Les aventures de Sniffeur & Puante - Chapitre 1 / Partie 1

- Par l'auteur HDS InFeetWeTrust -
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Récit libertin : Les aventures de Sniffeur & Puante - Chapitre 1 / Partie 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les aventures de Sniffeur & Puante - Chapitre 1 / Partie 1
Les aventures de Sniffeur & Puante

- Pour des raisons de discrétion les noms, ainsi que ceux de certains lieux, ont été modifiés -

Chapitre 1 : Week-end vicieux en amoureux.

Partie 1 - Conditionnement à distance.

Je me réveille dans la douleur. Un faux mouvement a dû bouger ma cage de chasteté qui me pince horriblement d'un coup. Je me lève et fonce dans les toilettes du train pour la remettre en place à l'aide de sa clé que je passe entre les ouvertures pour faire bouger ma queue à l’intérieur.
Bien évidemment dans la précipitation je réussis à me faire un peu plus mal. Les joies de la soumission ...
Je profite d'être là pour pisser. Je m'assois sur le chiotte (cage oblige!) qui ne manque pas d'être humide des précédents visiteurs (Alors certes, dans ce contexte ça me plaît mais, par pitié messieurs, levez cette putain de lunette !). En savourant le plaisir de souiller mon cul dans l'urine d'inconnus, je sors mon téléphone de ma poche pour voir combien de temps il me reste de voyage avant mon arrivée à Paris. Plus qu'un quart d'heure avant d'allumer une clope. Je découvre également un message de ma douce et tendre. Celle-là même qui, ce matin, me faisait mettre la cage avant qu'on ne se quitte. Elle pour aller au travail et moi pour mon aller à Paris où j'ai un entretien au siège d'une boite.

« Tu me manques déjà mon petit pig, j'ai hâte que tu viennes me chercher à la gare demain soir et que l'on vive ce week end de perversions tous les deux. En attendant j'ai eu quelques idées pour te faire passer le temps et te serrer un peu plus dans ta cage.
Pour commencer je veux, dès que tu arrives à l'hôtel, que tu me fasses une photo avec les chaussettes puantes que je t'ai préparées. Ensuite, avant ton entretient, je veux que tu te pisses un peu sur la main et que tu te la passes dans le cou. Je veux que tu sois bien parfumé pour mettre toutes les chances de ton coté ahah.
Écris moi quand tu es de retour à l'hôtel après le rdv, je veux savoir comment ça s'est passé et j'aurai d'autres consignes pour toi.
Je retourne bosser, bon courage. Je te love you mon Dirty Boy <3 »

Rien que la lecture de ce message me donne chaud et me compresse un peu plus dans ma prison phallique.
Ça me rend dingue qu'elle soit devenue perverse à ce point aussi rapidement. Je lui répond à la va vite pour dire que tout sera exécuté comme elle le souhaite et que je prendrais le temps de mieux lui répondre une fois posé dans la piaule.
Je retourne à ma place pour récupérer ma veste et mon sac puis part dans l'entre-deux wagons pour me préparer à sortir vite et me met à divaguer sur ce qui nous attend durant ce week-end. Ça va être mortel, on s'est prévu une «activité» cul par jour. Demain quand je vais la chercher, on boit un verre tous les deux puis on doit rejoindre un mec dominateur, hétéro curieux, chez lui pour un plan cuckolding, après demain une petite virée, au moins exhibe à Pigalle, et dimanche un plan dans un love hôtel avec un mec dont Blanche ne sait rien, ni sur le type, ni sur ce qu'il va se passer. Y a pas mieux comme petit séjours entre amoureux cochons.

Une fois à quai, je fais tout ce que je peux pour sortir au plus vite de cette gare de l'enfer. Toute cette foule m'est toujours aussi insupportable …
Une fois dehors, j'allume une clope et découvre que mon hôtel est à moins de 15min à pieds.
Je fume vite, jette mon mégot et entame ma marche. La valise pèse lourd. Pour que Blanche n'ait pas à se trimballer trop de trucs au taf demain avant de tracer direct à la gare, c'est moi qui ais prit tous les toys avec moi …

J'arrive à l'hôtel en âge, le soleil tape en ce début d'aprem, récupère la clé et monte dans la chambre. Je me pose à peine deux minutes avant d'ouvrir ma grosse valise pour y chercher la fameuse paire de chaussettes que je dois sniffer. Une fois trouvée, j'ouvre le sachet « congélation » dans lequel elles sont rangées et déjà, à une 20aine de centimètre de mon nez, je sens leur odeur me gagner les naseaux.
Il faut dire que depuis quelques temps, les fetish qu'elle me prépare sont vraiment corsés. Je lui impose de ne mettre que deux culottes (avec, en plus, certaines journées avec interdiction de s'essuyer devant et derrière) et une paire de chaussettes par semaine. Son travail très physique d'artisane aidant, j'ai droit à de magnifiques doudous trèèèès parfumés !
Je cherche l'endroit de la pièce qui ferait le meilleur fond pour ma photo puis je prend mon selfie avec mes doudous olfactifs collés au nez que j'envoie aussitôt accompagné de ce message.

« Voilà ma belle Maîtresse chienne, obéissant avec tes chaussettes on ne peut plus odorantes. Tu me gâtes à chaque fois et l'effet dans ma cage est indéniable.
Je pars pour mon rdv dans un peu plus d'une heure, je pisserais juste avant pour répondre à ton autre demande comme il se doit.
Je t'aime grosse cochonne de ma vie <3 »

Je garde les chaussettes avec moi et me pose sur le lit. L'odeur m'enivre, elle est à la fois sucrée de son odeur naturelle, acide de la sueur de ses pieds et un peu rance par la durée de ce mélange. Un vrai régal pour quiconque qui, comme moi, trouve grand plaisir dans les odeurs fortes.
Je crois que j'aimais déjà beaucoup ça (sans m'en rendre totalement compte d'ailleurs) avant que je ne mette en couple avec Blanche, il y a bientôt 8 ans, mais c'est à ses cotés que j'ai vraiment mis des mots sur ce kink, que je l'ai développé et surtout, grâce à elle, que je me rend compte à quel point je peux aller dans l'intensité des odeurs et toujours y trouver excitation !

