Les aventures de Sandrine 4 - histoire érotique

Après cette première expérience fort concluante, nous nous sommes revus régulièrement avec toujours autant de plaisirs mais j’ai recommencé à naviguer sur le site de rencontre. Tant qu’à tomber dans l’adultère autant en profiter pour varier les plaisirs, non ?

C’est ainsi que je tombais peu à peu sous le charme de Fan69 qui, depuis mes débuts sur le site, me vantais les plaisirs lesbiens. Elle finit même par vaincre mes réticences lorsque, en pleine journée et au boulot, je me demandais « Et pourquoi pas ? ». Le soir même je lui faisais part de ma décision et elle m’invitait le surlendemain pour un café de présentation chez elle.

Le jour J, je m’habillais sagement, jeans et chemiser blanc avec des petites chaussures à talons plats. Un maquillage très léger et je me rendis chez Fan69. J’y découvris une belle femme de 38 ans, blonde aux yeux noisettes, quelques centimètres de moins que moi et un corps à l’air sportif. Elle était habillée comme moi, jeans et chemisier bleu pastel. Fannie, c’est ainsi qu’elle s’appelais finalement, me fit la bise et me fit entrer. Son intérieur était nickel et décoré avec gout. De grandes fenêtres offraient une luminosité parfaite dans le salon où elle m’installa avant de me proposer un café. J’acceptais un thé et tandis qu’elle était dans la cuisine je chassais ma nervosité en explorant son intérieur. Un pan de mur alternait bibliothèque et plantes vertes tandis que l’autre présentait une collection de photos hétéroclites au-dessus d’un buffet ancien ainsi qu’une double porte qui devait mener à la salle à manger. Le canapé sur lequel j’étais installée occupait le troisième mur, face aux deux fenêtres entre lesquelles était installés la télé et des équipements que je ne reconnus pas.

Elle revint avec les tasses qu’elle posa sur la table basse et s’installa à côté de moi. Ne sachant trop que faire, je la félicitais pour son intérieur ce qui lança la conversation. Elle y mit fin en me disant qu’elle avait très envie de m’embrasser si j’étais d’accord. Prise au dépourvu, beaucoup de sentiments contradictoires m’ont envahie, mais j’ai flancher et sans répondre, la boule au ventre, j’ai acquiescé. Elle s’est alors doucement penchée sur moi et ses lèvres sont venues se poser sur les miennes. Je ne sais pas si c’est parce que c’était une femme, que c’était la première fois et que j’étais stressée mais ce simple contact m’a électrisée. Ses lèvres se sont légèrement écartées et j’ai senti sa langue me caresser les lèvres que j’ai ouvertes. Sa langue est alors venue à la rencontre de la mienne et elles se sont caressées mutuellement dans une dance douce et suave. Sa langue est remontée sur mes lèvres qu’elle a parcourues en alternant caresses de langue et bisous des lèvres avant que celles-ci ne se ressoudent aux miennes et que sa langue ne vienne inviter la mienne pour une nouvelle dance. La boule que j’avais au ventre commençait à se transformer en papillons sous la douceur de son baiser. Elle passa une main dans mon dos et me caressa doucement tandis que mes mains restaient sagement sur mes cuisses.

Je m’abandonnais entièrement à son baiser et à ses caresses dans mon dos lorsqu’elle me prit une main et la posa sur son sien gauche. J’identifias immédiatement qu’elle n’avait pas de soutien-gorge et je sentais son téton pointer. Électrisée mais paralysée par la situation je n’osais pas bouger, je n’avais jamais touché une autre poitrine que la mienne. Elle guida ma main en commençant à se caresser le sein. Je découvris une poitrine ferme et ronde. Bientôt elle n’eut plus besoin de me guider et je la caressais doucement au rythme de ses caresses dans mon dos. Nos souffles s’accéléraient et la découverte de sa poitrine, ma main était passée sur son second sein, m’excitais beaucoup. Cette excitation augmenta d’un cran lorsqu’elle commença également à me caresser les seins. Finalement elle se leva et me demanda si je voulais la suivre dans sa chambre. Comme dire non ? Elle me prit la main et me guida, je n’ai pas le temps de m’attarder sur la décoration, elle m’allongea sur le lit et s’allongea à mes côtés.

