Les aventures de Sniffeur & Puante - Partie 1 / Chapitre 2

- Par l'auteur HDS InFeetWeTrust -
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Récit libertin : Les aventures de Sniffeur & Puante - Partie 1 / Chapitre 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les aventures de Sniffeur & Puante - Partie 1 / Chapitre 2
Partie 1 : Week-end vicieux en amoureux.

Chapitre 2 – Lutte des crasses.

Je ne traîne pas à l'hôtel, juste le temps de chercher les jouets, puis repart. Je suis bouillant et ne veut pas me démotiver, ne serait-ce qu'un peu, en me posant trop longtemps.
C'est donc avec presque 1h d'avance que j'arrive à Montparnasse. Je me pose à la terrasse du St Malo, une brasserie proche de la gare avec une terrasse assez agréable qui, bien qu'il y ait un peu de monde, à l'avantage de ne pas tasser les clients les uns sur les autres.
Une fois mon double expresso commandé, je sors mon téléphone et envoi un message à Blanche pour lui dire que je suis là, je lui explique la localisation vis à vis de la gare et lui propose de m'y rejoindre à la sortie de son train. J’envoie également un message au cocufieur que nous devons voir ce soir pour qu'il me donne l'adresse et me dise à quelle heure nous devons nous retrouver ainsi qu'un sms au mec que j'ai vu cet aprem pour le remercier de la façon dont il m'a possédé. Ce dernier me répond du tac-au-tac :

« De rien, t'es un bon dépravé, on remet ça quand tu veux. Fais moi signe quand tu repasses dans le quartier, seul ou avec ta Maîtresse qu'il me plairait de rencontrer. »

J'attends d'en parler à Blanche avant mais, comme on a prévu de se balader à Pigalle le lendemain pour de l'exhib, la rencontre pourrait être très rapide.
Afin de tuer un peu le temps, je fais un tour sur Fetlife (le réseau social kinky et BDSM) et je poste une des photos prises quelques heures avant, avec mon nez posé sur la jolie queue parfumée que j'ai eu la chance de renifler, en oubliant pas de préciser en légende que c'est mon amoureuse qui m'a envoyé faire mon sniffeur et que cela me ravi. À priori je ne suis pas le seul car j'ai tout de suite quelques likes qui tombent. Avant de commencer à poster ce genre de photos (et j'ai mis le temps avant d'assumer) je n'aurai jamais cru que les jeux olfactifs intéressent autant. Force est de constater que ce genre de clichés peut avoir du succès
Je n'arrête pas de gesticuler sur ma chaise, déjà car ma cage me pince par moment mais surtout car j'ai super hâte de voir arriver Blanche et de vivre ce week-end avec elle. Ce qui ne devrait plus trop tarder d'ailleurs. Je regarde l'heure, comme toutes les deux minutes, et découvre un message du mec de ce soir. Il me donne l'adresse mais me dit qu'il ne sait pas encore pour l'heure, qu'il me tient informé dès qu'il peut …
J'espère vraiment que ça ne sera pas trop tard car ça risquerait de jouer sur notre motivation et, donc, notre investissement. C'est la première fois qu'on fait un plan avec le côté cuckold aussi poussé et je crois que, pour l'un comme pour l'autre, on a besoin d'être en pleine possession de nos moyens pour être à fond et surtout pour bien vivre les choses. L'intensité des émotions ambivalentes peut vite basculer sur du négatif en cas de coup de mou.
Pas le temps de plus cogiter là dessus car je vois ma belle Blanche approcher de la terrasse !
Outre son magnifique visage fin que ses 25 ans n'ont pas encore abîmé (contrairement à l'effet de mes 33 sur ma propre ganache) et ses grands yeux bleus, ses cheveux cours d'un roux flamboyant, il y aussi le look qu'elle s'est fait avec sa jupe zébrée blanche et noir, bas résilles et converses pour le bas et son petit cardigan bleu électrique (et très décolleté) sous son perfecto pour le haut. Elle a misé, à raison, sur un look bien rock'n'roll. Je ne sais pas si ce sont les goûts du mec de ce soir mais en tous cas ce sont les miens, d'ailleurs, si ça n'était pas déjà ma meuf, je crois bien que j'irai la draguer !
Elle arrive à ma hauteur quand je me lève pour l'embrasser fougueusement. Comme à chaque baiser du genre entre nous, ça se finit par moi qui ouvre un peu la bouche pour qu'elle y lance un crachat, plus ou moins discrètement selon les situations.

