Les aventures de Phil 3

Récit érotique écrit par Phil600 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Les aventures de Phil 3
Chapitre 3 - La Bibliothèque
Pendant les deux jours qui précédèrent le montage de la bibliothèque, je ne savais que penser. A certains moments, j’étais quasiment euphorique, sans trop savoir pourquoi. A d’autres, je perdais tout moral, me disant que je me faisais des illusions quant à Mary. Elle semblait tellement forte alors que je me faisais honte d’être aussi faible. Je redoutais aussi d’être déçu si, par bonheur, elle me découvrait une partie de son corps. A présent, je fantasmais dessus mais sans doute que je l’idéalisais. La réalité pourrait être décevante… Eh puis, j’allais être bien occupé. Monter ce meuble n’allait pas être une mince affaire. Aussi, le 28 au matin, je partais avec ma boîte à outils et un tee-shirt de rechange car j’allais sans doute pas mal transpirer.
De son côté, Mary était encore plus désemparée. Ne voilà-t-il pas que, la veille, elle était allée chez son esthéticienne ! Elle en était revenue épilée mais pas totalement. Elle ne participerait pas à la mode du « zéro poil ». Elle redoutait toutefois que Philippe préfère l’épilation totale, bien en vogue.
« Qu’est-ce qui me prend ? Je ne vais tout de même pas lui dévoiler mon intimité ! » tentait-elle de s’indigner. Cependant, elle n’en était plus autant persuadée puisqu’elle avait de telles pensées.
En sortant de la douche, ce matin du 28, elle se regarda dans la glace. Elle se trouvait vieille, disgracieuse, ridée. Elle mesurait 1m65. Avec l’âge, elle s’était un peu empâtée. Elle avait des cheveux courts, gris, blancs, tout à fait charmants. Ses lunettes lui donnaient un air de vieille institutrice.
« Qu’est-ce qui m’a pris d’aller chez l’esthéticienne comme une midinette allant à son premier rendez-vous galant ? » se dit-elle à haute voix. « Tu es folle, ma fille. Mais regardes-toi. Comment peux-tu encore plaire à ton âge ? Je ne comprends vraiment pas pourquoi il s’intéresse à toi… et toi à lui.».
Elle se remémora les photos et se mit à rire. « Je suis une dévergondée alors » dit-elle en allumant son téléphone pour mater à nouveau le sexe en érection de son beau-fils. Elle sentit l’excitation poindre dans son bas ventre. Ce n’était pas le moment de se masturber. Elle avait du travail devant la glace pour se rendre présentable. Et c’était bon de sentir son cœur battre fort dans sa poitrine.
Sans y penser, elle enfila ses dessous, ce slip et ce soutien gorge rouge bigarreau qu’elle avait récupérés le jour de Noël. Ce jour-là, elle lui avait demandé de porter cet ensemble lors de leur prochaine rencontre.
Et voilà que maintenant, elle lui obéissait ! Ses seins, 90 D, gonflaient son soutien gorge. Elle se mit de profil devant la glace. Ainsi rehaussés, ils lui permettaient de retrouver confiance en elle. Quant à sa culotte, elle hésitait un peu. Tout de même, elle était bien transparente et ne cachait rien de sa toison. Elle soupira. Il lui fallait assumer à présent. Elle se maquilla avec beaucoup de soin. Il fallait bien qu’elle l’admette : elle avait envie de plaire, de séduire. Si elle restait en pantalon sage, elle ne boutonna pas complètement son chemisier, laissant entrevoir le début de sa gorge. Son parfum léger ajoutait à sa sensualité.
J’arrivais chez Mary en milieu de matinée. Cette fois-ci, inutile d’aller me garer plus loin. J’étais en mission officielle chez ma belle-mère. Je sonnais. Quand Mary m’ouvrit, je vis immédiatement le chemisier entrouvert et son maquillage élaboré. Je lui fis la bise. Les effluves de son parfum étaient délicieuses.
- Mary, vous êtes magnifique. Et vous sentez vraiment bon, lui dis-je béatement. En moi-même, je me disais que j’étais vraiment niais de lui sortir de telles balivernes.
- Merci, Philippe. Vous êtes gentil.
Comme elle me vouvoyait, je compris qu’il ne se passerait rien de torride entre nous.
Elle me conduisit jusque dans le salon. Elle avait déjà enlevé les livres des rayons de la bibliothèque. Cela me ferait gagner du temps et de l’énergie. Il y avait des ouvrages partout dans la pièce : sur la table, la table basse, les chaises, au sol…
- Bon, et bien je vais m’y mettre, dis-je, concentré sur mon objectif.
- Je vais vous préparer un café pendant ce temps-là, répondit-elle.
Je commençais par repousser les livres pour pouvoir circuler dans la pièce. Il fallait aussi que je fasse de la place sur la table pour poser les vis, les outils.
J’empruntais son escabeau et démontais l’ancienne bibliothèque. C’était relativement facile. Mary me regardait, assise sur les premières marches de l’escalier menant à la mezzanine, tout en buvant son café.
Une fois le démontage terminé, je m’offrais une pose et dégustais à mon tour son excellent arabica.
A la fin de la matinée, j’avais évacué tous les éléments de l’ancienne bibliothèque. Je les avais déposés sur le trottoir puisque les encombrants devaient justement passer le lendemain. J’avais sorti de leurs emballages tous les éléments de la nouvelle bibliothèque. La visserie était triée, sur la table, prête au montage. J’avais étudié le plan. Avec de la méthode, ce serait assez aisé.
- Il est près de 13 heures, Philippe. Je vous propose de déjeuner avant de poursuivre.
Je n’avais pas vu le temps passer. Mais, à la réflexion, je commençais à avoir faim.
