les aventures de Martine - Soirée expiatoire 1
Récit érotique écrit par PIERRE DAVID [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2012 dans la catégorie Plus on est
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les aventures de Martine - Soirée expiatoire 1
La découverte de la liaison de Martine, mon épouse, avec Rachid, un copain tunisien, m’a laissé un goût amer dans la bouche, même si, je dois bien l’avouer, mon sentiment est mitigé.
Mon épouse a changé au cours de ces derniers mois, c’est vrai, se montrant plus entreprenante dans nos rapports, amenant ainsi dans notre vie de couple un renouveau dont il avait bien besoin.
Durant des années elle s’était montrée une mère exemplaire, s’enfermant un peu trop dans son rôle à mon goût, au détriment de notre relation, et une routine s’était installée, qui nous étouffait lentement.
Cette évolution récente attise mon désir pour elle, ouvrant la voie à de nouvelles possibilités, bien excitantes, et une idée machiavélique, voire perverse, me vient à l’esprit.
Je vais inviter son amant à venir prendre un verre à la maison, sans en parler à Martine, et provoquer ainsi une confrontation qui pourrait se révéler très intéressante, et, pourquoi pas, me permettre de réaliser un vieux fantasme.
Les enfants envoyés en week-end chez leurs grands-parents, j’ai préparé une petite soirée avec repas fin, livré par un traiteur, et chandelles, histoire de consacrer un peu de temps à ma petite femme chérie, dans un tête-à-tête tendre et sensuel.
Pour l’occasion, j’ai dressé la petite table basse du salon, tamisé la lumière et allumé quelques bougies, pour la plus grande joie de mon épouse qui adore ces ambiances intimes et romantiques.
Ce soir je la sens particulièrement excitée, riant pour un rien, manifestant à mon égard une reconnaissance sincère pour la soirée qui s’annonce très sensuelle
Martine a passé le déshabillé de soie noire que je lui ai offert pour son anniversaire et dans lequel je la trouve très excitante.
Le vêtement, une sorte de toge romaine à deux pans, assez courte, nouée derrière le cou et à la taille, laisse le dos et les épaules nues.
Le tissu est tellement fin qu’il révèle parfaitement l’absence de soutien-gorge et ne laisse aucun doute sur la générosité de ses formes.
Elle est finalement si bandante que j’ai hâte de voir la tête que va faire ce traître de Rachid quand il sera là, en face d’elle, son verre à la main.
J’imagine qu’elle n’a pas du s’embarrasser de culotte non plus, tout comme moi d’ailleurs qui suis nu sous mon peignoir d’intérieur.
Assis sur des coussins autour de la table basse, comme au bon vieux temps, nous dégustons le repas délicieux livré par le traiteur, arrosé d’un bon vin qui chauffe un peu la tête.
Alors que je me régale du dessert, Martine s’approche de moi serrant entre ses dents un petit chou à la crème que visiblement elle me destine.
En souriant, je tente de saisir le gâteau à mon tour, nos lèvres se frôlent tandis qu’elle résiste, puis finalement elle me laisse emporter le morceau.
D’humeur décidément joueuse, Martine s’approche de moi, une grosse cuillerée de crème à la main, écarte les pans de mon peignoir et la dépose sur mon sexe encore au repos.
- Oh le gros chou ! S’exclame-t-elle en riant
Sa langue commence à lécher la crème tandis que le sang afflue dans ma verge qui se redresse peu à peu.
Je la regarde me laper lentement, glissant le long de ma tige, dans une caresse délicieuse, faisant vite disparaître la crème.
Prenant goût à la chose, elle s’empare de la coupe de crème et y trempe carrément mon sexe dedans avant de le reprendre dans sa bouche.
Agréablement surpris par son initiative je me laisse sucer par ses lèvres gourmandes qui m’amènent rapidement à une érection conséquente.
Mon sexe est couvert de crème blanche dont ma femme semble se régaler au plus haut point.
- Tu aimes, mon chéri ?
- Oh… mon amour… oui !
Sa langue sur mon gland fait merveille, et éveille en moi un désir féroce de lui enfourner mon chibre dans la gorge.
La saisissant par sa chevelure, je l’amène à m’avaler, ce qu’elle fait sans rechigner, bien au contraire, me procurant instantanément un plaisir intense.
Ses lèvres serrées sur ma verge, elle entame un va-et-vient diablement efficace et je ne tarde pas à jouir, mélangeant ma semence à la crème fouettée.
Martine, qui en a plein la bouche, continue de me sucer, se régalant visiblement du mélange, et ne me libère que parfaitement nettoyé, visiblement contente d’elle.
- C’est bon la crème mangée comme ça ! dit-elle en riant.
- C’était parfait mon amour ! dis-je en l’embrassant tendrement, goûtant l’odeur de crème encore présente dans sa bouche.
Je suis assez content, la soirée s’annonce sous de bons auspices, même si je ne sais pas exactement sur quoi elle va déboucher.
Un coup d’œil discret à l’horloge du téléviseur m’indique que Rachid ne va pas tarder.
J’imagine déjà sa surprise quand il va découvrir l’ambiance qui règne dans le salon, et la tenue particulièrement excitante de son hôtesse.
Le repas débarrassé nous nous apprêtons à prendre une coupe de champagne, quand la sonnette se met à retentir.
Martine m’interroge silencieusement du regard, auquel je réponds par un haussement de sourcils faussement étonné.
La sonnette retentit à nouveau.
Je me lève pour aller ouvrir, et me retrouve face à face avec Rachid, et derrière lui un type, petit et trapu, que je ne connais pas.
Un frisson glacé me parcourt le dos.
Voilà quelque chose qui n’était pas prévu.
L’instant de surprise passé, et faisant contre mauvaise fortune, bon cœur, je les invite à entrer.
Martine qui a reconnu la voix de Rachid l’accueille à son tour, manifestant une joie non feinte, mais sans parvenir à cacher sa surprise de le voir ici.
- Bonsoir ma Martine ! s’exclame Rachid, visiblement très content de la voir. Comment vas-tu ?
- C’est plutôt à toi de nous dire comment ça va, depuis le temps que nous n’avions plus de nouvelles ! Ment-elle effrontément.
Rachid nous présente celui qui l’accompagne, Rocky, un pote à lui, au physique de loubard, les avant-bras ornés d’énormes tatouages.
Bien qu’il soit poli et souriant, il ne me plait pas beaucoup, mais j’aime le regard appuyé qu’il pose sur Martine, qui fait semblant de ne pas s’en être rendue compte.
Il est clair que les plantureux mamelons qui pointent sous le léger tissu ne le laisse pas indifférent.
Avec la présence de ce Rocky, la situation n’est plus celle que je prévoyais et je me demande comment je vais rebondir.