Après avoir commandé deux mojitos, je lui fais part de la situation d'attente dans laquelle nous sommes. Tout comme moi, elle est un peu agacée de ce manque de précisions. Il est déjà 22h, elle a eu une longue journée et moi une courte nuit. On convient d'attendre une petite demi-heure avant de relancer le mec pour lui dire qu'après une certaine heure il sera trop tard.
Dès que les mojitos sont posés sur la table, et que le serveur s'en éloigne, Blanche passe son pied sous la table et vient le poser sur mon entrejambe, exerçant une pression sur ma cage. C'est une surprise car je ne la connais pas sadique et pourtant, quand je regarde ses yeux, j'y vois un plaisir vicieux non dissimulé (ou alors bien mal). Au fur et à mesure de notre conversation, elle n'hésite pas à appuyer assez fort par moment. C'est extrêmement désagréable mais je dois avouer que la voir comme ça vaut toutes les gênes du monde.
Après avoir relancé le gars, elle me demande si j'ai l'audace de mettre mon collier dès maintenant. Je ne suis pas rassuré car mon frère vit et bosse dans ce quartier mais loin de moi l'envie de la refroidir alors, en guise de réponse, j'ouvre mon sac à dos et sort mon gros collier métallique à code et lui passe. Je me redresse un peu, me penche au-dessus de la table afin que ma nuque lui soit accessible. Le contact du métal sur mon cou me donne un frisson, qui n'est pas que dû à la situation. Je me rassois et contemple son petit air satisfait dans le fond de ses beaux yeux tout en évitant de regarder autour de moi, craignant de percevoir des regards gênés ou moqueurs venants de nos voisins à qui la scène n'aura pas échappée.
Heureusement je suis vite distrait par mon téléphone qui vibre. C'est le futur amant de ma femme qui nous répond qu'il devrait être dispo d'ici une grosse heure. Pile le temps pour reprendre un verre et commander un uber. Blanche ne cessera pas d'appuyer sur ma cage durant ce temps, tout en me parlant un peu plus en détail de son plan de la veille avec Jeff. Me racontant comment il l'a baisé comme une chienne – aussi bien la chatte que le cul - avant de lui vider les couilles sur sa gueule. Apparemment notre canapé lui non plus n'a pas manqué de sécrétion tant elle a mouillé tout du long. Elle ajoute qu'elle l'a appelé lui car elle sentait très fort la sueur après une grosse journée boulot et voulait se faire prendre ainsi - puante - et, comme elle l'a deviné avec justesse la dernière fois qu'on l'a vu, Jeff aussi est amateur de ses odeurs quand elles sont prononcées.
Je crois que c'est cette donnée olfactive qui, finalement, suscite le plus de jalousie en moi. C'est notre truc à nous les odeurs... Quand je dis « jalousie », c'est relatif car certes ça me remue un peu le bide mais c'est aussi source d'excitation, mon coté cocu n'en est que plus conforté donc, inévitablement, j'y trouve mon intérêt …
Autant dire que ma cage m'est de moins en moins supportable. Fort heureusement, depuis un moment son pied n'est plus dessus pour accentuer cet inconfort.

Bien installés sur la banquette en cuir de notre carrosse, nous profitons du fait que le chauffeur soit prit pas sa conversation téléphonique pour nous peloter une bonne partie du trajet. Ma main est dans la jupe de Blanche à lui palper les fesses pendant qu'elle-même ballade la sienne sur le haut de ma cuisse, frôlant par moment mon sexe emprisonné.

Nous arrivons en une petite vingtaine de minutes devant l'adresse qui nous a été donnée. Un superbe immeuble haussmannien du 17ème arrondissement. Nous sonnons à l'interphone à partir duquel une voix assez rauque nous dit simplement « C'est au 2 ème ». Nous entrons dans un hall sublime, avec cheminée en marbre faisant face à un ascenseur.
Flemmards et ne voulant pas arriver essoufflés chez notre hôte, nous montons dedans pour gravir ces deux étages qui nous séparent de mon humiliation et des coups de bite pour mon amoureuse.
Lorsque nous arrivons à destination, nous ne voyons sur le palier qu'une immense porte, en bois massif. Je n'ai pas le temps d'appuyer sur la sonnette que notre cocufieur nous ouvre.

Dans la petite quarantaine, brun aux yeux qui ne le sont pas moins, un peu plus petit que moi mais très bien battis, le nouvel amant de Blanche nous fait signe de rentrer.

Je t'en prie, mets toi à l'aise ma chère, par contre ton cocu ne sera jamais debout chez moi. Dit-il en attrapant l'anneau de mon collier pour le tirer vers le bas et me mettre dans une posture inférieure.
Blanche rit et valide cette idée, elle m'enlève le sac à dos pour y piocher la laisse, l'accrocher à l'anneau avant d'en tendre la poignée à celui qui va bientôt visiter ses orifices sous mes yeux, sans oublier de m'humilier.
Ils emboîtent le pas pendant que lui me tire derrière eux. Il ne perd pas de temps et pose direct sa main sur le cul de ma chérie tout en avançant jusqu'au salon.
Pendant ce temps, je regarde autour de moi et j'hallucine sur l'appartement, il est immense, le parquet est somptueux et semble ancien, d'immenses toiles ornent les murs qui abritent deux canapés en cuir autour d'une grande table basse en verre et métal. Ici aussi, siège une grande cheminée en marbre gravé … Non seulement ce mec va m'humilier en baisant ma femme sous mes yeux et en me rabaissant mais, en plus, en marchant sur ma lutte des classes qui m'est pourtant chère avec son attirail très bourgeois.

