les aventures de martine - Soirée expiatoire 2
Récit érotique écrit par PIERRE DAVID [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-01-2012 dans la catégorie Plus on est
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les aventures de martine - Soirée expiatoire 2
Nous sommes au pied du mur et tout d’un coup cela ne me parait plus si grisant que cela.
Hélas il est trop tard pour reculer, d’autant qu’à la vue de l’imposante verge le regard de Martine s’est allumé de façon inhabituelle, brillant de convoitise, comme un enfant devant un jouet extraordinaire.
Résigné, et curieux je la regarde enjamber Rocky, pendant que Rachid lui enlève son déshabillé, devenu inutile et encombrant, effleurant au passage les généreux mamelons.
- Viens là, ma belle ! dit Rocky. Viens ! Tu es bien prête, maintenant, hein ?
Tenant l’énorme sexe dans une main, elle le guide contre sa vulve humide, se frotte un instant sur le gland, puis se laisse glisser lentement, laissant échapper un petit cri de douleur.
Elle se relève puis s’empale à nouveau sur le pieu de chair, glissant cette fois-ci un peu plus facilement.
C’est sûrement la première fois qu’elle a affaire à une bite de ce diamètre, et l’effet de surprise a joué.
Après quelques allers-retours superficiels, elle se laisse enfin aller, et s’empale totalement, lâchant une plainte sonore.
Elle commence à aller et venir lentement sur le membre épais, le dos cambré, en appui sur les cuisses de Rocky qui l’aide en lui tenant les fesses.
Le rythme s’accélère, ma femme ferme les yeux, toute à son plaisir de sentir en elle ce gros pénis qui doit la remplir complètement.
- Je crois qu’elle aime ça ! Me glisse Rachid à l’oreille. C’est vrai qu’il est bien monté, hein ?
Je ne réponds pas, assistant, subjugué, à la jouissance de mon épouse qui s’empale frénétiquement sur Rocky, ondulant du bassin à la recherche des meilleures sensations.
Telle une amazone, elle chevauche son partenaire, montant et descendant sur le pieu de chair qui lui écartèle la chatte, manifestant de plus en plus bruyamment son plaisir.
- Ohmmm… Ouuhhhh…! Qu’est-ce que tu es gros… ! Gémit-elle
- Ah, j’ai une belle bite, hein ?
- Oui…oh oui !
- Vas-y, dis-le ! Allez !
- Tu as une belle bite !
L’entendre prononcer ces mots me fait l’objet d’un électrochoc, ce n’est pas du tout son langage habituel même dans l’intimité, mais je trouve cette pointe de vulgarité plutôt excitante.
- Allez dis-le encore ! Dis que tu l’aimes !
- J’aime ta bite ! J’aime ta grosse bite Rocky !
Il se renverse sur le canapé et l’attire vers lui, et c’est lui qui prend le relais, la martelant à grands coups de reins, dans le claquement des cuisses contre les fesses.
Je regarde, ému, le robuste membre qui, tel un marteau-pilon, défonce littéralement mon épouse, s’engouffrant profondément dans son vagin dilaté.
Rocky a saisi les seins qui se balancent lourdement sous son nez, en suce les pointes brunes, aux tétons magnifiquement dressés, gorgés de désir.
Ses doigts s’enfoncent dans les chairs, pétrissant avec ardeur les deux globes bien fermes dont j’étais jusqu’à présent le seul et heureux bénéficiaire.
Je dois me faire une raison, ces superbes melons ne me sont plus réservé car d’autres sont en train d’y goûter.
- J’adore tes nibards… Ils sont vraiment beaux ! Tu me sens, dis ?
- Ooohh… Rocky, oui… oui… Je te sens bien ! Aaahhh ! Ouiiii !
Je pense qu’elle vient de jouir à nouveau, et cela me rend heureux, alors même que je n’en suis pas à l’origine.
Une bouffée d’amour monte en moi, me submerge, j’ai une folle envie d’elle.
Sans réfléchir, je me lève du canapé et m’approche d’eux.
Ma queue est dure comme la pierre, je n’ai plus qu’une envie, la plonger dans ce cul sublime qui gigote devant moi, secoué par le martèlement infernal de Rocky.
Je n’en reviens pas de l’endurance de ce type et de son énergie.
Qu’est-ce qu’il lui met !
Je caresse les fesses nues, appréciant la chair ferme et soyeuse, puis glisse dans sa raie jusqu’à la rosette plissée que je masse doucement, puis, salivant dessus, j’y introduis mon index, l’enfonçant en entier.
Lentement je le fais aller et venir dans l’orifice étroit, puis un deuxième, percevant le pieu de Rocky qui va-et-vient, infatigable.
J’appuie mon gland contre l’anus bien assoupli et, d’une lente poussée, je pénètre Martine.
Elle a un petit soubresaut à l’introduction et tourne la tête pour voir qui la sodomise.
Elle me sourit, faisant un signe de tête qui vaut accord à mon avis et je m’enfonce doucement et complètement en elle, sans marquer vraiment de temps d’attente.
Cela ne m’étonne guère connaissant les qualités naturelles de dilatation de son anus.
Rocky ralentit sa cadence pour me permettre de prendre place et de trouver un rythme en alternance, puis s’active à nouveau.
Martine gémit quand je la pénètre, puis ses gémissements se transforment en cris de douleur et de plaisir mêlés, au fur et à mesure que le rythme s’accélère.
- Il est bon ton cul mon amour ! Tu nous sens bien… ?
- Ohhhh oui… vous êtes durs ! J’aime sentir vos sexes en moi !
- T’es vraiment bonne, toi ! s’exclame Rocky.
- c’est vrai… c’est bon de te baiser ma chérie !
Je sens contre ma verge les va-et-vient de Rocky, de l’autre côté, ce qui est assez troublant, je dois dire, mais très excitant.
- Je t’aime ma chérie ! Dis-je en la sodomisant copieusement. Je veux te faire du bien !
- Ohhh… mon amour…. prends-moi !
Le rythme de Rocky s’accélère tout à coup, il se met à souffler comme un bœuf, serrant les hanches de ma femme comme un forcené.
- Ouhhh… ouhhhh ! T’es bonne toi… ! Aahhhh !
- Oui… Oui… Ohhh, chéri… il me fait du bien !
Je sens le gonflement de son membre, une pression formidable contre le mien et sa jouissance explose littéralement, dans un formidable orgasme qui déclenche celui de Martine également.