Nous nous installons et je leur propose une coupe de champagne, expliquant à Rachid que nous fêtions l’anniversaire de notre rencontre.
Martine, troublée par la présence de son amant, ne relève pas, le nez dans sa coupe, tirant sur son déshabillé qui a tendance à remonter haut sur ses cuisses quand elle est assise.
La conversation va bon train, Rachid ayant toujours une foule d’anecdotes à raconter sur la vie de tous les jours.
Je l’écoute d’une oreille distraite, amusé par les efforts qu’il fait pour ne pas regarder trop ostensiblement mon épouse que le déshabillé rend particulièrement désirable.
Ce doit être d’ailleurs l’avis de son pote qui lui ne se gêne pas pour la contempler, notamment quand elle leur sert à boire.
En effet en se baissant pour remplir les verres, les pans de son déshabillé baillent largement, offrant une vue dégagée sur ses alléchantes rondeurs.
Je décide de passer à l’action, et advienne que pourra.
- Bon, Rachid, ses seins te plaisent, c’est ça…?
Martine me regarde interloquée, puis regarde Rachid qui reste muet, visiblement mal à l’aise
Calme, bien installé dans mon fauteuil je réitère ma question :
- Depuis que tu es arrivé, comme Rocky d’ailleurs, tu n’as d’yeux que pour sa poitrine !
Veux-tu voir ses seins Rachid ? Je suis sûr qu’elle est d’accord !
- Pierre, je ne comprends pas…. ! bredouille-t-il. Qu’est-ce qui t’arrive ?
- Il m’arrive que tu reluques sa poitrine sans arrêt, alors les voir une bonne fois pour toute, non ?
Martine, pétrifiée, ne bouge plus, le regard perdu, en proie à une incompréhension totale de ce qui se passe.
Rachid me regarde, incrédule, puis devant ma détermination finit par répondre :
- D’accord Pierre, j’aimerai beaucoup les voir !
- Eh bien voilà, c’est plus simple ! Tiens ! Dis-je en me levant.
Et joignant le geste à la parole, ignorant le regard implorant de Martine, je dénoue la bride qui maintient le vêtement autour de son cou, dévoilant à nos deux invités sa somptueuse paire de seins.
Ronds et gonflés, les deux globes s’affaissent très légèrement sous leur poids, les tétons dressés au milieu d’une jolie aréole brune, pas trop large.
Les prenant par en dessous, je les soupèse dans mes mains en regardant Rachid droit dans les yeux.
- Qu’est-ce que t’en dit…? Ils sont beaux …non ? Viens les caresser, si tu veux…. !
- Pierre… ! me supplie Martine. Ça va comme ça, tu ne crois pas ?
- Allons chérie… ne t’inquiète pas ! Rachid ne va pas te manger, et après tout cela ne sera pas la première fois !
- Que veux-tu dire ? m’interroge-t-elle, la voix nouée.
- je vous ai vus ma chérie, chez lui, un soir ou tu avais une réunion, soi-disant.
- Attend Pierre, je vais t’expliquer…intervient Rachid
- il n’y a rien de plus à expliquer Rachid, tu l’as baisée, un point c’est tout. J’aurais du te casser la gueule, mais j’ai bien vu à quel point elle aimait ça.
Alors je préfère que cela soit avec toi, plutôt qu’avec une flopée d’inconnus.
- Comment me faire pardonner mon amour ?
- En faisant ce que je te demande ma chérie. Laisse-toi caresser par ton amant, et son copain puisqu’il est là.
- Non… pas son copain, je t’en prie ! je t’ai trompé, c’est vrai, mais je ne suis pas une putain !
- Il fallait y penser avant. D’ailleurs qui me dit que Rachid est le seul ?
En découvrant le regard brusquement fuyant de mon copain, je comprends qu’il n’est effectivement pas le seul à m’avoir cocufié.
Martine a baissé la tête, sans dire un mot, les bras pudiquement croisés sur sa poitrine dénudée.
Avec ses airs de sainte nitouche ma femme me mène en bateau, et peut-être depuis pas mal de temps !
Je sens la colère m’envahir, balayant les dernières hésitations qui me freinaient encore et d’une voix claire et déterminée, j’invite à nouveau nos invités à profiter des charmes appétissants que je viens de leur dévoiler.
- Allez, venez… je sais que vous mourrez d’envie de les palper ! Regardez comme ils sont bien faits… ! M’écriai-je en caressant la peau soyeuse.
Après une légère hésitation, et sans un mot, Rachid vient s’asseoir près de mon épouse, résignée et silencieuse, et lui caresse délicatement les seins, presque gêné.
L’hypocrite !
Quand elle était chez lui, il s’en est régalé de sa savoureuse poitrine, la pétrissant à pleines mains tandis qu’elle se tordait de plaisir sur son canapé.
- Et toi François, qu’est-ce que t’attend ? Allez viens…ma femme n’attend que ça !
Il se lève, va s’asseoir de l’autre côté et s’empare de mamelons gonflés qu’il se met à peloter sans vergogne.
- Dis donc… quelle sacrée paire de nichons ! s’exclame Rocky, qui les soupèse en connaisseur.
C’est vrai que Martine, magnifiquement dotée par la nature, possède une poitrine superbe, opulente et ferme, un beau 95E dont je me régale depuis des années.
Elle n’en a pas toujours été fière, voire même complexée, s’évertuant à la minimiser sous des vêtements amples, ce que je trouvais vraiment dommage.
J’aurai pourtant aimé qu’elle les exhibe un peu plus, ce qui aujourd’hui lui est plus naturel, sans pour autant tomber dans le vulgaire.
Certains de ses décolletés rendent les conversations difficiles avec nos copains qui ne savent plus comment faire pour ne pas mater sa poitrine.
Je constate avec plaisir que mon épouse s’est détendue et apprécie ces mains étrangères qui malaxent ses généreux attributs, à en juger la façon dont elle cambre son dos pour s’offrir aux caresses, et je pense même que ça l’excite de se faire peloter là, devant moi.
Je me sers une coupe, histoire de faire passer l’irritation causée par la possibilité d’un très probable autre amant, certainement dans le cercle de nos amis.
Ainsi les améliorations intervenues ces derniers mois, et dont je me félicitais, étaient surtout dues à mon infortune.
Nos invités se défoulent de plus en plus avidement sur les deux globes opulents, les pressant entre leurs doigts, faisant gonfler les pointes dont les tétons ont sensiblement grossi et durci.
- Putain… ça c’est des nibards ! s’exclame Rocky. Ça fait une paie que je n’en ai pas touchés de pareils !