- Ce n’est pas de refus, Mary. J’ai un petit creux.
Mary avait préparé un gratin dauphinois. C’était l’une de ses spécialités culinaires. Elle savait combien j’appréciais ce plat lorsque c’était elle qui était aux fourneaux.
- Vous m’avez gâté, Mary. C’est tout bonnement délicieux, lui dis-je.
- Merci, Philippe. Je savais que cela vous ferait plaisir, répondit-elle en souriant.
Nous faisions très attention à maintenir la conversation sur des thèmes généraux afin d’éviter tout dérapage.
Je ne voulais surtout pas me ridiculiser ou pire, me faire rembarrer. Je respectais Mary au plus au point. Jamais je n’aurais voulu la peiner ou l’offenser. Mes yeux s’attardaient bien parfois sur son décolleté. Je m’arrachais rapidement à cette vision. Je ne voulais pas tout gâcher.
Mary, de son côté, essayait de ne pas trop regarder Philippe. Dans son tee-shirt légèrement humidifié par la transpiration, elle entrevoyait une musculature inespérée chez un homme de son âge. Il était clair qu’il faisait du sport pour s’entretenir. Il n’était certes pas un apollon. Il avait perdu une partie de ses cheveux mais ce n’était pas au détriment de son charme. En tous cas, pas pour elle.
Elle était tout de même contrariée par son attitude distante. Elle s’était pomponnée pour lui. Elle lui avait préparé un café. Elle avait passé du temps en cuisine à lui préparer un bon petit plat. Certes, ses commentaires laissaient entendre qu’il appréciait ses efforts. Mais c’était tout. Il n’allait pas plus loin, n’essayait rien. C’est à peine si ses yeux s’aventuraient dans son décolleté. Elle était tentée de déboutonner un peu plus son chemisier afin qu’il reluque sa poitrine. Mais elle se retenait, en pensant qu’il pourrait alors la cataloguer dans les femmes « faciles ». Et elle ne voulait pas perdre son respect.
En début d’après-midi, je repris mon labeur. C’était un meuble de qualité. Le plan était clair et précis. Le rythme de montage était donc assez rapide. Mary restait assise sur les marches de l’escalier à me regarder travailler. J’essayais de ne pas penser à ses yeux qui devaient me parcourir. Parfois, nous entamions un début de conversation.
Vers 16h00, j’avais fini mon travail. Le meuble était bien mis en valeur dans ce salon. Mary avait du gout.
- Et voilà, c’est fini, lui dis-je. Ça rend vraiment bien, je trouve.
- Oui, je ne suis pas déçue du résultat, au contraire, répondit-elle. C’est un bon investissement. L’autre bibliothèque était à bout de souffle.
Elle ouvrait les portes de la vitrine, faisait coulisser les tiroirs.
- Vraiment, vous avez bien travaillé, Philippe. Je ne sais pas comment vous remercier.
- Hum, vous ne savez pas comment me remercier ? c’est risqué comme proposition, répondis-je en riant.
- Ne dites pas de bêtises, Philippe. Je suis sérieuse. Que puis-je faire pour vous remercier de vos efforts ? insista-t-elle.
En moi-même, je savais que j’allais dire une sottise que j’allais regretter. Mais, tant pis.
- Mary, je dois vous avouer quelque chose. Je n’en suis pas spécialement fier. Mais cela fait tellement d’années que, comment dire ?
J’hésitais encore…
- Ça fait tellement d’années que je rêve de voir vos seins… Voilà, j’avais lâché mon énormité. J’allais tout gâcher.
Mary fut d’abord saisie par l’aveu que venait de lui faire son beau-fils. Ainsi, il avait vraiment les yeux baladeurs comme lui avait dit son défunt mari.
Quant elle était plus jeune et qu’elle portait ses robes décolletées, elle ne pensait pas à mal. Elle n’essayait pas d’aguicher Philippe. C’était pour son propre plaisir à elle qu’elle s’habillait ainsi. Lorsque son mari lui avait dit que son beau-fils avait souvent les yeux qui traînaient dans son décolleté, il lui avait demandé de cesser ce petit jeu. Elle se révolta et assura à son époux qu’elle n’était pas l’aguicheuse qu’il semblait croire. Il était jaloux, c’était tout.
Cependant, elle se résolu à ne plus porter ces tenues pour le satisfaire. Elle ne voulait pas se brouiller avec lui pour des broutilles. Après son décès, par respect pour sa mémoire, se persuadait-elle, elle avait continué de renoncer à ses tenues féminines pour se contenter d’un habillement strict.
Elle sentait le rouge lui monter aux joues.
- Mais, euh, enfin Philippe, je.. euh…. Elle était totalement déstabilisée alors qu’elle aurait du être ravie, elle qui le trouvait si peu entreprenant, il y a quelques heures.
Perdu pour perdu, je me lâchais complètement.
- Oui, Mary, je l’avoue, j’adorais lorsque vous portiez vos robes d’été. Dès que vous vous penchiez un peu, j’étais hypnotisé par votre poitrine. Et depuis, mon envie de voir vos seins n’a pas faibli. Je… Je sais que je suis en train de tout gâcher, pardonnez-moi, mais c’était tellement fort comme sensation en moi qu’il fallait que cela sorte.
Reprenant un peu ses esprits, Mary sentit combien elle était flattée par l’aveu de son beau-fils. Elle le voyait, accablé par le remord. Son cœur battait si vite. Il avait été franc avec elle. C’était à son tour de devoir prendre une décision : soit elle continuait de lui résister et il ne se passerait plus jamais rien à l’avenir, soit elle cédait à ses pulsions avec le risque de ne plus rien maitriser du tout. Mais avait-elle encore envie de maitriser quoi que ce soit ?