Dans un cri de bonheur, elle s’affale sur lui, immobile, pendant qu’il se vide les couilles en elle, longuement, avec des soubresauts à chaque jet de foutre.
J’imagine avec une certaine émotion le liquide étranger en train d’inonder l’intimité de ma femme, s’écoulant dans les moindres recoins de son vagin.
Ne voulant pas être en reste, la tenant fermement par les hanches, je la défonce de plus belle, galvanisé par ses gémissements à chacun de mes assauts, ma queue gonflée et bien dure venant frapper le fond de son cul.
J’ai une telle envie d’elle que je la tringle comme rarement je l’ai fait, puissamment intensément, profondément.
- Ahhhh… ma chérie… c’est bon de te baiser… !
- Oui…. C’est bon… ! continue mon amour !
Ivre de désir, je me déchaîne, déterminé à ne pas être en reste et lui prouver mon amour, allant et venant vigoureusement en elle, lui labourant son admirable croupe.
- Je t’aime ma chérie… ! J’aime ton cul, tu sais… !
Ne pouvant plus me retenir, je ne tarde pas à jouir, noyant son anus de ma semence brûlante.
C’est absolument divin de se déverser au cœur de son écrin douillet, complètement dilaté, et dans lequel je glisse maintenant si facilement.
Je sens ma liqueur s’écouler en elle, chaude et épaisse, tandis qu’un sentiment de bien-être et de détente m’envahit doucement.
Décidément j’aime vraiment son cul !
Quelques instants plus tard, nous nous retrouvons autour de la table, et je sers un verre, histoire de récupérer.
Nous trinquons, nus comme des vers, reconnaissants de la prestation que vient de réaliser mon épouse.
Rachid lève son verre.
- À ta santé, ma Martine !
- Santé ! répond-elle en souriant, avant de se lever et de partir vers la salle de bains, les cuisses ruisselantes du sperme qui s’écoule de ses orifices dilatés.
Profitant de son absence Rachid m’exprime sa jubilation.
- Tu sais Pierre, je t’envie… ! Martine est super, elle a drôlement changé ! C’est une vraie bombe ! Je n’en reviens pas.
-Et moi donc ! Je ne sais pas ce qui s’est passé.
-Vous êtes un couple drôlement libéré, merci pour ta compréhension !
Le calme est revenu dans la pièce, et j’espère maintenant que nos invités vont prendre congé, car je voudrais bien finir la soirée avec un peu plus d’intimité.
Maintenant qu’ils se sont bien vidé les couilles ils n’ont plus de raison de rester.
Rocky s’est installé dans un fauteuil, les yeux mi-clos, il semble somnoler et Rachid est parti aux toilettes.
Quelques minutes passent, mon verre est fini.
Martine n’étant toujours pas revenue de la salle de bain, cela m’étonne un peu et je décide d’aller voir ce qui se passe.
Au bout du couloir, la porte est légèrement entrebâillée, et il me semble entendre du bruit. Tendant l’oreille, je reconnais la voix chuchotée de Rachid :
- Putain… Martine ! Tu es bonne ! Qu’est-ce que j’aime te baiser !
- Ohhhh… Rachid… Oui…oui…!
Mon sang ne fait qu’un tour, et ce que je découvre en ouvrant la porte me fait hurler :
Martine, penchée sur le lavabo, les mains accrochées à la vasque, jambes écartées, et Rachid, debout derrière elle, qui la tringle copieusement.
- Martine ! Ce n’est pas vrai ! C’est bon maintenant !
- Calme-toi ! me lance Rachid sans se démonter. Regarde-la… tu ne vois pas qu’elle aime ça ! Elle prend son pied !
Dans le miroir se reflète le visage de mon épouse, et je connais bien cette expression qui la transfigure.
Le regard un peu vitreux, les yeux à demi révulsés, c’est bien la jouissance qui la transporte et ses gémissements ne sont pas feints.
Rachid, que ma présence ne trouble pas le moins du monde, continue de la bourrer vigoureusement, s’enfouissant voluptueusement en elle, la faisant couiner à chaque plongée de sa longue queue dure et gonflée.
La vision de ce pieu de chair qui lui écartèle le vagin, la fouillant au plus profond de ses chairs, me laisse un goût amer tout en me faisant bander.
Je ne peux m’en prendre qu’à moi-même car j’ai provoqué ce qui se passe, mais j’ai perdu le contrôle, et Rachid profite de la situation avec un cynisme absolu.
- Il faut te faire une raison mon vieux… Ta femme aime baiser ! Tu devrais être content qu’elle aime le cul, non ? Tiens, suce-le ! dit-il à Martine, très directif, cela va le calmer !
Obéissante elle se penche vers moi et s’empare de mon sexe, lequel, en quelques secondes entre ses lèvres expertes retrouve une belle érection.
Sa langue, vraiment extraordinaire, fait frémir mon gland, le sang afflue dans ma verge qui durcit inexorablement.
Martine s’excite de plus en plus, bousculée par les coups de boutoir de Rachid, et me suce avec un bel appétit, enfournant mon sexe jusqu’à la garde.
Je suis rapidement redevenu très dur, prêt à l’honorer une fois de plus, sous le regard hilare de mon copain.
Tout cela fait du bruit et finit par alerter Rocky qui débarque à son tour dans la salle de bain.
Sans état d’âme, il se plante à mes côtés devant Martine, le chibre hérissé et le lui enfourne dans la bouche sans trop de ménagement.
Le volume de son engin est important pour la petite bouche de mon épouse qui se déforme les mâchoires pour parvenir à l’engloutir.
Il faut vraiment qu’elle soit affamée pour réussir à l’absorber, mais elle y arrive et commence à le pomper, tout en lui pressant les gros testicules qui pendent sous le membre.
On dirait vraiment des couilles de taureau, signe de la puissance qui se dégage de cet individu.
- Ouais… C’est ça ! Tu suces bien, toi ! L’encourage-t-il d‘une voix rauque.
- Elle suce comme une reine, tu veux dire ! Corrige Rachid. N’est-ce pas ? interroge-t-il en se tournant vers moi. Tu as vraiment de la chance ! Je comprends que tu veuilles garder ça pour toi, hein !
Je confirme d’un signe de tête, admiratif de mon épouse qui avale le membre massif avec une avidité étonnante, tandis que Rocky souffle bruyamment en la regardant faire.