Elle est bien foutue ta meuf…. Tu ne dois pas t’emmerder… ! dit-il à mon attention
J’aime le voir pétrir la poitrine opulente de mon épouse, enfoncer ses doigts dans la chair tendre et sa vulgarité ne fait qu’augmenter ma satisfaction perverse.
Les tétons qu’il suce à pleine bouche, les pinçant entre ses lèvres, ont pris une taille conséquente.
Il tire dessus sans ménagement, les mordille, les tète comme un enfant affamé, heureux de profiter d’une telle occasion.
- qu’est-ce que j’aime tes seins….! T’as de beaux nichons… y’a pas à dire !
Quand Rachid se penche sur Martine pour l’embrasser elle ne cherche pas à se soustraire, bien au contraire, et ouvre ses lèvres pour répondre à son baiser.
Ils s’embrassent longuement sous mes yeux amusés, me démontrant s’il était nécessaire, leur attirance l’un pour l’autre.
Encouragé mon comportement, Rachid défait lentement la ceinture qui ferme le vêtement sur le devant, rabat les pans sur le côté, révélant la totale nudité de mon épouse.
- Non… Rachid, s’il te plait ! dit-elle en se relevant, essayant de refermer son déshabillé.
- Laisse ma chérie, je crois qu’ils peuvent en profiter un peu, tu ne crois pas !
- Enfin, Pierre…. tu ne peux pas faire ça … ? me supplie-t-elle d’une voix sourde.
- Et pourquoi non ?
J’essaie de garder un ton autoritaire et sûr de moi, mais la voir ainsi exposée, nue, entre les deux hommes me fait douter de ma détermination.
Pourtant c’est bien ce que je voulais, la démasquer avec son amant et profiter de l’occasion pour assouvir un fantasme, la baiser à deux.
Le seul hic, c’est la présence de Rocky, qui ne m’inspire pas plus que ça, avec son visage carré, taillé au couteau, le front bas, les sourcils épais.
Il a tout d’une brute.
Toutefois la présence de Rachid me rassure.
Et puis je ne connais pas le nombre réel des amants de mon épouse, ni leur profil, et qu’il y a peut-être bien un autre Rocky parmi eux.
Je m’approche de Martine et doucement je lui chuchote à l’oreille :
- Il me semble que tu ne m’as pas toujours demandé la permission pour prendre du plaisir !
- Pierre… Je t’en prie ! Insiste-t-elle faiblement, les yeux embués.
- Je veux simplement qu’ils prennent du plaisir avec toi mon amour !
Déconcertée, elle se rassoit sur le divan, sans rien dire, laissant nos deux invités apprécier son affolante nudité, ses formes alléchantes à souhait.
L’ambiance de la pièce se modifie, l’atmosphère devient électrique.
Les deux hommes, qui ont compris que le feu était vert, se collent contre ma femme, la palpant sans pudeur ni réserve devant moi.
Mon regard s’attarde sur sa vulve soigneusement épilée, aux belles lèvres brunes et ourlées, et je suis sûr que sa grotte se couvre déjà d’une bienfaisante humidité.
Rachid embrasse à nouveau Martine tandis que ses mains courent de plus en plus fiévreusement sur sa peau nue, pressant la chair pulpeuse, malaxant ses seins, ses hanches.
Son copain, qui s’est agenouillé devant eux, caresse les jambes de mon épouse, les embrasse, glisse une main entre elles, essaie de remonter le long de ses cuisses.
Martine résiste à la tentative, peu désireuse d’aller trop loin avec lui, et tient ses cuisses serrées, tentant de le repousser en lui appuyant sur la tête.
Je crois avoir entendu un « non » mais le son est étouffé par le baiser de Rachid, qui vient à la rescousse de Rocky en saisissant la main qui le repousse et en l’amenant vers son bas-ventre.
Il a défait les premiers boutons de sa braguette, et guide la main de Martine vers son bas-ventre, au contact de la bosse qui gonfle son slip.
Elle me lance un regard implorant, réclamant un geste de ma part car elle réalise que la situation s’emballe, qu’elle ne maitrise plus rien.
Pourtant, malgré le risque que représente Rocky que nous ne connaissons pas, je reste désireux d’aller au bout de cette démarche expiatoire et ô combien excitante.
Je lui renvoie un sourire silencieux, le plus rassurant possible, l’invitant à se laisser aller, à s’abandonner aux caresses de nos deux invités.
Après un moment d’hésitation, et un nouveau regard dans ma direction, comme si elle cherchait une aide de ma part qui ne vient pas, elle cède à la pression obstinée de Rocky qui obtient finalement gain de cause.
Les jambes de mon épouse viennent de s’écarter, lui ouvrant le passage vers son intimité.
Emballé par sa victoire, il lui embrasse frénétiquement l’intérieur des cuisses, remonte vers la vulve bombée qui semble l’attendre, frémissante.
Assis sur l’accoudoir du canapé, attentif et silencieux, je le regarde explorer le sexe de ma femme, véritablement affamé, insinuant la pointe de sa langue dans les moindres replis, fouillant agilement la chair rose et humide, léchant de bas en haut les petites lèvres brunes qui s’écartent sur son passage.
C’est la deuxième fois que je vois Martine se faire manger la chatte par un autre que moi, et je dois dire que cela m’excite terriblement.
Il l’explore fiévreusement, pénétrant l’orifice par petites touches rapides et répétées, remonte vers le clitoris qu’il a dégagé avec deux doigts.
Le petit bouton nacré s’est gonflé, et les mouvements de bassin de Martine attestent de l’efficacité du traitement.
Elle goûte visiblement l’incursion, n’hésitant plus à écarter largement ses cuisses pour mieux offrir son sexe à l’appétit de Rocky.
- Putain, Rachid… ! Qu’est-ce qu’elle est bonne sa chatte ! Ça fait du bien !
La scène commence à me chauffer terriblement le ventre, et machinalement je passe une main sous mon peignoir, empoignant ma verge qui s’est durcie.
Je me branle lentement, en regardant Martine tressaillir sous les coups de langue de Rocky qui lui astique la chatte et exacerbe son clitoris de la meilleure façon qui soit.
De la taille d’un petit pois, son petit bouton nacré est ce qu’elle a de plus sensible, et Rocky semble l’avoir vite compris, prenant un malin plaisir à le titiller fébrilement.
- Tu mouilles sacrément, dis donc ! Tu aimes te faire bouffer le minou, hein !
Elle est drôlement chaude ta meuf ! Beugle-t-il à mon attention
Gémissant de plaisir pour toute réponse, sa langue nouée à celle de Rachid, Martine fouille fébrilement dans le slip, cherchant à en extraire le contenu.
Rachid interrompt son baiser, se redresse et fait glisser son pantalon à ses pieds, ainsi que son slip, et prend place devant Martine, un pied sur le canapé.