Toujours en tenant la laisse d'une main, il saisit Blanche par la hanche avec l'autre et l'attire vers lui au plus près pour l'embrasser goulûment avant de l'inviter à s’asseoir. Ce qu'elle s’apprête à faire mais, d'abord, elle se penche vers moi pour me cracher dans la bouche. Comme si elle souhaitait que je connaisse le goût de la salive de celui qui va agrandir mes cornes.
Pour être honnête, en termes de goût, je ne vois pas la différence avec ses crachats habituels mais je dois avouer que cette petite humiliation spontanée est loin de me laisser insensible et symbolise pour moi le début officiel de mon cocufiage du jour.
Notre hôte attache la laisse à l'un des pieds de la grande table et s'adresse à Blanche.

- Veux-tu boire quelque chose ? J'ai du blanc, du rouge, de la bière et du rhum …
- Je veux bien un verre de blanc s'il est sec, merci.
- Et ta fiotte, je lui sers un truc ?
- Oui, de la bière ça va l'aider à supporter le spectacle mais dans une gamelle ou quelque chose faisant office de.
- J'arrive.

Il quitte la pièce un moment. Je suis pile à distance du pied de Blanche si elle le tend et c'est un détail qui ne lui échappe pas car, dès le moment où nous sommes seuls, elle me caresse la joue avec le flanc de sa chaussure.

- Tu le sens toujours ? Me dit-elle.
- Oui Maîtresse, bien sûr Maîtresse.

Me voir adopter naturellement cette condition semble l'amuser car la semelle de sa converse vient se poser sur ma bouche et un immense sourire se dessine sur ses lèvres.
Je suis vraiment heureux mais troublé de la voir comme ça. Il y a encore deux mois, il lui était impensable de pouvoir être en position dominante un jour. De mon côté, je commençais à me faire une raison du fait que nous ne switcherions jamais. Un déclic salutaire, sur lequel je reviendrai peut-être plus tard, a réussi à lui faire vaincre beaucoup de choses dont une timidité maladive et une grande difficulté à accéder à nombre de ses fantasmes.
Ce déclic récent, mêlé à un arrêt de la pilule, a très rapidement transformer mon amoureuse timide est aux postures parfois passives en une grande traînée, fière de dire à qui veut l'entendre qu'elle aime la bite, presque nympho et aux envies de dominer de plus en plus récurrentes. Bien évidemment, je suis à la fois heureux de ces changements mais aussi vraiment très fier de cette résilience dont elle a fait preuve.

- Allez, lèche si tu veux mériter la bière que je t'ai très aimablement autorisée.

Sans ajouter un mot, je sors ma langue pour lui faire longer la fameuse semelle de bas en haut. La chaussure me gène pour bien voir Blanche mais lorsque j'arrive à capter son regard, j'y vois une pétillance qui trahit le plaisir que ce spectacle lui apporte.

Je suis contraint d'arrêter quand Blanche se redresse sur le canapé, en posant les deux pieds au sol, pour attraper son verre que notre hôte lui tend avant de se pencher pour poser un petit saladier de bière au sol devant moi. Puis il repart pour réapparaître dans la minute avec son propre verre dans une main et, dans l'autre quelque chose en tissu, que je peine à distinguer et qu'il passe à Blanche.

- Tiens, comme convenu. Dit-il d'un air enjoué.
- Ah oui c'est vrai ! Voilà une surprise pour toi mon petit cochon, je lui ai demandé de te préparer un caleçon à renifler pendant que tu mates.
- Tu vas être content la fiotte car j'ai pas chômé en le portant et j'ai joui deux fois dedans pour être sûr de l'odeur de mâle alpha qu'il dégage.
- C'est parfait ! Bois un peu mon chéri avant d'avoir la bouche inaccessible.

Je me penche à quatre pattes pour prendre de grandes lampées de bière dans ma gamelle, m'assurant de faire le plus de bruit possible pour m'auto-ridiculiser devant mes tortionnaires.