L’une face à l’autre nous nous embrassions et nous regardions en poursuivant la découverte de nos seins. Elle enleva bientôt son chemiser et je fis de même en enlevant également mon soutien-gorge. Les caresses sur la peau nue et douce de ses siens étaient un bonheur tout comme ses caresses sur les miens. Le plaisir et l’excitation étaient profonde et douce. En m’embrassant elle est venue sur moi et sentir ses seins contre les miens augmenta d’un cran le feu qui commençait à m’envahir. Doucement une de ses jambes est venue entre les miennes et elle a commencé à bouger son bassin, se frottant sur ma cuisse tandis que la sienne frottait ma vulve. Le feu se déplaça immédiatement vers elle avant d’irradier mon corps et les battements de mon cœur s’accélérèrent. Tandis que son baiser se faisait plus ardent, que ses mains se perdaient dans mes cheveux, je posais mes mains sur ses fesses et les luis caressais. Elle accéléra la cadence de son bassin et la pression de sa cuisse entre mes jambes et bientôt mon bassin entra dans la danse. Mes mains sur ses fesses accompagnaient et accentuaient le rythme tandis que nous haletions toutes les deux. Je sentais le point de non-retour arriver et toute à mon plaisir j’accentuais encore le rythme de mes hanches. L’orgasme arriva, je me crispais sur ses fesses tandis que mon corps était parcouru de soubresauts. Fannie m’embrassa alors tendrement avant de revenir s’allonger à mes côtés et de me caresser doucement les seins et le ventre.

Elle attendit que je reprenne mon souffle et elle me demanda si je voulais bien qu’elle me caresse la minette. Je lui ai répondu que c’était un peu tôt, il fallait que je me remette de cette séance étrange mais fort agréable. Elle me demanda alors si je pouvais caresser la sienne. Je lui devais bien ça, non ? Et, après tout, ça doit être comme quand je me masturbe. Je me suis retournée et comprenant elle s’est placée sur le dos. J’ai commencé par lui caresser les seins et lui agacer les tétons avant de descendre sur son ventre et de le caresser doucement en faisant des cercles ayant pour centre le nombril. Mes cercles s’agrandissaient au fur et à mesure, se rapprochant du haut de ses jeans. Passant bientôt la frontière entre la peau et le tissu je me rapprochais de son entrejambe. Sa respiration se fit plus rapide lorsque j’y arrivais et elle poussa un soupir d’aise lorsque je m’y attardais. Je passais alors la main entre ses cuisses qu’elle écarta et je commençais à la caresser de la paume en descendant et du bout des doigts en remontant. Arrivée en haut je m’attardais et mes doigts faisaient de petits ronds sur ce que je pensais être son clito. Je devais avoir bon car elle respirait plus fort et laisser échapper de petits gémissements.

Sentir que je pouvais donner du plaisir à Fannie commençait à m’exciter et j’avais envie d’aller plus loin alors sans le lui demander mais doucement pour qu’elle puisse dire non, j’ai commencé à déboutonner ses jeans, j’ai descendu la braguette et je suis entrée entre les tissus du pantalon et de la culote que j’ai trouvée humide, signe de son plaisir. J’ai alors recommencer mes caresses mais très vite j’ai eu envie de franchir une nouvelle frontière alors je suis passée sous le tissu de la culotte. J’y ai trouvé un peu de poil, comme un tapis invitant à progresser, ce que j’ai fait. Lorsque mes doigts atteignirent sa minette elle eut un frisson et gémit doucement. Je recommençais mes caresses de la paume, des doigts, et le massage du clito que je pouvais sentir. Elle commençait à onduler du bassin pour venir à la rencontre de ma main et je sentais son plaisir approcher.

Alors je lui ôtais ses jeans et sa culotte. Je découvrais une jolie minette humide, au poil entretenu et j’ai eu envie de la gouter. Je me suis donc pencher et l’ai léchée de bas en haut. Elle avait bon gout et au fur et à mesure de mes passages je m’enfonçais un peu plus profond entre ses lèvres. M’arrêtant toujours en haut, sur son clito pour une petite séance de titillement. Très vite ses hanches s’animèrent et j’accélérais et appuyais mes coups de langues. Finalement, dans un frisson et un râle elle jouit. Je me relevais et la regardais, c’est beau une femme qui a un orgasme.

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