Je vois le temps filer et je commence à m'activer.
D'abord je me passe un peu d'eau sur la gueule et sous les bras pour me rafraîchir avant l'entretient, puis passe sur le trône pour pisser avec ma main en dessous comme demandé, le tout avec le téléphone posé pour filmer bien sûr. Les premières gouttes mettent un peu de temps à arriver mais c'est rapidement un jet qui trempe ma main. Je contracte le périnée pour couper provisoirement la source, le temps de m'en badigeonner le cou, puis je recommence à pisser. Mon envie d'exciter ma chienne d'amoureuse me fait passer outre la demande et je commence à passer ma main sur le bas de mon visage en tirant la langue pour en récolter un peu de ce goût salé que je chérie tant.
Une fois la vidéo envoyée, je décolle.

Je vous passe les détails de cet entretient (qui en plus ne sera pas concluant) mais je dois dire que de sentir ma queue un peu pincées, en sentant moi-même l'odeur d'urine que je dégage, tout en me sentant scruté par un potentiel futur employeur n'est pas sans me donner honte et m'exciter. D'ailleurs, dès que je reviens à mon hôtel, je me hâte d'écrire à Blanche pour lui en faire part.

« Je vais décliner le poste, je ne me reconnais pas dans les missions ni la mentalité du groupe mais c'était trop bien de me sentir à la fois souillé et emprisonné par tes soins dans ce contexte intimidant. Que j'aime tes idées perverses...
Je ne vais pas tarder à rejoindre Fred et Eve pour un verre à Bastille. Juste le temps de me poser fumer un joints à l'hôtel et je file. Quelles étaient tes autres instructions ?
Encore merci pour cette super expérience d'humiliations <3 »

La réponse ne se fait pas attendre.

« Ahaha très bien ma petite pute, je suis fière de toi !
Trop bien, fais un bisous aux copains (mais pas trop près sinon ils risquent de griller que tu es une grosse truie à pisse ^^). Mon autre consigne colle avec ça d'ailleurs puisque je voulais que tu mettes un plug avant de sortir voir du monde et que, après avoir bu un coup avec eux, tu retournes dans le club uro dont tu m'as parlé. Je veux que tu suces assez de queues pour en avoir mal à la mâchoire et que tu boives autant de pisse que possible. Emmènes ton collier, je veux que tu le mettes là bas. Bien sûr je veux un rapport détaillé au fur et à mesure.
Amuse toi bien et rend moi fière en faisant bien ta putain crade ! <3 »

« Ahaha tu es vraiment incroyable, j'en reviens pas de la vitesse à laquelle tu te dévergondes depuis ton déclic. Tout sera fait selon ton bon vouloir.
Je t'aime et te remercie pour cette brillante idée <3 »

Comme convenu, après m'être fait un moment THC, j'enfile un des plugs que j'ai pris avec moi. J'en prend un de taille moyenne pour le tenir toute la soirée, voire la nuit, sans être trop dans l'inconfort et je pars pour ce verre entre amis.

Les retrouvailles vont bon train. D'autres potes se sont joint à nous, les bières s’enchaînent vite (en même temps, à part moi, presque tout le monde bosse demain) ...
Au bout d'un moment, dehors à fumer une clope et l'alcool déliant les langues, je commence à raconter à mon pote Tony que je sais assez bouillant aussi, les grandes lignes de notre week-end en amoureux. Ce dernier, amusé, ne rate pas une miette de cette confession. Il m'avoue à son tour qu'il ne va pas tarder à bouger pour aller dresser un mec. Un jeune minet qu'il voit depuis quelques temps et qu'il humilie sans vergogne. Il me montre même quelques clichés du gars, en harnais, slip et cagoule avec bâillon. Une vision qui me plaît et me rappelle aussitôt que ma queue est contrainte dans ma cage.
Vers 21h30 tout le monde se quitte doucement. Je reste un peu au bar, le temps de reboire un verre pour me donner un peu de motivation en plus pour aller faire ma chienne. J'en profite pour écrire à Blanche dont l'absence de nouvelles depuis un moment m'étonne.

« Tout va bien ?
Les copains ont bougés, je finis mon verre et file répondre à tes ordres. J'ai pas pu m’empêcher de raconter à Tony ce qui nous attendait ce week-end, ça l'a bien fait marrer! ^^ »

Je finis la pinte en un petit quart d'heure et décolle, je crois que je suis assez impatient d'aller faire ma chienne buveuse de pisse. Je grimpe dans le métro pour faire les quelques arrêts me séparant du club, il y a pas mal de monde malgré l'heure un peu tardive. Je sens mon tel vibrer dans ma poche. Je me hâte d'ouvrir la réponse de Blanche qui s'est faite attendre mais je le referme aussitôt car ce que j'ai aperçu n'est pas à regarder au milieu de la foule. Une raison de plus pour être impatient d'arriver à destination.

