Les aventures de Seb (7)
Récit érotique écrit par Poiluhds [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les aventures de Seb (7)
Nous sommes toujours allongés sur la coté. Face à face en 69. Je sens toujours la bouche sublime de Nathan sur ma queue. Je suis prêt. J’ouvre la bouche et pose mes lèvres sur son gland mouillé comme sur une glace fondante. Je me régale au premier millionième de seconde du goût subtil de son precum. Je descends ensuite le long de sa queue sans desserrer l’étreinte de l’anneau formé par mes lèvres sur son sexe. Je ne veux rien ignorer de lui, je veux connaître chaque millimètre de la peau de son sexe. J’adore la consistance dure et souple de sa queue dans ma bouche. Je sais maintenant que j’aime sucer après m’être demandé depuis si longtemps comment je réagirais la première fois.
Est-ce que je vais arriver à embrasser les poils de son pubis en avalant son sexe magique ou sera-t-il trop long pour que je l’accueille tout entier ? Il ne cherche toujours pas à m’imposer plus que ce que je ne désire. Je glisse lentement le long de son pénis qui bute parfois dans ma bouche contre ma joue. Je reprends et j’arrive, millimètre par millimètre, à sentir le gland de mon nouvel ami buter contre mon palais.
Au premier réflexe je manque de m’étouffer, une deuxième fois. Mais j’ai trop envie et la troisième est la bonne. Je prends conscience, à la seconde où mes lèvres se posent sur les poils courts de son pubis que les siennes embrassent ma propre toison. Nous sommes à nouveau parfaitement symétriques, imbriqués l’un dans l’autre, avalés l’un par l’autre.
Commence alors une danse à deux. Nos deux bouches, en cadence, vont en viennent sur nos queues. La chorégraphie est lente, tout est dans l’attention que chacun porte à l’autre et dans la fragilité de l’instant. Une maladresse, une caresse trop appuyée, et l’un jouira. Ni lui ni moi ne le voulons maintenant. Nous voulons juste jouir du plaisir invraisemblable de sucer, sur cette plage, en ce petit matin, la queue sublime d’un garçon qui nous rend fou de désir.
Je ne suis pas au bout de mes surprises. Nathan est un petit peu plus grand que moi et je sens sa bouche qui abandonne ma queue pour avaler mes couilles rasées. Il fait rouler, chacune à leur tour, mes boules sur sa langue.
Il tire sur la peau de mes couilles, les rentre au chaud, les ressort. Je suis à deux doigts de la folie pure. Je sens sa main qui soulève ma jambe et je comprends qu’il cherche à se frayer un chemin pour continuer à m‘explorer. Sa langue poursuit son chemin vers cet endroit particulier et particulièrement sensible qui sépare mes couilles de mon anus. Autant je rase mes couilles avec soin, autant je m’arrête là et je garde ma raie à l’état sauvage. Je sens sa langue qui commence à se perdre dans ma fourrure anale et j’en frissonne d’une nouvelle forme de plaisir. Concentré sur ses caresses, il ne s’est pas rendu compte qu’il m’a enfoncé sa queue encore plus loin dans la bouche et je flotte entre la suffocation qui me commande de la retirer et le plaisir d’être envahi par lui.
Je lève la jambe le plus possible pour lui faciliter le passage parce que sentir même ses cheveux doux entre mes cuisses me rend dingue. Comment décrire alors la sensation de la pointe de sa langue, qui, la première fois, aborde mon anus ? Il tourne son appendice autour de mon trou serré, lèche en appuyant, puis plus légèrement. Ensuite c’est son menton mal rasé qui va manquer de me faire m’évanouir. Il me bouffe le cul, je ne m’appartiens plus, il a pris possession de moi et je me livre à lui sans retenue.
