Les bonnes fortunes d'Ahmed

- Par l'auteur HDS Clar -
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Auteur couple.
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Récit libertin : Les bonnes fortunes d'Ahmed Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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Les bonnes fortunes d'Ahmed
Ahmed n’en revient pas. La semaine commence bien. En cette belle matinée automnale il vient de baiser la jolie cliente. Une sacrée femelle qui n’a pas froid aux yeux et qui est bonne comme un loukoum. Son patron n’avait pas tort. Mais là, il a été comblé…. Et ce scénario. Avec la femme qui racontait au patron à l’autre bout du téléphone ce qu’il lui faisait. Un truc de fou. Il en avait déjà baisé des clientes, mais jamais comme ça. Sûr que le patron il ne doit pas s’ennuyer avec elle. Elle aime la baise. Et comme le patron a dit qu’elle était à sa disposition le temps des travaux, il va en profiter. Ce n’est pas tous les jours fête….
Ahmed a cinquante-deux ans. Il est né là-bas, au bled, dans un petit village d’Algérie. Il avait cinq ans quand ses parents ont émigré et sont venus habiter dans ce quartier populaire de Marseille avec leurs six garçons. Ahmed était le quatrième. Dans la famille on ne faisait pas d’études. On rejoignait rapidement un apprentissage. Ahmed voulait être mécanicien. Il sera peintre. A la mort de ses parents il quitte le sud et répondant à une annonce il se retrouve à Bourges. Courageux, il fait le bonheur de son patron grâce à des connaissances en électricité et en plomberie apprises sur le tas. Malheureusement son patron divorce et noie son chagrin dans l’alcool. La boite périclite et ferme. Un de ses copains lui parle d’un copain qui a une boite d’électricité dans une ville voisine qui recherche un ouvrier polyvalent. Il se présente ainsi chez Jacques Rocier qui lui fait faire un bout d’essai. L’essai est concluant et Ahmed est embauché. Un soir, avant de partir, Ahmed sort de la douche quand il croise Rocier. Celui-ci lui fait un clin d’œil. « Dis donc, t’es monté comme un taureau toi. Les nanas doivent se régaler. » Ahmed baisse les yeux. « Tu sais patron, j’ai pas de femme et je sors pas alors je vois pas beaucoup de femmes. » Rocier lui demande « ça fait combien de temps que t’as pas baisé ? Hein ? Six mois ? Mais il faut remédier à ça. » Et c’est ainsi que Rocier s’arrangea pour présenter des femmes à son employé, choisissant parmi ses relations ou parmi ses clientes. Et les retours étaient plutôt éloquents.
Rocier avait une sorte d’aventure avec son infirmière. Une sorte car leur liaison, uniquement basée sur le sexe durait depuis plusieurs mois mais il ne se voyaient que par intermittence. Clotilde (c’est le prénom de la femme en question) était seule, mariée à un époux qu’elle ne voyait presque plus, et aimait le sexe, elle avait eu l’occasion de lui prouver à maintes reprises. Et en plus, il la trouvait incroyablement perverse dès lors qu’il s’agissait de sexe. Lorsqu’elle lui avait demandé de refaire son cabinet infirmier il avait tout de suite pensé à Ahmed et décidé d’un scénario auquel elle s’était pliée avec enthousiasme. Il avait été le témoin auditif de leur joute grâce au téléphone resté allumé. (voir l’histoire « Ahmed ») Ahmed avait cinq jours de travail sur place et Rocier avait indiqué à sa maitresse qu’elle était à la disposition de l’ouvrier.
Le lundi soir Ahmed avait fini de décaper les murs et de lessiver le plafond. Un sacré boulot car plusieurs couches de papier peint s’étaient superposées au fil du temps. Jacques Rocier passa en coup de vent pour vérifier l’état d’avancement des travaux. « Alors ce matin, C’était comment ? » demanda-t-il à l’ouvrier. « C’était bon » répondit Ahmed.
Jacques Rocier décrocha son téléphone, composa le numéro de l’infirmière et mit le haut-parleur. « Allo, ma chérie bonsoir. Tes travaux avancent bien. On est même un peu en avance. Tu n’oublieras pas de passer remercier Ahmed. Et jeudi matin, demande donc à ta copine de venir apporter des croissants, je ferai bien une petite pause casse-croute avec vous vers dix heures. Bises cocotte. »Le mardi, Ahmed était en train de passer de l’enduit pour lisser les murs. Il avait mis le chauffage pour accélérer le séchage. Vers dix-sept heures il entendit la porte s’ouvrir et se refermer ; un bruit métallique lui indiqua qu’un tour de clé venait d’être donné. Il se retourna. La jeune femme entra dans la pièce. Elle était vêtue d’un teeshirt décolleté baillant sur une poitrine visiblement nue et d’une jupe mi-longue boutonnée sur le devant. L’ouvrier trempa ses mains dans une bassine d’eau tiède et les essuya méticuleusement. « Salut Clotilde. Tu viens voir les travaux ? » lui demanda-t-il.