En me redressant, Blanche s'approche de moi en me passant la tête dans une des jambes du caleçon, s'assurant que la partie avant soit bien placée face à mon nez.
Elle a raison, «c'est parfait», le fetish sent bon et fort et me permet facilement de deviner l'odeur de sa queue. Ce qui me laisse espérer que je pourrais y goûter à un moment moi aussi.
Blanche se remet bien dans le canapé et notre hôte, assis à ses côtés, se rapproche encore un peu. D'une main ferme mais douce il lui saisit le menton et approche sa tête de la sienne pour qu'un nouvel échange de baisers commence. Je vois leurs langues se mélanger, j'entends les bruits de succions que ça crée dans leurs bouches... Il ne faudra pas plus de quelques secondes d'embrassade avant que je n'observe la main de blanche venir se poser sur le haut de la cuisse de son amant. Ses doigts bougent, se rapprochent de l'entre-jambe, je les vois atteindre la bosse qui commence déjà à déformer le pantalon du quarantenaire.
Pour ma part je respire de plus en plus fort, ce qui n'est pas sans m'envoyer encore plus intensivement les odeurs de foutre et de pisse que recèle le calbut de ce vicieux inconnu.
La bouche de ce dernier a quitté celle de mon amoureuse pour mordiller son cou pendant que celle-ci me lance un regard aussi profond que lubrique avec ses immenses yeux dont le bleu tire un peu sur le vert dans la lumière tamisée de ce salon friqué.
Elle lâchera ce jeu visuel pour mieux déceinturer et déboutonner son keum de la soirée. Dès l'ouverture créée, on peut deviner la taille du membre vu la grosse bosse - encore sous le tissu du boxer qu'elle tend au maximum - tant ça semble vouloir s'échapper lors de cette libération.
Il va de lui même baisser ce qui fait office de dernier rempart entre sa queue et l'air libre, libérant alors un membre devant bien faire une petite vingtaine de centimètre en longueur pour une largeur devant atteindre les 5-6cm, puis agripper ma femme par les cheveux pour l'accompagner à la place qui est la sienne, celle d'une bouffeuse de queue volontaire et émérite.
Plus sa tête approche du membre et plus je vois sa bouche s'ouvrir en grand, et pour cause, elle l'enfourne sur presque toute la longueur dans sa bouche. Le pacha bloque la tête de Blanche à ce moment, profitant quelque instant de cet engloutissement quasi total, avant de la laisser remonter.
Une fois qu'il ne reste plus que le gland dans la bouche, je vois mon amoureuse commencer à faire des jeux de succions, de langues, faisant encore un peu plus monter l'excitation de mon cocufieur.
Nos yeux se croisent avec Blanche. Elle se redresse un peu, lâchant momentanément la grosse bite, arrache le caleçon autour de ma tête et tire sur mon menton pour m'ouvrir la bouche avant de me lancer un énorme crachat visqueux et épais dans la bouche. Contrairement à celui de tout à l'heure, avec ce nouveau je peux nettement sentir la différence de goût avec la salive habituelle de mon amoureuse. Elle a un goût de queue, un goût de vice.
Après m'avoir lancé un regard malicieux et complice, ma chérie descend du canapé pour se mettre à genoux, face au dominant et reprendre sa turlute dans une position plus confortable. Je vois sa tête accélérer pour sucer plus rapidement cette fois. Elle ôtera encore le membre de sa bouche, tout en baissant sa jupe et sa culotte, pour me dire « Renifle moi ! ».
Bien évidemment je ne me fais pas prier et me mets à quatre pattes pour approcher mon groin de son cul qui - les poils collés ne trompent pas - est déjà bien humide de sueur.
Je suis encore à plus de dix centimètres quand l'odeur musquée de ce fion que j'aime tant vient me gagner les narines. Mes inspirations se font bruyantes, je veux qu'elle m'entende et s'excite sur cette bite qui va bientôt visiter la zone que j'ai la chance de sniffer.
L'odeur du cul est vraiment particulière, la sueur prend une odeur animale très forte qui, au lieu de répugner, peut servir d'aphrodisiaque. Je me délecte de ce fumet en me retenant tant que je peux mais je craque vite et me lance sur cet appétissant séant pour le dévorer.
Alors que je sens les coups de rein que met le Dom pour toucher la glotte de Blanche, je profite des bruits de succions et gargarismes étouffés de ma chienne de femme tout en tirant ma langue au maximum pour partir du bas de la raie pour remonter tout du long avec des mouvement de tête, comme un chien le ferait sur un bout de bidoche. Je sais qu'elle aime se faire lécher ainsi et j'espère qu'elle s'en aperçoit malgré le fait de se faire littéralement pilonner la bouche.
De mon côté, je commence à écarter les fesses de ma cochonne pour jouer avec ma langue à l'entrée de son anus. J'adore sentir sur ma langue le relief des plis de son trou et ceux des poils qui l'ornent. J'ai toujours eu goût pour les culs à la pilosité fournie. Petit à petit, je contracte ma langue pour commencer à forcer l'entrée. Ce moment aurait été propice pour recevoir un petit pet au visage mais je me doute, avec regret, qu'elle ne s'autorisera pas à ça devant notre hôte, aussi pervers soit-il.
À cet instant je m’aperçois que les bruits buccaux ont changé. En relevant un peu les yeux je découvre que ça n'est plus la queue qui occupe la bouche de Blanche mais la langue de son amant, ils se roulent une pelle qui semble torride.

Blanche se remet debout et entame un effeuillage dont je ne loupe pas une miette. Son maquillage a totalement coulé, c'est magnifique à voir. Je profite aussi du moment où elle enlève son haut en levant les bras pour regarder ses belles aisselles poilues dont je ne me lasse pas. Son amant faisant pareil, je commence moi aussi à me dénuder, y compris le boxer, ne gardant que la cage bien évidemment.

Quand Blanche se repose sur le canapé c'est pour s’asseoir à coté de lui (vous m'excuserez mais je crois que nous n'avons jamais su son nom), prendre son sexe dans la main et reprendre l'embrassade qu'il quittera un instant pour me dire sur un ton très calme, mais autoritaire :

- Lèche nous les pieds.