L’œil de mon épouse s’est allumé à la vue du superbe membre déjà bien érigé qu’il lui présente.
C’est un beau morceau qu’il arbore sous nos yeux, droit et épais, terminé par un gland proéminent.
À l’exception d’un petit carré de toison pubienne soigneusement coupée, Rachid est complètement épilé, ce qui met en valeur la longueur de sa verge sous laquelle se balancent des bourses bien remplies.
Je sens poindre en moi une petite jalousie, la comparaison n’étant malheureusement pas en ma faveur.
Je comprends que ma femme l’apprécie.
Martine s’empare du membre dressé et le lèche copieusement, tout en caressant les fesses nues de Rachid de sa main libre.
J’ai l’impression qu’elle met beaucoup d’amour dans ses caresses, comme si elle attendait cela depuis longtemps, et c’est assez troublant.
Ma femme referme sa bouche sur le gland lisse et se met à le sucer avec délectation, tout en branlant la tige gonflée.
Je connais suffisamment les effets de ce petit traitement, la douceur exquise de ses lèvres, pour ne pas donner longtemps à mon copain avant de jouir.
Et dire que c’est moi qui lui ai appris la fellation !
Elle a été une très bonne élève, c’est sûr, mais je n’avais pas pensé que d’autres en profiteraient.
Tout en lui malaxant les couilles, relevant la tête de temps à autre pour juger du résultat, elle le pompe de plus en plus activement, encouragée par les râles de contentement de Rachid.
- Ohhhh… Oohhhh… Martine ! C’est bon ! Continue comme ça !
- Elle te suce bien j’espère ? Ne puis-je m’empêcher de lâcher tout d’un coup, un peu énervé.
- Oui Pierre… elle se débrouille vraiment bien ! répond-il en me regardant, un peu étonné de ma question.
Sa bite disparaît presque entièrement dans la gorge de ma femme à chaque fois qu’elle plonge dessus, sa respiration se fait plus courte et bruyante, témoignant de la montée de son plaisir.
- Ouhhhh… Oui… Martine, oui… C’est bon ! gémit-il en lui caressant les cheveux, le dos cambré pour mieux se faire avaler. Qu’est-ce que c’est bon de se faire sucer !
Il a beau m’avoir fait cocu, le voir se faire sucer par Martine me fait triquer, et je me branle de plus en plus activement sous mon peignoir.
Ses mains sur la tête de ma femme, il accompagne le mouvement de va-et-vient, cherchant à se maintenir enfoncé en elle.
- Ahhhh… Martine… Ouhhh… Je vais venir !
Il se raidit brusquement, lâche un râle bruyant et je comprends qu’il vient de jouir, la queue profondément enfoncée dans la gorge de Martine.
Celle-ci a un hoquet, s’immobilise, regardant notre ami dans les yeux tandis qu’il se décharge en elle, l’inondant de sa semence chaude et épaisse.
En voyant le liquide blanc suinter de ses lèvres entrouvertes, je ne peux réprimer un petit pincement au cœur, car ce sperme n’est pas le mien.
Martine se régale du membre trempé de sperme et de salive mélangés, s’attachant à bien le lécher sur toute la longueur, puis le libère à regret.
Je comprends qu’elle a adoré avoir cette bite sans la bouche, sentir la semence chaude et épaisse couler dans sa gorge.
- A moi mon amour ! Dis-je en m’approchant de ma femme. Je crois que j’en ai bien besoin !
Je prends la place de Rachid, ouvre mon peignoir, et la laisse s’emparer de mon sexe, dont l’érection est effectivement conséquente.
Elle referme ses lèvres sur moi, sa langue s’enroule à merveille sur mon gland congestionné et dur, provoquant immédiatement des frissons délicieux qui irradient mon sexe, et le font durcir un peu plus.
La douceur de sa bouche est un pur bonheur, je me laisse envahir par d’exquises sensations oubliant tout d’un coup la nature particulière de cette soirée.
Je suis assez fier de l’avoir initiée malgré tout, car c’est évident, Martine suce comme une reine.
Je la sens s’exciter sur mon sexe, ce qui me réjouit, mais je réalise que je ne suis pas le seul à l’origine son emballement.
Rocky lui branle doucement le clitoris, tandis qu’il la doigte fébrilement de son autre main, avec deux doigts profondément enfoncés dans la chatte certainement bien trempée.
Martine se tord sur le canapé, ayant bien du mal à me garder dans sa bouche.
Les caresses de Rocky qui la fouille depuis un moment l’ont amenée au bord de la jouissance et son orgasme explose, dans un hurlement de plaisir.
Sa main s’est crispée sur ma verge, et pendant quelques secondes, elle est prise de tremblements qui la secouent de la tête aux pieds.
Puis elle reprend sa fellation, aspirant mon gland comme une folle, m’avalant jusqu’à la garde tout en me pressant les couilles de sa main libre.
Mes testicules gonflés roulent entre ses doigts, faisant grimper mon plaisir de plus en plus, car la coquine me connaît parfaitement et sait comment m’amener à la jouissance.
- Oui ma chérie…comme ça ! Continue….Oui… !
Sa fellation est exquise et je ne tarde pas à jouir à mon tour, éjaculant mon sperme dans sa bouche grande ouverte.
Les jets fusent, saccadés, répandant le liquide crémeux dont elle se délecte avant de l’avaler, visiblement ravie.
Je suis assez content de l’inonder car ce n’est pas si souvent qu’elle accepte de me boire, et là j’ai l’impression d’être beaucoup plus prodigue que d’habitude.
Rocky s’est relevé et déshabillé, impatient de profiter à son tour des bonnes dispositions de son hôtesse.
Petit et trapu, il est très baraqué, visiblement adepte de bodybuilding ou quelque chose de similaire, à en juger la puissante musculature de son torse et de ses bras.
Rachid et moi-même paraissons presque maigrichons à côté de lui.
Des pectoraux très développés, des cuisses et un fessier robustes, il émane de lui une impression de force animale, à l’image du membre qu’il branle du bout des doigts.
Bien plus long que le mien, bien plus épais, avec de grosses veines, et terminé par un petit gland effilé.
Avec une paire de couilles digne d’un taureau, l’ensemble est presque disproportionné par rapport à la taille de l’individu.
C’est assurément une belle queue, massive et solide, qui doit produire son petit effet.
Il s’assoit sur le canapé, invitant Martine à le rejoindre.
Il n’a pas l’intention de se faire sucer, mais bien de baiser mon épouse.
Nous sommes au pied du mur et tout d’un coup cela ne me parait plus si grisant que cela.
Hélas il est trop tard pour reculer, d’autant qu’à la vue de l’imposante verge le regard de Martine s’est allumé de façon inhabituelle, brillant de convoitise, comme un enfant devant un jouet extraordinaire.