« Je viens aussi voir le travailleur » répondit-elle avec un sourire engageant. « Je me suis habillée légèrement. Je n’ai pas mis de soutien-gorge comme tu as déjà pu t’en apercevoir. Ton patron a dit que tu pouvais me baiser. Ça tombe bien j’ai envie d’une bonne queue. Approche-toi. Mmmmmm ça parait prometteur… » En disant cela, la jeune femme avait empoigné à pleines mains l’excroissance qui déformait le devant du short. « Je te fais de l’effet dis donc. Tu bandes fort. Je vais te sucer. Te faire grossir pour ensuite bien te sentir en moi. Je mouille déjà. » La jeune femme s’agenouilla, abaissant le short et le slip. La lourde verge se déplia, dardant sont bout vers le haut. Elle soupesa les bourses velues tandis que sa langue s’approcha du gland découvert. Elle le suça longtemps, sans pouvoir l’absorber totalement dans sa bouche. Ahmed se laissait faire. Il baissa la tête. Dans l’échancrure du teeshirt il apercevait les deux seins aux pointes tendues. Il redressa la femme et se plaqua contre elle, faisant rouler sa verge dure contre le ventre. Il passa ses mains dans le dos sous le teeshirt, caressant le dos, appuyant doucement sur la colonne vertébrale de haut en bas pour accentuer son excitation. Il délaissa le dos pour trousser la jupe. La jeune femme avait une culotte en soie largement évasée. Il écarta le tissu pour frotter sa queue contre le sexe humide. Hier il l’avait baisée debout. Aujourd’hui il la prendrait en levrette. Sans la déshabiller. Il frottait son gland contre l’entrée de la vulve. Elle retira sa culotte qui glissa à terre. Elle tendait son ventre en avant, se frottant lascivement contre lui. Ahmed croyait devenir fou. Quelle salope cette femelle. Elle en vouait, elle allait en avoir.
Il avait passé ses mains sous le teeshirt et triturait ses seins sans ménagement, pinçant les pointes dressées. Elle haletait, poussant de petits gémissements quand la douleur se faisait trop forte. Ahmed la regardait, le visage déformé par le plaisir, yeux mi-clos. Il abaissa le regard. Sa jupe était tirebouchonnée sur ses reins, dévoilant son sexe glabre et ses jambes longues et fines. Il fixait sa propre verge qui se frottait contre le pubis féminin et dont le bout disparaissait de temps à autre entre les lèvres.
Ne tenant plus il la retourna, appuya sur ses épaules et lui fit prendre appui contre l’escabeau. Il remonta le teeshirt et la jupe. Il pointa son gland contre l’orifice vulvaire et la pénétra d’un coup. Elle feula un cri rauque qui emplit la pièce. Assuré d’être bien harponné en elle il lui saisit les seins et entama un va et vient puissant en lui donnant de vigoureux coups de boutoir. Comme il avait éjaculé la veille il savait qu’il pourrait tenir plus longtemps aujourd’hui.
Il la besogna ainsi un bon quart d’heure. La pièce était envahie de ses gémissements et des claquements de son ventre contre les fesses féminines. Elle mouillait abondamment et il coulissait en elle avec facilité. C’était divin. Il sentait qu’il allait venir. Elle devait le sentir également. Elle envoya sa main à la rencontre de son clitoris. Il se retira et éjacula contre ses fesses en grondant sourdement. Elle le rejoignit dans un grand cri de plaisir.
Elle rabattit sa jupe et son teeshirt. Elle était en sueurs, les joues rouges, les yeux brillants. Sa respiration se calmait doucement. Elle lui sourit. « A jeudi Ahmed. Sois en forme ».
Le lendemain, les travaux avancèrent rapidement d’autant que personne ne vint troubler Ahmed.