Je me mets à l'intersection entre leurs deux jambes, puis commence à lécher leurs pieds. Je commence par lui car, n'étant pas très fan des pieds masculins, je préfère finir par le meilleur (bien que je n'ai aucune assurance de ne pas être renvoyé de l'un à l'autre).
Ses pieds sentent légèrement la transpiration mais ça reste relativement soft, par contre ils sont moites et avec des petites peluches dues aux chaussettes. Je commence donc à lécher le dessus, passant par le flanc par moments, en me disant que si ça reste comme ça, je ne devrais pas être trop confronté (vraiment peu fan vous dis-je). Comme s' il lisait dans mes pensées, il ordonne de ne pas oublier d'également passer ma langue entre ses orteils. Ça ne m'enchante pas mais, lorsque ma bouche passe près d'eux, je prends soin de m'y attarder. Je fais même un peu d'excès de zèle, ayant à cœur de faire de ce plan un souvenir mémorable pour notre couple.
À force de, je dois dire que je commence à être vraiment excité d'être contraint de décrasser ses pieds moites alors que je n'aime pas ça. L'humiliation que me fait subir cette condition commence à prendre le dessus sur l'aspect purement factuel de la pratique.
C'est alors que je reçois un léger coup de pied dans la main. Sans même que je m'en aperçoive j'avais commencé à me tripoter les couilles (faute de mieux) tant cet acte de décrassage a fini par avoir raison de moi. Ça n'a pas échappé à Blanche par contre qui, apparemment, veut maintenir ma frustration au plus haut point pour l'instant.

Je profite de ce rappel à l'ordre pour changer le destinataire de mes caresses buccales et me tourner vers mon amoureuse. Comme d'habitude l'odeur de ses pieds est un délice.
Quand nous n'avons pas de plan prévu, Blanche ne se savonne jamais les pieds et ne porte (sur un ordre constant de ma part) qu'une seule paire de chaussettes par semaine afin d'avoir toujours en réserve de quoi contenter mes salaces naseaux. Comme nous avons ce plan ce soir, je me doute qu'elle les a lavé hier soir pendant sa douche et a changé de chaussettes mais c'était sans compter sur sa journée de taf d'artisane, en chaussures de chantier, son voyage en train et l'odeur naturelle qu'elle a fini par créer dans ses converses. La toile aidant, ces pompes sont vite devenues des fetishs dont je me saisis dès que besoin.
Cette fois, pas nécessaire de me le demander pour que j'aille explorer entre les superbes orteils, arborant un vernis pourpre, de mon amoureuse.

Après quelques minutes à s'embrasser, à se tripoter, et moi à décrasser du panard, Blanche attrape mon collier pour me faire venir près de la teub de son amant. Elle bloquera ma tête, juste à côté du chibre en train d'être branlé par son propriétaire.
Je profite de ce gros plan sur le membre encore luisant de la salive et bile de mon amoureuse. Putain ce que j'ai envie de la sucer... De me branler...

Ce supplice privatif dure une ou deux bonnes minutes au cours desquelles ma chérie me demande si je la veux, si je la veux vraiment... Ces questions sont purement rhétoriques puisque ma tête, étant bloquée par ses soins, c'est elle même qui me fait hocher le visage de haut en bas.
Elle se saisit alors de la queue avec son autre main pour la tendre vers moi et pencher ma tête dans cette direction.
Au moment où ce gros gland violacé passe mes lèvres, je ressens comme une libération, je ne misais plus sur la chance de pouvoir y goûter aussi. J'entame des vas et viens, sans y toucher des main tant que mon amoureuse en a la possession. J'essaye de la prendre en entier dans la bouche mais elle est un tout petit peu trop longue pour que j'arrive à mes fins.
Lorsque mon amoureuse lâche le manche, je m'en saisis et commence à le branler vite tout en m’acharnant sur le haut, autour du gland. Jouant avec ma langue et son prépuce, je suis vraiment à fond et me surprend à gémir.

J'ai un peu honte que ma chérie me voit comme ça, moi son Dom au départ, mais je sens que ça l'excite. Je ne sais pas pourquoi d'ailleurs car je ne l'ai pas en vision mais c'est comme si elle dégageait une aura perverse qui me fait comprendre l'ampleur de la satisfaction que lui apporte ce spectacle...

À mon tour d'avoir la tête saisie par le Dom pour qu'il en fasse un jouet. Il la place bien au-dessus de sa queue et commence à me défoncer la gueule. Je déglutit un peu de bile par moment et mes larmes coulent en continu tandis que Blanche se branle frénétiquement en savourant les images de ma soumission peu virile.
Il s'excite et le fait comprendre avec des mots qu'ils lâchent entre deux râles.

- Aaaah putain, mais quelle bonne tapette ... Bouffe ça avant que ça soit le cul de ta femme qui mange ... Tu vas bien me la préparer après, je veux que ça soit toi qui le fasse... Tu vas même rentrer toi même ma queue dedans et me remercier avant de me renifler les couilles pendant que je la prend.