Je ne me connais pas encore. Je ne savais pas si j’aimerais sucer une queue et voilà que j’ai découvert aujourd’hui le plaisir infini que me donne le jeu de ma langue sur son pénis. Je ne sais pas si j’ai envie de jouir avec mon cul ou si j’appartiendrai au monde des actifs. Mais je découvre le plaisir de la caresse d’une langue sur mon trou de mec et je sais que je ne m’en lasserai jamais. Il va plus loin encore et, avec un doigt maintenant, me caresse l’anus pour le détendre, appuyer doucement dessus. Veut-il entrer en moi ? Osera-t-il de lui même ou est-ce à moi de lui faire comprendre que je n’attends que ça ? Il n’entre pas mais ses caresses suffisent à me transporter dans un autre monde.
Dans la position où nous sommes je ne peux pas moi-même aller explorer les mystères de sa raie poilue sans dégager mon trou de sa bouche, et je n’ai aucune envie qu’il s’interrompe. Je m’abandonne donc au plaisir de recevoir les assauts divins de sa langue sur ma chatte de mec et de sentir ma bouche épouser sa queue divine comme si elle devait ne plus jamais la quitter.
J’écoute les bruits de la nature et j’entends le silence entre nous. Il me lèche sans faire de bruit parce que les poils de ma raie assourdissent les frottements de sa langue sur mon intimité. Et soudain, du fond de moi, vient un gémissement. Je ne peux pas le retenir. Pendant un dixième de seconde je me dis que je suis en train de caricaturer un porno mal doublé, mais je renonce et j’exprime, dans un feulement doux, mon plaisir. Il m’a entendu et redouble d’attention sur mon trou. Je voudrais m’ouvrir mais je ne me rends pas compte de ce qu’il voit. Je crois surtout que je voudrais lui dire d’aller plus loin encore, d’entrer en moi, d’être le premier qui me pénétrera.
Je voudrais que cela ne s’arrête jamais. Je voudrais me dédoubler et devenir à cet instant une star de porno sans tabou qui se livrerait totalement à son amant. Je voudrais lui appartenir, mais en même temps je sais que le plaisir que je ressens vient de sa douceur et du respect qu’il montre pour mon corps inexpérimenté.
Après de longues et inoubliables minutes, Nathan bouge, abandonne mon anus et se met à genoux sur la serviette. Je l’imite et me mets face à lui. Nous nous approchons suffisamment pour que, comme tout à l’heure, nos glands se touchent, nos deux orifices alignés, comme si nous allions chacun jouir dans la queue de l’autre.
Nathan me regarde. Je l’admire. Son torse poilu, la ligne de poils noirs qui descend jusqu’à son pubis, sa queue puissante parcourue d’une grosse veine proéminente, et son visage d’ange. Ses yeux pétillent d’intelligence et de désir charnel, et je fixe ses lèvres, pareilles à celles des statues romaines, sensuelles et viriles.
- Tu es bien ?
- Oui…- Sébastien….
- Oui ?
Je l’encourage à me parler, trop bouleversé par les circonstances pour oser prendre la moindre initiative… Mais lui aussi est ému et je vois que ses yeux s’embrument…
- Non…rien….
Il pose à nouveau sa main sur ma nuque et m’embrasse profondément. Je suis au bord de l’évanouissement. Il me murmure à l’oreille
- J’ai envie de toi….mais tu ne l’as jamais fait hein ?
- Non- OK… on va le faire avec des caresses alors…
Je ne sais pas vraiment ce qu’il veut dire mais j’ai confiance en lui. Il me murmure à nouveau à l’oreille.
- Mets toi à quatre pattesCe n’est pas un ordre, ni une supplique. Juste une demande que je reçois avec excitation parce qu’elle est douce. J’ai aussi furieusement envie qu’il s’occupe à nouveau de mon cul. Je me mets dans la position que j’ai vue dans les films, bien penché en avant sur mes avant-bras repliés pour lui offrir le meilleur accès à mon anus. Je me dis que je suis une offrande, que mon trou ainsi tourné vers le ciel est le dernier degré de la fusion de l’homme avec la nature.