A suivre…
Mon épouse a changé au cours de ces derniers mois, c’est vrai, se montrant plus entreprenante dans nos rapports, amenant ainsi dans notre vie de couple un renouveau dont il avait bien besoin.
Durant des années elle s’était montrée une mère exemplaire, s’enfermant un peu trop dans son rôle à mon goût, au détriment de notre relation, et une routine s’était installée, qui nous étouffait lentement.
Cette évolution récente attise mon désir pour elle, ouvrant la voie à de nouvelles possibilités, bien excitantes, et une idée machiavélique, voire perverse, me vient à l’esprit.
Je vais inviter son amant à venir prendre un verre à la maison, sans en parler à Martine, et provoquer ainsi une confrontation qui pourrait se révéler très intéressante, et, pourquoi pas, me permettre de réaliser un vieux fantasme.
Les enfants envoyés en week-end chez leurs grands-parents, j’ai préparé une petite soirée avec repas fin, livré par un traiteur, et chandelles, histoire de consacrer un peu de temps à ma petite femme chérie, dans un tête-à-tête tendre et sensuel.
Pour l’occasion, j’ai dressé la petite table basse du salon, tamisé la lumière et allumé quelques bougies, pour la plus grande joie de mon épouse qui adore ces ambiances intimes et romantiques.
Ce soir je la sens particulièrement excitée, riant pour un rien, manifestant à mon égard une reconnaissance sincère pour la soirée qui s’annonce très sensuelle
Martine a passé le déshabillé de soie noire que je lui ai offert pour son anniversaire et dans lequel je la trouve très excitante.
Le vêtement, une sorte de toge romaine à deux pans, assez courte, nouée derrière le cou et à la taille, laisse le dos et les épaules nues.
Le tissu est tellement fin qu’il révèle parfaitement l’absence de soutien-gorge et ne laisse aucun doute sur la générosité de ses formes.
Elle est finalement si bandante que j’ai hâte de voir la tête que va faire ce traître de Rachid quand il sera là, en face d’elle, son verre à la main.
J’imagine qu’elle n’a pas du s’embarrasser de culotte non plus, tout comme moi d’ailleurs qui suis nu sous mon peignoir d’intérieur.
Assis sur des coussins autour de la table basse, comme au bon vieux temps, nous dégustons le repas délicieux livré par le traiteur, arrosé d’un bon vin qui chauffe un peu la tête.
Alors que je me régale du dessert, Martine s’approche de moi serrant entre ses dents un petit chou à la crème que visiblement elle me destine.
En souriant, je tente de saisir le gâteau à mon tour, nos lèvres se frôlent tandis qu’elle résiste, puis finalement elle me laisse emporter le morceau.
D’humeur décidément joueuse, Martine s’approche de moi, une grosse cuillerée de crème à la main, écarte les pans de mon peignoir et la dépose sur mon sexe encore au repos.
- Oh le gros chou ! S’exclame-t-elle en riant
Sa langue commence à lécher la crème tandis que le sang afflue dans ma verge qui se redresse peu à peu.
Je la regarde me laper lentement, glissant le long de ma tige, dans une caresse délicieuse, faisant vite disparaître la crème.
Prenant goût à la chose, elle s’empare de la coupe de crème et y trempe carrément mon sexe dedans avant de le reprendre dans sa bouche.
Agréablement surpris par son initiative je me laisse sucer par ses lèvres gourmandes qui m’amènent rapidement à une érection conséquente.
Mon sexe est couvert de crème blanche dont ma femme semble se régaler au plus haut point.
- Tu aimes, mon chéri ?
- Oh… mon amour… oui !
Sa langue sur mon gland fait merveille, et éveille en moi un désir féroce de lui enfourner mon chibre dans la gorge.
La saisissant par sa chevelure, je l’amène à m’avaler, ce qu’elle fait sans rechigner, bien au contraire, me procurant instantanément un plaisir intense.
Ses lèvres serrées sur ma verge, elle entame un va-et-vient diablement efficace et je ne tarde pas à jouir, mélangeant ma semence à la crème fouettée.
Martine, qui en a plein la bouche, continue de me sucer, se régalant visiblement du mélange, et ne me libère que parfaitement nettoyé, visiblement contente d’elle.
- C’est bon la crème mangée comme ça ! dit-elle en riant.
- C’était parfait mon amour ! dis-je en l’embrassant tendrement, goûtant l’odeur de crème encore présente dans sa bouche.
Je suis assez content, la soirée s’annonce sous de bons auspices, même si je ne sais pas exactement sur quoi elle va déboucher.
Un coup d’œil discret à l’horloge du téléviseur m’indique que Rachid ne va pas tarder.
J’imagine déjà sa surprise quand il va découvrir l’ambiance qui règne dans le salon, et la tenue particulièrement excitante de son hôtesse.
Le repas débarrassé nous nous apprêtons à prendre une coupe de champagne, quand la sonnette se met à retentir.
Martine m’interroge silencieusement du regard, auquel je réponds par un haussement de sourcils faussement étonné.
La sonnette retentit à nouveau.
Je me lève pour aller ouvrir, et me retrouve face à face avec Rachid, et derrière lui un type, petit et trapu, que je ne connais pas.
Un frisson glacé me parcourt le dos.
Voilà quelque chose qui n’était pas prévu.
L’instant de surprise passé, et faisant contre mauvaise fortune, bon cœur, je les invite à entrer.
Martine qui a reconnu la voix de Rachid l’accueille à son tour, manifestant une joie non feinte, mais sans parvenir à cacher sa surprise de le voir ici.
- Bonsoir ma Martine ! s’exclame Rachid, visiblement très content de la voir. Comment vas-tu ?
- C’est plutôt à toi de nous dire comment ça va, depuis le temps que nous n’avions plus de nouvelles ! Ment-elle effrontément.
Rachid nous présente celui qui l’accompagne, Rocky, un pote à lui, au physique de loubard, les avant-bras ornés d’énormes tatouages.
Bien qu’il soit poli et souriant, il ne me plait pas beaucoup, mais j’aime le regard appuyé qu’il pose sur Martine, qui fait semblant de ne pas s’en être rendue compte.
Il est clair que les plantureux mamelons qui pointent sous le léger tissu ne le laisse pas indifférent.
Avec la présence de ce Rocky, la situation n’est plus celle que je prévoyais et je me demande comment je vais rebondir.
Nous nous installons et je leur propose une coupe de champagne, expliquant à Rachid que nous fêtions l’anniversaire de notre rencontre.
Martine, troublée par la présence de son amant, ne relève pas, le nez dans sa coupe, tirant sur son déshabillé qui a tendance à remonter haut sur ses cuisses quand elle est assise.