Il joint le geste à la parole en sortant de ma bouche.
Je regarde Blanche (dont la toison est imbibée de mouille tant elle est excitée) qui comprend et se met à genoux, jambes écartées, face au dossier du canapé avec la croupe bien en avant. Je m'approche d'elle et recommence à lui dévorer le cul pendant que le cocufieur se met debout sur le coussin pour continuer de se faire bouffer la queue.
Je m'applique bien et fait en sorte de lâcher un max de salive pour commencer à titiller le trou avec le bout du majeur. Dès que je sens que celui-ci commence à rompre, j'attrape le tube de lubrifiant dans le sac à dos posé non loin de moi et en asperge une grosse partie dans la raie de Blanche et une autre bonne quantité sur mes doigts. Vu la taille de ce qu'elle va prendre dans le cul, mieux vaut ne pas avoir peur des précautions. Je badigeonne bien le tout en passant ma main entre les fesses, de haut en bas, à plusieurs reprises puis je commence à insérer l'index qui pénètre sans soucis. Je fais quelques allers-retours, d'abord assez doucement puis en accélérant au fur et à mesure, et je sens le canal se détendre et prêt à en accueillir plus. Je ressors l’index, le porte à ma bouche pour goûter le cul de mon amoureuse (ça nous excite beaucoup) avant de le réintroduire accompagné du majeur qui rentre sans soucis lui non plus. Je reprends mes vas et viens tout en écartant un peu les doigts pour la dilater.
Ce travail semble la faire kiffer car je l'entend gémir comme une pute autour de la grosse bite et elle commence à rouler de plus en plus du cul sous l'effet de ces deux assauts. Je sens qu'elle est à point.
Je lève la tête en direction du dominant et lui dis docilement :

-Elle est prête, s'il vous plaît Monsieur, pouvez vous prendre le cul de ma femme ?

Il sort de sa bouche, descend du canapé et attrape une capote dans sa poche.

-Mets moi ça ! me dit-il en me la tendant.

Décidément, il ne m'épargnera rien.
J'ouvre l'emballage et sort le condom. Je regarde dans quel sens le dérouler puis vais le placer sur la base du gros gland qui m'a si bien rempli la bouche. Je le déroule doucement avant de l’enduire d'un peu de lubrifiant.
Je me décale pour que le cocufieur puisse se mettre face de l’œillet luisant de gel. Je saisis sa queue et la pose sur la cible, de mon autre main je saisis le bassin de Blanche que j'aide à reculer dessus, et voilà ! Je viens d'insérer la bite d'un amant dans le cul de ma femme. Je sens les cornes prendre racines au-dessus de mes tempes !
Mes yeux sont hypnotisés par son immersion. Il rentre son gland doucement, se fige, puis avance lentement pour voir jusqu'où il a « pied ». Lorsqu'il saisit le point d'arrêt, il repart dans l'autre sens puis commence une cadence de plus en plus rythmée.
Je suis inerte face à ce spectacle qui me fascine mais qui me donne l'impression d'être hors de mon corps, sans quoi c'est sûr que je vivrais mal le vol de ce cul que je considère comme le miens.
Sa tête se tourne alors vers moi la visage rouge d'excitation, les veines du front proéminentes et, accompagné d'un regard possédé par le vice, il me demande :

- Tu attends quoi au juste pour aller me renifler les couilles ?!?!?

Avec mon excitation qui déborde, il m'est impossible de ne pas obéir naturellement, comme hypnotisé par cette autorité. Je le contourne pour, une fois derrière, me mettre sur le dos et me glisser entre ses jambes et mettre mon nez au niveau de ses couilles battantes contre le cul de mon amoureuse. Avec la chaleur ambiante, elles pendouillent à chaque mouvement, me frôlant parfois le nez afin que je me rende compte de la moiteur qui accompagne cette odeur de mâle en rut. Très épicée comme odeur mais elle ne dure pas... Plus il accélère dans le fion de Blanche et plus c'est une odeur d'anal qui gagne l'atmosphère. D'ici je suis aux premières loges pour voir le sexe de l'alpha pénétrer profond avant de revenir et ainsi de suite. À chaque mouvement de recul, l'odeur des entrailles de mon amoureuse me gagne un peu plus et ça ne fait que me rendre encore plus bouillant …
Je commence alors à sortir ma langue pour récupérer la sueur sur ses couilles qui passent toujours plus vite au-dessus de moi. Je dois vous avouer que lécher les couilles de l'homme qui prend possession du cul de ma femme est un plaisir humiliant qui va au delà de ce que j'aurai pu imaginer. Ça me renvoie une image docile et perverse de moi, de nous, dont je raffole totalement !
C'est tellement intense comme rythme que je commence à sentir des gouttes de sueur tomber sur mon front sans savoir duquel des deux elles proviennent.
J’entends blanche hurler de plaisir, elle aussi semble possédée. L'anal a toujours été son péché mignon. Même quand elle mate du porno, rien ne lui fait plus d'effet que de voir des bites monstrueusement grosses en train de perforer des culs de jeunes filles toutes minces. Je la comprends mais même le gros pervers que je suis ne trouve pas autant de plaisir face à ces images de dilatations intenses.
Ses cris se font très longs, je reconnais sa manière de jouir et me rehausse un peu vers elle pour récolter la mouille qui en découle. Sa chatte velue est littéralement trempée.
J'ai à peine le temps de m'en délecter que l'amant sort de son cul et m'attire vers lui. Je me retrouve face à une capote bien souillée par le fondement de Blanche.

