Les aventures de Seb (6)
Récit érotique écrit par Poiluhds [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les aventures de Seb (6)
Le lendemain je me réveille aux aurores, trempé tant mon sommeil a été agité. Je ne me souviens pas de mes rêves mais je crois que j’ai passé toute la nuit sur cette plage. Ma queue est dure à m’en faire presque mal. Je me caresse un peu pour le plaisir mais je ne veux pas jouir ce matin, pas déjà.
Je prends mon petit-déjeuner dans la cuisine encore déserte et pars en direction de la plage naturiste qui m’attire comme un aimant.
Comme la veille, les criques sont a peu près désertes, quelques hommes nus sont déjà en train de prendre le soleil. La plage ne semble pas être « réservée » aux gays et j’imagine que certains de ces mecs viennent peut-être se défier eux-mêmes et assouvir des attirances cachées à l’heure où leurs charmantes épouses et leurs enfants vaquent à des occupations plus ordinaires.
Je trouve un emplacement qui me plait et aussitôt je le vois. Il est là, seul, nu, le garçon poilu croisé le premier jour que j’ai espéré voir toute la journée d’hier et que j’ai attendu en vain.
Echange de regards, il me reconnaît et me sourit.
Je sors ma serviette de mon sac à dos et me déshabille rapidement. Je suis un peu fébrile, pressé, et je ne sais pas pourquoi. Docksides rapidement enlevées, polo par dessus la tête, bouton de short dégrafé, me voilà nu devant ce beau garçon qui me trouble. Je reste debout pour profiter de l’air tiède sur mon corps et je sens que je commence à bander. Je regarde à nouveau dans sa direction avant de m’allonger sur ma serviette et mon cœur manque de s’arrêter : il se masturbe ouvertement en me regardant avec un grand sourire qui ne trompe pas.
Je suis fasciné mais je ne peux pas rester figé debout dans cette posture à baver de désir devant lui. A regret je m’allonge sur ma serviette, mais sur le ventre de façon à le garder dans ma ligne de mire.
Il continue à se masturber sans hésiter une seconde puis prend son sac à dos, se lève et vient vers moi.
- Bonjour !
- Bonjour !
- Tu viens ?
Que veut-il dire ? Et il fait quelques pas en direction du fond de la plage, un peu sombre encore parce qu’envahi par des arbustes sauvages.
J’ai la gorge sèche et je ne sais pas quoi dire, alors je me lève et le suis. J’ai les yeux collés sur la raie sombre qui sépare ses fesses velues et j’ai peur de jouir en chemin tant mon cerveau est envahi de signaux inconnus et presque violents.
Il marche devant moi pour grimper le long d’un tout petit chemin qui s’enfonce dans le taillis. Après avoir fait 50 mètres il prend à droite, je le suis toujours et nous arrivons dans une sorte de petite clairière de quelques mètres carrés abritée des regards.
Il pose son sac à dos et se tourne vers moi. Je suis pétrifié de désir pour ce garçon qui tend vers moi une belle queue longue et fine, bronzée d’une nuance abricot que je trouve irrésistible. Il avance et vient coller son gland encore couvert de son prépuce au mien.
Puis sa main gauche se pose sur ma nuque, et nous nous embrassons. Je ne sais pas pourquoi, mais au fond de moi j’ai le sentiment qu’il sait que ce sera ma première fois. Ma première étreinte avec un homme, mon premier baiser. Il met une langue douce et humide dans ma bouche, je l’imite et j’ai l’impression que rien, jamais ne sera meilleur sur terre.
Je me concentre sur la découverte de ma bouche dont je comprends alors qu’elle est aussi un sexe, et par intermittence, mes pensées descendent dans ma queue. En appuyant l’un sur l’autre nos glands gorgés de sang ont repoussé nos prépuces et se frottent maintenant à l’unisson de nos baisers. Je vois dans mon cerveau les minuscules lèvres qui entourent l’orifice de ma queue se poser sur celles de sa verge dans une imitation parfaite de nos deux bouches soudées.
Ses mouvements sont imperceptibles, nous sommes presque immobiles parce qu’à cet instant nous ne faisons plus qu’un, symétriques parfaits, doublement unis par nos langues qui se mêlent et nos queues qui se fondent en un seul énorme sexe gorgé de désir. Je veux que le temps s’arrête, je ne veux rien d’autre que ce sentiment d’entrer en lui, dans son cœur et dans son âme alors que nos corps ne font encore que s’effleurer. La salive adoucit nos baisers comme le lubrifiant de nos sexes rend la caresse mutuelle de nos glands soudés délicieusement électriqueC’est une éternité et jamais je ne l’oublierai. Il me parle dans le creux de l’oreille
- Ca va ?