Une fois sorti, j’attends que la foule se disperse pour rouvrir le message. J'y découvre une photo de Blanche, prise pas le haut et par quelqu'un d'autre il semblerait, son corps nue et allongé sur notre canapé. Son visage semble gluant et recouvert de ce qui à l'air d'être un mélangé de bave, de crachas et de sperme … Sûrement un peu de larmes aussi car je vois que son rimmel a coulé et descend jusqu'à la moitié de ses joues. Ce superbe cliché m'excite mais me remue un peu le bide. C'est la première fois qu'elle voit un mec sans moi, le tout sans m'avoir prévenu et ça me rend un peu jaloux. Heureusement que le plaisir et la fierté de la voir toujours un peu plus comme une grosse traînée finissent par balayer en quelques secondes ce sentiment mitigé. La lecture du message allant avec la photo me rassure aussi.

« Oui tout va bien, désolé pour le temps de réponse mais comme tu le vois, moi aussi j'avais envie de me faire copieusement souiller, alors j'ai demandé à Jeff (ndr : un amant que nous avons déjà vu quelques fois ensemble) s'il était dispo. Pas besoin de préciser qu'il l'était et avec les couille bien pleines en plus ! :p
J'espère que voir ça te rend fou et que ta cage te semble trop petite pour toi.
Ahaha je ne suis pas surprise que tu n’ai pas su tenir totalement ta langue, mais bon avec Tony au moins tu sais que ça choquera pas ^^
Tu en es où petite pute ? Au fait, veux tu que j'essuie mon visage sur ta taie d'oreiller ?
Je t'aime ma petite fiotte bouffeuse de queue <3 »

J'attends de sortir de la station, de me rouler une clope, pour lui répondre tout en me dirigeant vers le club.

« Oh putain … Ce florilège d'émotions que tu viens de provoquer en un temps record là !!! Je ne m'y attendais pas du tout et je dois dire que ça me rend encore plus chaud que je ne l'étais déjà.
Avec plaisir pour la taie d'oreiller, mais frottes-y d'abord ta chatte et ton cul, afin qu'à mon retour je dorme le nez avec toutes les odeurs de ton adultère ! Je pense que je vais faire tirer cette photo que j'adore:)
J'arrive devant le club, je finis ma clope et rentre. Moi aussi je t'aime ma chère cocufieuse d'amour <3 »

Je jette ma clope et entre dans le club. Le club est disposé ainsi : au rez de chaussé il y a la partie bar (avec un tout petit placard-fumoir), au -1 il y a des écrans qui diffusent du porno face à des bancs, des toilettes qui se ferment, un petit renfoncement sombre pour baiser et un mur, avec une rigole au sol, qui sert de pissotière et qui sert pour les amateurs d'uro également, au -2 il y a des cabines et une partie glory-hole.

Je capte assez vite qu'il y a déjà pas mal de monde, surtout des vieux, mon public favori.
Je laisse ma veste et mon sac au vestiaire à l'entrée. Je ne sors pas le collier tout de suite car, avec la fatigue, je me sens bien intimidé d'entrée de jeu. Je me pose au bar et commande une première bière, puis une deuxième tout en constatant que je suis pas mal reluqué alors que pour le moment je suis surtout occupé à converser avec Blanche qui me racontes comment Jeff lui a ramoné tous les trous avant de se vider sur sa gueule de chienne et ô combien elle a aimé ça. Elle me raconte que l'idée de me faire la surprise avec la photo, alors que je ne m'y attendais pas du tout, a carrément décuplé son excitation du moment.
Une fois ce deuxième verre fini, je décide de descendre un peu, je me balade jusqu'au – 2 où je me mets directement la tête dans le gloryhole ... Par le trou je vois arriver un des vieux qui me matait plus haut. Il se met devant et sors sa queue pas encore dure. Je le pompe d'abord via le creux, en prenant grand plaisir à sentir sa bite durcir dans et grâce à ma bouche. Puis, en voyant pas mal de monde arriver pour mater, je sors du recoin pour aller me mettre à genoux devant lui et le sucer bien à la vue de tous.
J'adore sentir le regard des pervers sur moi quand je fais ma pute et, bien sûr, sentir leur désir pour moi. Entendre les respirations s'intensifier, devenir de plus en plus rapide …
Je sors sa queue de ma bouche pour lui demander, en veillant à avoir le regard le plus docile possible, s'il est d'accord de me prendre en photo avec mon téléphone que je lui tends afin que je les envoie à ma Maîtresse. Pour toute réponse il prend mon téléphone dans sa main et place l'objectif au dessus de moi.
Il me baise la bouche assez doucement mais en tapant bien contre ma glotte tout de même, me lâche quelques humiliations verbales, assez fortes pour que tout le monde autour entende comme il me traite, ainsi que quelques crachats sur le visage ... Je sens qu'il n'a pas du tout l'intention de jouir dans l'immédiat et je me dis, donc, que c'est bien de m’arrêter là et remonter au bar, afin de tous les laisser un peu en plan et attiser encore un peu plus leur envie de m'utiliser.