- Suce et nettoie la capote, pas envie de me salir les mains avant de retoucher ta meuf.

J'ai l'habitude de goûter mes doigts (ou les siens) quand ils sortent du cul de Blanche - il m'est même arrivé de sucer un de ses plugs - mais c'est la première fois que je le fais sur une queue et je dois dire que l'idée me fait jubiler.
Pas besoin de me forcer plus que ça pour que j'approche ma tête de cette queue qui ne dégrossit pas et qui va bientôt épicer tout l'intérieur de ma bouche.
Le goût est fort. C'est vraiment pas bon mais on s'en fout, ça n'est pas pour ça qu'on aime ce genre de choses. C'est pour la transgression, pour la souillure, pour l'humiliation ... Autant de raisons de ne pas s’arrêter à l'aspect purement gustatif.

- Holala, c'est vraiment un porc ton mec, je pensais pas qu'il le ferait !
- Ahaha si si, il bande bien dur pour tout ce qui est cracra. Enfin quand je ne l'encage pas aha. N'est-ce pas mon chéri ? Me dit-elle sur un ton ironique tout en me caressant la tête.
-Hmph hmph... Fut ma seule réponse avec un très approximatif hochement de tête.

Après quelques instants il se retire pour enlever la capote du bout des doigts et la jette au sol avant de s'écrouler dans le canapé.
Il me désigne son futal et me demande de lui sortir son paquet de clopes et lui passer. Il en sort une cigarette et un briquet, l'allume et va reposer sa main sous le cul de Blanche.
Sans préciser qu'il veut faire une pause, il engage la conversation, nous disant que notre perversion le bluffe et l'excite. Il est ahuri quand on lui dit que c'est le premier plan qui est vraiment très accès sur le cuckold pour nous. S'en suit quelques questions sur nos habitudes sexuelles qui, bien qu'elles maintiennent un climat sexuel dans l'ambiance, lui permette de débander un peu. En se levant il nous dit qu'il va pisser et revient mais, prise d'un nouvel élan d'audace, Blanche le saisit par la main pour le retenir et prend la parole.

- Tu sais, depuis que j'ai décidé de dominer moi-même mon cocu, je fantasme à l'idée de tenir une queue dans la main et viser sa bouche pendant que le mec pisse.

Il aura un « Ok » accompagné d'un rire pour seule réponse et nous invite à le suivre.
On longe un long couloir, le trajet m'est douloureux à quatre pattes car mes genoux commencent vraiment à dérouiller, pour bifurquer sur la droite dans une immense salle de bain implacable. On dirait une pub dans un magazine d'ameublement tellement c'est clean avec les doubles lavabos, le grand placard miroir et la douche à l'italienne derrière une grande vitre, les murs revêtus d'ardoise … Ça donne l'impression qu'elle a été construite hier et, si on occulte le verre avec la brosse à dents et le parfum, qu'elle n'a jamais été utilisée.
De moi-même, je comprends qu'il me faut aller dans la douche. Je reste dans l'entrée, dos au mur, tandis que lui s'approche pour se mettre face à moi. Blanche dans son dos, va passer sur le côté et attraper la queue à demie-molle (et encore plus belle comme ça je crois) et viser vers mon visage.
Les premières gouttes commencent à sortir et ma chérie doit repositionner le membre plus haut car c'est surtout mon menton qui est touché durant ces premiers instants. Lorsque la source est à niveau, j'ouvre la bouche en grand pour en récupérer le plus possible.
Mes yeux ne quittent pas le visage de Blanche, son sourire lubrique et ses yeux en amandes exprimant à nouveau une pointe de sadisme de me voir ainsi. Je n'aurai jamais cru que nous puissions être autant en phase dans ce genre de jeux un jour.
Dès que ma bouche est pleine le dom stoppe le jet, me laissant le temps de bien avaler et limiter le risque qu'une partie ne s'en échappe, avant de reprendre.
Une fois le jet tarit, Blanche approche ma tête pour que je choppe les dernière gouttes qui peinent à quitter l'urètre. J’aspire ce qui reste puis entame un nettoyage du gland en règle avant que Blanche ne s'accroupisse aussi pour participer à cette pipe.
D'abord à tour de rôle, nous nous passons le chibre, puis nous le mangeons ensemble. Nos langues se cherchant, se trouvant et se liant, le long de cette superbe queue redevenue veineuse par nos soins. Ça, pour le coup, on connaît bien et on adore. Blanche étant devenue autant passionnée et accro aux queues que moi, c'est à chaque fois un immense moment de complicité quand nos embrassades se déroulent autour de cette passion commune. Certains cuisinent ensemble, d'autres font des balades en forêts ou bien encore des sorties ciné pendant leur temps libre amoureux, et bien nous on suce des queues. Ça nous ressemble plus et ça égaye nos moments à deux ensuite.
Pendant ce moment complice et amoureux atypique, notre hôte ouvre le placard et en sort une capote qu'il met seul cette fois. Il indique à sa femelle d'aller se mettre debout, face au sèche-serviettes, se positionne derrière elle avant de s'enfoncer dans sa chatte, trempée et hirsute, d'une seule traite. Le gémissement qui sort de la bouche de Blanche évoque un parfait contraste entre possession et libération …