Son sexe paraît énorme, avec ses grosses veines saillantes, et Martine manque de s’étouffer à plusieurs reprises quand il cherche à s’enfoncer plus loin dans sa gorge.
Salivant énormément, elle va-et-vient sur la bite durcie, ses deux mains accrochées aux fesses musclées de Rocky.
- oui… vas-y ma belle… suce-moi bien ! l’encourage-t-il.
- c’est bon ma chérie ce que tu nous fais… !
Elle nous suce à tour de rôle, enfournant nos attributs avec une envie qui fait plaisir à voir, nous amenant petit à petit à la jouissance.
Elle aime ça, il n’y a pas de doute.
Le spectacle qui se reflète dans le grand miroir de la salle de bains me parait incroyable, et pourtant tout à fait réel.
Dans ce petit espace Martine, courbée en deux, nous suce en alternance, tandis que Rachid la baise fiévreusement par derrière.
Jamais je n’aurais cru cela possible.
Passablement excité par tout ça, brûlant de désir pour elle, je ne tarde pas à l’honorer, l’abreuvant abondamment de mon nectar brûlant, ma verge enfouie dans sa gorge.
Rachid finit par jouir également, planté au creux de ses reins, lui noyant le vagin sous des torrents de foutre, en meuglant son plaisir comme une bête.
- Ohhh… Martine…. Je jouis… ! T’es vraiment bonne…!
Il fait quelques allers-retours puis se retire à regret, aussitôt remplacé par son pote qui, sans la laisser souffler, saisit Martine par la taille, la tourne vers la baignoire, plus basse, sur laquelle il la fait se pencher.
La croupe maintenant bien relevée, ma femme se fait littéralement saillir par Rocky qui la pénètre d’un coup de rein puissant, en lâchant un râle de satisfaction.
- Ouais… Voilà ! Ça c’est bon nom d’un chien ! S’exclame-t-il en nous regardant.
Il la pilonne avec une énergie féroce, soufflant comme un animal, lui ravageant le ventre à coups de reins puissants.
La sueur perle sur sa peau, sous laquelle se dessine une musculature impressionnante. Solidement campé sur ses jambes musclées, le fessier contracté, il révèle une virilité vigoureuse, presque sauvage.
Ses mains accrochées fermement aux hanches pulpeuses, il embroche littéralement ma femme sur son dard, la faisant hurler de plaisir.
- Qu’est-ce que j’avais envie de baiser ! Nom d’un chien… Je te veux !
- Ouhhh…oui !... oui !Aahhh… Rocky… c’est bon !
- T’es bonne toi… ! tu la sens bien ma queue, hein…?
- Ouiii… ! Ohhh…oui !
- Elle aime ma queue, ta femme…! dit-il en me regardant dans les yeux. Elle aime les grosses queues!
Je reste impressionné par le volumineux braquemart qui la défonce, lui écartelant la chatte, s’enfonçant elle jusqu’à la garde, les couilles venant frapper ses fesses nues avec un claquement sonore.
Elle doit ressentir des choses qu’elle ne ressent pas avec moi c’est sûr, et ses cris résonnent dans la salle de bains, comme autant de louanges pour une jouissance inégalée.
Rocky ne ménage pas sa peine, baisant Martine avec une détermination farouche, presque violente, en mâle puissant déterminé à couvrir sa femelle.
Il y a quelque chose d’animal en lui, à la fois inquiétant et excitant.
- tu aimes ça, hein… ? demande-t-il dans un rugissement de bête fauve. Tu aimes que je te baise avec ma grosse queue !
- Ouiii.. Oohhhh…..oui ! Crie Martine, le corps secoué par les assauts de son partenaire. J’aime ta grosse queue… !
- Ahhh….. Qu’est-ce que t’es bonne toi ! c’est bon de te baiser…. !
Son orgasme le submerge bientôt, et dans un cri de jouissance absolue, il explose en elle, ajoutant sa semence à celle de Rachid.
Ma femme accueille cette nouvelle offrande qui déferle au fond de son ventre en gémissant longuement, son regard planté dans le mien et je lis dans ses yeux tout le bonheur que cela lui donne.
- Oohhh…. Ahhh…. mon amour … c’est trop bon ce qu’il me fait … ! lâche-t-elle dans un râle essoufflé, prise de violents tremblements qui parcourent son corps tout entier.
Je sais à cet instant qu’elle jouit à une fois de plus, comblée par cette queue massive et énergique qui remplit si bien son intimité…
Rocky, tous muscles bandés, la bourre profondément, se vidant les couilles à son tour, et le regard qu’il échange avec Rachid en dit long sur sa satisfaction.
Il reste un moment immobile, couché sur mon épouse, intimement soudé à elle, reprenant son souffle, lui caressant les seins, s’imprégnant une dernières fois de la douceur de sa peau, de ses formes généreuses.
Redressé, il lui flatte la croupe, en la félicitant d’une voix admirative.
T’es vraiment un bon coup toi… ! Il a de la chance ton mari !
Du bout des doigts, il recueille le foutre crémeux qui s’échappe de la chatte dévastée et les fait lécher à Martine, qui semble apprécier.
- tu aimes, hein ? Questionne-t-il. Tu dois être contente, on t’a bien remplie, tu sais… !
Q’est-ce qu’elle est bonne… putain ! dit-il en me regardant d’un œil envieux.
Je ne sais pas si je dois me réjouir de son sentiment, ou au contraire si je dois me méfier, d’autant que Martine a pris un super pied, c’est évident, et le retour à notre réalité risque de ne pas être en ma faveur.
Mais je me dis que les sentiments que nous avons l’un pour l’autre compenseront certainement les différences physiques.
De retour au salon nous trinquons à nouveau, histoire de nous rafraichir, échangeant quelques plaisanteries, et vantant surtout les mérites de Martine.
J’ai hâte que nos invités prennent congé, que je puisse retrouver notre intimité, et montrer à ma femme tout l’amour que j’ai pour elle.
Il règne toujours dans la pièce une atmosphère particulière, une sensation un peu sauvage faite d’excitation et de désir auxquels se mêle le sentiment d’une situation peu banale, comme un tabou brisé.
Je me rends compte que nous arborons tous encore une belle érection, attisée certainement par la plastique alléchante que Martine nous dévoile.