J’entends qu’il cherche quelque chose dans son sac à dos. Puis Nathan vient derrière moi et me lèche le cul avec la même agilité et encore plus de gourmandise que tout à l’heure. Entretemps j’ai apprivoisé cette forme de plaisir et il a compris que je m’y abandonnais totalement.
Puis il pose sa queue entre mes fesses, les écartent avec ses deux mains musclées et commence à me caresser l’anus avec son gland bien lubrifié par le gel. C’est à mourir de plaisir. Je m’effondre un peu plus encore pour lui tendre mon cul et ne pas en perdre un centième de seconde.
Je découvre alors que mon cerveau voit littéralement la scène et que mon trou ressent la forme et la dureté souple de son gland mouillé. Je vois mes poils collés par le gel, je vois son cul se contracter pendant qu’il va et vient dans la vallée poilue où j’invite sa queue puissante.
J’ai presque peur de devenir fou et de ne plus jamais vouloir retourner dans le monde réel. Je sens sa main droite se glisser sous mon ventre et se refermer sur ma queue. Il me masturbe en cadence au même rythme que le glissement de son pénis contre mon anus. Il s’applique à jouer aussi dans le creux qui sépare mon trou du bas de mon dos, là où se termine la toison qui habille mes fesses. Etrangement sensible, cette courbure de mes reins accueille son pénis comme si mon corps avait été moulé dessus et créé depuis le premier jour pour cette fusion.
C’en est trop, je ne tiendrai pas longtemps. J’entends du fond de lui venir le même râle que celui que je n’ai pas pu retenir tout à l’heure. Il jouit de l’intérieur de lui-même. Il me caresse le dos de sa main libre alors que l’autre n’en n’est plus à faire monter mon jus dans ma queue mais, à l’inverse, me contrôle pour que le plaisir dure jusqu’à presque l’éternité.
Le temps, le désir, ma peau et les poils de mon cul contre le frein de son gland ont raison de lui. A la même seconde, comme s’il avait un cerveau de rechange pour les moments clés de son existence, il commande à sa main de libérer les flots de mon sperme. Ensemble, je laisse mes couilles se vider en inondant la serviette de mon jus épais pendant que lui, dans une parfaite symétrie, inonde mon dos des longs traits chauds de son sperme qui s’étale sur ma peau.
Est-ce que je vais arriver à embrasser les poils de son pubis en avalant son sexe magique ou sera-t-il trop long pour que je l’accueille tout entier ? Il ne cherche toujours pas à m’imposer plus que ce que je ne désire. Je glisse lentement le long de son pénis qui bute parfois dans ma bouche contre ma joue. Je reprends et j’arrive, millimètre par millimètre, à sentir le gland de mon nouvel ami buter contre mon palais.
Au premier réflexe je manque de m’étouffer, une deuxième fois. Mais j’ai trop envie et la troisième est la bonne. Je prends conscience, à la seconde où mes lèvres se posent sur les poils courts de son pubis que les siennes embrassent ma propre toison. Nous sommes à nouveau parfaitement symétriques, imbriqués l’un dans l’autre, avalés l’un par l’autre.
Commence alors une danse à deux. Nos deux bouches, en cadence, vont en viennent sur nos queues. La chorégraphie est lente, tout est dans l’attention que chacun porte à l’autre et dans la fragilité de l’instant. Une maladresse, une caresse trop appuyée, et l’un jouira. Ni lui ni moi ne le voulons maintenant. Nous voulons juste jouir du plaisir invraisemblable de sucer, sur cette plage, en ce petit matin, la queue sublime d’un garçon qui nous rend fou de désir.
Je ne suis pas au bout de mes surprises. Nathan est un petit peu plus grand que moi et je sens sa bouche qui abandonne ma queue pour avaler mes couilles rasées. Il fait rouler, chacune à leur tour, mes boules sur sa langue.