Jeudi matin. Ahmed sait que son patron doit venir vers dix heures pour prendre un café. Il est contant, il a bien avancé et les travaux seront finis dans les temps. A dix heures, la sonnette retentit. Ahmed entend la porte s’ouvrir. Dans l’embrasure de la porte il voit s’avancer une femme qu’il connait et qui l’intimide. Sa boulangère. Une femme ravissante aux cheveux bruns et au regard bleu. Elle semble sourire en permanence. Elle porte un petit cageot rempli de croissants et de viennoiseries. Ahmed continue d’être intimidé. La femme est vêtue d’une jupe grise qui s’arrête au-dessus des genoux et d’un pull en V qui dégage le haut d’une poitrine bien garnie. Ah ! s’il osait….. Il sent que sa verge commence à s’émouvoir sous son short. Se calmer. Il faut qu’il se calme. Heureusement la porte s’ouvre et sa cliente fait son apparition. Elle est vêtue d’une robe noire qui s’arrête à mi-cuisses. Le relief de ses seins nus se dessine avec précision sous le tissu. Ce n’est pas pour calmer Ahmed….. Et dans la foulée son patron arrive, un grand sourire aux lèvres. Ahmed le voit embrasser Clotilde sur la bouche et, plus surprenant en faire de même à la boulangère. « Alors Judith, tu es venue t’encanailler ? Te faire tirer par Ahmed pour te changer des étreintes rapides avec ton jules ? Tu as quoi sous ta jupe ? » Et tout en parlant Jacques Rocier retrousse la jupe de la jeune femme. Ahmed voit apparaitre ses cuisses gainées de bas couleur chair et une culotte blanche en dentelles. La femme se laisse faire. « Ahmed, approche. Regarde cette salope mouille déjà. Viens toucher. Moi je vais m’occuper de ma Cloclo. Je suis sûr qu’elle sera vite toute nue avec le peu qu’elle a sur elle. »Ahmed s’approche de la jeune femme brune. Il pose ses mains sur ses épaules et la plaque contre lui pour lui faire sentir sa dureté. Il crochète le pull et dégrafe son soutien-gorge. Elle a une belle poitrine, des seins lourds aux mamelons déjà érigés. Il les caresse virilement. La femme soupire déjà. Il se défait de son short. Sa bite se redresse déjà. Il fait passer le pull de sa partenaire par-dessus sa tête et le jette au loin, bientôt rejoint par le soutien-gorge. Il fait s’accroupir la femme et place sa verge bandée entre ses seins qu’il comprime de ses mains. Sa colonne de chair coulisse dans un fourreau d’une douceur satinée. Il ferme les yeux couvant son plaisir. Il tourne la tête pour regarder l’autre couple. Clotilde est nue à l’exception de ses bas. Rocier avait dit vrai, elle ne devait pas avoir grand-chose sur elle. Elle suce son amant qui achève de se déshabiller. Cette vision l’excite encore plus.
Il reporte son attention sur Judith. Sa position accroupie, cuisses écartées pour garder l’équilibre dénude en partie ses cuisses. Il voit la lisière des bas et le haut des cuisses. Il se dégage et présente sa colonne de chair devant la bouche. Il pousse doucement et sent les lèvres s’entrouvrir. La boulangère tire un bout de langue pour humidifier le gland. Il continue de pousser, pénétrant la cavité buccale centimètre par centimètre. La jeune femme a beau ouvrir grand la bouche elle ne peut introduire le sexe berbère. Elle s’applique pourtant du mieux qu’elle peut.
Jacques Rocier observe la scène. Il laisse s’écouler quelques minutes. « Ahmed. Redresse là et fous là à poil. On va les niquer ensemble, en même temps. » L’ouvrier obéit. Il redresse la femme et la débarrasse de sa jupe et de sa culotte. Il touche la vulve. Elle est chaude, déjà entrouverte et suintante de désir.
Deux tapis de sol, utilisés pour la gymnastique sont étalés au sol. Les deux femmes s’allongent dessus. Les deux hommes ont enfilé un préservatif et, sexe bandé, s’approchent de leurs proies consentantes.
Ahmed se met à genoux, écarte les cuisses de sa partenaire et approche son dard de la fente accueillante. Il frotte le gland contre le sexe et d’un seul coup la cloue au sol d’un coup de rein puissant. Judith hurle de douleur et de plaisir mêlés. Il engage un mouvement de va et vient rapide. La jeune femme balbutie des mots sans suite. Elle a noué ses bras autour du cou de son amant et donne des coups de bassin pour s’empaler davantage.
Les deux couples baisent l’un à côté de l’autre. Les deux hommes pistonnent les deux femmes avec ardeur, leur arrachant des cris et des feulements. « A quatre pattes les filles. On va vous baiser en levrette » ordonne Rocier. Les filles obtempèrent, cambrant les reins. Les deux hommes, dans un même élan les enfourchent sans tendresse. Tenant leurs partenaires aux hanches ils les pilonnent sans fioriture. Ce traitement provoque leur jouissance tour à tour. Judith se contorsionne sous les assauts d’Ahmed, emportée par un nouvel orgasme, hurlant son plaisir. Après un dernier coup de rein l’arabe arrache son préservatif et s’exonère contre les fesses de la boulangère.
Ah, si tous les chantiers pouvaient être ainsi pense Ahmed…….

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