Ses formes plantureuses, pleines de promesses, me font fantasmer, tout comme elles doivent faire fantasmer nos deux amis qui ne la quittent pas des yeux, le regard brillant de convoitise.
Sans mot dire elle s’est allongée sur la table basse du salon, et nous regarde à tour de rôle, les yeux inondés de désir.
Les cuisses écartées, elle nous laisse contempler sa vulve trempée et dilatée, tandis qu’elle se caresse les seins, roulant les grosses pointes brunes entre ses doigts.
Je ne peux que constater qu’elle est vraiment bandante dans sa nudité offerte à nos regards, sans gêne mais sans vulgarité non plus.
Elle ne dit rien mais nous sentons tous qu’elle n’est pas totalement rassasiée et attend d’être prise une nouvelle fois, d’être remplie de nos sexes sur lesquels son regard s’attarde, nous jaugeant l’un après l’autre.
Rachid s’approche d’elle, le membre érigé, lui replie les jambes sur le ventre la forçant ainsi à basculer le bassin, dégageant largement son intimité, frotte un instant son gland contre la vulve humide puis glisse vers son petit œillet, qu’il force lentement mais sûrement.
La longue verge qui disparaît peu à peu dans le cul de ma femme ne me laisse pas indifférent, et j’ai bien du mal à réprimer le sentiment de jalousie qui monte en moi.
Il s’enfonce en elle très facilement, me regardant du coin de l’œil, un léger sourire sur les lèvres, et la sodomise, lui arrachant quelques plaintes étouffées.
- Tu aimes ça, ma Martine… hein ? demande-t-il doucement
Elle ne répond pas, se contentant de le fixer avec un regard qui en dit long sur le plaisir qu’elle ressent en se faisant pénétrer par la belle verge bien dure de notre ami, mais j’ai bien vu un léger mouvement de tête qui voulait dire oui.
Je me plais à imaginer les sensations prodiguée par le pieu de chair qui lui laboure les entrailles, la fouillant profondément dans un va-et-vient régulier et continu.
Sa longueur doit lui permettre d’atteindre des zones que je n’atteins pas, et par là, provoquer de nouvelles sensations pour Martine qui pousse des petits cris chaque fois qu’il est au fond.
Ses gémissements m’électrisent, j’ai à nouveau une trique d’enfer qui me fait presque mal et je n’ai bientôt qu’une envie, la prendre à mon tour.
Je me lève, et vient l’enjamber, face à mon pote, et guidant mon sexe d’une main, je prends possession de sa chatte dans laquelle je glisse quasiment à la verticale, plongeant dans les profondeurs chaudes et humides.
Je sens contre ma bite le frottement de celle de Rachid, retrouvant cette sensation nouvelle pour moi, le contact d’une autre queue, bien dure contre la mienne de l’autre coté de la fine membrane qui sépare les deux orifices.
Nos corps sont à se toucher et nous sous sourions, heureux de partager des sensations exceptionnelles, conscient du plaisir que nous donnons à Martine en la baisant ainsi, sa jouissance démultipliée par l’action vigoureuse de nos deux verges.
Son plaisir monte inexorablement, ses râles se font plus bruyants, tandis qu’elle s’accroche à mes jambes avec force.
Jamais je n’aurai pensé la baiser ainsi, c’est un pur bonheur !
Nos bites la pénètrent en alternance, sans lui laisser le moindre répit, tels deux increvables pistons qui lui fourragent le ventre et le cul de fond en comble.
J’ai l’impression que mon sexe est énorme, formidablement gonflé d’une envie de la baiser comme jamais je l’ai baisée, et je m’enfonce en elle, profondément, intensément, galvanisé par la situation et le plaisir qu’elle manifeste.
Rocky enjambe à son tour mon épouse, en me tournant le dos, l’oblige à avaler sa grosse queue, et se met à lui baiser la bouche, bien calé sur ses cuisses repliées.
Le membre épais et gonflé, avec ses grosses veines saillantes, plonge à la verticale dans la gorge distendue, dans un flot de salive qui s’étire en longs filets blanchâtres à chaque fois qu’il ressort.
Martine m’a lâché les cuisses, jetant son dévolu sur les bourses pendantes pour en malaxer les gros testicules.
Rocky n’est pas insensible au traitement, et l’exprime bruyamment.
- Ouais… c’est ça ! c’est bien comme ça… ! tu sais y faire toi…y’a pas de doute ! s’exclame-t-il.
Il ne la laisse presque pas respirer, tout à sa jouissance de lui ramoner la gorge, ses mains lui maintenant la tête pour mieux la posséder.
Pendant un long moment nous baisons Martine, lui ramonant tous ses orifices, sans qu’elle cherche à se libérer de nos étreintes, étourdie par la jouissance donnée par nos trois bites qui la fouillent passionnément.
Je découvre en elle des ressources incroyables, et en tire une certaine fierté vis-à-vis de nos deux invités, lesquels se souviendront longtemps de cette soirée, j’en suis sûr.
Je sais que je vis un moment très particulier qui me procure une jouissance incomparable et
J’espère qu’il en est de même pour mon épouse.
Je pense que oui, à en juger les râles de plaisir qui fusent de sa gorge encombrée et des frissons qui parcourent son corps de plus en plus intensément.
Elle me semble carrément en transe, bousculée, dévastée, s’abandonnant sans réserve aux assauts de trois mâles déchainés, ivres de désir, déterminés à la posséder une fois de plus.
Nos jouissances éclatent presque en même temps et nous l’inondons une fois de plus de notre semence, indispensable offrande pour le plaisir qu’elle nous donne.
Je regarde avec émotion ses orifices saturés dégorger le trop plein de foutre qui s’écoule lentement en long filet crémeux entre ses fesses, formant une petite flaque sur la table.
Qu’est-ce qu’on lui a mis, pensai-je, elle a vraiment reçu une sacré ration ce soir.
Rocky lui a déversé dans la gorge son nectar brûlant, la faisant presque suffoquer, mais elle n’en laisse rien perdre, et avale la totalité du précieux liquide, léchant le membre gluant de foutre avec une avidité presque folle, jusqu’à la dernière goutte.
Je découvre avec étonnement à quel point elle aime le sperme, ce qui n’est pas pour me déplaire, loin de là.
Nos invités partis, nous finissons la soirée intimement unis sous la couette, et Martine s’est encore déchaînée, m’emmenant vers des sommets de plaisir.