- Oui- Tu es bien ?
- Oui, merveilleusement bienNi lui ni moi n’avons envie que cesse cette étreinte mais des forces profondes au fond de nos corps nous appellent.
Il s’écarte et se penche pour prendre son sac à dos d’où il sort une serviette qu’il installe sur le sol.
- ViensIl s’allonge sur le dos et j’ai envie qu’il me prenne dans ses bras. Je m’allonge sur lui, il écarte les jambes et je pose à nouveau mes lèvres sur les siennes et ma queue sur sa queue. Nous nous embrassons avec passion, il me caresse la nuque, le dos et les fesses et je suis traversé par des millions de frissons d’un plaisir que je n’imaginais pas.
A son initiative, nous roulons sur le coté et nous nous retrouvons dans la position inverse, lui sur moi qui l’accueille entre mes cuisses.
A nouveau il me parle doucement à l’oreille :
- Tu t’appelles comment ?
- Sébastien- Moi c’est NathanPuis il glisse entre mes jambes, lèche mon torse velu, mes têtons qui durcissent en un éclair. Il se régale de mes poils. Maintenant sa langue tourne autour de mon nombril et je me sens mouillé et aimé par lui. Mon pubis dans lequel il enfuit son visage, il dévore ma toison et je comprends qu’il va bientôt m’avaler. Sans me quitter du regard il entrouvre les lèvres et je vois ma queue disparaître dans sa bouche. A la même seconde je me tors de plaisir. Sa langue a du se poser sur le point le plus sensible de mon pénis déjà au bord de l’explosion depuis un moment. J’ai peur soudain. J’ai peur de jouir tout de suite, c’est trop violent, je suis presque noyé dans des sensations dont je sais que la seule issue possible sera l’éjaculation libératoire.
A nouveau torsion de tout mon corps. Chaque mouvement de sa bouche sur mon sexe est un abyme de plaisir, dément et terrifiant parce que la dernière chose que je veux serait de jouir déjà.
Il le comprend et se contente désormais de micro-caresses qui me vrillent la queue mais me retiennent du bon coté de l’explosion tant attendue et tant redoutée. Je vois ma queue en lui et je me dis que je ne l’ai jamais vu aussi puissante : mon érection aujourd’hui n’est pas comme les autres, elle est allée chercher dans les profondeurs de mes neurones et de mes veines des ressources insoupçonnées.
Nathan prend les choses en main avec une infinie douceur et je m’abandonne entre ses mains. Après de longues et divines minutes penché sur ma queue disparue en lui, il autorise mon pénis à revoir la lumière de ce matin d’été. Je m’appuie sur mes coudes pour regarder mon sexe brillant de sa salive, parcouru de spasmes de plaisir, et je suis heureux d’être à coté de lui, lui offrant ce que j’ai de plus intime.
Nathan me fait comprendre de me décaler un peu sur le bord de la serviette et vient s’allonger, cette fois-ci, tête bêche, en 69 comme je l’ai vu tant de fois dans mes pornos préférés.
Je n’attendais que cela. Enfin connaître la sensation d’une queue dans ma bouche et je suis si heureux que ce soit la sienne. Il est patient et n’enfonce pas son sexe entre mes lèvres. Il reprend le mien dans sa bouche et attend, espère probablement, que je fasse de même mais j’ai compris qu’il ne m’imposerait rien. Je suis touché par sa douceur. J’ai trop envie. Je prends son pénis dur dans ma main droite, sans presque oser le toucher tant il est précieux à mes yeux. Etrangement je sens immédiatement une contraction dans ce sexe offert à mes caresses.
Comme si Nathan aimait ce premier contact. Je serre un peu plus fort et je sens la même contraction. Il aime et moi aussi j’aime ma main posée sur lui. Puis, parce que je suis fasciné depuis tout petit par les prépuces de tous les hommes que j’ai eu envie de voir à poil, je découvre totalement son gland. Son érection puissante l’avait à moitié découvert mais je tire doucement la peau vers le bas. Je crois devenir fou de plaisir. C’est comme l’aboutissement de tout. Que peut-on faire de plus intime à un ami que de jouer avec son prépuce ? Le gland rose foncé de Nathan brille sous le soleil, mouillé depuis notre premier contact par le lubrifiant qu’il produit visiblement en grande quantité. Ma main est immobile sur sa queue ainsi plus nue que nue et, alors que je ne m’y attendais pas, je vois jaillir du trou de sa queue, un jet de precum qui coule comme celui d’une petite fontaine. Pas la pression d’une éjaculation mais juste la libération d’un jus bienfaisant qui inonde sa queue, ma main qui l’enserre, et se perd dans la toison sombre et soigneusement taillée de son pubis.