Une fois au bar je commande une nouvelle bière, fais un compte rendu à mon amour de perverse et me gaze au poppers pour continuer de me chauffer.
Je finis par trouver l'audace qu'il me fallait pour mettre mon collier puis redescendre.
Je retourne au -2, me pose sur le banc face aux cabines.
Plusieurs mecs sont autour de moi en se caressant au travers du pantalon ou en branlant carrément leur bites sorties, leurs yeux alternant entre les écrans qui diffusent du porno et moi-même.
Un premier rentre dans une cabine en me regardant, je le suis. Il n'a pas eu le temps de fermer la porte avant que je ne sois déjà à genoux à sortir sa queue de son futal. Je pose d'abord mon nez sur son gland pour en prendre de grandes bouffées enivrantes et me jeter dessus. Je le pompe à fond pendant une petite dizaine de minutes. Il me dit qu'il ne souhaite pas jouir si tôt dans la soirée, c'est donc avec regret que je libère sa bite de ma bouche. J'ai à peine le temps de me poser sur le banc qu'un autre mec m'indique de le suivre dans la même cabine. Il n'est pas terrible, avec un sacré double menton, mais la vue de se queue, qu'il secoue en me faisant des signes de tête, me rend incapable de résister. Sans bander, elle paraît déjà bien imposante avec un long et épais prépuce tels que je les adore. Je le rejoins mais ne me met pas à genoux tout de suite cette fois. Je me met derrière lui et passe mon bras sur le bas de son ventre pour que ma main aille remplacer la sienne sur cette verge qui me fait très envie. Je commence à le branler tout en lui palpant le cul avec mon autre main pour le chauffer.
Lorsque je sens qu'il est déjà pas mal dur, je repasse de l'autre coté et m'accroupis pour avoir ce bel engin juste en face de la gueule. Le gland est déjà joliment humide de pré-cum, je le vois avant même de le décalotter. Ce que je ne tarde pas à faire avant de mettre quelques coups de langue dessus, comme on le fait avec une glace que l'on veut savourer, afin d'en apprécier le goût le plus longuement possible. Une fois que je sens que sa queue est au paroxysme de sa bandaison (et putain qu'elle est grosse!), que seule ma salive rend ce gland brillant d'humidité, je me presse de prendre ce membre en bouche et, sans qu'il s'y attende le moins possible, l'enfonce jusqu'à ma glotte, jusqu'à ce que ses poils me chatouillent l’intérieur des narines. Avec la taille de ce membre, ça me fait couler des larmes direct. Je le sens fébrile dès ce début de pipe et ressent que, si je m'y prends comme il faut, ce gros dard ne va pas tarder à me féliciter en m'aspergeant de sa sève. C'est alors que j'entame des aller retours au rythme forcené sur cette queue que je veux absolument vider. Je répète mes gorges profondes autant que possible tout en faisant des moments où je le frustre en ne tétant que son bout violacé.
Au moment où je lui tend mon téléphone en lui demandant de filmer quand il me jouit dessus, je le sens devenir encore plus crispé de la teub. Il ne me faudra que quelques coups de langue supplémentaire pour que cet inconnu me donne ce que j'attends avec tant d'impatience. Une bonne grosse dose de jus épais bien dispersée sur le bas de mon visage. Je m'étale le jus sur la gueule, faute de lavabo à cet étage (et adorant ça), tout en sortant de la cabine.
Le premier que j'ai sucé dans la soirée (le vieux aux réflexes légèrement dominant) est sur le banc. Il me fait direct signe de me mettre à genoux à ses pieds, lui ne s'encombre pas d'une cabine et ça me plaît beaucoup.
Je me mets donc dans la position attendue et franchi les deux mètres qui nous séparent en avançant presque à 4 pattes. Je sors sa queue de son jean. En l'approchant de ma bouche je vois que son bout est lui aussi humide, je prends alors une grande inspiration et découvre avec plaisir qu'il vient tout juste de pisser. Je m'empresse de rentrer le bout dans ma bouche avant de décalotter, afin de faire tomber sa dernière goutte sur ma langue. Je ne pense pas qu'on puisse dire que je l'ai pompé tant je n'ai pas fait grand-chose. Il tenait fermement ma tête, crachait dessus parfois, et me baisait la bouche à son rythme (toujours assez lents tout en étant ferme et profond). Mais j'ai mis fin à cela quand il a refusé qu'un autre mec, un de ceux qui nous mataient, prenne ma bouche.
Je commençais à bien m'ennuyer de ce rythme lent et très répétitif et ce nouvel arrivant avait un argument de taille à me proposer. Le temps de dire au vieux dom que je le repomperais peut être plus tard mais que là j'avais envie d'autre chose, le nouvel arrivant était parti …

Je remonte dans l'idée d'aller prendre une redbull (la fatigue commençant à se faire sentir), mais en passant au -1 je vois celui qui venait de me filer entre les doigts. Il était à 1 mètre du mur à pisse, en train de se caresser à travers le pantalon. Je regarde ce qui lui fait cet effet et découvre qu'au pied du mur il y a un mec nu et assis en tailleurs (son corps semble jeune mais je ne peux voir sa tête car il porte un masque entonnoir) et, debout face à lui, un mec en train d'arroser l'entonnoir. J'arrive sur le côté de celui que je visais, il ne me voit pas arriver, et je passe ma main par-dessus la bosse qu'il caressait. Il tourne la tête, me voit et sourit. Je me mets à genoux, sort sa queue que je gobe au plus vite ... Entre sa bite dans ma bouche, le spectacle uro que je vois sur mon côté et les effluves olfactives qui en résultent, je suis vraiment bouillant et je commence à craindre de jouir dans ma cage sans même me toucher. Quand l'arroseur a fini sa tâche, et que l'entonnoir se libère, l'homme que je suce sort de ma bouche et se décale pour prendre la place du pisseur sans même me dire un mot. Ce manque de considération me vexe presque autant qu'il m’excite.

J'en profite pour remonter boire ma Redbull salutaire. Je me fais mater de toutes parts. Entre ceux qui m'ont vu au bar déjà (avec ou sans collier), ceux qui m'ont vu à l’œuvre en bas, les nouveaux qui regardent mes yeux et mon collier ... J'ai l'impression que c'est écrit sur ma gueule, et en lumineux clignotant, que je suis venu pour me faire pisser dessus. Ce qui fait monter mon « stress » d'un cran encore. En discutant par messages, Blanche me dit que si je suis fatigué, il vaut mieux que je ne traîne pas à aller au mur à pisse, que bien sur je n'ai pas le droit de me laver (de toutes façons à part un mini lavabo pour se laver les mains, le lieu ne dispose pas de quoi faire), qu'il faudra que je me laisse sécher avant de remettre mes habits. Je me commande un autre verre, je repasse à la bière, afin de me donner courage et motivation puis je me déshabille, ne gardant que boxer, collier, chaussettes et chaussures.