La conversation va bon train, Rachid ayant toujours une foule d’anecdotes à raconter sur la vie de tous les jours.
Je l’écoute d’une oreille distraite, amusé par les efforts qu’il fait pour ne pas regarder trop ostensiblement mon épouse que le déshabillé rend particulièrement désirable.
Ce doit être d’ailleurs l’avis de son pote qui lui ne se gêne pas pour la contempler, notamment quand elle leur sert à boire.
En effet en se baissant pour remplir les verres, les pans de son déshabillé baillent largement, offrant une vue dégagée sur ses alléchantes rondeurs.
Je décide de passer à l’action, et advienne que pourra.
- Bon, Rachid, ses seins te plaisent, c’est ça…?
Martine me regarde interloquée, puis regarde Rachid qui reste muet, visiblement mal à l’aise
Calme, bien installé dans mon fauteuil je réitère ma question :
- Depuis que tu es arrivé, comme Rocky d’ailleurs, tu n’as d’yeux que pour sa poitrine !
Veux-tu voir ses seins Rachid ? Je suis sûr qu’elle est d’accord !
- Pierre, je ne comprends pas…. ! bredouille-t-il. Qu’est-ce qui t’arrive ?
- Il m’arrive que tu reluques sa poitrine sans arrêt, alors les voir une bonne fois pour toute, non ?
Martine, pétrifiée, ne bouge plus, le regard perdu, en proie à une incompréhension totale de ce qui se passe.
Rachid me regarde, incrédule, puis devant ma détermination finit par répondre :
- D’accord Pierre, j’aimerai beaucoup les voir !
- Eh bien voilà, c’est plus simple ! Tiens ! Dis-je en me levant.
Et joignant le geste à la parole, ignorant le regard implorant de Martine, je dénoue la bride qui maintient le vêtement autour de son cou, dévoilant à nos deux invités sa somptueuse paire de seins.
Ronds et gonflés, les deux globes s’affaissent très légèrement sous leur poids, les tétons dressés au milieu d’une jolie aréole brune, pas trop large.
Les prenant par en dessous, je les soupèse dans mes mains en regardant Rachid droit dans les yeux.
- Qu’est-ce que t’en dit…? Ils sont beaux …non ? Viens les caresser, si tu veux…. !
- Pierre… ! me supplie Martine. Ça va comme ça, tu ne crois pas ?
- Allons chérie… ne t’inquiète pas ! Rachid ne va pas te manger, et après tout cela ne sera pas la première fois !
- Que veux-tu dire ? m’interroge-t-elle, la voix nouée.
- je vous ai vus ma chérie, chez lui, un soir ou tu avais une réunion, soi-disant.
- Attend Pierre, je vais t’expliquer…intervient Rachid
- il n’y a rien de plus à expliquer Rachid, tu l’as baisée, un point c’est tout. J’aurais du te casser la gueule, mais j’ai bien vu à quel point elle aimait ça.
Alors je préfère que cela soit avec toi, plutôt qu’avec une flopée d’inconnus.
- Comment me faire pardonner mon amour ?
- En faisant ce que je te demande ma chérie. Laisse-toi caresser par ton amant, et son copain puisqu’il est là.
- Non… pas son copain, je t’en prie ! je t’ai trompé, c’est vrai, mais je ne suis pas une putain !
- Il fallait y penser avant. D’ailleurs qui me dit que Rachid est le seul ?
En découvrant le regard brusquement fuyant de mon copain, je comprends qu’il n’est effectivement pas le seul à m’avoir cocufié.
Martine a baissé la tête, sans dire un mot, les bras pudiquement croisés sur sa poitrine dénudée.
Avec ses airs de sainte nitouche ma femme me mène en bateau, et peut-être depuis pas mal de temps !
Je sens la colère m’envahir, balayant les dernières hésitations qui me freinaient encore et d’une voix claire et déterminée, j’invite à nouveau nos invités à profiter des charmes appétissants que je viens de leur dévoiler.
- Allez, venez… je sais que vous mourrez d’envie de les palper ! Regardez comme ils sont bien faits… ! M’écriai-je en caressant la peau soyeuse.
Après une légère hésitation, et sans un mot, Rachid vient s’asseoir près de mon épouse, résignée et silencieuse, et lui caresse délicatement les seins, presque gêné.
L’hypocrite !
Quand elle était chez lui, il s’en est régalé de sa savoureuse poitrine, la pétrissant à pleines mains tandis qu’elle se tordait de plaisir sur son canapé.
- Et toi François, qu’est-ce que t’attend ? Allez viens…ma femme n’attend que ça !
Il se lève, va s’asseoir de l’autre côté et s’empare de mamelons gonflés qu’il se met à peloter sans vergogne.
- Dis donc… quelle sacrée paire de nichons ! s’exclame Rocky, qui les soupèse en connaisseur.
C’est vrai que Martine, magnifiquement dotée par la nature, possède une poitrine superbe, opulente et ferme, un beau 95E dont je me régale depuis des années.
Elle n’en a pas toujours été fière, voire même complexée, s’évertuant à la minimiser sous des vêtements amples, ce que je trouvais vraiment dommage.
J’aurai pourtant aimé qu’elle les exhibe un peu plus, ce qui aujourd’hui lui est plus naturel, sans pour autant tomber dans le vulgaire.
Certains de ses décolletés rendent les conversations difficiles avec nos copains qui ne savent plus comment faire pour ne pas mater sa poitrine.
Je constate avec plaisir que mon épouse s’est détendue et apprécie ces mains étrangères qui malaxent ses généreux attributs, à en juger la façon dont elle cambre son dos pour s’offrir aux caresses, et je pense même que ça l’excite de se faire peloter là, devant moi.
Je me sers une coupe, histoire de faire passer l’irritation causée par la possibilité d’un très probable autre amant, certainement dans le cercle de nos amis.
Ainsi les améliorations intervenues ces derniers mois, et dont je me félicitais, étaient surtout dues à mon infortune.
Nos invités se défoulent de plus en plus avidement sur les deux globes opulents, les pressant entre leurs doigts, faisant gonfler les pointes dont les tétons ont sensiblement grossi et durci.
- Putain… ça c’est des nibards ! s’exclame Rocky. Ça fait une paie que je n’en ai pas touchés de pareils !
Elle est bien foutue ta meuf…. Tu ne dois pas t’emmerder… ! dit-il à mon attention
J’aime le voir pétrir la poitrine opulente de mon épouse, enfoncer ses doigts dans la chair tendre et sa vulgarité ne fait qu’augmenter ma satisfaction perverse.
Les tétons qu’il suce à pleine bouche, les pinçant entre ses lèvres, ont pris une taille conséquente.