Elle recula un peu et le regarda dans les yeux. Il n’y avait rien de pervers dans ces yeux-là. Elle ressentait combien il semblait avoir envie d’elle. Et elle, ne le voulait-elle pas aussi ?
Sans un mot, elle déboutonna complètement son chemisier en écartant les deux pans.
Je n’en revenais pas. Mary me montrait enfin sa poitrine, cette poitrine sur laquelle j’avais tant fantasmé ! Elle était quasiment comme je l’avais imaginée, ressemblant admirablement à celle de sa fille, Charlotte. Comme elle, elle avait une poitrine généreuse mais sans excès. Comme elle, les aréoles étaient marron foncé et peu étendues. Je les voyais clairement dans ce soutien gorge en dentelle transparente rouge.
Mais, c’était le soutien gorge que je lui avais emprunté la dernière fois ! Lorsque je lui avais rendu discrètement, le jour de Noël, je lui avais demandé si elle le mettrait lors de notre prochaine rencontre. Ce ne pouvait pas être un hasard si elle l’avait mis aujourd’hui. Je voyais sa gorge se soulever rapidement sous le coup de l’émotion.
Mary avait le cœur qui battait à cent à l’heure. Elle ressentait un tel plaisir à se dévoiler à lui. C’était un moment délicieux. Elle avait bien eu quelques amants, au cours de sa vie. Mais ce n’avait été que de brèves relations sexuelles. La tension qui la parcourrait à présent était bien plus sensuelle. Philippe semblait hypnotisé par ses seins.
- A mon tour de te demander si tu n’es pas trop déçu, dit-elle.
J’ étais en ébullition.
- Quelle question, Mary. Vos seins sont tellement magnifiques que je.. je…
Je m’approchais d’elle, les mains en avant, comme un somnambule.
D’une main, elle m’arrêta tandis qu’elle cachait sa poitrine de son autre bras.
- Philippe, tu m’as demandé à voir ma poitrine. Tu la vois. Mais de là à toucher…
Elle avait raison. Elle devait croire que je ne cherchais qu’une chose : la posséder rapidement puis passer à autre chose. Non, Mary n’était pas une prise à ajouter à un quelconque palmarès. Je devais respecter ses choix. Mais, si je ne faisais rien, elle allait reboutonner son chemisier.
Elle me laissa m’agenouiller contre elle. Je posais ma tête contre le bas de son ventre. Je laissais mes mains aller le long de ses cuisses, de ses jambes. Je frottais ma joue au niveau des son sexe, bien à l’abri dans ce pantalon qui me semblait être un coffre fort inviolable.
Mary n’était pas insensible à ses caresses. Son cœur s’accélérait encore. Comme c’était bon de sentir les mains de Philippe le long de ses cuisses. Il était tellement doux avec elle. Elle se sentait à nouveau femme, sentiment qui l’avait quittée depuis tant d’années… Elle commença à lui caresser la tête.
Je déposais des petits baisers sur son ventre. Je remontais mes mains le long de ses hanches et touchais sa peau si douce et chaude. J’entendais son cœur qui s’emballait, sa respiration s'accélérer…
Mary se rendait bien compte qu’elle ne contrôlait plus rien. Mais elle s’en moquait. Elle avait envie de jouissance. Elle serra la tête de son beau-fils contre son sexe, tellement excitée.
Ainsi encouragé, je déboutonnais le pantalon de ma belle-mère sans qu’elle ne réagisse. Le pantalon glissa, me dévoilant de belles jambes épilées. Ses cuisses étaient toniques, épilées elles aussi. Mon regard remonta jusqu’à ses dessous. Comme je l’espérais, elle portait cette belle culotte rouge bigarreau, transparente à souhait. La transparence du tissus ne me laissait rien ignorer de sa toison. Mes mains caressaient l’intérieur de ses cuisses, à la peau si fine et douce. Elles remontèrent vers son triangle secret que je frôlais derrière son écran de dentelle.
Je la saisis par les hanches et l’assis sur le rebord de la table.
Mary était en transe. Les caresses de Philippe la rendait folle. Elle s’allongea sur la table, laissant ses membres inférieurs pendre vers le sol. Elle était à lui. Elle était prête à tout accepter de lui.
Ainsi allongée sur la table, je trouvais Mary tellement désirable. Ses cuisses étaient légèrement entrouvertes. J’approchais mes lèvres de son intimité et y déposais des baisers. Je sentais ses effluves intimes qui achevaient de provoquer une violente érection chez moi.
Sous ces baisers, Mary était secouée de spasmes. Mais pourquoi ne lui caressait-il pas les seins ? Elle se rappela que c’était elle, quelques instants plus tôt, qui lui avait interdit de les toucher. "Quelle gourde !" pensa-t-elle.
- Donne-moi tes mains, Philippe.
Elle me les saisit et les posa sur ses seins.
Je commençais à les caresser, en partant de la base et en remontant vers les mamelons. Déjà bien sortis, ses tétons pointaient durement, déformant le soutien gorge.
En passant devant chez sa belle-mère, Carla, la copine de Luc, remarqua la voiture garée devant la maison. « Tiens, on dirait celle de Philippe » se dit-elle.
Prise d’une curiosité mauvaise, elle décida d’entrer en douce. Après avoir franchi le portail, elle se retrouva dans le jardin. Elle s’approcha discrètement d’une fenêtre qui donnait sur le salon. Comme il n’y avait pas de vis-à-vis, il n’y avait pas de rideau. Elle jeta un œil.
Elle fut ébahie. Elle ne s’attendait tout de même pas à ça. Sa belle-mère était déshabillée, allongée sur la table, presque nue. Elle n’avait plus que ses dessous. Mais ils étaient tellement transparents qu’ils ne cachaient pas grand chose. Et Philippe ne se gênait pas pour la peloter.