En arrivant au mur à pisse je retrouve l'homme nu avec un masque entonnoir, ainsi qu'un vieux avec une énorme moustache horrible, habillé comme un paysan d'il y a 40 ans. Tous les deux assis, le cul dans la rigole. Faisant encore la timorée à ce moment, je décide pour ma part de me mettre accroupi. Pendant de longues minutes il ne se passe rien, des hommes passent, ralentissent devant nous en nous regardant bien. Je me surprends à les regarder avec des regards suppliants. Je suis là, intimidé certes mais je sais ce que je suis venu faire ! Je me rends compte qu'après tout ce que j'ai bu, je n'ai toujours pas pissé et là, sort un énorme jet de ma cage, traversant le tissu de mon boxer ...
Alors que je me pisse dessus, un mec approche et me regarde. D'une main il va ouvrir sa ceinture et son pantalon et de l'autre il va me doigter la bouche. Une fois son matos sorti, il attire ma tête contre son membre, je le suce comme je peux avec l'inconfort de ma position accroupie. Je m'attends à ce qu'a tout moment il se mette à pisser lui aussi mais en vain, il est juste venu se faire téter un petit peu avant de repartir. Un autre arrive assez vite pour prendre sa place, et lui aussi ne viendra que pour se faire sucer. Pendant que je le pompe, je regarde avec jalousie mon voisin au masque qui, lui, se fait bien arroser à ce moment. Je me pisse dessus à nouveau. Maintenant que les vannes sont ouvertes je ne vais plus m’arrêter, je le sens. Le troisième à venir présenter sa bite au niveau de ma tête vient vraiment pour pisser lui. Je le sais car, une fois sa queue sortie, il reste a distance et me regarde en ouvrant la bouche et tirant la langue pour que j'en fasse de même. Mes genoux ne tiennent plus dans ma position et, en attendant son jet, je me mets en tailleur. Je sens immédiatement mes cuisses se tremper de pisse. J'ai honte mais je kif tellement cette sensation ... Il se met à m'arroser en visant la bouche, je recrache une bonne partie afin de m'en asperger le corps (au-delà de ma propre envie d'être souillé, j'ai bien compris que ma chérie attendait de moi que je sois le plus recouvert possible). Quand il a finit je tente de m'approcher pour le sucer un peu mais celui-ci, sans dire mot, se refroque et part vers d'autres aventures.
Moins d'une minute après, deux hommes s'approchent (je les ai vu arriver plus tôt dans le club et discuter avec le patron, j'en avais compris qu'ils venaient de se marier), celui qui me semble être le plus alpha des deux dit à l'autre « tiens, une nouvelle pissotière que je n'ai pas essayée encore ». Je sens ma cage me contracter au plus haut point. Il met son gros dard dans ma bouche (presque aussi gros que le mec dans la cabine), me bloque fermement la tête, puis se met à pisser par saccades. Pas une goutte n'a eu le loisir de s’échapper et pourtant, je pense qu'il m’a lâché pas loin d'un litre dans la bouche. Sa pisse avait un goût de bière. Une fois sa vidange de vessie faite, il m'a laissé le plaisir de le pomper pendant que je caressais son mari à travers son futal. Il finit par me jouir sur la gueule (après avoir un peu insisté pour viser la bouche sans que je ne cède), pour laisser place à son concubin que je me fais un plaisir de vider par-dessus les restes de jus de son époux. Je m'étale les foutres sur le visage et le haut du torse, me lève juste un instant pour me laver les mains au lavabo à coté puis reprend place dans ma flaque d'urine.
Arrive, presque aussitôt, un grand mec barbu donnant l'impression d'avoir déjà bien bu. Il sort sa queue par la braguette et commence à m'arroser un peu partout, d'abord le torse, puis l'entre-jambe pour finir sur ma gueule avant de se décaler pour arroser l'entonnoir à côté de moi. Je me pisse dessus à nouveau en regardant le spectacle de si près que je sens des microgouttes atteindre mon visage. Je décide de remonter à l'étage, encore humide, pour fumer une clope, reprendre un verre et faire un compte-rendu à Blanche. Elle s'amuse beaucoup d'apprendre que celui qui m'a le plus pissé dessus c'est sûrement moi-même et m'ordonne de me retenir de pisser jusqu'à nouvel ordre.

Dans le fumoir, je discute avec trois mecs dans la cinquantaine, dont un qui vient de ma ville et qui s’étonne de ne m'avoir jamais croisé en club là-bas quand je lui dis que j'en viens également.
À la fin des clopes, deux des gars s'en vont et je continue ma discutions innocente (nous parlions du film Les Valseuses) avec le dernier restant. Entre deux phrases qui n'ont rien à voir, il me dit qu'il est déçu d'avoir « raté son tour » quand j'étais en bas. Aussitôt, je plaque ma main contre son sexe, au travers du vinyle de son pantalon, le malaxe fermement en lui souriant. Je lui demande s'il a envie de pisser tout de suite, ce à quoi il répond par le négatif. Je me mets accroupi, le déboutonne puis gobe entièrement sa queue à demi molle. Je soutiens son regard en jouant de ma langue sur le gland, ce qui le fait très vite gonfler... La porte du fumoir est en verre et je vois la foule nous reluquer. Une fois bien bandé, je le branle en lui disant que j'aimerai qu'il me jouisse dessus puis que nous descendions pour qu'il puisse, ensuite, vider sa vessie. Je pense que ces quelques mots lui ont fait beaucoup d'effet car, dans la minute, j'ai été honoré de grosses giclées sur le visage. Je me redresse et lui demande s'il veut aller au mur à pisse, sans me répondre il prend le chemin des escaliers. Je traverse la foule de mecs qui me regardent avec du foutre épais dégoulinant sur ma gueule.
Arrivés en bas, la place que j'occupais au pied du mur fût récupérée par une sissy barbue. Je me mets le plus près possible du mur, ressort la queue de son froc en lui disant qu'il va falloir bien viser. Il se met à me pisser direct dans la bouche, s’arrêtant par moment pour que j'ai le temps de déglutir. Une fois la dernière goutte avalée, je remarque qu'il reprend déjà un peu de vigueur ce qui, à son âge, me semble plutôt étonnant, mais pas moins excitant. Je le pompe à nouveau, son gland humide de jus et de pisse est un régal pour la petite chienne affamée que je suis à ce moment. J'ai beau m'acharner dessus, je sens bien que je n'aurai pas de nouvelles doses. Je fini par me relever, le remercier, et je remonte pour fumer une clope.

