Les aventures de Seb (3) - histoire érotique

La plage se remplit peu à peu. Des groupes d’amis, des couples hétéros, des garçons seuls ou plus rarement des filles. Comme j’ai très mal dormi je somnole, allongé sur le ventre sur ma serviette et tombe dans une forme de demi-sommeil. Je suis conscient de la douceur du soleil sur ma peau, du bruit un peu étouffé de la mer contre les rochers et du murmure assourdi des conversations. Je bande à moitié, encore secoué par ce qu’il vient de se passer avec Manuel.

Soudain, je me réveille en sursaut. Il me semble qu’une main s’est posée sur mon épaule. Je me redresse et ouvre les yeux. Manuel est là, accroupi en face de moi, les jambes écartées. Mon regard se pose sur ses couilles rasées et sa grosse queue épaisse qui pendent lourdement entre ses cuisses très poilues.


Je lève un peu plus les yeux pour trouver son regard.

- Tu viens te baigner ?
- Euh….oui….pourquoi pas
Je n’ai pas fini ma réponse que je prends conscience de mon érection.

- En fait non, pas maintenant…
Manuel a compris la raison de ma gène et sourit.

- Tu bandes ?
- ….Ou…oui- C’est pas grave, la mer est tout près et personne ne sera choqué- Euh…quand même- Allez viens te baigner…
Il me regarde avec de beaux yeux rieurs et je décide de le suivre. Je me mets debout, ma queue pas encore totalement à l’horizontale mais suffisamment dure pour que personne n’ait de doute sur mes émotions.

Nous nous dirigeons rapidement vers l’eau, j’essaye de ne pas réfléchir pour ne pas bander plus fort et je suis content de rentrer rapidement dans l’eau.

Manuel reste près de moi.

- Viens un peu plus loin, on a pied longtemps par ici

En effet, en m’éloignant du bord d’une quinzaine de mètres je comprends que la plage se prolonge par un plateau rocheux en pente douce.



Nous sommes désormais un peu à l’écart des autres baigneurs avec de l’eau jusqu’au cou, face à face, à profiter du plaisir indicible de l’eau sur nos corps nus. Je regrette de n’avoir pas essayé la baignade à poil plus tôt.

Manuel se rapproche un peu de moi. Soudain je sens sa main qui s’empare de ma queue.

- J’aime beaucoup ta queue tu sais…
- …
Je ne sais pas quoi dire. Il commence à me masturber. Est-ce lui, l’excitation de cette situation inconnue, l’expérience de sa main sur un sexe d’homme qu’il saurait faire durcir avec juste quelques caresses expertes ? Toujours est-il que j’ai l’impression d’être traversé par une décharge électrique. La sensation est magique et je bande comme un fou, emprisonné dans sa poigne à la fois ferme et douce. Entre ses doigts agiles je sens mon prépuce aller et venir sur mon gland gonflé au maximum.
Manuel me regarde toujours dans les yeux. Je comprendsMa main droite s’empare à son tour de sa queue et je prends pleinement conscience de son volume. J’ai bien vu tout à l’heure qu’il était bien équipé mais bizarrement découvrir maintenant son sexe par le toucher et non plus par le regard agit comme une ressource de conscience supplémentaire. Je le compare mentalement à toutes les queues que j’ai pu admirer en photos ou dans des pornos et je me dis qu’il appartient à la catégorie des hommes qui pourront toujours arrondir leurs fins de mois devant un objectif.

Son sexe est un peu courbe en érection, le gland gros comme une petite orange pointant vers le haut. Je joue moi aussi avec son prépuce épais et très souple qui glisse facilement sur le bout de cette queue dont le volume ne finit pas de m’impressionner.

Je jette un regard vers la plage pour savoir si quelqu’un nous observe mais à cette distance je ne vois rien et je suis un peu rassuré. J’essaye de m’abandonner à la découverte de ce nouveau plaisir. Je me dis qu’une main d’homme est un train de me caresser. Jusqu’à maintenant seulement la mienne m’avait amené à l’éjaculation et maintenant je découvre le monde insoupçonné du plaisir interdit donné par un autre. Me fera-t-il jouir ? Je ne sais pas où j’en suis.

- Ca va ?