Mais c’est une autre histoire…
Hélas il est trop tard pour reculer, d’autant qu’à la vue de l’imposante verge le regard de Martine s’est allumé de façon inhabituelle, brillant de convoitise, comme un enfant devant un jouet extraordinaire.
Résigné, et curieux je la regarde enjamber Rocky, pendant que Rachid lui enlève son déshabillé, devenu inutile et encombrant, effleurant au passage les généreux mamelons.
- Viens là, ma belle ! dit Rocky. Viens ! Tu es bien prête, maintenant, hein ?
Tenant l’énorme sexe dans une main, elle le guide contre sa vulve humide, se frotte un instant sur le gland, puis se laisse glisser lentement, laissant échapper un petit cri de douleur.
Elle se relève puis s’empale à nouveau sur le pieu de chair, glissant cette fois-ci un peu plus facilement.
C’est sûrement la première fois qu’elle a affaire à une bite de ce diamètre, et l’effet de surprise a joué.
Après quelques allers-retours superficiels, elle se laisse enfin aller, et s’empale totalement, lâchant une plainte sonore.
Elle commence à aller et venir lentement sur le membre épais, le dos cambré, en appui sur les cuisses de Rocky qui l’aide en lui tenant les fesses.
Le rythme s’accélère, ma femme ferme les yeux, toute à son plaisir de sentir en elle ce gros pénis qui doit la remplir complètement.
- Je crois qu’elle aime ça ! Me glisse Rachid à l’oreille. C’est vrai qu’il est bien monté, hein ?
Je ne réponds pas, assistant, subjugué, à la jouissance de mon épouse qui s’empale frénétiquement sur Rocky, ondulant du bassin à la recherche des meilleures sensations.
Telle une amazone, elle chevauche son partenaire, montant et descendant sur le pieu de chair qui lui écartèle la chatte, manifestant de plus en plus bruyamment son plaisir.
- Ohmmm… Ouuhhhh…! Qu’est-ce que tu es gros… ! Gémit-elle
- Ah, j’ai une belle bite, hein ?
- Oui…oh oui !
- Vas-y, dis-le ! Allez !
- Tu as une belle bite !
L’entendre prononcer ces mots me fait l’objet d’un électrochoc, ce n’est pas du tout son langage habituel même dans l’intimité, mais je trouve cette pointe de vulgarité plutôt excitante.
- Allez dis-le encore ! Dis que tu l’aimes !
- J’aime ta bite ! J’aime ta grosse bite Rocky !
Il se renverse sur le canapé et l’attire vers lui, et c’est lui qui prend le relais, la martelant à grands coups de reins, dans le claquement des cuisses contre les fesses.
Je regarde, ému, le robuste membre qui, tel un marteau-pilon, défonce littéralement mon épouse, s’engouffrant profondément dans son vagin dilaté.
Rocky a saisi les seins qui se balancent lourdement sous son nez, en suce les pointes brunes, aux tétons magnifiquement dressés, gorgés de désir.
Ses doigts s’enfoncent dans les chairs, pétrissant avec ardeur les deux globes bien fermes dont j’étais jusqu’à présent le seul et heureux bénéficiaire.
Je dois me faire une raison, ces superbes melons ne me sont plus réservé car d’autres sont en train d’y goûter.
- J’adore tes nibards… Ils sont vraiment beaux ! Tu me sens, dis ?
- Ooohh… Rocky, oui… oui… Je te sens bien ! Aaahhh ! Ouiiii !
Je pense qu’elle vient de jouir à nouveau, et cela me rend heureux, alors même que je n’en suis pas à l’origine.
Une bouffée d’amour monte en moi, me submerge, j’ai une folle envie d’elle.
Sans réfléchir, je me lève du canapé et m’approche d’eux.
Ma queue est dure comme la pierre, je n’ai plus qu’une envie, la plonger dans ce cul sublime qui gigote devant moi, secoué par le martèlement infernal de Rocky.
Je n’en reviens pas de l’endurance de ce type et de son énergie.
Qu’est-ce qu’il lui met !
Je caresse les fesses nues, appréciant la chair ferme et soyeuse, puis glisse dans sa raie jusqu’à la rosette plissée que je masse doucement, puis, salivant dessus, j’y introduis mon index, l’enfonçant en entier.
Lentement je le fais aller et venir dans l’orifice étroit, puis un deuxième, percevant le pieu de Rocky qui va-et-vient, infatigable.
J’appuie mon gland contre l’anus bien assoupli et, d’une lente poussée, je pénètre Martine.
Elle a un petit soubresaut à l’introduction et tourne la tête pour voir qui la sodomise.
Elle me sourit, faisant un signe de tête qui vaut accord à mon avis et je m’enfonce doucement et complètement en elle, sans marquer vraiment de temps d’attente.
Cela ne m’étonne guère connaissant les qualités naturelles de dilatation de son anus.
Rocky ralentit sa cadence pour me permettre de prendre place et de trouver un rythme en alternance, puis s’active à nouveau.
Martine gémit quand je la pénètre, puis ses gémissements se transforment en cris de douleur et de plaisir mêlés, au fur et à mesure que le rythme s’accélère.
- Il est bon ton cul mon amour ! Tu nous sens bien… ?
- Ohhhh oui… vous êtes durs ! J’aime sentir vos sexes en moi !
- T’es vraiment bonne, toi ! s’exclame Rocky.
- c’est vrai… c’est bon de te baiser ma chérie !
Je sens contre ma verge les va-et-vient de Rocky, de l’autre côté, ce qui est assez troublant, je dois dire, mais très excitant.
- Je t’aime ma chérie ! Dis-je en la sodomisant copieusement. Je veux te faire du bien !
- Ohhh… mon amour…. prends-moi !
Le rythme de Rocky s’accélère tout à coup, il se met à souffler comme un bœuf, serrant les hanches de ma femme comme un forcené.
- Ouhhh… ouhhhh ! T’es bonne toi… ! Aahhhh !
- Oui… Oui… Ohhh, chéri… il me fait du bien !
Je sens le gonflement de son membre, une pression formidable contre le mien et sa jouissance explose littéralement, dans un formidable orgasme qui déclenche celui de Martine également.
Dans un cri de bonheur, elle s’affale sur lui, immobile, pendant qu’il se vide les couilles en elle, longuement, avec des soubresauts à chaque jet de foutre.