Il tire sur la peau de mes couilles, les rentre au chaud, les ressort. Je suis à deux doigts de la folie pure. Je sens sa main qui soulève ma jambe et je comprends qu’il cherche à se frayer un chemin pour continuer à m‘explorer. Sa langue poursuit son chemin vers cet endroit particulier et particulièrement sensible qui sépare mes couilles de mon anus. Autant je rase mes couilles avec soin, autant je m’arrête là et je garde ma raie à l’état sauvage. Je sens sa langue qui commence à se perdre dans ma fourrure anale et j’en frissonne d’une nouvelle forme de plaisir. Concentré sur ses caresses, il ne s’est pas rendu compte qu’il m’a enfoncé sa queue encore plus loin dans la bouche et je flotte entre la suffocation qui me commande de la retirer et le plaisir d’être envahi par lui.
Je lève la jambe le plus possible pour lui faciliter le passage parce que sentir même ses cheveux doux entre mes cuisses me rend dingue. Comment décrire alors la sensation de la pointe de sa langue, qui, la première fois, aborde mon anus ? Il tourne son appendice autour de mon trou serré, lèche en appuyant, puis plus légèrement. Ensuite c’est son menton mal rasé qui va manquer de me faire m’évanouir. Il me bouffe le cul, je ne m’appartiens plus, il a pris possession de moi et je me livre à lui sans retenue.
Je ne me connais pas encore. Je ne savais pas si j’aimerais sucer une queue et voilà que j’ai découvert aujourd’hui le plaisir infini que me donne le jeu de ma langue sur son pénis. Je ne sais pas si j’ai envie de jouir avec mon cul ou si j’appartiendrai au monde des actifs. Mais je découvre le plaisir de la caresse d’une langue sur mon trou de mec et je sais que je ne m’en lasserai jamais. Il va plus loin encore et, avec un doigt maintenant, me caresse l’anus pour le détendre, appuyer doucement dessus. Veut-il entrer en moi ? Osera-t-il de lui même ou est-ce à moi de lui faire comprendre que je n’attends que ça ? Il n’entre pas mais ses caresses suffisent à me transporter dans un autre monde.
Dans la position où nous sommes je ne peux pas moi-même aller explorer les mystères de sa raie poilue sans dégager mon trou de sa bouche, et je n’ai aucune envie qu’il s’interrompe. Je m’abandonne donc au plaisir de recevoir les assauts divins de sa langue sur ma chatte de mec et de sentir ma bouche épouser sa queue divine comme si elle devait ne plus jamais la quitter.
J’écoute les bruits de la nature et j’entends le silence entre nous. Il me lèche sans faire de bruit parce que les poils de ma raie assourdissent les frottements de sa langue sur mon intimité. Et soudain, du fond de moi, vient un gémissement. Je ne peux pas le retenir. Pendant un dixième de seconde je me dis que je suis en train de caricaturer un porno mal doublé, mais je renonce et j’exprime, dans un feulement doux, mon plaisir. Il m’a entendu et redouble d’attention sur mon trou. Je voudrais m’ouvrir mais je ne me rends pas compte de ce qu’il voit. Je crois surtout que je voudrais lui dire d’aller plus loin encore, d’entrer en moi, d’être le premier qui me pénétrera.
Je voudrais que cela ne s’arrête jamais. Je voudrais me dédoubler et devenir à cet instant une star de porno sans tabou qui se livrerait totalement à son amant. Je voudrais lui appartenir, mais en même temps je sais que le plaisir que je ressens vient de sa douceur et du respect qu’il montre pour mon corps inexpérimenté.
Après de longues et inoubliables minutes, Nathan bouge, abandonne mon anus et se met à genoux sur la serviette. Je l’imite et me mets face à lui. Nous nous approchons suffisamment pour que, comme tout à l’heure, nos glands se touchent, nos deux orifices alignés, comme si nous allions chacun jouir dans la queue de l’autre.
Nathan me regarde. Je l’admire. Son torse poilu, la ligne de poils noirs qui descend jusqu’à son pubis, sa queue puissante parcourue d’une grosse veine proéminente, et son visage d’ange. Ses yeux pétillent d’intelligence et de désir charnel, et je fixe ses lèvres, pareilles à celles des statues romaines, sensuelles et viriles.