« La salope! se dit-elle. Ah tu nous refuses de l’argent! Tu vas voir, avec les quelques photos que je vais faire, tu vas être toute gentille maintenant ». Elle attrapa son téléphone dans son sac à main et prit plusieurs clichés.
Mary n’en pouvait plus de toutes ses caresses. Elle était folle, folle d’envie de sexe. Comment avait-elle pu vivre toutes ces années sans connaitre une telle jouissance ?
Elle savait ce qu’il allait se passer : Philippe allait lui enlever son slip. Elle n’aurait plus rien à lui cacher. Mais elle s’en fichait. Son sexe était plus qu’humide. Il n’attendait plus que d’être pénétré. Elle n’attendait plus que d’être prise, là, sur la table.
Elle tourna son visage. Ses yeux tombèrent sur les photos familiales posées sur le guéridon. Au milieu d’elle, trônait un portrait de son défunt mari. Il lui sembla qu’il la regardait avec un sourire ironique.
- Tu vois, qu’est ce que je te disais, tu es une moins que rien, semblait-il lui dire.
Je décidais d’enlever mon tee-shirt. Je voulais sentir ma peau contre sa peau si douce, si chaude.
A cet instant, Mary se releva brusquement. Non, elle ne pouvait pas se donner devant une photo de son mari. Elle avait honte. Pendant un instant, elle se serra contre Philippe. Elle sentait son cœur battre aussi vite que le sien. Dans son pantalon, son sexe était dur. Elle en avait tellement envie….
Que c’était bon d’être tout contre Mary. Elle écrasait ses seins contre ma poitrine. Ce serait encore meilleur si je lui enlevais son soutien-gorge. J’essayais d’attraper maladroitement l’attache dans son dos. Mais elle posa ses deux mains sur ma poitrine.
- Pardonne-moi, Philippe, mais ça va trop vite. Je ne suis pas encore prête. Laisse-moi un peu de temps.
Elle disait tout le contraire de ce qu’elle avait envie. Mais elle avait honte de lui avouer que c’était à cause d’une photo posée sur le guéridon qu’elle se défaussait.
- Tu devrais aller prendre une douche. Tu as beaucoup transpiré.
J’étais abattu. Mary semblait tellement consentante…. Mais je respectais sa décision. Je me dirigeais vers la salle de bain, le cœur gros.
Carla ne comprenait pas ce qu’il se passait. Au fond d’elle-même, elle aurait bien aimé voir le sexe de Philippe. Il n’était encore pas mal pour son âge. Et regarder sa belle-mère se faire prendre sous ses yeux l’aurait encore plus excitée. Voyant que le couple se séparait et qu’il ne se passerait plus rien dans la salle, elle partit. Elle n’avait pas perdu son après-midi. Quelles belles photos elle avait à présent !
Je me retrouvais à me dévêtir dans la salle de bain. Mon sexe restait en érection et ne semblait pas vouloir faiblir. C’en était presque douloureux. Je pensais que la douche me détendrait et que cela irait mieux ensuite.
Pendant que Philippe se douchait, Mary, rhabillée, lui apporta une serviette de bain. Quand elle le vit dans cet état, elle n’eut pas la force de sortir. Jouer les voyeuses lui donna des papillons dans le ventre. Lorsqu’il eut fini de se doucher, elle lui dit :
- Viens, je vais te sécher.
Je ne me fis pas prier.
J‘étais là, dégoulinant d’eau. Mary entrepris de le sécher le corps en commençant par le dos. Elle me faisait frissonner. Je me retournais. Elle continuait le long de mes bras, sur mon torse puis mon ventre. Elle s’agenouilla pour frictionner mes cuisses et mes jambes. Mon pénis, toujours aussi dur, dodelinait à quelques centimètres de son visage.
Mary était obnubilée par ce sexe dur. Elle avait des remords à le voir dans cet état. Elle avait conscience qu’elle en était responsable. Philippe était vraiment un gentleman. Beaucoup d’hommes, dans cet état, n’auraient pas écouté ses suppliques, lui auraient sauté dessus pour faire leur « petite affaire ». Mais pas lui.
Elle entreprit donc de le caresser.
A ma grande surprise, Mary se mit à effleurer mon entre-jambe. J’étais totalement déboussolé. Elle voulait, elle ne voulait plus… Ses caresses ne faisaient qu’accentuer la tension douloureuse. Mais elles étaient inimaginables de douceur. A chaque fois qu’elle me caressait les bourses, l’intensité montait un peu plus…
Elle devait le sentir aussi car elle me porta une dernière caresse derrière elles et je rugis de plaisir. Pendant qu’elle continuait encore un peu de me masturber, un flot de sperme couvrit sa main. Je n’avais jamais connu une telle extase. Mes jambes semblaient ne plus pouvoir me porter.
Mary avait amené Philippe là où elle souhait qu’il arrive. Il y avait bien longtemps qu’elle n’avait pas fait jouir un homme avec ses mains. Elle était satisfaite de son œuvre. Elle quitta la salle de bain.
Je m’étais rhabillé. La tension était retombée. Lorsque je la retrouvais, dans le salon, il y eut presque une gêne entre nous. Nous ne savions plus trop quoi nous dire. Le mieux était que je parte. Je rangeais mes affaires dans ma voiture avant de revenir la saluer. J’allais bêtement lui faire la bise mais elle me sourit. Elle prit mon visage entre ses mains et apposa un léger baiser sur mes lèvres.
- Vas-t-en, à présent, me dit-elle.
Je partais, sans un mot, en la dévorant du regard.
