sa manière la jouissance vécue.
Quand Martine rouvre les yeux elle sent toujours la bite de Robert plantée en elle, à peine dégonflée, et ce dernier lui pelote les seins, qui sont durs et gonflés.
En retrouvant devant elle la photo de son couple ou son mari, confiant, lui sourit, elle ne peut réprimer une larme, discrètement essuyée, afin d’éviter tout nouveau commentaire obscène.
L’homme se dégage enfin, visiblement très satisfait de sa prestation, et se rhabille tranquillement.
- Après t’avoir vue à l’œuvre avec tes copains à l’hôtel, j’étais sûr que tu étais un bon coup… ! la félicite-t-il. Mais à ce point, là…chapeau ! Je crois que je vais revenir… !
- Mais vous m’avez promis que cela serait fini si j’obéissais…. ! riposte Martine d’une voix tremblante.
- Je ne savais pas à quel point tu es bonne ! répond-il en fixant les mamelons qui se dressent fièrement, les pointes brunes encore gonflées. Tu peux garder ce dvd, j’en ai plein de copies…. !
L’hôtelier s’en va, sans autre explication, laissant Martine en proie à un affreux sentiment d’échec, de remord de s’être laissée piégée de la sorte.
Toutefois son ventre brûle encore des va et vient du membre ardent de son persécuteur, elle a encore dans sa bouche l’odeur prenante du gland et cela ne lui est plus si horrible que ça.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Présente moi ta femme je lui fais ce coup avec plaisir ! Surtout si elle est aussi
désirable que "Martine" !
désirable que "Martine" !
j ai beaucoup aimé votre histoire
je me retrouve en martine......
obligee d obeir...
je me retrouve en martine......
obligee d obeir...
super c'est un coup a faire a ma femme