Manuel perçoit les émotions contradictoires qui me traversent. Je suis à la fois au paradis et aussi perdu devant la découverte du monde du sexe réel, dans ces circonstances particulières d’une plage offerte à la vue de tous. Moi, Sébastien, je me fais masturber pour la première fois, non pas dans le secret d’une chambre mais au milieu de la plus belle des natures que l'on puisse imaginer et en public.

- Oui….

- Tout à l’heure, quand tu as dit « c’était la première fois », tu voulais dire ta première plage naturiste ?
- Euh….Non…. Enfin oui, ma première fois à poil sur la plage c’était hier mais c’est pas ça que je voulais dire.
- Ta première suce sur la plage alors ?
- Oui…enfin pas exactement. C’était la première fois sur la plage et tout court.
- Tu ne t’es jamais fait sucer ?
- …Nnn non- Avec la queue et le corps que tu as ?
- Ben nonnn- Alors ça veut dire qu’aujourd’hui…..tu m’as choisi… ?
- En fait pas vraiment parce que je ne m’y attendais pas…- Ok, je comprends. Et ça te gène que je l’aie fait ? Si j’avais su je ne me serais pas permis tu sais…- Non. Pas du tout. Au contraire, c’était génial- Tu es sur ?
- Oui, t’inquiète pas. Je crois que j’ai tout fait pour que ça arrive non ?

Il sourit, comme rassuré.

- Et là ça te gêne que je te caresse ?
- Pas du tout… tu en as la preuve dans la main non?
J’ai retrouvé le sourire et l’envie de m’amuser. Je sens sa queue encore plus dure. Ma première queue en érection, dans la paume de ma main. J’essaye de lui appliquer à l’envers les caresses que j’ai appris à me prodiguer quand je me masturbe et que je veux jouir. Mais, j’ai vu tellement de pornos et de pratiques différentes que je ne sais pas vraiment si je parviens à lui donner du plaisir. Je sens tout de même des contractions profondes dans son pénis qui me rassurent un peu.

- Tu as déjà joui dans la mer ?

- Oui, une fois, sur une plage où un mec me plaisait tellement que je suis allé me baigner pour me masturber en le regardant faire le malin avec ses copains.
- Cool. Tu veux jouir là ?
- Euh…oui…je crois que je vais pas pouvoir me retenir. C’est trop bon…
Manuel enserre ma queue encore plus étroitement, forme comme un cockring avec ses doigts pour me maintenir au plus dur dont je suis capable, puis reprend ses mouvements de va-et-vient sur mon pénis en insistant bien sur la couronne de mon gland et le frein de mon prépuce si sensible quand il est retroussé à fond. Il accélère, je sens que tout mon corps se raidit.

Il murmure presque :
- Tu es prêt ?

Il connaît déjà la réponse.

- Ouiiii…Et je remplis la mer. C’est du moins l’impression que je ressens. L’eau disparaît et devient océan de mon sperme. C’est un nouvel élément que je crée. Je suis bouleversé par cette émotion, horrifié à l’idée que toute la plage va savoir que maintenant l’eau est mienne mais follement heureux du plaisir que Manuel vient de me donner. La beauté et la simplicité de ce garçon me touchent profondément.


- Waouhhhh- Ça va ?

Je suis essoufflé.


- Oui….génial…- Je peux moi aussi ?
Je suis étonné et un peu ému. C’est une demande douce. Tout à mon plaisir j’ai lâché sa queue et je comprends que ma jouissance sera encore plus grande si je la partage avec lui.

Je m’empare à nouveau de son gros sexe toujours gonflé à bloc et j’oublie tous mes doutes. J’accepte de me laisser guider par mon instinct et de laisser ma main prendre son autonomie sur son pénis.

Après quelques minutes…

- …. Je vais jouir- Oui. Vas-yJe me concentre sur cette colonne de chair qui fusionne avec moi, je sens entre mes doigts le gonflement du sperme qui va bientôt déferler, je sens son sexe cracher dans les profondeurs salées les jets puissants de son jus généreux. Et je me dis que je suis maintenant en train de me baigner dans son jus de mec qui s’est mêlé au mien. C'est divinement bon…
Nous essayons de nous calmer un peu et de reprendre une attitude anodine. Quelques minutes plus tard nous sortons de l’eau comme si de rien n’était et nous regagnons chacun notre serviette. Je regarde la mer et j’imagine nos spermes se diluer lentement dans les flots…