J'ai beau reprendre une Redbull, je sens ma fatigue commencer à tirer. J'en parle à Blanche qui me dit de me rhabiller et de partir mais que, avant de décoller, elle veut que je me pisse dessus sous mon jean. C'est une première et ça me stresse pas mal. Il faut dire que je suis déjà en stress de prendre un uber en étant autant souillé de base, mais le faire avec un pantalon humide n’arrange rien. Je vais donc dans le coin fumeur, m'en allume une et me laisse aller. Le stress m’empêche d'uriner autant que j'en ai besoin et ne me fait faire que 2-3 bons jets. Je vais pour commander un Uber et je vois des prix complètement ubuesques à cette heure de fin de métro. Je décide donc de partir en quête d'un taxi, ce qui n'est vraiment pas facile à cette heure. J'ai assez vite froid avec le vent et mon froc trempé, je cours partout en stress. Ce stress me tire sur la vessie et me contraint à la vider sous mes fringues ... Malgré le fait d'être bleu marine foncé, on voit bien sur mon jean une énorme tache d'humidité, particulièrement sur une des jambes. Il faut croire qu'il y a un dieu pour les sadiques car, presque aussitôt mon fut' bien trempé, je tombe sur un taxi disponible. Je monte dedans et j'ai terriblement honte d'être dans cet état et dans un espace si confiné avec un autre humain Random. J'ai l'impression de puer la pisse et le foutre à 10 bornes ... À un moment du trajet le conducteur entrouvre sa fenêtre. Je suis mort d'humiliation à ce moment tant je pense et crains que ça ne soit à cause de mon odeur de pissotière.

Heureusement le trajet est assez rapide et je ne croise personnes dans l’hôtel.
Me sachant bien arrivé, Blanche en profite pour me dire bonne nuit.

« Il est tard petit cochon, je vais devoir te laisser maintenant que tu peux te poser.
Bien évidemment tu dors comme ça, sans te doucher, tu descendra prendre le petit déjeuner en puant encore. Tu peux enlever ton plug mais tu connais le rituel ;)
Tu auras de nouvelles instructions à ton réveil demain.
Je suis très fière de ma petite pute crade, tu as assuré malgré la fatigue, bravo ! Je te récompenserais en te prenant bien le cul samedi !
Je te love you, à demain <3 »

Lire ce dernier message me ravi et clôt cette soirée à merveille.
Je ne tiens plus debout et vais me coucher. Mais tout d'abord il me reste le plug à enlever. Je me met accroupie près du lavabo de la salle de bain puis je tire doucement dessus. Je finis par le sortir, non pas sans une légère crispation désagréable, et découvre (après ces longues heures) qu'il est dans un état assez vénère. À la guerre comme à la guerre, j'accomplis mon rituel. Ce dernier consiste à le nettoyer avec ma bouche avant d'aller le laver dans des conditions plus … Normales …
Le goût est très fort mais je suis encore tellement dans mon excitation, due à ma haute souillure du moment, que je finis très vite par y prendre un plaisir non dissimulé. D'ailleurs je me mets à filmer ma tête avec le plug dans la bouche, le faisant tournoyer comme une petite sucette, me met à faire des clins d'oeil à l'objectif, avant de le sortir pour montrer comme il est vide de toute trace.
Une fois le jouet mis à tremper dans le lavabo, je met mon jean en positon pour favoriser son séchage et je me met au lit.
Je cale les chaussettes puantes de mon amoureuse contre mon nez. Heureusement qu'elle les a particulièrement corsées celles là car, sinon, je pense que ça n'aurait pas couvert l'odeur de pisse qui me colle à la peau. Je m'endors assez vite pour gagner un monde imaginaire fait de chattes velues, de grosses queues, de pieds puants et de fontaines de pisse...

Lorsque mon alarme sonne à 9h, malgré une mini gueule de bois, je profite de l'odeur puissante de mon doudou resté près de moi et je me félicite d'avoir pu faire une nuit complète sans être réveillé par ma cage qui me pince ou parce qu'une tentative d’érection me fait horriblement mal.
Je me lève et m'aperçoit que, dès que mon nez n'est plus collé dans mon fetish, c'est l'odeur d'urine qui gagne mes narines. Il semblerait que je sente encore bien fort, ce qui me remémore ma consigne d'aller prendre le petit déjeuner ainsi. À ce propos, j'ai dû recevoir mes nouvelles consignes. Je regarde mon téléphone et, effectivement, un message attendait que je sorte des vices de Morphée …