Sans période d'adaptation cette fois, il la prend vite et fort. Je ne la vois pas mais la connais par cœur, je sais qu'à cet instant Blanche à la bouche grande ouverte avec l'air d'avoir le souffle coupé et ses yeux sont en train de se révulser. Aucun son ne sort jusqu'à reprise de ses moyens où, là, elle hurle à en réveiller les morts.
Pendant ce temps, je ne les vois que de dos. N'ayant pas eu de consigne, je suis là, pantois. Pour y remédier, l’idée d'aller stimuler le baiseur en lui bouffant le fion me gagne. Je m'approche, en position toujours à 4 pattes, avant de lever les mains pour lui écarter les fesses – un peu poilues – quand j'arrive à bon niveau. J'entreprends mon léchage mais ses mouvements de bassins sont si énervés que je n'arrive presque jamais à atteindre son anus. Le traitement que je lui procure est plus symbolique qu'autre chose, mais ça me plaît et souligne d'autant plus ma condition de cornu.

Comme s'il approchait d'une ligne d'arrivée, d'un coup, il accélère encore un peu plus ce qui a pour effet de faire crier Blanche et, lui, de lui faire faire des bruits de taureaux. Je comprend qu'ils sont en train de jouir synchro et ça, ça m'excite autant que ça me frustre. Le fait qu'ils aient une grande complicité me remue le bide mais je n'ai pas le temps d'y penser car, dès qu'il sort d'elle, il enlève la capote, me penche la tête en arrière et verse dans ma bouche ouverte tout le foutre qu'elle contenait.
Blanche qui, bien qu'en train de reprendre ses esprits, profite de ma bouche ouverte pour y rajouter un crachat. J'avale le tout sans demander mon reste et les remercie dans un sentiment toujours un peu mitigé. Le goût n'est pour une fois pas trop salé mais la texture est très épaisse et me laisse une pellicule gluante dans toute la bouche.
Quelques gouttes de sperme ont coulées sur ma joue et mon menton, Blanche étale ce vestige un peu partout en me souriant. Je vois alors dans ces yeux une complicité tendre, dénuée de la perversion qui l'a tant habité jusque là. Une forme de fierté apaisée s'en dégage. Je comprends alors que le plan est fini.
Je reste cependant à genoux afin que pour notre hôte nous restions rangés à tout jamais comme un fantasme du début à la fin.

S'il n'était pas si tard, et que nous n'étions pas si claqués de base, il y aurait peut-être eu une deuxième manche mais là il nous faut partir.
On se rhabille, non pas sans galérer pour moi car ça n'est pas évident sans se lever. Blanche enlève la laisse mais me fait garder le collier.

Je te l'enlèverai demain, en même temps que la cage et après t'avoir pété le cul. Dit elle, plus pour que son amant l'entende que pour me le dire car je connais déjà le sort qui m'est réservé au réveil.
Il nous raccompagne jusqu'à son entrée, moment que j'attends pour me lever, nous le remercions et nous descendons prendre un uber.

Nous n'avons pas à attendre plus de 3 minutes avant de monter dans l'un d'entre eux.
Le trajet jusqu'à notre hôtel alterne entre de longs silences fatigués et des petits moments de débrief enthousiastes (en restant assez discret pour que notre chauffeur ne comprenne pas de quoi on parle).
Le bilan est que nous sommes tous les deux contents mais qu'il n'aurait pas trop fallu que ça dure plus longtemps. Au moins, ça nous confirme que c'est un domaine que l'on a envie d'explorer plus en profondeur, de le cultiver.

Arrivés à l'hôtel, on ne traîne pas à aller au lit. À mon agréable surprise, Blanche propose que nous dormions encore souillés pour l'être toujours au moment de nos ébats matinaux.
Elle me dit aussi qu'elle sait que j'ai hâte d'être libéré de ma cage mais me somme de la laisser dormir jusqu'à 10h30.
On se lance une série pourrie en bruit de fond pour se pieuter.
Blanche s'endort facilement tandis que moi les images reviennent dans ma tête, l'odeur de foutre et de pisse que je dégage gagne mon nez. Ma cage me fait mal et, à plusieurs reprises, je me relève pour aller me mettre de l'eau froide sur les couilles afin d'avorter les tentatives de bandaisons douloureuses contre lesquelles je lutte.

Je fini par trouver le sommeil avant qu'il ne soit trop tard pour me claquer ma journée de demain. Heureusement car il nous reste encore pleins de moments pervers à vivre pour profiter de ce week-end parisien !

À suivre ...

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
J en reve

Histoire Erotique
J'adore !! Je rêve d'être à la place du cocu. L'excitation monte en.meme temps que la domination du cocufieur (j'aime bcp l'expression) se fait de plus en plus presente..
Et la copine est délicieusement perverse.
Hate de lire la suite. Zn espérant qu'il se prenne de bonnes giclees de foutre au gond de sa bouche, c'est le meilleur pour un cocu..



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