J’imagine avec une certaine émotion le liquide étranger en train d’inonder l’intimité de ma femme, s’écoulant dans les moindres recoins de son vagin.
Ne voulant pas être en reste, la tenant fermement par les hanches, je la défonce de plus belle, galvanisé par ses gémissements à chacun de mes assauts, ma queue gonflée et bien dure venant frapper le fond de son cul.
J’ai une telle envie d’elle que je la tringle comme rarement je l’ai fait, puissamment intensément, profondément.
- Ahhhh… ma chérie… c’est bon de te baiser… !
- Oui…. C’est bon… ! continue mon amour !
Ivre de désir, je me déchaîne, déterminé à ne pas être en reste et lui prouver mon amour, allant et venant vigoureusement en elle, lui labourant son admirable croupe.
- Je t’aime ma chérie… ! J’aime ton cul, tu sais… !
Ne pouvant plus me retenir, je ne tarde pas à jouir, noyant son anus de ma semence brûlante.
C’est absolument divin de se déverser au cœur de son écrin douillet, complètement dilaté, et dans lequel je glisse maintenant si facilement.
Je sens ma liqueur s’écouler en elle, chaude et épaisse, tandis qu’un sentiment de bien-être et de détente m’envahit doucement.
Décidément j’aime vraiment son cul !
Quelques instants plus tard, nous nous retrouvons autour de la table, et je sers un verre, histoire de récupérer.
Nous trinquons, nus comme des vers, reconnaissants de la prestation que vient de réaliser mon épouse.
Rachid lève son verre.
- À ta santé, ma Martine !
- Santé ! répond-elle en souriant, avant de se lever et de partir vers la salle de bains, les cuisses ruisselantes du sperme qui s’écoule de ses orifices dilatés.
Profitant de son absence Rachid m’exprime sa jubilation.
- Tu sais Pierre, je t’envie… ! Martine est super, elle a drôlement changé ! C’est une vraie bombe ! Je n’en reviens pas.
-Et moi donc ! Je ne sais pas ce qui s’est passé.
-Vous êtes un couple drôlement libéré, merci pour ta compréhension !
Le calme est revenu dans la pièce, et j’espère maintenant que nos invités vont prendre congé, car je voudrais bien finir la soirée avec un peu plus d’intimité.
Maintenant qu’ils se sont bien vidé les couilles ils n’ont plus de raison de rester.
Rocky s’est installé dans un fauteuil, les yeux mi-clos, il semble somnoler et Rachid est parti aux toilettes.
Quelques minutes passent, mon verre est fini.
Martine n’étant toujours pas revenue de la salle de bain, cela m’étonne un peu et je décide d’aller voir ce qui se passe.
Au bout du couloir, la porte est légèrement entrebâillée, et il me semble entendre du bruit. Tendant l’oreille, je reconnais la voix chuchotée de Rachid :
- Putain… Martine ! Tu es bonne ! Qu’est-ce que j’aime te baiser !
- Ohhhh… Rachid… Oui…oui…!
Mon sang ne fait qu’un tour, et ce que je découvre en ouvrant la porte me fait hurler :
Martine, penchée sur le lavabo, les mains accrochées à la vasque, jambes écartées, et Rachid, debout derrière elle, qui la tringle copieusement.
- Martine ! Ce n’est pas vrai ! C’est bon maintenant !
- Calme-toi ! me lance Rachid sans se démonter. Regarde-la… tu ne vois pas qu’elle aime ça ! Elle prend son pied !
Dans le miroir se reflète le visage de mon épouse, et je connais bien cette expression qui la transfigure.
Le regard un peu vitreux, les yeux à demi révulsés, c’est bien la jouissance qui la transporte et ses gémissements ne sont pas feints.
Rachid, que ma présence ne trouble pas le moins du monde, continue de la bourrer vigoureusement, s’enfouissant voluptueusement en elle, la faisant couiner à chaque plongée de sa longue queue dure et gonflée.
La vision de ce pieu de chair qui lui écartèle le vagin, la fouillant au plus profond de ses chairs, me laisse un goût amer tout en me faisant bander.
Je ne peux m’en prendre qu’à moi-même car j’ai provoqué ce qui se passe, mais j’ai perdu le contrôle, et Rachid profite de la situation avec un cynisme absolu.
- Il faut te faire une raison mon vieux… Ta femme aime baiser ! Tu devrais être content qu’elle aime le cul, non ? Tiens, suce-le ! dit-il à Martine, très directif, cela va le calmer !
Obéissante elle se penche vers moi et s’empare de mon sexe, lequel, en quelques secondes entre ses lèvres expertes retrouve une belle érection.
Sa langue, vraiment extraordinaire, fait frémir mon gland, le sang afflue dans ma verge qui durcit inexorablement.
Martine s’excite de plus en plus, bousculée par les coups de boutoir de Rachid, et me suce avec un bel appétit, enfournant mon sexe jusqu’à la garde.
Je suis rapidement redevenu très dur, prêt à l’honorer une fois de plus, sous le regard hilare de mon copain.
Tout cela fait du bruit et finit par alerter Rocky qui débarque à son tour dans la salle de bain.
Sans état d’âme, il se plante à mes côtés devant Martine, le chibre hérissé et le lui enfourne dans la bouche sans trop de ménagement.
Le volume de son engin est important pour la petite bouche de mon épouse qui se déforme les mâchoires pour parvenir à l’engloutir.
Il faut vraiment qu’elle soit affamée pour réussir à l’absorber, mais elle y arrive et commence à le pomper, tout en lui pressant les gros testicules qui pendent sous le membre.
On dirait vraiment des couilles de taureau, signe de la puissance qui se dégage de cet individu.
- Ouais… C’est ça ! Tu suces bien, toi ! L’encourage-t-il d‘une voix rauque.
- Elle suce comme une reine, tu veux dire ! Corrige Rachid. N’est-ce pas ? interroge-t-il en se tournant vers moi. Tu as vraiment de la chance ! Je comprends que tu veuilles garder ça pour toi, hein !
Je confirme d’un signe de tête, admiratif de mon épouse qui avale le membre massif avec une avidité étonnante, tandis que Rocky souffle bruyamment en la regardant faire.
Son sexe paraît énorme, avec ses grosses veines saillantes, et Martine manque de s’étouffer à plusieurs reprises quand il cherche à s’enfoncer plus loin dans sa gorge.