« Coucou ma petite pute d'amour !
J'espère que tu as réussi à te reposer un peu malgré ton niveau de souillure (mais j'ai toute confiance en toi pour que, au contraire, ça t'ai mis dans de bonnes dispositions pour un sommeil agréable), n’oublie pas d'aller te balader dans le réfectoire comme ça, tu pourras prendre ta douche après !^^
J'ai trop hâte de te rejoindre ce soir et de vivre ce week-end cochon tous les deux. D'ailleurs, je veux que quand tu viens me chercher à la gare, tu ais au moins une dose de foutre séché sur la gueule. Si possible trouve en un qui pue de la queue et que tu pourras bien sniffer. Je veux des photos !
Je risque de ne pas être bavarde sur le trajet, je suis bien claquée et vais essayer de dormir pour être le plus en forme possible ce soir en te cocufiant pour la deuxième fois en deux jours. À tout à l'heure, je t'aime <3 »

Avant même d'avoir fini la lecture de ce message, je sens que mon érection matinale est en train d'arriver avec retard. Je fonce dans la salle de bain me passer un peu d'eau froide sur les couilles pour stopper ce début de souffrance.
Une fois cet imprévu géré, je m'habille et quitte ma chambre pour aller manger.
Le réfectoire est assez grand et pas super blindé mais, même comme ça, je sens tellement fort que j'ai l'impression que je vais gêner tout le monde.
Je vais au self pour prendre un grand café et de quoi me faire quelques tartines, en essayant de me tenir le plus éloigné possible de l'employée de l'autre coté du buffet. Je n'ose même pas croiser son regard tant je me sens grillé d'avance.
Dès que mon mon plateau est bien fourni, je m'installe sur une table qui me semble relativement stratégique en terme d'espace entre le reste du monde et moi. Je sors vite mon téléphone pour faire un selfie discret et l'envoyer à Blanche. Je vais également sur Grunndr pour commencer à prospecter des queues pour prendre les faciales qui me sont imposées. Je refais mon profil en mettant «sniffeur2queues» en pseudo et « Mec soumis doit sucer des queues pour sa Maîtresse aujourd'hui. Cherche queues odorantes à sniffer et cleaner. Il faut être ok avec le fait de me prendre en photo pour que je lui envoie. Vieux salaces bienvenus » en bio.
Après un rapide tour sur les profils connectés dans le quartier, j'en arrive à la conclusion qu'il va me falloir me déplacer dans Paris si je veux optimiser mes chances.
Quand je pose le téléphone pour faire mes tartines j'ai vraiment l'impression d'embaumer la pièce et qu'on me regarde, ce qui me presse à avaler mon petit dèj en un temps record …

De retour dans la piaule, je fume une clope à la fenêtre avant de filer à la douche. Douche salutaire, je me sens renaître et pas qu'à cause de l'odeur.
À ma sortie je prend mon boxer résilles pour m'habiller, afin que la cage soit visible par mes cocufieurs ce soir, même s'ils ne me mettent pas nu. J'enfile le reste des sapes, un jean (propre) et un t shirt de musique, j'enlève les draps du lit et les met en boule pour qu'ils soient changés (Blanche n'a pas ce niveau de souillure pour dormir dans les draps que j'ai dégueulassé). Je décolle au métro direction Pigalle pour augmenter mes chances de trouver des queues.

Une fois arrivé sur place, je vais me poser dans un petit bar que j'aime bien et que je connais depuis longtemps (j'ai grandit dans le quartier) pour pouvoir chercher mes « proies » tout en m'abreuvant de café chaud.
Il est encore tôt et Grunndr n'est pas encore bien fourni. Je resterai longtemps sans même une touche. Tellement longtemps que j'ai le temps de commander un croque monsieur pour le déjeuner, le manger et boire une grande bière avant que je n'ai une vraie touche sérieuse.
Le mec m’envoie deux photos de sa queue, à la taille appétissante, avec une présentation expéditive.

« Mec Dom, 52 ans, pas lavé depuis hier (et je sors du sport). Je cherche mec à loper ».

Comment résister à une entrée en matière comme ça ?!? Je répond direct que je suis intéressé, je m'assure également qu'il est d'accord pour prendre des photos avec mon téléphone. Tout est bon. Il m’envoie sa géolocalisation, il est à 6min. Mon verre se termine en deux gorgées et je pars vers chez lui.
Je sens l'excitation monter, je remate les photos de sa queue et je m'évade à m'imaginer la sucer, mon esprit part aussi dans des projections sur la soirée cuckolding qui m'attend. Le mec a une sacrée teub et semblait vouloir défoncer le cul de ma femme. Je sens que ça va être mortel !
Arrivé devant chez le mec je le préviens et il m'envoie un message pour me donner le code et me dire qu'il est au 5eme. Évidemment je découvre tout de suite qu'il n'y a pas d’ascendeur. Pourquoi faut-il toujours qu'ils habitent au dernier ?!?
Quand je gagne son étage, je suis totalement essoufflé.

Il n'y a que deux portes sur le palier, celle de droite est légèrement entrouverte. Je m'en approche et la pousse pour découvrir un grand appartement avec une déco semblant composée d'objets venant du monde entier. Assez bourgeois comme cadre. Le mec est assis devant un grand bureau en verre au milieu de la pièce à bosser sur son ordi.