Je suis fasciné par cette manifestation inattendue du plaisir éprouvé par son corps. Nathan émet une sorte de grognement étouffé. Je n’en bande que plus fort.
Je prends mon petit-déjeuner dans la cuisine encore déserte et pars en direction de la plage naturiste qui m’attire comme un aimant.
Comme la veille, les criques sont a peu près désertes, quelques hommes nus sont déjà en train de prendre le soleil. La plage ne semble pas être « réservée » aux gays et j’imagine que certains de ces mecs viennent peut-être se défier eux-mêmes et assouvir des attirances cachées à l’heure où leurs charmantes épouses et leurs enfants vaquent à des occupations plus ordinaires.
Je trouve un emplacement qui me plait et aussitôt je le vois. Il est là, seul, nu, le garçon poilu croisé le premier jour que j’ai espéré voir toute la journée d’hier et que j’ai attendu en vain.
Echange de regards, il me reconnaît et me sourit.
Je sors ma serviette de mon sac à dos et me déshabille rapidement. Je suis un peu fébrile, pressé, et je ne sais pas pourquoi. Docksides rapidement enlevées, polo par dessus la tête, bouton de short dégrafé, me voilà nu devant ce beau garçon qui me trouble. Je reste debout pour profiter de l’air tiède sur mon corps et je sens que je commence à bander. Je regarde à nouveau dans sa direction avant de m’allonger sur ma serviette et mon cœur manque de s’arrêter : il se masturbe ouvertement en me regardant avec un grand sourire qui ne trompe pas.
Je suis fasciné mais je ne peux pas rester figé debout dans cette posture à baver de désir devant lui. A regret je m’allonge sur ma serviette, mais sur le ventre de façon à le garder dans ma ligne de mire.
Il continue à se masturber sans hésiter une seconde puis prend son sac à dos, se lève et vient vers moi.
- Bonjour !
- Bonjour !
- Tu viens ?
Que veut-il dire ? Et il fait quelques pas en direction du fond de la plage, un peu sombre encore parce qu’envahi par des arbustes sauvages.
J’ai la gorge sèche et je ne sais pas quoi dire, alors je me lève et le suis. J’ai les yeux collés sur la raie sombre qui sépare ses fesses velues et j’ai peur de jouir en chemin tant mon cerveau est envahi de signaux inconnus et presque violents.
Il marche devant moi pour grimper le long d’un tout petit chemin qui s’enfonce dans le taillis. Après avoir fait 50 mètres il prend à droite, je le suis toujours et nous arrivons dans une sorte de petite clairière de quelques mètres carrés abritée des regards.
Il pose son sac à dos et se tourne vers moi. Je suis pétrifié de désir pour ce garçon qui tend vers moi une belle queue longue et fine, bronzée d’une nuance abricot que je trouve irrésistible. Il avance et vient coller son gland encore couvert de son prépuce au mien.
Puis sa main gauche se pose sur ma nuque, et nous nous embrassons. Je ne sais pas pourquoi, mais au fond de moi j’ai le sentiment qu’il sait que ce sera ma première fois. Ma première étreinte avec un homme, mon premier baiser. Il met une langue douce et humide dans ma bouche, je l’imite et j’ai l’impression que rien, jamais ne sera meilleur sur terre.
Je me concentre sur la découverte de ma bouche dont je comprends alors qu’elle est aussi un sexe, et par intermittence, mes pensées descendent dans ma queue. En appuyant l’un sur l’autre nos glands gorgés de sang ont repoussé nos prépuces et se frottent maintenant à l’unisson de nos baisers. Je vois dans mon cerveau les minuscules lèvres qui entourent l’orifice de ma queue se poser sur celles de sa verge dans une imitation parfaite de nos deux bouches soudées.
Ses mouvements sont imperceptibles, nous sommes presque immobiles parce qu’à cet instant nous ne faisons plus qu’un, symétriques parfaits, doublement unis par nos langues qui se mêlent et nos queues qui se fondent en un seul énorme sexe gorgé de désir. Je veux que le temps s’arrête, je ne veux rien d’autre que ce sentiment d’entrer en lui, dans son cœur et dans son âme alors que nos corps ne font encore que s’effleurer. La salive adoucit nos baisers comme le lubrifiant de nos sexes rend la caresse mutuelle de nos glands soudés délicieusement électriqueC’est une éternité et jamais je ne l’oublierai. Il me parle dans le creux de l’oreille
- Ca va ?
- Oui- Tu es bien ?
- Oui, merveilleusement bienNi lui ni moi n’avons envie que cesse cette étreinte mais des forces profondes au fond de nos corps nous appellent.
Il s’écarte et se penche pour prendre son sac à dos d’où il sort une serviette qu’il installe sur le sol.