A suivre
Pendant les deux jours qui précédèrent le montage de la bibliothèque, je ne savais que penser. A certains moments, j’étais quasiment euphorique, sans trop savoir pourquoi. A d’autres, je perdais tout moral, me disant que je me faisais des illusions quant à Mary. Elle semblait tellement forte alors que je me faisais honte d’être aussi faible. Je redoutais aussi d’être déçu si, par bonheur, elle me découvrait une partie de son corps. A présent, je fantasmais dessus mais sans doute que je l’idéalisais. La réalité pourrait être décevante… Eh puis, j’allais être bien occupé. Monter ce meuble n’allait pas être une mince affaire. Aussi, le 28 au matin, je partais avec ma boîte à outils et un tee-shirt de rechange car j’allais sans doute pas mal transpirer.
De son côté, Mary était encore plus désemparée. Ne voilà-t-il pas que, la veille, elle était allée chez son esthéticienne ! Elle en était revenue épilée mais pas totalement. Elle ne participerait pas à la mode du « zéro poil ». Elle redoutait toutefois que Philippe préfère l’épilation totale, bien en vogue.
« Qu’est-ce qui me prend ? Je ne vais tout de même pas lui dévoiler mon intimité ! » tentait-elle de s’indigner. Cependant, elle n’en était plus autant persuadée puisqu’elle avait de telles pensées.
En sortant de la douche, ce matin du 28, elle se regarda dans la glace. Elle se trouvait vieille, disgracieuse, ridée. Elle mesurait 1m65. Avec l’âge, elle s’était un peu empâtée. Elle avait des cheveux courts, gris, blancs, tout à fait charmants. Ses lunettes lui donnaient un air de vieille institutrice.
« Qu’est-ce qui m’a pris d’aller chez l’esthéticienne comme une midinette allant à son premier rendez-vous galant ? » se dit-elle à haute voix. « Tu es folle, ma fille. Mais regardes-toi. Comment peux-tu encore plaire à ton âge ? Je ne comprends vraiment pas pourquoi il s’intéresse à toi… et toi à lui.».
Elle se remémora les photos et se mit à rire. « Je suis une dévergondée alors » dit-elle en allumant son téléphone pour mater à nouveau le sexe en érection de son beau-fils. Elle sentit l’excitation poindre dans son bas ventre. Ce n’était pas le moment de se masturber. Elle avait du travail devant la glace pour se rendre présentable. Et c’était bon de sentir son cœur battre fort dans sa poitrine.
Sans y penser, elle enfila ses dessous, ce slip et ce soutien gorge rouge bigarreau qu’elle avait récupérés le jour de Noël. Ce jour-là, elle lui avait demandé de porter cet ensemble lors de leur prochaine rencontre.
Et voilà que maintenant, elle lui obéissait ! Ses seins, 90 D, gonflaient son soutien gorge. Elle se mit de profil devant la glace. Ainsi rehaussés, ils lui permettaient de retrouver confiance en elle. Quant à sa culotte, elle hésitait un peu. Tout de même, elle était bien transparente et ne cachait rien de sa toison. Elle soupira. Il lui fallait assumer à présent. Elle se maquilla avec beaucoup de soin. Il fallait bien qu’elle l’admette : elle avait envie de plaire, de séduire. Si elle restait en pantalon sage, elle ne boutonna pas complètement son chemisier, laissant entrevoir le début de sa gorge. Son parfum léger ajoutait à sa sensualité.
J’arrivais chez Mary en milieu de matinée. Cette fois-ci, inutile d’aller me garer plus loin. J’étais en mission officielle chez ma belle-mère. Je sonnais. Quand Mary m’ouvrit, je vis immédiatement le chemisier entrouvert et son maquillage élaboré. Je lui fis la bise. Les effluves de son parfum étaient délicieuses.
- Mary, vous êtes magnifique. Et vous sentez vraiment bon, lui dis-je béatement. En moi-même, je me disais que j’étais vraiment niais de lui sortir de telles balivernes.
- Merci, Philippe. Vous êtes gentil.
Comme elle me vouvoyait, je compris qu’il ne se passerait rien de torride entre nous.
Elle me conduisit jusque dans le salon. Elle avait déjà enlevé les livres des rayons de la bibliothèque. Cela me ferait gagner du temps et de l’énergie. Il y avait des ouvrages partout dans la pièce : sur la table, la table basse, les chaises, au sol…
- Bon, et bien je vais m’y mettre, dis-je, concentré sur mon objectif.
- Je vais vous préparer un café pendant ce temps-là, répondit-elle.
Je commençais par repousser les livres pour pouvoir circuler dans la pièce. Il fallait aussi que je fasse de la place sur la table pour poser les vis, les outils.
J’empruntais son escabeau et démontais l’ancienne bibliothèque. C’était relativement facile. Mary me regardait, assise sur les premières marches de l’escalier menant à la mezzanine, tout en buvant son café.
Une fois le démontage terminé, je m’offrais une pose et dégustais à mon tour son excellent arabica.
A la fin de la matinée, j’avais évacué tous les éléments de l’ancienne bibliothèque. Je les avais déposés sur le trottoir puisque les encombrants devaient justement passer le lendemain. J’avais sorti de leurs emballages tous les éléments de la nouvelle bibliothèque. La visserie était triée, sur la table, prête au montage. J’avais étudié le plan. Avec de la méthode, ce serait assez aisé.
- Il est près de 13 heures, Philippe. Je vous propose de déjeuner avant de poursuivre.
Je n’avais pas vu le temps passer. Mais, à la réflexion, je commençais à avoir faim.
- Ce n’est pas de refus, Mary. J’ai un petit creux.