Il tire dessus sans ménagement, les mordille, les tète comme un enfant affamé, heureux de profiter d’une telle occasion.
- qu’est-ce que j’aime tes seins….! T’as de beaux nichons… y’a pas à dire !
Quand Rachid se penche sur Martine pour l’embrasser elle ne cherche pas à se soustraire, bien au contraire, et ouvre ses lèvres pour répondre à son baiser.
Ils s’embrassent longuement sous mes yeux amusés, me démontrant s’il était nécessaire, leur attirance l’un pour l’autre.
Encouragé mon comportement, Rachid défait lentement la ceinture qui ferme le vêtement sur le devant, rabat les pans sur le côté, révélant la totale nudité de mon épouse.
- Non… Rachid, s’il te plait ! dit-elle en se relevant, essayant de refermer son déshabillé.
- Laisse ma chérie, je crois qu’ils peuvent en profiter un peu, tu ne crois pas !
- Enfin, Pierre…. tu ne peux pas faire ça … ? me supplie-t-elle d’une voix sourde.
- Et pourquoi non ?
J’essaie de garder un ton autoritaire et sûr de moi, mais la voir ainsi exposée, nue, entre les deux hommes me fait douter de ma détermination.
Pourtant c’est bien ce que je voulais, la démasquer avec son amant et profiter de l’occasion pour assouvir un fantasme, la baiser à deux.
Le seul hic, c’est la présence de Rocky, qui ne m’inspire pas plus que ça, avec son visage carré, taillé au couteau, le front bas, les sourcils épais.
Il a tout d’une brute.
Toutefois la présence de Rachid me rassure.
Et puis je ne connais pas le nombre réel des amants de mon épouse, ni leur profil, et qu’il y a peut-être bien un autre Rocky parmi eux.
Je m’approche de Martine et doucement je lui chuchote à l’oreille :
- Il me semble que tu ne m’as pas toujours demandé la permission pour prendre du plaisir !
- Pierre… Je t’en prie ! Insiste-t-elle faiblement, les yeux embués.
- Je veux simplement qu’ils prennent du plaisir avec toi mon amour !
Déconcertée, elle se rassoit sur le divan, sans rien dire, laissant nos deux invités apprécier son affolante nudité, ses formes alléchantes à souhait.
L’ambiance de la pièce se modifie, l’atmosphère devient électrique.
Les deux hommes, qui ont compris que le feu était vert, se collent contre ma femme, la palpant sans pudeur ni réserve devant moi.
Mon regard s’attarde sur sa vulve soigneusement épilée, aux belles lèvres brunes et ourlées, et je suis sûr que sa grotte se couvre déjà d’une bienfaisante humidité.
Rachid embrasse à nouveau Martine tandis que ses mains courent de plus en plus fiévreusement sur sa peau nue, pressant la chair pulpeuse, malaxant ses seins, ses hanches.
Son copain, qui s’est agenouillé devant eux, caresse les jambes de mon épouse, les embrasse, glisse une main entre elles, essaie de remonter le long de ses cuisses.
Martine résiste à la tentative, peu désireuse d’aller trop loin avec lui, et tient ses cuisses serrées, tentant de le repousser en lui appuyant sur la tête.
Je crois avoir entendu un « non » mais le son est étouffé par le baiser de Rachid, qui vient à la rescousse de Rocky en saisissant la main qui le repousse et en l’amenant vers son bas-ventre.
Il a défait les premiers boutons de sa braguette, et guide la main de Martine vers son bas-ventre, au contact de la bosse qui gonfle son slip.
Elle me lance un regard implorant, réclamant un geste de ma part car elle réalise que la situation s’emballe, qu’elle ne maitrise plus rien.
Pourtant, malgré le risque que représente Rocky que nous ne connaissons pas, je reste désireux d’aller au bout de cette démarche expiatoire et ô combien excitante.
Je lui renvoie un sourire silencieux, le plus rassurant possible, l’invitant à se laisser aller, à s’abandonner aux caresses de nos deux invités.
Après un moment d’hésitation, et un nouveau regard dans ma direction, comme si elle cherchait une aide de ma part qui ne vient pas, elle cède à la pression obstinée de Rocky qui obtient finalement gain de cause.
Les jambes de mon épouse viennent de s’écarter, lui ouvrant le passage vers son intimité.
Emballé par sa victoire, il lui embrasse frénétiquement l’intérieur des cuisses, remonte vers la vulve bombée qui semble l’attendre, frémissante.
Assis sur l’accoudoir du canapé, attentif et silencieux, je le regarde explorer le sexe de ma femme, véritablement affamé, insinuant la pointe de sa langue dans les moindres replis, fouillant agilement la chair rose et humide, léchant de bas en haut les petites lèvres brunes qui s’écartent sur son passage.
C’est la deuxième fois que je vois Martine se faire manger la chatte par un autre que moi, et je dois dire que cela m’excite terriblement.
Il l’explore fiévreusement, pénétrant l’orifice par petites touches rapides et répétées, remonte vers le clitoris qu’il a dégagé avec deux doigts.
Le petit bouton nacré s’est gonflé, et les mouvements de bassin de Martine attestent de l’efficacité du traitement.
Elle goûte visiblement l’incursion, n’hésitant plus à écarter largement ses cuisses pour mieux offrir son sexe à l’appétit de Rocky.
- Putain, Rachid… ! Qu’est-ce qu’elle est bonne sa chatte ! Ça fait du bien !
La scène commence à me chauffer terriblement le ventre, et machinalement je passe une main sous mon peignoir, empoignant ma verge qui s’est durcie.
Je me branle lentement, en regardant Martine tressaillir sous les coups de langue de Rocky qui lui astique la chatte et exacerbe son clitoris de la meilleure façon qui soit.
De la taille d’un petit pois, son petit bouton nacré est ce qu’elle a de plus sensible, et Rocky semble l’avoir vite compris, prenant un malin plaisir à le titiller fébrilement.
- Tu mouilles sacrément, dis donc ! Tu aimes te faire bouffer le minou, hein !
Elle est drôlement chaude ta meuf ! Beugle-t-il à mon attention
Gémissant de plaisir pour toute réponse, sa langue nouée à celle de Rachid, Martine fouille fébrilement dans le slip, cherchant à en extraire le contenu.
Rachid interrompt son baiser, se redresse et fait glisser son pantalon à ses pieds, ainsi que son slip, et prend place devant Martine, un pied sur le canapé.
L’œil de mon épouse s’est allumé à la vue du superbe membre déjà bien érigé qu’il lui présente.
C’est un beau morceau qu’il arbore sous nos yeux, droit et épais, terminé par un gland proéminent.
À l’exception d’un petit carré de toison pubienne soigneusement coupée, Rachid est complètement épilé, ce qui met en valeur la longueur de sa verge sous laquelle se balancent des bourses bien remplies.