- ViensIl s’allonge sur le dos et j’ai envie qu’il me prenne dans ses bras. Je m’allonge sur lui, il écarte les jambes et je pose à nouveau mes lèvres sur les siennes et ma queue sur sa queue. Nous nous embrassons avec passion, il me caresse la nuque, le dos et les fesses et je suis traversé par des millions de frissons d’un plaisir que je n’imaginais pas.
A son initiative, nous roulons sur le coté et nous nous retrouvons dans la position inverse, lui sur moi qui l’accueille entre mes cuisses.
A nouveau il me parle doucement à l’oreille :
- Tu t’appelles comment ?
- Sébastien- Moi c’est NathanPuis il glisse entre mes jambes, lèche mon torse velu, mes têtons qui durcissent en un éclair. Il se régale de mes poils. Maintenant sa langue tourne autour de mon nombril et je me sens mouillé et aimé par lui. Mon pubis dans lequel il enfuit son visage, il dévore ma toison et je comprends qu’il va bientôt m’avaler. Sans me quitter du regard il entrouvre les lèvres et je vois ma queue disparaître dans sa bouche. A la même seconde je me tors de plaisir. Sa langue a du se poser sur le point le plus sensible de mon pénis déjà au bord de l’explosion depuis un moment. J’ai peur soudain. J’ai peur de jouir tout de suite, c’est trop violent, je suis presque noyé dans des sensations dont je sais que la seule issue possible sera l’éjaculation libératoire.
A nouveau torsion de tout mon corps. Chaque mouvement de sa bouche sur mon sexe est un abyme de plaisir, dément et terrifiant parce que la dernière chose que je veux serait de jouir déjà.
Il le comprend et se contente désormais de micro-caresses qui me vrillent la queue mais me retiennent du bon coté de l’explosion tant attendue et tant redoutée. Je vois ma queue en lui et je me dis que je ne l’ai jamais vu aussi puissante : mon érection aujourd’hui n’est pas comme les autres, elle est allée chercher dans les profondeurs de mes neurones et de mes veines des ressources insoupçonnées.
Nathan prend les choses en main avec une infinie douceur et je m’abandonne entre ses mains. Après de longues et divines minutes penché sur ma queue disparue en lui, il autorise mon pénis à revoir la lumière de ce matin d’été. Je m’appuie sur mes coudes pour regarder mon sexe brillant de sa salive, parcouru de spasmes de plaisir, et je suis heureux d’être à coté de lui, lui offrant ce que j’ai de plus intime.
Nathan me fait comprendre de me décaler un peu sur le bord de la serviette et vient s’allonger, cette fois-ci, tête bêche, en 69 comme je l’ai vu tant de fois dans mes pornos préférés.
Je n’attendais que cela. Enfin connaître la sensation d’une queue dans ma bouche et je suis si heureux que ce soit la sienne. Il est patient et n’enfonce pas son sexe entre mes lèvres. Il reprend le mien dans sa bouche et attend, espère probablement, que je fasse de même mais j’ai compris qu’il ne m’imposerait rien. Je suis touché par sa douceur. J’ai trop envie. Je prends son pénis dur dans ma main droite, sans presque oser le toucher tant il est précieux à mes yeux. Etrangement je sens immédiatement une contraction dans ce sexe offert à mes caresses.
Comme si Nathan aimait ce premier contact. Je serre un peu plus fort et je sens la même contraction. Il aime et moi aussi j’aime ma main posée sur lui. Puis, parce que je suis fasciné depuis tout petit par les prépuces de tous les hommes que j’ai eu envie de voir à poil, je découvre totalement son gland. Son érection puissante l’avait à moitié découvert mais je tire doucement la peau vers le bas. Je crois devenir fou de plaisir. C’est comme l’aboutissement de tout. Que peut-on faire de plus intime à un ami que de jouer avec son prépuce ? Le gland rose foncé de Nathan brille sous le soleil, mouillé depuis notre premier contact par le lubrifiant qu’il produit visiblement en grande quantité. Ma main est immobile sur sa queue ainsi plus nue que nue et, alors que je ne m’y attendais pas, je vois jaillir du trou de sa queue, un jet de precum qui coule comme celui d’une petite fontaine. Pas la pression d’une éjaculation mais juste la libération d’un jus bienfaisant qui inonde sa queue, ma main qui l’enserre, et se perd dans la toison sombre et soigneusement taillée de son pubis.
Je suis fasciné par cette manifestation inattendue du plaisir éprouvé par son corps. Nathan émet une sorte de grognement étouffé. Je n’en bande que plus fort.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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Oooh ! Sans savoir s'ils vont aller plus loin, c'est tellement tendre et respectueux que ce serait déjà parfait ainsi :)