Mary avait préparé un gratin dauphinois. C’était l’une de ses spécialités culinaires. Elle savait combien j’appréciais ce plat lorsque c’était elle qui était aux fourneaux.
- Vous m’avez gâté, Mary. C’est tout bonnement délicieux, lui dis-je.
- Merci, Philippe. Je savais que cela vous ferait plaisir, répondit-elle en souriant.
Nous faisions très attention à maintenir la conversation sur des thèmes généraux afin d’éviter tout dérapage.
Je ne voulais surtout pas me ridiculiser ou pire, me faire rembarrer. Je respectais Mary au plus au point. Jamais je n’aurais voulu la peiner ou l’offenser. Mes yeux s’attardaient bien parfois sur son décolleté. Je m’arrachais rapidement à cette vision. Je ne voulais pas tout gâcher.
Mary, de son côté, essayait de ne pas trop regarder Philippe. Dans son tee-shirt légèrement humidifié par la transpiration, elle entrevoyait une musculature inespérée chez un homme de son âge. Il était clair qu’il faisait du sport pour s’entretenir. Il n’était certes pas un apollon. Il avait perdu une partie de ses cheveux mais ce n’était pas au détriment de son charme. En tous cas, pas pour elle.
Elle était tout de même contrariée par son attitude distante. Elle s’était pomponnée pour lui. Elle lui avait préparé un café. Elle avait passé du temps en cuisine à lui préparer un bon petit plat. Certes, ses commentaires laissaient entendre qu’il appréciait ses efforts. Mais c’était tout. Il n’allait pas plus loin, n’essayait rien. C’est à peine si ses yeux s’aventuraient dans son décolleté. Elle était tentée de déboutonner un peu plus son chemisier afin qu’il reluque sa poitrine. Mais elle se retenait, en pensant qu’il pourrait alors la cataloguer dans les femmes « faciles ». Et elle ne voulait pas perdre son respect.
En début d’après-midi, je repris mon labeur. C’était un meuble de qualité. Le plan était clair et précis. Le rythme de montage était donc assez rapide. Mary restait assise sur les marches de l’escalier à me regarder travailler. J’essayais de ne pas penser à ses yeux qui devaient me parcourir. Parfois, nous entamions un début de conversation.
Vers 16h00, j’avais fini mon travail. Le meuble était bien mis en valeur dans ce salon. Mary avait du gout.
- Et voilà, c’est fini, lui dis-je. Ça rend vraiment bien, je trouve.
- Oui, je ne suis pas déçue du résultat, au contraire, répondit-elle. C’est un bon investissement. L’autre bibliothèque était à bout de souffle.
Elle ouvrait les portes de la vitrine, faisait coulisser les tiroirs.
- Vraiment, vous avez bien travaillé, Philippe. Je ne sais pas comment vous remercier.
- Hum, vous ne savez pas comment me remercier ? c’est risqué comme proposition, répondis-je en riant.
- Ne dites pas de bêtises, Philippe. Je suis sérieuse. Que puis-je faire pour vous remercier de vos efforts ? insista-t-elle.
En moi-même, je savais que j’allais dire une sottise que j’allais regretter. Mais, tant pis.
- Mary, je dois vous avouer quelque chose. Je n’en suis pas spécialement fier. Mais cela fait tellement d’années que, comment dire ?
J’hésitais encore…
- Ça fait tellement d’années que je rêve de voir vos seins… Voilà, j’avais lâché mon énormité. J’allais tout gâcher.
Mary fut d’abord saisie par l’aveu que venait de lui faire son beau-fils. Ainsi, il avait vraiment les yeux baladeurs comme lui avait dit son défunt mari.
Quant elle était plus jeune et qu’elle portait ses robes décolletées, elle ne pensait pas à mal. Elle n’essayait pas d’aguicher Philippe. C’était pour son propre plaisir à elle qu’elle s’habillait ainsi. Lorsque son mari lui avait dit que son beau-fils avait souvent les yeux qui traînaient dans son décolleté, il lui avait demandé de cesser ce petit jeu. Elle se révolta et assura à son époux qu’elle n’était pas l’aguicheuse qu’il semblait croire. Il était jaloux, c’était tout.
Cependant, elle se résolu à ne plus porter ces tenues pour le satisfaire. Elle ne voulait pas se brouiller avec lui pour des broutilles. Après son décès, par respect pour sa mémoire, se persuadait-elle, elle avait continué de renoncer à ses tenues féminines pour se contenter d’un habillement strict.
Elle sentait le rouge lui monter aux joues.
- Mais, euh, enfin Philippe, je.. euh…. Elle était totalement déstabilisée alors qu’elle aurait du être ravie, elle qui le trouvait si peu entreprenant, il y a quelques heures.
Perdu pour perdu, je me lâchais complètement.
- Oui, Mary, je l’avoue, j’adorais lorsque vous portiez vos robes d’été. Dès que vous vous penchiez un peu, j’étais hypnotisé par votre poitrine. Et depuis, mon envie de voir vos seins n’a pas faibli. Je… Je sais que je suis en train de tout gâcher, pardonnez-moi, mais c’était tellement fort comme sensation en moi qu’il fallait que cela sorte.
Reprenant un peu ses esprits, Mary sentit combien elle était flattée par l’aveu de son beau-fils. Elle le voyait, accablé par le remord. Son cœur battait si vite. Il avait été franc avec elle. C’était à son tour de devoir prendre une décision : soit elle continuait de lui résister et il ne se passerait plus jamais rien à l’avenir, soit elle cédait à ses pulsions avec le risque de ne plus rien maitriser du tout. Mais avait-elle encore envie de maitriser quoi que ce soit ?
Elle recula un peu et le regarda dans les yeux. Il n’y avait rien de pervers dans ces yeux-là. Elle ressentait combien il semblait avoir envie d’elle. Et elle, ne le voulait-elle pas aussi ?