Salivant énormément, elle va-et-vient sur la bite durcie, ses deux mains accrochées aux fesses musclées de Rocky.
- oui… vas-y ma belle… suce-moi bien ! l’encourage-t-il.
- c’est bon ma chérie ce que tu nous fais… !
Elle nous suce à tour de rôle, enfournant nos attributs avec une envie qui fait plaisir à voir, nous amenant petit à petit à la jouissance.
Elle aime ça, il n’y a pas de doute.
Le spectacle qui se reflète dans le grand miroir de la salle de bains me parait incroyable, et pourtant tout à fait réel.
Dans ce petit espace Martine, courbée en deux, nous suce en alternance, tandis que Rachid la baise fiévreusement par derrière.
Jamais je n’aurais cru cela possible.
Passablement excité par tout ça, brûlant de désir pour elle, je ne tarde pas à l’honorer, l’abreuvant abondamment de mon nectar brûlant, ma verge enfouie dans sa gorge.
Rachid finit par jouir également, planté au creux de ses reins, lui noyant le vagin sous des torrents de foutre, en meuglant son plaisir comme une bête.
- Ohhh… Martine…. Je jouis… ! T’es vraiment bonne…!
Il fait quelques allers-retours puis se retire à regret, aussitôt remplacé par son pote qui, sans la laisser souffler, saisit Martine par la taille, la tourne vers la baignoire, plus basse, sur laquelle il la fait se pencher.
La croupe maintenant bien relevée, ma femme se fait littéralement saillir par Rocky qui la pénètre d’un coup de rein puissant, en lâchant un râle de satisfaction.
- Ouais… Voilà ! Ça c’est bon nom d’un chien ! S’exclame-t-il en nous regardant.
Il la pilonne avec une énergie féroce, soufflant comme un animal, lui ravageant le ventre à coups de reins puissants.
La sueur perle sur sa peau, sous laquelle se dessine une musculature impressionnante. Solidement campé sur ses jambes musclées, le fessier contracté, il révèle une virilité vigoureuse, presque sauvage.
Ses mains accrochées fermement aux hanches pulpeuses, il embroche littéralement ma femme sur son dard, la faisant hurler de plaisir.
- Qu’est-ce que j’avais envie de baiser ! Nom d’un chien… Je te veux !
- Ouhhh…oui !... oui !Aahhh… Rocky… c’est bon !
- T’es bonne toi… ! tu la sens bien ma queue, hein…?
- Ouiii… ! Ohhh…oui !
- Elle aime ma queue, ta femme…! dit-il en me regardant dans les yeux. Elle aime les grosses queues!
Je reste impressionné par le volumineux braquemart qui la défonce, lui écartelant la chatte, s’enfonçant elle jusqu’à la garde, les couilles venant frapper ses fesses nues avec un claquement sonore.
Elle doit ressentir des choses qu’elle ne ressent pas avec moi c’est sûr, et ses cris résonnent dans la salle de bains, comme autant de louanges pour une jouissance inégalée.
Rocky ne ménage pas sa peine, baisant Martine avec une détermination farouche, presque violente, en mâle puissant déterminé à couvrir sa femelle.
Il y a quelque chose d’animal en lui, à la fois inquiétant et excitant.
- tu aimes ça, hein… ? demande-t-il dans un rugissement de bête fauve. Tu aimes que je te baise avec ma grosse queue !
- Ouiii.. Oohhhh…..oui ! Crie Martine, le corps secoué par les assauts de son partenaire. J’aime ta grosse queue… !
- Ahhh….. Qu’est-ce que t’es bonne toi ! c’est bon de te baiser…. !
Son orgasme le submerge bientôt, et dans un cri de jouissance absolue, il explose en elle, ajoutant sa semence à celle de Rachid.
Ma femme accueille cette nouvelle offrande qui déferle au fond de son ventre en gémissant longuement, son regard planté dans le mien et je lis dans ses yeux tout le bonheur que cela lui donne.
- Oohhh…. Ahhh…. mon amour … c’est trop bon ce qu’il me fait … ! lâche-t-elle dans un râle essoufflé, prise de violents tremblements qui parcourent son corps tout entier.
Je sais à cet instant qu’elle jouit à une fois de plus, comblée par cette queue massive et énergique qui remplit si bien son intimité…
Rocky, tous muscles bandés, la bourre profondément, se vidant les couilles à son tour, et le regard qu’il échange avec Rachid en dit long sur sa satisfaction.
Il reste un moment immobile, couché sur mon épouse, intimement soudé à elle, reprenant son souffle, lui caressant les seins, s’imprégnant une dernières fois de la douceur de sa peau, de ses formes généreuses.
Redressé, il lui flatte la croupe, en la félicitant d’une voix admirative.
T’es vraiment un bon coup toi… ! Il a de la chance ton mari !
Du bout des doigts, il recueille le foutre crémeux qui s’échappe de la chatte dévastée et les fait lécher à Martine, qui semble apprécier.
- tu aimes, hein ? Questionne-t-il. Tu dois être contente, on t’a bien remplie, tu sais… !
Q’est-ce qu’elle est bonne… putain ! dit-il en me regardant d’un œil envieux.
Je ne sais pas si je dois me réjouir de son sentiment, ou au contraire si je dois me méfier, d’autant que Martine a pris un super pied, c’est évident, et le retour à notre réalité risque de ne pas être en ma faveur.
Mais je me dis que les sentiments que nous avons l’un pour l’autre compenseront certainement les différences physiques.
De retour au salon nous trinquons à nouveau, histoire de nous rafraichir, échangeant quelques plaisanteries, et vantant surtout les mérites de Martine.
J’ai hâte que nos invités prennent congé, que je puisse retrouver notre intimité, et montrer à ma femme tout l’amour que j’ai pour elle.
Il règne toujours dans la pièce une atmosphère particulière, une sensation un peu sauvage faite d’excitation et de désir auxquels se mêle le sentiment d’une situation peu banale, comme un tabou brisé.
Je me rends compte que nous arborons tous encore une belle érection, attisée certainement par la plastique alléchante que Martine nous dévoile.
Ses formes plantureuses, pleines de promesses, me font fantasmer, tout comme elles doivent faire fantasmer nos deux amis qui ne la quittent pas des yeux, le regard brillant de convoitise.
Sans mot dire elle s’est allongée sur la table basse du salon, et nous regarde à tour de rôle, les yeux inondés de désir.