« Il me reste quelques mails à envoyer avant d'être vraiment dispo. Viens me renifler sous le bureau. »

Je pose mon sac à dos, me désape et me met à 4 pattes pour avancer jusqu'à lui. Je passe sous le bureau par le coté opposé au sien.
Il porte un short en toile corail (c'est sûr, c'est un bourge !) vers lequel j'approche ma tête qu'il saisit pour la coller directement sur la bosse qui déforme la toile au niveau de l'entre jambes.
Au travers du textile, je sens déjà légèrement les effluves de sa queue. S'il a été au sport juste avant c’est normal. J'ai hâte d'en découvrir plus mais pour le moment, vu comme il colle ma tête à sa teub, je comprend bien qu'il va me falloir être patient.
Je l'entends s'allumer une clope et prendre un peu de poppers, il me passe ensuite la bouteille sous le nez. Les effets sont immédiats et me font réclamer sa queue. C'est alors que je me permets de baisser son short. Il ne porte rien en dessous. Sa queue est à ¾ dure, légèrement courbée vers la gauche et super esthétique ! À vue de nez, je dirais qu'on frôle la vingtaine de centimètres. Je tente de la prendre en main mais ce dernier dégage mon bras quand je m'en approche. Il l'a saisit et commence à la passer sous mon nez, à me bifler avec. L'odeur qui s'en dégage est puissante et représente bien les différents parfums que l'on peut trouver sur une queue. Pisse, sperme, sueur, le cocktail des putains ! Il prend ma tête, la recule légèrement et se branle un peu sous mon nez me faisant profiter pleinement de cette odeur qui me chauffe presque plus que le poppers.
Au moment où je pense que je vais enfin avoir le droit de connaître le goût de cette odeur qui me fait très envie, il envoie mon nez contre ses couilles. Là encore le parfum me rend ouf, une sueur moite et musquée qui me confirme bien qu'il était au sport il y a peu. À ce moment je rêverai de ne pas avoir de cage pour me branler en même temps que mon nez se délecte.
Je finis par recevoir l'ordre de le pomper (sur un ton autoritaire qui me conforte dans l'envie d'obéir). Quand je prend le gland en bouche, c'est une explosion de saveurs qui me font mouiller du cul. J'essaye de bien les savourer puisque, malheureusement, ça ne dure pas longtemps après le début de fellation.
Au bout de quelques minutes, je lui tends mon téléphone en lui demandant de faire des photos pour Blanche. Ce dernier me dira d'aller directement sur la conversation avec elle pour lui envoyer de lui même à partir de la conv whatsapp. J'adore l'idée, je suis sûr que ça va plaire à ma Maîtresse aussi. Je lui demande donc d'écrire aussi un message pour la prévenir. Elle va jubiler à sa sortie de taf !
Je m'acharne d'autant plus sur sa grosse teub avec l'excitation de l'objectif en plus. Je l'entends mitrailler et par moments, il parle et sort des phrases du genre « ça c'est une très bonne pute accro à la queue » ou bien « Il lui faudrait des bites à longueur de journée pour le contenter, et encore... », je devine qu'il est en train de filmer, ce qui me met dans un état de transe. À tel point que quand il me dit qu'il veut me prendre le cul j'accepte sans la moindre hésitation. Normalement, suites à de mauvaises premières expériences, j'ai besoin de voir les personnes quelques fois avant de m'y laisser aller mais là j'ai vraiment trop envie de me sentir comme la dernière des salopes se faisant défoncer par un inconnu et filmer pour sa Maîtresse et amoureuse.
Il m’emmène dans sa chambre, me place face à une porte de placard recouvert par un immense miroir. Je plaque les mains dessus et voit dans le miroir qu'il met une capote qu'il enduit de gel.
Il commence par me mettre directement deux doigts. Je suis un peu crispé mais ça passe vite (et la vue de sa teub dans le miroir, gonflée à bloc et toute veineuse, m'aide à maintenir l'excitation nécessaire pour me détendre) et il peut rapidement insérer un troisième doigt. Je continue de me maintenir avec une main mais je libère l'autre pour qu'elle puisse le branler en même temps.
J'adore regarder le spectacle en grandeur nature dans le miroir.
Alors que je me surprend à être de plus en plus sonore dans mes gémissements, il retire ses doigts pour placer sa queue devant l'entrée de mon cul. Il insère tout doucement son gland dans un premier temps puis, une fois celui-ci rentré en entier, il pénètre en moi en profondeur (et de manière assez fluide) me laissant échapper un « Ô putain » qui, à mon avis, a dû alerter les voisins les plus proches.
Il commence à me ramoner avec cadence, je sens mes jambes trembler sous le poids du plaisir et mes gémissements se font de plus en plus intenses et de moins en moins virils. Je vois dans le miroir que j'ai les veines du front qui sont devenues proéminentes, comme ci elles allaient exploser, j'ai le visage rouge et moite, on pourrait croire que je suis possédé. C'est alors que je me rend compte que c'est le cas, ce mec viril est en train de me posséder, de faire de mon cul son garage à bite, et le tout avec la bénédiction de celle que j'aime le plus au monde. Cette pensée me fait hurler de plaisir. Je crois que ça n'est pas sans le stimuler lui aussi car c'est à ce moment qu'il se retire, arrache la capote en m'ordonnant de me mettre à genoux.
« Ouvre grand la bouche grosse pute ! ». J'obéis et l'ouvre en grand, à m'en décrocher la mâchoire. C'est alors qu'il rentre en entier une première fois, une deuxième fois et, après la troisième se met à me décharger un demi litre de foutre, la moitié sur la gueule et l'autre dans ma bouche. Ma première pensée est de me dire qu'avec une telle dose, j'ai répondu magnifiquement à l'ordre que m'a donné Blanche. Par gourmandise (et pour rendre la vidéo qu'il prend encore plus excitante) je reprend le membre en bouche pour récupérer les dernières gouttes et apprécié le grand plaisir de sentir une bite se ramollir entre ma langue et mon palais.
Je m'étale bien toute cette semence devant l'objectif avant de prendre le numéro du mec et le remercier.

Une fois dehors je vois que l'heure a déjà bien défilée et ça va être trop serré pour trouver une deuxième queue si je veux avoir le temps de repasser à l'hôtel chercher les toys avant d'aller chercher ma chère et tendre à la gare …
Ce week end cul n'a pas encore commencé que je suis déjà bien à fond grâce aux directives de Blanche.
Ces prochains jours vont êtres juste incroyables, c'est certains …

À suivre

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