Sans un mot, elle déboutonna complètement son chemisier en écartant les deux pans.
Je n’en revenais pas. Mary me montrait enfin sa poitrine, cette poitrine sur laquelle j’avais tant fantasmé ! Elle était quasiment comme je l’avais imaginée, ressemblant admirablement à celle de sa fille, Charlotte. Comme elle, elle avait une poitrine généreuse mais sans excès. Comme elle, les aréoles étaient marron foncé et peu étendues. Je les voyais clairement dans ce soutien gorge en dentelle transparente rouge.
Mais, c’était le soutien gorge que je lui avais emprunté la dernière fois ! Lorsque je lui avais rendu discrètement, le jour de Noël, je lui avais demandé si elle le mettrait lors de notre prochaine rencontre. Ce ne pouvait pas être un hasard si elle l’avait mis aujourd’hui. Je voyais sa gorge se soulever rapidement sous le coup de l’émotion.
Mary avait le cœur qui battait à cent à l’heure. Elle ressentait un tel plaisir à se dévoiler à lui. C’était un moment délicieux. Elle avait bien eu quelques amants, au cours de sa vie. Mais ce n’avait été que de brèves relations sexuelles. La tension qui la parcourrait à présent était bien plus sensuelle. Philippe semblait hypnotisé par ses seins.
- A mon tour de te demander si tu n’es pas trop déçu, dit-elle.
J’ étais en ébullition.
- Quelle question, Mary. Vos seins sont tellement magnifiques que je.. je…
Je m’approchais d’elle, les mains en avant, comme un somnambule.
D’une main, elle m’arrêta tandis qu’elle cachait sa poitrine de son autre bras.
- Philippe, tu m’as demandé à voir ma poitrine. Tu la vois. Mais de là à toucher…
Elle avait raison. Elle devait croire que je ne cherchais qu’une chose : la posséder rapidement puis passer à autre chose. Non, Mary n’était pas une prise à ajouter à un quelconque palmarès. Je devais respecter ses choix. Mais, si je ne faisais rien, elle allait reboutonner son chemisier.
Elle me laissa m’agenouiller contre elle. Je posais ma tête contre le bas de son ventre. Je laissais mes mains aller le long de ses cuisses, de ses jambes. Je frottais ma joue au niveau des son sexe, bien à l’abri dans ce pantalon qui me semblait être un coffre fort inviolable.
Mary n’était pas insensible à ses caresses. Son cœur s’accélérait encore. Comme c’était bon de sentir les mains de Philippe le long de ses cuisses. Il était tellement doux avec elle. Elle se sentait à nouveau femme, sentiment qui l’avait quittée depuis tant d’années… Elle commença à lui caresser la tête.
Je déposais des petits baisers sur son ventre. Je remontais mes mains le long de ses hanches et touchais sa peau si douce et chaude. J’entendais son cœur qui s’emballait, sa respiration s'accélérer…
Mary se rendait bien compte qu’elle ne contrôlait plus rien. Mais elle s’en moquait. Elle avait envie de jouissance. Elle serra la tête de son beau-fils contre son sexe, tellement excitée.
Ainsi encouragé, je déboutonnais le pantalon de ma belle-mère sans qu’elle ne réagisse. Le pantalon glissa, me dévoilant de belles jambes épilées. Ses cuisses étaient toniques, épilées elles aussi. Mon regard remonta jusqu’à ses dessous. Comme je l’espérais, elle portait cette belle culotte rouge bigarreau, transparente à souhait. La transparence du tissus ne me laissait rien ignorer de sa toison. Mes mains caressaient l’intérieur de ses cuisses, à la peau si fine et douce. Elles remontèrent vers son triangle secret que je frôlais derrière son écran de dentelle.
Je la saisis par les hanches et l’assis sur le rebord de la table.
Mary était en transe. Les caresses de Philippe la rendait folle. Elle s’allongea sur la table, laissant ses membres inférieurs pendre vers le sol. Elle était à lui. Elle était prête à tout accepter de lui.
Ainsi allongée sur la table, je trouvais Mary tellement désirable. Ses cuisses étaient légèrement entrouvertes. J’approchais mes lèvres de son intimité et y déposais des baisers. Je sentais ses effluves intimes qui achevaient de provoquer une violente érection chez moi.
Sous ces baisers, Mary était secouée de spasmes. Mais pourquoi ne lui caressait-il pas les seins ? Elle se rappela que c’était elle, quelques instants plus tôt, qui lui avait interdit de les toucher. "Quelle gourde !" pensa-t-elle.
- Donne-moi tes mains, Philippe.
Elle me les saisit et les posa sur ses seins.
Je commençais à les caresser, en partant de la base et en remontant vers les mamelons. Déjà bien sortis, ses tétons pointaient durement, déformant le soutien gorge.
En passant devant chez sa belle-mère, Carla, la copine de Luc, remarqua la voiture garée devant la maison. « Tiens, on dirait celle de Philippe » se dit-elle.
Prise d’une curiosité mauvaise, elle décida d’entrer en douce. Après avoir franchi le portail, elle se retrouva dans le jardin. Elle s’approcha discrètement d’une fenêtre qui donnait sur le salon. Comme il n’y avait pas de vis-à-vis, il n’y avait pas de rideau. Elle jeta un œil.
Elle fut ébahie. Elle ne s’attendait tout de même pas à ça. Sa belle-mère était déshabillée, allongée sur la table, presque nue. Elle n’avait plus que ses dessous. Mais ils étaient tellement transparents qu’ils ne cachaient pas grand chose. Et Philippe ne se gênait pas pour la peloter.