Les cuisses écartées, elle nous laisse contempler sa vulve trempée et dilatée, tandis qu’elle se caresse les seins, roulant les grosses pointes brunes entre ses doigts.
Je ne peux que constater qu’elle est vraiment bandante dans sa nudité offerte à nos regards, sans gêne mais sans vulgarité non plus.
Elle ne dit rien mais nous sentons tous qu’elle n’est pas totalement rassasiée et attend d’être prise une nouvelle fois, d’être remplie de nos sexes sur lesquels son regard s’attarde, nous jaugeant l’un après l’autre.
Rachid s’approche d’elle, le membre érigé, lui replie les jambes sur le ventre la forçant ainsi à basculer le bassin, dégageant largement son intimité, frotte un instant son gland contre la vulve humide puis glisse vers son petit œillet, qu’il force lentement mais sûrement.
La longue verge qui disparaît peu à peu dans le cul de ma femme ne me laisse pas indifférent, et j’ai bien du mal à réprimer le sentiment de jalousie qui monte en moi.
Il s’enfonce en elle très facilement, me regardant du coin de l’œil, un léger sourire sur les lèvres, et la sodomise, lui arrachant quelques plaintes étouffées.
- Tu aimes ça, ma Martine… hein ? demande-t-il doucement
Elle ne répond pas, se contentant de le fixer avec un regard qui en dit long sur le plaisir qu’elle ressent en se faisant pénétrer par la belle verge bien dure de notre ami, mais j’ai bien vu un léger mouvement de tête qui voulait dire oui.
Je me plais à imaginer les sensations prodiguée par le pieu de chair qui lui laboure les entrailles, la fouillant profondément dans un va-et-vient régulier et continu.
Sa longueur doit lui permettre d’atteindre des zones que je n’atteins pas, et par là, provoquer de nouvelles sensations pour Martine qui pousse des petits cris chaque fois qu’il est au fond.
Ses gémissements m’électrisent, j’ai à nouveau une trique d’enfer qui me fait presque mal et je n’ai bientôt qu’une envie, la prendre à mon tour.
Je me lève, et vient l’enjamber, face à mon pote, et guidant mon sexe d’une main, je prends possession de sa chatte dans laquelle je glisse quasiment à la verticale, plongeant dans les profondeurs chaudes et humides.
Je sens contre ma bite le frottement de celle de Rachid, retrouvant cette sensation nouvelle pour moi, le contact d’une autre queue, bien dure contre la mienne de l’autre coté de la fine membrane qui sépare les deux orifices.
Nos corps sont à se toucher et nous sous sourions, heureux de partager des sensations exceptionnelles, conscient du plaisir que nous donnons à Martine en la baisant ainsi, sa jouissance démultipliée par l’action vigoureuse de nos deux verges.
Son plaisir monte inexorablement, ses râles se font plus bruyants, tandis qu’elle s’accroche à mes jambes avec force.
Jamais je n’aurai pensé la baiser ainsi, c’est un pur bonheur !
Nos bites la pénètrent en alternance, sans lui laisser le moindre répit, tels deux increvables pistons qui lui fourragent le ventre et le cul de fond en comble.
J’ai l’impression que mon sexe est énorme, formidablement gonflé d’une envie de la baiser comme jamais je l’ai baisée, et je m’enfonce en elle, profondément, intensément, galvanisé par la situation et le plaisir qu’elle manifeste.
Rocky enjambe à son tour mon épouse, en me tournant le dos, l’oblige à avaler sa grosse queue, et se met à lui baiser la bouche, bien calé sur ses cuisses repliées.
Le membre épais et gonflé, avec ses grosses veines saillantes, plonge à la verticale dans la gorge distendue, dans un flot de salive qui s’étire en longs filets blanchâtres à chaque fois qu’il ressort.
Martine m’a lâché les cuisses, jetant son dévolu sur les bourses pendantes pour en malaxer les gros testicules.
Rocky n’est pas insensible au traitement, et l’exprime bruyamment.
- Ouais… c’est ça ! c’est bien comme ça… ! tu sais y faire toi…y’a pas de doute ! s’exclame-t-il.
Il ne la laisse presque pas respirer, tout à sa jouissance de lui ramoner la gorge, ses mains lui maintenant la tête pour mieux la posséder.
Pendant un long moment nous baisons Martine, lui ramonant tous ses orifices, sans qu’elle cherche à se libérer de nos étreintes, étourdie par la jouissance donnée par nos trois bites qui la fouillent passionnément.
Je découvre en elle des ressources incroyables, et en tire une certaine fierté vis-à-vis de nos deux invités, lesquels se souviendront longtemps de cette soirée, j’en suis sûr.
Je sais que je vis un moment très particulier qui me procure une jouissance incomparable et
J’espère qu’il en est de même pour mon épouse.
Je pense que oui, à en juger les râles de plaisir qui fusent de sa gorge encombrée et des frissons qui parcourent son corps de plus en plus intensément.
Elle me semble carrément en transe, bousculée, dévastée, s’abandonnant sans réserve aux assauts de trois mâles déchainés, ivres de désir, déterminés à la posséder une fois de plus.
Nos jouissances éclatent presque en même temps et nous l’inondons une fois de plus de notre semence, indispensable offrande pour le plaisir qu’elle nous donne.
Je regarde avec émotion ses orifices saturés dégorger le trop plein de foutre qui s’écoule lentement en long filet crémeux entre ses fesses, formant une petite flaque sur la table.
Qu’est-ce qu’on lui a mis, pensai-je, elle a vraiment reçu une sacré ration ce soir.
Rocky lui a déversé dans la gorge son nectar brûlant, la faisant presque suffoquer, mais elle n’en laisse rien perdre, et avale la totalité du précieux liquide, léchant le membre gluant de foutre avec une avidité presque folle, jusqu’à la dernière goutte.
Je découvre avec étonnement à quel point elle aime le sperme, ce qui n’est pas pour me déplaire, loin de là.
Nos invités partis, nous finissons la soirée intimement unis sous la couette, et Martine s’est encore déchaînée, m’emmenant vers des sommets de plaisir.
Mais c’est une autre histoire…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'adore vraiment cette série MARTINE.
Bien écrite, très suggestive, pleine de fantasmes...
Bravo
Bien écrite, très suggestive, pleine de fantasmes...
Bravo