Je sens poindre en moi une petite jalousie, la comparaison n’étant malheureusement pas en ma faveur.
Je comprends que ma femme l’apprécie.
Martine s’empare du membre dressé et le lèche copieusement, tout en caressant les fesses nues de Rachid de sa main libre.
J’ai l’impression qu’elle met beaucoup d’amour dans ses caresses, comme si elle attendait cela depuis longtemps, et c’est assez troublant.
Ma femme referme sa bouche sur le gland lisse et se met à le sucer avec délectation, tout en branlant la tige gonflée.
Je connais suffisamment les effets de ce petit traitement, la douceur exquise de ses lèvres, pour ne pas donner longtemps à mon copain avant de jouir.
Et dire que c’est moi qui lui ai appris la fellation !
Elle a été une très bonne élève, c’est sûr, mais je n’avais pas pensé que d’autres en profiteraient.
Tout en lui malaxant les couilles, relevant la tête de temps à autre pour juger du résultat, elle le pompe de plus en plus activement, encouragée par les râles de contentement de Rachid.
- Ohhhh… Oohhhh… Martine ! C’est bon ! Continue comme ça !
- Elle te suce bien j’espère ? Ne puis-je m’empêcher de lâcher tout d’un coup, un peu énervé.
- Oui Pierre… elle se débrouille vraiment bien ! répond-il en me regardant, un peu étonné de ma question.
Sa bite disparaît presque entièrement dans la gorge de ma femme à chaque fois qu’elle plonge dessus, sa respiration se fait plus courte et bruyante, témoignant de la montée de son plaisir.
- Ouhhhh… Oui… Martine, oui… C’est bon ! gémit-il en lui caressant les cheveux, le dos cambré pour mieux se faire avaler. Qu’est-ce que c’est bon de se faire sucer !
Il a beau m’avoir fait cocu, le voir se faire sucer par Martine me fait triquer, et je me branle de plus en plus activement sous mon peignoir.
Ses mains sur la tête de ma femme, il accompagne le mouvement de va-et-vient, cherchant à se maintenir enfoncé en elle.
- Ahhhh… Martine… Ouhhh… Je vais venir !
Il se raidit brusquement, lâche un râle bruyant et je comprends qu’il vient de jouir, la queue profondément enfoncée dans la gorge de Martine.
Celle-ci a un hoquet, s’immobilise, regardant notre ami dans les yeux tandis qu’il se décharge en elle, l’inondant de sa semence chaude et épaisse.
En voyant le liquide blanc suinter de ses lèvres entrouvertes, je ne peux réprimer un petit pincement au cœur, car ce sperme n’est pas le mien.
Martine se régale du membre trempé de sperme et de salive mélangés, s’attachant à bien le lécher sur toute la longueur, puis le libère à regret.
Je comprends qu’elle a adoré avoir cette bite sans la bouche, sentir la semence chaude et épaisse couler dans sa gorge.
- A moi mon amour ! Dis-je en m’approchant de ma femme. Je crois que j’en ai bien besoin !
Je prends la place de Rachid, ouvre mon peignoir, et la laisse s’emparer de mon sexe, dont l’érection est effectivement conséquente.
Elle referme ses lèvres sur moi, sa langue s’enroule à merveille sur mon gland congestionné et dur, provoquant immédiatement des frissons délicieux qui irradient mon sexe, et le font durcir un peu plus.
La douceur de sa bouche est un pur bonheur, je me laisse envahir par d’exquises sensations oubliant tout d’un coup la nature particulière de cette soirée.
Je suis assez fier de l’avoir initiée malgré tout, car c’est évident, Martine suce comme une reine.
Je la sens s’exciter sur mon sexe, ce qui me réjouit, mais je réalise que je ne suis pas le seul à l’origine son emballement.
Rocky lui branle doucement le clitoris, tandis qu’il la doigte fébrilement de son autre main, avec deux doigts profondément enfoncés dans la chatte certainement bien trempée.
Martine se tord sur le canapé, ayant bien du mal à me garder dans sa bouche.
Les caresses de Rocky qui la fouille depuis un moment l’ont amenée au bord de la jouissance et son orgasme explose, dans un hurlement de plaisir.
Sa main s’est crispée sur ma verge, et pendant quelques secondes, elle est prise de tremblements qui la secouent de la tête aux pieds.
Puis elle reprend sa fellation, aspirant mon gland comme une folle, m’avalant jusqu’à la garde tout en me pressant les couilles de sa main libre.
Mes testicules gonflés roulent entre ses doigts, faisant grimper mon plaisir de plus en plus, car la coquine me connaît parfaitement et sait comment m’amener à la jouissance.
- Oui ma chérie…comme ça ! Continue….Oui… !
Sa fellation est exquise et je ne tarde pas à jouir à mon tour, éjaculant mon sperme dans sa bouche grande ouverte.
Les jets fusent, saccadés, répandant le liquide crémeux dont elle se délecte avant de l’avaler, visiblement ravie.
Je suis assez content de l’inonder car ce n’est pas si souvent qu’elle accepte de me boire, et là j’ai l’impression d’être beaucoup plus prodigue que d’habitude.
Rocky s’est relevé et déshabillé, impatient de profiter à son tour des bonnes dispositions de son hôtesse.
Petit et trapu, il est très baraqué, visiblement adepte de bodybuilding ou quelque chose de similaire, à en juger la puissante musculature de son torse et de ses bras.
Rachid et moi-même paraissons presque maigrichons à côté de lui.
Des pectoraux très développés, des cuisses et un fessier robustes, il émane de lui une impression de force animale, à l’image du membre qu’il branle du bout des doigts.
Bien plus long que le mien, bien plus épais, avec de grosses veines, et terminé par un petit gland effilé.
Avec une paire de couilles digne d’un taureau, l’ensemble est presque disproportionné par rapport à la taille de l’individu.
C’est assurément une belle queue, massive et solide, qui doit produire son petit effet.
Il s’assoit sur le canapé, invitant Martine à le rejoindre.
Il n’a pas l’intention de se faire sucer, mais bien de baiser mon épouse.
Nous sommes au pied du mur et tout d’un coup cela ne me parait plus si grisant que cela.
Hélas il est trop tard pour reculer, d’autant qu’à la vue de l’imposante verge le regard de Martine s’est allumé de façon inhabituelle, brillant de convoitise, comme un enfant devant un jouet extraordinaire.
A suivre…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
je veu etre martine
Tu as entièrement raison de la faire s'épanouir devant toi, quel délice. J'aurai bien aimé voir ses belles mamelles en photo.
Dis nous la suite s'il te plait.
Merci
Dis nous la suite s'il te plait.
Merci