« La salope! se dit-elle. Ah tu nous refuses de l’argent! Tu vas voir, avec les quelques photos que je vais faire, tu vas être toute gentille maintenant ». Elle attrapa son téléphone dans son sac à main et prit plusieurs clichés.
Mary n’en pouvait plus de toutes ses caresses. Elle était folle, folle d’envie de sexe. Comment avait-elle pu vivre toutes ces années sans connaitre une telle jouissance ?
Elle savait ce qu’il allait se passer : Philippe allait lui enlever son slip. Elle n’aurait plus rien à lui cacher. Mais elle s’en fichait. Son sexe était plus qu’humide. Il n’attendait plus que d’être pénétré. Elle n’attendait plus que d’être prise, là, sur la table.
Elle tourna son visage. Ses yeux tombèrent sur les photos familiales posées sur le guéridon. Au milieu d’elle, trônait un portrait de son défunt mari. Il lui sembla qu’il la regardait avec un sourire ironique.
- Tu vois, qu’est ce que je te disais, tu es une moins que rien, semblait-il lui dire.
Je décidais d’enlever mon tee-shirt. Je voulais sentir ma peau contre sa peau si douce, si chaude.
A cet instant, Mary se releva brusquement. Non, elle ne pouvait pas se donner devant une photo de son mari. Elle avait honte. Pendant un instant, elle se serra contre Philippe. Elle sentait son cœur battre aussi vite que le sien. Dans son pantalon, son sexe était dur. Elle en avait tellement envie….
Que c’était bon d’être tout contre Mary. Elle écrasait ses seins contre ma poitrine. Ce serait encore meilleur si je lui enlevais son soutien-gorge. J’essayais d’attraper maladroitement l’attache dans son dos. Mais elle posa ses deux mains sur ma poitrine.
- Pardonne-moi, Philippe, mais ça va trop vite. Je ne suis pas encore prête. Laisse-moi un peu de temps.
Elle disait tout le contraire de ce qu’elle avait envie. Mais elle avait honte de lui avouer que c’était à cause d’une photo posée sur le guéridon qu’elle se défaussait.
- Tu devrais aller prendre une douche. Tu as beaucoup transpiré.
J’étais abattu. Mary semblait tellement consentante…. Mais je respectais sa décision. Je me dirigeais vers la salle de bain, le cœur gros.
Carla ne comprenait pas ce qu’il se passait. Au fond d’elle-même, elle aurait bien aimé voir le sexe de Philippe. Il n’était encore pas mal pour son âge. Et regarder sa belle-mère se faire prendre sous ses yeux l’aurait encore plus excitée. Voyant que le couple se séparait et qu’il ne se passerait plus rien dans la salle, elle partit. Elle n’avait pas perdu son après-midi. Quelles belles photos elle avait à présent !
Je me retrouvais à me dévêtir dans la salle de bain. Mon sexe restait en érection et ne semblait pas vouloir faiblir. C’en était presque douloureux. Je pensais que la douche me détendrait et que cela irait mieux ensuite.
Pendant que Philippe se douchait, Mary, rhabillée, lui apporta une serviette de bain. Quand elle le vit dans cet état, elle n’eut pas la force de sortir. Jouer les voyeuses lui donna des papillons dans le ventre. Lorsqu’il eut fini de se doucher, elle lui dit :
- Viens, je vais te sécher.
Je ne me fis pas prier.
J‘étais là, dégoulinant d’eau. Mary entrepris de le sécher le corps en commençant par le dos. Elle me faisait frissonner. Je me retournais. Elle continuait le long de mes bras, sur mon torse puis mon ventre. Elle s’agenouilla pour frictionner mes cuisses et mes jambes. Mon pénis, toujours aussi dur, dodelinait à quelques centimètres de son visage.
Mary était obnubilée par ce sexe dur. Elle avait des remords à le voir dans cet état. Elle avait conscience qu’elle en était responsable. Philippe était vraiment un gentleman. Beaucoup d’hommes, dans cet état, n’auraient pas écouté ses suppliques, lui auraient sauté dessus pour faire leur « petite affaire ». Mais pas lui.
Elle entreprit donc de le caresser.
A ma grande surprise, Mary se mit à effleurer mon entre-jambe. J’étais totalement déboussolé. Elle voulait, elle ne voulait plus… Ses caresses ne faisaient qu’accentuer la tension douloureuse. Mais elles étaient inimaginables de douceur. A chaque fois qu’elle me caressait les bourses, l’intensité montait un peu plus…
Elle devait le sentir aussi car elle me porta une dernière caresse derrière elles et je rugis de plaisir. Pendant qu’elle continuait encore un peu de me masturber, un flot de sperme couvrit sa main. Je n’avais jamais connu une telle extase. Mes jambes semblaient ne plus pouvoir me porter.
Mary avait amené Philippe là où elle souhait qu’il arrive. Il y avait bien longtemps qu’elle n’avait pas fait jouir un homme avec ses mains. Elle était satisfaite de son œuvre. Elle quitta la salle de bain.
Je m’étais rhabillé. La tension était retombée. Lorsque je la retrouvais, dans le salon, il y eut presque une gêne entre nous. Nous ne savions plus trop quoi nous dire. Le mieux était que je parte. Je rangeais mes affaires dans ma voiture avant de revenir la saluer. J’allais bêtement lui faire la bise mais elle me sourit. Elle prit mon visage entre ses mains et apposa un léger baiser sur mes lèvres.
- Vas-t-en, à présent, me dit-elle.
Je partais, sans un mot, en la dévorant du regard.
A suivre
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C’est bien écrit on reste en haleine et comme la future belle fille on reste sur notre faim. On attend la suite dàs laquelle on se doute qu’il y aura des hauts et des bas Daniel