- Tu es bien ?
- Oui…- Sébastien….
- Oui ?
Je l’encourage à me parler, trop bouleversé par les circonstances pour oser prendre la moindre initiative… Mais lui aussi est ému et je vois que ses yeux s’embrument…
- Non…rien….
Il pose à nouveau sa main sur ma nuque et m’embrasse profondément. Je suis au bord de l’évanouissement. Il me murmure à l’oreille
- J’ai envie de toi….mais tu ne l’as jamais fait hein ?
- Non- OK… on va le faire avec des caresses alors…
Je ne sais pas vraiment ce qu’il veut dire mais j’ai confiance en lui. Il me murmure à nouveau à l’oreille.
- Mets toi à quatre pattesCe n’est pas un ordre, ni une supplique. Juste une demande que je reçois avec excitation parce qu’elle est douce. J’ai aussi furieusement envie qu’il s’occupe à nouveau de mon cul. Je me mets dans la position que j’ai vue dans les films, bien penché en avant sur mes avant-bras repliés pour lui offrir le meilleur accès à mon anus. Je me dis que je suis une offrande, que mon trou ainsi tourné vers le ciel est le dernier degré de la fusion de l’homme avec la nature.
J’entends qu’il cherche quelque chose dans son sac à dos. Puis Nathan vient derrière moi et me lèche le cul avec la même agilité et encore plus de gourmandise que tout à l’heure. Entretemps j’ai apprivoisé cette forme de plaisir et il a compris que je m’y abandonnais totalement.
Puis il pose sa queue entre mes fesses, les écartent avec ses deux mains musclées et commence à me caresser l’anus avec son gland bien lubrifié par le gel. C’est à mourir de plaisir. Je m’effondre un peu plus encore pour lui tendre mon cul et ne pas en perdre un centième de seconde.
Je découvre alors que mon cerveau voit littéralement la scène et que mon trou ressent la forme et la dureté souple de son gland mouillé. Je vois mes poils collés par le gel, je vois son cul se contracter pendant qu’il va et vient dans la vallée poilue où j’invite sa queue puissante.
J’ai presque peur de devenir fou et de ne plus jamais vouloir retourner dans le monde réel. Je sens sa main droite se glisser sous mon ventre et se refermer sur ma queue. Il me masturbe en cadence au même rythme que le glissement de son pénis contre mon anus. Il s’applique à jouer aussi dans le creux qui sépare mon trou du bas de mon dos, là où se termine la toison qui habille mes fesses. Etrangement sensible, cette courbure de mes reins accueille son pénis comme si mon corps avait été moulé dessus et créé depuis le premier jour pour cette fusion.
C’en est trop, je ne tiendrai pas longtemps. J’entends du fond de lui venir le même râle que celui que je n’ai pas pu retenir tout à l’heure. Il jouit de l’intérieur de lui-même. Il me caresse le dos de sa main libre alors que l’autre n’en n’est plus à faire monter mon jus dans ma queue mais, à l’inverse, me contrôle pour que le plaisir dure jusqu’à presque l’éternité.
Le temps, le désir, ma peau et les poils de mon cul contre le frein de son gland ont raison de lui. A la même seconde, comme s’il avait un cerveau de rechange pour les moments clés de son existence, il commande à sa main de libérer les flots de mon sperme. Ensemble, je laisse mes couilles se vider en inondant la serviette de mon jus épais pendant que lui, dans une parfaite symétrie, inonde mon dos des longs traits chauds de son sperme qui s’étale sur ma peau.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
"Je ne sais pas si j’ai envie de jouir avec mon cul ou si j’appartiendrai au monde des actifs"... C'est étrange, comme réflexion, à ce moment, surtout pour une première fois... Le simple fait d'encore pouvoir réfléchir, en fait ¯\_(ツ)_/¯